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Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
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Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Ven 4 Nov 2016 - 17:36
Tenue ▬ Mon ordinateur sur mes jambes, une sucette en bouche, je ne cesse de m’esclaffer en regardant les images qui défilent sous mes yeux, ayant presque les larmes aux yeux. Cela fait déjà plus d'une heure que je m'abrutis le cerveau, devant une émission totalement débile, mais tellement marrante. Pourtant, nous sommes vendredi soir et comme tous les vendredi soir, il y a de quoi faire dans les bars ou encore en boîte, mais je n'ai pas envie de sortir. Pas encore. Ça viendra peut être après, ou peut-être que ça ne viendra pas. Qui sait. Alors que je suis concentrée sur mon émission, mon téléphone se met à vibrer, recevant alors un message de la part de Tamaki. Je sais que c'est lui à cause de la sonnerie que j'ai mis lorsque cela le concerne. Je ne le fais pas pour tout le monde mais ayant été, et le suis toujours, son coach personnel, j'ai du lui donner une sonnerie pour le différencier des autres messages ou appels reçus. Je saute littéralement sur mon téléphone, sans même m'en rendre compte, et saute de suite après de mon lit, courant vers la salle de bain pour aller me préparer. Tamaki souhaite me voir pour me parler de la fille dont il avait reçu le numéro. Je ne suis pas totalement enchantée à l'idée qu'il m'en parle, mais je vais le voir, et c'est mieux que rien. Cela fait déjà plusieurs jours que je n'ai pas de ses nouvelles, et autant dire que je commençais sérieusement à m'inquiéter. Certes, il devait être occupé avec tout ce qui anime sa vie, mais quand même. J'ai pris l'habitude d'avoir quelques messages de sa part, d'avoir des appels, de le voir plus souvent. Je sas que ma mission en tant que coach prend bientôt fin. Dès qu'il va officialiser sa relation avec une femme je pourrai plier bagage. Mais suis-je prête à le faire ? Suis-je prête à remettre le flambeau à sa future petite copine ? Ça me fera quand même un petit vide lorsqu'il va partir. J'ai tellement pris l'habitude de l'aider dans ses démarches, que ça risque de me faire bizarre au début. Je vais devoir reprendre le rythme normal de ma vie, et d'oublier quelques temps mon rôle de coach. Je chasse ses pensées de mon esprit et prends quelques minutes à me décider sur ce que je vais poter. Je balance quelques vêtements sur mon lit, ne trouvant rien de plaisant. Je ne me rends même pas compte que je perds du temps sur des détails futiles, car au fond, que je sois bien habillée ou mal habillée, ça ne va rien changer, n'est-ce pas ? Ne trouvant rien à mon goût je finis par prendre un simple tee-shirt avec un simple jean, m'en allant jusqu'au lieu de rendez-vous.
J'attends patiemment la venue de mon ami près de l'hôtel me sentant quand même mal à l'aise. C'est assez étrange d'attendre une personne près d'un hôtel surtout que depuis tout à l'heure je ne vois que des couples qui sortent et entrent de ce lieu, ce qui me perturbe grandement. Mais ce n'est rien. Je n'ai pas de raison d'être angoissée. Tamaki doit juste me parler de la fille du bar, c'est tout et au son de sa voix, je suppose qu'il a une très bonne nouvelle à m'annoncer. Je pense que ça c'est merveilleusement bien passé avec la femme, sinon, il n'aurait pas été si joyeux.
Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Mon ordinateur sur mes jambes, une sucette en bouche, je ne cesse de m’esclaffer en regardant les images qui défilent sous mes yeux, ayant presque les larmes aux yeux. Cela fait déjà plus d'une heure que je m'abrutis le cerveau, devant une émission totalement débile, mais tellement marrante. Pourtant, nous sommes vendredi soir et comme tous les vendredi soir, il y a de quoi faire dans les bars ou encore en boîte, mais je n'ai pas envie de sortir. Pas encore. Ça viendra peut être après, ou peut-être que ça ne viendra pas. Qui sait. Alors que je suis concentrée sur mon émission, mon téléphone se met à vibrer, recevant alors un message de la part de Tamaki. Je sais que c'est lui à cause de la sonnerie que j'ai mis lorsque cela le concerne. Je ne le fais pas pour tout le monde mais ayant été, et le suis toujours, son coach personnel, j'ai du lui donner une sonnerie pour le différencier des autres messages ou appels reçus. Je saute littéralement sur mon téléphone, sans même m'en rendre compte, et saute de suite après de mon lit, courant vers la salle de bain pour aller me préparer. Tamaki souhaite me voir pour me parler de la fille dont il avait reçu le numéro. Je ne suis pas totalement enchantée à l'idée qu'il m'en parle, mais je vais le voir, et c'est mieux que rien. Cela fait déjà plusieurs jours que je n'ai pas de ses nouvelles, et autant dire que je commençais sérieusement à m'inquiéter. Certes, il devait être occupé avec tout ce qui anime sa vie, mais quand même. J'ai pris l'habitude d'avoir quelques messages de sa part, d'avoir des appels, de le voir plus souvent. Je sas que ma mission en tant que coach prend bientôt fin. Dès qu'il va officialiser sa relation avec une femme je pourrai plier bagage. Mais suis-je prête à le faire ? Suis-je prête à remettre le flambeau à sa future petite copine ? Ça me fera quand même un petit vide lorsqu'il va partir. J'ai tellement pris l'habitude de l'aider dans ses démarches, que ça risque de me faire bizarre au début. Je vais devoir reprendre le rythme normal de ma vie, et d'oublier quelques temps mon rôle de coach. Je chasse ses pensées de mon esprit et prends quelques minutes à me décider sur ce que je vais poter. Je balance quelques vêtements sur mon lit, ne trouvant rien de plaisant. Je ne me rends même pas compte que je perds du temps sur des détails futiles, car au fond, que je sois bien habillée ou mal habillée, ça ne va rien changer, n'est-ce pas ? Ne trouvant rien à mon goût je finis par prendre un simple tee-shirt avec un simple jean, m'en allant jusqu'au lieu de rendez-vous.J'attends patiemment la venue de mon ami près de l'hôtel me sentant quand même mal à l'aise. C'est assez étrange d'attendre une personne près d'un hôtel surtout que depuis tout à l'heure je ne vois que des couples qui sortent et entrent de ce lieu, ce qui me perturbe grandement. Mais ce n'est rien. Je n'ai pas de raison d'être angoissée. Tamaki doit juste me parler de la fille du bar, c'est tout et au son de sa voix, je suppose qu'il a une très bonne nouvelle à m'annoncer. Je pense que ça c'est merveilleusement bien passé avec la femme, sinon, il n'aurait pas été si joyeux.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Ven 11 Nov 2016 - 13:37
Assis à la table de ce restaurant, je lève les yeux vers la personne qui se trouve face à moi. Mes mains, hésitantes, sont posées sur la table alors qu'elle parle, qu'elle rit. Pourquoi ne puis-je pas la regarder? Serait-elle en train de me perturber, de me déstabiliser? Moi? Yang Tamaki, qui n'avait jusque là jamais connu l'amour? Cette fille a été créé par les dieux. OU les diables, au choix. Mais quand je la vois sourire si gracieusement, remettre ses cheveux sur son épaule et parler avec aisance de son métier, j'me laisse tomber allègrement dans ses filets. Si c'est un piège, soit, je ne veux jamais m'en libérer. Peut-être est-ce l'alcool qui me fait cet effet? Non, pas seulement. Et c'est quand elle saisit ma main de la sienne, froide et si frêle, que je réalise que je ne suis pas là pour m'amuser, pour un simple pari ou un défi. Olympe m'a lancé là-dedans, maintenant, je devais pas faire demi-tour, c'était interdit. Je devais poursuivre, voir jusqu'où ça allait me mener.
Quand la fin de soirée sonna, je raccompagnai mon invitée jusqu'à chez elle à bord de ma voiture. Le trajet avait été silencieux, mais elle avait, une fois de plus, posé sa main sur la mienne alors qu'elle était posée sur le levier de vitesse. J'avais tourné la tête pour la regarder et elle m'avait souri. Est-ce que c'était une blague? Une si jolie fille, là, assise dans ma voiture, en train de me faire des avances? Je n'étais pas encore prêt.
Alors je la déposai en bas de son immeuble. Je descendis de la voiture alors qu'elle me proposa de rentrer chez elle, mais je refusai. Je devais voir quelqu'un d'autre. Pour se dire au revoir, je voulais quelque chose de simple et rapide, mais elle ne semblait pas de cet avis. Elle s'approcha de moi et déposa un bisou sur ma joue avant de reculer. Et je l'entends me dire qu'elle a passé une bonne soirée, qu'elle veut en passer encore plein d'autres. Devais-je comprendre par là que c'était une invitation pour une autre soirée à deux? Un cinéma, pourquoi pas. Ca me convenait. Alors, d'un sourire, je mis fin à cette première soirée en retournant à ma voiture et pris mon téléphone pour envoyer un message à Olympe. Il était bientôt 23h j'espérais qu'elle ne dorme pas.
Je lui avais donné rendez-vous au Sheraton et avais demandé à avoir une bouteille de champagne à la chambre pour pouvoir fêter avec elle ma première soirée, mon premier rancard avec une fille qui en plus en valait 10. J'étais tellement fier de moi, j'avais un large sourire aux lèvres, même si je devais avouer qu'elle me faisait parfois flipper et que son bisou sur la joue m'avait déstabilisé.
Je partis m'installer dans la chambre 410 où Olympe n'allait pas tarder à me rejoindre. Je me laissai tomber sur le lit extra moelleux, regardant le plafond tandis que le service de chambre allait m'apporter le champagne et le sceau à glaçons. Les mains jointes sur mon ventre, je les entendis taper à la porte. Ils vinrent installer le chariot et le laissèrent non loin de l'entrée. Il ne manquait plus qu'Olympe. J'avais hâte de lui raconter ma soirée.
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Assis à la table de ce restaurant, je lève les yeux vers la personne qui se trouve face à moi. Mes mains, hésitantes, sont posées sur la table alors qu'elle parle, qu'elle rit. Pourquoi ne puis-je pas la regarder? Serait-elle en train de me perturber, de me déstabiliser? Moi? Yang Tamaki, qui n'avait jusque là jamais connu l'amour? Cette fille a été créé par les dieux. OU les diables, au choix. Mais quand je la vois sourire si gracieusement, remettre ses cheveux sur son épaule et parler avec aisance de son métier, j'me laisse tomber allègrement dans ses filets. Si c'est un piège, soit, je ne veux jamais m'en libérer. Peut-être est-ce l'alcool qui me fait cet effet? Non, pas seulement. Et c'est quand elle saisit ma main de la sienne, froide et si frêle, que je réalise que je ne suis pas là pour m'amuser, pour un simple pari ou un défi. Olympe m'a lancé là-dedans, maintenant, je devais pas faire demi-tour, c'était interdit. Je devais poursuivre, voir jusqu'où ça allait me mener. Quand la fin de soirée sonna, je raccompagnai mon invitée jusqu'à chez elle à bord de ma voiture. Le trajet avait été silencieux, mais elle avait, une fois de plus, posé sa main sur la mienne alors qu'elle était posée sur le levier de vitesse. J'avais tourné la tête pour la regarder et elle m'avait souri. Est-ce que c'était une blague? Une si jolie fille, là, assise dans ma voiture, en train de me faire des avances? Je n'étais pas encore prêt.
Alors je la déposai en bas de son immeuble. Je descendis de la voiture alors qu'elle me proposa de rentrer chez elle, mais je refusai. Je devais voir quelqu'un d'autre. Pour se dire au revoir, je voulais quelque chose de simple et rapide, mais elle ne semblait pas de cet avis. Elle s'approcha de moi et déposa un bisou sur ma joue avant de reculer. Et je l'entends me dire qu'elle a passé une bonne soirée, qu'elle veut en passer encore plein d'autres. Devais-je comprendre par là que c'était une invitation pour une autre soirée à deux? Un cinéma, pourquoi pas. Ca me convenait. Alors, d'un sourire, je mis fin à cette première soirée en retournant à ma voiture et pris mon téléphone pour envoyer un message à Olympe. Il était bientôt 23h j'espérais qu'elle ne dorme pas.
Je lui avais donné rendez-vous au Sheraton et avais demandé à avoir une bouteille de champagne à la chambre pour pouvoir fêter avec elle ma première soirée, mon premier rancard avec une fille qui en plus en valait 10. J'étais tellement fier de moi, j'avais un large sourire aux lèvres, même si je devais avouer qu'elle me faisait parfois flipper et que son bisou sur la joue m'avait déstabilisé.
Je partis m'installer dans la chambre 410 où Olympe n'allait pas tarder à me rejoindre. Je me laissai tomber sur le lit extra moelleux, regardant le plafond tandis que le service de chambre allait m'apporter le champagne et le sceau à glaçons. Les mains jointes sur mon ventre, je les entendis taper à la porte. Ils vinrent installer le chariot et le laissèrent non loin de l'entrée. Il ne manquait plus qu'Olympe. J'avais hâte de lui raconter ma soirée.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Dim 13 Nov 2016 - 14:42
Tenue ▬ Je regarde les secondes qui défilent sous mes yeux, me demandant ce qui prend autant de temps à Tamaki pour arriver. J'ai le sentiment que depuis tout à l'heure, les passants me dévisagent, se demandant certainement les raisons de mon attente à cet endroit précis. Peut-être aurai-je bien fait de me décaler juste un peu, pour ne pas alimenter les pensées déviées des personnes, en cette soirée. En même temps ce n'est pas de ma faute s'il m'a donné rendez-vous dans un tel lieu, me surprenant moi-même. C'est vrai après tout, pour parler on aurait pu simplement se rendre dans un parc, ou dans un bar, ou peut-être dans un lieu plus paisible, sans trop de bruit autour de nous. Il est vrai que c'est difficilement trouvable surtout lorsque les températures ne cessent de descendre. Finissant par désespérer, je finis par envoyer un message à mon ami, lui demandant l'emplacement exact de là où on doit se retrouver et me rends compte, après avoir eu sa réponse une seconde après, que je n'attends, forcément, pas au bon endroit. Je me donne une petite tape sur le front. Idiote que je suis, j'ai oublié ce détail pourtant si crucial. En même temps il a demandé à me voir si précipitamment que je n'étais pas préparée psychologiquement à le rencontrer. Certes je n'ai pas besoin de l'être mais j'ai comme la vague impression que j'ai tout intérêt à être préparée à ce qu'il s'apprête à m'annoncer ce soir. Je m'en vais donc en direction de la chambre 410, assez anxieuse. Il faut dire que je ne me suis jamais rendue dans un tel endroit en présence d'un homme. C'est assez gênant, même si je sais pertinemment que le but de Tamaki n'est pas celle à laquelle je viens tout juste de penser et que c'est uniquement pour parler. Rien de plus. Je tape doucement à sa porte jusqu'à ce qu'il m'ouvre et lui fais un grand sourire dès que j'aperçois son visage dans l’entrebâillement de la porte, « Tamaki », dis-je en sautant sur lui, oubliant mes pensées précédentes, ne me souciant même pas du vieux couple qui passe au même moment, un sourire amusé sur les lèvres. Je n'attends pas qu'il me demande d'entrer et m'immisce à l'intérieur, toute excitée à l'idée d'être dans une chambre d'hôtel. « Woaaaah ! Daebak ! Tu sais que c'est la première fois que je rentre comme ça dans une chambre d'hôtel ». Je saute sur le lit, telle une gamine joyeuse, vérifiant qu'il est vraiment confortable, comme dans mon imaginaire. « C'est tellement mieux que ma chambre que je dois partager ! Je crois que je vais finir ma vie dans un hôtel », je rigole et me redresse rapidement. J'en ai presque oublié la raison de ma venue et regarde intensément Tamaki, « mais concrètement . . .pourquoi tu m'as amené ici ? Tu m'as l'air bien joyeux en plus, il s'est passé quelque chose d'intéressant ? ». Je cligne plusieurs fois des yeux, restant assise sur le lit, attendant qu'il me parle de ce qui semble tant le tenir à cœur.
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Je regarde les secondes qui défilent sous mes yeux, me demandant ce qui prend autant de temps à Tamaki pour arriver. J'ai le sentiment que depuis tout à l'heure, les passants me dévisagent, se demandant certainement les raisons de mon attente à cet endroit précis. Peut-être aurai-je bien fait de me décaler juste un peu, pour ne pas alimenter les pensées déviées des personnes, en cette soirée. En même temps ce n'est pas de ma faute s'il m'a donné rendez-vous dans un tel lieu, me surprenant moi-même. C'est vrai après tout, pour parler on aurait pu simplement se rendre dans un parc, ou dans un bar, ou peut-être dans un lieu plus paisible, sans trop de bruit autour de nous. Il est vrai que c'est difficilement trouvable surtout lorsque les températures ne cessent de descendre. Finissant par désespérer, je finis par envoyer un message à mon ami, lui demandant l'emplacement exact de là où on doit se retrouver et me rends compte, après avoir eu sa réponse une seconde après, que je n'attends, forcément, pas au bon endroit. Je me donne une petite tape sur le front. Idiote que je suis, j'ai oublié ce détail pourtant si crucial. En même temps il a demandé à me voir si précipitamment que je n'étais pas préparée psychologiquement à le rencontrer. Certes je n'ai pas besoin de l'être mais j'ai comme la vague impression que j'ai tout intérêt à être préparée à ce qu'il s'apprête à m'annoncer ce soir. Je m'en vais donc en direction de la chambre 410, assez anxieuse. Il faut dire que je ne me suis jamais rendue dans un tel endroit en présence d'un homme. C'est assez gênant, même si je sais pertinemment que le but de Tamaki n'est pas celle à laquelle je viens tout juste de penser et que c'est uniquement pour parler. Rien de plus. Je tape doucement à sa porte jusqu'à ce qu'il m'ouvre et lui fais un grand sourire dès que j'aperçois son visage dans l’entrebâillement de la porte, « Tamaki », dis-je en sautant sur lui, oubliant mes pensées précédentes, ne me souciant même pas du vieux couple qui passe au même moment, un sourire amusé sur les lèvres. Je n'attends pas qu'il me demande d'entrer et m'immisce à l'intérieur, toute excitée à l'idée d'être dans une chambre d'hôtel. « Woaaaah ! Daebak ! Tu sais que c'est la première fois que je rentre comme ça dans une chambre d'hôtel ». Je saute sur le lit, telle une gamine joyeuse, vérifiant qu'il est vraiment confortable, comme dans mon imaginaire. « C'est tellement mieux que ma chambre que je dois partager ! Je crois que je vais finir ma vie dans un hôtel », je rigole et me redresse rapidement. J'en ai presque oublié la raison de ma venue et regarde intensément Tamaki, « mais concrètement . . .pourquoi tu m'as amené ici ? Tu m'as l'air bien joyeux en plus, il s'est passé quelque chose d'intéressant ? ». Je cligne plusieurs fois des yeux, restant assise sur le lit, attendant qu'il me parle de ce qui semble tant le tenir à cœur. Invité
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Dim 20 Nov 2016 - 11:55
J'entendis toquer à la porte. Sans plus attendre, je me levai et partis ouvrir la porte. J'aperçus alors le visage d'Olympe, rayonnant par un large sourire quand elle me vit, facile de voir à quel point elle était contente de me voir. Je ne m'attendis pas à ça mais elle me bondit dessus et je la réceptionnai à temps sans que l'on finisse par s'étaler par terre. Un rire passa mes lèvres; moi aussi, j'étais super content de la voir. Plus que je ne l'aurais imaginé. Une chance que l'on s'entendait si bien cette fille et moi (après tout, il y avait très peu de personnes avec qui je ne m'entendais pas). Elle recula, et je pus ébouriffer ses cheveux avec un sourire au coin des lèvres. J'étais content de la voir, j'allais pouvoir lui annoncer la bonne nouvelle mais quand je la regardais, j'avais plus vraiment envie de lui parler de mes aventures. Je voulais parler de tout, sauf ça. Or, elle était ma coach, fallait qu'elle soit toute ouïe à ce sujet.
Elle commença à faire le tour de la chambre et se jeta même sur le lit. Je la regardai faire, telle une gamine, et j'esquissai un sourire. Ah ça, c'est de la chambre, c'est sûr. Je regardai également autour de moi, le Sheraton, c'était du high level et y avait qu'à voir le type de personnes qui venaient dormir dans cet hôtel pour le comprendre. En général, c'était des touristes avec un paquet de pognon sur eux, ce soir, c'était Tamaki et Olympe, avec les sous de Tamaki of course. De ce fait, je vins m'assoir sur le rebord du lit et regardai Olympe s'esclaffer et s'extasier sur le confort du lit. Je ne savais pas qui allait en profiter ce soir mais il serait bien chanceux.
Olympe finit par me demander pourquoi je l'ai faite venir ici. Alors, je lançai un regard vers la bouteille de champagne et le sceau de glaçons, avant de reposer les yeux sur elle. Avait-elle deviné? On a quelque chose à fêter ce soir. Je la regardai quelques instants, silencieux, avant de reprendre: tu aimes le champagne j'espère? finis-je par demander, avant de rire tout bas. Je me levai et partis chercher le chariot où se trouvait le champagne, pour le ramener près du lit. Je commençai alors à servir une coupe. J'ai eu mon premier rancart ce soir, tu sais, avec la fille du bar. Une fois la première coupe servie, je la tendis à Olympe. Et ça s'est super bien passé.Figure toi qu'elle veut qu'on se revoie. Je commençai à servir la deuxième coupe. Du coup, je voulais partager la bonne nouvelle avec toi, parce que c'est grâce à toi quelque part. C'était SURTOUT grâce à elle, oui. Alors, maintenant que nous étions servis, je m'installai sur le lit, à côté d'elle, et penchai la coupe vers la sienne pour trinquer. Mais je levai les yeux vers elle, et je sais pas pourquoi, mais je sentis que ce n'était pas avec grande conviction que j'allais trinquer à cette bonne nouvelle. Il me manquait quelque chose, cruellement, mais je ne savais pas quoi. Sauf que, quand je regardais dans les yeux d'Olympe, j'avais simplement envie de poser la coupe et de ne plus y toucher.Trinquer sur ça avec elle signifierait quelque part renoncer à quelque chose qui semblait m'attirer. Mais ça, j'étais bien trop aveuglé par ma joie pour le voir, tout de suite.
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
J'entendis toquer à la porte. Sans plus attendre, je me levai et partis ouvrir la porte. J'aperçus alors le visage d'Olympe, rayonnant par un large sourire quand elle me vit, facile de voir à quel point elle était contente de me voir. Je ne m'attendis pas à ça mais elle me bondit dessus et je la réceptionnai à temps sans que l'on finisse par s'étaler par terre. Un rire passa mes lèvres; moi aussi, j'étais super content de la voir. Plus que je ne l'aurais imaginé. Une chance que l'on s'entendait si bien cette fille et moi (après tout, il y avait très peu de personnes avec qui je ne m'entendais pas). Elle recula, et je pus ébouriffer ses cheveux avec un sourire au coin des lèvres. J'étais content de la voir, j'allais pouvoir lui annoncer la bonne nouvelle mais quand je la regardais, j'avais plus vraiment envie de lui parler de mes aventures. Je voulais parler de tout, sauf ça. Or, elle était ma coach, fallait qu'elle soit toute ouïe à ce sujet. Elle commença à faire le tour de la chambre et se jeta même sur le lit. Je la regardai faire, telle une gamine, et j'esquissai un sourire. Ah ça, c'est de la chambre, c'est sûr. Je regardai également autour de moi, le Sheraton, c'était du high level et y avait qu'à voir le type de personnes qui venaient dormir dans cet hôtel pour le comprendre. En général, c'était des touristes avec un paquet de pognon sur eux, ce soir, c'était Tamaki et Olympe, avec les sous de Tamaki of course. De ce fait, je vins m'assoir sur le rebord du lit et regardai Olympe s'esclaffer et s'extasier sur le confort du lit. Je ne savais pas qui allait en profiter ce soir mais il serait bien chanceux.
Olympe finit par me demander pourquoi je l'ai faite venir ici. Alors, je lançai un regard vers la bouteille de champagne et le sceau de glaçons, avant de reposer les yeux sur elle. Avait-elle deviné? On a quelque chose à fêter ce soir. Je la regardai quelques instants, silencieux, avant de reprendre: tu aimes le champagne j'espère? finis-je par demander, avant de rire tout bas. Je me levai et partis chercher le chariot où se trouvait le champagne, pour le ramener près du lit. Je commençai alors à servir une coupe. J'ai eu mon premier rancart ce soir, tu sais, avec la fille du bar. Une fois la première coupe servie, je la tendis à Olympe. Et ça s'est super bien passé.Figure toi qu'elle veut qu'on se revoie. Je commençai à servir la deuxième coupe. Du coup, je voulais partager la bonne nouvelle avec toi, parce que c'est grâce à toi quelque part. C'était SURTOUT grâce à elle, oui. Alors, maintenant que nous étions servis, je m'installai sur le lit, à côté d'elle, et penchai la coupe vers la sienne pour trinquer. Mais je levai les yeux vers elle, et je sais pas pourquoi, mais je sentis que ce n'était pas avec grande conviction que j'allais trinquer à cette bonne nouvelle. Il me manquait quelque chose, cruellement, mais je ne savais pas quoi. Sauf que, quand je regardais dans les yeux d'Olympe, j'avais simplement envie de poser la coupe et de ne plus y toucher.Trinquer sur ça avec elle signifierait quelque part renoncer à quelque chose qui semblait m'attirer. Mais ça, j'étais bien trop aveuglé par ma joie pour le voir, tout de suite.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Dim 27 Nov 2016 - 12:17
Tenue ▬ Je ne sais pas pour quelle raison je m'extasie autant devant une chambre, alors que pourtant, j'en ai vu de belles chambres, certes pas d'hôtel, mais quand même. Ma chambre, chez ma tante, est immense, avec des décorations à en couper le souffle et dévoilant quelque part ma richesse cachée. Mais un hôtel, ça représente autre chose, ça n'a pas la même signification. Il y a une connotation différente. Peut-être que le simple fait d'être dans cette chambre me donne des ailes, ou est-ce une manière, inconsciente, de ne pas entamer le sujet principal de suite. Dans tous les cas, je suis telle une gamine excitée par un nouveau jouet, sautant de partout, et exposant sa joie à qui souhaite le voir. Je finis quand même par me calmer lorsque Tamaki se pose à mes côtés, semblant soudainement sérieux. J'arque un sourcil alors qu'il me précise qu'il y a quelque chose qui doit être fêté. Je regarde autour de moi et suis son regard jusqu'au champagne qui est posé non loin, me surprenant. Ça doit être quelque chose de très important et de grandiose pour qu'il agisse ainsi et commande même la bouteille de champagne. Je regarde quelques secondes la bouteille, esquissant un sourire, contente. Certes je ne dois pas boire beaucoup, mais j'ai le droit quand même de me laisser aller, quelques fois. Et puis l'ambiance est propice pour un tel breuvage. Je ne vais pas refuser, surtout s'il l'a commandé. « J'aime tout, et puis du champagne, ça ne se refuse pas. Mais t'es fou quand même d'avoir pris une bouteille de champagne, ça doit être quelque chose de vraiment grand pour que tu agisses ainsi » dis-je en écarquillant les yeux et en ouvrant ma bouche en grand. J'ai hâte qu'il me raconte ce qu'il se passe.
Lorsqu'il revient près de moi avec les coupes et le champagne je l'écoute attentivement, me penchant légèrement, pour savoir quelle réaction je dois avoir. Sur le moment, lorsqu'il m'annonce que son rendez-vous c'est très bien passé et qu'ils comptent même se voir une seconde fois, mon visage s'assombrit, le temps d'une seconde. Je ne sais pas pourquoi mais à cette idée je ne suis pas si heureuse que j'aurai dû l'être. Pourtant, c'est grâce à moi que Tamaki est arrivé à un tel stade, qu'il a enfin l'opportunité de sortir avec une femme et je devrai par conséquent être heureuse pour lui, je devrai lui sauter dans les bras. Mais . . . je n'y arrive pas. Pas de suite. Quelque chose en moi semble me perturber et surtout me déranger. Je ne saurai expliquer la source de cette gêne mais je ne me sens pas à l'aise. Pas totalement. Je reste donc pendant quelques secondes muette, ne sachant pas trop quoi dire. Néanmoins, je me reprends rapidement et m'exclame avec joie, « vraiment ? Mais vraiment ? Tu ne dis pas ça pour me rassurer, n'est-ce pas ? Elle t'a vraiment proposé un second rendez-vous ». Finalement c'est positif pour lui. Et dire qu'à cette fameuse soirée, ça avait si mal commencé. « Je suis tellement heureuse pour toi, je comprends pourquoi tu voulais tant festoyer cette nouvelle et je suis d'accord pour qu'on le fasse comme il le faut. Comme quoi mes cours servent à quelque chose ! ». Je prends alors la coupe qu'il me tend et trinque à cette nouvelle, avec un soupçon d'amertume, que je ne saurai expliquer. Je bois quelques gorgées rapides du champagne, comme par nécessité. « Mais alors . . . désormais . . . tu n'as plus besoin de mes conseils ? Je peux te laisser voler de tes propres ailes ? ». C'est vrai après tout, je ne sers plus à grand chose en tant que coach, « et . . . vous vous êtes embrassés ? ». Je ne sais pas pourquoi mais c'est la première idée qui a traversé mon esprit.
Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Je ne sais pas pour quelle raison je m'extasie autant devant une chambre, alors que pourtant, j'en ai vu de belles chambres, certes pas d'hôtel, mais quand même. Ma chambre, chez ma tante, est immense, avec des décorations à en couper le souffle et dévoilant quelque part ma richesse cachée. Mais un hôtel, ça représente autre chose, ça n'a pas la même signification. Il y a une connotation différente. Peut-être que le simple fait d'être dans cette chambre me donne des ailes, ou est-ce une manière, inconsciente, de ne pas entamer le sujet principal de suite. Dans tous les cas, je suis telle une gamine excitée par un nouveau jouet, sautant de partout, et exposant sa joie à qui souhaite le voir. Je finis quand même par me calmer lorsque Tamaki se pose à mes côtés, semblant soudainement sérieux. J'arque un sourcil alors qu'il me précise qu'il y a quelque chose qui doit être fêté. Je regarde autour de moi et suis son regard jusqu'au champagne qui est posé non loin, me surprenant. Ça doit être quelque chose de très important et de grandiose pour qu'il agisse ainsi et commande même la bouteille de champagne. Je regarde quelques secondes la bouteille, esquissant un sourire, contente. Certes je ne dois pas boire beaucoup, mais j'ai le droit quand même de me laisser aller, quelques fois. Et puis l'ambiance est propice pour un tel breuvage. Je ne vais pas refuser, surtout s'il l'a commandé. « J'aime tout, et puis du champagne, ça ne se refuse pas. Mais t'es fou quand même d'avoir pris une bouteille de champagne, ça doit être quelque chose de vraiment grand pour que tu agisses ainsi » dis-je en écarquillant les yeux et en ouvrant ma bouche en grand. J'ai hâte qu'il me raconte ce qu'il se passe.Lorsqu'il revient près de moi avec les coupes et le champagne je l'écoute attentivement, me penchant légèrement, pour savoir quelle réaction je dois avoir. Sur le moment, lorsqu'il m'annonce que son rendez-vous c'est très bien passé et qu'ils comptent même se voir une seconde fois, mon visage s'assombrit, le temps d'une seconde. Je ne sais pas pourquoi mais à cette idée je ne suis pas si heureuse que j'aurai dû l'être. Pourtant, c'est grâce à moi que Tamaki est arrivé à un tel stade, qu'il a enfin l'opportunité de sortir avec une femme et je devrai par conséquent être heureuse pour lui, je devrai lui sauter dans les bras. Mais . . . je n'y arrive pas. Pas de suite. Quelque chose en moi semble me perturber et surtout me déranger. Je ne saurai expliquer la source de cette gêne mais je ne me sens pas à l'aise. Pas totalement. Je reste donc pendant quelques secondes muette, ne sachant pas trop quoi dire. Néanmoins, je me reprends rapidement et m'exclame avec joie, « vraiment ? Mais vraiment ? Tu ne dis pas ça pour me rassurer, n'est-ce pas ? Elle t'a vraiment proposé un second rendez-vous ». Finalement c'est positif pour lui. Et dire qu'à cette fameuse soirée, ça avait si mal commencé. « Je suis tellement heureuse pour toi, je comprends pourquoi tu voulais tant festoyer cette nouvelle et je suis d'accord pour qu'on le fasse comme il le faut. Comme quoi mes cours servent à quelque chose ! ». Je prends alors la coupe qu'il me tend et trinque à cette nouvelle, avec un soupçon d'amertume, que je ne saurai expliquer. Je bois quelques gorgées rapides du champagne, comme par nécessité. « Mais alors . . . désormais . . . tu n'as plus besoin de mes conseils ? Je peux te laisser voler de tes propres ailes ? ». C'est vrai après tout, je ne sers plus à grand chose en tant que coach, « et . . . vous vous êtes embrassés ? ». Je ne sais pas pourquoi mais c'est la première idée qui a traversé mon esprit.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Mer 30 Nov 2016 - 18:55
C'est vrai qu'une bouteille de champagne signifiait forcément une belle et grande occasion, comme l'obtention d'un diplôme ou la signature d'un contrat. Mais moi, je faisais toujours les choses en grand, même pour si peu. Quoique, si peu... Ca l'est peut-être pour vous mais pour moi, avoir un ticket pour un deuxième RDV avec la même fille, c'était grandiose. Je n'étais jamais allé jusque là par le passé, alors comprenez que je devais fêter ça dignement et avec celle qui m'avait permis d'en arriver là. Evidemment, j'étais amusé par la réaction d'Olympe qui se posait 36 questions par minute, à savoir quelle était la réelle raison de tout ça, mais, quand je lui annonçai, mon coeur rata un battement.
Je ne sais pas vraiment pourquoi à ce moment-là, j'ai failli ravaler tout ça et ne pas lui dire. Mais c'était trop tard, je venais de lui annoncer et avec ça, j'affichais évidemment un large sourire qui masquait mon malêtre. J'avais envie de me taper un bon coup sur la tête pour me remettre les idées en place mais ce malêtre était toujours présent: j'avais peur qu'avec Olympe, les choses ne soient pas très claires, ou du moins, plus vraiment. Mais finalement, on allait penser à autre chose, vivre le moment présent, vivre à la minute et profiter de cette belle nuit de célébrations qui nous attendait. Ainsi, je lui servis donc une coupe de champagne, avant de m'en servir une, et je finis par trinquer avec elle. Elle m'a vraiment proposé un second rendez-vous, répondis-je, en acquiesçant, le même sourire aux lèvres. Quand elle attrapa sa coupe, elle me posa une question qui me laissa un peu mal à l'aise.
Hésitant, j'arquai un sourcil tandis que j'avais les yeux rivés au sol, pensif. J'haussai les épaules avant de reposer les yeux sur elle. Je sais pas trop... Elle disait que je n'avais plus besoin d'elle, mais j'en doutais franchement. J'avais l'impression d'avoir toujours besoin d'elle, même sans parler de drague et tout le blabla, j'avais besoin d'Olympe dans ma vie, je ne la voulais pas seulement comme coach de séduction, je la voulais aussi en tant qu'amie, comme une personne qui ne quitterait jamais ma vie. On sait jamais, je peux toujours me louper au deuxième rendez-vous et gâcher toutes mes chances. Et c'était pas un mensonge, j'étais vraiment du genre à tout foutre en l'air avec une petite gaffe. Alors fallait pas qu'Olympe me laisse trop voler de mes propres ailes non plus.
Je bus une gorgée de champagne lorsqu'Olympe me demanda si j'avais embrassé la fille de mon rendez-vous. Je manquai de m'étouffer, alors, je vins poser le revers de ma main sur mes lèvres avant de secouer la tête. Non non. Cela dit, il y avait quand même eu un petit bisou sur la joue, alors je posai mon doigt à l'endroit où elle avait posé ses lèvres. Mais elle m'a fait un bisou sur la joue avant de partir. J'crois que ça veut dire beaucoup de choses. Non? Ouais je demandais parce que je n'était pas certain, les filles étaient tellement compliquées en plus. On savait jamais avec elles... Ou alors ça veut dire qu'elle compte me friendzoner? Ouais, j'avais peur que ça me tombe dessus aussi. J'en avais assez eu des coups comme ça, j'voulais vraiment m'en sortir.
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C'est vrai qu'une bouteille de champagne signifiait forcément une belle et grande occasion, comme l'obtention d'un diplôme ou la signature d'un contrat. Mais moi, je faisais toujours les choses en grand, même pour si peu. Quoique, si peu... Ca l'est peut-être pour vous mais pour moi, avoir un ticket pour un deuxième RDV avec la même fille, c'était grandiose. Je n'étais jamais allé jusque là par le passé, alors comprenez que je devais fêter ça dignement et avec celle qui m'avait permis d'en arriver là. Evidemment, j'étais amusé par la réaction d'Olympe qui se posait 36 questions par minute, à savoir quelle était la réelle raison de tout ça, mais, quand je lui annonçai, mon coeur rata un battement. Je ne sais pas vraiment pourquoi à ce moment-là, j'ai failli ravaler tout ça et ne pas lui dire. Mais c'était trop tard, je venais de lui annoncer et avec ça, j'affichais évidemment un large sourire qui masquait mon malêtre. J'avais envie de me taper un bon coup sur la tête pour me remettre les idées en place mais ce malêtre était toujours présent: j'avais peur qu'avec Olympe, les choses ne soient pas très claires, ou du moins, plus vraiment. Mais finalement, on allait penser à autre chose, vivre le moment présent, vivre à la minute et profiter de cette belle nuit de célébrations qui nous attendait. Ainsi, je lui servis donc une coupe de champagne, avant de m'en servir une, et je finis par trinquer avec elle. Elle m'a vraiment proposé un second rendez-vous, répondis-je, en acquiesçant, le même sourire aux lèvres. Quand elle attrapa sa coupe, elle me posa une question qui me laissa un peu mal à l'aise.
Hésitant, j'arquai un sourcil tandis que j'avais les yeux rivés au sol, pensif. J'haussai les épaules avant de reposer les yeux sur elle. Je sais pas trop... Elle disait que je n'avais plus besoin d'elle, mais j'en doutais franchement. J'avais l'impression d'avoir toujours besoin d'elle, même sans parler de drague et tout le blabla, j'avais besoin d'Olympe dans ma vie, je ne la voulais pas seulement comme coach de séduction, je la voulais aussi en tant qu'amie, comme une personne qui ne quitterait jamais ma vie. On sait jamais, je peux toujours me louper au deuxième rendez-vous et gâcher toutes mes chances. Et c'était pas un mensonge, j'étais vraiment du genre à tout foutre en l'air avec une petite gaffe. Alors fallait pas qu'Olympe me laisse trop voler de mes propres ailes non plus.
Je bus une gorgée de champagne lorsqu'Olympe me demanda si j'avais embrassé la fille de mon rendez-vous. Je manquai de m'étouffer, alors, je vins poser le revers de ma main sur mes lèvres avant de secouer la tête. Non non. Cela dit, il y avait quand même eu un petit bisou sur la joue, alors je posai mon doigt à l'endroit où elle avait posé ses lèvres. Mais elle m'a fait un bisou sur la joue avant de partir. J'crois que ça veut dire beaucoup de choses. Non? Ouais je demandais parce que je n'était pas certain, les filles étaient tellement compliquées en plus. On savait jamais avec elles... Ou alors ça veut dire qu'elle compte me friendzoner? Ouais, j'avais peur que ça me tombe dessus aussi. J'en avais assez eu des coups comme ça, j'voulais vraiment m'en sortir.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Jeu 1 Déc 2016 - 18:37
Tenue ▬ Après tant de temps à aider Tamaki à s'ouvrir aux autres, trouvant ainsi des femmes, et pouvant être séducteur, je me sens soulagée de savoir qu'il a enfin eu un rendez-vous, c'est une fierté, mais derrière cette fierté que je tente difficilement de montrer, il y a un autre sentiment, une autre sensation, plus complexe à déterminer. Je suis heureuse mais pas à la fois. Mais je ne dis rien et préfère uniquement montrer que je suis heureuse pour lui, rien de plus. Je n'ai pas le droit de penser autre chose, ni même de ressentir autre chose, comme de la tristesse ou un certain malaise. Je sursaute quand même légèrement lorsqu'il précise qu'elle lui a demandé un second rendez-vous, ce qui signifie bien que c'est quelque chose de concret, qu'elle ne veut juste pas s'amuser. Cette fille semble très sérieuse avec lui et je ne peux rien dire là-dessus. « Oh alors je pense qu'elle . . . souhaite réellement te voir et éventuellement voir comment ça se passe entre vous pour mieux approfondir », même si au fond de moi, j'ai le désir de dire l'exact contraire, mais je ne peux pas. Encore une fois, je n'en ai pas le droit. Je me sens alors devenir inutile. Je n'ai plus besoin de passer autant de temps avec lui et de toute manière, il aura mieux à faire que de me voir. C'est même certain. Je souris malgré moi quand il semble hésitant, mais en même temps j'ai un petit pincement au cœur. Il ne dit pas qu'il a besoin encore de mes conseils, il dit juste qu'il ne sait pas, puis que cela peut encore l'aider s'il rate son second rendez-vous, mais je ne sais pas pourquoi, je doute être apte à continuer de lui donner quelques conseils. Je ne sais pas si je suis encore en capacité de le faire. « On verra » dis-je simplement, frustrée et déçue, « tu as mon numéro alors si tu as besoin de moi tu me contacteras, à ce moment là ». Je suppose que par la suite je peux rester quand même amie avec lui. De toute manière, je doute pouvoir l'éviter ou même l'ignorer. Je lui pose quand même la question fatidique, à savoir s'ils se sont ou non embrassés, mais fort heureusement, ce n'est pas le cas. Ça aurait été prématuré de le faire dès le premier rendez-vous, de toute façon. Ceci dit, il n'en reste pas moins qu'elle lui a fait un bisou sur la joue, ce qui signifie qu'il y a un véritable intérêt. Instinctivement je serre les poings. Ce n'est pourtant qu'un bisou sur la joue, rien de plus, rien de moins. J'en fais souvent à mon meilleur ami, alors c'est presque banal, mais dans cette situation je doute que cela soit le cas. « Je ne la connais pas alors je peux difficilement te dire si c'est important ou non, mais je pense que ça l'est ». Je réfléchis quelques secondes et bois d'une traite le reste de champagne dans mon verre. Oui je sais un champagne ça se déguste, mais là je n'ai pas le temps pour ça. « Je pense qu'elle a de l'affection pour toi. Si elle voulait faire de toi un ami elle n'aurait pas fait un bisou sur la joue dès le premier rendez-vous. Elle aurait mis une distance entre elle et toi, alors . . . je pense que tu dois lui . . . plaire ». Je retiens quelques secondes ma respiration, sur ces derniers mots, mais me reprends rapidement. « Elle veut peut être prendre son temps avec toi, et tant mieux », et au second elle l'embrassera peut-être autre part. Je me mordille nerveusement les lèvres, et tente de retrouver ma bonne humeur en rigolant, « et bien . . . je suis contente pour toi. Tu vas enfin connaître les joies d'être en couple. Tu as bien fait de vouloir fêter ça », ou pas.
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Après tant de temps à aider Tamaki à s'ouvrir aux autres, trouvant ainsi des femmes, et pouvant être séducteur, je me sens soulagée de savoir qu'il a enfin eu un rendez-vous, c'est une fierté, mais derrière cette fierté que je tente difficilement de montrer, il y a un autre sentiment, une autre sensation, plus complexe à déterminer. Je suis heureuse mais pas à la fois. Mais je ne dis rien et préfère uniquement montrer que je suis heureuse pour lui, rien de plus. Je n'ai pas le droit de penser autre chose, ni même de ressentir autre chose, comme de la tristesse ou un certain malaise. Je sursaute quand même légèrement lorsqu'il précise qu'elle lui a demandé un second rendez-vous, ce qui signifie bien que c'est quelque chose de concret, qu'elle ne veut juste pas s'amuser. Cette fille semble très sérieuse avec lui et je ne peux rien dire là-dessus. « Oh alors je pense qu'elle . . . souhaite réellement te voir et éventuellement voir comment ça se passe entre vous pour mieux approfondir », même si au fond de moi, j'ai le désir de dire l'exact contraire, mais je ne peux pas. Encore une fois, je n'en ai pas le droit. Je me sens alors devenir inutile. Je n'ai plus besoin de passer autant de temps avec lui et de toute manière, il aura mieux à faire que de me voir. C'est même certain. Je souris malgré moi quand il semble hésitant, mais en même temps j'ai un petit pincement au cœur. Il ne dit pas qu'il a besoin encore de mes conseils, il dit juste qu'il ne sait pas, puis que cela peut encore l'aider s'il rate son second rendez-vous, mais je ne sais pas pourquoi, je doute être apte à continuer de lui donner quelques conseils. Je ne sais pas si je suis encore en capacité de le faire. « On verra » dis-je simplement, frustrée et déçue, « tu as mon numéro alors si tu as besoin de moi tu me contacteras, à ce moment là ». Je suppose que par la suite je peux rester quand même amie avec lui. De toute manière, je doute pouvoir l'éviter ou même l'ignorer. Je lui pose quand même la question fatidique, à savoir s'ils se sont ou non embrassés, mais fort heureusement, ce n'est pas le cas. Ça aurait été prématuré de le faire dès le premier rendez-vous, de toute façon. Ceci dit, il n'en reste pas moins qu'elle lui a fait un bisou sur la joue, ce qui signifie qu'il y a un véritable intérêt. Instinctivement je serre les poings. Ce n'est pourtant qu'un bisou sur la joue, rien de plus, rien de moins. J'en fais souvent à mon meilleur ami, alors c'est presque banal, mais dans cette situation je doute que cela soit le cas. « Je ne la connais pas alors je peux difficilement te dire si c'est important ou non, mais je pense que ça l'est ». Je réfléchis quelques secondes et bois d'une traite le reste de champagne dans mon verre. Oui je sais un champagne ça se déguste, mais là je n'ai pas le temps pour ça. « Je pense qu'elle a de l'affection pour toi. Si elle voulait faire de toi un ami elle n'aurait pas fait un bisou sur la joue dès le premier rendez-vous. Elle aurait mis une distance entre elle et toi, alors . . . je pense que tu dois lui . . . plaire ». Je retiens quelques secondes ma respiration, sur ces derniers mots, mais me reprends rapidement. « Elle veut peut être prendre son temps avec toi, et tant mieux », et au second elle l'embrassera peut-être autre part. Je me mordille nerveusement les lèvres, et tente de retrouver ma bonne humeur en rigolant, « et bien . . . je suis contente pour toi. Tu vas enfin connaître les joies d'être en couple. Tu as bien fait de vouloir fêter ça », ou pas. Invité
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Sam 3 Déc 2016 - 11:52
Même après tant de réussites, je trouvais le moyen de douter. Pourtant, les choses semblaient claires: cette fille et moi avions toutes les chances de notre côté pour espérer vivre une belle histoire. Or, Olympe était toujours là pour me redonner confiance en moi et là encore, elle me rassura en me disant que le fait que la demoiselle veuille un second rendez-vous avec moi signifiait bien qu'elle voulait aller plus loin avec moi. Un mince sourire étira mes lèvres alors que je regardais ma coupe de champagne, cette victoire était belle mais elle n'avait pas le goût que je voulais qu'elle ait. Il manquait quelque chose, peut-être le réel enthousiasme d'Olympe que je n'arrivais pas à percevoir. Où était passée la Olympe que j'avais rencontré en Afrique du Sud? J'avais peur de réaliser qu'elle n'était plus vraiment là, maintenant que j'avais trouvé quelqu'un. Je ne savais pas comment réagir, mais j'avais peur qu'elle m'abandonne pour de bon maintenant que j'allais voler de mes propres ailes.
Sa réponse me laissa un peu dubitatif, si bien que je baissai à nouveau les yeux vers ma coupe de champagne. J'en bus une nouvelle gorgée et secouai la tête. Tu penses que tu me sers qu'à ça? J'esquissai un sourire amusé avant de reprendre: Admettons que ce deuxième rendez-vous se passe bien, je vais pas supprimer ton numéro. Je ne savais pas vraiment si c'était ce qu'elle pensait, mais dans ce cas, c'était un peu blessant. Je n'étais pas du genre à prendre quand j'avais besoin et laisser tomber quand je n'avais plus besoin. Tu risques de m'avoir dans tes pâtes encore longtemps. lui dis-je avec une pointe d'humour pour lui faire comprendre qu'elle n'allait pas se débarrasser aussi facilement de Yang Tamaki!
Selon elle, le baiser sur la joue était plutôt positif pour la suite. J'acquiesçai, rassuré, avant de porter les yeux vers la fenêtre. Je m'approchai pour regarder la vue imprenable sur les lumières de la capitale, tandis que mon doigt grattait doucement la coupe. Je ne pus la voir serrer les poings, je ne pus voir son air triste, je ne me doutais de rien. Moi, j'étais juste rêveur, content, sur un nuage alors que j'étais en train de faire du mal à une fille qui ne méritait pas ça. Je suis content. Mais quelque part, je dis ça avec hésitation, parce que j'avais le trac de me lancer dans une première vraie relation amoureuse. Alors je poussai un soupir, haussai les épaules et me tournai enfin pour regarder Olympe. Quand je posai les yeux sur elle à ce moment-là, mon coeur rata un battement. Elle était là, assise sur ce lit, une coupe de champagne à la main qu'elle ne semblait pas tenir avec grande joie, mais même avec cet air faussement joyeux, je la trouvais belle, quoiqu'elle faisait, Olympe était une jolie fille avec qui malgré ce qui nous séparait, j'avais trouvé une belle entente.
Je suis désolé de t'avoir fait venir ici pour ça. finis-je par lâcher, en baissant la tête. J'ai l'impression que ce n'est qu'un détail en fait. Je grimaçai, et si elle avait tout simplement envie d'être seule ce soir, dans sa chambre, à lire des mangas ou à regarder des dramas? Qu'il y aura plus à fêter dans les jours à venir. Plus important. et je finis par me diriger vers le lit, à m'assoir près d'elle. Les yeux d'abord rivés au sol, je finis par les poser sur elle. Je la regardai un instant, avant de lui sourire sincèrement. Tu faisais quoi, au dortoir? Fallait changer de sujet. On avait assez parlé de moi et de ma conquête.
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Même après tant de réussites, je trouvais le moyen de douter. Pourtant, les choses semblaient claires: cette fille et moi avions toutes les chances de notre côté pour espérer vivre une belle histoire. Or, Olympe était toujours là pour me redonner confiance en moi et là encore, elle me rassura en me disant que le fait que la demoiselle veuille un second rendez-vous avec moi signifiait bien qu'elle voulait aller plus loin avec moi. Un mince sourire étira mes lèvres alors que je regardais ma coupe de champagne, cette victoire était belle mais elle n'avait pas le goût que je voulais qu'elle ait. Il manquait quelque chose, peut-être le réel enthousiasme d'Olympe que je n'arrivais pas à percevoir. Où était passée la Olympe que j'avais rencontré en Afrique du Sud? J'avais peur de réaliser qu'elle n'était plus vraiment là, maintenant que j'avais trouvé quelqu'un. Je ne savais pas comment réagir, mais j'avais peur qu'elle m'abandonne pour de bon maintenant que j'allais voler de mes propres ailes. Sa réponse me laissa un peu dubitatif, si bien que je baissai à nouveau les yeux vers ma coupe de champagne. J'en bus une nouvelle gorgée et secouai la tête. Tu penses que tu me sers qu'à ça? J'esquissai un sourire amusé avant de reprendre: Admettons que ce deuxième rendez-vous se passe bien, je vais pas supprimer ton numéro. Je ne savais pas vraiment si c'était ce qu'elle pensait, mais dans ce cas, c'était un peu blessant. Je n'étais pas du genre à prendre quand j'avais besoin et laisser tomber quand je n'avais plus besoin. Tu risques de m'avoir dans tes pâtes encore longtemps. lui dis-je avec une pointe d'humour pour lui faire comprendre qu'elle n'allait pas se débarrasser aussi facilement de Yang Tamaki!
Selon elle, le baiser sur la joue était plutôt positif pour la suite. J'acquiesçai, rassuré, avant de porter les yeux vers la fenêtre. Je m'approchai pour regarder la vue imprenable sur les lumières de la capitale, tandis que mon doigt grattait doucement la coupe. Je ne pus la voir serrer les poings, je ne pus voir son air triste, je ne me doutais de rien. Moi, j'étais juste rêveur, content, sur un nuage alors que j'étais en train de faire du mal à une fille qui ne méritait pas ça. Je suis content. Mais quelque part, je dis ça avec hésitation, parce que j'avais le trac de me lancer dans une première vraie relation amoureuse. Alors je poussai un soupir, haussai les épaules et me tournai enfin pour regarder Olympe. Quand je posai les yeux sur elle à ce moment-là, mon coeur rata un battement. Elle était là, assise sur ce lit, une coupe de champagne à la main qu'elle ne semblait pas tenir avec grande joie, mais même avec cet air faussement joyeux, je la trouvais belle, quoiqu'elle faisait, Olympe était une jolie fille avec qui malgré ce qui nous séparait, j'avais trouvé une belle entente.
Je suis désolé de t'avoir fait venir ici pour ça. finis-je par lâcher, en baissant la tête. J'ai l'impression que ce n'est qu'un détail en fait. Je grimaçai, et si elle avait tout simplement envie d'être seule ce soir, dans sa chambre, à lire des mangas ou à regarder des dramas? Qu'il y aura plus à fêter dans les jours à venir. Plus important. et je finis par me diriger vers le lit, à m'assoir près d'elle. Les yeux d'abord rivés au sol, je finis par les poser sur elle. Je la regardai un instant, avant de lui sourire sincèrement. Tu faisais quoi, au dortoir? Fallait changer de sujet. On avait assez parlé de moi et de ma conquête.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Dim 4 Déc 2016 - 11:39
Tenue ▬ Je ne sais pas pour quelle raison je ressens cette crainte. Une crainte pesante qui me rend quelque peu perplexe, qui me sidère. Je me sens heureuse pour lui, vraiment, mais, quelque part, je ne me sens pas très à l'aise, un poids pesant sur mes épaules. « hum . . . », je réfléchis quelques secondes, quant à sa question, ne sachant pas quoi répondre. Je n'ai pas l'impression de servir qu'à ça, mais de base, je ne sers qu'à ça. Je ne sais pas si réellement je fais partie de ses contacts, si nous sommes réellement proches ? Je ne sais pas. Et j'ai peur de me dire que oui alors que ce n'est pas le cas, alors je préfère prendre une certaine distance, pour ne pas me brûler les ailes. Je lui fais un large sourire, quand il précise qu'il ne va quand même pas supprimer mon numéro, « je suis rassurée ». Je réalise rapidement mon erreur et agite mes mains, « ce n'est pas ce que je voulais dire, mais de base . . . je ne suis que ton coach, alors tu sais, comme souvent, lorsqu'on en a terminé avec son coach, on arrête de le voir, c'est tout ». Mais ça n'a pas l'air d'être le cas, enfin, ça ne sera sûrement pas le cas. Je l'espère. « Alors j'espère bien t'avoir encore dans mes pattes, ça ne me dérange pas du tout », surtout que je me suis inconsciemment habituée à sa présence. Mais je dois pas être la seule. Je pense. Je lui souris donc timidement. Je me sens néanmoins étrange, comme triste, peinée, alors qu'il m'indique qu'ils ont échangé un baiser. Pourtant ce n'est rien. Qu'un stupide baiser sur la joue mais je ne suis pas aussi heureuse que je ne l'aurai imaginé, pas comme avec d'autres de mes amis. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être le champagne, qui me donne une image étrange de la situation, je ne sais pas. Je me râle plusieurs fois la gorge et me contente de lui faire un grand sourire, « alors tant mieux si tu es heureux, c'est l'essentiel et le but ». Au moins il goûte à la véritable vie de couple, enfin futur couple, lui qui n'a jamais connu. Je ne sais pas ce que je peux ajouter d'autre. « Je suis heureuse pour toi aussi », ce qui est le cas, mais . . . étrangement pas autant que je ne l'aurai souhaité. J'aurai dû sauter de joie, crier fort, envoyer des messages de partout, faire la fille joyeuse qui me ressemble tant, mais non, je suis presque trop calme. Heureuse mais calme.
Je fronce des sourcils, et secoue négativement de la tête, « mais non ne dis pas ça voyons ! ». Je croise les bras contre mon torse, semblant insatisfaite d'entendre de telles paroles. « Ce n'est pas rien, c'est un grand événement que l'on se doit de fêter, et c'est normal de le faire ensemble, autour d'un champagne. Ce n'est pas un détail. Ce n'est pas n'importe quel détail ».Je lui fais un sourire qui se veut rassurant. Certes il y aura sûrement mieux à fêter, comme son véritable premier baiser, mais quand même, je préfère qu'il le fasse, qu'il reste sans rien me dire. « Et puis tu sais Tamaki, ça me fait plaisir de savoir que tu as pensé à me le dire, à fêter avec moi, tu aurais pu choisir une autre personne », mais non, il a préféré appeler son coach, même si ça se comprend, du fait que je l'ai aidé dans cette démarche. J'écarquille légèrement des yeux alors qu'il s'approche de moi, me fixant quelques secondes. Je résiste à son regard, quelques secondes seulement, me sentant sous tension. J'arrête de respirer quelques temps, mon cœur battant légèrement plus vite. Je crois que je dois arrêter le champagne, je vais finir par sombrer, au vu des symptômes que j'ai. Je souris nerveusement et fais un geste de recul, juste léger, comme pour reculer un peu du lit. « Oh rien d'important. Tu as donc bien fait de m'appeler et tu as tout intérêt à m'appeler pour d'autres choses plus importantes, je compte sur toi » dis-je en faisant un clin d’œil. J'ai envie de créer une certaine proximité avec Tamaki, dépasser le stade coach et être son . . . amie !
Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Je ne sais pas pour quelle raison je ressens cette crainte. Une crainte pesante qui me rend quelque peu perplexe, qui me sidère. Je me sens heureuse pour lui, vraiment, mais, quelque part, je ne me sens pas très à l'aise, un poids pesant sur mes épaules. « hum . . . », je réfléchis quelques secondes, quant à sa question, ne sachant pas quoi répondre. Je n'ai pas l'impression de servir qu'à ça, mais de base, je ne sers qu'à ça. Je ne sais pas si réellement je fais partie de ses contacts, si nous sommes réellement proches ? Je ne sais pas. Et j'ai peur de me dire que oui alors que ce n'est pas le cas, alors je préfère prendre une certaine distance, pour ne pas me brûler les ailes. Je lui fais un large sourire, quand il précise qu'il ne va quand même pas supprimer mon numéro, « je suis rassurée ». Je réalise rapidement mon erreur et agite mes mains, « ce n'est pas ce que je voulais dire, mais de base . . . je ne suis que ton coach, alors tu sais, comme souvent, lorsqu'on en a terminé avec son coach, on arrête de le voir, c'est tout ». Mais ça n'a pas l'air d'être le cas, enfin, ça ne sera sûrement pas le cas. Je l'espère. « Alors j'espère bien t'avoir encore dans mes pattes, ça ne me dérange pas du tout », surtout que je me suis inconsciemment habituée à sa présence. Mais je dois pas être la seule. Je pense. Je lui souris donc timidement. Je me sens néanmoins étrange, comme triste, peinée, alors qu'il m'indique qu'ils ont échangé un baiser. Pourtant ce n'est rien. Qu'un stupide baiser sur la joue mais je ne suis pas aussi heureuse que je ne l'aurai imaginé, pas comme avec d'autres de mes amis. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être le champagne, qui me donne une image étrange de la situation, je ne sais pas. Je me râle plusieurs fois la gorge et me contente de lui faire un grand sourire, « alors tant mieux si tu es heureux, c'est l'essentiel et le but ». Au moins il goûte à la véritable vie de couple, enfin futur couple, lui qui n'a jamais connu. Je ne sais pas ce que je peux ajouter d'autre. « Je suis heureuse pour toi aussi », ce qui est le cas, mais . . . étrangement pas autant que je ne l'aurai souhaité. J'aurai dû sauter de joie, crier fort, envoyer des messages de partout, faire la fille joyeuse qui me ressemble tant, mais non, je suis presque trop calme. Heureuse mais calme.Je fronce des sourcils, et secoue négativement de la tête, « mais non ne dis pas ça voyons ! ». Je croise les bras contre mon torse, semblant insatisfaite d'entendre de telles paroles. « Ce n'est pas rien, c'est un grand événement que l'on se doit de fêter, et c'est normal de le faire ensemble, autour d'un champagne. Ce n'est pas un détail. Ce n'est pas n'importe quel détail ».Je lui fais un sourire qui se veut rassurant. Certes il y aura sûrement mieux à fêter, comme son véritable premier baiser, mais quand même, je préfère qu'il le fasse, qu'il reste sans rien me dire. « Et puis tu sais Tamaki, ça me fait plaisir de savoir que tu as pensé à me le dire, à fêter avec moi, tu aurais pu choisir une autre personne », mais non, il a préféré appeler son coach, même si ça se comprend, du fait que je l'ai aidé dans cette démarche. J'écarquille légèrement des yeux alors qu'il s'approche de moi, me fixant quelques secondes. Je résiste à son regard, quelques secondes seulement, me sentant sous tension. J'arrête de respirer quelques temps, mon cœur battant légèrement plus vite. Je crois que je dois arrêter le champagne, je vais finir par sombrer, au vu des symptômes que j'ai. Je souris nerveusement et fais un geste de recul, juste léger, comme pour reculer un peu du lit. « Oh rien d'important. Tu as donc bien fait de m'appeler et tu as tout intérêt à m'appeler pour d'autres choses plus importantes, je compte sur toi » dis-je en faisant un clin d’œil. J'ai envie de créer une certaine proximité avec Tamaki, dépasser le stade coach et être son . . . amie !
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Dim 4 Déc 2016 - 16:32
J'avais envie de la croire quand elle disait qu'elle était heureuse pour moi aussi, mais j'arrivais à sentir qu'elle n'arrivait pas à être plus heureuse que ça, que quelque part, moi aussi je m'attendais à une réaction plus "Olympique", du genre des cris de joie, des sauts, mais là, elle était étrangement calme. J'en venais à me demander s'il y avait eu quoique ce soit avant que je ne la contacte. Même quand je viens m'asseoir près d'elle, je la trouvai distante. Son petit recul ne m'échappa pas, mais je ne montrai rien, je me contentai d'acquiescer avec un sourire, avant de rebaisser les yeux vers ma coupe à moitié pleine. Oui, bien sûr. T'en fais pas pour ça. Je n'avais pas l'air très emballé non plus, puisqu'au final, je voyais qu'elle n'était pas aussi heureuse que je l'avais soupçonné alors du coup, je pense que ça avait un peu déteint sur moi. Je ne m'annonçais pas grand vainqueur encore de ce combat, la désillusion pouvait tomber à tout moment encore. T'es sûre que ça va toi? finis-je par lui demander, laissant ma franchise prendre le dessus sur tout. Mais évidemment, j'étais si maladroit que je pus voir sur le visage d'Olympe une certaine gêne se dessiner. Je grimaçai en tournant la tête vers la fenêtre, avant de décider que je devais m'échapper rapidement de ce malaise.
Je reviens. Mais alors que je m'apprêtai à me lever pour aller aux toilettes, mon geste un peu trop brusque fit sortir le champagne de ma coupe. Une bonne partie était tombée sur Olympe, ses vêtements étaient maintenant mouillés de champagne. Oh non... Je restai figé ainsi quelques secondes, comme un idiot face à sa connerie, avant de poser immédiatement ma coupe sur la table de chevet. J'approchai d'Olympe pour regarder l'état de ses vêtements, alors que je commençai à m'énerver tout seul. Quel empoté j'étais! J'suis désolé, vraiment désolé. Je m'appuyai une main sur le front et attrapai Olympe par la main pour la lever du lit et la conduire avec moi à la salle de bain. Viens, je vais essayer de rattraper ma bêtise. Et une fois dans la salle de bains, je tournai sur moi-même à la recherche d'une serviette de bain. Elles étaient en hauteur, posées sur un présentoir. J'en attrapai une sans difficulté et la dépliai avant de m'abaisser légèrement à la hauteur d'Olympe ou du moins, de son t-shirt. Je passai un peu la serviette sur la tâche de champagne de ma main droite, tandis que ma main gauche tirait légèrement sur son t-shirt. Mais quand je réalisai que ma main frôlait presque la peau de sa ventre, je déglutis nerveusement mais me fis violence parce qu'il fallait que je continue. Je frottai un peu sur la tâche jusqu'à me redresser, surtout, ne pas croiser le regard d'Olympe. Surtout pas... Surtout pas... Mais voilà que mes yeux finissent par se lever pour la regarder. J'avais dit non, mais allez savoir pourquoi je n'avais pas contrôlé ça. Mes yeux avaient besoin de la regarder. Ca ne part pas... dis-je, avant de décider de mouiller un peu la serviette d'eau. Si seulement je savais que le champagne ne partait pas si facilement, j'aurais pu éviter de passer pour un gros idiot. Je quittais un malaise pour en créer un autre.
Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
Feat Olympe ▬ Tamalympe ♥
J'avais envie de la croire quand elle disait qu'elle était heureuse pour moi aussi, mais j'arrivais à sentir qu'elle n'arrivait pas à être plus heureuse que ça, que quelque part, moi aussi je m'attendais à une réaction plus "Olympique", du genre des cris de joie, des sauts, mais là, elle était étrangement calme. J'en venais à me demander s'il y avait eu quoique ce soit avant que je ne la contacte. Même quand je viens m'asseoir près d'elle, je la trouvai distante. Son petit recul ne m'échappa pas, mais je ne montrai rien, je me contentai d'acquiescer avec un sourire, avant de rebaisser les yeux vers ma coupe à moitié pleine. Oui, bien sûr. T'en fais pas pour ça. Je n'avais pas l'air très emballé non plus, puisqu'au final, je voyais qu'elle n'était pas aussi heureuse que je l'avais soupçonné alors du coup, je pense que ça avait un peu déteint sur moi. Je ne m'annonçais pas grand vainqueur encore de ce combat, la désillusion pouvait tomber à tout moment encore. T'es sûre que ça va toi? finis-je par lui demander, laissant ma franchise prendre le dessus sur tout. Mais évidemment, j'étais si maladroit que je pus voir sur le visage d'Olympe une certaine gêne se dessiner. Je grimaçai en tournant la tête vers la fenêtre, avant de décider que je devais m'échapper rapidement de ce malaise. Je reviens. Mais alors que je m'apprêtai à me lever pour aller aux toilettes, mon geste un peu trop brusque fit sortir le champagne de ma coupe. Une bonne partie était tombée sur Olympe, ses vêtements étaient maintenant mouillés de champagne. Oh non... Je restai figé ainsi quelques secondes, comme un idiot face à sa connerie, avant de poser immédiatement ma coupe sur la table de chevet. J'approchai d'Olympe pour regarder l'état de ses vêtements, alors que je commençai à m'énerver tout seul. Quel empoté j'étais! J'suis désolé, vraiment désolé. Je m'appuyai une main sur le front et attrapai Olympe par la main pour la lever du lit et la conduire avec moi à la salle de bain. Viens, je vais essayer de rattraper ma bêtise. Et une fois dans la salle de bains, je tournai sur moi-même à la recherche d'une serviette de bain. Elles étaient en hauteur, posées sur un présentoir. J'en attrapai une sans difficulté et la dépliai avant de m'abaisser légèrement à la hauteur d'Olympe ou du moins, de son t-shirt. Je passai un peu la serviette sur la tâche de champagne de ma main droite, tandis que ma main gauche tirait légèrement sur son t-shirt. Mais quand je réalisai que ma main frôlait presque la peau de sa ventre, je déglutis nerveusement mais me fis violence parce qu'il fallait que je continue. Je frottai un peu sur la tâche jusqu'à me redresser, surtout, ne pas croiser le regard d'Olympe. Surtout pas... Surtout pas... Mais voilà que mes yeux finissent par se lever pour la regarder. J'avais dit non, mais allez savoir pourquoi je n'avais pas contrôlé ça. Mes yeux avaient besoin de la regarder. Ca ne part pas... dis-je, avant de décider de mouiller un peu la serviette d'eau. Si seulement je savais que le champagne ne partait pas si facilement, j'aurais pu éviter de passer pour un gros idiot. Je quittais un malaise pour en créer un autre.
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