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A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥
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A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 13:36 Citer EditerSupprimer
Love me like you hurt me
Let's burning into our rage
Sa femme-démon ✧ Son chien d'la casse
Bae croise les bras en toisant cette fille qui arrive au bout du couloir. Elle la fixe de son regard perçant et dur. Maquerelle des plus douces avec la majorité des filles, Bae affiche ce qu’elle sait faire de mieux : sa douceur. Elle se montre présente, à l’écoute, elle laisse la sécurité des filles aux mains de Kan et Gabriel, mais s’assure de leur confort. Ils ont décidés d’offrir l’interdit, le sale, l’illégal. Mais Bae y trouve une certaine beauté, un certain sens artistique. Ses filles ne sont pas juste de vulgaires poupées qu’on peut maltraiter. Ici elles vendent de l’amour faux. De l’amour rêveur. De la luxure, des plaisirs du sexe qu’un homme n’oserait jamais demander à sa femme. Ils offrent un monde unique, beau, coloré. Et Bae n’a jamais dénigré le travail de ses filles, elle les respecte et les admire même pour leur courage. Pourtant il y a cette fille. Oh qu’elle peut la haïr. Oh qu’elle peut avoir envie d’enrouler ses doigts nacrées autour de son cou et de serrer. De serrer jusqu’à la voir disparaitre. Et parfois Bae se fait peur de cette violence, de cette rage en elle, qu’elle n’arrive à consumer qu’en libérant son esprit à ces folles images meurtrières. Elle serre les dents de la voir ainsi se promener à moitié nu sous son nez. Que pourrait-elle dire ou faire ? Celle-là en particulier est la protégé de Gabriel, elle n’a même pas la possibilité de la renvoyer d’où elle vient. Elle rage Bae, et la haine qui la consume ne fait que grandir à sa vue, à son parfum, à son sourire moqueur. Elle se détourne, maquerelle impétueuse. Dangereuse. Elle la laisse s’éloigner, ondulant des hanches comme si le monde lui appartenait. Pute. Sale pute. C’est la seule pensée cohérente que Bae arrive à avoir la concernant. Si désobligeante et piquante. Elle déglutit en revoyant Kan être si dur avec elle. La dévorer du regard comme il la rabaisse. Et qu’aurait-elle à dire. La dame de cœur qui joue avec son fou. Elle le repousse depuis tellement d’année, depuis tellement de soupires qu’il n’a que le droit de sauter ces filles. Bae serre le poing si fort qu’elle s’en marque la paume de demi-lune. Ses ongles ont poussés, elle y a même posé du vernis, comme si ça pourrait changer la donne d’être plus féminine. Comme si elle pouvait ne garder le regard de Kan que sur elle. Foutaise. Elle claque la porte de ce bureau. Celui de Kan. Elle fait les cents pas. La rage qui bout en elle la fait devenir dingue. Tout se mélange dans sa tête et elle en devient garce. Elle donne à cette blondie les pire clients, les plus vieux, les moins avenants. Ceux qui payent cher et qui reste clean. Mais qui sont les plus … écœurant. Oh elle se venge la blonde. Elle décide, elle contrôle. Elle s’en fait vomir d’être aussi garce. Elle veut qu’il paye. Elle s’en dégoute de savoir qu’il la touche, quand elle s’est faites passer dessus par des porcs. Puis elle laisse ses pensées fuser. Ils ne doivent pas utiliser de capotes entre eux. Oh non Kan n’est pas le genre d’homme à perdre son temps à ça. Elle ricane, amère, si folle de colère, elle en devient féline et son regard et cruel. Elle étouffe dans ce bureau et sort dans le couloir. C’est presque vital qu’elle trouve Kan. Qu’il n’ait pas le temps d’être avec elle. Elle fouille partout avant de le trouver. Et elle est là. Pas loin. Et ils se parlent, et ils se regardent, et ils respirent le même air. Et Bae à envie de dégueuler sa jalousie. Sa rage. Elle lâche un rire moqueur, désabusé « La pute et le chien d’la casse, vous feriez un jolie Disney. » raille-t-elle en les toisant. En ne toisant que Kan à vrai dire. Elle lui crache sa bile au visage avec un sourire si moqueur et si arrogant qu’on voudrait lui faire ravaler. La vérité c’est que son équilibre fragile s’est effondré quand elle a compris que leur corps ne faisait plus qu’un. Qu’elle était témoin. Qu’elle était étrangère. Elle serre les dents avant de les fixer, le regard plein de pitié, pathétique à ses yeux sombres et assassins.
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 14:55 Citer EditerSupprimer
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elle le voit comme personne ne doit le voir. violent, méchant, sombre. elle le voit comme il n'as envie que personne le subisse. manipulateur, arrogant, chien. parce qu'elle est la définition même d'une poupée, kan s'en sert pour alléger son coeur, pour craquer, pour se calmer, pour réussir à rester maître de lui, de ses émotions, de ses pulsions. elle est là seulement pour subir, il le sait. elle est blonde, elle est belle mais elle n'est pas celle qu'il veux. elle n'est même pas un substitue, rien n'est assez bien pour lui, à part la réelle femme démon, femme amour, femme obsession. celle qui le rend dingue, qui joue de ses charmes, de son amour, de cette tendresse et innocence infinie qu'elle à pour lui. kan soupire en traînant ses godasses dans la salle de la jungle, ses yeux fixant chaque homme dans la salle, chaque femme, se perdant quelques secondes de plus sur les formes délicieusement dessinées des danseuses. il doit se changer les idées, arrêter de penser. la cigarette se consume entre ses lèvres alors qu'il traîne les godasses sur le tapis du couloir, sourit en coin, mauvais en voyant arriver blondie. Ils discutent, lui adossé contre le mur à remonter les manches de son t-shirt, à gratter sa peau ancrée. Il la manipule avec trop de facilité. Il n'est rien de bon pour elle et pourtant blondie lui sourit avec plaisir, n'attend qu'une chose.
mais le calme, le calme n'existe pas dans la vie de ces gens là, des chiens de la casse, des énervés, des enivrés. Les yeux glace de kan se réchauffent dès qu'ils se posent sur le corps dénudé et parfaitement sculptée de bobae. elle est belle, enivrante... énervée. Il le sait, le sent, le voit, lève les yeux aux ciels à la voir si cruelle, si colérique. Kan arque un sourcil en la fixant, moins enchanté que la seconde d'avant. « qu'est-ce qu'il te prend ? » t'es jalouse ? et un élan de connerie rattrape kan alors qu'une mauvaise idée lui traverse l'esprit. si c'est si facile de la faire regarder que lui, pourquoi ne pas s'en servir un peu ? Le garçon détourne les yeux de bobae avec une lueur de mesquinerie, regarde blondie et sourit en coin. « t'as cinq minutes? qu'on aille discuter ailleurs. toi et moi quoi tu vois. » aime moi, retiens moi, violente là, n'appartiens qu'à moi, fait moi n'appartenir qu'à toi.
mais le calme, le calme n'existe pas dans la vie de ces gens là, des chiens de la casse, des énervés, des enivrés. Les yeux glace de kan se réchauffent dès qu'ils se posent sur le corps dénudé et parfaitement sculptée de bobae. elle est belle, enivrante... énervée. Il le sait, le sent, le voit, lève les yeux aux ciels à la voir si cruelle, si colérique. Kan arque un sourcil en la fixant, moins enchanté que la seconde d'avant. « qu'est-ce qu'il te prend ? » t'es jalouse ? et un élan de connerie rattrape kan alors qu'une mauvaise idée lui traverse l'esprit. si c'est si facile de la faire regarder que lui, pourquoi ne pas s'en servir un peu ? Le garçon détourne les yeux de bobae avec une lueur de mesquinerie, regarde blondie et sourit en coin. « t'as cinq minutes? qu'on aille discuter ailleurs. toi et moi quoi tu vois. » aime moi, retiens moi, violente là, n'appartiens qu'à moi, fait moi n'appartenir qu'à toi.
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 15:29 Citer EditerSupprimer
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Qu’est-ce qui lui prends ? Oh ça Bae ne le sait que trop bien. Blondie ricane de la voir si mauvaise, elle est pathétique dans les yeux de la blonde et elle ne le sait que trop bien Bo Bae. Jamais plus qu’à cet instant la signification de son prénom ne lui a paru plus que ridicule. Trésor. Elle est un trésor, elle est belle, attirante, attise la convoitise et on la consume vite, trop vite. On la lapide et on la gâche jusqu’à réaliser qu’il n’y a plus de trésor. Kan était son protecteur, son dragon attiré par l’or, à s’enivrer de sa valeur, de sa beauté sans jamais dépenser le moindre centime. Son trésor fond sous le feu de la jalousie et se consume de l’intérieure. Elle serre les dents et voudrait pouvoir gifler cette garce devant elle, qui se pavane au bras de Kan comme s’il lui appartenait. Quelle connerie. Elle raille. Lâche un couinement glacial quand elle le voit jouer ainsi. Oh non Kan, tu ne devrais pas jouer à ça avec moi ! Pense-t-elle rageusement en le tuant déjà un million de fois en un battement de cil. Blondie lui envoie un nouveau sourire de garce qui joue au même que Bae, qui crève d’envie de lui faire ouvrir les yeux. Ce n’est pas toi qu’il veut ! A-t-elle envie de lui crier mais la vérité serait bien trop cruelle à entendre et elle refuse d’entendre de la bouche de Blondie Peut être mais je suis la seule qu’il possède et qu’il a … Bon sang que sa rage pourrait la tuer. Bae les toise, droite, tremblante. Elle regarde la jeune femme se coller à Kan et glousser on ne sait qu’elle phrase creuse censé l’exciter. Elle se colle à Kan et Bae recule d’un pas pour s’éviter de sauter sur eux. La colère monte. Si dangereuse. La douleur lui coupe le souffle. Elle en souffre. Si cruellement qu’elle refuse de voir que ce n’est qu’un juste retour des choses. Elle le mérite. Elle lui a brisé le cœur bien plus souvent, bien plus intensément. Pourtant Bae refuse de s’arracher à cette vision torturante.
Elle serre les dents, creuse un peu plus ses paumes de demi-lune. Son souffle lui manque. Et son cœur éclate douloureusement dans sa poitrine quand elle voit Blondie mordiller la lèvre inférieure de Kan en levant son regard vers elle. Pure provocation. Bae se voit se détourner, les laisser à leur jeu. Elle fait un pas, puis deux. Elle s’éloigne, elle part. Elle s’enfuit. Parce que c’est ce qu’elle a toujours fait avec Kan. « Nous voilà seuls. Tu veux reprendre comme la dernière fois ? » Minaude-t-elle de sa voix qui achève Bae. Seuls. Dernière fois. Autant d’infos, de mots, qu’elle n’aurait jamais voulu entendre. Elle se crispe. Sa rage se mue en une douleur pesante. Elle revoit le sourire de cette fille. La silhouette de cet homme lui dire de dégager. Et elle voit Kan. Si proche. Si loin. Elle l’imagine. Baiser cette fille et se perdre dans ses bras pour l’oublier. Y arriver. Recommencer. Encore. Elle se retourne et avant de réaliser ce qu’elle faisait, sa main se perd dans les cheveux de Blondie quelle tire brusquement et fermement en arrière pour la plaquer au mur d’en face. Bae est sauvage. Féroce. Féline. Elle gifle Blondie à en marquer sa peau d’une trace rouge épousant la forme de ses doigts. « Va te faire foutre trainée ! » crache-t-elle en tirant sur ses cheveux pour la mettre au sol. Prête à abattre son poing frêle sur le corps dénudée de Blondie.
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 21:44 Citer EditerSupprimer
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C'est électrisant, de voir cette rage dans les yeux sombres de bobae. Il comprend maintenant, pourquoi ça lui fait tant plaisir de le manipuler, de le rendre dingue, accroc, de planter ses yeux dans ceux glaces de kan, le voir la dévorer du regard, complètement à sa merci, toujours présent. il est à elle, elle le sait, en joue. et kan comprend aujourd'hui ce besoin constant de son regard, de ses pensées. Elle le tue, il en crève avec un rictus mauvais. Blondie se pense indispensable, elle n'est qu'un jouet, qu'une occupation. Elle qui croit faire tant d'effet à kan n'est qu'un objet, les pensées du garçon toutes happées par le visage colère de bae qu'il voit du coin de l'oeil, par sa colère qu'il ressent. Et les lèvres de blondie, ses dents sur son visage et ses paroles à son oreille le laisse de marbre, ses doigts qui cherchent à le retenir vers elle. Lui, qui ne bouge pas vraiment, ses yeux qui pourtant se perdent vers bae. qui le toise, qui le tue, qui le fait sourire comme le chien de la casse qu'il est. elle est si belle. run love, i'm that truth that you're afraid of, i'm a fever that you made up.
Les pas de bae qui s'en vont, c'est comme si elle s'éloignait de lui pour de bon. son coeur accélère dans sa poitrine, pas par la pseudo-drague de blondie, mais par l'idée d'avoir pousser le jeu trop loin, de la perdre, de la voir l'abandonner, de la voir arrêter de jouer. Il a peur, il en crève, il veux juste l'attraper elle, plonger son regard dans ses orbes noires, dans sa colère-amour, lui dire, encore, que y'as qu'elle, qu'il est con. Mais kan bouge pas, se contente de fixer ses yeux glaces dans le vide. « Ta gueule blondie. » qu'il laisse tomber de sa voix cassée alors qu'il fouille sa poche arrière pour en sortir une cigarette, puis son feu. mais la pierre n'as que le temps de craquer avec de s'éteindre sous le coup de vent des deux filles. Kan relève les yeux en voyant une furie blonde se jeter sur la deuxième, les cris de la deuxième retentir dans le couloir alors qu'elle insulte, qu'elle crie, qu'elle tente de se défendre. Mais bobae est une tigresse, un démon impossible à arrêter.
un démon en colère. Et pendant un instant, quelques secondes, un sourire mauvais s'étire sur les lèvres du garçon, la clope entre ses lèvres encore éteinte. Il n'as envie de rien faire et crève d'envie de l'attraper. mais le spectacle, pour quelques secondes, est jouissif. Il n'ouvre pas sa gueule, s'approche simplement des deux filles et arrête le poing de bobae juste avant qu'il ne s'affaisse sur le visage de l'occidental et lâche d'une voie rauque « Abime pas le commerce, bobae. » Il a envie d'en rire, même. Kan est mauvais parfois, elle le sait, mais ils n'ont pas exploser de douleurs sentimental comme ça depuis longtemps, trop longtemps. c'était trop, trop intense. Kan tire sur le poignet de sa tigresse et de l'autre main la retiens par la taille, la forçant à lâcher blondie pour la retenir malgré toute la force qu'elle met à le fuir. Et la voix de blondie qui résonne, sur cette voix plaintif agaçante. « T'es vraiment un connard, kan! »
Les pas de bae qui s'en vont, c'est comme si elle s'éloignait de lui pour de bon. son coeur accélère dans sa poitrine, pas par la pseudo-drague de blondie, mais par l'idée d'avoir pousser le jeu trop loin, de la perdre, de la voir l'abandonner, de la voir arrêter de jouer. Il a peur, il en crève, il veux juste l'attraper elle, plonger son regard dans ses orbes noires, dans sa colère-amour, lui dire, encore, que y'as qu'elle, qu'il est con. Mais kan bouge pas, se contente de fixer ses yeux glaces dans le vide. « Ta gueule blondie. » qu'il laisse tomber de sa voix cassée alors qu'il fouille sa poche arrière pour en sortir une cigarette, puis son feu. mais la pierre n'as que le temps de craquer avec de s'éteindre sous le coup de vent des deux filles. Kan relève les yeux en voyant une furie blonde se jeter sur la deuxième, les cris de la deuxième retentir dans le couloir alors qu'elle insulte, qu'elle crie, qu'elle tente de se défendre. Mais bobae est une tigresse, un démon impossible à arrêter.
un démon en colère. Et pendant un instant, quelques secondes, un sourire mauvais s'étire sur les lèvres du garçon, la clope entre ses lèvres encore éteinte. Il n'as envie de rien faire et crève d'envie de l'attraper. mais le spectacle, pour quelques secondes, est jouissif. Il n'ouvre pas sa gueule, s'approche simplement des deux filles et arrête le poing de bobae juste avant qu'il ne s'affaisse sur le visage de l'occidental et lâche d'une voie rauque « Abime pas le commerce, bobae. » Il a envie d'en rire, même. Kan est mauvais parfois, elle le sait, mais ils n'ont pas exploser de douleurs sentimental comme ça depuis longtemps, trop longtemps. c'était trop, trop intense. Kan tire sur le poignet de sa tigresse et de l'autre main la retiens par la taille, la forçant à lâcher blondie pour la retenir malgré toute la force qu'elle met à le fuir. Et la voix de blondie qui résonne, sur cette voix plaintif agaçante. « T'es vraiment un connard, kan! »
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 22:11 Citer EditerSupprimer
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Elle se débat Bae. Comme une tigresse. Une violente. Qu’on voit rarement aussi pleine de rage. Mais Bae c’est une boule de nerf, que la vie à trop souvent amoché pour qu’elle puisse en supporter d’avantage. Elle est en colère contre le reste du monde, ce monde qu’elle vomit et qu’elle ne supporte plus. Comment pourrait-elle lui cracher à la gueule qu’elle a envie de crever ?! Que si elle est restée en vie ce n’est que pour ses yeux bleus et sa gueule d’étranger cassé. Qu’elle était déchiré par deux hommes mais que la vie et la mort se faisait une bataille féroce pour l’avoir elle, dans son linceul bleu que son sourire factice et quotidien rendait pur. Elle prétend que tout va bien mais rien ne va et encore moins en voyant Kan flirter, encore moins en le voyant coucher avec une autre … si encore elle pouvait se mettre des œillères et ne rien savoir, mais elle n’a pas d’autre choix que de voir cette trainée se pavaner devant elle. Et il se venge. Ce batard, ce chien se venge. De toutes ces douleurs qu’elle lui a causées. Il se venge en lui foutant à la gueule ce qu’elle lui a fait. La fuir. Retourner voir d’autre bras que les siens. Bae hurle de rage. De douleur. Son poing qui s’abat sur le corps de cette étrangère n’est pas qu’une crise de jalousie. Kan n’est pas un jouet, elle ne joue pas, elle n’a jamais joué. Égoïste et bien trop sincère, elle n’a jamais su lui cacher son attirance, ni prit le soin de faire taire ses sentiments. Parce qu’elle est trop vraie, un diamant à l’état brute. Elle souffle, elle rage. Kan en jouant à ce jeu stupide a-t-il la moindre idée du coup de bourrin qu’il vient de mettre dans le cœur de Bo Bae ?
Guess what. You make me dying.
Elle se revoit apercevoir leur corps. Deviner leur étreinte, leur soupire. Elle se revoit ravaler sa peine. Se convaincre qu’il avait tous les droits. Elle se revoit s’enfermer dans la salle de bain et ouvrir tous les robinets. L’eau a coulé. Si longtemps qu’elle s’est renversé sur le carrelage froid. Elle a inondé sa chambre presque, de ses larmes, d’eau, de ses gémissements douloureux. Et ses bras qui se renferment sur le vide alors que son démon est dans la pièce d’à côté prendre son pied. A vivre parce qu’elle fait crever. Elle ne supporte plus cette idée et elle ne supporte plus cette relation. Blondie se mange les coups de tous les bleus que Bae et Kan se sont fait avec leur silence, leur mot, leur absence et leur désir. Leur désir si ardent et éclatant qu’ils en meurent. Littéralement. Elle geint d’une douleur animale quand il la retient contre lui. Elle se débat encore alors que l’occidental se relève en les incendiant tous les deux. Mais Bae ne voit rien, ne comprends rien, Bae est furieuse, de cette fureur remplie d’amour. Elle se débat plus fort encore en se tournant vers Kan pour le repousser « Qu’est-ce qu’il y a ?! T’as as envie que j’abime ton putain de jouet hein ! » Elle le repousse encore malgré cette alarme dans sa tête qui sonne Bae déconne pas, ne le pousse pas à bout … Elle lâche un rire avant de lui susurrer mauvaise et acide « Elle était bonne à baiser ta pute ?! T’as pris ton pied hein ?! » Ses cheveux en bataille, sa veste de kimono tombant mollement sur son épaule, elle se tient droite face à lui ses yeux plus sombres que jamais.
Elle le repousse à nouveau en fuyant son touché « Me touche pas connard ! T’es sale ! » Tu me dégoûte que lui crie son regard. Sa voix couine, et ses mouvements sont impétueux. Elle le toise sous sa colère pour cacher cette vérité déchirante. Aime-moi fils de putain. Sale bâtard qui brise mon cœur. Chien de la casse que je hais tant. Aime moi !
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 22:28 Citer EditerSupprimer
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C'est comme s'ils avaient tout les deux essayer de calmer leurs sentiments, de fuir la douceur qui s'était installée, d'éteindre tout les feux de leur coeurs, corps, âme, regards. ça brûle, ça les b^rule de l'intérieur. Sa rage se propage, tout le monde s'énerve, ils se détestent de s'aimer autant. Ils ne contrôlent plus leur forces, ni l'un, ni l'autre. Elle lui donne la possibilité de tout lâcher, de tout claquer. kan à toujours eu un rapport à la violence assez fréquent. elle était son calme, ses désirs ardents sans violence. Et ils éclatent. Ils se mordraient leur coeur s'ils pouvaient. Même leur sourires sont mauvais, leurs regards se brisent derrière les parois que l'un et l'autre érigent autour de leurs coeurs. Parce qu'ils sont trop présents. trop pareil, trop en miroir. trop abîmés. trop entachés de l'autre.
Les cris sont trop réel,s trop rageur, trop mortels. Kan grogne en forçant bobae à reculer, ignore la douleur dans son corps, de sa tigresse. « Ta gueule putain! Ferme là merde! » Ses yeux pourtant glace s'assombrissent plus les secondes passent. Kan ignore totalement blondie qui resserre contre elle le peu de vêtements qu'elle à, qui se relève sans l'aide de personne, recule de trois pas, regarde sans rien pouvoir n'y changer la haine, l'amour éclater avec une telle violence qu'elle en couine. « mais arrêtez de gueuler putain! Gabriel?! » et elle se recule assez pour finir par quitter le couloir avec un regard apeurée. chienne qu'elle est. Pourtant Kan ne la regarde même pas, trop emprisonné dans les paroles mauvaises, dures, réelles et pleines de douleur de bobae. « C'est quoi ton putain de problème ? » qu'il crie en la poussant vers le mur derrière elle. Elle réplique. Il est sale. chien qu'il est. Ses cheveux tombent en bataille sur ses yeux alors qu'il en deviendrait réellement mauvais. même avec elle. « tu crois que tu peux encore me faire tes crises de jalousie à deux balles ?! Il est ou Shin, hein ? Qu'est-ce que t'as ? t'es jalouse ? tu veux baiser aussi ? Appelle là, ta pute à toi non? »
Ils souffrent et souffriraient plus encore d'être séparés et pourtant, ils se consument. En voilà le parfait exemple, ils se déchirent de l'intérieur d'avoir trop aimer l'autre, de ne pas y accéder. Kan est mort de jalousie mille fois et elle l'écrase de la sienne avec une rage intense. Les doigts froids de kan se referment sur la gorge de bae, juste le temps de la plaquer contre le mur, que son bas-ventre se plaque avec violence contre celui de bae, que ses doigts se déplacent sur sa joue, que ses yeux-glace rencontrent les siens-volcan. « J'suis sale ? j'te dérange ? » qu'il lâche dans un ricanement mauvais. Il se déteste de lui faire ça. Mais il est incontrôlable, complètement épris d'un amour frustré, censuré par les soins de son démon, de son obsession. et mourir serait moins douloureux que de voir autant de douleur dans son regard mort.
Les cris sont trop réel,s trop rageur, trop mortels. Kan grogne en forçant bobae à reculer, ignore la douleur dans son corps, de sa tigresse. « Ta gueule putain! Ferme là merde! » Ses yeux pourtant glace s'assombrissent plus les secondes passent. Kan ignore totalement blondie qui resserre contre elle le peu de vêtements qu'elle à, qui se relève sans l'aide de personne, recule de trois pas, regarde sans rien pouvoir n'y changer la haine, l'amour éclater avec une telle violence qu'elle en couine. « mais arrêtez de gueuler putain! Gabriel?! » et elle se recule assez pour finir par quitter le couloir avec un regard apeurée. chienne qu'elle est. Pourtant Kan ne la regarde même pas, trop emprisonné dans les paroles mauvaises, dures, réelles et pleines de douleur de bobae. « C'est quoi ton putain de problème ? » qu'il crie en la poussant vers le mur derrière elle. Elle réplique. Il est sale. chien qu'il est. Ses cheveux tombent en bataille sur ses yeux alors qu'il en deviendrait réellement mauvais. même avec elle. « tu crois que tu peux encore me faire tes crises de jalousie à deux balles ?! Il est ou Shin, hein ? Qu'est-ce que t'as ? t'es jalouse ? tu veux baiser aussi ? Appelle là, ta pute à toi non? »
Ils souffrent et souffriraient plus encore d'être séparés et pourtant, ils se consument. En voilà le parfait exemple, ils se déchirent de l'intérieur d'avoir trop aimer l'autre, de ne pas y accéder. Kan est mort de jalousie mille fois et elle l'écrase de la sienne avec une rage intense. Les doigts froids de kan se referment sur la gorge de bae, juste le temps de la plaquer contre le mur, que son bas-ventre se plaque avec violence contre celui de bae, que ses doigts se déplacent sur sa joue, que ses yeux-glace rencontrent les siens-volcan. « J'suis sale ? j'te dérange ? » qu'il lâche dans un ricanement mauvais. Il se déteste de lui faire ça. Mais il est incontrôlable, complètement épris d'un amour frustré, censuré par les soins de son démon, de son obsession. et mourir serait moins douloureux que de voir autant de douleur dans son regard mort.
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Dim 15 Jan - 22:49 Citer EditerSupprimer
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Mais qui pourrait comprendre que Kan c’était son poison, sa mort et sa vie à la fois. Qu’elle le possédait avec un simple regard, qu’il était à ses genoux, qu’elle le dominait avec ses sourires et son regard félin. Mais n’avait-il jamais compris qu’elle était tout aussi à sa merci. Qu’elle n’était qu’une putain de pantin qui se débattait dans ses fils trop grand pour elle. Elle ne savait pas où aller, ni comment se débarrasser de toutes ces émotions féroces. Parce qu’elle savait que ce débarrasser de sa rage, c’était se débarrasser de son amour. Et quand perdant ces deux feux qui la maintenaient en vie, elle perdrait Kan. Personne ne lui avait jamais dit qu’aimer c’était ça. Qu’aimer c’était se détruire. Et elle avait détruit Shin. Et elle avait détruit Kan. Oh elle pourrait mentir à qui voudrait l’entendre, elle pouvait même se mentir à elle-même, c’était sa faute ! Sa faiblesse. Sa putain de faiblesse. Kan était sa putain de faiblesse. Oh dieu qu’elle avait envie de le griffer, de le gifler, de le faire taire ! Elle suffoque, s’étouffe dans sa propre colère. Elle voudrait pouvoir crier pour s’ne libérer parce qu’elle réalise qu’il n’y a que ça qui pourrait lui rendre son calme. Hurler. Hurler d’amour. Comme un loup les soirs de pleines lunes. Elle n’a jamais compris jusqu’à aujourd’hui ce qu’elle infligeait à Kan, ce que cette lente agonie représentait réellement. Quand elle embrassait Shin devant Kan, quand elle lui affichait son amour sous le nez pour lui montrer que tu ne m’auras jamais Kan. RENDS TOI A LEVIDENCE qu’elle lui avait hurlé au cœur. Mais elle était revenu, plus ardente encore, le chercher et le posséder. Elle était enivrée de son existence et de son parfum. Depuis son viole elle s’était enfermée dans un monde composé uniquement de Kan. Fuyant tous les autres avec la peur viscérale de se briser si on la touchait.
Pourtant elle le veut. Touche-moi ! Que son souffle rauque lui crache.
Elle gémit quand il la pousse contre le mur et elle grogne à son tour. « La ferme ! La ferme ! Tu la ferme ! » Cri-t-elle pour couvrir le son de sa voix, pour ne pas entendre le prénom de Shin encore beaucoup trop douloureux pour elle, comme un fantôme qui vous hante à en vous détruire le cœur. Et il est où Shin ? Pas là. Pas là parce qu’elle ne l’a pas laissé approcher. Bae s’était presque convaincu que c’était presque un privilège pour Kan de pouvoir l’avoir comme il l’avait. Qu’elle ne désirait que lui. Qu’elle avait repoussé Yegi. Qu’elle ne côtoyait les gens du Jungle que pour se créer un nouveau monde. Elle fuyait le Kurss, elle fuyait le monde qui l’entourait parce qu’elle ne voulait qu’une seule drogue. Kan, Kan, Kan, encore et encore lui, encore et toujours Kan, Kan, Kan comme une obsession, comme une drogue. Elle pourrait ne se nourrir que son nom, ne vivre que de son touché. Quand il serre sa gorge et qu’il l’emprisonne dans sa poigne Bo Bae n’a pas peur, mais sa rage se mue en une tristesse qu’elle ne contrôle pas. Elle secoue la tête avec force comme pour se libérer de sa prise et ferme les yeux en hurlant « T’ES SALE ! T’ES SALE ! T’ES SALE PUTAIN ! TU L’AS BAISE ! TU L’AS BAISE T’ES SALE ! » Elle suffoque, déteste l’impression de ne pouvoir fuir. Repensant par flash à la nuit de son viole. Cette même sensation d’être oppressée. Pourtant, au contraire de cette nuit, elle espère que ces bras frêles ne la lâchent jamais.
Elle tente de le repousser, elle le griffe, le gifle. Elle lui lacère le cœur et la peau. « JE TE DETESTE ! JE TE DETESTE ! JE TE HAIS CONNARD ! » Qu’elle cri sans se soucier de la scène qui va rameuter des gens, des clients, sûrement Gabriel. JE TAIME JE TAIME JE TAIME JE TAIME TELLEMENT KAN. Elle suffoque de plus en plus et dans un élan passionnel elle vient se jeter sur ses lèvres pour les mordre, jusqu’au sang. A cet endroit exact où Blondie pensait pouvoir laisser sa marque. « T’es à moi putain sale chien » qu’elle geint sans plus rien comprendre de son attitude. Le repousse-t-elle ou s‘accroche-t-elle à lui. t’es à moi putain, tu comprends pas ?!
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Jeu 19 Jan - 19:22 Citer EditerSupprimer
Love me like you hurt me
Let's burning into our rage
Sa femme-démon ✧ Son chien d'la casse
Ils s'empoisonnent de l'autre et par on ne sait quel absurdité, leur seul remède, c'est cet amour invincible qu'ils ont l'un envers l'autre. Ils s'aiment, s'accrochent avec la rage du condamné qui veux vivre, du chien d'la casse, du roi des cons, d'la reine des embrouilles, à l'autre et à cet espoir fin de vie à deux, de vie meilleure. Ils voient en ce miroir non pas tout ce que la société tatoue sur leur corps, mais l'espoir d'une nouvelle vie, meilleure. Kan et Bobae ne sont qu'une image de l'autre n'y voyant que le meilleur.
Qui se brise, se casse, qui à chaque instant menace de voler en éclat par ce trop-pleins d'intensité qu'ils dégagent. « Oh ma pauvre, tu découvres? J'suis un chien d'la casse, t'as oublié? » Les mots/maux éclatent et ils essaient de se faire du mal, assez pour reculer, assz pour reprendre le contrôle mais la haine et l'amour sont trop réels, trop viscéral. LEs coups de poings, de griffes, de rages de bobae se marquent dans le corps de kan. Et plus elle s'énerve, plus ses épaules deviennent dures, plus il encaisse, plus il se montre pseudo-fort, plus ses yeux glaces se figent. Et pourtant. Ils sont flammes. « JE TE DETESTE ! JE TE DETESTE ! JE TE HAIS CONNARD ! » Et il ricane, ses mains viennent emprisonner les poignets de bae qu'il plaque de part et d'autre de son visage, appuie son corps sur le siens, grogne, gronde, quand le goût du sang se répand dans sa bouche. Mais c'est trop bon, c'est trop proche pour ne pas y goûter réellement.
C'est trop elle, c'est trop douloureux d'encore la laisser gagner. Alors Kan plante son regard dans celui de bae et s'autorise la réplique, Et ses lèvres sangs ne viennent pas mordre celles de bae mais les emprisonner, l'embrasser avec une rage d'amour incontrôlable, sa langue forçant l'accès à sa bouche en grondant contre elle, retenant un soupire contre ses lèvres. Et il ferme les yeux, lâche un poignet et glisse sa main sur la taille de bae qu'il presse entre ses doigts. Et l'embrasser. Réellement. Putain qu'il à attendu ça. Ses prunelles se plongent à nouveau dans celles beaucoup plus sombres de la blonde alors qu'il affiche un sourire carnassier, un sourire amour, un sourire en coin, un sourire cauchemar. « Prouve le. » parce que t'appartenir est la plus douce des suppliques.
Qui se brise, se casse, qui à chaque instant menace de voler en éclat par ce trop-pleins d'intensité qu'ils dégagent. « Oh ma pauvre, tu découvres? J'suis un chien d'la casse, t'as oublié? » Les mots/maux éclatent et ils essaient de se faire du mal, assez pour reculer, assz pour reprendre le contrôle mais la haine et l'amour sont trop réels, trop viscéral. LEs coups de poings, de griffes, de rages de bobae se marquent dans le corps de kan. Et plus elle s'énerve, plus ses épaules deviennent dures, plus il encaisse, plus il se montre pseudo-fort, plus ses yeux glaces se figent. Et pourtant. Ils sont flammes. « JE TE DETESTE ! JE TE DETESTE ! JE TE HAIS CONNARD ! » Et il ricane, ses mains viennent emprisonner les poignets de bae qu'il plaque de part et d'autre de son visage, appuie son corps sur le siens, grogne, gronde, quand le goût du sang se répand dans sa bouche. Mais c'est trop bon, c'est trop proche pour ne pas y goûter réellement.
C'est trop elle, c'est trop douloureux d'encore la laisser gagner. Alors Kan plante son regard dans celui de bae et s'autorise la réplique, Et ses lèvres sangs ne viennent pas mordre celles de bae mais les emprisonner, l'embrasser avec une rage d'amour incontrôlable, sa langue forçant l'accès à sa bouche en grondant contre elle, retenant un soupire contre ses lèvres. Et il ferme les yeux, lâche un poignet et glisse sa main sur la taille de bae qu'il presse entre ses doigts. Et l'embrasser. Réellement. Putain qu'il à attendu ça. Ses prunelles se plongent à nouveau dans celles beaucoup plus sombres de la blonde alors qu'il affiche un sourire carnassier, un sourire amour, un sourire en coin, un sourire cauchemar. « Prouve le. » parce que t'appartenir est la plus douce des suppliques.
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Sam 21 Jan - 9:28 Citer EditerSupprimer
Love me like you hurt me
Let's burning into our rage
Sa femme-démon ✧ Son chien d'la casse
Elle le cherche, l’attise, elle le veut, le possède. La hargne n’a d’égale que l’amour, la fureur copie la passion. Elle les consume dans un feu hardant qui les tue avec un plaisir qu’ils ne pourront jamais regretter. I was happy but one day I met you. Elle geint quand il plaque ses poignets contre le mur, elle geint quand elle sent son corps se presser contre le sien, l’emprisonnant. Elle soupire, contre ses lèvres abîmées, destructrice quand il vient l’embrasser. Cherchant la rage dans la douceur. Elle résiste, ne voulant pas lui donner ce qu’il réclame si désespérément depuis des mois, des années, depuis une éternité, leur éternité. Elle résiste si fort que le goût du sang qui se repend dans sa bouche elle ne saurait savoir à qui il appartient. Elle se débat, la forcenée qu’elle est craque. Elle parait si douce, si facile à briser, elle parait si gentille, trop naïve, trop sage. Si agaçante. Peut connaisse ce démon qu’elle enferme. Cet animal sauvage qui la représente tant au finale. Sauvage. C’est le terme. Elle se débat moins fort, capitulant malgré elle à la force des lèvres de Kan. De ses lèvres qui l’emprisonnent. Elle lâche prise et le laisse passer, lui qui force le passage avec passion. Dieu que ça fait mal, dieu que ça fait du bien. Elle desserre ses poings et s’agitent, à la différence qu’elle brûle de pouvoir le toucher. La vérité, c’est qu’elle ne se débat plus pour fuir, mais pour pouvoir l’enlacer, plaquer ses bras autour de son cou et l’empêcher de partir. Elle réussit, à force de contention, de glisser sa cuisse sur la hanche frêle de Kan.
Elle laisse une larme se glisser entre leur lèvre et saler leur baiser goût cocaïne. L’enfer peut s’ouvrir sous leur pied. Elle sera damnée pour avoir aimé. Pour avoir succombé. Elle se détestera bien assez fort demain. De l’extérieure on saurait dire s’ils se battent ou s’ils s’aiment. Un peu des deux remarquera un œil avisé. Elle détache une de ses mains à force d’insistance et attrape sa nuque pour approfondir leur baiser. Elle appuie plus fort sur ses lèvres et cherche la langue de Kan dans un grognement pressé. Ils s’embrassent et elle met un temps à le réaliser. Il ne lui suffit plus que de quelques secondes pour comprendre, pour voir, sentir. Elle lâche un gémissement, elle capitule. Il a gagné, pour cette fois il a gagné, oh dieu, qu’il n’a pas la moindre idée à quel point il a gagné … Elle s’enroule autour de lui, embrasse ses lèvres avec une fureur de vivre. Elle est fiévreuse de lui. Elle le possède enfin et ça lui parait trop fou. Pourtant ses canines ne cesse de lui meurtrir les lèvres, pour lui faire payer son petit jeu avec Blondie. Parce que la rage et la jalousie de Bae est égale à sa fureur. Elle est possessive, terriblement amoureuse et ça lui est cruellement interdit. Elle soupire contre ses lèvres avec plus d’envie et vient chercher son bassin du sien. Leur corps bien que collé ne sont encore pas assez près. Elle le veut, si fort, qu’un feu incandescent les coupe du monde.
Soudain un froid vif, piquant, rageant lui font ouvrir les yeux. Gabriel vient de soulever Kan et le maintien d’une clé de bras, loin de Bae. Elle souffle, réalisant que Kan se tient à quelques pas d’elle sans pouvoir le toucher. Ses jambes lâches brusquement et elle tombe au sol, la lèvre en sang sans savoir si c’était le sien ou celui de Kan. Elle papillonne des yeux, reprends son souffle, calme ses esprits qui fonctionnent à vive allure. Elle fronce le nez sans entendre les voix lointaines pourtant si proches qui résonnent en écho dans sa tête. Elle croise le regard de son chien d’la casse et réalise que c’est trop peu pour eux. Elle se relève si lentement, tout du moins c’est l’impression que son corps terriblement lourd lui donne. Elle gémit, se tient debout et devient animal. Plus animal encore. Elle se jette sur Gabriel pour qu’il lâche Kan. Elle l’entend les engueuler, leur dire se calmer, mais elle ne comprend pas les mots, le sens. Comment pourraient-ils calmer leur cœur agités ? Elle attrape Kan par la main et le fait fuir avec elle à l’étage, le poussant contre le mur pour attraper ses lèvres avec passion. Les cris, les protestations d’en bas ne les atteignent plus. Elle souffle, le cherche. Leur baiser est rempli de passion, d’amertume. Elle l’embrasse, chercher ses lèvres, entrechoque leurs dents alors que leur langue se trouve. Elle brûle pour lui. Elle meurt pour lui. S’en rend-t-il compte ? Elle doit lui prouver ? Alors elle le fera. Elle saute pour enrouler ses jambes autour des hanches de Kan et vient l’embrasser, impatiente, maladroite, pleine de désire. « T’es à moi connard » quel geint douloureusement, tendrement. Et l’insulte pour cacher le mot d’amour.
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Jeu 4 Mai - 21:20 Citer EditerSupprimer
Love me like you hurt me
Let's burning into our rage
Sa femme-démon ✧ Son chien d'la casse
si sauvagement occupés à se pousser loin l'un de l'autre qu'ils en oublient à quel point ils sont attirés. C'est comme si à chaque regard, à chaque remarque, à chaque caresse volée dans un mélange d'envie, d'amour et de douleur, ils s'enchaînent un peu plus. à l'autre, à ce douloureux besoin vital d'être à l'un. Et dieu que c'est bon, et qu'il est si divinement bon que de s'allier à l'enfer. Et ils se détruisent. se mordent. s'enroulent et s'enchaînent. pleurent un peu, kan aussi peut-être un peu. si peu pour éteindre ce feu ardent.
Le chien d'la casse la laisse bouger, mouver contre lui, à en gémir à en grogner, ils s'enlacent, s'embrasent, s'embrassent. Et pourtant tout est si brutal, qui ose me l'enlever, qu'il s'dit, qui ose nous séparer. Il est retenu vers l'arrière si fortement que ça l'fait même cracher du sang à appuyer comme ça sur son cou, à l'empêcher de respirer, d'sentir le parfum de sa damnée. Et il s'débat, le chien, envoie les poings. Et son regard, vissé au sol sur le corps tremblant de bo bae. Ils s'engueulent, avec gabriel, y'as peut-être moyen qu'il lui ai cassé le nez, qu'il aurait pu l'flinguer s'il avait sur lui quelque chose pour l'faire cané. Et kan visse son regard dans celui de bobae. ils sont si sauvages, qu'ils se bouffent du regard. un mélange de fureur, de terreur. me lâche pas me laisse pas, prend moi sauve moi, tue moi, t'es bien la seule qui y arriverait de toute façon. Mais pourtant, oh sa démonne réagit avec l'énergie d'une furie. oh sa douce folie qui les arrachent tout deux à cette séparation. C'est électrisant putain, cette fougue dans leur gestes et cette impulsivité.
ils ont tant besoin de se toucher, se voir se sentir, ils peuvent plus s'mentir. Le garçon glisse ses mains sur les fesses de sa damnée. Il sourit. un sourire carnassier. oh qu'ils sont possessifs l'un envers l'autre. ça l'fait frissonner. redit le. prouve le. déglingue l'univers tout entier. et malgré tout leur amour, kan grogne contre ses lèvres, ancre son regard dans l'siens. « ta gueule. » Kan la presse contre lui pendant quelques pas pour entrer enfin dans une chambre. pas la peine de vérifier si y'as quelqu'un, y partira de toute façon. Le dos de bae se plaque avec violence contre la porte qu'il viens de fermer, les lèvres de kan dérivent sur son cou avec trop d'amour trop d'passion, son bassin la collant au mur il glisse ses mains sous son haut et le lui enlève dans la foulée, découvrant sa peau dénudée qui s'gêne plus pour croquer. « redis le. » leur deux corps cognent contre le meuble avant de terminer sur le lit ou le corps de kan accompagne celui de bae sans jamais la lâcher, sans jamais ralentir leur alchimie. ça fait tellement longtemps qu'ils se privent qu'ils s'en brûlent. « c'est finis tu te casses plus jamais. » qu'il marmonne contre la peau de bae, embrassant la ligne verticale de sa nuque jusqu'à son nombril, soupirant contre sa peau si chaude.
Le chien d'la casse la laisse bouger, mouver contre lui, à en gémir à en grogner, ils s'enlacent, s'embrasent, s'embrassent. Et pourtant tout est si brutal, qui ose me l'enlever, qu'il s'dit, qui ose nous séparer. Il est retenu vers l'arrière si fortement que ça l'fait même cracher du sang à appuyer comme ça sur son cou, à l'empêcher de respirer, d'sentir le parfum de sa damnée. Et il s'débat, le chien, envoie les poings. Et son regard, vissé au sol sur le corps tremblant de bo bae. Ils s'engueulent, avec gabriel, y'as peut-être moyen qu'il lui ai cassé le nez, qu'il aurait pu l'flinguer s'il avait sur lui quelque chose pour l'faire cané. Et kan visse son regard dans celui de bobae. ils sont si sauvages, qu'ils se bouffent du regard. un mélange de fureur, de terreur. me lâche pas me laisse pas, prend moi sauve moi, tue moi, t'es bien la seule qui y arriverait de toute façon. Mais pourtant, oh sa démonne réagit avec l'énergie d'une furie. oh sa douce folie qui les arrachent tout deux à cette séparation. C'est électrisant putain, cette fougue dans leur gestes et cette impulsivité.
ils ont tant besoin de se toucher, se voir se sentir, ils peuvent plus s'mentir. Le garçon glisse ses mains sur les fesses de sa damnée. Il sourit. un sourire carnassier. oh qu'ils sont possessifs l'un envers l'autre. ça l'fait frissonner. redit le. prouve le. déglingue l'univers tout entier. et malgré tout leur amour, kan grogne contre ses lèvres, ancre son regard dans l'siens. « ta gueule. » Kan la presse contre lui pendant quelques pas pour entrer enfin dans une chambre. pas la peine de vérifier si y'as quelqu'un, y partira de toute façon. Le dos de bae se plaque avec violence contre la porte qu'il viens de fermer, les lèvres de kan dérivent sur son cou avec trop d'amour trop d'passion, son bassin la collant au mur il glisse ses mains sous son haut et le lui enlève dans la foulée, découvrant sa peau dénudée qui s'gêne plus pour croquer. « redis le. » leur deux corps cognent contre le meuble avant de terminer sur le lit ou le corps de kan accompagne celui de bae sans jamais la lâcher, sans jamais ralentir leur alchimie. ça fait tellement longtemps qu'ils se privent qu'ils s'en brûlent. « c'est finis tu te casses plus jamais. » qu'il marmonne contre la peau de bae, embrassant la ligne verticale de sa nuque jusqu'à son nombril, soupirant contre sa peau si chaude.
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