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fighting spirit (rei)
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fighting spirit (rei) | Lun 17 Oct - 12:15
L'ancien sac de sport de ma cousine sur l'épaule, je me demande si j'aurais la possibilité de commencer dès aujourd'hui. Il faut dire que je ne suis pas encore inscrite dans la salle de sport que m'a indiqué une collègue de travail. Cette dernière m'a dit du bien à ce sujet, son frère y travaillant en tant que réceptionniste. Toutefois, je doute qu'il puisse accélérer la procédure pour moi. Pourtant, à mes yeux, je juge la situation plutôt urgente. En effet, quand je dois fermer le magasin, la présence du vigile me rassure le temps de quelques minutes. Quant au reste du trajet, je dois me débrouiller seule et pour une raison que j'ignore, j'ai l'impression d'être suivie depuis plusieurs jours. Ainsi, dans un excès de paranoïa, j'ai finalement décidé de me faire suer un peu, et ce, malgré mon désamour pour le sport. D'ailleurs, j'arrive enfin à hauteur de la salle et je dois avouer que je me demande à quoi ressemble l'ambiance dedans. Il faut dire que certains des adhérents doivent surtout être ici pour évaluer qui a les plus gros pectoraux. Une mentalité d'hommes immatures quoi. Prenant mon courage à deux mains, j'ouvre la porte et me permets donc de découvrir les lieux. Pour l'instant, il n'y a pas grand-monde dans le hall mais je peux déjà entendre certains cris de guerrier dans d'autres pièces qui doivent se trouver non loin d'ici. Toutefois, je dois avant tout me présenter. Je m'approche alors du bureau où je peux voir une personne vraiment concentrée sur l'écran de son ordinateur. Je suppose qu'il y a quand même quelques paperasses à faire ou surtout gérer les emplois du temps de tout le monde. Je me demande notamment s'il y a beaucoup de personnel ici mais bon... Vu mon objectif, je suppose que je risque de le savoir de moi-même. Après tout, si je tiens vraiment à apprendre les bases des sports de combat, je vais devoir venir ici très souvent. Ah, franchement, heureusement que ce n'est pas très loin du supermarché. Je pense que j'aurais toujours la flemme de m'y rendre... Mais au fond, est-ce que j'ai réellement le choix ? Esquissant un sourire, je remarque ensuite que le jeune homme derrière le bureau m'a faussé compagnie. « Roh, c'est pas vrai... » Quelle politesse ! Je m'avance alors dans la salle, complètement perdue avant de finalement entrer dans une nouvelle salle, qui pue la sueur et bien froide. Je vois deux garçons en plein combat et un autre qui se contente de regarder. Bon, ambiance. M'approchant silencieusement dans un premier temps, aucun d'entre eux ne remarque ma présence. Alors, je force un peu sur ma voix: « Excusez-moi ! » Leur adressant un sourire un brin forcé, j'ajoute dés que leur regard se pose sur moi. « Je cherche Urakawa Rei, le réceptionniste ? Il est parti de son poste à l'instant et j'aimerais bien m'inscrire s'il vous plaît. »
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REI & EUNHYE
L'ancien sac de sport de ma cousine sur l'épaule, je me demande si j'aurais la possibilité de commencer dès aujourd'hui. Il faut dire que je ne suis pas encore inscrite dans la salle de sport que m'a indiqué une collègue de travail. Cette dernière m'a dit du bien à ce sujet, son frère y travaillant en tant que réceptionniste. Toutefois, je doute qu'il puisse accélérer la procédure pour moi. Pourtant, à mes yeux, je juge la situation plutôt urgente. En effet, quand je dois fermer le magasin, la présence du vigile me rassure le temps de quelques minutes. Quant au reste du trajet, je dois me débrouiller seule et pour une raison que j'ignore, j'ai l'impression d'être suivie depuis plusieurs jours. Ainsi, dans un excès de paranoïa, j'ai finalement décidé de me faire suer un peu, et ce, malgré mon désamour pour le sport. D'ailleurs, j'arrive enfin à hauteur de la salle et je dois avouer que je me demande à quoi ressemble l'ambiance dedans. Il faut dire que certains des adhérents doivent surtout être ici pour évaluer qui a les plus gros pectoraux. Une mentalité d'hommes immatures quoi. Prenant mon courage à deux mains, j'ouvre la porte et me permets donc de découvrir les lieux. Pour l'instant, il n'y a pas grand-monde dans le hall mais je peux déjà entendre certains cris de guerrier dans d'autres pièces qui doivent se trouver non loin d'ici. Toutefois, je dois avant tout me présenter. Je m'approche alors du bureau où je peux voir une personne vraiment concentrée sur l'écran de son ordinateur. Je suppose qu'il y a quand même quelques paperasses à faire ou surtout gérer les emplois du temps de tout le monde. Je me demande notamment s'il y a beaucoup de personnel ici mais bon... Vu mon objectif, je suppose que je risque de le savoir de moi-même. Après tout, si je tiens vraiment à apprendre les bases des sports de combat, je vais devoir venir ici très souvent. Ah, franchement, heureusement que ce n'est pas très loin du supermarché. Je pense que j'aurais toujours la flemme de m'y rendre... Mais au fond, est-ce que j'ai réellement le choix ? Esquissant un sourire, je remarque ensuite que le jeune homme derrière le bureau m'a faussé compagnie. « Roh, c'est pas vrai... » Quelle politesse ! Je m'avance alors dans la salle, complètement perdue avant de finalement entrer dans une nouvelle salle, qui pue la sueur et bien froide. Je vois deux garçons en plein combat et un autre qui se contente de regarder. Bon, ambiance. M'approchant silencieusement dans un premier temps, aucun d'entre eux ne remarque ma présence. Alors, je force un peu sur ma voix: « Excusez-moi ! » Leur adressant un sourire un brin forcé, j'ajoute dés que leur regard se pose sur moi. « Je cherche Urakawa Rei, le réceptionniste ? Il est parti de son poste à l'instant et j'aimerais bien m'inscrire s'il vous plaît. »© kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Dim 23 Oct - 14:21
Dobok. | La malédiction de Rei, c'était de devoir enseigner son art à des adolescents et des adultes qui prenaient ça comme un jeu, un passe temps et non comme un art en soi. Pourtant « art martial » voulait bien dire ce qu'il voulait dire, il s'agissait d'art. C'était une souffrance pour lui qui aurait voulu continuer à pratiquer le taekwondo à haut niveau ou,vu son âge, aurait dû prendre sa retraite et aurait été entraîneur pour des athlètes à renommée nationale voir internationale. Il vivait assez mal le fait de devoir travailler dans cette salle de sport où son talent et son génie ne pouvaient briller. Mais c'était bien malgré lui, sa jambe tenait grâce à des plaques qui maintenaient les os entre eux, rien de plus efficace pour mettre une carrière par terre. Mais Rei prenait son mal en patience, il se forçait à sourire, il se forçait à avoir l'air d'apprécier d'enseigner son sport à des branleurs, comme toujours. Il allait toujours bien Rei. Il regardait le groupe d'adolescents chahuter, rongeant son frein pour ne pas leur hurler dessus de prendre un peu les choses au sérieux. Il se retourna en entendant des collègues rire en prononçant son nom, il aperçu un professeur de fitness et un de boxe en compagnie d'une jeune femme. Il fronça les sourcils et s'avança vers eux, captant des bribes de paroles. « Réceptionniste. Depuis quand Rei est réceptionniste ici ? » Et ils pouffèrent une nouvelle fois alors que l'intéressé, lui, n'était pas vraiment amusé. La seule personne à qui il avait prétendu être réceptionniste, c'était sa sœur, et il lui avait inventé ce mensonge car au Japon les médecins lui avaient clairement interdit de refaire un jour un sport de combat. « Je vais m'en occuper les gars, c'est moi que la demoiselle cherche après tout ! » Il feignit un grand sourire, et l'amusement que pouvait susciter la situation, alors qu'au fond, ça ne l'amusait pas du tout. Ses collègues s'éloignèrent et il reporta son attention sur la nouvelle venue, il chercha dans sa mémoire mais ne l'avait jamais vu. « C'est moi que tu cherches, et tu n'as pas les bonnes informations je crois. » Son sourire avait perdu de sa superbe. Il préférait attendre un peu avant qu'elle ne lui confirme ses soupçons. Mais son petit mensonge était en danger, ainsi que son petit secret qui était l'addiction qui lui permettait de faire ce job. « Et donc toi tu es ? »
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Dobok. | La malédiction de Rei, c'était de devoir enseigner son art à des adolescents et des adultes qui prenaient ça comme un jeu, un passe temps et non comme un art en soi. Pourtant « art martial » voulait bien dire ce qu'il voulait dire, il s'agissait d'art. C'était une souffrance pour lui qui aurait voulu continuer à pratiquer le taekwondo à haut niveau ou,vu son âge, aurait dû prendre sa retraite et aurait été entraîneur pour des athlètes à renommée nationale voir internationale. Il vivait assez mal le fait de devoir travailler dans cette salle de sport où son talent et son génie ne pouvaient briller. Mais c'était bien malgré lui, sa jambe tenait grâce à des plaques qui maintenaient les os entre eux, rien de plus efficace pour mettre une carrière par terre. Mais Rei prenait son mal en patience, il se forçait à sourire, il se forçait à avoir l'air d'apprécier d'enseigner son sport à des branleurs, comme toujours. Il allait toujours bien Rei. Il regardait le groupe d'adolescents chahuter, rongeant son frein pour ne pas leur hurler dessus de prendre un peu les choses au sérieux. Il se retourna en entendant des collègues rire en prononçant son nom, il aperçu un professeur de fitness et un de boxe en compagnie d'une jeune femme. Il fronça les sourcils et s'avança vers eux, captant des bribes de paroles. « Réceptionniste. Depuis quand Rei est réceptionniste ici ? » Et ils pouffèrent une nouvelle fois alors que l'intéressé, lui, n'était pas vraiment amusé. La seule personne à qui il avait prétendu être réceptionniste, c'était sa sœur, et il lui avait inventé ce mensonge car au Japon les médecins lui avaient clairement interdit de refaire un jour un sport de combat. « Je vais m'en occuper les gars, c'est moi que la demoiselle cherche après tout ! » Il feignit un grand sourire, et l'amusement que pouvait susciter la situation, alors qu'au fond, ça ne l'amusait pas du tout. Ses collègues s'éloignèrent et il reporta son attention sur la nouvelle venue, il chercha dans sa mémoire mais ne l'avait jamais vu. « C'est moi que tu cherches, et tu n'as pas les bonnes informations je crois. » Son sourire avait perdu de sa superbe. Il préférait attendre un peu avant qu'elle ne lui confirme ses soupçons. Mais son petit mensonge était en danger, ainsi que son petit secret qui était l'addiction qui lui permettait de faire ce job. « Et donc toi tu es ? »© kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Ven 28 Oct - 15:17
Depuis toute petite, je préfère la présence des hommes que des femmes. Il faut dire qu’à la ferme, je n’avais pas réellement le choix. Les filles étaient peu nombreuses et celles qui ont tenu la route le plus longtemps dans notre cambrousse ont finalement choisi de fuir pour atteindre d’autres objectifs dans la vie. Ainsi, je me suis donc essentiellement familiarisée avec ces garçons qui s’amusaient à faire des pets avec leurs bras. Toutefois, je doute que ces personnes en face de moi décident de lancer un concours à l’heure d’aujourd’hui. Ainsi, je ne sens pas forcément à l’aise parce qu’ils ont sûrement trouvé un autre moyen de communication depuis le temps. D’ailleurs, j’ai du mal à cacher ma surprise quand ils se moquent un peu de ma demande. Clairement, ne pas faire son travail ici semble être une habitude ? Arquant un sourcil, je retiens un rire jaune qui tente de s’échapper de ma gorge. Ils tiennent à me faire perdre mon temps ?! Ce n’est pas forcément un comportement à adopter devant une future cliente. Puis, j’entends la voix d’un autre homme, homme qui s’approche du groupe qui se tient à quelques mètres de lui. Celui-ci semble être notamment la personne que je recherche. Mais encore une fois, j’ai du mal à comprendre la situation. Depuis quand un réceptionniste décide d’exhiber ses belles jambes poilues en dobok ? Franchement, je me demande si Aoi a bien fait de m’envoyer ici. Regardant ce fameux Rei s’approcher de moi, je lui adresse un sourire poli avant de répondre : « Ah bon ? » qui ne risque pas de satisfaire nos attentes respectives. C’est sûrement pour cette raison qu’il me demande ensuite de me présenter. « Eun Hye. » Je jette un coup d’œil par-dessus son épaule, tant bien que mal – il faut dire que j’ai la taille d’une naine – pour surveiller ses collègues de travail. « Comme je l’ai dit précédemment, je voudrais prendre des cours de sport de combat mais je ne sais pas encore lequel. C’est pour cela que je voulais demander des informations avant tout. » Je mordille ma lèvre inférieure et ajoute en le regardant : « Mais du coup, je crois que je dois sûrement demander à une autre personne. Tu dois être un coach, non ? » Autant le tutoyer… Il ne s’est pas réellement gêné de son côté.
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Depuis toute petite, je préfère la présence des hommes que des femmes. Il faut dire qu’à la ferme, je n’avais pas réellement le choix. Les filles étaient peu nombreuses et celles qui ont tenu la route le plus longtemps dans notre cambrousse ont finalement choisi de fuir pour atteindre d’autres objectifs dans la vie. Ainsi, je me suis donc essentiellement familiarisée avec ces garçons qui s’amusaient à faire des pets avec leurs bras. Toutefois, je doute que ces personnes en face de moi décident de lancer un concours à l’heure d’aujourd’hui. Ainsi, je ne sens pas forcément à l’aise parce qu’ils ont sûrement trouvé un autre moyen de communication depuis le temps. D’ailleurs, j’ai du mal à cacher ma surprise quand ils se moquent un peu de ma demande. Clairement, ne pas faire son travail ici semble être une habitude ? Arquant un sourcil, je retiens un rire jaune qui tente de s’échapper de ma gorge. Ils tiennent à me faire perdre mon temps ?! Ce n’est pas forcément un comportement à adopter devant une future cliente. Puis, j’entends la voix d’un autre homme, homme qui s’approche du groupe qui se tient à quelques mètres de lui. Celui-ci semble être notamment la personne que je recherche. Mais encore une fois, j’ai du mal à comprendre la situation. Depuis quand un réceptionniste décide d’exhiber ses belles jambes poilues en dobok ? Franchement, je me demande si Aoi a bien fait de m’envoyer ici. Regardant ce fameux Rei s’approcher de moi, je lui adresse un sourire poli avant de répondre : « Ah bon ? » qui ne risque pas de satisfaire nos attentes respectives. C’est sûrement pour cette raison qu’il me demande ensuite de me présenter. « Eun Hye. » Je jette un coup d’œil par-dessus son épaule, tant bien que mal – il faut dire que j’ai la taille d’une naine – pour surveiller ses collègues de travail. « Comme je l’ai dit précédemment, je voudrais prendre des cours de sport de combat mais je ne sais pas encore lequel. C’est pour cela que je voulais demander des informations avant tout. » Je mordille ma lèvre inférieure et ajoute en le regardant : « Mais du coup, je crois que je dois sûrement demander à une autre personne. Tu dois être un coach, non ? » Autant le tutoyer… Il ne s’est pas réellement gêné de son côté.© kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Dim 6 Nov - 10:27
Dobok. | Si la jeune femme n'avait pas déjà la puce à l'oreille de se retrouver face à un homme en dobok alors qu'il était supposé être réceptionniste, elle l'aurait très probablement à cause de la réaction des collègues de Rei. Sans aucune discrétion ils s'étaient moqués d'elle et de sa méprise, mais aussi moqués de ce que leur inspirait l'idée de savoir leur collègue derrière le comptoir de l’accueil et non dans le dojo. Le japonais saurait leur remettre les idées en place un peu plus tard, lorsqu'il aurait réglé un problème plus urgent, à savoir la faire à l'envers à la jeune femme qui visiblement connaissait sa sœur de près ou de loin. Lorsqu'elle se présenta, il essaya de se souvenir si Aoi lui avait un jour parlé d'une certaine Eun Hye, mais rien ne lui venait. Il faut dire qu'à force de se bourrer de cachets et autres substances peu recommandables, sa mémoire le lâchait parfois en cours de route. Il l'écouta malgré tout, et sans qu'elle n'en dise plus, il devina un peu ce qui avait dû se passer et pourquoi elle se retrouvait là. Elle avait dû parler de son envie de faire du sport à sa sœur, qui avait dû lui répondre très naïvement et très enthousiaste que son frère bossait à l'accueil dans une salle de sport et qu'il pourrait sans doute la conseiller. Après, savoir si Aoi lui avait expliqué ou non pourquoi il était à l'accueil et non à l'entraînement était autre chose. Quelque chose qu'il ne voulait pas aborder mais qu'il faudrait quand même évoqué car hors de question qu'elle reparte en lâchant l'information à sa sœur. Si seulement Rei avait le permis de tuer... « Je vois... Vu que tu connais mon nom, et vu que tu pensais que j'étais à l'accueil, j'en déduis facilement que tu es une amie de Aoi. Je me trompe ? » Il se gratta la nuque, il était, pour une énième fois, coincé dans ses mensonges et ne savait comment il allait se sortir de cette situation dans l'immédiat. « Mon truc c'est plutôt le taekwondo, je sais pas si elle t'en a parlé... » Lui avait-elle parlé du passé de Rei ou non ? Étaient-elles assez proches pour qu'elle lui ait parlé de l'accident aussi ? C'était compliqué pour le japonais de savoir comment il allait faire pour retourner la situation à son avantage sans savoir ce que connaissait la jeune femme de lui. Mais il se forçait à parler avec légèreté, un sourire aux lèvres, comme toujours, tout allait bien. « Après je peux te conseiller aussi, vu ton gabarit tu serais plus branchée fitness et compagnie non ? » Vilain préjugé qu'avait Rei, mais lui-même en subissant régulièrement il en était complètement décomplexé.
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Dobok. | Si la jeune femme n'avait pas déjà la puce à l'oreille de se retrouver face à un homme en dobok alors qu'il était supposé être réceptionniste, elle l'aurait très probablement à cause de la réaction des collègues de Rei. Sans aucune discrétion ils s'étaient moqués d'elle et de sa méprise, mais aussi moqués de ce que leur inspirait l'idée de savoir leur collègue derrière le comptoir de l’accueil et non dans le dojo. Le japonais saurait leur remettre les idées en place un peu plus tard, lorsqu'il aurait réglé un problème plus urgent, à savoir la faire à l'envers à la jeune femme qui visiblement connaissait sa sœur de près ou de loin. Lorsqu'elle se présenta, il essaya de se souvenir si Aoi lui avait un jour parlé d'une certaine Eun Hye, mais rien ne lui venait. Il faut dire qu'à force de se bourrer de cachets et autres substances peu recommandables, sa mémoire le lâchait parfois en cours de route. Il l'écouta malgré tout, et sans qu'elle n'en dise plus, il devina un peu ce qui avait dû se passer et pourquoi elle se retrouvait là. Elle avait dû parler de son envie de faire du sport à sa sœur, qui avait dû lui répondre très naïvement et très enthousiaste que son frère bossait à l'accueil dans une salle de sport et qu'il pourrait sans doute la conseiller. Après, savoir si Aoi lui avait expliqué ou non pourquoi il était à l'accueil et non à l'entraînement était autre chose. Quelque chose qu'il ne voulait pas aborder mais qu'il faudrait quand même évoqué car hors de question qu'elle reparte en lâchant l'information à sa sœur. Si seulement Rei avait le permis de tuer... « Je vois... Vu que tu connais mon nom, et vu que tu pensais que j'étais à l'accueil, j'en déduis facilement que tu es une amie de Aoi. Je me trompe ? » Il se gratta la nuque, il était, pour une énième fois, coincé dans ses mensonges et ne savait comment il allait se sortir de cette situation dans l'immédiat. « Mon truc c'est plutôt le taekwondo, je sais pas si elle t'en a parlé... » Lui avait-elle parlé du passé de Rei ou non ? Étaient-elles assez proches pour qu'elle lui ait parlé de l'accident aussi ? C'était compliqué pour le japonais de savoir comment il allait faire pour retourner la situation à son avantage sans savoir ce que connaissait la jeune femme de lui. Mais il se forçait à parler avec légèreté, un sourire aux lèvres, comme toujours, tout allait bien. « Après je peux te conseiller aussi, vu ton gabarit tu serais plus branchée fitness et compagnie non ? » Vilain préjugé qu'avait Rei, mais lui-même en subissant régulièrement il en était complètement décomplexé. © kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Dim 13 Nov - 14:12
Faisant face à la personne que je cherchais, je tente de me rappeler des propos tenus par ma camarade quand le jeune homme fait référence à cette dernière. La seule chose que j’ai retenue de nos échanges est ce qui a contribué à mon comportement du jour. Pour moi, Rei est effectivement un simple employé qui se contente d’accueillir et de conseiller les personnes, qui ne connaissent peu de choses vis-à-vis des sports de combat. Il doit également renseigner les clients sur les horaires des cours et les prix. Ainsi, je ne suis pas certaine qu’une telle tenue soit nécessaire à moins de vouloir créer une ambiance plus que sportive dans l’ensemble du bâtiment. Toutefois, cela me surprend dans le sens où le jeune homme ne devrait pas se tenir ici et surtout, ses collègues se sont moqués ouvertement de lui. Pourquoi il traînerait avec des idiots pareils si c’était réellement ça son job ? Bizarrement, je commence à avoir des doutes fondés sur le rôle de cet homme. « Oui, en effet. On travaille au même endroit. » En attendant, il n’a pas l’air d’avoir énormément d’amis. Après tout, Aoi ne doit pas être la seule à savoir qu’il travaille, ici. Haussant les épaules à cette pensée, je préfère ne faire aucune remarque. Après tout, je crois que j’ai suffisamment blessé la fierté du garçon pour aujourd’hui. « Elle m’a parlé un peu de ça mais j’ai pensé que ça ne poserait pas de problème. Au moins, pour quelques renseignements. » Je bascule légèrement la tête sur le côté pour observer ses collègues de travail. « Faut dire que l’accueil n’est pas très chaleureux par ici. » Je lui fais comprendre indirectement que je préfère avoir affaire à lui qu’à ses comparses. Peu importe, s’il n’est pas spécialiste en judo ou que sais-je. D’ailleurs, quand le japonais commence à parler de mon gabarit, je sens une lueur d’espoir avant d’être finalement plus que dérangée par sa réponse. « Pardon ?! » Je lâche un soupir excédé. « Eh bien, toi, tu devrais savoir que mon esprit est pas forcément branché fitness. Je fais comment du coup ? » dis-je, la voix teintée d’ironie.
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Faisant face à la personne que je cherchais, je tente de me rappeler des propos tenus par ma camarade quand le jeune homme fait référence à cette dernière. La seule chose que j’ai retenue de nos échanges est ce qui a contribué à mon comportement du jour. Pour moi, Rei est effectivement un simple employé qui se contente d’accueillir et de conseiller les personnes, qui ne connaissent peu de choses vis-à-vis des sports de combat. Il doit également renseigner les clients sur les horaires des cours et les prix. Ainsi, je ne suis pas certaine qu’une telle tenue soit nécessaire à moins de vouloir créer une ambiance plus que sportive dans l’ensemble du bâtiment. Toutefois, cela me surprend dans le sens où le jeune homme ne devrait pas se tenir ici et surtout, ses collègues se sont moqués ouvertement de lui. Pourquoi il traînerait avec des idiots pareils si c’était réellement ça son job ? Bizarrement, je commence à avoir des doutes fondés sur le rôle de cet homme. « Oui, en effet. On travaille au même endroit. » En attendant, il n’a pas l’air d’avoir énormément d’amis. Après tout, Aoi ne doit pas être la seule à savoir qu’il travaille, ici. Haussant les épaules à cette pensée, je préfère ne faire aucune remarque. Après tout, je crois que j’ai suffisamment blessé la fierté du garçon pour aujourd’hui. « Elle m’a parlé un peu de ça mais j’ai pensé que ça ne poserait pas de problème. Au moins, pour quelques renseignements. » Je bascule légèrement la tête sur le côté pour observer ses collègues de travail. « Faut dire que l’accueil n’est pas très chaleureux par ici. » Je lui fais comprendre indirectement que je préfère avoir affaire à lui qu’à ses comparses. Peu importe, s’il n’est pas spécialiste en judo ou que sais-je. D’ailleurs, quand le japonais commence à parler de mon gabarit, je sens une lueur d’espoir avant d’être finalement plus que dérangée par sa réponse. « Pardon ?! » Je lâche un soupir excédé. « Eh bien, toi, tu devrais savoir que mon esprit est pas forcément branché fitness. Je fais comment du coup ? » dis-je, la voix teintée d’ironie. © kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Lun 21 Nov - 22:49
Dobok. | Rei était un peu nerveux aux paroles de la jeune femme, elle était donc une amie de sa petite sœur, elles travaillaient ensemble... Il se demandait bien ce que Aoi avait pu dire à Eun Hye à son sujet. Le sport ? Le taekwondo ? L'accident ? Ou alors n'avait-elle rien dit du tout ? Le plus stressant était de ne pas savoir ce qu'elle savait de lui, et donc de ne pas savoir comment tourner la vérité à son avantage, et protéger Aoi du fait qu'il était incapable d'arrêter le sport et qu'il supportait les douleurs en se gavant de cachets. Malgré tout, il cachait son trouble très bien, ne laissant pas son visage le montrer, et pour en apprendre un peu plus, il continuait de parler et de questionner la demoiselle en forçant un sourire sur ses lèvres. « Je vois... » Il avait pu se rendre compte que visiblement, il avait vexé la jeune femme en osant parler de fitness. C'était presque amusant, elle semblait avoir du caractère. Il se mit à réfléchir à cent à l'heure, prenant en compte le fait que maintenant elle connaissait son petit secret (et surtout un des nombreux qu'il avait pour Aoi). « Attend moi un instant. » Il fit signe à la jeune femme, et se dirigea vers ses collègues qui les regardaient toujours du coin de l’œil. Il leur demanda de terminer son cours pour lui, il avait quasiment fini de toute façon, et revint finalement vers Eun Hye pour l'entraîner dans une salle de repos mis à la disposition du staff. « Okay miss je suis une warrior dans mon esprit, je vais t'aider à trouver une place dans un cours mais avant j'ai moi un truc à te demander. » Il avait beau parler d'un ton relativement léger, son regard était très sérieux. « Ne dis rien à Aoi quant au fait que je donne des cours de taekwondo. » Il avisa l'expression dubitative de la jeune femme, et il pinça les lèvres brièvement avant de reprendre. « Je sais pas ce qu'elle a pu te dire sur moi, mais je suis pas supposée faire de sport, en tout cas pas des sports de combat. Et ma sœur le sait très bien. C'est pour ça que je lui ai dit n'être que le chargé d'accueil ici. » Et il n'aurait honnêtement jamais pensé que sa sœur le recommande à l'une de ses amies ou quoique ce soit... Il avait estimé que son mensonge était plutôt sûr et innocent. Mais Il aurait dû savoir qu'avec sa sœur rien n'était sûr. Finalement il tapa dans ses mains. « Donc ne dis rien et je t'aide en te présentant aux meilleurs profs de la salle. »
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Dobok. | Rei était un peu nerveux aux paroles de la jeune femme, elle était donc une amie de sa petite sœur, elles travaillaient ensemble... Il se demandait bien ce que Aoi avait pu dire à Eun Hye à son sujet. Le sport ? Le taekwondo ? L'accident ? Ou alors n'avait-elle rien dit du tout ? Le plus stressant était de ne pas savoir ce qu'elle savait de lui, et donc de ne pas savoir comment tourner la vérité à son avantage, et protéger Aoi du fait qu'il était incapable d'arrêter le sport et qu'il supportait les douleurs en se gavant de cachets. Malgré tout, il cachait son trouble très bien, ne laissant pas son visage le montrer, et pour en apprendre un peu plus, il continuait de parler et de questionner la demoiselle en forçant un sourire sur ses lèvres. « Je vois... » Il avait pu se rendre compte que visiblement, il avait vexé la jeune femme en osant parler de fitness. C'était presque amusant, elle semblait avoir du caractère. Il se mit à réfléchir à cent à l'heure, prenant en compte le fait que maintenant elle connaissait son petit secret (et surtout un des nombreux qu'il avait pour Aoi). « Attend moi un instant. » Il fit signe à la jeune femme, et se dirigea vers ses collègues qui les regardaient toujours du coin de l’œil. Il leur demanda de terminer son cours pour lui, il avait quasiment fini de toute façon, et revint finalement vers Eun Hye pour l'entraîner dans une salle de repos mis à la disposition du staff. « Okay miss je suis une warrior dans mon esprit, je vais t'aider à trouver une place dans un cours mais avant j'ai moi un truc à te demander. » Il avait beau parler d'un ton relativement léger, son regard était très sérieux. « Ne dis rien à Aoi quant au fait que je donne des cours de taekwondo. » Il avisa l'expression dubitative de la jeune femme, et il pinça les lèvres brièvement avant de reprendre. « Je sais pas ce qu'elle a pu te dire sur moi, mais je suis pas supposée faire de sport, en tout cas pas des sports de combat. Et ma sœur le sait très bien. C'est pour ça que je lui ai dit n'être que le chargé d'accueil ici. » Et il n'aurait honnêtement jamais pensé que sa sœur le recommande à l'une de ses amies ou quoique ce soit... Il avait estimé que son mensonge était plutôt sûr et innocent. Mais Il aurait dû savoir qu'avec sa sœur rien n'était sûr. Finalement il tapa dans ses mains. « Donc ne dis rien et je t'aide en te présentant aux meilleurs profs de la salle. »© kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Mar 22 Nov - 21:47
Souvent critiquée, je sais que je ne fais autant attention à mon apparence que mes camarades coréennes. Mon physique n’est pas le plus avantageux au monde et je n’ai pas vraiment un style qui pourraient rendre jalouses mes petites camarades. J’ai appris à vivre avec, me fichant royalement de l’avis des autres. Toutefois, quand le coach se moque ouvertement de moi, je ne peux pas m’empêcher de rétorquer de manière ironique. Cet homme est payé pour nous aider tout comme je suis payée pour encaisser des articles et faire payer des gens en échange. Chacun son travail et je ne comprends pas pourquoi le frère de mon amie me rejette aussi facilement. Est-ce que j’ai l’air d’un fardeau ? Honnêtement, je sais me montrer très tenace quand j’en ai envie et je refuse évidemment qu’un entraîneur sportif me parle de la sorte. Il est là pour faire son job et proposer à des possibles élèves d’aller faire un tour ailleurs n’est pas le meilleur choix qu’il s’offre à Rei. Du coup, quand il commence à réfléchir un peu à la traîne, je meurs d’envie de me la jouer bitch ultra cool mais me rappelle aussitôt que je n’apprécie pas ces grossiers personnages. Je me contente alors de croiser mes bras et esquisse un sourire plutôt poli. « J’attends. » Je me demande alors ce qu’il prépare mais je le saurais très vite, à mon avis. Je le regarde alors discuter brièvement avec ses collègues de travail avant de revenir vers moi pour m’embarquer dans une autre salle. Une salle de repos, d’après ce que je peux voir. Je suis quand même satisfaite de savoir que j’allais pouvoir m’inscrire ici. « Pourquoi tu ne lui dis pas la vérité ? Il n’y a pas mort d’homme, non ? » La curiosité est un vilain défaut, Eun Hye. Mais bizarrement, j’ai la sensation d’avoir le pouvoir de négocier. « Tu veux m’inscrire à quel cours précisément ? Je n’ai pas forcément besoin des meilleurs professeurs mais surtout de cours qui seraient adaptés à mes horaires de travail, s’il te plaît. » A cette pensée, un sourire en coin prend possession de mes lèvres. « Tu ne fais pas partie des meilleurs, toi ? » Je fronce doucement les sourcils pour me donner une mine aggravée. « J’ai comme l’impression que tu cherches à te débarrasser de moi. » C’est vrai, pourquoi tient-il à me filer d’autres professeurs alors que je traite avec lui ?! A-t-il d’autres secrets à dissimuler ?
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Souvent critiquée, je sais que je ne fais autant attention à mon apparence que mes camarades coréennes. Mon physique n’est pas le plus avantageux au monde et je n’ai pas vraiment un style qui pourraient rendre jalouses mes petites camarades. J’ai appris à vivre avec, me fichant royalement de l’avis des autres. Toutefois, quand le coach se moque ouvertement de moi, je ne peux pas m’empêcher de rétorquer de manière ironique. Cet homme est payé pour nous aider tout comme je suis payée pour encaisser des articles et faire payer des gens en échange. Chacun son travail et je ne comprends pas pourquoi le frère de mon amie me rejette aussi facilement. Est-ce que j’ai l’air d’un fardeau ? Honnêtement, je sais me montrer très tenace quand j’en ai envie et je refuse évidemment qu’un entraîneur sportif me parle de la sorte. Il est là pour faire son job et proposer à des possibles élèves d’aller faire un tour ailleurs n’est pas le meilleur choix qu’il s’offre à Rei. Du coup, quand il commence à réfléchir un peu à la traîne, je meurs d’envie de me la jouer bitch ultra cool mais me rappelle aussitôt que je n’apprécie pas ces grossiers personnages. Je me contente alors de croiser mes bras et esquisse un sourire plutôt poli. « J’attends. » Je me demande alors ce qu’il prépare mais je le saurais très vite, à mon avis. Je le regarde alors discuter brièvement avec ses collègues de travail avant de revenir vers moi pour m’embarquer dans une autre salle. Une salle de repos, d’après ce que je peux voir. Je suis quand même satisfaite de savoir que j’allais pouvoir m’inscrire ici. « Pourquoi tu ne lui dis pas la vérité ? Il n’y a pas mort d’homme, non ? » La curiosité est un vilain défaut, Eun Hye. Mais bizarrement, j’ai la sensation d’avoir le pouvoir de négocier. « Tu veux m’inscrire à quel cours précisément ? Je n’ai pas forcément besoin des meilleurs professeurs mais surtout de cours qui seraient adaptés à mes horaires de travail, s’il te plaît. » A cette pensée, un sourire en coin prend possession de mes lèvres. « Tu ne fais pas partie des meilleurs, toi ? » Je fronce doucement les sourcils pour me donner une mine aggravée. « J’ai comme l’impression que tu cherches à te débarrasser de moi. » C’est vrai, pourquoi tient-il à me filer d’autres professeurs alors que je traite avec lui ?! A-t-il d’autres secrets à dissimuler ? © kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Dim 4 Déc - 13:25
Dobok. | Rei se sentait un peu plus à l'aise dans la salle de repos, parce qu'il n'avait plus ses collègues pour scruter et essayer de deviner ce qu'il disait à la jeune femme. Le coup du standardiste, il allait sans doute en entendre parler longtemps. Alors que Eun Hye semblait déjà l'avoir oublié ou plutôt ne pas comprendre pourquoi il était important pour le japonais que sa sœur n'apprenne pas sa réelle profession. Il lâcha un rire sans joie à sa remarque, ça avait l'air si simple à l'entendre parler... « Y'a failli avoir mort d'homme... Et Aoi s'en souvient bien, et elle en a de mauvais souvenirs. Pour elle si je fais du sport c'est dangereux, mais si j'en fais pas je crève alors je préfère rien lui dire et on s'porte très bien tous les deux. » Finalement, il vint s'asseoir confortablement, écoutant ce qu'elle voulait vraiment trouver ici, un petit sourire étira les lèvres du japonais. « Bien sûr que je suis le meilleur ! Si tu savais le nombre de médailles d'or que j'ai reçu... Mais je suis pas sûre que le taekwondo ça soit ton kiffe. » Il se pencha un peu vers elle, en la scrutant au passage. « T'as une idée de ce que tu voudrais faire ? Self Defense ? » C'était le genre de sports que les nanas adoraient pour se sentir un minimum fortes. Puis il se mit à rire plus franchement à sa remarque, se débarrasser d'elle oui c'est bien ce qu'il essayait de faire. « Mais j'ai jamais essayé de m'en cacher. » Il finit par se relever, et se dirigea vers la machine à café de la pièce. Chaque salle de repos avait une petite machine à capsule dont George Clooney vantait les mérites. « Tu veux boire quelques chose ? Grâce à toi j'ai le droit à une pause, j'peux bien t'offrir un café ! » Il se prit une tasse et choisit sa capsule pour d'abord faire son propre café. « Ah et ces abrutis que tu as vu doivent être en train de s'imaginer des choses pour sûr... Oublie pas d'avoir l'air comblée en sortant de la pièce. » Il la regarda d'un air goguenard avant de mettre sa tasse à elle sur la machine. Il se la jouait détendu et prétendait maîtriser la situation, mais il était quand même nerveux de savoir que la jeune femme pouvait le balancer si l'envie la prenait.
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Dobok. | Rei se sentait un peu plus à l'aise dans la salle de repos, parce qu'il n'avait plus ses collègues pour scruter et essayer de deviner ce qu'il disait à la jeune femme. Le coup du standardiste, il allait sans doute en entendre parler longtemps. Alors que Eun Hye semblait déjà l'avoir oublié ou plutôt ne pas comprendre pourquoi il était important pour le japonais que sa sœur n'apprenne pas sa réelle profession. Il lâcha un rire sans joie à sa remarque, ça avait l'air si simple à l'entendre parler... « Y'a failli avoir mort d'homme... Et Aoi s'en souvient bien, et elle en a de mauvais souvenirs. Pour elle si je fais du sport c'est dangereux, mais si j'en fais pas je crève alors je préfère rien lui dire et on s'porte très bien tous les deux. » Finalement, il vint s'asseoir confortablement, écoutant ce qu'elle voulait vraiment trouver ici, un petit sourire étira les lèvres du japonais. « Bien sûr que je suis le meilleur ! Si tu savais le nombre de médailles d'or que j'ai reçu... Mais je suis pas sûre que le taekwondo ça soit ton kiffe. » Il se pencha un peu vers elle, en la scrutant au passage. « T'as une idée de ce que tu voudrais faire ? Self Defense ? » C'était le genre de sports que les nanas adoraient pour se sentir un minimum fortes. Puis il se mit à rire plus franchement à sa remarque, se débarrasser d'elle oui c'est bien ce qu'il essayait de faire. « Mais j'ai jamais essayé de m'en cacher. » Il finit par se relever, et se dirigea vers la machine à café de la pièce. Chaque salle de repos avait une petite machine à capsule dont George Clooney vantait les mérites. « Tu veux boire quelques chose ? Grâce à toi j'ai le droit à une pause, j'peux bien t'offrir un café ! » Il se prit une tasse et choisit sa capsule pour d'abord faire son propre café. « Ah et ces abrutis que tu as vu doivent être en train de s'imaginer des choses pour sûr... Oublie pas d'avoir l'air comblée en sortant de la pièce. » Il la regarda d'un air goguenard avant de mettre sa tasse à elle sur la machine. Il se la jouait détendu et prétendait maîtriser la situation, mais il était quand même nerveux de savoir que la jeune femme pouvait le balancer si l'envie la prenait.© kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Ven 6 Jan - 23:50
Son comportement me surprend. Si je commence à me faire à l'idée d'être tombée sur une personne malpolie et grossière, l'entendre parler aussi facilement de sa relation avec sa sœur me fait douter de lui. Comment peut-on être aussi honnête, direct avec une simple inconnue ? Il doit me croire naïve, il doit croire que je ne dirais rien, touchée par cette histoire mais au fond, je finis par me demander s'il ne cherche pas à m'avoir. De toute façon, je n'y connais rien et ma spontanéité me tuera un jour. Les gens autour de moi sont trop calculateurs et c'est vraiment la première impression que j'ai du frère de mon amie. D'ailleurs, je ne peux que les trouver différents, à mon plus grand malheur. Me contentant de l'écouter, je me dis que je devrais me taire pour ne pas aggraver mon cas, pour ne pas lui laisser une chance de m'avoir, peu importe s'il a élaboré un plan. Puis, quand il évoque ses médailles, je me demande si l'emploi du présent est voulu. Est-ce qu'il continue les compétitions sans en toucher un mot à sa sœur ? Mais soit, je décide de jouer avec les mots, ironisant. « Tu as peut-être des médailles qui prouvent ton niveau mais enseigner, c'est autre chose. » Je n'ai pas envie de lui faire la morale, ni la leçon pour savoir comment il doit s'exprimer mais je n'aime pas les gens arrogants. En fait, je crois que je n'aime pas les gens en général. La plupart du temps, ils m'énervent à se sentir aussi dessus de tout le monde et c'est clairement que fait Rei à l'instant. J'ai l'impression de me retrouver devant le grand méchant loup, prêt à me mordre, moqueur. Pour lui, un des sports principaux de notre pays n'est pas adapté pour moi. Franchement, c'est à se demander si nos ancêtres ne m'ont pas donné la flamme du taekwondo. Mordillant ma lèvre inférieure, je me dis que je ne devrais pas avoir honte de ce que je veux. Je n'ai jamais eu honte de mes convictions et peu importe sa façon de penser, de me mettre des barrières, qu'importe. Ce con ne veut pas me donner satisfaction. Un de plus dans ma liste. Tant pis, je commence à être habituée. « C'est dans mes choix, effectivement. » Mais comme Rei doit s'en douter, je n'y connais pas grand-chose et ce n'est clairement pas avec l'absence totale de conseils de sa part que je risque de progresser. Je le regarde finalement s'approcher de la machine à café tandis que je lève les yeux au ciel. « Je t'en prie. » Puis, quand il a fini son propre café, Rei me fait une remarque qui me provoque un rire, un brin nerveux. Aoi a de très bons conseils... La prochaine fois, j'éviterai de lui poser une question. « Et pourquoi pas l'inverse ? Je pourrais voir tes talents d'acteur et de menteur en direct. » dis-je, un sourire moqueur sur les lèvres. Je me lève à mon tour et récupère ma tasse. « Merci pour le café. » Je souffle légèrement dessus et en bois une bonne petite gorgée. « Finis vite ton café. J'ai bien l'intention de commencer dés maintenant. » Je secoue les épaules et ajoute. « Je parle de l'entraînement, pas d'autre chose évidemment. »
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Son comportement me surprend. Si je commence à me faire à l'idée d'être tombée sur une personne malpolie et grossière, l'entendre parler aussi facilement de sa relation avec sa sœur me fait douter de lui. Comment peut-on être aussi honnête, direct avec une simple inconnue ? Il doit me croire naïve, il doit croire que je ne dirais rien, touchée par cette histoire mais au fond, je finis par me demander s'il ne cherche pas à m'avoir. De toute façon, je n'y connais rien et ma spontanéité me tuera un jour. Les gens autour de moi sont trop calculateurs et c'est vraiment la première impression que j'ai du frère de mon amie. D'ailleurs, je ne peux que les trouver différents, à mon plus grand malheur. Me contentant de l'écouter, je me dis que je devrais me taire pour ne pas aggraver mon cas, pour ne pas lui laisser une chance de m'avoir, peu importe s'il a élaboré un plan. Puis, quand il évoque ses médailles, je me demande si l'emploi du présent est voulu. Est-ce qu'il continue les compétitions sans en toucher un mot à sa sœur ? Mais soit, je décide de jouer avec les mots, ironisant. « Tu as peut-être des médailles qui prouvent ton niveau mais enseigner, c'est autre chose. » Je n'ai pas envie de lui faire la morale, ni la leçon pour savoir comment il doit s'exprimer mais je n'aime pas les gens arrogants. En fait, je crois que je n'aime pas les gens en général. La plupart du temps, ils m'énervent à se sentir aussi dessus de tout le monde et c'est clairement que fait Rei à l'instant. J'ai l'impression de me retrouver devant le grand méchant loup, prêt à me mordre, moqueur. Pour lui, un des sports principaux de notre pays n'est pas adapté pour moi. Franchement, c'est à se demander si nos ancêtres ne m'ont pas donné la flamme du taekwondo. Mordillant ma lèvre inférieure, je me dis que je ne devrais pas avoir honte de ce que je veux. Je n'ai jamais eu honte de mes convictions et peu importe sa façon de penser, de me mettre des barrières, qu'importe. Ce con ne veut pas me donner satisfaction. Un de plus dans ma liste. Tant pis, je commence à être habituée. « C'est dans mes choix, effectivement. » Mais comme Rei doit s'en douter, je n'y connais pas grand-chose et ce n'est clairement pas avec l'absence totale de conseils de sa part que je risque de progresser. Je le regarde finalement s'approcher de la machine à café tandis que je lève les yeux au ciel. « Je t'en prie. » Puis, quand il a fini son propre café, Rei me fait une remarque qui me provoque un rire, un brin nerveux. Aoi a de très bons conseils... La prochaine fois, j'éviterai de lui poser une question. « Et pourquoi pas l'inverse ? Je pourrais voir tes talents d'acteur et de menteur en direct. » dis-je, un sourire moqueur sur les lèvres. Je me lève à mon tour et récupère ma tasse. « Merci pour le café. » Je souffle légèrement dessus et en bois une bonne petite gorgée. « Finis vite ton café. J'ai bien l'intention de commencer dés maintenant. » Je secoue les épaules et ajoute. « Je parle de l'entraînement, pas d'autre chose évidemment. »© kerushirei
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Re: fighting spirit (rei) | Mar 10 Jan - 23:54
Dobok. | Rei aurait pu la faire à l'envers à Eun Hye dès le début, mais il devait donner une part de vérité pour savoir ce qu'elle savait de lui, et pour aussi savoir comment l'emmener dans son mensonge et acheter son silence. Une sorte de prêcher le vrai pour savoir le faux, sauf qu'il s'agissait de lui et non d'elle. Et il espérait aussi jouer sur sa corde sensible, le grand frère qui essayait de protéger sa sœur, tout ça... C'était le cas, réellement, mais il voulait se protéger lui aussi, parce que ses petites fesses n'avaient pas fait que des choses reluisantes. Elle n'en dit cependant pas plus, et Rei se demandait comment il allait faire pour qu'elle ne balance rien à sa sœur. Il l'avait peut-être un peu sous-estimer. Pour le moment il laissa la question en suspend, et la conversation glissa vers le sport, vu que c'était là le cœur du problème. Il parlait souvent de son talent et de ses capacités au présent, mais il était loin d'être ce qu'il avait été. C'était sa plus grande souffrance. Il était pourtant persuadé d'être un excellent coach, il n'était juste pas très pédagogue, la patience ce n'était pas son fort. Alors il haussa les épaules, elle verrait bien plus tard de quoi il était capable. En tout cas, il pensait avoir bien cerner la donzelle, elle était de ces nanas « girl power » et voulait des cours de self-defense ou quelque chose du genre. « Je vois. On a ça, on a du kick boxing, du full contact, de la boxe et évidemment le taekwondo... Je pense que le full contact et le kick boxing c'est un peu too much... » Mais ce choix lui appartenait. Les femmes étaient friandes de ces sports en ce moment, une envie ridicule de s'affirmer selon lui. Il se leva ensuite pour préparer son café, et en fit un à la jeune femme également. Et le fait qu'il l'avait sous-estimé se confirma vu la répartie de la jeune femme. Il ne pu s'empêcher de rire. « Je vais éviter, tu serait révolter de savoir qu'Hollywood m'a pas encore donné d'Oscar sinon. » Il eut un rire rauque qu'il étouffa dans sa tasse de café. Il haussa un sourcil à la remarque de la jeune femme, et elle avait bien fait de se reprendre. « Ah dommage... » Il termina son café rapidement et posa sa tasse dans l'évier de la salle de repos. « Okay pour commencer... » Il poussa un profond soupir. « J'ai fini normalement mais je peux te faire faire le tour des cours, que tu vois celui qui te plaise... » Il proposait ça peu convaincu, il en voulait presque à sa sœur de lui avoir parler de cette salle de sport. Mais Eun Hye le regardait avec insistance ce qui ne disait rien qui vaille au japonais. Encore plus lorsqu'elle eut un sourire en coin. Il n'aimait pas ça du tout, et allez savoir comment il semblait deviner ce qu'elle avait en tête. « Ne me regarde pas comme ça... » Il sentait le chantage venir à grand pas, et il n'était pas en position pour marchander. Cette journée était désastreuse...
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Dobok. | Rei aurait pu la faire à l'envers à Eun Hye dès le début, mais il devait donner une part de vérité pour savoir ce qu'elle savait de lui, et pour aussi savoir comment l'emmener dans son mensonge et acheter son silence. Une sorte de prêcher le vrai pour savoir le faux, sauf qu'il s'agissait de lui et non d'elle. Et il espérait aussi jouer sur sa corde sensible, le grand frère qui essayait de protéger sa sœur, tout ça... C'était le cas, réellement, mais il voulait se protéger lui aussi, parce que ses petites fesses n'avaient pas fait que des choses reluisantes. Elle n'en dit cependant pas plus, et Rei se demandait comment il allait faire pour qu'elle ne balance rien à sa sœur. Il l'avait peut-être un peu sous-estimer. Pour le moment il laissa la question en suspend, et la conversation glissa vers le sport, vu que c'était là le cœur du problème. Il parlait souvent de son talent et de ses capacités au présent, mais il était loin d'être ce qu'il avait été. C'était sa plus grande souffrance. Il était pourtant persuadé d'être un excellent coach, il n'était juste pas très pédagogue, la patience ce n'était pas son fort. Alors il haussa les épaules, elle verrait bien plus tard de quoi il était capable. En tout cas, il pensait avoir bien cerner la donzelle, elle était de ces nanas « girl power » et voulait des cours de self-defense ou quelque chose du genre. « Je vois. On a ça, on a du kick boxing, du full contact, de la boxe et évidemment le taekwondo... Je pense que le full contact et le kick boxing c'est un peu too much... » Mais ce choix lui appartenait. Les femmes étaient friandes de ces sports en ce moment, une envie ridicule de s'affirmer selon lui. Il se leva ensuite pour préparer son café, et en fit un à la jeune femme également. Et le fait qu'il l'avait sous-estimé se confirma vu la répartie de la jeune femme. Il ne pu s'empêcher de rire. « Je vais éviter, tu serait révolter de savoir qu'Hollywood m'a pas encore donné d'Oscar sinon. » Il eut un rire rauque qu'il étouffa dans sa tasse de café. Il haussa un sourcil à la remarque de la jeune femme, et elle avait bien fait de se reprendre. « Ah dommage... » Il termina son café rapidement et posa sa tasse dans l'évier de la salle de repos. « Okay pour commencer... » Il poussa un profond soupir. « J'ai fini normalement mais je peux te faire faire le tour des cours, que tu vois celui qui te plaise... » Il proposait ça peu convaincu, il en voulait presque à sa sœur de lui avoir parler de cette salle de sport. Mais Eun Hye le regardait avec insistance ce qui ne disait rien qui vaille au japonais. Encore plus lorsqu'elle eut un sourire en coin. Il n'aimait pas ça du tout, et allez savoir comment il semblait deviner ce qu'elle avait en tête. « Ne me regarde pas comme ça... » Il sentait le chantage venir à grand pas, et il n'était pas en position pour marchander. Cette journée était désastreuse...© kerushirei
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