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why it hurts my heart so much. [Feat Tamaki ♥]
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Re: why it hurts my heart so much. [Feat Tamaki ♥] | Jeu 12 Jan - 20:09 Citer EditerSupprimer
why it hurts my heart so much.
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
Tenue ▬ Je secoue positivement de la tête alors que Tamaki me reprend par rapport à ma prononciation du prénom de son actuelle petite amie, « ah oui », dis-je en tapant dans les mains avec un sourire faussement joyeux, « c'est ça. Elle s'appelle comme ça ». Étrangement dans mon esprit j'ai le sentiment que je n'aime guère ce prénom. Quoique, ce n'est pas que je ne l'aime pas, je le déteste. Pour moi, ça s'accorde avec des choses négatives mais je ne préfère rien dire, gardant cela pour moi, malgré mon ivresse. Je lui donne tout de même quelques recommandations, mais Tamaki n'a pas l'air de prendre en considération mes dires, semblant n'en avoir rien à faire si elle est entourée d'hommes ou pas. J'écarquille les yeux, faisant celle qui est terriblement choquée par ses propos mais qui au fond semble joyeuse. « C'est pas bien Tamaki, ce n'est pas bien du tout », je fais un petit geste avec mon doigt et en profite ensuite pour le pointer du doigt, ce qui malheureusement aboutit à une catastrophe puisque j'en viens à vomir sur lui. Mais étrangement cela m'a soulagé, et je me sens déjà, quand même, un peu mieux. Tout un art. Je m'essuie rapidement la bouche et relève doucement la tête, pour regarder Tamaki, tout en grimaçant, puisque c'est sur ses chaussures que j'ai vomi. « Pa . . . .pa . . . », je ne parviens même pas à m'excuser, me sentant alors très mal à l'aise. Je ne suis pas du genre à vomir sur une personne, enfin, très rarement, mais j'avoue que là, c'est sorti tout seul, et de manière trop rapide. Je suis quand même honteuse et espère oublier cette mésaventure. Mais j'en doute. Je me laisse alors faire par Tamaki qui finit par me prendre sur ses épaules pour me déposer sur la banquette arrière, histoire de me calmer. Je fermer quelques secondes mes yeux, ma main contre mon visage, essayant d'oublier cette scène que je ne cesse de ressasser dans mon esprit, mon visage virant de plus en plus au rouge. Lorsqu'il revient vers moi il me demande si je vais arrêter de boire, me rappelant juste avant, encore une fois, cette horrible scène. Je me redresse lentement pour ne pas avoir quelques vertiges. Je m'accroche à l'un des sièges et avance un peu plus vers le rebord, « je . . . sais. Je ne tiens pas . . . l'alcool. Mais tu le sais » et je me mets à rire pour une raison qui m'échappe et sûrement à cause de l'alcool. Je fixe quelques secondes Tamaki, d'un regard profond, mais finis par détourner le regard, « pardon Tama . . . .je. . . je ne voulais pas boire autant mais . . . . », comment lui dire que j'en avais besoin parce que chaque fois que les yeux croisent son couple j'ai mal à la poitrine et que ça me fait tellement mal que j'ai envie d'oublier, et le seul moyen d'oublier est de boire. Pourtant, je vais devoir supporter ça, encore plus, par la suite, je ne vais pas avoir d'autres choix. Mais c'est la première fois que je me retrouve face à cette réalité qui me peine plus que la normale. « Désolée », pour tout . . . pour cette impression de vide, pour cette envie de quitter les lieux à cause de lui, d'elle, pour cet égoïsme que je commence à développer, et cette jalousie incompréhensible. « Mais . . . je ne peux pas arrêter de boire . . . pas ce soir », j'arrête de parler, les yeux abaissés. « Je crois Tamaki que j'ai un . . .problème. Mais je ne sais pas quoi. Tu . . . tu crois que je dois aller voir le docteur ? ». ça se peut c'est grave, ça se peut c'est contagieux, ça se peut je vais mourir. Je vais peut être aux extrêmes mais j'avoue que je suis terrorisée. « C'est peut être rien . . . », ou en tout cas autre chose que je ne parviens pas à déterminer. De nouveau ma poitrine me fait mal mais je tente d'oublier cette douleur. « On . . . on retourne là-bas . . . s'il te plaît Tamaki . . . je veux . . . .je veux m'amuser ce soir », et ne pas être triste.
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Re: why it hurts my heart so much. [Feat Tamaki ♥] | Ven 13 Jan - 19:03 Citer EditerSupprimer
why it hurts my heart so much.
Feat Olympe ▬ TamaLympe ♥
Tenue ▬ Evidemment qu'elle savait, mieux que moi même, qu'elle ne savait pas boire. Au bout d'un verre d'alcool fort la voilà qu'elle vomissait sur mes baskets, quel dommage, elles étaient quasiment neuves. Me retrouver dans le parking alors que la soirée ne faisait que commencer m'embêtai un peu mais en même temps, nous étions seuls et ça, c'était mieux que tout. Mais je savais bien qu'elle finirait par me demander de la ramener dans la boite. Or, est-ce que j'en étais capable? Est-ce que je le voulais vraiment? Après tout, si nous le faisions, c'étai pour nous amuser mais elle comme moi savions que le coeur n'y était pas. Je savais pertinemment pourquoi elle avait bu comme ça, pour oublier cette image, la virer de son esprit. Pour oublier que j'étais avec une autre ce soir. Ja la regardai se taper un fou rire sans aucun explication alors que je baissai les yeux vers mes chaussures de sécurité et du look que ça me faisait. Je me demandais si c'était ça qui la faisait tant rire mais fallait dire que la situation était marrante. Un sourire dépité prit place sur mon visage tandis que je daignai relever la tête pour la regarder alors qu'elle me demandait pardon.
Mais... Mais? Je ne la lâchai pas du regard, j'attendais la suite avec impatience. Si bien que les secondes avant qu'elle ne poursuive sa phrase me parurent durer plusieurs minutes. Mais quand elle acheva enfin ce qu'elle voulait dire, j'arquai un sourcil. Elle ne pouvait pas s'arrêter, pas ce soir. Je ne savais pas quoi lui dire, c'était exactement ça. J'étais dans une situation plus qu'embarrassante face à une fille qui m'aime plus que bien, que j'aime plus que bien et qui était en train de souffrir. Pourtant, tout ça, c'était son oeuvre. C'était grâce à elle si aujourd'hui je pouvais me balader main dans la main avec une fille, mais elle semblait avoir été prise au piège et moi avec. Je passai alors une main sur front, un poil nerveux, alors qu'elle poursuivit pour me confier qu'elle avait un problème. Elle était tellement confuse qu'elle me mettait moi-même dans le doute. Attendez, qu'est-ce qu'elle me disait là? Qu'elle se sentait mal mais qu'elle ne savait pas d'où ça venait? Sourcils froncés, je la regardai. Comment ça? T'es malade? j'essayais de comprendre ce qu'elle voulait me dire mais sans succès. Elle essaya de me rassurer, mais je ne pus m'empêcher de me pencher vers elle pour poser le revers de ma main sur son front pour lui prendre la température. Typique geste d'un scientifique comme moi qui ne comprenait pas la subtilité d'une fille qui était en train de me dire qu'elle n'avait pas mal physiquement mais mentalement. Mais là, on allait trop loin pour moi, j'étais assez largué comme ça. Pensif, je l'écoutai en même temps me demander de retourner en boite. Je finis par grimacer pour montrer qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. T'as pas de fièvre. lâchai-je, simplement, levant ma main avant de me redresser en prenant soin de pas me cogner la tête.
Je jetai un oeil à ma tenue avant de regarder ma coiffure dans le reflet du rétroviseur. Un sourire étira mes lèvres; je me retournai vers elle et ouvris les bras pour montrer ma dégaine. Quoi tu veux me faire retourner là-bas avec ce look? Je vis sa moue, comme pour me supplier mais après tout, je n'étais pas obligé de rester pour elle. Même si le moment que nous passions, je le chérissais, et je voulais en profiter. Toutes les bonnes choses ont une fin, alors, je tendis la main vers elle pour l'aider à se relever et à la sortir de la voiture. Je suis pimpant. Presque aussi beau que toi avec ces chaussures. lançai-je, sarcastique alors que je fermai la portière derrière elle avec mon pied tandis que je la tenais toujours au cas où elle finit par s'étaler au sol. Elle me semblait stable. Je lui lâchai la main et commençai à marcher tranquillement à côté d'elle, sans dire un mot. Je préférais laisser le silence opérer, et nos regards communiquer pour nous.
De retour en boite, la musique assourdissante me tapa dans les oreilles tandis que la lumière du parking me semblait loin. Plongés dans l'obscurité où seul un rayon de lumière me permettait d'avancer jusqu'à la table où se trouvait Mi Ree avec la copine d'Olympe, j'attrapai la main d'Olympe pour qu'elle puisse me suivre et se frayer un chemin à travers cette foule. Mais quand j'aperçus Mi Ree assise à la table, les jambes et bras croisés, ma main quitta celle d'Olympe et nous arrivâmes à la table comme deux fleurs. Innocents. Et on l'était. Je m'assis à côté de ma compagnie de ce soir, qui semblait ne pas vouloir me parler. Tu fais la gueule? Elle tourna la tête. Je la regardai longuement, avant de soupirer puis me lever pour aller me commander un autre verre de whisky pur avec des glaçons. Et après avoir attendu une dizaine de minutes pour être servi, je retournai m'asseoir à la table, où Mi Ree était encore. Bizarrement, elle n'avait pas l'air d'avoir envie de s'amuser. Tu vas pas danser? T'as qu'à aller danser, toi. Moi, j'ai pas envie. J'arquai un sourcil en la regardant. C'est quoi cette réponse là? Vas danser avec ta copine. Elle attend que ça. Comme un chien devant sa gamelle. et elle imita un chien avec la langue pendue.
Déçu, je lâchai un long soupir et m'assis au fond de la banquette peu confortable, mon verre à la main. La soirée allait être longue... Pas sûr que je tienne jusqu'au bout avec cette ambiance. Les deux filles me faisaient la gueule maintenant. Ma patience avait des limites, mais je prenais sur moi. les doigts tapotant nerveusement mon verre, mon regard se riva au sol, je n'entendais même plus la musique. Je sentis simplement Miree s'allonger à moitié sur moi pour poser sa tête sur mon épaule et ses bras entourant mon corps. Elle chuchota à mon oreille: pardon, je suis jalouse mais même ça, ça ne me permit pas de reprendre mes esprits. Je bus mon verre de whisky sans trop perdre de temps, avant de le poser sur la table et de me lever, forçant Miree à me lâcher. Me voilà devant un choix à faire. Les yeux rivés sur cette sublime jeune femme avec qui j'étais venu, je me mouillai les lèvres, hésitant mais prêt à m'excuser pour aller danser avec Olympe. Et avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle se leva, déposa un baiser au coin de mes lèvres et glissa sa main dans la mienne pour m'entraîner jusqu'à la piste de danse.
Dieu, on touchait le fond. De toute façon, Miree voyait bien que je n'avais plus envie de m'amuser. Pas avec elle du moins. Elle cherchait mon regard mais je l'évitais. Non, je ne voulais pas de cette fille, surtout pas après la façon dont elle avait parlé à Olympe. Et alors qu'elle se tourna pour se déhancher face à moi, mes mains se posèrent sur ses hanches pour la forcer à me faire face. Mon visage à quelques centimètres du sien, je lui lâchai ces quelques mots: oublie, j'en ai pas envie. et je quittai la piste de danse, sous les yeux d'une jeune femme délaissée et désemparée.
Mais... Mais? Je ne la lâchai pas du regard, j'attendais la suite avec impatience. Si bien que les secondes avant qu'elle ne poursuive sa phrase me parurent durer plusieurs minutes. Mais quand elle acheva enfin ce qu'elle voulait dire, j'arquai un sourcil. Elle ne pouvait pas s'arrêter, pas ce soir. Je ne savais pas quoi lui dire, c'était exactement ça. J'étais dans une situation plus qu'embarrassante face à une fille qui m'aime plus que bien, que j'aime plus que bien et qui était en train de souffrir. Pourtant, tout ça, c'était son oeuvre. C'était grâce à elle si aujourd'hui je pouvais me balader main dans la main avec une fille, mais elle semblait avoir été prise au piège et moi avec. Je passai alors une main sur front, un poil nerveux, alors qu'elle poursuivit pour me confier qu'elle avait un problème. Elle était tellement confuse qu'elle me mettait moi-même dans le doute. Attendez, qu'est-ce qu'elle me disait là? Qu'elle se sentait mal mais qu'elle ne savait pas d'où ça venait? Sourcils froncés, je la regardai. Comment ça? T'es malade? j'essayais de comprendre ce qu'elle voulait me dire mais sans succès. Elle essaya de me rassurer, mais je ne pus m'empêcher de me pencher vers elle pour poser le revers de ma main sur son front pour lui prendre la température. Typique geste d'un scientifique comme moi qui ne comprenait pas la subtilité d'une fille qui était en train de me dire qu'elle n'avait pas mal physiquement mais mentalement. Mais là, on allait trop loin pour moi, j'étais assez largué comme ça. Pensif, je l'écoutai en même temps me demander de retourner en boite. Je finis par grimacer pour montrer qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. T'as pas de fièvre. lâchai-je, simplement, levant ma main avant de me redresser en prenant soin de pas me cogner la tête.
Je jetai un oeil à ma tenue avant de regarder ma coiffure dans le reflet du rétroviseur. Un sourire étira mes lèvres; je me retournai vers elle et ouvris les bras pour montrer ma dégaine. Quoi tu veux me faire retourner là-bas avec ce look? Je vis sa moue, comme pour me supplier mais après tout, je n'étais pas obligé de rester pour elle. Même si le moment que nous passions, je le chérissais, et je voulais en profiter. Toutes les bonnes choses ont une fin, alors, je tendis la main vers elle pour l'aider à se relever et à la sortir de la voiture. Je suis pimpant. Presque aussi beau que toi avec ces chaussures. lançai-je, sarcastique alors que je fermai la portière derrière elle avec mon pied tandis que je la tenais toujours au cas où elle finit par s'étaler au sol. Elle me semblait stable. Je lui lâchai la main et commençai à marcher tranquillement à côté d'elle, sans dire un mot. Je préférais laisser le silence opérer, et nos regards communiquer pour nous.
De retour en boite, la musique assourdissante me tapa dans les oreilles tandis que la lumière du parking me semblait loin. Plongés dans l'obscurité où seul un rayon de lumière me permettait d'avancer jusqu'à la table où se trouvait Mi Ree avec la copine d'Olympe, j'attrapai la main d'Olympe pour qu'elle puisse me suivre et se frayer un chemin à travers cette foule. Mais quand j'aperçus Mi Ree assise à la table, les jambes et bras croisés, ma main quitta celle d'Olympe et nous arrivâmes à la table comme deux fleurs. Innocents. Et on l'était. Je m'assis à côté de ma compagnie de ce soir, qui semblait ne pas vouloir me parler. Tu fais la gueule? Elle tourna la tête. Je la regardai longuement, avant de soupirer puis me lever pour aller me commander un autre verre de whisky pur avec des glaçons. Et après avoir attendu une dizaine de minutes pour être servi, je retournai m'asseoir à la table, où Mi Ree était encore. Bizarrement, elle n'avait pas l'air d'avoir envie de s'amuser. Tu vas pas danser? T'as qu'à aller danser, toi. Moi, j'ai pas envie. J'arquai un sourcil en la regardant. C'est quoi cette réponse là? Vas danser avec ta copine. Elle attend que ça. Comme un chien devant sa gamelle. et elle imita un chien avec la langue pendue.
Déçu, je lâchai un long soupir et m'assis au fond de la banquette peu confortable, mon verre à la main. La soirée allait être longue... Pas sûr que je tienne jusqu'au bout avec cette ambiance. Les deux filles me faisaient la gueule maintenant. Ma patience avait des limites, mais je prenais sur moi. les doigts tapotant nerveusement mon verre, mon regard se riva au sol, je n'entendais même plus la musique. Je sentis simplement Miree s'allonger à moitié sur moi pour poser sa tête sur mon épaule et ses bras entourant mon corps. Elle chuchota à mon oreille: pardon, je suis jalouse mais même ça, ça ne me permit pas de reprendre mes esprits. Je bus mon verre de whisky sans trop perdre de temps, avant de le poser sur la table et de me lever, forçant Miree à me lâcher. Me voilà devant un choix à faire. Les yeux rivés sur cette sublime jeune femme avec qui j'étais venu, je me mouillai les lèvres, hésitant mais prêt à m'excuser pour aller danser avec Olympe. Et avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle se leva, déposa un baiser au coin de mes lèvres et glissa sa main dans la mienne pour m'entraîner jusqu'à la piste de danse.
Dieu, on touchait le fond. De toute façon, Miree voyait bien que je n'avais plus envie de m'amuser. Pas avec elle du moins. Elle cherchait mon regard mais je l'évitais. Non, je ne voulais pas de cette fille, surtout pas après la façon dont elle avait parlé à Olympe. Et alors qu'elle se tourna pour se déhancher face à moi, mes mains se posèrent sur ses hanches pour la forcer à me faire face. Mon visage à quelques centimètres du sien, je lui lâchai ces quelques mots: oublie, j'en ai pas envie. et je quittai la piste de danse, sous les yeux d'une jeune femme délaissée et désemparée.
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Re: why it hurts my heart so much. [Feat Tamaki ♥] | Sam 14 Jan - 14:36 Citer EditerSupprimer
why it hurts my heart so much.
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
Tenue ▬ Lorsqu'il pose sa main contre mon front alors que je viens juste avant de dire que j'ai le sentiment d'être malade, je sens mes joues devenir de plus en plus chaudes, et même mon corps semble soudainement se réchauffer alors qu'il ne fait pourtant pas chaud. Il fait même froid. En même temps il faut rappeler que nous sommes en plein hiver et que depuis quelques jours la neige ne cesse de tomber sur la ville, pour s'arrêter quelques jours, et reprendre de plus bel, sans connaître de fin. Ce n'est donc pas les températures extérieures qui me donnent tant de chaleur. Je fronce légèrement des sourcils lorsqu'il me rassure en me disant que je n'ai pas de fièvre et que cela signifie sûrement que je vais bien, « alors si je n'ai pas de fièvre je vais bien ? » dis-je d'une toute petite voix, intimidée. Alors s'il dit que je vais bien c'est que je vais sûrement bien. Il est quand même vétérinaire et connaît les bases en médecine, je dois donc lui faire confiance. Je me répète alors inlassablement que je vais bien pour me donner de l'énergie et pour me sentir mieux dans mon corps. Tamaki finit, malgré lui, par accepter d'y retourner, me redonnant brièvement le sourire. En même temps je suis heureuse de retourner là-bas mais en même temps, étrangement, je me dis que c'est se jeter dans la gueule du loup. Je ne peux m'empêcher de rire lorsqu'il montre sa dégaine qui est légèrement ridicule à cause de ses chaussures qui ne passent absolument pas avec sa tenue. Il faut l'avouer. « Ahahahah ! Mais non ne t'en fais pas, je suis sûre que malgré ces chaussures-là, tu vas faire des ravages et puis, c'est un nouveau look qui te va parfaitement bien. Je suis sûre que tu vas lancer une nouvelle mode », je fais un petit cadre avec mes doigts et fais mine de le prendre en photo. Je prends ensuite la main qu'il me tend pour sortir de là,sans me casser la nuque, ni rien d'autre.Je parviens à survivre en me relevant. Il faut dire que le fait d'avoir vomi m'a très certainement aidé à aller mieux. « Yah ! Tu insinues que je suis laide c'est ça », je lui lance un regard mauvais, retroussant légèrement le nez, et fais mine de le menacer avec le poing, « attention à toi ». J'esquisse ensuite un sourire et m'en vais à ses côtés jusqu'à la boîte de nuit où les deux autres nous attendent.
Lorsqu'on s'approche de la table où les filles se trouvent, Tamaki me lâche brusquement la main, pour ne pas se montrer avec Mi Ree, ce qui me donne le sentiment d'être soudainement abandonnée. Mon cœur se serre quelques secondes, mais reprends de plus bel, tentant d'oublier ce moment délicat, même si mes yeux restent sur ma main, seule. Je m'assois près de mon amie avec qui je fais rapidement la conversation sans entendre ce couple parler, préférer me concentrer uniquement sur les paroles de mon amie. J'avoue avoir quelques difficultés à tout comprendre, ma tête tournant toujours et mon ivresse restant toujours importante malgré une régression et donc une amélioration. Je profite de l'absence de Tamaki pour boire le verre de bière que mon amie tend, que je finis plus lentement cette fois-ci, buvant à petite gorgée et n'ayant même pas fini lorsqu'il revient, un autre verre de whisky en main. Et après il dit que je bois trop . . . et lui alors ? Est-ce qu'il compte le nombre de verres qu'il prend ? Mais je ne ds rien parce que ce n'est pas mon rôle et que je risque d'énerver un peu plus la jeune femme à ses côtés. Je balance légèrement mon visage au rythme de la musique, m'amusant un peu avec mon amie. Je sens que mon corps n'a qu'une envie, c'est de faire la fête, d'aller sur la piste de danse et de me défouler, de me permettre d'extérioriser tout ça. Je propose à mon amie d'y aller et alors que je m'apprête à dire aux autres qu'on s'en va danser, mon verre en main, prête à boire une autre gorgée je les vois . . . . je vois cette scène. Qui me fige, mais bien plus encore, qui me fait mal. D'une douleur intense, pesante, suffocante. Mon souffle expire puis se coupe dans ma poitrine. Ma gorge crie des mots que je ne comprends, que je ne veux pas entendre, mais la douleur me laisse dans un mutisme total, perdant le sens du langage. Mon âme est meurtrie, damnée. Je perds toute ma force, toute mon énergie et même mon ivresse semble disparaître, comme si une personne venait de me jeter un seau d'eau froide, pour me réveiller. Il pleure dans mon cœur, comme il peut pleuvoir sur une ville. Il pleure sans raison dans mon cœur qui s’écœure.C'est terrible d'avoir cette sensation de peine, sans savoir pourquoi. Pourquoi ce cœur est si peiné. Un voile recouvre alors ma vie si pâle, mon environnement s'assombrissant. Le vide m'attire de plus en plus, dans ses profondeurs. Tout n'est que pénombre et froideur. C'est un cauchemar n'est-ce pas ? Je vis un cauchemar.
Je m'en vais quelques secondes dans les toilettes des femmes, pour passer de l'eau sur mon visage. Je me sens tellement mal que je n'ai qu'une envie c'est de partir. Ma poitrine ne serre tellement que j'ai le sentiment qu'à tout moment je vais perdre ma respiration. Je sors des toilettes, et prends mon téléphone, les larmes commençant à s'échapper de mes yeux. Je regarde quelques numéros, et finis par en sélectionner un. J'entends plusieurs sonneries, mon cœur palpitant fort mais finis par tomber sur le répondeur, « Noona . . . », je laisse un blanc, et finis par lâcher plusieurs larmes, « Nooonnaaaaaa . . . pourquoi j'ai mal ? J'ai mal Noona . . . Viens me chercher ». Je raccroche les larmes coulant encore plus dans mes yeux, les essuyant et reniflant. Je donne quelques coups contre ma poitrine pour que je puisse me calmer et repars dans les toilettes pour me moucher et passer, encore une fois, de l'eau sur mon visage. Je me regarde dans le miroir, et me donne quelques coups sur la joue, « yah! Olympe ! Tu vas arrêter d'être comme ça. Ce soir tu dois t'amuser ok ? Ne sois pas triste . . . jamais ». Je me mords nerveusement la lèvre pour ne pas avoir de nouveau des larmes, ma poitrine me serrant toujours. Je retourne quelques minutes après sur la table, « je . . . je ne sais pas si je vais rester. Je ne me sens pas très bien », dis-je en regardant uniquement mon amie, ne faisant pas attention à Tamaki qui est certainement revenu de sa danse avec sa copine. « Mais non, reste. Pourquoi tu veux partir ? Attends un peu encore . . . Viens on va chercher des boissons et on va aller danser, ça te va ? ». mon amie insiste, mais sincèrement je ne sais pas si j'ai envie de rester, à voir Tamaki et sa copine s'embrassaient comme des dingues, dansant coller/serrer, très peu pour moi. Mais en même temps, ça peut me faire du bien. Je sais pas, je ne sais plus. Et je me surprends à regarder rapidement du côté de Tamaki. Regrettant . . .
ça fait mal.
Lorsqu'on s'approche de la table où les filles se trouvent, Tamaki me lâche brusquement la main, pour ne pas se montrer avec Mi Ree, ce qui me donne le sentiment d'être soudainement abandonnée. Mon cœur se serre quelques secondes, mais reprends de plus bel, tentant d'oublier ce moment délicat, même si mes yeux restent sur ma main, seule. Je m'assois près de mon amie avec qui je fais rapidement la conversation sans entendre ce couple parler, préférer me concentrer uniquement sur les paroles de mon amie. J'avoue avoir quelques difficultés à tout comprendre, ma tête tournant toujours et mon ivresse restant toujours importante malgré une régression et donc une amélioration. Je profite de l'absence de Tamaki pour boire le verre de bière que mon amie tend, que je finis plus lentement cette fois-ci, buvant à petite gorgée et n'ayant même pas fini lorsqu'il revient, un autre verre de whisky en main. Et après il dit que je bois trop . . . et lui alors ? Est-ce qu'il compte le nombre de verres qu'il prend ? Mais je ne ds rien parce que ce n'est pas mon rôle et que je risque d'énerver un peu plus la jeune femme à ses côtés. Je balance légèrement mon visage au rythme de la musique, m'amusant un peu avec mon amie. Je sens que mon corps n'a qu'une envie, c'est de faire la fête, d'aller sur la piste de danse et de me défouler, de me permettre d'extérioriser tout ça. Je propose à mon amie d'y aller et alors que je m'apprête à dire aux autres qu'on s'en va danser, mon verre en main, prête à boire une autre gorgée je les vois . . . . je vois cette scène. Qui me fige, mais bien plus encore, qui me fait mal. D'une douleur intense, pesante, suffocante. Mon souffle expire puis se coupe dans ma poitrine. Ma gorge crie des mots que je ne comprends, que je ne veux pas entendre, mais la douleur me laisse dans un mutisme total, perdant le sens du langage. Mon âme est meurtrie, damnée. Je perds toute ma force, toute mon énergie et même mon ivresse semble disparaître, comme si une personne venait de me jeter un seau d'eau froide, pour me réveiller. Il pleure dans mon cœur, comme il peut pleuvoir sur une ville. Il pleure sans raison dans mon cœur qui s’écœure.C'est terrible d'avoir cette sensation de peine, sans savoir pourquoi. Pourquoi ce cœur est si peiné. Un voile recouvre alors ma vie si pâle, mon environnement s'assombrissant. Le vide m'attire de plus en plus, dans ses profondeurs. Tout n'est que pénombre et froideur. C'est un cauchemar n'est-ce pas ? Je vis un cauchemar.
Je m'en vais quelques secondes dans les toilettes des femmes, pour passer de l'eau sur mon visage. Je me sens tellement mal que je n'ai qu'une envie c'est de partir. Ma poitrine ne serre tellement que j'ai le sentiment qu'à tout moment je vais perdre ma respiration. Je sors des toilettes, et prends mon téléphone, les larmes commençant à s'échapper de mes yeux. Je regarde quelques numéros, et finis par en sélectionner un. J'entends plusieurs sonneries, mon cœur palpitant fort mais finis par tomber sur le répondeur, « Noona . . . », je laisse un blanc, et finis par lâcher plusieurs larmes, « Nooonnaaaaaa . . . pourquoi j'ai mal ? J'ai mal Noona . . . Viens me chercher ». Je raccroche les larmes coulant encore plus dans mes yeux, les essuyant et reniflant. Je donne quelques coups contre ma poitrine pour que je puisse me calmer et repars dans les toilettes pour me moucher et passer, encore une fois, de l'eau sur mon visage. Je me regarde dans le miroir, et me donne quelques coups sur la joue, « yah! Olympe ! Tu vas arrêter d'être comme ça. Ce soir tu dois t'amuser ok ? Ne sois pas triste . . . jamais ». Je me mords nerveusement la lèvre pour ne pas avoir de nouveau des larmes, ma poitrine me serrant toujours. Je retourne quelques minutes après sur la table, « je . . . je ne sais pas si je vais rester. Je ne me sens pas très bien », dis-je en regardant uniquement mon amie, ne faisant pas attention à Tamaki qui est certainement revenu de sa danse avec sa copine. « Mais non, reste. Pourquoi tu veux partir ? Attends un peu encore . . . Viens on va chercher des boissons et on va aller danser, ça te va ? ». mon amie insiste, mais sincèrement je ne sais pas si j'ai envie de rester, à voir Tamaki et sa copine s'embrassaient comme des dingues, dansant coller/serrer, très peu pour moi. Mais en même temps, ça peut me faire du bien. Je sais pas, je ne sais plus. Et je me surprends à regarder rapidement du côté de Tamaki. Regrettant . . .
ça fait mal.
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Re: why it hurts my heart so much. [Feat Tamaki ♥] | Dim 15 Jan - 10:03 Citer EditerSupprimer
why it hurts my heart so much.
Feat Olympe ▬ TamaLympe ♥
Tenue ▬ Mes mains étaient toujours posées sur les hanches de Miree, et bien que de loin, l'on pouvait croire que c'était une scène tout à fait normale entre un jeune homme et une jeune femme qui étaient en couple, il n'en était rien. J'avais beau me mettre dans l'ambiance, mon coeur n'était pas à la fête et même avec tous les efforts du monde, Miree n'arriverait pas à me décider. Alors, mes mains quittèrent ses hanches et, sous son regard interrogateur, je quittai la piste de danse, voyant Olympe s'éclipser aux toilettes. Je restai planté là, comme un piquet, tel un idiot avant de me décider à retourner m'asseoir à la table. Mi Ree, elle, était restée sur la piste de danse à sûrement fricoter avec des mecs, peu m'importait au final. Je n'allais pas m'éterniser ici, je n'avais plus envie de m'amuser, tout m'énervait, rien ne se passait comme je le voulais et j'avais pour habitude de tout maîtriser. Là, je ne maîtrisais plus rien et ça avait le don de me mettre en colère.
Mon verre était presque vide, déjà. Je bus ce qu'il en restait tandis que l'amie d'Olympe était toujours assise, là, en face de moi, à regarder les gens danser. Bizarres ses sortis en boite à celle-là. Elle devait attendre Olympe. Elle fait quoi Oly? lui demandai-je, ce à quoi elle me répondit par un haussement d'épaule qui voulait dire "j'en sais rien". Assis sur la banquette, je fis basculer ma tête en arrière, mon verre vide entre les mains. Olympe ne devait pas être bien remise de ces verres d'alcool ingurgités, du moins c'est ce que je pensais, je n'avais pas la moindre idée qu'elle était, à cet instant précis, en train de pleurer sur le répondeur de quelqu'un à supplier cette personne de venir la chercher. J'attendis simplement qu'elle revienne des toilettes, sans dire mot, sans même regarder les gens qui dansaient et surtout pas faire attention à Mi Ree qui essayait d'attirer mon attention en se déhanchant devant plusieurs mecs. Si elle pensait que j'allais venir me battre, elle pouvait courir...
Au bout de quelques longues minutes, Olympe réapparut. Je n'entendis pas très bien ce qu'elle confia à sa copine mais je ne la quittais pas du regard. Bizarrement, elle m'ignorait. C'était compliqué l'ambiance qui régnait ce soir entre elle et moi. Seuls, tout allait bien, comme si rien ne s'était passé. Mais une fois entourés, nous nous fuyions comme deux inconnus, ce qui avait le don de m'agacer. Je posai les yeux sur mon verre que je tenais toujours, puis finis par le poser sur la table avant de lever les yeux vers elle et de croiser son regard. Le regard d'une fille meurtrie, triste, abattue. Ce qui m'interpella. Aussitôt, je me redressai et regardai l'heure qu'il était. Il n'était pas vraiment tard mais sûrement qu'Olympe avait besoin de rentrer pour se reposer. Je n'allais pas la laisser rentrer en taxi et payer encore un trajet. Je me levai pour aller au bar et payer les consommations, mais Mi Ree revint de sa séance dance-floor, me croisant alors. Je l'attrapai par le bras, ce qui la fit s'arrêter pour se retourner vers moi. Je vais ramener Olympe. Elle me regarda, offusquée. Comment ça tu la ramènes? Oui, elle se sent pas bien. Je la ramène et je reviens. Pas très convaincue par ce que je venais de lui dire, Mi Ree retourna s'asseoir à la table tandis que moi, je partis payer tout ce que nous avions bu ce soir.
Cela me prit bien 5 minutes. A mon retour, je pris ma veste que je mis sur les épaules d'Olympe. Viens. Je te ramène. lui dis-je, penchée par dessus son épaule. Je récupérai mes affaires mais surtout les clés de mon X6 et quittai finalement la boite de nuit, suivi de près par Olympe qui ne disait rien. Je montai côté conducteur tandis qu'elle prit place côté passager. Je lui lançai un regard, avant de démarrer la voiture avec le bouton. Ca va aller? Je m'inquiétais. Et si elle était vraiment malade? Elle était pale, ses yeux étaient rouges, comme si elle avait... pleuré? La réalité me frappa bien plus violemment. J'étais un abruti fini. Mais il était trop tard, pas de retour en arrière, nous étions sur le chemin du retour maintenant, la soirée prenait fin. Je conduisais silencieusement jusqu'à la zone sud de la digital city, pour la ramener au dortoir des sango. Pourquoi étais-je si aveugle quand il s'agissait de reconnaître les sentiments d'une fille à mon égard? J'étais si nul que ça? Certes, j'ai grandi pendant longtemps loin des autres personnes mais il y a bien longtemps que cette période a pris fin. Alors où était le problème? Je lançai un regard rapide à Olympe, qui regardait par la fenêtre. J'aurais aimé être capable de la rassurer ou de m'excuser mais j'étais si gêné qu'aucun mot ne passait mes lèvres. Aucun. Et nous approchions du dortoir sango, les kilomètres qui nous en séparaient se réduisaient considérablement. Et puis merde. Je fis quelque chose d'inattendu. Ma main droite vint timidement attraper celle d'Olympe. Je la serrai doucement, comme pour lui faire comprendre que j'étais là pour elle et que je serai toujours là, à n'importe quel moment. Je ne pouvais pas assumer sur mes épaules son coeur brisé. Et puis, ma main quitta la sienne après quelques minutes pour venir se poser à nouveau sur le volant tandis que j'entrai dans la zone sud, cherchant une place de parking pour garer ma voiture et laisser Olympe rejoindre son dortoir...
Mon verre était presque vide, déjà. Je bus ce qu'il en restait tandis que l'amie d'Olympe était toujours assise, là, en face de moi, à regarder les gens danser. Bizarres ses sortis en boite à celle-là. Elle devait attendre Olympe. Elle fait quoi Oly? lui demandai-je, ce à quoi elle me répondit par un haussement d'épaule qui voulait dire "j'en sais rien". Assis sur la banquette, je fis basculer ma tête en arrière, mon verre vide entre les mains. Olympe ne devait pas être bien remise de ces verres d'alcool ingurgités, du moins c'est ce que je pensais, je n'avais pas la moindre idée qu'elle était, à cet instant précis, en train de pleurer sur le répondeur de quelqu'un à supplier cette personne de venir la chercher. J'attendis simplement qu'elle revienne des toilettes, sans dire mot, sans même regarder les gens qui dansaient et surtout pas faire attention à Mi Ree qui essayait d'attirer mon attention en se déhanchant devant plusieurs mecs. Si elle pensait que j'allais venir me battre, elle pouvait courir...
Au bout de quelques longues minutes, Olympe réapparut. Je n'entendis pas très bien ce qu'elle confia à sa copine mais je ne la quittais pas du regard. Bizarrement, elle m'ignorait. C'était compliqué l'ambiance qui régnait ce soir entre elle et moi. Seuls, tout allait bien, comme si rien ne s'était passé. Mais une fois entourés, nous nous fuyions comme deux inconnus, ce qui avait le don de m'agacer. Je posai les yeux sur mon verre que je tenais toujours, puis finis par le poser sur la table avant de lever les yeux vers elle et de croiser son regard. Le regard d'une fille meurtrie, triste, abattue. Ce qui m'interpella. Aussitôt, je me redressai et regardai l'heure qu'il était. Il n'était pas vraiment tard mais sûrement qu'Olympe avait besoin de rentrer pour se reposer. Je n'allais pas la laisser rentrer en taxi et payer encore un trajet. Je me levai pour aller au bar et payer les consommations, mais Mi Ree revint de sa séance dance-floor, me croisant alors. Je l'attrapai par le bras, ce qui la fit s'arrêter pour se retourner vers moi. Je vais ramener Olympe. Elle me regarda, offusquée. Comment ça tu la ramènes? Oui, elle se sent pas bien. Je la ramène et je reviens. Pas très convaincue par ce que je venais de lui dire, Mi Ree retourna s'asseoir à la table tandis que moi, je partis payer tout ce que nous avions bu ce soir.
Cela me prit bien 5 minutes. A mon retour, je pris ma veste que je mis sur les épaules d'Olympe. Viens. Je te ramène. lui dis-je, penchée par dessus son épaule. Je récupérai mes affaires mais surtout les clés de mon X6 et quittai finalement la boite de nuit, suivi de près par Olympe qui ne disait rien. Je montai côté conducteur tandis qu'elle prit place côté passager. Je lui lançai un regard, avant de démarrer la voiture avec le bouton. Ca va aller? Je m'inquiétais. Et si elle était vraiment malade? Elle était pale, ses yeux étaient rouges, comme si elle avait... pleuré? La réalité me frappa bien plus violemment. J'étais un abruti fini. Mais il était trop tard, pas de retour en arrière, nous étions sur le chemin du retour maintenant, la soirée prenait fin. Je conduisais silencieusement jusqu'à la zone sud de la digital city, pour la ramener au dortoir des sango. Pourquoi étais-je si aveugle quand il s'agissait de reconnaître les sentiments d'une fille à mon égard? J'étais si nul que ça? Certes, j'ai grandi pendant longtemps loin des autres personnes mais il y a bien longtemps que cette période a pris fin. Alors où était le problème? Je lançai un regard rapide à Olympe, qui regardait par la fenêtre. J'aurais aimé être capable de la rassurer ou de m'excuser mais j'étais si gêné qu'aucun mot ne passait mes lèvres. Aucun. Et nous approchions du dortoir sango, les kilomètres qui nous en séparaient se réduisaient considérablement. Et puis merde. Je fis quelque chose d'inattendu. Ma main droite vint timidement attraper celle d'Olympe. Je la serrai doucement, comme pour lui faire comprendre que j'étais là pour elle et que je serai toujours là, à n'importe quel moment. Je ne pouvais pas assumer sur mes épaules son coeur brisé. Et puis, ma main quitta la sienne après quelques minutes pour venir se poser à nouveau sur le volant tandis que j'entrai dans la zone sud, cherchant une place de parking pour garer ma voiture et laisser Olympe rejoindre son dortoir...
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Re: why it hurts my heart so much. [Feat Tamaki ♥] | Dim 15 Jan - 16:31 Citer EditerSupprimer
why it hurts my heart so much.
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
Tenue ▬ Je n'ai plus envie de rester ici, et surtout pas en présence de ce jeune couple. Je sais pertinemment qu'ils sont la source de mes maux mais je ne comprends juste pas pourquoi. Est-ce que parce que je sais pertinemment que je vais perdre mon précieux élève Tamaki, ou est-ce bien plus ancré que ça ? Dans tous les cas, j'ai le sentiment d'être une pauvre égoïste qui ne pense qu'à elle sans prendre en compte son environnement car je sais qu'au fond de moi je n'ai qu'une envie, c'est de garder avec moi Tamaki. Mais je ne dis rien, et tente de ne rien penser à ce sujet. Je ne suis qu'une pauvre gamine qui pleure pour rien, bien trop sensible à certains détails. L'alcool doit sûrement jouer dans ma profonde tristesse, et m'emmener encore plus loin dans les abysses. « Hum . . . je veux vraiment partir » dis-je finalement en me détachant rapidement du regard de Tamaki, pour ne plus à devoir affronter son regard interrogateur. Tant pis pour ce soir, tant pis pour mon envie de m'amuser, de toute manière il a totalement disparu. Et puis autant que je parte avant de réellement gâcher la soirée alors que ce n'est pas mon but premier. Tamaki se lève alors, sans un mot et je me dis qu'il doit sûrement être très mécontent et qu'il doit avoir le sentiment que je viens de lui détruire sa soirée, entre le vomissement, puis ça . . . Il n'a pas tort quelque part. Je ne suis qu'un virus, mais pas un virus joyeux cette fois-ci, plutôt un virus peiné. J'inspire profondément et prends mon téléphone, m'apprêtant à téléphoner un taxi, pour que je puisse rentrer sereinement, mais avant que je ne le fasse, Mi Ree revient de sa danse, me lançant des éclairs avec les yeux, ce qui me tétanie, et m'arrête dans mon mouvement. Elle me bouscule légèrement du doigt, en me demandant de faire attention, « je te préviens tout de suite, Tamaki c'est mon copain, pas le tien, c'est chasse gardée. Alors dans ton intérêt, fais attention à toi. Je sais très bien que tu joues le jeu de la fille malade pour qu'il te raccompagne ou même ait pitié de toi, mais il en a rien à faire de toi. Je suis sa copine et toi t'es juste une amie ok ? Tu comprends ta place ou je dois te la signifier autrement ? ». Ma gorge se noue et je reste pétrifiée, l'écoutant encore et encore, qui parle encore, me menaçant encore. Mais je ne dis rien car elle a raison. Pourtant je ne fais rien pour attirer Tamaki mais je comprends son positionnement. Elle est sa copine et je n'ai pas à lui tourner autour, même en tant qu'amie, ce n'est pas bien placé. Je ne suis pas ce genre de femme, qui vole les copains des autres ou même qui aguiche ceux des autres. Je me penche en avant pour m'excuser, « désolée, ce n'était pas mon intention, je suis désolée, je suis désolée ». Je le répète plusieurs fois, me penchant jusqu'à ce que j'aperçois Tamaki qui revient. Je ne veux pas qu'il assiste à une telle scène ni même qu'il ait un doute. Je me racle la gorge et recule pour prendre mes affaires.
Je regarde Tamaki qui pose sa veste sur mes épaules, lançant un rapide coup d'oeil à sa petite amie qui me regarde d'un air mauvais, me faisant comprendre bien des choses. Je baisse mes yeux vers le sol, honteuse, et me contente de suivre Tamaki jusqu'à sa voiture, restant dan mon mutisme. Mon visage est rivé sur la vitre, mes pensées essayant de chasser tout ce qui me pèse sur le cœur, mais malgré moi quelques larmes coulent sur mon visage, discrètement, sans bruit, les laissant sécher par eux-mêmes. Je ne sais pas ce qui m'arrive . . . pourquoi je suis si triste ? Pourquoi est-ce que j'ai tant envie de m'enfermer dans ma chambre à ce moment précis ? Pourquoi je me sens si mal, le cœur aussi lourd qu'une pierre ? Pourquoi . . . et alors que je me pose ces questions si banales je sens une chaleur inconnue se poser sur ma main, doucement et sans même me retourner, je sais de qui il s'agit. Je mords nerveusement ma lèvre, ne pouvant même pas enlever cette main si douce de la mienne. Et pourtant mes pensées l'exigent de le faire . . . . S'il te plaît Tamaki ne fais pas ça . . . ne me fais pas ça. Tu es si gentil, si doux, si amical . . . et pourtant . . . je ne sais pas pourquoi mais ce soir je ne t'aime pas, je te déteste. Quand je pense à toi j'ai mal . . . je crois que ce soir tu me fais mal . . . et si tu étais plus méchant, plus froid, ça serait tellement plus simple pour moi, tellement plus facile . . . mais rien ne semble facile, surtout pas avec toi. Ses mots restent en pensées, ne pouvant les prononcer, pas une seule fois. Il finit par lâcher ma main certainement parce qu'il voulait être sympathique avec moi, parce qu'il a certainement remarqué ma peine . . . Je me sens soulagée lorsque nous arrivons enfin à destination, car je sais que je vais quitter cette voiture, et que je vais le quitter aussi. Je tourne doucement mon visage vers lui, ma main sur la portière, et tente, vainement, de sourire, et de prononcer quelques mots, « merci . . . de m'avoir raccompagné. Et je suis désolée pour la soirée, je pense que . . . l'alcool a fait plus de dégâts ce soir que je ne l'aurai imaginé ». Je tente de trouver une excuse, bidon soit-elle. J'ouvre la portière et lâche une dernière chose, « fais attention sur la route et profite bien de ta fin de soirée avec Mi Ree. Au revoir ». Je ferme alors la portière, me penche plusieurs fois en avant, pour le saluer, et m'en vais, le cœur lourd. Je marche rapidement pour atteindre mon dortoir et dès que je suis à l'intérieur, je tente de nouveau d’appeler Syu,ma cousine, qui ne répond toujours pas. J'ai besoin de parler. De parler de ma situation. De ce qui me pèse, pour essayer de comprendre. Alors, je frappe à une porte, la seule d'ouverte, « Na . . . NAAYOOUUNNGG-AAAHHH ». Je me jette sur elle et de nouveau, je me mets à pleurer. Je crois que pendant un certain temps je ne vais pas pouvoir voir Tamaki. Il est préférable que je prenne mes distances.
Je regarde Tamaki qui pose sa veste sur mes épaules, lançant un rapide coup d'oeil à sa petite amie qui me regarde d'un air mauvais, me faisant comprendre bien des choses. Je baisse mes yeux vers le sol, honteuse, et me contente de suivre Tamaki jusqu'à sa voiture, restant dan mon mutisme. Mon visage est rivé sur la vitre, mes pensées essayant de chasser tout ce qui me pèse sur le cœur, mais malgré moi quelques larmes coulent sur mon visage, discrètement, sans bruit, les laissant sécher par eux-mêmes. Je ne sais pas ce qui m'arrive . . . pourquoi je suis si triste ? Pourquoi est-ce que j'ai tant envie de m'enfermer dans ma chambre à ce moment précis ? Pourquoi je me sens si mal, le cœur aussi lourd qu'une pierre ? Pourquoi . . . et alors que je me pose ces questions si banales je sens une chaleur inconnue se poser sur ma main, doucement et sans même me retourner, je sais de qui il s'agit. Je mords nerveusement ma lèvre, ne pouvant même pas enlever cette main si douce de la mienne. Et pourtant mes pensées l'exigent de le faire . . . . S'il te plaît Tamaki ne fais pas ça . . . ne me fais pas ça. Tu es si gentil, si doux, si amical . . . et pourtant . . . je ne sais pas pourquoi mais ce soir je ne t'aime pas, je te déteste. Quand je pense à toi j'ai mal . . . je crois que ce soir tu me fais mal . . . et si tu étais plus méchant, plus froid, ça serait tellement plus simple pour moi, tellement plus facile . . . mais rien ne semble facile, surtout pas avec toi. Ses mots restent en pensées, ne pouvant les prononcer, pas une seule fois. Il finit par lâcher ma main certainement parce qu'il voulait être sympathique avec moi, parce qu'il a certainement remarqué ma peine . . . Je me sens soulagée lorsque nous arrivons enfin à destination, car je sais que je vais quitter cette voiture, et que je vais le quitter aussi. Je tourne doucement mon visage vers lui, ma main sur la portière, et tente, vainement, de sourire, et de prononcer quelques mots, « merci . . . de m'avoir raccompagné. Et je suis désolée pour la soirée, je pense que . . . l'alcool a fait plus de dégâts ce soir que je ne l'aurai imaginé ». Je tente de trouver une excuse, bidon soit-elle. J'ouvre la portière et lâche une dernière chose, « fais attention sur la route et profite bien de ta fin de soirée avec Mi Ree. Au revoir ». Je ferme alors la portière, me penche plusieurs fois en avant, pour le saluer, et m'en vais, le cœur lourd. Je marche rapidement pour atteindre mon dortoir et dès que je suis à l'intérieur, je tente de nouveau d’appeler Syu,ma cousine, qui ne répond toujours pas. J'ai besoin de parler. De parler de ma situation. De ce qui me pèse, pour essayer de comprendre. Alors, je frappe à une porte, la seule d'ouverte, « Na . . . NAAYOOUUNNGG-AAAHHH ». Je me jette sur elle et de nouveau, je me mets à pleurer. Je crois que pendant un certain temps je ne vais pas pouvoir voir Tamaki. Il est préférable que je prenne mes distances.
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