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kim sian ☆ playing with fire
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kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 17:40 Citer EditerSupprimer
nom : kim, nom de famille un peu trop populaire en corée du sud et qui est, non sans grand étonnement, le sien. prénom : sian, prénom attribué par son père. son deuxième prénom est lullaby et il lui fut attribué par sa mère. âge : 23 ans. date et lieu de naissance : elle est née le 19 novembre 1993 à Busan, en Coréen du sud. origines : son père est coréen, sa mère est canado-australienne. nationalité : coréenne. cursus universitaire : elle est en 4e année de médecine (étant née en novembre, elle a commencé l'école un an plus tard). métier : elle travaille pour une ligne érotique et utilise lullaby comme pseudonyme. orientation sexuelle : bisexuelle, mais elle a un penchant pour les hommes. classe sociale : modeste. code du règlement : stiiiiiiitch . tu veux t'investir ? je ne sais pas si je peux? :hmm: je sais que je suis partie plusieurs fois, j'en suis consciente, du coup je me contenterais d'être student, mais si vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je retente une frat, je ne dirais pas non
Kim Sian
step into the night, get on the stars, look at me rushing to you
PERFECTIONNISTE (★★★★★) | POSSESSIVE (★★★★★) | TACTILE (★★★★✰) | IMPULSIVE (★★★✰✰) | CHARMEUSE (★★★✰✰) |
MALADROITE (★★★★★) | JOUEUSE (★★★★✰) | TIMIDE (✰✰✰✰✰) | GÉNÉREUSE (★★★✰✰) | PARTY ANIMAL (★★★★★) |
Rumour has it... il semblerait que l'une des seules choses pouvant lui faire peur soit l'orage ainsi que les bruits trop élevés. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Søren (ainé de la famille kim) : Sian c’est… C’est comme un rayon de soleil dans la maison. C’est la petite sœur dont j’ai toujours rêvé et que j’ai pu avoir il y a seulement peu de temps. N’allez pas croire que ça m’enlève de l’amour pour elle, au contraire. En fait, je crois que je l’aime encore plus depuis la transition. Dans la famille, je suis le seul à l’avoir appuyée à 110 pour cent, sans jamais reculer devant ses idées saugrenues, ses envies et ses peines. Je suis peut-être celui qui l’a entraînée dans le plus d’aventures, d’ailleurs. Sian n’a jamais reculé devant quoi que ce soit. Je m’amusais à tester ses limites, à lui demander des choses plus poussées à chaque fois. Je me disais qu’à force de repousser la limite du raisonnable, elle me réprimanderait et finirait par tourner les talons, claquer la porte. Jamais. Elle s’est mise dans la merde par ma faute, et pas qu’une seule fois. J’étais pourtant toujours présent lorsqu’il s’agissait de ramasser les pots cassés. À l’inverse, lorsque je ne me sentais pas bien ou que j’étais moi-même dans de beaux draps, elle était la première à courir à ma rescousse. C’est une jeune femme dotée d’une loyauté et d’une générosité sans pareil. Elle pourra vous sembler sérieuse et à ses affaires, et pourtant, c’est la femme la plus folle et la plus énergique que je connaisse. Passez seulement une soirée avec elle. Elle saura vous divertir et vous tomberez rapidement sous son charme. C’est peut-être drôle à dire (et encore plus bizarre à entendre), mais si Sian n’était pas ma sœur, je l’aurais déjà mariée. Sawyl (enfant du milieu) : Je n’ai jamais vraiment aimé Sean, tout ça parce que je suis le deuxième né et que je suis tombé dans l’ombre. Nos parents se sont toujours occupé se Søren, parce que c’est l’aîné, et de Sean, parce que c’est le cadet. Et c’est le cadet de mes soucis. Tout le monde dit que « Sian » est parfaite, que c’est la bonté même. Moi, je ne vois que du négatif dans cette « chose » qu’elle est devenue. Sian ne sera jamais ma sœur. Sean ne sera plus jamais mon frère. Pour moi, c’est une tache sur notre arbre généalogique. C’est quelqu’un qui a toujours agit sous le coup de l’impulsion, sans jamais vraiment réfléchir aux conséquences. Elle fait du mal aux gens qui l’entoure sans même sans rendre compte, parce qu’elle ne cherche jamais vraiment plus loin que le bout de son nez. Elle cherche toujours à être parfaite, à avoir l’air parfaite aux yeux des autres, et pourtant, elle est loin de l’être. Vous savez qu’elle a failli me tuer, quand on était jeunes? Elle m’a poussé au bas des escaliers et est partie jouer au camion dans sa chambre. « J’ai trébuché, maman. », ce fut son excuse. Ah oui, pour ça, elle est maladroite. C’est la personne la plus maladroite que je connaisse. Elle s’est déjà foulé une cheville en enfilant son soulier, tout ça parce qu’elle a éternué et qu’elle est tombée en bas de sa chaise… Pathétique. Soraya (mère des trois enfants) : Ce que je pense toute cette histoire…? C’est.. Compliqué. Elle se caresse nerveusement la nuque. Serait-il mal de dire que j’ai renié l’un de mes enfants? Ce n’est pas totalement le cas. J’ai toujours voulu avoir une fille, je ne vous le cache pas. Je ne pensais toutefois pas que c’est ainsi que ça se passerait… Je reconnais très bien Sean en Sian. Il est… bien plus épanoui. Cette transition lui a fait le plus grand des biens. Il était tellement timide, le pauvre. Il arrivait à peine à parler en public, toujours à se cacher dans ma jupe. Maintenant, il pourrait donner la lune à tout le monde s’il le voulait. Il entreprendra de grandes choses, je le sais. C’est probablement pourquoi je l’ai appuyé dans cette épreuve, même si j’avais quelques réserves. Une mère n’est jamais prête à dire adieu à l’un de ses enfants. C’est une adaptation avec laquelle j’ai encore un peu de mal. Le malaise, à la table familiale, lorsque je l’appelle par son ancien prénom… Je vous épargne les détails. Sian, en colère, ce n’est jamais beau à voir. Ma Eun (ex-petite amie) : Je suis sortie avec Sean pendant près d’un an, de ses seize à dix-sept ans. C’était une relation assez platonique, même s’il s’intéressait à tout ce que je faisais. En fait, j’avais l’impression de passer du temps avec ma meilleure amie plutôt qu’avec mon copain… Si je l’ai revu? Mhh. Non. J’ai tenté d’entrer en contact avec ses frères, mais les deux m’ont dit qu’il était déménagé aux États-Unis. Je n’ai jamais été capable de trouver son profil Facebook, même par le biais des comptes de ses frères. C’est comme s’il avait disparu de la surface de la planète, volatilisé dans l’air. |
This is my story
I want to fly on this heat with you
Tu reçois une claque derrière la tête. Évidemment, tu ne t’en attendais absolument pas. Tu fronces les sourcils, relavant la tête en direction de ton père, qui te jauge de toute sa hauteur, les poings sur les hanches. Du bout du pied, il repousse ton camion un peu plus, un soupir s’échappant de ses lèvres au même moment. « Défais tes boîtes et range ta chambre, Sean. Tout de suite. » Son ton est autoritaire : tu n’as aucune chance de le faire changer d’avis. Vu comment il vient de lancer ton camion à l’autre bout de ta chambre, tu sais qu’il n’est absolument pas de bonne humeur. Ce déménagement ne lui convenait pas et, depuis un moment, il vous le fait savoir en passant ses nerfs sur vous. Le petit garçon de cinq ans que tu es se redresse finalement et monte sur son lit, placé près de la fenêtre. Plutôt que d’ouvrir le premier carton d’une série de 23, tu contemples cette nouvelle ville qui t’hébergera pour une bonne partie de ta vie. Séoul, c’est bien différent de Busan. Il y a beaucoup plus d’action, beaucoup moins de verdure qu’à ton ancien logis. Et, surtout, il y a beaucoup moins d’amis. Commencera alors une longue série d’années d’isolement, où tu te chercheras, te remettras en question et où la seule personne sur qui tu pourras compter sera ton grand frère, Søren.
Ton enfance ne fut jamais bien simple. Si, à l’école, tu excellais dans toutes les matières, tu n’arrivais pas à te faire d’amis, que ce soit avec les garçons ou les filles. Dès que les autres enfants tentaient de te parler, tu te renfrognais, te cachais dans cette coquille, ce cocon que tu trouvais si rassurant. À force d’essayer et de ne jamais réussir, les autres enfants finirent par te laisser tranquille et ne plus essayer de t’adresser la parole. Cela dura jusqu’à tes dix ans, jusqu’au jour où un jeune homme de ton école décida de s’en prendre à toi. Tu étais plus petit que les enfants de ton âge. Tu avais l’air faible, le profil parfait pour être une victime. Il te frappa en plein ventre alors que tu retournais à la maison ; tes genoux touchèrent le sol en quelques secondes. Tu as le souffle coupé. Il se met à t’insulter, à te critiquer, à te dire que tu n’as rien d’un homme avec le sac à dos mauve que tu trimballes. Il tourne les talons, mort de rire. Tu ne sais trop pourquoi, mais tu sens cette rage monter en toi. Tu ressens cette envie de lui prouver qu’il a tort, qu’il se trompe totalement à ton sujet, et pourtant, tu ne t’en sens pas capable. Tu te redresses toutefois, ramasses ton sac tombé au sol. Tu te jures que la prochaine fois, tu ne te laisseras pas faire. Il n’y eu pourtant pas de prochaine fois.
Un tour de force. Tu ramènes finalement des amis à la maison, à la grande joie de ta mère. Lorsque tu ramènes des filles, elle est certaine que l’une d’entre elles finira par être sa bru. Pourtant, ce ne sont que des amies. Tu ne t’intéresses pas plus que ça à elles, sauf lorsqu’il s’agit de se faire les ongles ou de se faire des tresses. Tu gardes d’ailleurs tes cheveux assez longs et ton gabarit de petite taille fait qu’elles t’acceptent assez facilement dans leurs bandes. Sauf qu’un jeune homme de ton âge devrait plutôt jouer au soccer et se traîner dans la boue plutôt que de faire des compétitions de gymnastique et rafler des médailles d’or. Tu devrais t’intéresser aux filles d’une autre façon qu’en voulant faire partie de leurs bandes, autrement qu’en faisant les mêmes choses qu’elles. C’est ton père qui s’en rendit compte le premier, refusant que son fils cadet se comporte comme une lopette. Il t’inscrivit à un club de football, puis de boxe, pour t’apprendre à te défendre. Ce ne fut pas un franc succès, sauf pour la boxe. Au football, tu ne faisais que te faire plaquer. Commotions cérébrales, fractures en tout genre, épuisement, tu en passes. Ta mère décida de te désinscrire un peu après tes quinze ans. Elle jugeait que tu étais assez grand pour savoir ce que tu avais envie de faire. Elle n’avait pas tort.
Tu venais tout juste d’avoir dix-huit ans quand tu entrepris les démarches. Bien entendu, ton père s’y opposa fortement. Ta mère, elle, ne faisait que pleurer, sans pourtant te dire non. C’est Søren qui t’accompagna, étonnamment, tout au long de cette transition. Des consultations avec les psys, des nuits blanches que tu passais, trop stressé pour pouvoir t’endormir, au changement de nom officiel lorsque le tout fut finalisé, c’est lui qui te supporta dans cette épreuve. La mort de Sean marquait une nouvelle vie pour Sian. Tu avais toujours su que cette vie que tu menais n’étais pas faite pour toi. Tu avais toujours su que cet être introverti n’était pas ce que tu étais, qu’il demandait tout juste à s’épanouir. Tu changeas d’école lorsque la transition fut terminée. Tu repartis de zéro, te fis enfin des amis – des vrais. Tu repris ta vie en main pour la mener exactement comme tu le voulais, montrant aux autres que tu n’étais pas que faiblesse. Tu es maintenant à l’université, en médecine. Ce n’est pas le chemin que tu comptais prendre, mais, au final, ça te va parfaitement. Tout est parfait – ou presque.
Ton enfance ne fut jamais bien simple. Si, à l’école, tu excellais dans toutes les matières, tu n’arrivais pas à te faire d’amis, que ce soit avec les garçons ou les filles. Dès que les autres enfants tentaient de te parler, tu te renfrognais, te cachais dans cette coquille, ce cocon que tu trouvais si rassurant. À force d’essayer et de ne jamais réussir, les autres enfants finirent par te laisser tranquille et ne plus essayer de t’adresser la parole. Cela dura jusqu’à tes dix ans, jusqu’au jour où un jeune homme de ton école décida de s’en prendre à toi. Tu étais plus petit que les enfants de ton âge. Tu avais l’air faible, le profil parfait pour être une victime. Il te frappa en plein ventre alors que tu retournais à la maison ; tes genoux touchèrent le sol en quelques secondes. Tu as le souffle coupé. Il se met à t’insulter, à te critiquer, à te dire que tu n’as rien d’un homme avec le sac à dos mauve que tu trimballes. Il tourne les talons, mort de rire. Tu ne sais trop pourquoi, mais tu sens cette rage monter en toi. Tu ressens cette envie de lui prouver qu’il a tort, qu’il se trompe totalement à ton sujet, et pourtant, tu ne t’en sens pas capable. Tu te redresses toutefois, ramasses ton sac tombé au sol. Tu te jures que la prochaine fois, tu ne te laisseras pas faire. Il n’y eu pourtant pas de prochaine fois.
Un tour de force. Tu ramènes finalement des amis à la maison, à la grande joie de ta mère. Lorsque tu ramènes des filles, elle est certaine que l’une d’entre elles finira par être sa bru. Pourtant, ce ne sont que des amies. Tu ne t’intéresses pas plus que ça à elles, sauf lorsqu’il s’agit de se faire les ongles ou de se faire des tresses. Tu gardes d’ailleurs tes cheveux assez longs et ton gabarit de petite taille fait qu’elles t’acceptent assez facilement dans leurs bandes. Sauf qu’un jeune homme de ton âge devrait plutôt jouer au soccer et se traîner dans la boue plutôt que de faire des compétitions de gymnastique et rafler des médailles d’or. Tu devrais t’intéresser aux filles d’une autre façon qu’en voulant faire partie de leurs bandes, autrement qu’en faisant les mêmes choses qu’elles. C’est ton père qui s’en rendit compte le premier, refusant que son fils cadet se comporte comme une lopette. Il t’inscrivit à un club de football, puis de boxe, pour t’apprendre à te défendre. Ce ne fut pas un franc succès, sauf pour la boxe. Au football, tu ne faisais que te faire plaquer. Commotions cérébrales, fractures en tout genre, épuisement, tu en passes. Ta mère décida de te désinscrire un peu après tes quinze ans. Elle jugeait que tu étais assez grand pour savoir ce que tu avais envie de faire. Elle n’avait pas tort.
Tu venais tout juste d’avoir dix-huit ans quand tu entrepris les démarches. Bien entendu, ton père s’y opposa fortement. Ta mère, elle, ne faisait que pleurer, sans pourtant te dire non. C’est Søren qui t’accompagna, étonnamment, tout au long de cette transition. Des consultations avec les psys, des nuits blanches que tu passais, trop stressé pour pouvoir t’endormir, au changement de nom officiel lorsque le tout fut finalisé, c’est lui qui te supporta dans cette épreuve. La mort de Sean marquait une nouvelle vie pour Sian. Tu avais toujours su que cette vie que tu menais n’étais pas faite pour toi. Tu avais toujours su que cet être introverti n’était pas ce que tu étais, qu’il demandait tout juste à s’épanouir. Tu changeas d’école lorsque la transition fut terminée. Tu repartis de zéro, te fis enfin des amis – des vrais. Tu repris ta vie en main pour la mener exactement comme tu le voulais, montrant aux autres que tu n’étais pas que faiblesse. Tu es maintenant à l’université, en médecine. Ce n’est pas le chemin que tu comptais prendre, mais, au final, ça te va parfaitement. Tout est parfait – ou presque.
About me
Je suis...
nightingale / maru
hey oui, je déterre les vieilles choses :$ ça faisait un moment que j'y pensais, à ramener ma belle sian et à revenir dans le coin (je suis comme un boomerang avec ce forum, c'est fou). je passerai tous les jours, je ne rperai peut-être pas aussi fréquemment (la vie me tue à petit feu ~)
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1039][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>AHN HEE YEON (HANI, EXID)</upper></taken> ✎ <lower>kim sian</lower>
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 17:44 Citer EditerSupprimer
SIIIIIIIIIAN ! *marque son territoire*
Je PISSE LE SANG DU NEZ, t'es trop JOLIE !
Comme dit sur skype : OMG !
Bon retour sur stw :sunmi: :sunmi: :sunmi:
Je PISSE LE SANG DU NEZ, t'es trop JOLIE !
Comme dit sur skype : OMG !
Bon retour sur stw :sunmi: :sunmi: :sunmi:
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 17:56 Citer EditerSupprimer
t'es beaucoup trop content, kwangho, t'es adorable
je me dépêche de faire ma fiche qu'on puisse reprendre notre ancien rp où on l'avait laissé
coucou toi
dean oh my god, tu me fais baver ;___;
je me dépêche de faire ma fiche qu'on puisse reprendre notre ancien rp où on l'avait laissé
coucou toi
dean oh my god, tu me fais baver ;___;
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 18:22 Citer EditerSupprimer
HANNII
rebienvenue à toi je crois
et have fun pour la suite, bon choix d'avatar au passage
rebienvenue à toi je crois
et have fun pour la suite, bon choix d'avatar au passage
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 18:56 Citer EditerSupprimer
AH QUE RECOUCOU TOI
De retour avec Sian olala ça c'est une nouvelle
Bon courage pour ta fiche
De retour avec Sian olala ça c'est une nouvelle
Bon courage pour ta fiche
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 19:02 Citer EditerSupprimer
sian bb tu m'as manqué
re
re
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 20:04 Citer EditerSupprimer
Rebienvenue parmi nous
Haniiiiiii elle est cool ~~
Aja pour ta fiche
Haniiiiiii elle est cool ~~
Aja pour ta fiche
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Re: kim sian ☆ playing with fire | Mer 16 Nov - 20:08 Citer EditerSupprimer
MARUTAAAAAAAAAAAAAAAN
WELCOME BACK A LA CASA
Bon courage pour ta fiche, je te fais de gros zoubis et on reprendra notre lien parce qu'il était cool cool
WELCOME BACK A LA CASA
Bon courage pour ta fiche, je te fais de gros zoubis et on reprendra notre lien parce qu'il était cool cool
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