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Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Lun 5 Déc 2016 - 15:27 Citer EditerSupprimer
Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them
Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Je fais un grand sourire à Tamaki et lui fais un clin d'oeil quand il me rassure sur le fait de l'avoir toujours dans mon environnement. Je pense qu'au fond, c'est ce qui m'inquiétait le plus. De disparaître comme ça, dans sa vie, laissant une fine trace de mon passage. Il est facile d'oublier une personne surtout si celle-ci avait un but précis pour rentrer la vie de x personne. On s'attache, se détache, se ré-attache et ainsi de suite. C'est le cycle infernal des rencontres. Tamaki semble se douter que quelque chose ne va pas, puisqu'il me demande si tout va bien, et je m'empresse de hocher de la tête, pour ne pas l'inquiéter plus. Il doit sûrement remarquer que je ne suis pas aussi enjouée que d'habitude. « Oh non, tout va bien, ne t'en fais pas, je pense que je suis juste un peu ramollie à cause du champagne et de l'heure aussi» , ce qui peut aussi être un facteur, mais je sais pertinemment au fond de moi que ce n'est pas le facteur principal de ce côté si passif que j'ai ce soir. Je suis moi-même surprise d'une telle réaction et je ne la comprends peut-être pas réellement. « Ne t'en fais pas ! », dis-je pour la seconde fois, qu'il ne s'inquiète pas plus. Je me racle la gorge, pour essayer de reprendre mon énergie habituelle, mais c'est à ce moment là que Tamaki verse le contenu de son champagne sur moi, me mouillant totalement, enfin une bonne partie en tout cas. Je fais un geste de recul, surprise par la soudaine froideur de mon tee-shirt, « aish ». Mais je n'ai pas le temps de réaliser plus la situation que Tamaki prend soudainement ma main pour m'amener avec lui, dans la salle de bain. Mes joues s'empourprent soudainement,sans même avoir le moindre contrôle et mes yeux s'abaissent lentement jusqu'à nos deux mains liées. La chaleur de sa main me donne quelques papillons au niveau du ventre, étrange sentiment, connu et pourtant si longtemps oublié. Je me mords nerveusement la joue, et laisse Tamaki s'occuper de mon Tee-shirt, mes yeux posés sur lui. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire, le trouvant attendrissant. Il est toujours là, à me protéger, me surveiller, toujours présent pour me faire sourire aussi. Un véritable ami que je ne veux sûrement pas perdre n'est-ce pas ? Toutes ces filles, et surtout cette fille, elles en ont de la chance. J'aurai peut-être souhaité avoir un tel petit ami, si prévenant, si doux, si . . . Mes pensées s'arrêtent brusquement lorsque mes yeux rencontrent les siens, me sentant être prise en plein flagrant délit. J'écarquille légèrement les yeux, surprise. J'ai le sentiment qu'il vient de sonder mon esprit et qu'il a tout entendu. J'agite nerveusement mes mains vers lui, « non, ce n'est pas ce que j'ai dit, tu n'es pas parfait ». Je cligne plusieurs fois des yeux, réalisant que je viens de faire une bêtise et que ce n'est absolument pas ce qu'il a dit. « Pa . . . pardon. Je n'ai pas dit ça. J'ai pas compris . . . », ma gorge se noue, me sentant terriblement mal, « c'est bon, je . . . retourne là-bas ». Je m'écarte de lui et avance jusqu'à la porte mais à peine fais-je un pas que je glisse sur quelque chose et tombe sur lui, le renversant sur le passage. Oh non. « P . . . pardon Tamaki ! ». Je n'ose pas me relever, fermant les yeux craignant de me retrouver dans une situation encore plus délicate. Décidément, ce n'est pas le bon soir, ce soir !
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Mer 7 Déc 2016 - 10:23 Citer EditerSupprimer
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Feat Olympe ▬ Tamalympe ♥
Décidément, j'étais pas doué quand il s'agissait de faire attention aux choses. Des gestes brusques, j'en avais parfois mais celui-ci, c'est bien la première fois qu'il m'arrive. Renverser du champagne sur une fille... Je ne savais même plus où me mettre mais sans perdre plus de temps, j'avais attrapé la main d'Oly pour la conduire jusqu'à la salle de bain pour essayer de faire partir la tache en frottant avec une serviette. Ce qui était marrant, c'est qu'Olympe sentait le champagne à 2km à cause de moi, et ça me fit sourire intérieurement tandis que je m'efforçais de faire partir cette foutue tâche. Mais c'était peine perdue, même avec un peu d'eau, ça ne partait pas. Je soupirai et levai les yeux vers Olympe pour lui dire que ça ne partait pas. Mais elle me lança un regard surpris, comme si ce que je venais de lui dire l'avait mise dans une colère noire. Ou qu'elle s'y attendait pas. J'étais prêt à m'excuser une fois de plus mais la situation se retourna, contre elle. Elle se mit à avouer des choses à voix haute auxquelles je ne m'y attendais même pas. Les yeux grand ouverts, je la regardai alors qu'elle mit ses mains devant sa bouche. Que venait-elle de dire? Elle était complètement perdue dans ses pensées et elle m'entraînait avec elle.
Qu'est-ce que tu dis? je fronçai les sourcils, totalement paumé, mais elle me répondit presque aussitôt qu'elle allait retourner dans la pièce à côté. Elle me passa à côté mais je ne sais comment, je me retrouvai bien vite par terre alors qu'Olympe m'était tombée dessus de tout son poids. Mon dos avait tapé le sol et j'avais arraché une vilaine grimace alors que mes mains, instinctivement, avaient retenu Olympe pour lui amortir la chute sur moi. Posées sur ses épaules, mes mains restèrent ainsi un moment avant que je ne reprenne les esprits. Sur quoi avait-elle glissé au juste? Bon sang je voyais les étoiles, mon dos me faisait trop mal. Après quelques minutes à attendre que la douleur passe, je finis par me redresser, redressant aussi Olympe par la même occasion qui s'était retrouvée sur moi. Je penchai la tête pour regarder dans ses yeux. Ca va?! lui demandai-je, d'abord sérieux, avant qu'un petit sourire moqueur ne vint doucement étirer mes lèvres. Comment t'as fait pour tomber ici? je détournai les yeux et vis qu'elle avait dû glisser sur le tapis de bain. Je secouai la tête, toujours un poil moqueur, avant de me relever et de la relever avec moi. Une fois debout, la douleur revint me frapper le dos et je posai aussitôt une main dessus, avant de grimacer une nouvelle fois. Outch. Je dois m'allonger. Viens, on sort d'ici. J'éteignis la lumière et rejoignis rapidement le lit. Je m'allongeait dessus, en travers, une main posée sur mon front. Pas grave pour la tâche, j'espère que ça partira au lavage. Ouais parce que là, j'avais hyper mal au dos.
Qu'est-ce que tu dis? je fronçai les sourcils, totalement paumé, mais elle me répondit presque aussitôt qu'elle allait retourner dans la pièce à côté. Elle me passa à côté mais je ne sais comment, je me retrouvai bien vite par terre alors qu'Olympe m'était tombée dessus de tout son poids. Mon dos avait tapé le sol et j'avais arraché une vilaine grimace alors que mes mains, instinctivement, avaient retenu Olympe pour lui amortir la chute sur moi. Posées sur ses épaules, mes mains restèrent ainsi un moment avant que je ne reprenne les esprits. Sur quoi avait-elle glissé au juste? Bon sang je voyais les étoiles, mon dos me faisait trop mal. Après quelques minutes à attendre que la douleur passe, je finis par me redresser, redressant aussi Olympe par la même occasion qui s'était retrouvée sur moi. Je penchai la tête pour regarder dans ses yeux. Ca va?! lui demandai-je, d'abord sérieux, avant qu'un petit sourire moqueur ne vint doucement étirer mes lèvres. Comment t'as fait pour tomber ici? je détournai les yeux et vis qu'elle avait dû glisser sur le tapis de bain. Je secouai la tête, toujours un poil moqueur, avant de me relever et de la relever avec moi. Une fois debout, la douleur revint me frapper le dos et je posai aussitôt une main dessus, avant de grimacer une nouvelle fois. Outch. Je dois m'allonger. Viens, on sort d'ici. J'éteignis la lumière et rejoignis rapidement le lit. Je m'allongeait dessus, en travers, une main posée sur mon front. Pas grave pour la tâche, j'espère que ça partira au lavage. Ouais parce que là, j'avais hyper mal au dos.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Mer 7 Déc 2016 - 18:50 Citer EditerSupprimer
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Je me sens mal. Terriblement mal. Entre ma phrase précédente et ça, je suis faite pour la guillotine, je suis certaine. Au lieu de fuir, délicatement, et discrètement, je me retrouve sur lui, tout ça à cause d'une stupide glissade de ma part et je n'ose imaginer les dégâts. Je n'ai qu'une envie, c'est de disparaître sous terre, loin, très loin de cet hôtel, de lui, de tout. J'ai envie de prendre une machine à remonter le temps, et effacer ces erreurs de ma part, comme si elles n'avaient jamais existé. Mais, malheureusement, ce n'est qu'un rêve et je ne peux pas changer le passé, le cours des événements. Si j'avais pu le faire, je l'aurai fait. J'avale difficilement ma salive et me relève avec l'aide de Tamaki, quelques minutes après, le cœur palpitant et le regard baissé. Je n'ose même pas parler et surtout pas faire un pas de plus. Je me racle toutefois plusieurs fois la gorge, pour essayer de parler, un minimum, « oui, ça va », dis-je doucement. Ce n'est même pas à lui de s'inquiéter, mais c'est surtout moi qui devrais m'inquiéter pour sa santé, « et toi ? ». Je hausse des épaules quand il me demande comment j'ai fait pour glisser, mais sincèrement, je ne saurai même pas lui répondre et je n'ai pas envie de connaître la source de ma chute. Je fronce des sourcils, levant enfin les yeux, paniquée, en l'entendant dire qu'il doit se reposer. Il a sûrement dû se faire très mal, le pauvre. Il faut dire que je ne suis pas non plus un poids plume et que le sol n'est pas aussi doux que du coton. Je l'accompagne donc jusqu'à la chambre, en regardant son dos qui doit être douloureux. Je me penche en avant plusieurs fois, « désolée Tamaki, je ne voulais pas te faire du mal. Vraiment désolée ». Je me donne une petite tape sur le front, comme pour me punir de tant de maladresse. Faut vraiment que ça tombe toujours sur moi. A croire que j'ai le mauvais œil sur moi, dans les circonstances adéquates. Aish, je suis vraiment impossible quand je m'y mets. Je m'approche de lui et tapote légèrement son dos, « ça fait mal ? Beaucoup ? ». Je le regarde, totalement inquiète, oubliant presque la scène précédente, « tu ne veux pas que j'appelle le samu, ou quelque chose comme ça ? Imagine que tu t'es cassé quelque chose ? Et que c'est de ma faute ». Je ne peux pas partir et le laisser ainsi, mais en même temps, je n'ai qu'une envie, c'est de fuir loin, très loin.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Sam 24 Déc 2016 - 9:18 Citer EditerSupprimer
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Feat Olympe ▬ Tamalympe ♥
Me voilà, moi, Tamaki, 26 piges, le dos ruiné suite à une chute imprévue avec une fille. Allongé sur ce lit d'hôtel (très confortable je dois préciser), je me remémore ma soirée entière alors que mes yeux sont posés sur le plafond de cette chambre. Je repense soudainement à ce bisou, à toute ma soirée avec ma première vraie prétendante, et puis la voix d'Olympe résonne dans mes oreilles. Bizarrement, j'oublie tout. Tout ce qui m'a poussé à l'appeler, pourquoi j'étais si heureux au départ. J'oublie absolument tout, et je tourne la tête vers elle pour la regarder simplement parce que finalement, il me semble avoir moins mal au dos quand je l'entends s'inquiéter comme ça. C'était peut-être psychologique, ou magique, mais réaliser que j'étais avec elle venait de changer bien des choses dans mon esprit.
Un sourire étire mes lèvres. Un sourire un poil moqueur alors qu'elle s'imagine les pires scénarios. Cassé quelque chose? m'étonné-je, avant de secouer lentement la tête. Si je m'étais cassé quelque chose, j'aurais même pas été capable de me lever. J'en connaissais tout un rayon sur l'anatomie, bien que j'étudiais celle les animaux, les êtres humains avaient quasiment les mêmes structures que leurs amis les bêtes. J'essaye de trouver une position qui me soulagerait, je viens donc me redresser légèrement mais rien à faire. Je finis donc par me lever du lit, et viens m'allonger sur le sol. Olympe doit se demander ce que je fais, mais je fais exactement ce qu'il faut lorsqu'une douleur au dos survient. Mon père le faisait souvent quand j'étais petit. Me voilà en train de l'imiter alors que j'ai 26 ans. Je relevai discrètement la tête vers Olympe, avant de sourire. Viens. Lui dis-je. Elle me lance un regard dubitatif, j'esquisse un nouveau sourire, moqueur, et tends la main vers elle. Viens, là, à côté de moi. je désigne avec mon autre main la place qu'il y avait à côté de moi, sur le carrelage. C'est à cause de toi si j'ai mal alors viens me tenir compagnie ici. Ca va passer. j'en étais quasi certain qu'à force de discuter avec elle, la douleur s'en irait. Quel genre de personnes trouvait le temps de s'allonger par terre dans une telle chambre d'hôtel alors qu'il y avait un lit des plus confortables à côté? J'aimais être borderline, je crois qu'elle aussi elle était un peu comme ça. Au final, en Olympe, j'avais trouvé plus de stabilité que je n'avais accumulé depuis mon arrivée à Séoul. C'est fou ce qu'une personne peut vous changer en si peu de temps, et vous faire du bien.
Un sourire étire mes lèvres. Un sourire un poil moqueur alors qu'elle s'imagine les pires scénarios. Cassé quelque chose? m'étonné-je, avant de secouer lentement la tête. Si je m'étais cassé quelque chose, j'aurais même pas été capable de me lever. J'en connaissais tout un rayon sur l'anatomie, bien que j'étudiais celle les animaux, les êtres humains avaient quasiment les mêmes structures que leurs amis les bêtes. J'essaye de trouver une position qui me soulagerait, je viens donc me redresser légèrement mais rien à faire. Je finis donc par me lever du lit, et viens m'allonger sur le sol. Olympe doit se demander ce que je fais, mais je fais exactement ce qu'il faut lorsqu'une douleur au dos survient. Mon père le faisait souvent quand j'étais petit. Me voilà en train de l'imiter alors que j'ai 26 ans. Je relevai discrètement la tête vers Olympe, avant de sourire. Viens. Lui dis-je. Elle me lance un regard dubitatif, j'esquisse un nouveau sourire, moqueur, et tends la main vers elle. Viens, là, à côté de moi. je désigne avec mon autre main la place qu'il y avait à côté de moi, sur le carrelage. C'est à cause de toi si j'ai mal alors viens me tenir compagnie ici. Ca va passer. j'en étais quasi certain qu'à force de discuter avec elle, la douleur s'en irait. Quel genre de personnes trouvait le temps de s'allonger par terre dans une telle chambre d'hôtel alors qu'il y avait un lit des plus confortables à côté? J'aimais être borderline, je crois qu'elle aussi elle était un peu comme ça. Au final, en Olympe, j'avais trouvé plus de stabilité que je n'avais accumulé depuis mon arrivée à Séoul. C'est fou ce qu'une personne peut vous changer en si peu de temps, et vous faire du bien.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Lun 2 Jan 2017 - 18:17 Citer EditerSupprimer
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Feat Tamaki ▬ Tamalympe ♥
Tenue ▬ Je ne me fais pas me mentir mais je suis littéralement inquiète pour Tamaki, surtout que c'est de ma faute s'il est dans cet état, le dos lui faisant terriblement mal. Je me maudis juste pour avoir osé glisser et me rattraper sur lui. Décidément, je ne suis pas une fille très chanceuse, je dirai même que je suis malchanceuse. Il n'est pas là mon porte bonheur, par hasard ? Ça m'aiderait. S'il lui arrive quelque chose ? Et s'il se retrouve avec le dos bloqué, à vie ? Comment vais-je pouvoir le supporter ? Vais-je être capable de le revoir, de le rencontrer de nouveau ? Inconsciemment mon esprit me dit de ne pas paniquer autant et qu'il ne s'est sûrement pas autant blessé que ça, mais je ne peux m'empêcher d'imaginer le pire. Je me sens toutefois légèrement rassurée lorsqu'il me dit que ce n'est pas si grave que ça. Enfin c'est ce qu'il dit. Je ne sais pas si je dois croire en ses paroles ou si je dois croire ce que j'imagine. Je le regarde intensément, plissant légèrement des yeux, « c'est vrai ce mensonge ? ». Il se lève et fait quelque chose d'assez étrange, je dirai même de totalement étrange. Il s'allonge soudainement sur le sol froid, le faisant de manière très naturelle, « Tama . . . ki ? ». Je murmure doucement son prénom me demandant si le choc du dos n'a pas fait d'autres dégâts bien plus graves. Je ne dis pas que s'allonger sur le sol est inhumain, je le fais parfois, parce que j'ai envie de dormir sur le sol ou pour simplement m'amuser mais venant de lui c'est étonnant. Je reste quelques secondes inerte, clignant rapidement des cils, essayant de comprendre le but de tout ça. Je sens une certaine chaleur parcourir mon corps, une énergie nouvelle s'infiltrant. « Euh . . . de . . . . comment » . Mes yeux s'écarquillent doucement, semblant être en retard, entendant les propos du jeune homme. Il veut que je fasse quoi ? M'allonger à ses côtés ? D'ordinaire, ça ne m'aurait pas dérangé, mais dans cette situation, je ne me sens pas à l'aise. Absolument pas. Certes il ne me demande pas de dormir dans le même lit que lui mais c'est presque similaire. Si je refuse il risque de le prendre mal et si je ne refuse pas, je sais que je ne vais pas être à l'aise, alors quelle option choisir ? Aucune des deux ne me comble.
Quelques secondes passent, mon regard tourné vers lui, mais je finis par prendre ma décision et me place à ses côtés. « Tu penses que ça aide à avoir moins mal au dos cette position ». Sincèrement je doute. Pour une personne habituée, le sol n'est rien mais pour une personne qui ne l'est pas, ça a le don de faire encore plus mal. Mais je ne suis pas médecin alors j'en sais sûrement moins que lui. « On a pas l'air idiot allongés comme ça », j'esquisse un bref sourire, regardant le plafond qui se trouve face à nous. « Merci . . . », j'inspire profondément, et finis par reprendre, « de m'avoir appelé. Je suis heureuse de savoir que tu as pensé immédiatement à moi après ce rendez-vous ». Rien de ce que je dis ne doit porter à confusion. Enfin, normalement pas. « Pourquoi ? ». Question stupide je sais mais je veux quand même qu'il me le dise. « Enfin je comprends, et je crois que tu me l'as déjà dit, je suis ton coach. Mais tu aurais très bien pu fêter ça avec une autre personne, alors pourquoi moi ? ». Mon visage se tourne délicatement jusqu'à celui de Tamaki,mes yeux observant chaque détail, chaque expression de son visage. Je me lève soudainement, gênée, pour une raison inconnue. Je ne me sens pas très bien. «Oublie. Et je crois que je vais devoir rentrer et il se fait tard. Je risque de ne pas pouvoir entrer dans le dortoir si je rentre trop tard ». Je rigole, essayant de rendre l'atmosphère moins pesante pour moi.
Quelques secondes passent, mon regard tourné vers lui, mais je finis par prendre ma décision et me place à ses côtés. « Tu penses que ça aide à avoir moins mal au dos cette position ». Sincèrement je doute. Pour une personne habituée, le sol n'est rien mais pour une personne qui ne l'est pas, ça a le don de faire encore plus mal. Mais je ne suis pas médecin alors j'en sais sûrement moins que lui. « On a pas l'air idiot allongés comme ça », j'esquisse un bref sourire, regardant le plafond qui se trouve face à nous. « Merci . . . », j'inspire profondément, et finis par reprendre, « de m'avoir appelé. Je suis heureuse de savoir que tu as pensé immédiatement à moi après ce rendez-vous ». Rien de ce que je dis ne doit porter à confusion. Enfin, normalement pas. « Pourquoi ? ». Question stupide je sais mais je veux quand même qu'il me le dise. « Enfin je comprends, et je crois que tu me l'as déjà dit, je suis ton coach. Mais tu aurais très bien pu fêter ça avec une autre personne, alors pourquoi moi ? ». Mon visage se tourne délicatement jusqu'à celui de Tamaki,mes yeux observant chaque détail, chaque expression de son visage. Je me lève soudainement, gênée, pour une raison inconnue. Je ne me sens pas très bien. «Oublie. Et je crois que je vais devoir rentrer et il se fait tard. Je risque de ne pas pouvoir entrer dans le dortoir si je rentre trop tard ». Je rigole, essayant de rendre l'atmosphère moins pesante pour moi.
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Re: Sad thing is, you can still love someone and be wrong for them | Mer 4 Jan 2017 - 13:42 Citer EditerSupprimer
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Feat Olympe ▬ Tamalympe ♥
Le sourire aux lèvres, j'écoutais Olympe bégayer à la simple vue de mon corps allongé au sol. Elle devait se poser plein de questions, je commençais à la connaître, et ça me faisait sourire, un peu moqueur je dois dire. Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi je faisais ça mais je voulais lui montrer pourquoi je le faisais. A chaque fois que mon dos me faisait mal, ça me soulageait. Et j'en savais tout un rayon sur les problèmes de dos, entre mon père et moi-même. Alors, comme si de rien n'était, je tapotai la main sur le sol, à côté de moi, invitant Olympe à s'allonger à mes côtés. Elle en perdit ses mots. Je relevai la tête légèrement pour la regarder, un petit rictus aux lèvres. Je finis par reposer la tête au sol, je me demandais bien quand est-ce qu'elle allait se décider. Ca passe ou ça casse, me dis-je. Soit elle accepte, soit elle fuit à toute vitesse. A vrai dire, je m'attendais à toutes les possibilités avec Oly. Je m'attendais à la voir partir, parce que je devais l'effrayer un peu, mais qu'elle ne fut pas ma surprise quand je la vis, avec hésitation certes, venir se poser à côté de moi, par terre. Je la suivis du regard, silencieux, pensif et surtout surpris.
Moi, ça me soulage. répondis-je à sa question en reposant ma tête contre le sol. Et, les yeux fermés, je me remémorai mon enfance, un sourire rêveur aux lèvres. Ado, j'ai beaucoup souffert du dos. Pas parce que je me tenais mal, mais parce que j'ai grandi trop vite. Ma mère me répétait toujours qu'elle n'avait pas vraiment eu le temps de réaliser. Que, c'était comme si elle avait tourné le dos 2 secondes et qu'en ces 2 secondes, j'avais pris 20 centimètres. A l'école, j'étais devenu le plus grand des garçons. C'était gênant. Un petit rire passa mes lèvres, avant que je n'ouvre les yeux. Je regardai le plafond de l'hôtel, tandis qu'un silence envahit la pièce. Ce silence, je ne savais pas trop ce qu'il voulait dire, mais je l'appréciais. La présence d'Olympe à mes côtés apaisait mon coeur, et me faisait trop vite oublier pourquoi elle était venue ce soir. Elle me faisait oublier cette fille.
La voix d'Olympe retentit pour briser le silence, mais elle me laissa perplexe une seconde. Pourquoi me remerciait-elle? Les sourcils froncés, j'écoutai ses explications. Finalement, ce qu'elle m'avait laissé penser en se comportant d'une drôle de façon tout le long, s'évapora lorsque je la vis plutôt heureuse pour moi et pour l'avancée que prenait ma relation avec la fille du café. Je ne savais pas trop quoi penser ni quoi répondre, mais je haussai légèrement les épaules avant de tourner la tête pour la regarder, et nos yeux entrèrent en contact. Comme si, le temps de ces quelques secondes, un message venait de se transmettre. Mais alors que j'étais sur le point de lui répondre, elle se leva brusquement. Ce qui me fit me redresser, toujours assis au sol. Qu'est-ce qui venait de passer, exactement? Est-ce que le fait que je la regarde dans les yeux l'avait tant déstabilisé? Je baissai la tête, pensif, pour regarder au sol alors qu'elle me dit qu'elle allait partir. J'acquiesçai, simplement, avant de chuchoter un d'accord pas très enthousiaste m'enfin, je pouvais toujours me lever pour la retenir. Or, je n'étais pas encore bien droit dans mes bask pour savoir ce que je devais faire ou pas. Olympe n'était rien d'autre que mon amie à mes yeux mais la façon dont on se comportait l'un envers l'autre était bizarre. Ce soir, pour la première fois, je venais à me poser des questions sur ce qu'elle ressentait vraiment pour moi, et sur ce que je ressentais vraiment pour elle.
Je me mis debout, et me dirigeai vers la porte de la chambre alors qu'elle était déjà rhabillée. Merci d'être venue. finis-je par lui déclarer, un sourire sincère aux lèvres. Qu'elle fuie ne me gênait pas et ne me vexait pas non plus, je pouvais comprendre qu'elle soit mal à l'aise. C'était un peu ma faute d'un côté. Alors, la tête appuyée contre la porte, je la regarde partir et s'éloigner de moi, comme un loser pas capable de la retenir parce qu'au fond, j'aurais voulu qu'elle reste un peu plus.
Espérons que je puisse me rattraper, une autre fois.
Moi, ça me soulage. répondis-je à sa question en reposant ma tête contre le sol. Et, les yeux fermés, je me remémorai mon enfance, un sourire rêveur aux lèvres. Ado, j'ai beaucoup souffert du dos. Pas parce que je me tenais mal, mais parce que j'ai grandi trop vite. Ma mère me répétait toujours qu'elle n'avait pas vraiment eu le temps de réaliser. Que, c'était comme si elle avait tourné le dos 2 secondes et qu'en ces 2 secondes, j'avais pris 20 centimètres. A l'école, j'étais devenu le plus grand des garçons. C'était gênant. Un petit rire passa mes lèvres, avant que je n'ouvre les yeux. Je regardai le plafond de l'hôtel, tandis qu'un silence envahit la pièce. Ce silence, je ne savais pas trop ce qu'il voulait dire, mais je l'appréciais. La présence d'Olympe à mes côtés apaisait mon coeur, et me faisait trop vite oublier pourquoi elle était venue ce soir. Elle me faisait oublier cette fille.
La voix d'Olympe retentit pour briser le silence, mais elle me laissa perplexe une seconde. Pourquoi me remerciait-elle? Les sourcils froncés, j'écoutai ses explications. Finalement, ce qu'elle m'avait laissé penser en se comportant d'une drôle de façon tout le long, s'évapora lorsque je la vis plutôt heureuse pour moi et pour l'avancée que prenait ma relation avec la fille du café. Je ne savais pas trop quoi penser ni quoi répondre, mais je haussai légèrement les épaules avant de tourner la tête pour la regarder, et nos yeux entrèrent en contact. Comme si, le temps de ces quelques secondes, un message venait de se transmettre. Mais alors que j'étais sur le point de lui répondre, elle se leva brusquement. Ce qui me fit me redresser, toujours assis au sol. Qu'est-ce qui venait de passer, exactement? Est-ce que le fait que je la regarde dans les yeux l'avait tant déstabilisé? Je baissai la tête, pensif, pour regarder au sol alors qu'elle me dit qu'elle allait partir. J'acquiesçai, simplement, avant de chuchoter un d'accord pas très enthousiaste m'enfin, je pouvais toujours me lever pour la retenir. Or, je n'étais pas encore bien droit dans mes bask pour savoir ce que je devais faire ou pas. Olympe n'était rien d'autre que mon amie à mes yeux mais la façon dont on se comportait l'un envers l'autre était bizarre. Ce soir, pour la première fois, je venais à me poser des questions sur ce qu'elle ressentait vraiment pour moi, et sur ce que je ressentais vraiment pour elle.
Je me mis debout, et me dirigeai vers la porte de la chambre alors qu'elle était déjà rhabillée. Merci d'être venue. finis-je par lui déclarer, un sourire sincère aux lèvres. Qu'elle fuie ne me gênait pas et ne me vexait pas non plus, je pouvais comprendre qu'elle soit mal à l'aise. C'était un peu ma faute d'un côté. Alors, la tête appuyée contre la porte, je la regarde partir et s'éloigner de moi, comme un loser pas capable de la retenir parce qu'au fond, j'aurais voulu qu'elle reste un peu plus.
Espérons que je puisse me rattraper, une autre fois.
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