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A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Lun 15 Mai - 20:20 Citer EditerSupprimer
Love me like you hurt me
Let's burning into our rage
Sa femme-démon ✧ Son chien d'la casse
Elle n’arrive plus à réfléchir, elle n’en a plus envie. Elle réfléchit depuis bien trop longtemps, à s’en crever le cœur, à s’en empêcher de vivre. Elle se prive de lui Bae. Elle se prive de sa peau, de ses gestes, de son regard. Elle se prive de ses bras. Parce que c’est mieux comme ça. Mieux pour tout le monde ? Vraiment ? Bae elle a l’impression que tout le monde crève dans cette histoire, elle la première. Elle ne sait plus à quel moment elle a été l’égoïste de l’histoire, ni à quel moment elle s’est senti aussi meurtri. Elle l’aime. Lui et lui. Rien ne sera plus comme avant, elle l’a su à l’instant où elle a croisé le regard de Kan il y a des années de ça. Ne sont-ils pas fou de rester si près l’un de l’autre depuis tout ce temps ? A se déchirer, à s’aimer, se détester. Non sans jamais se détester. A se désirer. A vouloir s’en posséder si fort qu’elle en mouillait les draps la nuit de sueur. Elle lutte contre elle, contre son corps ; son cœur. Elle s’est longtemps résonné par amour pour Shin mais ça devenait trop douloureux. Trop insupportable. Ça devenait invivable. Bae elle pouvait plus vivre comme ça, sans lui, sans ses bras. Elle ne sait pas jusqu’où ils iront. Elle ne sait même pas si elle sera capable de tenir la distance. Mais elle l’aime. A sa façon, à leur façon : férocement, avidement, pleinement. Elle se bat pour lui, elle se bat contre lui. Elle se bat de ne pas pouvoir l’aimer, elle se bat de pouvoir le posséder. Elle a besoin de lui, pourquoi est-ce si cruel à accepter ?
Leur corps qui cogne conte le meuble elle ne le remarque même pas. Elle s’assure de la chaleur de ses bras, et de ne jamais s’éloigner de lui trop longtemps … Elle tombe sur ce lit. La fin du monde ne pourra pas les arrêter, elle s’en persuade. Elle gémit, d’impatience et d’envie. Elle gémit et griffe sa peau, la lacère de ses ongles, elle le marque de sa trace. Il est à elle et Bae s’arrange pour que tout le monde puisse le savoir. Elle n’a pas envie de lui faire mal, mais elle ne sait comment exprimer la folie qui explose en elle. C’est toute la fureur de ses sentiments qui éclate. Elle ferme les yeux, se noie sous ses baisers et prie pour mourir si heureuse. Elle perd ses deux mains dans les cheveux de Kan, s’y cramponne, appuie sur sa tête pour l’accompagner dans ses baisers qu’il dessine sur sa peau. Elle rentre le ventre, sensible. Elle frissonne, se cambre, oublie les douleurs qu’on a infligé à son corps. Elle oublie le déchirement qu’elle a ressenti. Elle ne garde en souvenir que la sensation des lèvres humides de Kan sur sa peau. Redis-le. Dans un souffle déchirant, triste, douloureux, amoureux, elle lui redit « T’es à moi Kan … A moi … »
Elle sait qu’il sera le seul à la comprendre, à comprendre la torture que c’est d’être si près de lui et si loin. Elle l’attire à elle et glisse ses lèvres sur les siennes. Maintenant qu’elle se donne enfin le droit de l’embrasser elle ne veut plus s’en priver. C’est trop bon, trop eux. Elle gémit. L’embrasse tendrement, pressante aussi. C’est déchirant cette intensité qui les unit … elle soulève ses cuisses pour les ancrer à ses hanches et souffle « Viens Kan … fait moi l’amour … je t’en supplie … » ses gémissements sont pressant, elle le veut. Si fort … Elle s’agrippe à sa nuque et croise son regard, première fois depuis qu’elle s’est jeté sur lui dans ce couloir. Leur premier moment de lucidité … assez pour qu’ils réalisent qu’ils sont à moitié nus dans un lit à s’embrasser et se désirer avec passion …
© Starseed
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Re: A DOUBLE CUP TO FORGET x BAEKAN ♥ | Ven 26 Mai - 10:51 Citer EditerSupprimer
Love me like you hurt me
Let's burning into our rage
Sa femme-démon ✧ Son chien d'la casse
ils sont si férocement accrochés l'un à l'autre que l'air dans la pièce les oppressent, ils ont le souffle si court qu'ils pourraient en crever. et la sensation de son corps si près du siens, si ancrés contre lui le fait gronder, gémir, aimer un peu plus chaque instant de cette folie qu'ils partagent enfin. Ils n'ont envie que d'une chose : que l'univers entier sache enfin qu'ils s'appartiennent. Et leur corps qui frottent avec plaisir et supplice, encore trop habillés. kan glisse ses mains sur les hanches de bae, gémit de ses mouvements contre lui, dévore sa peau de ses lèvres, la mord pour que chacun sache qu'elle est à lui, autant qu'il est à elle.
ils sont si fous, l'un contre l'autre, l'un de l'autre. Et ils se regardent enfin, leur bassins pressés l'un contre l'autre. Et ils se regardent enfin et seule elle sait à quel point l'amour se mélange à la folie dans son regard. Elle est bien la seule depuis tant d'années à y avoir accès. Elle est bien la seule depuis des années à y voir cette douceur, cet amour caché sous toute cette colère, cette folie. Oh qu'ils sont enivrés. Mais dans leur élan de lucidité, kan desserre un peu son emprise, n'hésite pas, oh ça jamais, mais prend le temps de l'observer. Il ancre son regard dans le siens si profond, leur respirations haletantes qui ne se calment pas mais pourtant, pourtant elle sais à quoi il pense. Alors kan glisse doucement ses lèvres au coin de la bouche de bobae, sans jamais quitter son regard, son bassin se presse à nouveau contre elle. Ils n'ont envie que d'une chose : enfin s'appartenir. Et il sourit parce qu'il à attendu cette phrase pendant trop d'années.
La garçon glisse ses doigts le long de sa peau, glisse ses doigts entre le tissus et son corps si enivrant, relève la bassin assez pour la déshabiller, l'observer se cambrer, aimer ce besoin qu'elle à de l toucher, le sentir le voir, l'aimer. Et il l'aime putain, il le sait, elle le sait. Et ils s'aiment putain mais ont-ils le droit d'en profiter ? le chien de la casse viens embrasser la peau de bae et laisse sa main glisser vers ses cuisses, vers son entrejambe qu'il caresse sans la quitter du regard. Et putain qu'elle est à lui, qu'il est à elle. Et la toucher lui procure un plaisir indescriptible, eux qui se sont tant damnés. Et même s'ils sont si pressés, kan n'as pas oublié la douleur qu'il à lu dans le regard de bobae ces derniers mois, il n'as pas oublier sa souffrance et à quel point elle à pleurer. Alors même s'ils sont si désireux l'un de l'autre, même s'il était si sauvage il y a à peine deux minutes, ses gestes, bien que pressés, sont plus doux. Il sourit contre ses lèvres, contre sa peau, jouant de ses doigts pour l'entendre gémir, la sentir se cambrer, en demander toujours plus. Alors seulement dans cette envie pressente qu'il est oppresse, il se redresse et fait glisser jean et caleçon au bout du lit. Et leur deux corps comme une promesse.
ils sont si fous, l'un contre l'autre, l'un de l'autre. Et ils se regardent enfin, leur bassins pressés l'un contre l'autre. Et ils se regardent enfin et seule elle sait à quel point l'amour se mélange à la folie dans son regard. Elle est bien la seule depuis tant d'années à y avoir accès. Elle est bien la seule depuis des années à y voir cette douceur, cet amour caché sous toute cette colère, cette folie. Oh qu'ils sont enivrés. Mais dans leur élan de lucidité, kan desserre un peu son emprise, n'hésite pas, oh ça jamais, mais prend le temps de l'observer. Il ancre son regard dans le siens si profond, leur respirations haletantes qui ne se calment pas mais pourtant, pourtant elle sais à quoi il pense. Alors kan glisse doucement ses lèvres au coin de la bouche de bobae, sans jamais quitter son regard, son bassin se presse à nouveau contre elle. Ils n'ont envie que d'une chose : enfin s'appartenir. Et il sourit parce qu'il à attendu cette phrase pendant trop d'années.
La garçon glisse ses doigts le long de sa peau, glisse ses doigts entre le tissus et son corps si enivrant, relève la bassin assez pour la déshabiller, l'observer se cambrer, aimer ce besoin qu'elle à de l toucher, le sentir le voir, l'aimer. Et il l'aime putain, il le sait, elle le sait. Et ils s'aiment putain mais ont-ils le droit d'en profiter ? le chien de la casse viens embrasser la peau de bae et laisse sa main glisser vers ses cuisses, vers son entrejambe qu'il caresse sans la quitter du regard. Et putain qu'elle est à lui, qu'il est à elle. Et la toucher lui procure un plaisir indescriptible, eux qui se sont tant damnés. Et même s'ils sont si pressés, kan n'as pas oublié la douleur qu'il à lu dans le regard de bobae ces derniers mois, il n'as pas oublier sa souffrance et à quel point elle à pleurer. Alors même s'ils sont si désireux l'un de l'autre, même s'il était si sauvage il y a à peine deux minutes, ses gestes, bien que pressés, sont plus doux. Il sourit contre ses lèvres, contre sa peau, jouant de ses doigts pour l'entendre gémir, la sentir se cambrer, en demander toujours plus. Alors seulement dans cette envie pressente qu'il est oppresse, il se redresse et fait glisser jean et caleçon au bout du lit. Et leur deux corps comme une promesse.
© Starseed
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