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a thousand years ☾ jaykyu
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Re: a thousand years ☾ jaykyu | Sam 26 Nov - 22:10 Citer EditerSupprimer
I love you - J A Y K Y U - Il ne comprend pas Kyu, n'a jamais compris en réalité, l'addiction étrange qui s'empare toujours des personnes amoureuses. Le besoin essentiel de toujours devoir lier leurs lèvres. Et parce qu'il n'a jamais eu la possibilité d'embrasser la personne qu'il aime avant, qu'il n'a au final, jamais connu la moindre relation, il méprisait ces gens avides d'un geste qui n'a pourtant rien de bien extraordinaire. Aujourd'hui il est animé par cette nécessité autant que ses poumons réclament de l'oxygène. Quoi qu'il fasse, dès que l'homme qu'il aime n'est pas loin, son regard finit toujours par s'échouer sur ses lippes toujours si souriantes, toujours si belles. Il a besoin de les caresser des siennes, tout le temps, toujours. Et à trop les dévorer, sa gourmandise s'est accrue, le poussant à goûter à sa peau parfumée, à suivre chaque courbe de son visage, de son cou, de ses épaules, sans oser prolonger ses explorations plus loin, cependant, envies contenues par pudeur, par respect pour les limites pourtant inconnues de son Soleil. Il préfère prendre son temps, puisqu'ils ont l'éternité devant eux. Se fiche d'avancer doucement, tant que c'est avec lui. Et il a envie de passer la soirée entière à se perdre dans son regard-astral, que leurs mains se lient si fort, sans jamais se détacher. Il veut sentir l'odeur de musc de son homme s'imprégner sur ses vêtements, sur son corps, et sentir ses doigts courir entre ses mèches. Et il a envie de passer sa vie entière à l'embrasser. Sentir encore le monde s'effacer sous les assauts de ses lippes, et ses poumons oublier comment fonctionner. Et son coeur, enfermé comme tout être sauvage cogner contre ses barreaux blancs. Il la sent Kyu, la passion qui éclôt au fil de leurs baisers, augmentée par le passage accordé de sa langue, par ce son qui parvient à ses oreilles rougies. Et ses pupilles dilatées s'ancrent dans les siennes, s'éteignent lorsque ses paupières se ferment à la sensation de cette pulpe rose qui danse sur sa peau. Il le suit aveuglément, le laisse l'emporter, accueille ses lippes sans tarder, sans rien dire. Ses doigts se perdent dans ses cheveux colorés lorsqu'elles reprennent leur exploration, et il devient dingue Kyu. Dingue de sentir ces pétales caresser le frisson de son cou qu'il lui offre tout entier. Elles se pincent ses lèvres, sous la sensation trop plaisante de cette zone si sensible chez lui. Tremble plus encore lorsque la voix rendue grave par le murmure de son homme fait son chemin jusqu'à ses oreilles, mais il est enseveli sous les émotions Kyu, oublie les mots, oublie tout, se laisse dépasser par ce trop plein d'amour. « Plus tard. » Quelques paroles précipitées avant que ses lippes n'attaquent de nouveau après lui avoir relevé le visage, et son corps se glisse sur ses cuisses pour approfondir l'échange, ses mains courent dans son cou, son corps se fait poids-balancier lorsque, d'une impulsion calculée, il fait basculer son Soleil contre le matelas, suit le mouvement. Ses doigts caressent son torse, sa langue cherche la sienne, s'y enroule, glisse dans son cou où il s'arrête brusquement, souffle fort. Et son front s'appuie contre son épaule le temps de reprendre ses esprit, d'apaiser le brasier qui s'est allumé. « Désolé bébé. » Il patiente encore quelques secondes, relève le visage vers lui et lui vole un baiser rapide, sourit à peine, timidement. « Tu m'rends dingue tu sais ça ? » C'est à peine murmuré, à peine chuchoté. « J't'aime tellement, si tu savais.. » code by lizzou — img/gifs by TUMBLR. |
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Re: a thousand years ☾ jaykyu | Dim 27 Nov - 0:42 Citer EditerSupprimer
I love you - J A Y K Y U - Il sait pas trop d’où ça vient, Jay. Sait juste que c’est en lui, que ça l’embrase, que ça le consume. Il sait juste qu’il a envie de l’embrasser, partout, tout le temps, de découvrir le goût de ses lèvres, y imprimer un sourire en les pressant des siennes. Il veut sentir ses caresses sur sa peau, laisser ses doigts danser sur son corps. Et il veut le découvrir, entièrement, complètement, dessiner d’un contact de ses mains agiles la courbe de sa mâchoire, de son dos, de ses hanches. Mais il sait pas, Jay. Sait pas où sont les limites, sait pas jusqu’où il peut aller. Alors il se contente de tâtonner, d’essayer. Il trace de ses lèvres impatientes un chemin sur son cou, s’arrête un instant, murmure, reprend son exploration, sa découverte. S’amuse de ses frissons, s’enivre de son parfum. Et il proteste d’un grognement, quand il sent sa tête soulevée, sa bouche séparée de cette peau qu’il aime tant. Grognement pourtant bien vite interrompu par le baiser soudain, brusque, de celui qui lui fait tourner la tête, qui lui fait oublier, tout, jusqu’à la raison de sa présence ici. Et ses mains rejoignent ses hanches quand il prend place sur ses cuisses. Et sa langue rejoint la sienne quand elles se rencontrent, se découvrent. Il a même pas conscience, Jay, de son dos contre le matelas, ne perçoit que ce corps au-dessus du sien, ces doigts qui se promènent sur son torse, trace un chemin de feu le long de sa peau. Et son corps qui se presse instinctivement contre ces mains, invitation à l’exploration, toujours plus, toujours plus loin. Et sa tête qui se penche, son cou qui se tend, sous l’assaut impérieux de cette langue qui découvre, fait naître une myriade de frissons, battre son cœur plus fort, affoler sa respiration déjà laborieuse. Et elle en veut plus, sa peau, avide de ces caresses. Et il en veut plus, Jay, ivre de ces contacts. Pourtant elle finit par s’arrêter, cette langue, bien vite remplacée par un souffle, qui caresse sa peau, le réveille un peu. Mais les mots qui suivent le plongent dans l’incompréhension. Et il cligne des yeux, essaye de revenir sur la terre ferme, tente de les interpréter, de les comprendre – sans succès. Il ferme les paupières un instant, sous le contact de ces lèvres qui ne s’attardent pas bien longtemps, mais ne le divertissent pas vraiment, pas assez longtemps, alors qu'il recommence à s'interroger. « C’est… pourquoi… pourquoi tu t’excuses ? Et comment ça… dingue ? » Et il peine à trouver une signification à tout ça, le gosse, bien trop insouciant, bien trop inconscient – bien trop ignorant de ce monde qui l’entoure, de la réalité des êtres, des sentiments. Ses mains s’agitent, se meuvent dans l’air, viennent se déposer doucement, timidement, sur la tête de son homme. Et il caresse ses mèches, reprend ce mouvement qu’il sait si habituel, presque instinctif, alors qu’il le ramène contre lui, en une étreinte forte, si forte. « Je t’aime aussi… beaucoup beaucoup beaucoup, mais… » Et il s’arrête, hésite, vient taquiner de son pouce joueur le lobe de son oreille. « Mais j’ai rien fait de mal… hein ? » Parce qu’il craint un peu, gamin inexpérimenté, de mal faire, de se tromper, peur d’abuser de sa clémence, de sa patience. Et pourtant ça ne l’empêche pas, de laisser sa main glisser le long de son dos. Et pourtant ça ne l’empêche pas, de joindre à nouveau leurs lèvres. code by lizzou — img/gifs by TUMBLR. |
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Re: a thousand years ☾ jaykyu | Lun 28 Nov - 23:32 Citer EditerSupprimer
I love you - J A Y K Y U - Kyu il a passé des jours, des nuits entières à rêver de ces lèvres qui l'obsèdent depuis trop longtemps. S'est imaginé trop de fois les posséder, juste y goûter, au moins une fois. Mais il s'était résigné le gosse, avait abandonné l'idée que tout ça arrive un jour. Il était trop jeune, trop con, pas certain d'assumer son attirance pour Son amour pour lui. Alors il n'a pas réfléchi le mois dernier, n'a pas laissé sa peur, ses angoisses, ses doutes lui barrer la route. Il a déconnecté son cerveau Kyu, pour enfin oser lui dire la vérité, pour enfin l'embrasser comme il en a toujours rêvé. Il lui a tout livré, chaque sentiment, chaque mot gardés sous silence pendant trop longtemps parce qu'il est convaincu Kyu qu'il aurait pu finir par en mourir, de ce brasier trop longtemps étouffé, qui aurait fini par le brûler de l'intérieur. Et il est heureux le môme, heureux de lui appartenir, heureux qu'il lui appartienne. Heureux de pouvoir lui dire je t'aime et qu'il comprenne. Heureux de pouvoir goûter à ses lippes, à sa peau, de pouvoir dormir contre lui, de sentir sa chaleur, son regard, ses sourires. Trop gourmand cependant. Trop avide. Trop dépendant. Et ce soir chaque fois que ses iris trop sombres se perdent dans les siennes, chaque fois que leurs peaux s'effleurent, que leurs lèvres dansent ensemble, il se perd un peu plus, se retrouve un peu plus. Il a envie de le découvrir, de parsemer chaque parcelle de sa peau de baisers, de laisser ses mains trop curieuses courir partout, sur chaque creux, chaque relief de ses muscles chauds. Ce soir il ne fait pas que l'aimer, il le désire aussi. Et son corps bouge de lui-même lorsqu'il se place au dessus de son homme, et sa langue franchit seule la barrière de ses lippes rougies par les baisers à répétition, glisse sur son épiderme hâlé pendant que ses mains découvrent son torse, avec pour seule barrière le tissu qu'il trouve de trop, ne retire pas malgré tout. Et il en veut plus, Kyu. Avec pour seule barrière les limites de son Jay. Il n'a aucune idée de l'endroit où elles se trouvent, jusqu'où il est prêt à aller avant que tout ne devienne que contrainte, avant qu'il ne subisse la passion trop ardente du plus jeune. Alors il s'arrête, prend le temps de se calmer, se drogue au parfum de son Soleil pour apaiser ses envies trop passionnées. Il a le souffle court Kyu, le coeur qui bat fort Kyu, et il ne répond pas, pas tout de suite. Sa tête se presse contre cette main si souvent emmêlée dans ses cheveux, comme pour réclamer ses caresses si plaisantes. Et il lui rend son étreinte, se crispe à l'entente du mais, redoute la suite. Et sa tête se relève pour croiser son regard lorsqu'il termine sa phrase Jay. Ses lèvres s'entrouvrent pour répondre, se pincent au tracé de cette main qui dévale son dos, se pressent contre leurs jumelles avec douceur. Et même lorsque l'échange se termine, il reste près, si près de lui que leurs lippes se taquinent lorsqu'il parle. « Non mon coeur. Non, t'as rien fait de mal. C'est ma faute, parce que j'me suis pas contrôlé. » Il dépose un baiser sur sa pommette recule un peu son visage pour pouvoir le regarder correctement « C'est comme si.. J'pouvais pas vivre sans toi, j'peux pas imaginer ma vie sans toi dedans. » Il capture ses lèvres un instant. « Tu m'rends dingue parce que j'suis accro à tout ça, tu vois ? » J'suis accro à tout toi, tu vois ? code by lizzou — img/gifs by TUMBLR. |
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Re: a thousand years ☾ jaykyu | Mar 29 Nov - 23:14 Citer EditerSupprimer
I love you - J A Y K Y U - C’est la première fois qu’il aime autant, Jay. C’est la première fois qu’il aime vraiment, Jay. C’est la première fois qu’il est en couple, Jay. Alors il sait pas trop comment s’y prendre, il sait pas trop quoi faire, pas trop ce qu’il doit faire. Il tâtonne, du bout des doigts, du bout du cœur, essaie, cherche un peu, se cherche aussi. Et puis le cherche lui. Cherche à le découvrir, explorer sa bouche de ses lèvres gourmandes, avides de lui, de son homme, de ses caresses, de ces contacts si légers, si puissants, si doux. Et il pourrait rester là éternellement. Il pourrait l’embrasser éternellement. Il pourrait l’aimer éternellement. Savourer chacun de ses baisers, les lui rendre, poser ses mains sur sa peau, sur son corps, se repaître de sa chaleur. Puis le regarder une fois, deux fois, trois fois, sourire, le faire sourire aussi, admirer les paillètes qui illuminent son regard quand il est heureux, se jouer de ses réactions, rire de ses frissons, de ses transports enflammés, perdre sa main dans ses cheveux. Puis l’embrasser, encore et encore, déposer ses lèvres sur sa peau rougie, s’arrêter un instant, observer leurs doigts entremêlés – sourire. Et être heureux. Être heureux un peu, être heureux beaucoup – mais être heureux à deux. Et pour l’éternité. Et ses prunelles s’ancre dans les siennes quand il commence à parler, et la lueur se ranime, se ravive sous les assauts de ses paroles. Il comprend enfin, croit comprendre en tout cas. Et son cœur tambourine dans sa poitrine, se gonfle de tendresse, de joie et d’amour – de beaucoup d’amour, mais pas trop, non jamais trop. Il le laisse capturer ses lèvres, ferme les yeux, savoure, profite, essaie de prolonger aussi, geint quand il s’écarte, veut le ramener, le rapprocher. Alors il tend les bras, les passe autour du corps de son homme, enroule ses jambes autour de ses hanches, et le serre fort contre lui. « Moi non plus j’peux pas imaginer ma vie sans toi ! Parce que ma vie c’est toi. » Et il rigole un peu, gazouille aussi un peu, gamin beaucoup trop content, incapable de masquer sa joie, le rire ensoleillé de l’amoureux transi. « Et même que si tu me fais des bisous tout comme ça quand tu te contrôles pas, alors moi j’veux que tu te contrôles jamais ! » Parce qu’il y a goûté, Jay, en veux encore, toujours plus, veut sentir encore cette bouche contre la sienne, cette langue parcourir la courbe de son cou. Et il les veut encore, ces caresses qui ravissent son âme, font fondre son cœur, frissonner sa peau et le rendent encore un peu plus amoureux. Comme si c’était possible, comme s’il ne l’était pas déjà suffisamment. Il lâche tout, relâche tout, laisse sa main glisser, s’accrocher à ses doigts à lui, les attraper, pour plus les relâcher, non, plus jamais. Et comme un jeu, il bascule, entraîne son homme avec lui, le pousse un peu, le propulse un peu, finit au-dessus, son regard-soleil planté dans ses prunelles obscures. Son regard joueur, surtout rieur, et cette lueur que nul autre que son amoureux n’a jamais réveillé. « Je t’aime Kyu, » st ses lèvres se déposent sur son front, « et j’aimerais, » attaquent maintenant sa joue, « qu’on puisse, » petit tour sur le bout de son nez, « rester comme ça, » avant d’atterrir sur le coin de sa bouche, « pour l’éternité. » Et il sourit, glisse sur le côté, embrasse une fois, deux fois, trois fois, ces lèvres qu’il aime tant, qu’il redécouvre à chaque fois. Ces lèvres qu'il aimerait tellement imprimer dans sa mémoire. Et cet être qu'il aimerait tellement imprimer dans sa vie, pour l'éternité. code by lizzou — img/gifs by TUMBLR. |
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Re: a thousand years ☾ jaykyu | Sam 16 Sep - 19:08 Citer EditerSupprimer
I love you - J A Y K Y U - Il a la tête chargée de pensées, l'esprit rempli de lui. Peine à maintenir le focus, à rester maître de ses émotions qui le submergent avec une intensité trop importante. C'est comme si tout était décuplé. Il peut sentir le chemin parcouru par le frisson qui court sur sa peau brûlante, ressent chaque battement irrégulier de son coeur qui s'emballe un peu plus à chaque nouvelle seconde. Et puis il observe, se perd un peu dans la contemplation de ce visage si proche du sien, se noie beaucoup dans ce regard posé sur lui. Il s'est souvent demandé ce que ça faisait Kyu, ne peut nier l'avoir imaginé quelques fois lorsqu'il était plus jeune, amoureux désespéré qui s'autorisait à peu près tout dans son imaginaire pour palier au nombre incalculable de limites qu'il s'imposait au quotidien. Et ses pensées d'ado lui semblent aujourd'hui si insipides face à l'intensité d'émotions que chaque geste de son Jay lui procure. Alors il perd pied, un peu. Puis il se sent ridicule aussi, réalise à quel point il est dépendant, à quel point ses mots ne lui ressemblent habituellement. Et puis il s'en fiche. Et tant pis s'il est niais, tant pis s'il ne devrait pas étaler son amour si tôt dans leur relation. Il a attendu ce jour trop longtemps, à quoi bon trainer encore ? Jay ne semble pas dérangé non plus, renchérit même assez pour étirer un peu les lèvres du plus petit dans un sourire timide. « T'es pas prêt pour ça bébé, crois moi. » c'est soufflé sur un ton taquin, mais il reste malgré tout très sérieux dans ces propos. Non, il ne peut pas se permettre de perdre le contrôle comme ça. Pas maintenant. Et c'est pas grave rien ne presse, alors il souffle un peu pour évacuer toute cette accumulation d'émotions, serre doucement ces doigts sans le quitter des yeux un instant. Il sursaute un peu, glapit un peu lorsque leurs positions sont inversées, sent ses joues rougir suite à l'initiative imprévue. Et il glisse une main contre la nuque de son soleil, reste immobile ensuite, trop obnubilé par ses mots pour pouvoir vraiment réagir. Tout son visage brûle sous l'assaut de ses lippes avant qu'il ne réponde naturellement aux baisers, se rapproche encore, se rapproche toujours. « On peut. » à peine murmuré contre ses lèvres rougies, et puis son regard explore à nouveau chaque détail de ce visage qu'il connaît pourtant par coeur, qu'il a vu changer au fil des années, toujours rester beau cependant. Il passe une petite éternité comme ça, ses doigts frôlant la joue de son Jay comme pour se rassurer sur sa présence. Et puis son sourire s'étire. Il se sent bien Kyu. « Tu t'souviens quand on était ados et qu'on passait notre temps sur le lit pour jouer aux jeux vidéos ou juste écouter de la musique ? J'passais mon temps à imaginer que tout ça arrive, le Kyu d'il y a cinq ans serait fier de moi pour ça. » Ses bras viennent enserrer la taille de son soleil et il se blottit contre son torse, cale son visage contre son cou en inspirant le parfum de sa peau. « Me prend pas pour un pervers hein ? J'imaginais rien de... bref. Oublie ça, et on reste comme ça pour toujours, hm ?» code by lizzou — img/gifs by TUMBLR. |
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Re: a thousand years ☾ jaykyu | Dim 17 Sep - 20:32 Citer EditerSupprimer
I love you - J A Y K Y U - Et il est content comme ça, Jay. Et il est heureux comme ça, Jay, dans les bras de son homme, dans leur propre monde, loin des autres, loin du reste. Juste eux. Il est heureux, Jay, quand il ne pense qu’à Kyu, à rien d’autre, quand il ne fait que savourer sa chaleur, ses baisers, à sourire devant ses parles, se délecter des moindres signes de son amour. Et il aime, Jay, beaucoup trop, sûrement trop fort. Il aime Jay et il aime aimer ; mais il aime surtout aimer quand c’est lui, quand tout son amour est dirigé vers l’homme qui tient maintenant une place si importante dans sa vie. Si importante qu’il ne reviendrait en arrière pour rien au monde. Accepte enfin toutes ces années d’éloignement, puisqu’elles lui ont permis de le retrouver, de le retrouver tout entier ; puisqu’elles n’ont jamais permis de les éloigner réellement. Puisque ça a toujours été Jay et Kyu, Kyu et Jay. Alors quand il lui dit qu’ils peuvent, il sourit, sans pouvoir s’en empêcher. Sourire béats, sourire un peu niais. Il se dit que c’est quand même bien pratique, d’avoir Kyu, pour régler toutes les situations, toujours trouver une solution. Et il est heureux, tout simplement. Probablement plus heureux qu’il ne l’a jamais été. Et il savoure le sourire de son amoureux, l’observe comme si c’était la plus belle chose qu’il ait vu de sa vie (et c’est le cas, pourtant). « C’est vrai tout ça ? » Il a le regard qui luit, le sourire toujours aussi éclatant, peut-être même une légère rougeur sur les joues. Et une douleur, aussi, celle d’être trop heureux. « Pourquoi j’te prendrais pour un pervers ? Noooon j’ai pas envie d’oublier ça ! » Il est tout content, peut-être un peu taquin. « T’étais déjà amoureux de moi, y a cinq ans ? » Il veut la réponse, il veut l’entendre, il veut le voir, savourer cet instant, se le rappeler dans les minutes, les heures, les jours et les années qui suivront. Il veut l’entendre amoureux, comme pour se persuader que ce n’est pas un rêve, comme pour s’assurer qu’il est là, bien là, qu’il ne partira pas, ne partira plus (qu’ils seront ensemble). « Moi je vote pour qu’on reste comme ça pour toujours. » Et il sourit, encore, jusqu’aux oreilles. Et puis il s’écarte un peu, se pousse un peu, pour finalement s’enfouir sous la couverture et inciter Kyu à faire de même. Pelotonner sous le drap comme un enfant, dans cette chaleur réconfortante. « Kyu, moi y a cinq ans, bah je savais pas tout ça, mais j’étais quand même super trop content de passer du temps avec toi touuuut le temps. » Parce que c’était son meilleur ami, à cette époque, parce qu’il était la personne qui comptait le plus pour lui, avec sa mère, parce qu’il n’imaginait pas une vie sans lui, ne voulait pas d’une vie sans lui. Parce que c’était déjà son Kyu, qu’il partageait avec plaisir mais si peu à la fois, s’assurant toujours de rester à la première place dans son cœur, luttant parfois inconsciemment contre quiconque tenterait de lui voler la vedette. Parce que ça a toujours été eux et qu’il refuse que ça change. code by lizzou — img/gifs by TUMBLR. |
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