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Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥]
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Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Mar 15 Nov - 1:45 Citer EditerSupprimer
Shit ! Why i'm your slave today ?
Feat Calvin - #Molvin ♥
Je passe rapidement voir mon compte en banque, pour vérifier la somme actuelle sur mon compte, et pousse un long soupir désespéré lorsque je vois que ce n'est pas très flamboyant. Je me gratte quelques secondes la tête, m demandant comment est-ce que ce mois-ci je vais pouvoir m'en sortir. Je ne peux pas demander de l'aide à ma mère ni même à mes frères et sœurs. Ils ont chacun leur propre souci et je ne veux pas leur réclamer de l'argent alors que je ne l'ai encore jamais fait. Je préfère me donner corps à âme pour ramener de l'argent par moi-même que leur faire une telle demande. Ils ne roulent pas non plus sur l'or alors je préfère éviter. Je garde précieusement le papier de mon compte dans mon porte-feuille, m'en allant vers un sacré boulot, qui m'attend. Cela fait plusieurs jours que je tente de trouver un travail en dehors de mes heures au McDo, pour avoir un salaire supplémentaire, même minime, mais qui me permet de gagner au moins quelques billets. J'ai mi énormément de temps avant de trouver quelque chose pour finalement me rabattre en tant que femme de ménage. Je ne vais pas tout le temps le faire, juste quelques fois, pas plus, car je n'aime pas ce métier si dégradant. Je ne trouve pas cela sain de nettoyer la cochonnerie des autres, autant parfois cela peut être agréable, autant parfois cela put être une véritable torture. Juste à y penser, j'ai quelques nausées et l'envie de faire demi-tour, mais je dois uniquement me concentrer sur l'argent qui va en découler et rien d'autre. Si je pense positivement et à l'argent, je pense que ça va aller. Je joins mes poings pour me donner du courage. Je peux le faire, ça ne doit pas être si compliqué que ça de faire le ménage chez les autres. De toute manière, je vais bien voir aujourd'hui ce que ça va donner et si je peux survivre ou non. C'est mon tout premier jour en tant que femme de ménage, je vais donc expérimenter pour la première fois ce statue si particulier. J'ai à la fois hâte et à la fois je me sens anxieuse. Je ne sais pas ce qui m'attend. Normalement aujourd'hui je dois m'occuper d'un appartement d'un jeune, d'un étudiant, de ce que j'ai pu comprendre et je sais pertinemment que c'est soit je tombe sur une personne moyennement sale soit je tombe sur une vraie pourriture. A voir.
J'arrive enfin à l'adresse qui m'a été donnée, avançant prudemment jusqu’au numéro de l'appartement. Je colle mon oreille contre la porte pour vérifier s'il n'y a pas de bruits étranges ou suspects qui pourraient me mettre sur la piste du type d'appartement, mais rien. Je finis par frapper timidement à la porte, « Bonjour . . . .euh . . . c'est la . . . .femme de ménage ». C'est très étrange de dire ça comme ça. C'est une expérience nouvelle.
J'arrive enfin à l'adresse qui m'a été donnée, avançant prudemment jusqu’au numéro de l'appartement. Je colle mon oreille contre la porte pour vérifier s'il n'y a pas de bruits étranges ou suspects qui pourraient me mettre sur la piste du type d'appartement, mais rien. Je finis par frapper timidement à la porte, « Bonjour . . . .euh . . . c'est la . . . .femme de ménage ». C'est très étrange de dire ça comme ça. C'est une expérience nouvelle.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Mar 15 Nov - 10:58 Citer EditerSupprimer
Shit ! Why i'm your slave today ?
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
C’est tellement un champ de mine que parfois, on peut se demander comment certaines choses sont arrivées là. Que fait cette bouteille de gel douche vide au milieu de son salon ? Calvin, assis les bras croisés sur son canapé et les pieds posés sur le petit bout de table libre qu’il avait pu se faire, la regardait intensément comme si elle allait raconter son histoire. Il était un peu vaseux, fatigué et un peu malade. Rien de méchant, mais cela était suffisant pour que l’envie de sécher devienne un fait. Il avait une excuse, même deux. Aujourd’hui, une femme de ménage devait passer. L’appartement des deux colocataires est un bordel monstre, un appartement d’hommes tout simplement. Que faire de la vaisselle dans l’évier, c’est quoi un balais déjà ? Quelque peu lassé par la saleté mais beaucoup trop flemmard pour tout faire lui-même, l’américain avait appelé une femme de ménage. C’était donnant-donnant, il la payait à l’heure, elle allait être servie avec lui. Sûrement qu’il doublerai sa paie du mois. Mais ne vous imaginez pas qu’il n’a pas fait le moindre effort : il a tout de même prit soin de ranger quelques affaires, plus personnelles et de remplir le panier à linge. Il avait fini, lorsqu’il découvrit ce gel douche dans son salon. C’est à ce moment là qu’il est parti en couille.
C’est quelques coups à la porte, suivie d’une petite voix qui le sort de ses pensées : la femme de ménage. Pendant quelques secondes, il semble connaître cette voix. Les sourcils froncés, il se lève pour se diriger vers la porte. Il la déverrouille, ouvre et son visage affiche une mine choqué. Etonné de voir le visage de Mo Yeon face à lui, il la regarde deux secondes avant de descendre son regard sur sa tenue de femme de ménage ainsi que toute sa panoplie. « Nooooon ? » Il relève les yeux vers elle, avant d’éclater de rire comme jamais. Seigneur, quelle est la probabilité pour qu’il appelle une femme de ménage et qu’il s’agisse de Mo Yeon ? Riant toujours à gorge déployée sans aucune gêne, il s’écarte de la porte pour la laisser passer.
C’est quelques coups à la porte, suivie d’une petite voix qui le sort de ses pensées : la femme de ménage. Pendant quelques secondes, il semble connaître cette voix. Les sourcils froncés, il se lève pour se diriger vers la porte. Il la déverrouille, ouvre et son visage affiche une mine choqué. Etonné de voir le visage de Mo Yeon face à lui, il la regarde deux secondes avant de descendre son regard sur sa tenue de femme de ménage ainsi que toute sa panoplie. « Nooooon ? » Il relève les yeux vers elle, avant d’éclater de rire comme jamais. Seigneur, quelle est la probabilité pour qu’il appelle une femme de ménage et qu’il s’agisse de Mo Yeon ? Riant toujours à gorge déployée sans aucune gêne, il s’écarte de la porte pour la laisser passer.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Jeu 17 Nov - 18:10 Citer EditerSupprimer
Shit ! Why i'm your slave today ?
Feat Calvin - #Molvin ♥
Prête à accueillir la personne derrière la porte, je commence à me pencher en avant pour saluer la personne qui m'a fait demander, mais avant que je ne puisse totalement me pencher, je me relève brusquement, reconnaissant immédiatement le visage de Calvin. Mon visage se décompose quelques secondes tandis que mes yeux s'écarquillent, choquée de voir cet homme dans l'appartement que je dois nettoyer. Il se met alors à rire, me faisant froncer des sourcils. De toute la ville, sur tous les étudiants possibles, il a fallu que je tombe sur lui ! Est-ce une blague de mauvais goût ? Il y a une caméra cachée quelque part ? Ce n'est pas possible, ce n'est pas envisageable. Je refuse de subir une telle conspiration, je refuse de devoir faire le ménage chez un idiot comme lui. Hors de question. « C'est une blague ! Dis moi que c'est une blague ». Je vérifie rapidement le numéro d'appartement, espérant me tromper, même s'il est trop tard puisqu'il m'a déjà vu en tenue de ménagère. « Je viens d’atterrir aux enfers, ce n'est pas possible », qu'ai-je fait pour mériter une telle torture, sérieusement ? Je suis maudite ? Damnée ? Une autre personne que je connais j'aurai mieux accepté que lui. Je ne peux pas le croire. Je ferme quelques secondes les yeux, m'assurant que je ne suis pas en plein cauchemar, mais en les ouvrant je le vois toujours face à moi, riant encore. N'y a t-il pas moyen de faire demi-tour ? Je ne peux pas refuser ce premier essai, je risque d'être virée sinon mais en même temps, je ne peux pas me rabaisser à ça. Je fronce des sourcils, indécise. Je lui donne alors un coup de balai dans les jambes et le regarde, menaçante, « t'as intérêt à garder ça pour toi et je te jure que si tu m'exploites je te jette mon seau d'eau en pleine figure ». Quand il faut se lancer dans l'aventure, même désagréable, il faut le faire, et puis c'est tout. De toute manière si je pars c'est moi qui vais en payer les conséquences et si je reste aussi, dans tous les cas, je suis prise au piège. Je rentre dans l'appartement, tout en le bousculant. J'espère ne pas regretter mon choix. Mais à peine ai-je cette pensée que mon regard se perd sur l'état de l’appartement, « oh . . . non ! C'est . . . une . . . blague ». Je perds mes mots devant le dépotoir qu'est son appartement. Je ne peux pas. Ce n'est pas possible de vivre ainsi, dans une telle crasse. Je refuse. Finalement je vais faire demi-tour parce que je ne suis pas en capacité de m'occuper d'un tel appartement. « Ok . . . tu sais quoi, appelle une autre femme de ménage, parce que ça . . . ça là » dis-je en pointant du doigt son appartement, « je ne peux pas m'en occuper, impossible ». Je me bouche le nez et m'apprête à faire demi-tour.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Dim 20 Nov - 20:13 Citer EditerSupprimer
Shit ! Why i'm your slave today ?
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Un fou rire, sûrement le plus gros qu’il ait pu avoir cette semaine. Mo Yeon habillée en femme de ménage devant lui, pour faire SON ménage. C’était trop beau, magnifique, sublime, le meilleur jour de son existence. A ce moment-là Calvin regrettait de ne pas avoir de caméra dans son appartement pour filmer la beauté de cette scène qu’il aurait regardé, regardé et encore regardé jusqu’à ce que mort s’en suive. C’était beau, c’était magique. Il la laisse entrer, riant encore en l’entendant demander si c’était une blague. « Si c’est le cas c’est la meilleure blague du monde, Merci seigneur ! » S’exclamait-il en levant les bras au ciel comme pour remercier le créateur. Rendons férié ce jour divin ! Mo Yeon elle ne rit pas autant : elle semble exaspérée, désespérée, au fond du gouffre et c’est ce qui rend la chose encore meilleure. Elle tente de lui mettre un coup de balais dans son entrejambe mais Calvin l’esquive craignant trop pour ses bijoux de famille. Comment ses enfants allaient faire pour emmerder ceux de Mo Yeon après ? Car bien sûr, il allait inculquer cet art à ses descendants et ce n’est pas de si tôt que Mo Yeon allait se débarrasser de lui.
Il s’écarte pour la laisser entrer, découvrir les lieux en se calmant un peu mais elle ne ouge pas. Comme à chaque fois, elle le menace mais pour le coup, c’est lui qui avait les cartes gagnantes. « Me jeter un sceau d’eau ? » Répétait-il avant de sourire d’un air malin. « Je crois que ton patron n’apprécierai pas ce genre de comportement. » Bien sûr qu’il irait la balancer, que s’imagine-t-elle ? Elle finit par entrer, le bousculant en passant. Calvin ne le lui retient pas, à vrai dire cette journée était trop belle pour qu’il ne puisse pas en savourer. Elle découvre son bordel, son art merveilleux du non rangement ce qui fait sourire le jeune homme. Après avoir nié la vérité évidente qui se présentait sous son nez, elle voulu faire demi-tours, prétendant qu’elle ne pouvait pas s’occuper de cela, qu’il fallait du renfort. Quand elle se tournait, Calvin était face à elle, brassant de l’air avec les billets d’un air détendu et provocateur. « Oh tu n’en veux pas ? » Demandait-il en tournant les yeux vers ses billets, puis Mo Yeon. « Ils sont encore tout chaud, tout droit sorti du distributeur. Tu veux les toucher ? » Demandait-il en lui tendant les billets, accompagnant ses mots.
Il s’écarte pour la laisser entrer, découvrir les lieux en se calmant un peu mais elle ne ouge pas. Comme à chaque fois, elle le menace mais pour le coup, c’est lui qui avait les cartes gagnantes. « Me jeter un sceau d’eau ? » Répétait-il avant de sourire d’un air malin. « Je crois que ton patron n’apprécierai pas ce genre de comportement. » Bien sûr qu’il irait la balancer, que s’imagine-t-elle ? Elle finit par entrer, le bousculant en passant. Calvin ne le lui retient pas, à vrai dire cette journée était trop belle pour qu’il ne puisse pas en savourer. Elle découvre son bordel, son art merveilleux du non rangement ce qui fait sourire le jeune homme. Après avoir nié la vérité évidente qui se présentait sous son nez, elle voulu faire demi-tours, prétendant qu’elle ne pouvait pas s’occuper de cela, qu’il fallait du renfort. Quand elle se tournait, Calvin était face à elle, brassant de l’air avec les billets d’un air détendu et provocateur. « Oh tu n’en veux pas ? » Demandait-il en tournant les yeux vers ses billets, puis Mo Yeon. « Ils sont encore tout chaud, tout droit sorti du distributeur. Tu veux les toucher ? » Demandait-il en lui tendant les billets, accompagnant ses mots.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Lun 21 Nov - 19:06 Citer EditerSupprimer
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Feat Calvin - #Molvin ♥
« Depuis quand tu es croyant toi ? » dis-je ironiquement alors qu'il ose remercier le seigneur de ma présence en ce lieu. Je ne le prends pas forcément bien surtout lorsqu'il continue de rire en me voyant dans un tel accoutrement. Je n'ai vraiment pas de chance ces derniers temps. Je pensais que je m'étais, presque, débarrassée de lui, mais finalement les circonstances entraînent toujours de mauvaises surprises, me mettant sur son chemin. « Ne remercie pas trop le seigneur ou il risque de te faire payer cher », mais avant que je ne puisse toucher son entrejambe pour lui faire comprendre, il esquive, de justesse. Je suis décidément maudite aujourd'hui. Mais ai-je le choix ? Je doute. Je suis dans l'obligation de nettoyer son appartement, d'être en quelque sorte son esclave, juste pour quelques heures. Mais ce sont déjà des heures de trop. Je sais qu'en plus, j'ai beau le menacer il a les armes, actuellement, pour les contrer et je me sens obliger de grimacer lorsqu'il me menace, à son tour, de le dire à mon patron si je fais quelque chose de travers. Il me tient par la gorge et je ne peux pas réellement fuir. J'ai besoin de ce travail, je ne peux pas me permettre une quelconque erreur, et surtout pas à cause d'un tel homme. Ça serait lui faire gagner quelque chose que je ne souhaite pas lui donner. « Oh désolée, je ne savais pas que tu étais ce genre de personne, qui répétait tout. Tu devais pas être apprécié étant jeune », je lui lance un regard foudroyant et avance enfin jusqu'à la pièce principale. J'ai immédiatement envie de faire demi-tour. Je ne peux vraiment pas nettoyer un tel bordel, surtout que c'est mon tout premier jour en tant que ménagère. Un tel niveau de saleté ne peut être pris en compte pas moi. Je m'apprête donc à faire demi-tour, pour m'en aller loin de cet appartement dégueulasse, mais Calvin me tend quelques liasses de billets, sous mon nez, m’envoûtant presque avec l'odeur de l'argent. Je me mords nerveusement l'intérieur de la joue, regardant avec insistance les billets. J'ai réellement besoin de cet argent, surtout en ce moment. Je ne me serai jamais engagée en tant que ménagère si la nécessité d'avoir de l'argent n'était pas cruciale en ce moment. Je regarde encore quelques secondes les billets et finis par céder. « T'as de la chance que j'en ai vraiment besoin, sinon je te les aurai fait avaler ». Je me tourne de nouveau face à la pièce principale, l'air presque découragé. Je dois me dire qu'au bout, il y a de l'argent, je dois juste penser argent, c'est tout. « Ok . . . bon alors je vais débuter. Éloigne-toi de moi et surtout, ne m'embête pas, j'ai besoin de concentration ! ». Il n'a pas intérêt à venir dans mes pattes, ou alors je lui envoie mon seau d'eau en pleine figure. Je déglutis difficilement, prends une grande inspiration, et lance un regard à Calvin, « tu veux pas sortir, le temps que je finisse ? Ça risque de me prendre . . . plusieurs heures. Je suis certaine que t'as mieux à faire que de rester ici », je le regarde, intensément, espérant le voir partir. Je sais pertinemment que s'il reste ici, il ne va pas arrêter de m'emmerder, puisque c'est un emmerdeur de première.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Jeu 8 Déc - 0:34 Citer EditerSupprimer
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Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Calvin n’écoute même pas Mo Yeon lorsqu’elle lui demande depuis quand il est croyant ni même quand elle lui lançait qu’il pouvait se manger un retour de bâton. Elle ne pouvait pas gâcher ce jour, ni même son intérêt soudain pour Dieu qui semblait lui offrir le meilleur cadeau qu’il ait reçu de toute sa vie. En fait, elle pourrait le battre de coup qu’il serait toujours l’homme le plus comblé et le plus hilare sur la terre à ce moment-là. Pourtant elle persévère avec des menaces qui ne le font pas trembler d’un poil. Elle avait davantage à y perdre que lui. Au pire elle serait trempé et devra se changer tandis que elle, elle perdrait son travail à coup sûr. Tant d’injure et tant de haine venaient de sa part, le karma tournait de son côté à présent. « J’étais très populaire figure-toi, tu ne t’imagines pas le nombre de meufs que j’ai pu emballer ou sauter dans les toilettes depuis mon plus jeune âge. » Il lui affichait un sourire malin d’autant plus qu’il se rappelait soudainement qu’il avait fait un petit tour aux toilettes avec elle aussi. Cependant, il ne s’attarde pas davantage sur son sujet car son nouveau délicieux esclave du jour semble vouloir se barrer ! Calvin l’en empêche en se mettant devant elle, se faisant du vent avec la liasse de billet tiré il y a à peine une heure spécialement pour elle. Il connaissait mieux que personne la force et le pouvoir de l’argent et pour que Mo Yeon en vienne à faire su ménage chez des particuliers, c’est qu’elle en avait vraiment besoin. Cela semble fonctionner au vu de sa tête et ses mots le lui confirment. Calvin affiche un nouveau sourire taquin, fier de lui et amusé. « Mais oui, bien sûr. » Il range sa liasse de billet précieusement dans la poche de son jean. Il n’était pas assez stupide pour lui donner maintenant, elle pourrait se barrer comme ça sans avoir nettoyer une poussière de son appartement. Résignée, elle n’a pas d’autres choix que de se mettre au travail. Mais surprise, elle lui demande carrément si il ne peut pas sortir.Il hausse un sourcil avant de se mettre à rire. « Non mais t’es folle ! Tu pourrais saccager mon appartement ou pire, aller sentir mes slips ! » Il bougeait la tête d’un air négatif avant de reprendre sa place sur son canapé, face à la télévision et pose ses pieds sur la table. « Va y applique toi hein, j’veux que ça brille ! » Déclarait-il en affichant un nouveau sourire malin en lui lançant un coup d’œil avant de reporter son attention sur la télévision.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Jeu 8 Déc - 18:45 Citer EditerSupprimer
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Feat Calvin - #Molvin ♥
J'esquisse un fin sourire, peu certaine des propos divulgués par le jeune homme. Il va me répéter, je sais combien de fois, qu'il s'en ait tapé des femmes, et forcément, il fait référence aux toilettes, me rappelant le souvenir de la nuit passée à ses côtés. J'y crois dur comme fer ! « Mais oui bien sûr ! Tu vas me faire croire qu'il y avait une queue aussi devant chez toi, parce qu'elles attendaient toutes leur tour arrivé, jouissant dès que possible dès que c'était à elle de passer à la guillotine ». Je prends un air désespéré, faisant tournoyer, légèrement, mes yeux, lui faisant comprendre que je n'y crois absolument pas. Enfin qu'importe, je préfère le laisser dans ses douces illusions. Malheureusement, et malgré mon désir profond, je ne peux pas fuir cette place, surtout pas lorsque j'ai des billets plein les yeux. J'ai besoin de cet argent et juste à cause de ça, je me dois de subir cette situation désagréable. J'essaie néanmoins de le faire partir,en lui proposant de s'en aller, car il risque d'être un frein à mon nettoyage. Mais il refuse, ce que je peux comprendre. Il a bien raison d'avoir quelques craintes en me laissant seule ici, personne ne sait ce dont je suis capable de faire, surtout lorsque j'ai possibilité de détruire son appartement, et de me venger de toutes les fois où il m'a taquiné et énervé. « Ok comme tu veux, mais je t'aurai prévenu,dans tous les cas. Ne viens pas crier si ça fait du bruit. Et tu crois que j'ai que ça à faire, sérieusement ? Sentir tes slips dégueulasses ?!Non merci ». Je hausse des épaules et commence à me mettre à l’œuvre. Je lui lance quand même un regard noir, « je te rappelle que je ne suis pas ton esclave alors . . . ». je grimace et réalise que si, malheureusement, je suis en quelque sorte, et un peu, son esclave. Malheur . . . oublions !
Je commence à ramasser les quelques cochonneries qui traînent dans la pièce, retrouvant des déchets non identifiés, grimaçant avec dégoût. « Arhgh ! Non mais t'es sérieux ? Comment tu peux vivre dans une telle porcherie ? Je suis surprise que tu n’aies pas encore attrapé de maladie ». Parce que franchement il y a de quoi tomber malade au vu de l'environnement sale. Je suis sûre qu'il est possible de créer un virus mortel dans cet appartement. Lors de mon exploration je trouve un vieux slip, tout dégueulasse, derrière une commode, et le lui balance en plein visage, « tu peux pas ranger un peu. Qu'est-ce que ça fout ici, sérieusement ? ». J'espère que je ne vais pas trouver autre chose. Je crains le pire.
Après avoir vidé un peu la pièce, mais pas totalement, je me décide à passer un premier coup d'aspirateur, parce que j'ai l'impression de marcher sur un tapis de saleté et ce n'est franchement pas agréable. Lorsque j'arrive vers Calvin je le lui demande, doucement, enfin j'essaie, de lever ses pieds. Mais bien sûr il n'écoute pas. « Yaaahhh ! Tu veux que j'y sois jusqu'à demain ou quoi ? Lève tes pieds ou je te jure que j'aspire tes cheveux ». Je suis pas sortie de l'auberge !
Je commence à ramasser les quelques cochonneries qui traînent dans la pièce, retrouvant des déchets non identifiés, grimaçant avec dégoût. « Arhgh ! Non mais t'es sérieux ? Comment tu peux vivre dans une telle porcherie ? Je suis surprise que tu n’aies pas encore attrapé de maladie ». Parce que franchement il y a de quoi tomber malade au vu de l'environnement sale. Je suis sûre qu'il est possible de créer un virus mortel dans cet appartement. Lors de mon exploration je trouve un vieux slip, tout dégueulasse, derrière une commode, et le lui balance en plein visage, « tu peux pas ranger un peu. Qu'est-ce que ça fout ici, sérieusement ? ». J'espère que je ne vais pas trouver autre chose. Je crains le pire.
Après avoir vidé un peu la pièce, mais pas totalement, je me décide à passer un premier coup d'aspirateur, parce que j'ai l'impression de marcher sur un tapis de saleté et ce n'est franchement pas agréable. Lorsque j'arrive vers Calvin je le lui demande, doucement, enfin j'essaie, de lever ses pieds. Mais bien sûr il n'écoute pas. « Yaaahhh ! Tu veux que j'y sois jusqu'à demain ou quoi ? Lève tes pieds ou je te jure que j'aspire tes cheveux ». Je suis pas sortie de l'auberge !
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Sam 7 Jan - 0:27 Citer EditerSupprimer
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Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Mo Yeon ne cessait de nier le pouvoir de séduction de Calvin. Bien sûr qu’il n’était pas parfait, bien sûr qu’il n’était pas le plus grand des gentlemans mais il fallait également avouer qu’elle n’avait jamais l’occasion de voir les bons côtés de sa personnalité. Elle ne le voyait qu’avec son sourire moqueur, arrogant, satisfait des piques qu’il lui envoie dans l’attente qu’elle lui renvoie. Avec elle, c’est le côté petit con qui primait mais pour tout avouer, il ne voulait rien changer. Il appréciait cette relation, la voir se mettre en colère, le regarder déformer son visage sous le dégoût, ça l’amusait. Malgré tout ce qu’elle peut dire, Calvin reste certain qu’il y a un au moins un pour cent de sa personne qui l’apprécie. N’est-ce pas elle qui a accepté de venir boire un verre avec lui ? N’est-ce pas elle qui lui envoie des messages lorsqu’elle ne l’a pas vu depuis longtemps prétextant qu’elle espérait qu’il soit mort ? « Je ne vais pas te raconter, tu risquerais d’être choquée. » Il affiche un sourire narquois, préférant la laisser dans son déni total plutôt que de lui raconter sa vie sexuelle. N’en avait-elle pas eu un avant-goût ? N’avait-elle pas succombé elle-même ? Malgré l’alcool qui faisait tournoyer leur tête à ce moment-là, il savait parfaitement qu’elle s’en souvenait.
Après avoir tentée de s’échapper une première fois, fuyant ses responsabilités, Mo Yeon tentait une nouvelle fois d’échapper à sa présence en lui demandant de partir. Calvin refusait, il n’est pas fou et après tout, il n’avait pas envie de sortir. Dieu sait ce qu’elle pourrait faire de son appartement … Il s’installe alors dans son canapé, face à sa télévision, place qu’il occupait avant son arrivée. Prenant ces aises comme si elle n’était pas là, il pose ses pieds sur la table basse commençant à zapper les programmes non sans oublier une petite remarque sur la qualité du ménage qu’il attendait de sa part. « Mais ouiiiiiiiiii allé va y. » Elle en faisait tout une histoire ! Est-ce qu’il en faisait autant lui ? Non. A sa place est-ce qu’il en ferait autant ? Non, il aurait fait pire !
La regardant que très rarement s’appliquer à la tâche, bien trop concentré par son programme télévisé mais Mo Yeon semblait réclamer son attention, se plaignant encore. « On s’y fait, ça renforce le système humanitaire ! C’est pour ça que j’suis un mec en béton et pas en carton comme toi ! » Ricanait-il, se moquant ouvertement d’elle, davantage que de l’état de son appartement. Autant voir le bon côté des choses après tout non ? Il allait reporter son attention sur l’écran lorsque soudainement, un objet non identifié lui venait au visage. « MAIS ! » Râlait-il en ôtant la chose de son visage pour l’observer attention. Un boxer ? Très vieux, usé et si poussiéreux qu’il en éternuait. « C’est même pas le mien, c’est celui de mon colocataire ! Tu crois que mon boa et mes fesses musclées entrent dans un si petit espace ? » Déclarait-il en lui relançant en pleine figure sans la moindre gêne. « Tu peux le jeter, de toute façon j’pense qu’il le remettra plus et il est aussi beau que toi, c’est-à-dire très laid. » Il sourit comme à chaque fois qu’il lui lance un pique, que dis-je, un javelot. Il reste tranquille quelques minutes, cherchant à vrai dire une connerie à faire pour la faire gueuler mais elle semble connaître davantage d’astuce pour le faire chier. Déjà que les acteurs de la télévision sont devenus muets sous le bruit incessant de son aspirateur, elle gueule à nouveau pour qu’il lève ses pieds. « Oui ça va, ça va ! » Il pousse ses pieds de la table basse pour les poser sur le canapé. « T’as oublié une poussière là-bas, je la vois d’ici. » Affirme-t-il non sans un air narguer, retenant un rire de s’échapper de ses lèvres. Il s’installe plus confortablement sur son canapé, la regardant faire non sans en tirer une satisfaction sans fin. « Tu veux pas aller me faire un sandwich ? Je te donnerai un billet en plus. » Peut-être que cela peut fonctionner ? Lui il l’aurait fait pour du fric, ça ne tue personne. « C’est bon, j’dirai pas que j’ai été ton boss officiel aujourd’hui. » Il riait, nargueur.
Après avoir tentée de s’échapper une première fois, fuyant ses responsabilités, Mo Yeon tentait une nouvelle fois d’échapper à sa présence en lui demandant de partir. Calvin refusait, il n’est pas fou et après tout, il n’avait pas envie de sortir. Dieu sait ce qu’elle pourrait faire de son appartement … Il s’installe alors dans son canapé, face à sa télévision, place qu’il occupait avant son arrivée. Prenant ces aises comme si elle n’était pas là, il pose ses pieds sur la table basse commençant à zapper les programmes non sans oublier une petite remarque sur la qualité du ménage qu’il attendait de sa part. « Mais ouiiiiiiiiii allé va y. » Elle en faisait tout une histoire ! Est-ce qu’il en faisait autant lui ? Non. A sa place est-ce qu’il en ferait autant ? Non, il aurait fait pire !
La regardant que très rarement s’appliquer à la tâche, bien trop concentré par son programme télévisé mais Mo Yeon semblait réclamer son attention, se plaignant encore. « On s’y fait, ça renforce le système humanitaire ! C’est pour ça que j’suis un mec en béton et pas en carton comme toi ! » Ricanait-il, se moquant ouvertement d’elle, davantage que de l’état de son appartement. Autant voir le bon côté des choses après tout non ? Il allait reporter son attention sur l’écran lorsque soudainement, un objet non identifié lui venait au visage. « MAIS ! » Râlait-il en ôtant la chose de son visage pour l’observer attention. Un boxer ? Très vieux, usé et si poussiéreux qu’il en éternuait. « C’est même pas le mien, c’est celui de mon colocataire ! Tu crois que mon boa et mes fesses musclées entrent dans un si petit espace ? » Déclarait-il en lui relançant en pleine figure sans la moindre gêne. « Tu peux le jeter, de toute façon j’pense qu’il le remettra plus et il est aussi beau que toi, c’est-à-dire très laid. » Il sourit comme à chaque fois qu’il lui lance un pique, que dis-je, un javelot. Il reste tranquille quelques minutes, cherchant à vrai dire une connerie à faire pour la faire gueuler mais elle semble connaître davantage d’astuce pour le faire chier. Déjà que les acteurs de la télévision sont devenus muets sous le bruit incessant de son aspirateur, elle gueule à nouveau pour qu’il lève ses pieds. « Oui ça va, ça va ! » Il pousse ses pieds de la table basse pour les poser sur le canapé. « T’as oublié une poussière là-bas, je la vois d’ici. » Affirme-t-il non sans un air narguer, retenant un rire de s’échapper de ses lèvres. Il s’installe plus confortablement sur son canapé, la regardant faire non sans en tirer une satisfaction sans fin. « Tu veux pas aller me faire un sandwich ? Je te donnerai un billet en plus. » Peut-être que cela peut fonctionner ? Lui il l’aurait fait pour du fric, ça ne tue personne. « C’est bon, j’dirai pas que j’ai été ton boss officiel aujourd’hui. » Il riait, nargueur.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Dim 8 Jan - 9:04 Citer EditerSupprimer
Shit ! Why i'm your slave today ?
Feat Calvin - #Molvin ♥
« Et de toute manière je n'ai pas envie d'entendre ta vie sexuelle », parce que cela risque de me rappeler quelques mauvais souvenirs et que je risque d'être encore plus désespérée par mes propres agissements. Ou alors, au fond, est-ce juste parce que je n'ai pas envie d'entendre qu'il se tape toutes les filles du quartier, par manque ? Je penche plutôt pour la première option, consciemment parlant. Je chasse cette pensée de mon esprit pour me concentrer de nouveau sur les tâches ménagères qui m’éreintent dès le départ. Il faut dire que son appartement est une véritable poubelle et que je ne sais pas comment est-ce qu'il fait pour survivre ainsi. Mais je dois rester zen et concentrée, pour ne pas faiblir et aller jusqu'au bout de ma tâche. Si cela avait été un autre appartement, j'aurai été dans la même situation, c'est juste que la présence de Calvin m'irrite un peu plus. Je m'arrête quelques secondes, m’esclaffant en entendant la remarque du jeune homme. « Un mec en béton . . . mon œil que t'es un mec en béton. Si je suis en carton t'es en quoi ? En polystyrène ? Pf, ton humour est à refaire, sérieusement ». C'est pas parce qu'il a quelques muscles, qu'il a une silhouette bien dessinée, que ça veut dire qu'il est un mec en béton, un super mec. Je sais vraiment pas ce qu'elles lui trouvent toutes ces filles. Elles n'ont pas de goût, absolument pas. Je ne me gêne alors pas pour lui lancer son boxer trouvé, en plein visage, qu'il ose me relancer en pleine figure, osant dire que ce n'est pas à lui. Je m'écarte rapidement, dégoûtée par cette vision, ayant l'envie de vomir. « Ton boa ? Quel boa ? Moi j'ai juste vu un petit insecte qui gigotait, c'est tout. Et je ne crois rien, j'en suis certaine ». Je pousse délicatement le fameux boxer, l'éloignant au plus vite de moi. Je lui fais ensuite un doigt d'honneur, lui lançant un regard mauvais alors qu'il ose dire que je suis laide. « T'as juste pas les yeux dans les bons trous parce que figure toi que j'en attire des hommes. Monsieur ! Si j'étais si laide que ça, ils me fuiraient plus qu'ils ne viendraient à moi ». Je vais lui montrer un jour c'est quoi d'être laide, « et puis je doute que tu te tapes des laides, puisque Monsieur semble avoir des exigences élevées ».
Je grince des dents alors qu'il me montre du doigt de la poussière soit-disant encore présent, « tu te fous de moi ? Comme si tu peux faire la différence entre de la poussière et ton appartement ? Vu comment c'était, t'es pas capable de distinguer les deux », mais je le fais quand même, parce qu'il a entre ses mains mon argent. C'est terrible de devoir être son esclave pendant quelques heures. Vivement la fin, que je sois entièrement libérée. Mais il en rajoute, de nouveau, en me demandant de faire son sandwich. « T'es sérieux là ? Tu crois vraiment que je suis ta chienne ou quoi ? Vas chercher une de tes prétendantes puisque tu en as tant que ça ». Néanmoins je m'en vais quand même dans la cuisine pour lui faire un, « t'as intérêt à me payer plus ». Sincèrement, qu'est-ce que j'ai mérité pour vivre un tel cauchemar ? C'est avec une certaine rage que je fais son sandwich y mettant ce que je trouve, c'est à dire, presque rien. « Mais tu te nourris comment ? Me dis pas que tu te payes à chaque fois des pizzas ? ». L'éducation de cet homme est à refaire. Je plains sa petite amie. Quoique il en a une, déjà. Cette fameuse fille qui avait commenté mon propre commentaire sur son gns, si mes souvenirs sont bons. Je me demande si . . . Non ce ne sont pas mes affaires. Et je m'en fous. C'est tout. Je m'avance jusqu'à lui pour lui donner son sandwich mais en même temps que je le fais, je me prends les jambes dans le fil de l'aspirateur et tombe littéralement sur Calvin. Sur le moment je suis tellement inquiète de savoir le sandwich en vie que je ne fais pas attention au fait que je suis un peu sur lui et ce n'est qu'en tournant légèrement ma tête, en disant « j'ai sauvé le sandwich », que je réalise que je suis un peu, beaucoup, proche de lui. Je suis tellement surprise que j'écarquille en grand mes yeux. Pourtant je me suis retrouvée plusieurs fois proches, mais pas comme ça, pas alors que mon corps est collé au sien, et que ma jambe est entre . . . Aish. Pendant une très brève seconde, mon cœur s'arrête de battre, hésitant. Mais je reviens rapidement sur place et avant qu'il ne puisse faire le moindre geste, je lui donne un coup de tête et me relève de suite, lui balançant le sandwich. « Ne profite surtout pas de ma présence. Je peux aller tout raconter à ta copine ». Quoique j'ai comme l'impression qu'il est du genre à tromper, puisqu'il étale toutes ses conquêtes devant moi.
Je grince des dents alors qu'il me montre du doigt de la poussière soit-disant encore présent, « tu te fous de moi ? Comme si tu peux faire la différence entre de la poussière et ton appartement ? Vu comment c'était, t'es pas capable de distinguer les deux », mais je le fais quand même, parce qu'il a entre ses mains mon argent. C'est terrible de devoir être son esclave pendant quelques heures. Vivement la fin, que je sois entièrement libérée. Mais il en rajoute, de nouveau, en me demandant de faire son sandwich. « T'es sérieux là ? Tu crois vraiment que je suis ta chienne ou quoi ? Vas chercher une de tes prétendantes puisque tu en as tant que ça ». Néanmoins je m'en vais quand même dans la cuisine pour lui faire un, « t'as intérêt à me payer plus ». Sincèrement, qu'est-ce que j'ai mérité pour vivre un tel cauchemar ? C'est avec une certaine rage que je fais son sandwich y mettant ce que je trouve, c'est à dire, presque rien. « Mais tu te nourris comment ? Me dis pas que tu te payes à chaque fois des pizzas ? ». L'éducation de cet homme est à refaire. Je plains sa petite amie. Quoique il en a une, déjà. Cette fameuse fille qui avait commenté mon propre commentaire sur son gns, si mes souvenirs sont bons. Je me demande si . . . Non ce ne sont pas mes affaires. Et je m'en fous. C'est tout. Je m'avance jusqu'à lui pour lui donner son sandwich mais en même temps que je le fais, je me prends les jambes dans le fil de l'aspirateur et tombe littéralement sur Calvin. Sur le moment je suis tellement inquiète de savoir le sandwich en vie que je ne fais pas attention au fait que je suis un peu sur lui et ce n'est qu'en tournant légèrement ma tête, en disant « j'ai sauvé le sandwich », que je réalise que je suis un peu, beaucoup, proche de lui. Je suis tellement surprise que j'écarquille en grand mes yeux. Pourtant je me suis retrouvée plusieurs fois proches, mais pas comme ça, pas alors que mon corps est collé au sien, et que ma jambe est entre . . . Aish. Pendant une très brève seconde, mon cœur s'arrête de battre, hésitant. Mais je reviens rapidement sur place et avant qu'il ne puisse faire le moindre geste, je lui donne un coup de tête et me relève de suite, lui balançant le sandwich. « Ne profite surtout pas de ma présence. Je peux aller tout raconter à ta copine ». Quoique j'ai comme l'impression qu'il est du genre à tromper, puisqu'il étale toutes ses conquêtes devant moi.
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Re: Shit ! Why i'm your slave today ? [Feat. Ducon ♥] | Mar 21 Mar - 18:43 Citer EditerSupprimer
Shit ! Why i'm your slave today ?
Feat Mo Yeon - #Molvin ♥
Derrière ses éclats de rire et piques aiguisés qu’il lui lançait, Calvin était en réalité pris au piège. Bien qu’il passe sa vie entière à lui rendre la vie compliquée, à la charriée, l’insulter de moche et d’idiote et de lui rappeler l’intégralité de ses défauts, ne s’agirait-il pas là d’une excuse pour attirer son attention ? Il justifie ses messages, commentaires GNS par de l’ennuie, une envie de se distraire mais parfois lui-même se surprend un peu à la cherchée dans les couloirs de l’université spontanément. Cependant, il préfère sûrement passer sous un train plutôt que de lui avouer et se l’avouer. Alors il continue sur cette lancée sans jamais ne s’arrêtée. Il se vante comme à chaque fois et la regarde avec son balais en main avec un large sourire moqueur.
Une réplique toujours rapidement dégainée en bouche, il trouve une connerie pour justifier le désordre de son appartement. En réalité, il a seulement une flemme immense et un gêne de machisme trop élevé pour se la jouer fée du logis. Il préfère largement tenter d’exploiter la copine de Jun, quelques-unes de ses amies ou encore de faire appel à des organismes comme celui de Mo Yeon lorsque cela devient extrêmement urgent. S’il a honte de dévoiler ses lieux dans un état pareil ? Absolument pas, qu’est-ce que ça peut foutre ? Preuve de l’urgence présente : l’apparition soudaine d’un caleçon troué, inconnu au bataillon, qui fonce droit sur son visage. Avec horreur, il l’écoute prétendre qu’il est sien. Comment son boa peut rentrer dans un si petit espace ? Elle l’a bien vu pourtant ! D’ailleurs, comme il s’y attendait, elle nie une nouvelle fois la puissance et la taille impressionnante de son membre. « T’as des gros problèmes de vues, ajoutons à la liste extrêmement longue de tes défauts que tu es myope, ton cas est plus inquiétant que je ne l’imaginais … » Déclare-t-il en mimant une mine déséspérée avant de poursuivre sa lancée d’injure en lui lançant qu’elle est laide. Son doigt d’honneur ne le vexe pas, il le fait même rire. Dieu sait que si il parlait, Calvin et lui seraient archi pote tant il le voit ! Préférant dériver la conversation que de lui confirmer qu’elle est jolie, il lui désigne une poussière –imaginaire- délaissée. Une manière bien arrogante de lui rappeler que pour ce jour, elle est en quelque sorte sous ses ordres et comme si cela ne suffisait pas, il lui demande un sandwich. Evidemment, elle râle. Lui demandant si il se moque d’elle ce à quoi il répond par un sourire immense. Pourtant, elle applique quand même ce qu’il lui dit. Un sentiment de satisfaction extrême le prend. « FAIT LE BIEN, LE SUPPLEMENT DE BILLET SERA PROPORTIONNEL A LA QUALITE DE TON SANDWICH. » Ose-t-il même crier alors qu’elle est dans la cuisine. Seigneur, c’est beaucoup trop bon. « J’ai une gueule à savoir faire la cuisine ? J’ai pas l’choix pour survivre ! Tu serais trop peinée si je venais à mourir de faim ! » Son ventre se met à gargouiller et il s’apprétait à lui gueuler qu’elle devait se dépêchée quand elle tombe littéralement sur lui. Enfin, il n’a pas réellement de temps de comprendre quoi que ce soit, juste il l’a vu tournée sa tête, son cœur s’est mis à battre un peu plus fort (par la surprise qu’il dira) que BIM ! Elle lui fout un coup de tête imprévisible en plein dans la gueule, visant parfaitement son nez, avant de s’écarter aussi vite. « PUTAIN ! » Il touche son nez douloureux en grimaçant un peu. « Mais qu’est ce que tu m’racontes encore, j’ai pas d’copine ! » Et ce depuis longtemps alors sur le coup, il ne comprend absolument pas ce qu’elle veut dire ou d’où elle sort une connerie pareille. Il tient toujours son nez, traumatisé par sa violence soudaine. « T’as rien dans l’crâne mais damn tu m’as niqué ! » Il ouvre un peu les yeux et découvre qu’il saigne du nez, en foutant partout en prime. « BAH VOILA T’ES CONTENTE VIEILLE SAUVAGEONNE LA ! TOUT CA POUR POUVOIR GUEULER ENCORE PARCE QUE J’EN FOU PARTOUT ! » Il se lève, tenant son nez comme si il allait tomber. « J’peux savoir ce que t’attend pour me soigner ? » Mais comme il n’est pas certain qu’elle le fasse il se dirige vers la salle de bain pour constater les dégâts. « Si j’ressemble à quasimodo à cause de toi j’te démonte ! »
Une réplique toujours rapidement dégainée en bouche, il trouve une connerie pour justifier le désordre de son appartement. En réalité, il a seulement une flemme immense et un gêne de machisme trop élevé pour se la jouer fée du logis. Il préfère largement tenter d’exploiter la copine de Jun, quelques-unes de ses amies ou encore de faire appel à des organismes comme celui de Mo Yeon lorsque cela devient extrêmement urgent. S’il a honte de dévoiler ses lieux dans un état pareil ? Absolument pas, qu’est-ce que ça peut foutre ? Preuve de l’urgence présente : l’apparition soudaine d’un caleçon troué, inconnu au bataillon, qui fonce droit sur son visage. Avec horreur, il l’écoute prétendre qu’il est sien. Comment son boa peut rentrer dans un si petit espace ? Elle l’a bien vu pourtant ! D’ailleurs, comme il s’y attendait, elle nie une nouvelle fois la puissance et la taille impressionnante de son membre. « T’as des gros problèmes de vues, ajoutons à la liste extrêmement longue de tes défauts que tu es myope, ton cas est plus inquiétant que je ne l’imaginais … » Déclare-t-il en mimant une mine déséspérée avant de poursuivre sa lancée d’injure en lui lançant qu’elle est laide. Son doigt d’honneur ne le vexe pas, il le fait même rire. Dieu sait que si il parlait, Calvin et lui seraient archi pote tant il le voit ! Préférant dériver la conversation que de lui confirmer qu’elle est jolie, il lui désigne une poussière –imaginaire- délaissée. Une manière bien arrogante de lui rappeler que pour ce jour, elle est en quelque sorte sous ses ordres et comme si cela ne suffisait pas, il lui demande un sandwich. Evidemment, elle râle. Lui demandant si il se moque d’elle ce à quoi il répond par un sourire immense. Pourtant, elle applique quand même ce qu’il lui dit. Un sentiment de satisfaction extrême le prend. « FAIT LE BIEN, LE SUPPLEMENT DE BILLET SERA PROPORTIONNEL A LA QUALITE DE TON SANDWICH. » Ose-t-il même crier alors qu’elle est dans la cuisine. Seigneur, c’est beaucoup trop bon. « J’ai une gueule à savoir faire la cuisine ? J’ai pas l’choix pour survivre ! Tu serais trop peinée si je venais à mourir de faim ! » Son ventre se met à gargouiller et il s’apprétait à lui gueuler qu’elle devait se dépêchée quand elle tombe littéralement sur lui. Enfin, il n’a pas réellement de temps de comprendre quoi que ce soit, juste il l’a vu tournée sa tête, son cœur s’est mis à battre un peu plus fort (par la surprise qu’il dira) que BIM ! Elle lui fout un coup de tête imprévisible en plein dans la gueule, visant parfaitement son nez, avant de s’écarter aussi vite. « PUTAIN ! » Il touche son nez douloureux en grimaçant un peu. « Mais qu’est ce que tu m’racontes encore, j’ai pas d’copine ! » Et ce depuis longtemps alors sur le coup, il ne comprend absolument pas ce qu’elle veut dire ou d’où elle sort une connerie pareille. Il tient toujours son nez, traumatisé par sa violence soudaine. « T’as rien dans l’crâne mais damn tu m’as niqué ! » Il ouvre un peu les yeux et découvre qu’il saigne du nez, en foutant partout en prime. « BAH VOILA T’ES CONTENTE VIEILLE SAUVAGEONNE LA ! TOUT CA POUR POUVOIR GUEULER ENCORE PARCE QUE J’EN FOU PARTOUT ! » Il se lève, tenant son nez comme si il allait tomber. « J’peux savoir ce que t’attend pour me soigner ? » Mais comme il n’est pas certain qu’elle le fasse il se dirige vers la salle de bain pour constater les dégâts. « Si j’ressemble à quasimodo à cause de toi j’te démonte ! »
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