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Holy Night ?
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Re: Holy Night ? | Lun 30 Jan - 18:24 Citer EditerSupprimer
Ce n’est plus une lueur qu’elle perçoit, mais bien l’éclat de rire d’Ha Jun. Elle reste interdite devant le jeune homme qui essaie tant bien que mal de stopper l’hilarité provoqué par la réaction d’Eun Mi, et de reprendre la parole. Mais la jeune coréenne ne le prend pas mal, au contraire, elle est surtout soulager de voir ce que son discours provoque chez lui. Elle s’attendait à des gestes brusques, peut être une conversation avec un niveau de décibel un peu plus élevé, alors le voir rire finalement c’est rassurant. Et elle rougit, bien sûr qu’elle rougit, même le soulagement ne peut cacher sa honte. « Désolé, ne crois pas que je me moque de toi ou autre, c'est juste que je ne m'attendais pas à une telle remarque. Tu m'as pris au dépourvu, je t'avoue ». Eun Mi voudrait se cacher dans un trou de souris, mais elle n’en fait rien, au lieu de ça, elle reste muette et écoute le coréen qui lui fait face reprendre la parole. « Je ne pensais pas que ma question allait provoquer autant de choses ». Moi non plus, pensa-t-elle. Elle se mord la lèvre inférieure de ne pas savoir se retenir, la panique lui fait souvent dire tout ce qui lui passe par la tête. Et quelques fois elle aimerait avoir un filtre, une barrière, une sorte de détecteur. Vous savez comme les portiques de sécurités, sauf que dans son cas, il biperait bien avant que les mots n’atteignent ses lèvres. L’appréhension à raison d’elle, et elle joue nerveusement avec ses doigts, évitant à tout prix de croiser son regard. Il reste silencieux un instant, mais c’est un instant de trop qui plonge la jeune coréenne encore plus dans l’embarras et elle se laisse aller à couler un regard dans sa direction. Il lui sourit. Pas un sourire moqueur, un beau sourire qui se veut rassurant, un sourire qui dit ne t’inquiète pas. Elle qui d’habitude donne sa confiance aisément, aujourd’hui elle a bien du mal à croire ce qu’elle voit. On dit souvent que les apparences sont trompeuses, et s’il cache sa véritable identité, nul doute qu’il la dissimule habilement derrière un visage aux traits fins et chaleureux.
« Je n'aurai peut-être pas dû te poser une telle question, je m'en excuse. Et sache que . . . » sache que ? que quoi ? il lui semble attendre une éternité la fin de sa phrase. Elle reste en suspens, pensant au pire. « oui tu me plais. Est-ce que cela te dérange ? ». Elle s’attendait à tout, sauf à ça. C’est une grande première pour la coréenne, elle qui craque facilement pour un garçon, de se retrouver face à l’un d’eux, mais surtout, que ce dernier soit également intéressé par elle. Elle a l’impression d’avoir reçu un coup à l’estomac. L’air qui se trouvait dans ses poumons est sorti d’un coup la laissant sans oxygène. « Donc ne t'en fais pas, tu ne t'imagines pas non plus de grandes choses, ce que tu penses est vrai ». Elle peine à rester concentrée sur ce qu’il dit. Pourtant elle entend bien les mots qu’il prononce, ils ont juste perdu leur sens. La coréenne ne répond toujours pas, elle se contente d’essayer de reprendre contenance. Et lorsqu’elle le voit grimacer avant d’ouvrir de nouveau la bouche elle se demande encore une fois ce qu’il va bien pouvoir dire. « Tu penses que ce n'est pas possible ? ». Eun Mi reprend pied avec la réalité à cet instant. Est-ce que c’est possible ? Elle ? Plaire à un garçon, un oppa qui plus est ! L’idée est à la fois étrange et flatteuse. Et pourtant, la jeune coréenne est gênée, il ne lui était jamais venu à l’esprit qu’un jour on lui fasse un tel aveu. Elle se met alors à jouer nerveusement avec ses cheveux, réfléchissant à la meilleure manière de lui répondre. « Oppa … je … » C’est la première fois qu’elle fait face à ce genre de situation, et elle est encore une novice dans ce domaine, elle n’a même d’ailleurs jamais donné son premier baiser. Et elle sait bien au fond ce qu’il attend, du moins, elle s’en doute. Il ne la quitte pas des yeux alors qu’elle bouge les lèvres sans sortir un son. Elle ne trouve pas les mots et ne souhaite pas non plus le blesser en étant maladroite. Mais si l’on cherche la définition de maladroit dans le dictionnaire, c’est généralement là que l’on trouve le nom d’Eun Mi. En prenant son courage à deux mains elle décide d’enfin prendre la parole. « Oppa … tu … tu ressembles beaucoup à Du Jun … mon grand frère ! » Maladresse vous avez dit ? Elle voudrait se baffer de manquer autant de tact, surtout en ayant l’air aussi enjouée.
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Holy Night ?
Feat Seo Ha Jun & Kang Eun Mi
Ce n’est plus une lueur qu’elle perçoit, mais bien l’éclat de rire d’Ha Jun. Elle reste interdite devant le jeune homme qui essaie tant bien que mal de stopper l’hilarité provoqué par la réaction d’Eun Mi, et de reprendre la parole. Mais la jeune coréenne ne le prend pas mal, au contraire, elle est surtout soulager de voir ce que son discours provoque chez lui. Elle s’attendait à des gestes brusques, peut être une conversation avec un niveau de décibel un peu plus élevé, alors le voir rire finalement c’est rassurant. Et elle rougit, bien sûr qu’elle rougit, même le soulagement ne peut cacher sa honte. « Désolé, ne crois pas que je me moque de toi ou autre, c'est juste que je ne m'attendais pas à une telle remarque. Tu m'as pris au dépourvu, je t'avoue ». Eun Mi voudrait se cacher dans un trou de souris, mais elle n’en fait rien, au lieu de ça, elle reste muette et écoute le coréen qui lui fait face reprendre la parole. « Je ne pensais pas que ma question allait provoquer autant de choses ». Moi non plus, pensa-t-elle. Elle se mord la lèvre inférieure de ne pas savoir se retenir, la panique lui fait souvent dire tout ce qui lui passe par la tête. Et quelques fois elle aimerait avoir un filtre, une barrière, une sorte de détecteur. Vous savez comme les portiques de sécurités, sauf que dans son cas, il biperait bien avant que les mots n’atteignent ses lèvres. L’appréhension à raison d’elle, et elle joue nerveusement avec ses doigts, évitant à tout prix de croiser son regard. Il reste silencieux un instant, mais c’est un instant de trop qui plonge la jeune coréenne encore plus dans l’embarras et elle se laisse aller à couler un regard dans sa direction. Il lui sourit. Pas un sourire moqueur, un beau sourire qui se veut rassurant, un sourire qui dit ne t’inquiète pas. Elle qui d’habitude donne sa confiance aisément, aujourd’hui elle a bien du mal à croire ce qu’elle voit. On dit souvent que les apparences sont trompeuses, et s’il cache sa véritable identité, nul doute qu’il la dissimule habilement derrière un visage aux traits fins et chaleureux.
« Je n'aurai peut-être pas dû te poser une telle question, je m'en excuse. Et sache que . . . » sache que ? que quoi ? il lui semble attendre une éternité la fin de sa phrase. Elle reste en suspens, pensant au pire. « oui tu me plais. Est-ce que cela te dérange ? ». Elle s’attendait à tout, sauf à ça. C’est une grande première pour la coréenne, elle qui craque facilement pour un garçon, de se retrouver face à l’un d’eux, mais surtout, que ce dernier soit également intéressé par elle. Elle a l’impression d’avoir reçu un coup à l’estomac. L’air qui se trouvait dans ses poumons est sorti d’un coup la laissant sans oxygène. « Donc ne t'en fais pas, tu ne t'imagines pas non plus de grandes choses, ce que tu penses est vrai ». Elle peine à rester concentrée sur ce qu’il dit. Pourtant elle entend bien les mots qu’il prononce, ils ont juste perdu leur sens. La coréenne ne répond toujours pas, elle se contente d’essayer de reprendre contenance. Et lorsqu’elle le voit grimacer avant d’ouvrir de nouveau la bouche elle se demande encore une fois ce qu’il va bien pouvoir dire. « Tu penses que ce n'est pas possible ? ». Eun Mi reprend pied avec la réalité à cet instant. Est-ce que c’est possible ? Elle ? Plaire à un garçon, un oppa qui plus est ! L’idée est à la fois étrange et flatteuse. Et pourtant, la jeune coréenne est gênée, il ne lui était jamais venu à l’esprit qu’un jour on lui fasse un tel aveu. Elle se met alors à jouer nerveusement avec ses cheveux, réfléchissant à la meilleure manière de lui répondre. « Oppa … je … » C’est la première fois qu’elle fait face à ce genre de situation, et elle est encore une novice dans ce domaine, elle n’a même d’ailleurs jamais donné son premier baiser. Et elle sait bien au fond ce qu’il attend, du moins, elle s’en doute. Il ne la quitte pas des yeux alors qu’elle bouge les lèvres sans sortir un son. Elle ne trouve pas les mots et ne souhaite pas non plus le blesser en étant maladroite. Mais si l’on cherche la définition de maladroit dans le dictionnaire, c’est généralement là que l’on trouve le nom d’Eun Mi. En prenant son courage à deux mains elle décide d’enfin prendre la parole. « Oppa … tu … tu ressembles beaucoup à Du Jun … mon grand frère ! » Maladresse vous avez dit ? Elle voudrait se baffer de manquer autant de tact, surtout en ayant l’air aussi enjouée.
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Re: Holy Night ? | Ven 3 Fév - 20:07 Citer EditerSupprimer
Holy Night ?
Feat Eun Mi
Je ne sais pas comment je dois m'y prendre avec elle mais je réalise quand même assez tôt et assez vite que je ne pourrai, malheureusement, pas avoir plus de chaleur en sa charmante compagnie, mais ce n'est pas grave. Ce n'est sûrement pas ce détail qui va m'empêcher de m'amuser. Même si au départ je comptais l'avoir dans mon lit, et profiter de sa chair, je réalise que cet objectif s'est rapidement transformé en amusement, surtout. J'ai beau avoir des années de maîtrise, et faire succomber les plus intimidées, je sais quand une fille n'est absolument pas intéressée et qu'il ne sert à rien d'insister plus. Et puis, même si ce n'est pas elle que je ramène chez moi ce soir, j'en trouverai sûrement une autre ou alors demain. Rien ne presse. Ma libido sait tenir plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois, quand il le faut. Ceci dit, cette fille me plaît quand même, un peu, avec son côté enfantin mais qui sait dire certaines choses assez perturbantes. Je pense, non je suis même certain, que c'est une fille bien et à une époque, j'aurai sûrement été charmée par sa pudeur et sa naïveté. J'esquisse donc un sourire en voyant son visage qui se décompose lorsque je lui avoue être intéressé par elle. Je pense qu'elle ne s'y attendait absolument pas et que cela a le don de la déstabiliser. En même temps, je ne vais pas mentir et puis, contrairement à ce qu'elle semble croire, elle a une aura intéressante, et elle a ce côté mignon qui doit faire plaisir à plus d'un. Elle doit sûrement manquer de confiance en elle, ce que je peux comprendre. Je lui fais donc un grand sourire, rassurant, mais ce qu'elle me dit par la suite, me reste quelque peu perplexe. Son grand frère ? Je ressemble à son grand frère ? Je ne sais pas si je dois bien le prendre ou si je dois être vexé. J'arque un sourcil et passe une main délicate dans ma chevelure , « hum . . . ». Je semble réfléchir quelques secondes, essayant de savoir si je dois réellement bien le prendre ou pas. En tant qu'homme j'ai asse d'ego et même si je me doutais que ça n'allait pas fonctionner avec elle le fait d'être comparé à un grand frère n'est pas très plaisant. « Je ne sais pas si je dois bien prendre le fait d'être comparé à ton grand-frère ou pas, mais je pense que je ressens plus de la vexation qu'autre chose ». Je crois que c'est bien le cas. « Je t'avoue que de base j'avais pour but de te draguer, et il faut dire qu'au début, cela fonctionnait très bien, mais j'ai rapidement constaté que tu n'étais pas apte à recevoir ma séduction et vu que je . . . ressemble à ton grand frère, alors . . . encore moins ». Je lui fais quand même un sourire et finis par me lever, ébouriffant ses cheveux. « Tu m'excuseras mais je pense que je vais m'en aller . . . même si tu as une bonne locution et que nos discussions sont fortes intéressantes, un loup affamé a toujours besoin d'être rassasié » et surtout lorsque son ego vient de prendre un sacré coup. Moi qui ne savais pas comment allait finir ma soirée, je crois que je connais désormais. J'ai beau me montrer assurer, ayant bien trop de confiance en lui, ce n'est absolument pas le cas et c'est sûrement pour cette raison que j'ai toujours besoin de me sentir désiré, pour ne pas faiblir. « Sur ce . . . je te laisse, dans l'espoir de te recroiser, dans d'autres conditions ». Je me penche en avant et m'en vais vers la foule, recherchant une proie, plus apte à me satisfaire.
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