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Time after time (SEOSOO ♡ )
Moon Haesoo
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Time after time (SEOSOO ♡ ) | Sam 4 Mar - 12:49
Le réveil pique, en particulier un jour de week-end et à l’heure où les premiers rayons du jour n’ont pas encore percé le ciel nocturne, mais il se lève sans broncher pour commencer sa routine habituelle, jetant constamment un coup d’œil sur sa montre. Il n’est pas en retard, personne ne l’attend réellement mais il n’a pas envie de rater le coche. Peut-être aurait-il dû demander plus de précisions, l’heure exacte par exemple, mais il n’y avait pas pensé sur le coup – l’entraînement avait repris et il avait omis de cliquer sur le fameux bouton envoyé. Tant pis pour lui, il lui fera la surprise – surtout qu’il allait être bien accompagnée pour l’accueillir à la sortie de la boîte. Enfilant sa veste en cuir par-dessus son tee-shirt blanc légèrement oversized, il éteint les lumières de l’appartement dans le plus grand des silences.
Le réveil pique, en particulier un jour de week-end et à l’heure où il n’y a pas encore chat dans les rues, mais il est tout sourire. Il sort de sa poche une petite télécommande, un petit son familier retentit, des phares clignotent brièvement, la voilà enfin, sa moto chérie – tout juste livrée des États-Unis. L’idée de pouvoir enfin rouler avec suffit à lui faire oublier la fraîcheur de la nuit. Fini les locations de moto, il avait retrouvé sa compagne de toujours. Premier achat, premier coup de cœur, elle ne l’a jamais quitté – les nouveaux modèles font pâle figure à côté (pour lui). Flamboyante comme au premier jour, il a encore ces mêmes palpitations. « Hi Love » souffle-t-il en tapotant ses doigts sur le guidon, avant de se préparer. Nul besoin de paramétrer de navigation assistée, il connait le chemin à force d’en faire des allers et retours, il se met en route, profitant de la fluidité de la circulation. La lumière artificielle des lampadaires, des spots publicitaires l’accompagne, ainsi que la lune cachée au loin.
Stationnant devant l’établissement, il sort son téléphone pour allumer l’écran. Il est cinq heures, il espérait qu’elle n’était pas partie sans lui – du moins, en chemin, il n’avait aperçu personne pouvant lui ressembler de près ou de loin. Laissant sa moto, il se rapproche du videur et le check amicalement, habitué à le voir. S’il lui pose quelques questions, par politesse, rapidement il lui pose sa question « hey hyung, elle n’est pas encore sortie ? », nul besoin pour lui de préciser de qui il s’agissait, mais pourtant, il complète sa phrase, avec un demi-sourire adoucissant son regard, « Seorina ».
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« If you're lost, you can look, and you will find me. If you fall, I will catch you, I'll be waiting - Time after time »
Le réveil pique, en particulier un jour de week-end et à l’heure où les premiers rayons du jour n’ont pas encore percé le ciel nocturne, mais il se lève sans broncher pour commencer sa routine habituelle, jetant constamment un coup d’œil sur sa montre. Il n’est pas en retard, personne ne l’attend réellement mais il n’a pas envie de rater le coche. Peut-être aurait-il dû demander plus de précisions, l’heure exacte par exemple, mais il n’y avait pas pensé sur le coup – l’entraînement avait repris et il avait omis de cliquer sur le fameux bouton envoyé. Tant pis pour lui, il lui fera la surprise – surtout qu’il allait être bien accompagnée pour l’accueillir à la sortie de la boîte. Enfilant sa veste en cuir par-dessus son tee-shirt blanc légèrement oversized, il éteint les lumières de l’appartement dans le plus grand des silences. Le réveil pique, en particulier un jour de week-end et à l’heure où il n’y a pas encore chat dans les rues, mais il est tout sourire. Il sort de sa poche une petite télécommande, un petit son familier retentit, des phares clignotent brièvement, la voilà enfin, sa moto chérie – tout juste livrée des États-Unis. L’idée de pouvoir enfin rouler avec suffit à lui faire oublier la fraîcheur de la nuit. Fini les locations de moto, il avait retrouvé sa compagne de toujours. Premier achat, premier coup de cœur, elle ne l’a jamais quitté – les nouveaux modèles font pâle figure à côté (pour lui). Flamboyante comme au premier jour, il a encore ces mêmes palpitations. « Hi Love » souffle-t-il en tapotant ses doigts sur le guidon, avant de se préparer. Nul besoin de paramétrer de navigation assistée, il connait le chemin à force d’en faire des allers et retours, il se met en route, profitant de la fluidité de la circulation. La lumière artificielle des lampadaires, des spots publicitaires l’accompagne, ainsi que la lune cachée au loin.
Stationnant devant l’établissement, il sort son téléphone pour allumer l’écran. Il est cinq heures, il espérait qu’elle n’était pas partie sans lui – du moins, en chemin, il n’avait aperçu personne pouvant lui ressembler de près ou de loin. Laissant sa moto, il se rapproche du videur et le check amicalement, habitué à le voir. S’il lui pose quelques questions, par politesse, rapidement il lui pose sa question « hey hyung, elle n’est pas encore sortie ? », nul besoin pour lui de préciser de qui il s’agissait, mais pourtant, il complète sa phrase, avec un demi-sourire adoucissant son regard, « Seorina ».
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Dim 19 Mar - 20:12
Les plus festifs ou les plus téméraires accompagnent Seorina jusqu’à la fin de son set. Désormais DJ expérimentée, les patrons des discothèques lui offrent le meilleur créneau horaire pour montrer l’étendue de son talent. Ravie par cette promotion, la jeune femme a pourtant conscience qu’elle ne pourra pas rester dans cet univers éternellement. Les années d’étude se cumulent et la fin de son cursus approche à grands pas. Les examens seront derrière elle, remplacés par le monde du travail. A vrai dire, Seorina n’appréhende pas son avenir, même si elle a conscience d’une chose : elle devrait donner moins de temps à ses passions. Elle doit trouver un stage pour gagner en expérience dans le domaine médical. Il existe effectivement un monde entre la théorie et la pratique. Il existe aussi un monde pour ceux qui ont un bon rythme de sommeil et ceux qui se trouvent dans le même état de fatigue qu’elle. Mais par chance, le plaisir d’être derrière ses platines continue de la faire sourire et ses cernes sont dissimulés par les jeux de lumière. Qu’en sera-t-il de ses oreilles ?
Un dernier signe de la main, elle range son matériel dans son casier attritré. Elle viendra le récupérer plus tard si elle ne songe pas à le laisser ici, pour la prochaine soirée étudiante. Il lui tarde de prendre une douche brûlante pour enlever ces odeurs de fumée. Le tabagisme passif a encore de beaux jours devant lui, sans compter celles qui inondent le dancefloor pour créer une ambiance. Elle ignore tous les noms des gaz qu’elle peut respirer dans ce genre de lieux. Ce qui est certain ? C’est qu’elle est parfois prise par des quintes de toux sans pour autant pointer du doigt l’origine de ces dernières. Le jour n’est toujours pas levé quand elle quitte la discothèque. Les températures sont encore basses en cette période de l’année et la différence entre l’intérieur et l’extérieur est un facteur important pour son corps épuisé.
Jetant un coup d’oeil sur son téléphone, elle récupère son manteau aux vestiaires et accède à la sortie. Au même moment, la belle entend son prénom. Si certains clients aiment discuter avec elle en fin de soirée - et ce peu importe leur degré d’alcoolémie -, elle est cette fois surprise par la silhouette devant elle. Ce n’est pas la première fois que le jeune homme se présente ici. Un sourire en coin s’étire sur ses lèvres : “ Tu as toujours mon prénom en bouche. “ Est-ce source de déception ? Loin de là. Un clin d’oeil en direction du videur, elle pose sa main amicalement sur le bras de son invité. “ Il est cinq heures du matin. Tu n’as pas match aujourd’hui ? “ Elle ne cherche pas à le repousser... Disons qu’elle s’inquiète et qu’elle n’a pas non plus envie qu’il le soit à son égard.
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Les plus festifs ou les plus téméraires accompagnent Seorina jusqu’à la fin de son set. Désormais DJ expérimentée, les patrons des discothèques lui offrent le meilleur créneau horaire pour montrer l’étendue de son talent. Ravie par cette promotion, la jeune femme a pourtant conscience qu’elle ne pourra pas rester dans cet univers éternellement. Les années d’étude se cumulent et la fin de son cursus approche à grands pas. Les examens seront derrière elle, remplacés par le monde du travail. A vrai dire, Seorina n’appréhende pas son avenir, même si elle a conscience d’une chose : elle devrait donner moins de temps à ses passions. Elle doit trouver un stage pour gagner en expérience dans le domaine médical. Il existe effectivement un monde entre la théorie et la pratique. Il existe aussi un monde pour ceux qui ont un bon rythme de sommeil et ceux qui se trouvent dans le même état de fatigue qu’elle. Mais par chance, le plaisir d’être derrière ses platines continue de la faire sourire et ses cernes sont dissimulés par les jeux de lumière. Qu’en sera-t-il de ses oreilles ? Un dernier signe de la main, elle range son matériel dans son casier attritré. Elle viendra le récupérer plus tard si elle ne songe pas à le laisser ici, pour la prochaine soirée étudiante. Il lui tarde de prendre une douche brûlante pour enlever ces odeurs de fumée. Le tabagisme passif a encore de beaux jours devant lui, sans compter celles qui inondent le dancefloor pour créer une ambiance. Elle ignore tous les noms des gaz qu’elle peut respirer dans ce genre de lieux. Ce qui est certain ? C’est qu’elle est parfois prise par des quintes de toux sans pour autant pointer du doigt l’origine de ces dernières. Le jour n’est toujours pas levé quand elle quitte la discothèque. Les températures sont encore basses en cette période de l’année et la différence entre l’intérieur et l’extérieur est un facteur important pour son corps épuisé.
Jetant un coup d’oeil sur son téléphone, elle récupère son manteau aux vestiaires et accède à la sortie. Au même moment, la belle entend son prénom. Si certains clients aiment discuter avec elle en fin de soirée - et ce peu importe leur degré d’alcoolémie -, elle est cette fois surprise par la silhouette devant elle. Ce n’est pas la première fois que le jeune homme se présente ici. Un sourire en coin s’étire sur ses lèvres : “ Tu as toujours mon prénom en bouche. “ Est-ce source de déception ? Loin de là. Un clin d’oeil en direction du videur, elle pose sa main amicalement sur le bras de son invité. “ Il est cinq heures du matin. Tu n’as pas match aujourd’hui ? “ Elle ne cherche pas à le repousser... Disons qu’elle s’inquiète et qu’elle n’a pas non plus envie qu’il le soit à son égard.
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Ven 16 Juin - 13:48
Plutôt que de venir la chercher, il pourrait l’accompagner dans son monde à elle et l’observer de loin, alternant entre l’heure à son poignet et la scène où elle brillait de plus belle. Mais le monde de la nuit ne l’intéresse pas, trop inconfortable et trop bruyant, il ne se sentait pas à sa place. S’il s’y rendait quasi tous les soirs, c’était simplement pour elle, pour Seorina. Si au début, il ne le faisait que pour tenir sa parole, c’était devenu une habitude avec le temps. Impossible de dormir sereinement tant qu’il la savait dehors. Après tout, il ne s’inquiétait pas tant que ça pour elle, mais pour les malheureux qui croiseraient son chemin avec de mauvaises intentions – du moins, c’est ce qu’il aimait lui rétorquer à chaque fois qu’elle lui posait la question. La réponse était évidente, mais il se gardait bien de la partager. « Si ce n’était pas le tien, ce serait lequel » répond-il en se tournant vers elle, un sourire espiègle sur les lèvres après avoir tapoté l’épaule du videur. « À force de tyrannie et de torture, c’est presque devenu un réflexe ». Il lève les bras comme pour se protéger d’un potentiel coup (affectueux) de la demoiselle. La liste des complaintes était longue, la mère de cette dernière lui avait promis une colocation tranquille en échange juste du fait de s’assurer que tout allait bien pour sa fille, mais il s’est vite retrouvé avec un tablier et un balai, en plus d’avoir développé des insomnies. Un vrai traquenard – dont il se plaignait pas réellement au final, juste quand il lui fallait verser quelques larmes de crocodile.
« Une heure parfaite pour commencer la journée, le monde appartient à ceux qui se lève tôt » réplique le brun en lui tapotant le bout du nez. Ce serait mentir s’il ne disaient pas que le réveille avait piqué, mais il avait pris le pli en changeant ses habitudes. Les soirs où elle devait bosser, il se couchait plus tôt pour assumer le réveil et la journée. « Je vois que t’es bien renseignée », il avait effectivement un match de prévu en fin d’après-midi, mais au vue des propos du coach, il allait certainement rester sur les bancs. C’était un match purement amical avec un petit club local, la stratégie était de ménager les titulaires pour le prochain match et de permettre aux petits nouveaux de gagner en confiance et expérience. « Mais ça ira, au pire… j’aurai encore ton nom en bouche pour te balancer» , il hausse les épaules avec encore ce faux air dramatique avant de rapidement retrouver son air enjoué. Ses yeux brillent d’excitation à ses mots, « et puis je voulais te présenter la première… ma copine ». Il s'arrête avant de prendre son portable, le déverrouiller, pianoter dessus et le remettre dans sa poche « c'est bon » - si elle avait son téléphone à proximité, elle l'entendrait sonner ou vibrer, à moins qu'elle n'ait coupé le son.
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Plutôt que de venir la chercher, il pourrait l’accompagner dans son monde à elle et l’observer de loin, alternant entre l’heure à son poignet et la scène où elle brillait de plus belle. Mais le monde de la nuit ne l’intéresse pas, trop inconfortable et trop bruyant, il ne se sentait pas à sa place. S’il s’y rendait quasi tous les soirs, c’était simplement pour elle, pour Seorina. Si au début, il ne le faisait que pour tenir sa parole, c’était devenu une habitude avec le temps. Impossible de dormir sereinement tant qu’il la savait dehors. Après tout, il ne s’inquiétait pas tant que ça pour elle, mais pour les malheureux qui croiseraient son chemin avec de mauvaises intentions – du moins, c’est ce qu’il aimait lui rétorquer à chaque fois qu’elle lui posait la question. La réponse était évidente, mais il se gardait bien de la partager. « Si ce n’était pas le tien, ce serait lequel » répond-il en se tournant vers elle, un sourire espiègle sur les lèvres après avoir tapoté l’épaule du videur. « À force de tyrannie et de torture, c’est presque devenu un réflexe ». Il lève les bras comme pour se protéger d’un potentiel coup (affectueux) de la demoiselle. La liste des complaintes était longue, la mère de cette dernière lui avait promis une colocation tranquille en échange juste du fait de s’assurer que tout allait bien pour sa fille, mais il s’est vite retrouvé avec un tablier et un balai, en plus d’avoir développé des insomnies. Un vrai traquenard – dont il se plaignait pas réellement au final, juste quand il lui fallait verser quelques larmes de crocodile. « Une heure parfaite pour commencer la journée, le monde appartient à ceux qui se lève tôt » réplique le brun en lui tapotant le bout du nez. Ce serait mentir s’il ne disaient pas que le réveille avait piqué, mais il avait pris le pli en changeant ses habitudes. Les soirs où elle devait bosser, il se couchait plus tôt pour assumer le réveil et la journée. « Je vois que t’es bien renseignée », il avait effectivement un match de prévu en fin d’après-midi, mais au vue des propos du coach, il allait certainement rester sur les bancs. C’était un match purement amical avec un petit club local, la stratégie était de ménager les titulaires pour le prochain match et de permettre aux petits nouveaux de gagner en confiance et expérience. « Mais ça ira, au pire… j’aurai encore ton nom en bouche pour te balancer» , il hausse les épaules avec encore ce faux air dramatique avant de rapidement retrouver son air enjoué. Ses yeux brillent d’excitation à ses mots, « et puis je voulais te présenter la première… ma copine ». Il s'arrête avant de prendre son portable, le déverrouiller, pianoter dessus et le remettre dans sa poche « c'est bon » - si elle avait son téléphone à proximité, elle l'entendrait sonner ou vibrer, à moins qu'elle n'ait coupé le son.
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Gahn Seorina aime ce message
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Sam 22 Juil - 19:01
Au départ, les visites inattendues du joueur étaient perturbantes. Son défi avait été de l’inciter à la voir au travail mais le jeune homme s’est simplement contenté de l’attendre dehors. Elle ne peut pas l’obliger à faire quelque chose qu’il n’apprécie pas. Alors, elle n’a pas insisté et voilà que le garçon s’efforce à la raccompagner après sa longue nuit de travail. Elle s’était légèrement disputée avec lui, ne voulant pas imposer ce rythme, ni cette obligation. Et pourtant, elle est certaine de bouder si le jeune homme décide d’arrêter du jour au lendemain. C’est agréable de traîner ensemble, tard dans la nuit. C’est leur petit truc à eux et Seorina a appris à chérir leurs moments de tranquillité, à condition qu’ils ne se charrient pas tout le long. Quelque peu prétentieuse, elle aime effectivement souligner sa présence en ces lieux. Elle a compris pourquoi il vient ici même si c’est compliqué pour lui de passer aux aveux. “ A toi de me le dire. “ Mais voilà qu’il se plaint au videur ! En guise de réponse, elle lève les yeux au ciel. “ Si c’était vraiment le cas, tu devrais m’appeler Maître Seorina, Dobby. “ Son petit elfe de maison est doué en ménage et en cuisine. Si elle lui offre un toit, il a tout intérêt de faire quelques tâches pour satisfaire la propriétaire des lieux. Est-ce que ça inclut le ramassage scolaire ? Apparemment, et pourtant, Gahn Seorina n’était plus une enfant depuis longtemps. C’est juste qu’elle se comporte comme tel quand le joueur de baseball est dans les parages. D’ailleurs, en parlant de baseball, Haesoo a un match aujourd’hui. “ Mince, tu aurais dû le dire avant. Le monde ne va pas m’appartenir de sitôt. “ Et si le monde était une image ? Un moyen de dire qu’elle pourrait lui appartenir d’une façon ou d’une autre ? Voyons, un peu de sérieux. “ Je n’ai pas le choix. Sinon, tu vas me reprocher de ne pas m’intéresser à toi. Comment on dit déjà ? A force de tyrannie et de torture. “ Sarcastique, la demoiselle alors qu’elle rêve juste d’une bonne douche et de dormir. Il n’a qu’à essayer de l’accabler de ses fautes. Elle a bon dos… Un ange passe quand il joue avec son téléphone. “ De quoi tu parles au juste ? “ Elle cherche à éclairer sa lanterne en regardant ses sms dont un qui vient du jeune homme en face d’elle. “ T’es sûr que tu as envoyé le message à la bonne copine ? “ Et puis, elle finit par ajouter. “ Tu veux me présenter quelqu’un à cette heure ? “ Ah le premier degré fait toujours des dégâts.
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Au départ, les visites inattendues du joueur étaient perturbantes. Son défi avait été de l’inciter à la voir au travail mais le jeune homme s’est simplement contenté de l’attendre dehors. Elle ne peut pas l’obliger à faire quelque chose qu’il n’apprécie pas. Alors, elle n’a pas insisté et voilà que le garçon s’efforce à la raccompagner après sa longue nuit de travail. Elle s’était légèrement disputée avec lui, ne voulant pas imposer ce rythme, ni cette obligation. Et pourtant, elle est certaine de bouder si le jeune homme décide d’arrêter du jour au lendemain. C’est agréable de traîner ensemble, tard dans la nuit. C’est leur petit truc à eux et Seorina a appris à chérir leurs moments de tranquillité, à condition qu’ils ne se charrient pas tout le long. Quelque peu prétentieuse, elle aime effectivement souligner sa présence en ces lieux. Elle a compris pourquoi il vient ici même si c’est compliqué pour lui de passer aux aveux. “ A toi de me le dire. “ Mais voilà qu’il se plaint au videur ! En guise de réponse, elle lève les yeux au ciel. “ Si c’était vraiment le cas, tu devrais m’appeler Maître Seorina, Dobby. “ Son petit elfe de maison est doué en ménage et en cuisine. Si elle lui offre un toit, il a tout intérêt de faire quelques tâches pour satisfaire la propriétaire des lieux. Est-ce que ça inclut le ramassage scolaire ? Apparemment, et pourtant, Gahn Seorina n’était plus une enfant depuis longtemps. C’est juste qu’elle se comporte comme tel quand le joueur de baseball est dans les parages. D’ailleurs, en parlant de baseball, Haesoo a un match aujourd’hui. “ Mince, tu aurais dû le dire avant. Le monde ne va pas m’appartenir de sitôt. “ Et si le monde était une image ? Un moyen de dire qu’elle pourrait lui appartenir d’une façon ou d’une autre ? Voyons, un peu de sérieux. “ Je n’ai pas le choix. Sinon, tu vas me reprocher de ne pas m’intéresser à toi. Comment on dit déjà ? A force de tyrannie et de torture. “ Sarcastique, la demoiselle alors qu’elle rêve juste d’une bonne douche et de dormir. Il n’a qu’à essayer de l’accabler de ses fautes. Elle a bon dos… Un ange passe quand il joue avec son téléphone. “ De quoi tu parles au juste ? “ Elle cherche à éclairer sa lanterne en regardant ses sms dont un qui vient du jeune homme en face d’elle. “ T’es sûr que tu as envoyé le message à la bonne copine ? “ Et puis, elle finit par ajouter. “ Tu veux me présenter quelqu’un à cette heure ? “ Ah le premier degré fait toujours des dégâts.(c) DΛNDELION
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Sam 18 Nov - 0:21
Ce qui pourrait assimiler comme une corvée, est devenu un plaisir dont il refusait de faire l’aveu, mais qu’il ne dissimilait presque plus par son enthousiasme à peine contenu. Il y a depuis un moment, ces petites lueurs rieuses et affectueuses ne quittent pas son regard, tout comme ce léger rictus qui relève le coin de ses lèvres ; taquin, espiègle, il ne fait que surenchérir à ses caprices. Il aimait lire la surprise dans son regard, tout comme il appréciait la répartie dont elle faisait preuve à chaque fois. Ébranlée, mais invaincue. Il se doute que la prétention de la demoiselle dissimulait son affection. Il l’espérait, à moins qu’il ne soit qu’un serviteur, tout au plus un majordome, ou un Dobby mené à la baguette par une sorcière qui cachait bien son jeu – cruelle tenancière, dire qu’il pensait s’être trouvée une amie. Il pousse un soupir quasi-dramatique avant d’esquisser de sa main quelques arabesques dans les airs et courber le dos, « Maître, pourrais-je avoir l’honneur et l’immense privilège de porter votre sac ? Je crains que sous son poids, vos fragiles et délicates mains finissent endolories et rêches ! » s’exclama-t-il sans prêter la moindre attention au vigile, habitué au ridicule de leur pinaillerie martiale, ou encore aux passants qui esquissaient des sourires amusés. Le ridicule ne tue pas, surtout avec pareille confiance et insolence - pour l’entendre le maudire encore, le baseballeur était prêt à tout. Il la provoque mais pour autant, ses mains lui dérobent, comme toujours, ses affaires. Une habitude, ou de la galanterie, il le faisait. « Votre serviteur est à blâmer, vous préférez les bras de Morphée aux siens malheureusement malgré tous ses efforts » déplora-t-il toujours faussement, repensant aux trop nombreuses fois où il essayait de la tirer de son sommeil, mais rien n’y faisait. Ses sommeils ressemblaient à des stades de coma profond, encore heureux qu’elle n’en oubliait pas de respirer.
Le sarcasme de Seorina l’amuse et ne s’en cache pas par l’amusement qui étire ses lippes. « La dévotion de votre serviteur a fini par être récompensé, il peut enfin mourir maintenant que les yeux de son Maître se sont enfin posés sur lui », il frappe son torse de son poing, prenant une pose tragique, avant de souffler sur la mèche rebelle de cheveux qui balayant le front. Il en avait fini avec ses bêtises pour le moment. Il regarde son téléphone et acquiesce, ne comprenant pas la question formulée. « Je ne vois personne d’autre que toi » répond-il innocemment en haussant les épaules, montrant l’écran de son téléphone. Un déclic, il a presque envie de rire mais se contient, difficilement. « À moins que tu aies changé de numéro sans me prévenir ? », il laisse durer le silence, admire la confusion dans son regard, ou sa noirceur, avant de lui saisir le poignet de sa main libre et la tirer. Il tenait à la vie, du moins, il ne voulait pas mourir sans lui montrer son précieux. « Je suis sûre que tu vas l’apprécier » ajoute-t-il d’un ton rieur en regardant derrière lui, faisant un clin d’œil au vigil – un message codé bye hyung, à la prochaine. Quelques petites minutes de marche et il s’arrête sans crier gare. « Tu veux peut-être fermer les yeux pour apprécier la surprise ? », mais il est impatient et il ne sait pas s’il était en mesure d'esquiver un coup à bout portant, il pointe du menton sa moto. Adieu le petit scooter qu’il louait le temps de récupérer, his love.
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Ce qui pourrait assimiler comme une corvée, est devenu un plaisir dont il refusait de faire l’aveu, mais qu’il ne dissimilait presque plus par son enthousiasme à peine contenu. Il y a depuis un moment, ces petites lueurs rieuses et affectueuses ne quittent pas son regard, tout comme ce léger rictus qui relève le coin de ses lèvres ; taquin, espiègle, il ne fait que surenchérir à ses caprices. Il aimait lire la surprise dans son regard, tout comme il appréciait la répartie dont elle faisait preuve à chaque fois. Ébranlée, mais invaincue. Il se doute que la prétention de la demoiselle dissimulait son affection. Il l’espérait, à moins qu’il ne soit qu’un serviteur, tout au plus un majordome, ou un Dobby mené à la baguette par une sorcière qui cachait bien son jeu – cruelle tenancière, dire qu’il pensait s’être trouvée une amie. Il pousse un soupir quasi-dramatique avant d’esquisser de sa main quelques arabesques dans les airs et courber le dos, « Maître, pourrais-je avoir l’honneur et l’immense privilège de porter votre sac ? Je crains que sous son poids, vos fragiles et délicates mains finissent endolories et rêches ! » s’exclama-t-il sans prêter la moindre attention au vigile, habitué au ridicule de leur pinaillerie martiale, ou encore aux passants qui esquissaient des sourires amusés. Le ridicule ne tue pas, surtout avec pareille confiance et insolence - pour l’entendre le maudire encore, le baseballeur était prêt à tout. Il la provoque mais pour autant, ses mains lui dérobent, comme toujours, ses affaires. Une habitude, ou de la galanterie, il le faisait. « Votre serviteur est à blâmer, vous préférez les bras de Morphée aux siens malheureusement malgré tous ses efforts » déplora-t-il toujours faussement, repensant aux trop nombreuses fois où il essayait de la tirer de son sommeil, mais rien n’y faisait. Ses sommeils ressemblaient à des stades de coma profond, encore heureux qu’elle n’en oubliait pas de respirer. Le sarcasme de Seorina l’amuse et ne s’en cache pas par l’amusement qui étire ses lippes. « La dévotion de votre serviteur a fini par être récompensé, il peut enfin mourir maintenant que les yeux de son Maître se sont enfin posés sur lui », il frappe son torse de son poing, prenant une pose tragique, avant de souffler sur la mèche rebelle de cheveux qui balayant le front. Il en avait fini avec ses bêtises pour le moment. Il regarde son téléphone et acquiesce, ne comprenant pas la question formulée. « Je ne vois personne d’autre que toi » répond-il innocemment en haussant les épaules, montrant l’écran de son téléphone. Un déclic, il a presque envie de rire mais se contient, difficilement. « À moins que tu aies changé de numéro sans me prévenir ? », il laisse durer le silence, admire la confusion dans son regard, ou sa noirceur, avant de lui saisir le poignet de sa main libre et la tirer. Il tenait à la vie, du moins, il ne voulait pas mourir sans lui montrer son précieux. « Je suis sûre que tu vas l’apprécier » ajoute-t-il d’un ton rieur en regardant derrière lui, faisant un clin d’œil au vigil – un message codé bye hyung, à la prochaine. Quelques petites minutes de marche et il s’arrête sans crier gare. « Tu veux peut-être fermer les yeux pour apprécier la surprise ? », mais il est impatient et il ne sait pas s’il était en mesure d'esquiver un coup à bout portant, il pointe du menton sa moto. Adieu le petit scooter qu’il louait le temps de récupérer, his love.
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Jeu 14 Déc - 22:22
Impossible de ne pas poser son regard sur lui.
Cette pensée lui a traversé l’esprit plus d’une fois, depuis qu’il s’est incrusté dans son duplex, depuis qu’il s’est incrusté dans sa vie. Dans un film pour adolescents, elle imagine facilement sa bande de copines qui l’envie de vivre avec un si bel homme. Mais, ce soir ou ce matin, la réalité est tout autre. Si Moon Haesoo attire son regard aujourd’hui, ce n’est pas pour sa beauté évidente, ni cette silhouette attrayante. Le vrai coupable ? C’est les mouvements fantasques qu’il effectue dans une danse - de l’amour - presque ridicule. De loin, on pourrait s’imaginer les conséquences néfastes de l’alcool alors qu’il s’agit de deux grands gamins. Et pourtant, semble-t-il soucieux de l’état des mains de sa belle. Elle ne serait pas contre une séance de gommage pour les mains, d’un bon massage aussi. Pour autant, elle imagine que les féministes extrêmes de ce pays n’apprécieraient guère la fragilité sous-entendue par le garçon. Elle s’en moque, en réalité. Seorina aime bien ses petites intentions, se rappelant ses premiers émois avec un sud-coréen. Cliché ou non, elle avait constaté bien des différences entre ses copains américains et ceux d’ici. Elle ne devrait pas donner autant de valeur à un sac intercepté compte tenu de l’histoire de son camarade. Ils sont tous les deux influencés par un bon nombre de cultures pour qu’elle s’arrête à de telles conclusions. “ Vous faîtes référence à quels efforts ? J’ignore si je suis autorisée à tomber dans les bras de mon serviteur… “ Serait-elle en train d’écrire dans le cahier de doléances ? Le jeune homme se déplace jusqu’à son lieu de travail mais ce n’est pas suffisant pour le préférer à une bonne nuit de sommeil. Un sourire en coin se dessine sur ses lèvres, légèrement scandaleuse. “ Le problème pourrait être rapidement résolu si vous m’offrez la chaleur d’une étreinte. “ Plaisanterie ou envie, difficile de tracer une frontière entre les deux. Haesoo serait le premier à la repousser. La belle ne devrait pas prendre ce jeu trop au sérieux. Pouffant de rire à sa comédie, elle essaye ensuite de comprendre là où il veut en venir avec son histoire de copine. Pour cela, elle utilise son téléphone comme s’il pouvait tout éclaircir. Malheureusement, Haesoo va devoir lui prêter main forte. “ Pourquoi le changer ? Ce n’est pas comme si je pouvais te fuir au quotidien. “ C’est le cœur du problème quand on partage un logement et quand le concerné s’empare de son poignet, sans l’aviser. Son excitation l’étonne. “ Je ne suis pas une femme si facile à convaincre. “ Que serait-elle capable de faire pour se donner un genre ? “ Hmm, fermer les yeux, c’est risqué. Tu sais bien que j’ai un lien fort avec Morphée. “ Elle le gratifie d’un clin d'œil avant de décliner la proposition. L’impatience du jeune homme l’invite à regarder la bécane, stationnée quelques mètres plus loin. La coréenne accueille la surprise avec un grand sourire et en tapotant légèrement le bras du sportif. “ Ah oui ! Tu ne fais pas les choses à moitié petit cachottier. “ Elle observe la moto comme une experte alors qu’elle se contente de l’apprécier artificiellement. “ Ta côte de popularité a pris cinq étoiles. C’est l’effet bad boy. “ Bah voyons. “ Je suis donc ton crash test pour l’assise arrière ? Dis à mon père que je l’aime. “ Elle pose sa main sur le guidon et se retourne vers lui. “ Un jour, j’essayerais de conduire une telle bête. Même si ça reste plus agréable de se faire porter. “
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Impossible de ne pas poser son regard sur lui.Cette pensée lui a traversé l’esprit plus d’une fois, depuis qu’il s’est incrusté dans son duplex, depuis qu’il s’est incrusté dans sa vie. Dans un film pour adolescents, elle imagine facilement sa bande de copines qui l’envie de vivre avec un si bel homme. Mais, ce soir ou ce matin, la réalité est tout autre. Si Moon Haesoo attire son regard aujourd’hui, ce n’est pas pour sa beauté évidente, ni cette silhouette attrayante. Le vrai coupable ? C’est les mouvements fantasques qu’il effectue dans une danse - de l’amour - presque ridicule. De loin, on pourrait s’imaginer les conséquences néfastes de l’alcool alors qu’il s’agit de deux grands gamins. Et pourtant, semble-t-il soucieux de l’état des mains de sa belle. Elle ne serait pas contre une séance de gommage pour les mains, d’un bon massage aussi. Pour autant, elle imagine que les féministes extrêmes de ce pays n’apprécieraient guère la fragilité sous-entendue par le garçon. Elle s’en moque, en réalité. Seorina aime bien ses petites intentions, se rappelant ses premiers émois avec un sud-coréen. Cliché ou non, elle avait constaté bien des différences entre ses copains américains et ceux d’ici. Elle ne devrait pas donner autant de valeur à un sac intercepté compte tenu de l’histoire de son camarade. Ils sont tous les deux influencés par un bon nombre de cultures pour qu’elle s’arrête à de telles conclusions. “ Vous faîtes référence à quels efforts ? J’ignore si je suis autorisée à tomber dans les bras de mon serviteur… “ Serait-elle en train d’écrire dans le cahier de doléances ? Le jeune homme se déplace jusqu’à son lieu de travail mais ce n’est pas suffisant pour le préférer à une bonne nuit de sommeil. Un sourire en coin se dessine sur ses lèvres, légèrement scandaleuse. “ Le problème pourrait être rapidement résolu si vous m’offrez la chaleur d’une étreinte. “ Plaisanterie ou envie, difficile de tracer une frontière entre les deux. Haesoo serait le premier à la repousser. La belle ne devrait pas prendre ce jeu trop au sérieux. Pouffant de rire à sa comédie, elle essaye ensuite de comprendre là où il veut en venir avec son histoire de copine. Pour cela, elle utilise son téléphone comme s’il pouvait tout éclaircir. Malheureusement, Haesoo va devoir lui prêter main forte. “ Pourquoi le changer ? Ce n’est pas comme si je pouvais te fuir au quotidien. “ C’est le cœur du problème quand on partage un logement et quand le concerné s’empare de son poignet, sans l’aviser. Son excitation l’étonne. “ Je ne suis pas une femme si facile à convaincre. “ Que serait-elle capable de faire pour se donner un genre ? “ Hmm, fermer les yeux, c’est risqué. Tu sais bien que j’ai un lien fort avec Morphée. “ Elle le gratifie d’un clin d'œil avant de décliner la proposition. L’impatience du jeune homme l’invite à regarder la bécane, stationnée quelques mètres plus loin. La coréenne accueille la surprise avec un grand sourire et en tapotant légèrement le bras du sportif. “ Ah oui ! Tu ne fais pas les choses à moitié petit cachottier. “ Elle observe la moto comme une experte alors qu’elle se contente de l’apprécier artificiellement. “ Ta côte de popularité a pris cinq étoiles. C’est l’effet bad boy. “ Bah voyons. “ Je suis donc ton crash test pour l’assise arrière ? Dis à mon père que je l’aime. “ Elle pose sa main sur le guidon et se retourne vers lui. “ Un jour, j’essayerais de conduire une telle bête. Même si ça reste plus agréable de se faire porter. “
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Dim 21 Jan - 22:31
« Les bras de personne ! » s’exclama-t-il, offusqué de l’indécence de la proposition, croisant alors les bras sur son torse théâtralement ; mais surtout dépité par l’effronterie dont faisait (encore et toujours) preuve sa terrible maîtresse. Pendant un court instant, il se pensait victime d’une hallucination auditive face à l’accusation qu’elle venait de lui porter avec la plus grande nonchalance. Lui, ne pas faire suffisamment d’efforts pour l’extirper hors de son lit ? Il manque de s’étouffer. Chaque matin, dès lors qu’il entend l’alarme de la demoiselle retentir, il retient son souffle et est presque parcouru d’un frisson, la peur pourrait lui tordre les intestins mais il n’en était pas encore arrivé à ce stade: la réveiller se révélait être le véritable défi de toute sa journée. Il est certain d’une chose, c’est qu’elle y met toute sa mauvaise foi – ce n’est pas possible autrement. L’abandonner à son sort pourrait être une option s’il ne craignait pas les conséquences de ce qu’elle qualifiait de « trahison », elle savait se montrer infernale et impitoyable ; il tenait à sa vie tranquillité, au toit au-dessus de sa tête. « Si vous pouvez simplement vous tirer, seule, de votre sommeil le matin, ce serait une merveilleuse façon de commencer votre journée ainsi que la mienne » ajoute-t-il après s’être raclé la gorge, d’une voix qui se voulait des plus mielleuses pour ne pas froisser sa maîtresse – il n’était qu’un humble elfe de maison après tout, il avait tort et elle, toujours raison. Toutefois elle renchérit en réitérant sa suggestion, il sent ses oreilles s’empourprer mais il ne se laisse pas décontenancé, « Hmm… ça relève d’un registre bien différent de celui d’Harry Potter, très Chère » souffla-t-il avec un rictus amusé – quittant alors son rôle de Dobby, toutefois il ne tirait sa révérence que temporairement. Il avait le personnage à la peau, dès qu’il franchissait le seuil de la porte de l’appartement qu’ils partageaient, qu’il squattait depuis son arrivée en Corée du Sud.
No shit, Sherlock - il lui lance un regard désabusé, tant sa remarque relevait de l’évidence. Elle ne pouvait pas le fuir, tout comme lui ne le pouvait ; ensemble ou rien, du moins jusqu’à ce qu’elle décide de le mettre à la porte avec toutes ses affaires car après tout, il n’était plus qu’un simple locataire. « Pas facile à convaincre, hah, c’est ce qu’on verra » répond-il plus confiant, après tout, n’avait-il pas déjà commencé en maniant l’art du couteau en cuisine ? Il grommelle à nouveau quand elle évoque Morphée - tant certains flashs, pénibles plus que désagréables, lui reviennent à l’esprit. Néanmoins, il ne s’y attarda pas, his love was waiting for them.Il aurait pu l’ennuyer, tenter le quiproquo, mais il ne souhaitait pas tenter le diable de si bon matin. « Ma popularité n’avait-elle pas déjà cinq étoiles ? » rétorqua-t-il interloqué sans pour autant se sentir froissé, il en fallait plus pour le heurter – surtout quand il n’y prêtait pas réellement attention. « Qu’est-ce qui te fait penser que tu serais la première ? », peut-être avait-elle l’air d’être tout droit sortie du concessionnaire, mais en vérité elle avait plusieurs kilomètre au compteur – juste qu’il en prenait particulièrement soin. Il ne la prêtait à personne, tout comme il ne laissait personne s’asseoir à l’arrière, du moins, il y avait eu une exception… et ce soir, une seconde. « Une véritable princesse » lâcha-t-il en haussant les épaules, plus moqueur que jamais. « Il n’est jamais trop tard pour prendre des cours de conduite », il ne savait pas s’il avait, en revanche, la patience et le talent pour ça.
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« Les bras de personne ! » s’exclama-t-il, offusqué de l’indécence de la proposition, croisant alors les bras sur son torse théâtralement ; mais surtout dépité par l’effronterie dont faisait (encore et toujours) preuve sa terrible maîtresse. Pendant un court instant, il se pensait victime d’une hallucination auditive face à l’accusation qu’elle venait de lui porter avec la plus grande nonchalance. Lui, ne pas faire suffisamment d’efforts pour l’extirper hors de son lit ? Il manque de s’étouffer. Chaque matin, dès lors qu’il entend l’alarme de la demoiselle retentir, il retient son souffle et est presque parcouru d’un frisson, la peur pourrait lui tordre les intestins mais il n’en était pas encore arrivé à ce stade: la réveiller se révélait être le véritable défi de toute sa journée. Il est certain d’une chose, c’est qu’elle y met toute sa mauvaise foi – ce n’est pas possible autrement. L’abandonner à son sort pourrait être une option s’il ne craignait pas les conséquences de ce qu’elle qualifiait de « trahison », elle savait se montrer infernale et impitoyable ; il tenait à sa No shit, Sherlock - il lui lance un regard désabusé, tant sa remarque relevait de l’évidence. Elle ne pouvait pas le fuir, tout comme lui ne le pouvait ; ensemble ou rien, du moins jusqu’à ce qu’elle décide de le mettre à la porte avec toutes ses affaires car après tout, il n’était plus qu’un simple locataire. « Pas facile à convaincre, hah, c’est ce qu’on verra » répond-il plus confiant, après tout, n’avait-il pas déjà commencé en maniant l’art du couteau en cuisine ? Il grommelle à nouveau quand elle évoque Morphée - tant certains flashs, pénibles plus que désagréables, lui reviennent à l’esprit. Néanmoins, il ne s’y attarda pas, his love was waiting for them.Il aurait pu l’ennuyer, tenter le quiproquo, mais il ne souhaitait pas tenter le diable de si bon matin. « Ma popularité n’avait-elle pas déjà cinq étoiles ? » rétorqua-t-il interloqué sans pour autant se sentir froissé, il en fallait plus pour le heurter – surtout quand il n’y prêtait pas réellement attention. « Qu’est-ce qui te fait penser que tu serais la première ? », peut-être avait-elle l’air d’être tout droit sortie du concessionnaire, mais en vérité elle avait plusieurs kilomètre au compteur – juste qu’il en prenait particulièrement soin. Il ne la prêtait à personne, tout comme il ne laissait personne s’asseoir à l’arrière, du moins, il y avait eu une exception… et ce soir, une seconde. « Une véritable princesse » lâcha-t-il en haussant les épaules, plus moqueur que jamais. « Il n’est jamais trop tard pour prendre des cours de conduite », il ne savait pas s’il avait, en revanche, la patience et le talent pour ça.
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Dim 18 Fév - 21:32
Aucun des deux n’obtient gain de cause. Lui, il demande l’impossible : serait-elle capable de se lever par elle-même, sans avoir besoin d’un coup de pied aux fesses ? Elle, elle semble faire une requête plus que prometteuse et capable d’enchanter tout le monde: la chaleur d’une étreinte. Peut-être que dans ses rêves, Haesoo répond à ses attentes. Peut-être que c’est pour cette raison qu’elle a du mal à s’extirper du lit. L’audace de la jeune femme tente alors de lui donner un signe sur ses véritables envies mais celles-ci sont interdites par le règlement. Ses lèvres s’efforcent de perdre un sourire pour montrer un air résigné sur le visage. “ Parce que Dobby réveille Harry Potter chaque matin ? “ Elle n’a pas souvenir d’une telle scène mais pour être complètement honnête, la demoiselle n’est pas une grande connaisseuse de cet univers. Qu’importe, elle ne parvient pas à toucher sa cible, qui s’efforce de changer le sujet de conversation. La belle n’a peut-être pas la bonne approche en se montrant autant dans la demande. Car au fond, derrière ses plaisanteries, on devine facilement une femme qui assume petit à petit son attirance pour le garçon. Haesoo ne doit pas être idiot.
Pour autant, Seorina décide de changer de tactique en se donnant un genre. Pas facile à convaincre ? Eh bien, elle va tâcher de respecter cette nouvelle stratégie quand elle fait face à la nouvelle amoureuse. Elle va devoir partager leur vie avec une moto ? Elle ignorait ses envies d’investir dans un tel véhicule mais c’est une bonne surprise dont elle va pouvoir profiter aussitôt. Elle lui offre un sourire et rétorque une fois de plus: “ Possible pour les personnes peu regardantes. “ Oh, elle se doute bien de sa popularité auprès des femmes. Haesoo est un beau garçon, sympa et sportif. Combien de temps va-t-elle pouvoir le garder auprès d’elle ? “ Parce que c’est évident. Je suis celle que tu portes le moins dans ton cœur. Voilà pourquoi tu me donnes cette mission ce soir. Ride or die. “ Cherche-t-elle à se faire plaindre ou à être rassurée ? Que nenni. En tout cas, elle aime l’entendre rire, surtout quand elle en est l’origine. “ Ça te manquerait pas trop de venir me chercher après le travail ? “ Elle prend le casque et se débrouille comme une petite cheffe après avoir inspecté la moto. “ C’est la deuxième fois que je monte sur une moto. “ Il y a plus d’assurance quand elle s’installe. “ Finalement, je vais peut-être l’avoir… La chaleur d’une étreinte. “ Son petit sourire arrogant sonne comme une énième provocation.
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Aucun des deux n’obtient gain de cause. Lui, il demande l’impossible : serait-elle capable de se lever par elle-même, sans avoir besoin d’un coup de pied aux fesses ? Elle, elle semble faire une requête plus que prometteuse et capable d’enchanter tout le monde: la chaleur d’une étreinte. Peut-être que dans ses rêves, Haesoo répond à ses attentes. Peut-être que c’est pour cette raison qu’elle a du mal à s’extirper du lit. L’audace de la jeune femme tente alors de lui donner un signe sur ses véritables envies mais celles-ci sont interdites par le règlement. Ses lèvres s’efforcent de perdre un sourire pour montrer un air résigné sur le visage. “ Parce que Dobby réveille Harry Potter chaque matin ? “ Elle n’a pas souvenir d’une telle scène mais pour être complètement honnête, la demoiselle n’est pas une grande connaisseuse de cet univers. Qu’importe, elle ne parvient pas à toucher sa cible, qui s’efforce de changer le sujet de conversation. La belle n’a peut-être pas la bonne approche en se montrant autant dans la demande. Car au fond, derrière ses plaisanteries, on devine facilement une femme qui assume petit à petit son attirance pour le garçon. Haesoo ne doit pas être idiot.Pour autant, Seorina décide de changer de tactique en se donnant un genre. Pas facile à convaincre ? Eh bien, elle va tâcher de respecter cette nouvelle stratégie quand elle fait face à la nouvelle amoureuse. Elle va devoir partager leur vie avec une moto ? Elle ignorait ses envies d’investir dans un tel véhicule mais c’est une bonne surprise dont elle va pouvoir profiter aussitôt. Elle lui offre un sourire et rétorque une fois de plus: “ Possible pour les personnes peu regardantes. “ Oh, elle se doute bien de sa popularité auprès des femmes. Haesoo est un beau garçon, sympa et sportif. Combien de temps va-t-elle pouvoir le garder auprès d’elle ? “ Parce que c’est évident. Je suis celle que tu portes le moins dans ton cœur. Voilà pourquoi tu me donnes cette mission ce soir. Ride or die. “ Cherche-t-elle à se faire plaindre ou à être rassurée ? Que nenni. En tout cas, elle aime l’entendre rire, surtout quand elle en est l’origine. “ Ça te manquerait pas trop de venir me chercher après le travail ? “ Elle prend le casque et se débrouille comme une petite cheffe après avoir inspecté la moto. “ C’est la deuxième fois que je monte sur une moto. “ Il y a plus d’assurance quand elle s’installe. “ Finalement, je vais peut-être l’avoir… La chaleur d’une étreinte. “ Son petit sourire arrogant sonne comme une énième provocation.
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Ven 5 Avr - 20:16
Le regard plissé qu’il lui porte quand elle lui pose la question est lourd de jugement ; moldu pouvait-on presque entendre tellement il le pensait si fort à cet instant. Pourtant, Haesoo ne partagea pas sa conclusion, il eut ce soupir et ce sourire dépité. Dépité par l’interrogation, tout comme dépité de sa mauvaise foi – mais pouvait-il réellement lui en vouloir ? Pas vraiment, c’est un rôle qu’il a pris sans qu’elle lui demande quoique ce soit expressément, il y voit les inconvénients comme l’ingratitude, mais aussi et surtout des avantages. S’il avait su qu’il se retrouverait à partager un toit avec la jolie demoiselle, peut-être qu’il serait revenu en Corée du Sud beaucoup plus tôt. Là où elle souhaiterait lui arracher certains mots, il ne lui offre que des gestes silencieux. Le jeune homme a des soupçons, mais il est loin d’être pressé – une chose est sûre, il apprécie particulièrement sa compagnie, pas un moment il s’ennuie avec elle, pas un jour il ne se sent pas sombrer. Lui de nature si taciturne et posé, se surprend souvent à sourire et rire pour un rien en sa présence. À défaut d’être une moldu, le qualificatif qui lui conviendrait le plus serait ce sobriquet supposément péjoratif de sang-de-bourbe car il se sait sous sortilège, depuis le début ; mais ce bonheur simple de la vie lui plaît et lui suffit. « Il l’aurait fait si c’était Fleur Delacour » murmura-t-il en ébouriffant une nouvelle fois les cheveux de sa sorcière bien-aimée, il n’est pas certain qu’elle connaisse la demoiselle – et même si c’était le cas, elle ne comprendrait pas pourquoi, car après tout, elle est beaucoup plus jolie. Elle est fatigante, mais pour rien au monde il l’échangerait ou la changerait, après tout elle maîtrise l’art d’égayer ses journées.
Il arque un sourcil et reprend ses mots, les ponctuant d’une interrogation « pour les personnes peu regardantes ? ». Outch, touché en plein mille, il mime la douleur soudaine dans sa poitrine avant d’hausser les épaules avec sa nonchalance habituelle, « j’imagine que ça durera tant que mon nom apparaîtra sur les navigateurs de recherche » ; réaliste, ce serait hypocrite de sa part d’ignorer que pour certaines, l’engouement repose uniquement sur ses performances. Le seul avis pour lequel il porte de l’intérêt ne lui donne pas quatre étoiles, son estime en prend un coup – un tout petit, même s’il sait, ou suppose, qu’elle ne tient pas ses propos sérieusement. C’est juste une façade. Il suppose ? « C’est sûr que si tu meurs à la première course, tu n’auras pas le temps de t’y frayer un chemin » rétorque-t-il l’air de rien, « j’ai besoin de toi, après tout pour savoir si quand il vente, il neige, il bruine, et si à toute heure de la journée, je peux rouler avec ma moto » - et te chercher. Trois mots en suspension, qui ne trouvent d’attache que dans le silence, dans leur regard… Il voudrait les prononcer mais le timing lui échappe et elle prend la parole la première, peut-être n’avait-elle pas compris, peu importe. « si c’est ta seconde fois, il y a des chances pour que ça ne soit pas la dernière – tant que je ne te la donne pas » - cette étreinte, il se rapproche d’elle et vérifie qu’elle a bien mis son casque « l’occasion de cesser d’être mon crash test ». Donnant une pichenette contre la protection qu’elle porte, il prend position sur sa moto et a ce petit geste du menton, « monte Princesse, à moins que tu ne veuilles pas encore rentrer ».
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Le regard plissé qu’il lui porte quand elle lui pose la question est lourd de jugement ; moldu pouvait-on presque entendre tellement il le pensait si fort à cet instant. Pourtant, Haesoo ne partagea pas sa conclusion, il eut ce soupir et ce sourire dépité. Dépité par l’interrogation, tout comme dépité de sa mauvaise foi – mais pouvait-il réellement lui en vouloir ? Pas vraiment, c’est un rôle qu’il a pris sans qu’elle lui demande quoique ce soit expressément, il y voit les inconvénients comme l’ingratitude, mais aussi et surtout des avantages. S’il avait su qu’il se retrouverait à partager un toit avec la jolie demoiselle, peut-être qu’il serait revenu en Corée du Sud beaucoup plus tôt. Là où elle souhaiterait lui arracher certains mots, il ne lui offre que des gestes silencieux. Le jeune homme a des soupçons, mais il est loin d’être pressé – une chose est sûre, il apprécie particulièrement sa compagnie, pas un moment il s’ennuie avec elle, pas un jour il ne se sent pas sombrer. Lui de nature si taciturne et posé, se surprend souvent à sourire et rire pour un rien en sa présence. À défaut d’être une moldu, le qualificatif qui lui conviendrait le plus serait ce sobriquet supposément péjoratif de sang-de-bourbe car il se sait sous sortilège, depuis le début ; mais ce bonheur simple de la vie lui plaît et lui suffit. « Il l’aurait fait si c’était Fleur Delacour » murmura-t-il en ébouriffant une nouvelle fois les cheveux de sa sorcière bien-aimée, il n’est pas certain qu’elle connaisse la demoiselle – et même si c’était le cas, elle ne comprendrait pas pourquoi, car après tout, elle est beaucoup plus jolie. Elle est fatigante, mais pour rien au monde il l’échangerait ou la changerait, après tout elle maîtrise l’art d’égayer ses journées.Il arque un sourcil et reprend ses mots, les ponctuant d’une interrogation « pour les personnes peu regardantes ? ». Outch, touché en plein mille, il mime la douleur soudaine dans sa poitrine avant d’hausser les épaules avec sa nonchalance habituelle, « j’imagine que ça durera tant que mon nom apparaîtra sur les navigateurs de recherche » ; réaliste, ce serait hypocrite de sa part d’ignorer que pour certaines, l’engouement repose uniquement sur ses performances. Le seul avis pour lequel il porte de l’intérêt ne lui donne pas quatre étoiles, son estime en prend un coup – un tout petit, même s’il sait, ou suppose, qu’elle ne tient pas ses propos sérieusement. C’est juste une façade. Il suppose ? « C’est sûr que si tu meurs à la première course, tu n’auras pas le temps de t’y frayer un chemin » rétorque-t-il l’air de rien, « j’ai besoin de toi, après tout pour savoir si quand il vente, il neige, il bruine, et si à toute heure de la journée, je peux rouler avec ma moto » - et te chercher. Trois mots en suspension, qui ne trouvent d’attache que dans le silence, dans leur regard… Il voudrait les prononcer mais le timing lui échappe et elle prend la parole la première, peut-être n’avait-elle pas compris, peu importe. « si c’est ta seconde fois, il y a des chances pour que ça ne soit pas la dernière – tant que je ne te la donne pas » - cette étreinte, il se rapproche d’elle et vérifie qu’elle a bien mis son casque « l’occasion de cesser d’être mon crash test ». Donnant une pichenette contre la protection qu’elle porte, il prend position sur sa moto et a ce petit geste du menton, « monte Princesse, à moins que tu ne veuilles pas encore rentrer ».
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Re: Time after time (SEOSOO ♡ ) | Jeu 9 Mai - 12:13
La référence lui échappe. Pourquoi devrait-il la réveiller pour aller à la rencontre de Fleur Delacour ? Elle tente de comprendre les tenants et aboutissants de son murmure mais ses pensées se bousculent quand le jeune homme ébouriffe ses cheveux. Il a cette habitude de la décoiffer et si elle apprécie quelque part de sentir ses mains la toucher, Seorina aimerait que ça soit moins réducteur, plus sensuel. Avec la taille du garçon, elle a déjà l’impression d’être une enfant et cette petite attention encourage à poursuivre cette voie. Elle n’a pas envie qu’il la voit ainsi, comme une petite soeur turbulente incapable de gérer son planning quotidien sans lui. Elle s’était débrouillée seule jusqu’à son arrivée à Séoul. Il ne devrait pas la sous-estimer. Et pourtant, la demoiselle aurait beaucoup de peine à le laisser partir, à le laisser quitter le navire pour qu’il se perde vers d’autres horizons. Alors que de son côté, la demoiselle se perd plus d’une fois dans ses beaux yeux. Elle est loin d’être la seule à l’avoir remarqué, lui offrant une belle réputation sur les moteurs de recherche comme il le souligne. Seorina comprend tous ces gens mais elle préfère se donner un genre. “ Les pauvres jugent en fonction de ce que tu veux bien leur montrer. “ Son image publique n’est pas celle qu’elle côtoie au quotidien. Dans ce cas de figure, cinq étoiles ne seraient pas suffisantes pour qualifier l’estime qu’elle lui porte. A lui et ses beaux yeux, qui vont être bientôt dissimulés par un casque de moto. Par ses remarques, Seorina cherche à obtenir des réponses honnêtes alors qu’elle est incapable de lui donner. Elle se meurt d’envie à l’idée d’entendre des mots où il soulignerait son importance dans sa vie. Des mots en plus des actes pour satisfaire une Seorina plus que gourmande mais celle-ci est cataloguée au rôle de Miss Météo. C’est finalement elle qui met un terme à cet échange de regard en enfilant son casque sur la tête. C’est un moyen de faire taire ses envies secrètes. “ Je vais devoir me fier à toi alors. “ Et prendre son mal en patience… Elle referme sa visière après avoir levé les yeux au ciel. Docile, Seorina monte à son tour sur la moto. “ Non, je rêve d’une bonne douche et d’une bonne nuit de sommeil. “ Certains rêves sont plus accessibles que d’autres. Ses bras entourent finalement la taille du joueur, et quelque peu désespérée, elle se serre un peu contre lui, plus qu’elle ne le devrait, sans dire un mot. Elle ferme les yeux, bercée par cette sensation de déjà vu quand Haesoo accélère. Peut-être qu’elle était toujours encore cette jeune adulte, remplie d’espoir et attirée fortement par son pilote. “ Tu semblais moins costaud à l’époque. “ Sa carrure a naturellement pris de l’ampleur avec les années. C’est logique…
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seosoo ♡
« If you're lost, you can look, and you will find me. If you fall, I will catch you, I'll be waiting - Time after time »
La référence lui échappe. Pourquoi devrait-il la réveiller pour aller à la rencontre de Fleur Delacour ? Elle tente de comprendre les tenants et aboutissants de son murmure mais ses pensées se bousculent quand le jeune homme ébouriffe ses cheveux. Il a cette habitude de la décoiffer et si elle apprécie quelque part de sentir ses mains la toucher, Seorina aimerait que ça soit moins réducteur, plus sensuel. Avec la taille du garçon, elle a déjà l’impression d’être une enfant et cette petite attention encourage à poursuivre cette voie. Elle n’a pas envie qu’il la voit ainsi, comme une petite soeur turbulente incapable de gérer son planning quotidien sans lui. Elle s’était débrouillée seule jusqu’à son arrivée à Séoul. Il ne devrait pas la sous-estimer. Et pourtant, la demoiselle aurait beaucoup de peine à le laisser partir, à le laisser quitter le navire pour qu’il se perde vers d’autres horizons. Alors que de son côté, la demoiselle se perd plus d’une fois dans ses beaux yeux. Elle est loin d’être la seule à l’avoir remarqué, lui offrant une belle réputation sur les moteurs de recherche comme il le souligne. Seorina comprend tous ces gens mais elle préfère se donner un genre. “ Les pauvres jugent en fonction de ce que tu veux bien leur montrer. “ Son image publique n’est pas celle qu’elle côtoie au quotidien. Dans ce cas de figure, cinq étoiles ne seraient pas suffisantes pour qualifier l’estime qu’elle lui porte. A lui et ses beaux yeux, qui vont être bientôt dissimulés par un casque de moto. Par ses remarques, Seorina cherche à obtenir des réponses honnêtes alors qu’elle est incapable de lui donner. Elle se meurt d’envie à l’idée d’entendre des mots où il soulignerait son importance dans sa vie. Des mots en plus des actes pour satisfaire une Seorina plus que gourmande mais celle-ci est cataloguée au rôle de Miss Météo. C’est finalement elle qui met un terme à cet échange de regard en enfilant son casque sur la tête. C’est un moyen de faire taire ses envies secrètes. “ Je vais devoir me fier à toi alors. “ Et prendre son mal en patience… Elle referme sa visière après avoir levé les yeux au ciel. Docile, Seorina monte à son tour sur la moto. “ Non, je rêve d’une bonne douche et d’une bonne nuit de sommeil. “ Certains rêves sont plus accessibles que d’autres. Ses bras entourent finalement la taille du joueur, et quelque peu désespérée, elle se serre un peu contre lui, plus qu’elle ne le devrait, sans dire un mot. Elle ferme les yeux, bercée par cette sensation de déjà vu quand Haesoo accélère. Peut-être qu’elle était toujours encore cette jeune adulte, remplie d’espoir et attirée fortement par son pilote. “ Tu semblais moins costaud à l’époque. “ Sa carrure a naturellement pris de l’ampleur avec les années. C’est logique… (c) DΛNDELION
something wrong with usImagination, of course, can open any door - turn the key and let terror walk right in.
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