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dry your tears ft. Tamalympe ♥
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Dim 5 Fév - 12:26 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Olympe ▬ TamaLympe ♥
C'était quand je la regardais que je comprenais tout, que tout rentrait dans l'ordre. Je nous revoyais quelques mois auparavant, au safari, et alors qu'elle était toute excitée à l'idée de faire ma connaissance, je la regardais déjà avec admiration. Qu'elle était belle. Pourtant, j'avais réussi à faire abstraction de tout ça et me prêter au jeu de l'élève et du coach pour apprendre un peu plus le fonctionnement des filles. Et ça m'a servi, j'avais même commencé à m'intéresser à une fille rencontrée au bar, Mi Ree, à développer des sentiments nouveaux pour elle mais rien de comparable à ce que je ressentais pour Olympe. Est-ce que c'était ses mimiques, son amour profond pour la nourriture et les manga, sa façon de s'extasier devant le moindre truc? Je n'aurais jamais cru qu'une fille comme elle puisse me plaire mais c'était un tout. Olympe était belle, quoiqu'elle faisait et même au naturel, la journée ou le soir. Les gens ont toujours cru à une soeur jumelle, mais pas moi. Moi, je savais qu'elle était la même personne et peut-être que c'était parce que j'avais su tout de suite la reconnaître que j'avais compris qu'elle n'était pas n'importe qui. Que j'la connaissais un peu trop bien au final.
J'admirai sa peau, éclairée à la lumière du soleil couchant, tandis que mon pouce passa doucement sur son menton dans un geste tendre, geste accompagné d'un sourire. A présent, il fallait mettre des paroles, des mots sur ce que je ressentais et si possible lui faire comprendre clairement qu'il n'y en aura pas d'autre. C'était elle ou rien. Les cours s'arrêteraient là pour nous deux parce que j'estimais maintenant qu'elle n'avait plus d'autres filles à me présenter si ce n'était elle et elle seule. Alors, avec quelques mots, je parvins à lui exprimer aisément ce que j'avais sur le coeur. Sa réaction ne se fit pas attendre. Elle semblait ne pas comprendre ce qui lui arrivait. Ce qui me fit sourire d'avantage. Je pus même deviner une larme se former au coin de son oeil. Alors j'avais donc vu juste? Olympe en pinçait pour moi aussi depuis tout ce temps et je m'amusais, sous ses yeux, à me chercher une copine? Voilà pourquoi c'était à moi de faire le premier pas aujourd'hui, et non à elle. J'avais des choses à me faire pardonner.
Elle se mit à bégayer. Je ne dis rien, je lui laissais le temps de trouver ses mots. Et bien que ce fut difficile, elle parvint enfin à articuler quelques paroles claires pour moi. Une question, plutôt. Elle avait du mal à croire à ce que je venais de lui dire. Pourtant, c'était bien là, sous ses yeux. Je venais de lui ouvrir mon coeur après tant de temps à se fréquenter en parfait amis. Perdu encore dans ses yeux, je finis par acquiescer plusieurs fois pour répondre à sa question, avant de reprendre la parole après qu'un long silence se soit installé entre nous. Ouais... confessai-je dans un souffle. Mon pouce vint caresser son menton. Ouais. Ma main quitta son menton pour venir attraper doucement sa main. Je tirai doucement dessus pour l'inciter à se lever et à se mettre debout, face à moi, et à ce moment là, je viens dégager ses cheveux qui cachaient un peu son visage, pour les mettre en arrière, un sourire béat, rêveur. J'y connais rien à l'amour mais si c'est être heureux et épanoui aux côtés d'une seule personne, alors je commence à comprendre. et je plongeais mon regard dans le sien. Après une longue hésitation, mes mains vinrent se placer sur ses joues. Je suis désolé si je t'ai fait souffrir. la larme formée au coin de son oeil dévala sa joue, mais avec mon pouce, je vins l'essuyer. Non ça, c'était interdit dorénavant. Je ne voulais plus jamais la voir verser une seule larme pour moi.
J'admirai sa peau, éclairée à la lumière du soleil couchant, tandis que mon pouce passa doucement sur son menton dans un geste tendre, geste accompagné d'un sourire. A présent, il fallait mettre des paroles, des mots sur ce que je ressentais et si possible lui faire comprendre clairement qu'il n'y en aura pas d'autre. C'était elle ou rien. Les cours s'arrêteraient là pour nous deux parce que j'estimais maintenant qu'elle n'avait plus d'autres filles à me présenter si ce n'était elle et elle seule. Alors, avec quelques mots, je parvins à lui exprimer aisément ce que j'avais sur le coeur. Sa réaction ne se fit pas attendre. Elle semblait ne pas comprendre ce qui lui arrivait. Ce qui me fit sourire d'avantage. Je pus même deviner une larme se former au coin de son oeil. Alors j'avais donc vu juste? Olympe en pinçait pour moi aussi depuis tout ce temps et je m'amusais, sous ses yeux, à me chercher une copine? Voilà pourquoi c'était à moi de faire le premier pas aujourd'hui, et non à elle. J'avais des choses à me faire pardonner.
Elle se mit à bégayer. Je ne dis rien, je lui laissais le temps de trouver ses mots. Et bien que ce fut difficile, elle parvint enfin à articuler quelques paroles claires pour moi. Une question, plutôt. Elle avait du mal à croire à ce que je venais de lui dire. Pourtant, c'était bien là, sous ses yeux. Je venais de lui ouvrir mon coeur après tant de temps à se fréquenter en parfait amis. Perdu encore dans ses yeux, je finis par acquiescer plusieurs fois pour répondre à sa question, avant de reprendre la parole après qu'un long silence se soit installé entre nous. Ouais... confessai-je dans un souffle. Mon pouce vint caresser son menton. Ouais. Ma main quitta son menton pour venir attraper doucement sa main. Je tirai doucement dessus pour l'inciter à se lever et à se mettre debout, face à moi, et à ce moment là, je viens dégager ses cheveux qui cachaient un peu son visage, pour les mettre en arrière, un sourire béat, rêveur. J'y connais rien à l'amour mais si c'est être heureux et épanoui aux côtés d'une seule personne, alors je commence à comprendre. et je plongeais mon regard dans le sien. Après une longue hésitation, mes mains vinrent se placer sur ses joues. Je suis désolé si je t'ai fait souffrir. la larme formée au coin de son oeil dévala sa joue, mais avec mon pouce, je vins l'essuyer. Non ça, c'était interdit dorénavant. Je ne voulais plus jamais la voir verser une seule larme pour moi.
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Dim 5 Fév - 16:45 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi en penser. Tout semble si irréaliste que je me perds dans ma profondeur de ce qu'il se passe. Comment est-ce possible ? Comment est-ce que Tamaki peut avoir l'envie de m'avoir à ses côtés ? Pourquoi moi ? Il a tellement de possibilités, tellement d'autres femmes qui se feraient un plaisir d'être à ses côtés, alors pourquoi moi ? Moi qui suis gourmande, qui m'habille souvent mal, moi qui m'en fous de tout, qui ais parfois des réactions étranges, telle une folle sortant d'un asile, celle que personne ne désire avoir car bien trop bizarre selon eux, moi qui ne suis qu'un coach pour lui,ou qui n'étais qu'un coach. Comment peut-il savoir qu'il me veut moi et pas une autre ? A t-il bien pensé à ce qu'il vient de me dire ? Est-ce une certitude ? Est-ce qu'il va encore me vouloir en étant plus avec moi ? Est-ce que cela n'est pas prendre le risque de le perdre totalement ? Et si finalement il se lasse de moi ? Et si finalement il ne veut plus de moi, tout court ? Et si . . . mais je me pose sûrement trop de questions. J'ai peut-être trop de pensées, et je n'ai pas à tant m'inquiéter. Ne puis-je pas profiter de cette révélation, de cette confession ? Ne puis-je pas être comme toutes les autres à s'émerveiller, et sauter de partout ? Pourquoi dois-je ressentir une inquiéter ? Pourquoi dois-je avoir le sentiment que tout n'est que mirage ? Que ce n'est qu'un rêve douloureux mais plaisant ? Je crois que c'est ma véritable inquiétude au final. J'ai peur de me réveiller et de constater que tout n'est que rêve et illusion. Mais je ne veux pas. Je veux rester dans ce rêve à jamais et pour toujours. Néanmoins, pour le moment tout semble réel et encore plus quand il confirme que je suis bien plus pour lui, faisant voler mon cœur à des kilomètres du ciel. Tout en haut, descendant parfois brusquement, telles les montagnes russes. Il me pousse à me mettre debout, en prenant ma main et en la tirant en avant, ce que je fais rapidement, intimidée, ne sachant pas où me mettre, et ayant quelques difficultés à le regarder dans les yeux. Je me mords nerveusement la lèvre lorsqu'il me dit la chose la plus, certainement, belle au monde, touchant mon cœur de plein fouet. C'est tellement beau que j'en perds mon langage et ma respiration, hoquetant soudainement sous l'effet de l'émotion. « Oppa . . . », j'avale difficilement ma salive, ma lèvre se mettant soudainement à trembler. Je finis alors par craquer, me mettant brusquement à verser plusieurs larmes. Je ne sais pas si c'est parce que je me sens soulagée ou si c'est la joie qui me fait tant pleurer. Je ne saurai déterminer la source de ces soudaines larmes que je tente de cacher, avec difficulté. Je les essuie plusieurs fois de plusieurs revers de main, « désolée . . . ce n'est pas ce que tu penses mais . . . », comment lui dire que je suis heureuse de savoir que mes sentiments sont réciproques. Comment lui dire que je me sens soulagée, soulagée de pouvoir m'exprimer sans avoir la crainte de le perdre. Comment lui dire que pour moi aussi il est bien plus qu'il ne l'a été ? Que ma rencontre avec lui, en Afrique, a sûrement marqué ma vie, à jamais. Je finis par prendre une inspiration, pour cesser mes larmes, mon regard s'en allant jusqu'au sien. « Je ne suis pas triste. Je suis heureuse. Je suis même trop heureuse. Je. . . C'est tellement . . . Je ne pensais pas que tu pouvais aussi . . . ». Je me perds dans les mots, rougissant brusquement devant tant de stupidité, et de timidité. Moi qui d'ordinaire suis très expressive, me voilà prise dans l'impossibilité de m'exprimer correctement. Je rigole légèrement, gênée. « J'ai l'impression de ressembler à une idiote comme ça. Désolée Tama . . . ». Il doit sûrement me prendre pour une débile.
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Lun 6 Fév - 18:01 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Olympe ▬ TamaLympe ♥
Je ne suis pas devin, ni télépathe, mais je percevais, à travers son regard, qu’elle était perdue et qu’elle en savait pas trop si j’étais sérieux ou si je plaisantais. Mais j’espérais qu’elle me connaisse assez pour comprendre tout de suite que ce n’était pas mon style de jouer avec les sentiments d’une fille, surtout les siens. Que si je venais de lui ouvrir mon coeur, c’était pour de vrai, rien de tout ça n’était faux, n’était pas un rêve non plus. Elle avait besoin d’être aidée pour réaliser que c’était bien réel. Alors j’essayais de la faire revenir sur Terre avec quelques gestes pour appuyer mes paroles, des gestes doux, tendres. Certes, elle n’avait rien des filles basiques de nos jours à s’attarder sur ses tenues du jour et son maquillage ou ses manières, à faire attention aux détails et pourtant, c’était elle que j’avais choisi, sans être sûr être son choix, mais au moins, j’avais eu le cran de lui dire le fond de ma pensée et rien qu’en faisant ça, je me sentais déjà bien. Courageux.
Une larme coula sur sa joue, puis deux, puis trois et ainsi de suite. Je passai alors mes pouces pour les sécher, un sourire aux lèvres alors que je la regardais. Je savais bien que ce n’était pas la tristesse qui la faisait pleurer, que c’était la joie, de la joie pure. Alors, quand elle commença à s’excuser, je ne pus m’empêcher de froncer les sourcils un peu perdu, inquiet même de ce qui allait suivre. Un silence suivit, silence durant lequel je me contentai de la regarder. Quand elle reprit la parole, elle m’expliqua qu’elle était heureuse, et qu’elle avait simplement du mal à y croire. J’avais donc vu juste. Je n’étais plus un débutant en matières de sentiments, de filles et de tout le tralala. Ce qui me rassura, normal. Mais Olympe était tellement confuse, il fallait qu’elle reprenne ses esprits. Je secouai lentement la tête en la regardant dans les yeux, les mains toujours sur son visage, alors qu’elle se mit à rire. Je ris doucement à mon tour et approcha doucement mon front pour le coller contre le sien. Elle était heureuse, j’étais heureux, je ne pouvais rien désirer de plus. Rien que de la voir sourire et rire, radieuse, me donnait des ailes, me faisait sentir léger et rassuré. Il n’y avait plus aucune importance pour le reste. Non t'es juste chamboulée, c'est tout. déclarai-je, sur un ton plaisantin, avant de sourire de plus belle, dévoilant ma dentition. Mes doigts de la main droite vinrent caresser sa nuque avec tendresse, avant que je finisse par redresser la tête et de passer un bras derrière ses épaules, pour la ramener contre moi. Mon autre bras vint se placer au même endroit et ainsi, je la gardai contre moi un moment, fermant les yeux. Quelle douce sensation que de la sentir près de moi et de pouvoir la serrer dans mes bras, de lui donner le réconfort qu’elle cherchait depuis le jour où les doutes l’avaient envahi. Et puis, voilà pour elle l’occasion de laisser échapper toutes ses larmes. Désormais, elle avait mon épaule pour pleurer, mon oreille pour gueuler et se plaindre, ou se confier. Je la sentis s’agripper à mon polo, et j’esquissai un sourire, tournant doucement le visage pour venir sentir le parfum de ses cheveux.
Après ce petit instant, je finis par la reculer légèrement afin de la regarder. T'es pas obligée de me donner une réponse maintenant. Je voulais juste que... je baissai les yeux un instant, pensif, avant de reprendre la parole. Que tu le saches. C'est tout... Aie, je me sentais drôlement gêné maintenant que j'avais passé ce cap là. J'allais faire quoi maintenant, hein? Je ne pouvais pas m'enfuir, pas maintenant, Olympe me clouerait sûrement les pieds pour empêcher que je parte. Au final Mi Ree avait raison d'être jalouse, oui, parce qu'elle avait bien compris ce qui se passait sous ses yeux. Ca m'a paru clair l'autre soir... En boite... Je me sentais différent avec toi. C'était les sentiments qui m'avaient changé, clairement. J'ai compris que ce que je ressens pour toi je le ressentirai pas pour une autre.
Une larme coula sur sa joue, puis deux, puis trois et ainsi de suite. Je passai alors mes pouces pour les sécher, un sourire aux lèvres alors que je la regardais. Je savais bien que ce n’était pas la tristesse qui la faisait pleurer, que c’était la joie, de la joie pure. Alors, quand elle commença à s’excuser, je ne pus m’empêcher de froncer les sourcils un peu perdu, inquiet même de ce qui allait suivre. Un silence suivit, silence durant lequel je me contentai de la regarder. Quand elle reprit la parole, elle m’expliqua qu’elle était heureuse, et qu’elle avait simplement du mal à y croire. J’avais donc vu juste. Je n’étais plus un débutant en matières de sentiments, de filles et de tout le tralala. Ce qui me rassura, normal. Mais Olympe était tellement confuse, il fallait qu’elle reprenne ses esprits. Je secouai lentement la tête en la regardant dans les yeux, les mains toujours sur son visage, alors qu’elle se mit à rire. Je ris doucement à mon tour et approcha doucement mon front pour le coller contre le sien. Elle était heureuse, j’étais heureux, je ne pouvais rien désirer de plus. Rien que de la voir sourire et rire, radieuse, me donnait des ailes, me faisait sentir léger et rassuré. Il n’y avait plus aucune importance pour le reste. Non t'es juste chamboulée, c'est tout. déclarai-je, sur un ton plaisantin, avant de sourire de plus belle, dévoilant ma dentition. Mes doigts de la main droite vinrent caresser sa nuque avec tendresse, avant que je finisse par redresser la tête et de passer un bras derrière ses épaules, pour la ramener contre moi. Mon autre bras vint se placer au même endroit et ainsi, je la gardai contre moi un moment, fermant les yeux. Quelle douce sensation que de la sentir près de moi et de pouvoir la serrer dans mes bras, de lui donner le réconfort qu’elle cherchait depuis le jour où les doutes l’avaient envahi. Et puis, voilà pour elle l’occasion de laisser échapper toutes ses larmes. Désormais, elle avait mon épaule pour pleurer, mon oreille pour gueuler et se plaindre, ou se confier. Je la sentis s’agripper à mon polo, et j’esquissai un sourire, tournant doucement le visage pour venir sentir le parfum de ses cheveux.
Après ce petit instant, je finis par la reculer légèrement afin de la regarder. T'es pas obligée de me donner une réponse maintenant. Je voulais juste que... je baissai les yeux un instant, pensif, avant de reprendre la parole. Que tu le saches. C'est tout... Aie, je me sentais drôlement gêné maintenant que j'avais passé ce cap là. J'allais faire quoi maintenant, hein? Je ne pouvais pas m'enfuir, pas maintenant, Olympe me clouerait sûrement les pieds pour empêcher que je parte. Au final Mi Ree avait raison d'être jalouse, oui, parce qu'elle avait bien compris ce qui se passait sous ses yeux. Ca m'a paru clair l'autre soir... En boite... Je me sentais différent avec toi. C'était les sentiments qui m'avaient changé, clairement. J'ai compris que ce que je ressens pour toi je le ressentirai pas pour une autre.
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Mer 8 Fév - 11:27 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
Je me sens tellement stupide à pleurer de la sorte, pour si peu. Pourtant, des déclarations j'en ai déjà eu, parfois sans réelle importance, et parfois avec une once de véritables sentiments. Malgré tout je n'ai eu qu'un véritable petit ami avec qui, certes, cela a duré mais a fini par prendre la voie de la finalité. Je n'avais jamais pleuré en sa compagnie, pas comme ça, pas pour si peu. J'avais fait couler quelques larmes mais seulement lors de notre séparation, rien de plus. Mais aujourd'hui,il y a quelque chose de différent. Ce n'est pas la même chose, ce n'est pas la même déclaration. Je me sens autrement, certainement plus heureuse, avec en prime du soulagement. J'ai le sentiment de revivre, de respirer de nouveau, d'enlever un énorme poids sur mes épaules. Je me sens plus légère, telle une plume volant au grès du vent. Je n'en reste pas moins idiote à réagir de la sorte. Il paraît que l'amour a tendance à nous rendre stupide, je peux enfin confirmer de tels propos. Je le ressens actuellement. Et je m'en veux d'un tel comportement si puéril, craignant que Tamaki me prenne pour une fille bien trop sensible, sans une once d'intelligence. Ce n'est pas ça. Il ne doit pas penser ainsi. Je suis juste sensible à ses mots, à ses actes. C'est tout . . . Fort heureusement, je suis rassurée de voir qu'il semble entendre ma faiblesse survenue à cause de sa déclaration. Il ne semble pas, encore, me rejeter, à cause de mes comportements enfantins. J'esquisse un bref sourire, le remerciant d'avoir une telle réaction, me permettant de souffler et de me dire qu'il me comprend, un peu. Je me sens alors attirée vers lui, sentant cette chaleur soudaine au creux de mon ventre, y laissant quelques papillonnements, tout comme un cœur s'affolant brusquement. Doucement mes mains s'avancent jusqu'à son dos, attrapant délicatement son polo, me sentant alors en sécurité dans ses bras et à l'aise. J'inspire profondément, fermant quelques secondes les yeux pour profiter de ce moment unique dans ses bras. J'ai réellement le sentiment de vivre un rêve éveillé. Je veux rester ainsi à jamais, dans ses bras à jamais. J'ai enfin le droit d'en profiter moi aussi, de sentir son parfum m'enivrant, de caresser sa peau du bout de mes doigts, de l'avoir contre moi juste quelques secondes. Je peux lui demander de rester à mes côtés désormais, d'être avec moi. Sans les autres. Sans avoir la crainte vis à vis des autres femmes.
Malheureusement, il s'éloigne légèrement de moi, me laissant soudainement dans le froid, démunie de sa présence. Je lève les yeux vers lui, écoutant ce qu'il a à me dire, surprise d'entendre qu'il a compris tout ça depuis la dernière fois. Depuis ce fameux soir. Moi aussi j'ai le sentiment que c'est à partir de ce moment que mon cœur a compris. A compris qu'il l'aimait, bien plus que je ne pouvais le croire. Qu'il le voulait, bien plus que je ne semblais le voir. Je crois qu'au final, tous les deux, nous avons été bien trop aveuglés. Il a suffi qu'une autre femme intervienne, il a suffi de cette fameuse soirée, pour nous faire ouvrir les yeux sur la vérité. Pour nous faire comprendre ce qui était pourtant devant nos yeux. Il a fallu de toutes ces choses pour qu'on ne soit plus aveuglés, comprenant respectivement nos sentiments pour l'un et pour l'autre. Et s'il n'y avait pas eu cette soirée, et s'il n'y avait pas eu cette fille, aurait-on remarqué tout ça ? Aurai-je compris que je l'aimais ? Je ne sais pas . . . peut-être que d'autres choses seraient intervenues pour nous. J'inspire profondément, et prends mon courage à deux mains. Il est temps que je lui prouve que moi aussi je tiens à lui et que je n'ai pas besoin d'attendre pour lui répondre. « Je sais déjà ma réponse » dis-je en baissant les yeux, sentant le rouge me monter aux joues. « Au début . . . je ne voulais pas me l'avouer. J'ai préféré me cacher, essayant de trouver d'autres raisons à mes réactions démesurées. Parce que je ressentais de la jalousie, mais aussi j'enviais Mi Ree. J'ai nié pendant longtemps la vérité, mais Tama . . . », mes yeux s’imprègnent des siens quelques secondes, se noyant à l'intérieur, « parfois il ne voit pas trop essayer de comprendre, il faut juste écouter son cœur ». Je me mets légèrement sur la pointe des pieds, approchant de plus en plus mon visage du sien. Et . . . je finis par le laisser aller, mes lèvres touchant les siennes, dans un baiser libérateur et profond.
Malheureusement, il s'éloigne légèrement de moi, me laissant soudainement dans le froid, démunie de sa présence. Je lève les yeux vers lui, écoutant ce qu'il a à me dire, surprise d'entendre qu'il a compris tout ça depuis la dernière fois. Depuis ce fameux soir. Moi aussi j'ai le sentiment que c'est à partir de ce moment que mon cœur a compris. A compris qu'il l'aimait, bien plus que je ne pouvais le croire. Qu'il le voulait, bien plus que je ne semblais le voir. Je crois qu'au final, tous les deux, nous avons été bien trop aveuglés. Il a suffi qu'une autre femme intervienne, il a suffi de cette fameuse soirée, pour nous faire ouvrir les yeux sur la vérité. Pour nous faire comprendre ce qui était pourtant devant nos yeux. Il a fallu de toutes ces choses pour qu'on ne soit plus aveuglés, comprenant respectivement nos sentiments pour l'un et pour l'autre. Et s'il n'y avait pas eu cette soirée, et s'il n'y avait pas eu cette fille, aurait-on remarqué tout ça ? Aurai-je compris que je l'aimais ? Je ne sais pas . . . peut-être que d'autres choses seraient intervenues pour nous. J'inspire profondément, et prends mon courage à deux mains. Il est temps que je lui prouve que moi aussi je tiens à lui et que je n'ai pas besoin d'attendre pour lui répondre. « Je sais déjà ma réponse » dis-je en baissant les yeux, sentant le rouge me monter aux joues. « Au début . . . je ne voulais pas me l'avouer. J'ai préféré me cacher, essayant de trouver d'autres raisons à mes réactions démesurées. Parce que je ressentais de la jalousie, mais aussi j'enviais Mi Ree. J'ai nié pendant longtemps la vérité, mais Tama . . . », mes yeux s’imprègnent des siens quelques secondes, se noyant à l'intérieur, « parfois il ne voit pas trop essayer de comprendre, il faut juste écouter son cœur ». Je me mets légèrement sur la pointe des pieds, approchant de plus en plus mon visage du sien. Et . . . je finis par le laisser aller, mes lèvres touchant les siennes, dans un baiser libérateur et profond.
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Mer 22 Fév - 13:03 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Olympe ▬ TamaLympe ♥
Vous a-t-on déjà parlé de ce que l'on ressent après avoir vidé son sac? Non je ne parle pas de colère, mais de confession, parler de sentiments, confier à la personne la plus importante qu'elle vous donne des ailes? Je venais de le faire, et même si je ne lui avais pas vraiment dit qu'elle me donnait des ailes, c'était tout comme. Ce qu'on ressent après avoir ouvert son coeur? Du soulagement. Je me sentais si léger, tel un oiseau, que je pouvais quitter la terre ferme d'un instant à l'autre. Restait encore le doute, l'inquiétude de savoir si oui ou non c'était partagé. C'était bizarre, je n'avais jamais parlé de filles avec mon père, simplement parce qu'il avait dû voir que ce n'était pas ma tasse de thé et qu'en parler ne nous aurait mené nulle part. Pourtant, j'avoue que j'aurais bien eu besoin de ses conseils, ne serait-ce que pour en savoir un peu plus sur les femmes. Et savoir exactement quoi faire à quel moment.
Pour aujourd'hui, j'lai fait au feeling. J'ai laissé mes émotions parler et ça avait l'air de marcher. Une fois de plus, mes pulsions prirent le dessus et en passant mes bras derrière ses épaules, je finis par la ramener contre moi d'un geste franc, posant mes lèvres près de sa tempe. Un sourire se dessina contre sa peau, alors que je sentais ses mains m'agripper et son visage s'enfouir dans le creux de mon cou. Quelle douce sensation que de partager cet instant avec elle. Elle changeait tout. Elle faisait que l'amour n'était plus si ennuyant et inintéressant à mes yeux. Elle changeait la donne. Elle triomphait, là où d'autres n'ont pas réussi à faire le quart de ce qu'elle avait accompli. Je n'en valais pas trop la peine, mais avec elle, je me sentais complet. Je sentais que je n'étais pas n'importe qui à ses yeux, je me sentais différent, important. Et ça, je le sentais à la façon qu'elle avait de se blottir contre moi, et d'agripper mon polo. Elle avait besoin de moi, j'avais besoin d'elle. C'était la plus simple des équations.
Je la retire doucement pour la regarder, et sécher ses larmes. Je ne veux pas la brusquer, alors je la rassure en lui disant qu'elle n'était pas obligée de me répondre tout de suite, après tout, je venais de la chambouler assez, je ne lui en demandais pas plus. Et alors que je m'attendais pas vraiment à ce qu'elle me réponde, elle le fit. Elle ne cessait de me surprendre de la meilleure des façons. Le regard plongé dans le sien, je l'écoutais parler. Ses mots sonnent clair, ce jour était à marquer sur le calendrier. Le jour où Olympe m'a également ouvert son coeur. Mes mains remontèrent jusqu'à son cou, comme précédemment, et alors qu'un sourire ravi étira mes lèvres, je la vis se rapprocher de moi, se mettant sur la pointe des pieds. Gardant alors mes mains au même endroit, je ferme les yeux, répondant à son baiser avec tendresse, amour. Ca y est. C'était la première fois que je ressentais ça, des papillons dans le ventre en pagaille. Si un jour j'avais cru qu'une fille me ferait sentir aussi bien dans mes bask... Non, jamais. Pourtant, c'est bien ce qui la différenciait des autres filles. C'est que dès notre première rencontre, il s'était passé quelque chose en moi. Quelque chose avait changé, et pour toujours.
Je recule mon visage, rompant le baiser, pour ouvrir les yeux et la regarder. Mon front vient alors se coller doucement au sien; à cet instant, j'inspire. Je remplis mes poumons, je me sens bien. Et un sourire, qui lui est adressé, prend à nouveau place sur mes lèvres. Je voudrais rester comme ça pour toujours, être avec elle et la sentir près de moi tout le temps mais j'allais déjà me contenter du baiser qu'elle venait de me donner. Un silence prit possession des lieux, le plus beau de tous les silences, celui où on pourrait entendre les oiseaux chanter même si ce n'était pas encore la période, et je finis par reculer ma tête, l'admirant. C'est là que je m'arrêtai sur ses cheveux, rouges. J'arquai un sourcil, je les avais remarqué de suite en rentrant dans la chambre mais j'étais tellement fixé sur mon objectif de ma venue que je n'avais pas pensé à lui demander pourquoi elle se retrouvait comme ça. Et au fait... Ma main droite glissa dans ses cheveux, traçant jusqu'à ses pointes sans mal. Le rouge te va à ravir. Je souris, timidement, alors que je la vois être un peu gênée à son tour. Et alors qu'elle semble éviter mon regard moi, tout ce que je trouve à faire, encore et encore, c'est la regarder et me demander comment je pouvais être si chanceux. T'es magnifique. Et oui, même habillée comme ça, sans maquillage, dans la plus gênante des positions, Olympe restait la plus belle fille que j'avais jamais vu.
Pour aujourd'hui, j'lai fait au feeling. J'ai laissé mes émotions parler et ça avait l'air de marcher. Une fois de plus, mes pulsions prirent le dessus et en passant mes bras derrière ses épaules, je finis par la ramener contre moi d'un geste franc, posant mes lèvres près de sa tempe. Un sourire se dessina contre sa peau, alors que je sentais ses mains m'agripper et son visage s'enfouir dans le creux de mon cou. Quelle douce sensation que de partager cet instant avec elle. Elle changeait tout. Elle faisait que l'amour n'était plus si ennuyant et inintéressant à mes yeux. Elle changeait la donne. Elle triomphait, là où d'autres n'ont pas réussi à faire le quart de ce qu'elle avait accompli. Je n'en valais pas trop la peine, mais avec elle, je me sentais complet. Je sentais que je n'étais pas n'importe qui à ses yeux, je me sentais différent, important. Et ça, je le sentais à la façon qu'elle avait de se blottir contre moi, et d'agripper mon polo. Elle avait besoin de moi, j'avais besoin d'elle. C'était la plus simple des équations.
Je la retire doucement pour la regarder, et sécher ses larmes. Je ne veux pas la brusquer, alors je la rassure en lui disant qu'elle n'était pas obligée de me répondre tout de suite, après tout, je venais de la chambouler assez, je ne lui en demandais pas plus. Et alors que je m'attendais pas vraiment à ce qu'elle me réponde, elle le fit. Elle ne cessait de me surprendre de la meilleure des façons. Le regard plongé dans le sien, je l'écoutais parler. Ses mots sonnent clair, ce jour était à marquer sur le calendrier. Le jour où Olympe m'a également ouvert son coeur. Mes mains remontèrent jusqu'à son cou, comme précédemment, et alors qu'un sourire ravi étira mes lèvres, je la vis se rapprocher de moi, se mettant sur la pointe des pieds. Gardant alors mes mains au même endroit, je ferme les yeux, répondant à son baiser avec tendresse, amour. Ca y est. C'était la première fois que je ressentais ça, des papillons dans le ventre en pagaille. Si un jour j'avais cru qu'une fille me ferait sentir aussi bien dans mes bask... Non, jamais. Pourtant, c'est bien ce qui la différenciait des autres filles. C'est que dès notre première rencontre, il s'était passé quelque chose en moi. Quelque chose avait changé, et pour toujours.
Je recule mon visage, rompant le baiser, pour ouvrir les yeux et la regarder. Mon front vient alors se coller doucement au sien; à cet instant, j'inspire. Je remplis mes poumons, je me sens bien. Et un sourire, qui lui est adressé, prend à nouveau place sur mes lèvres. Je voudrais rester comme ça pour toujours, être avec elle et la sentir près de moi tout le temps mais j'allais déjà me contenter du baiser qu'elle venait de me donner. Un silence prit possession des lieux, le plus beau de tous les silences, celui où on pourrait entendre les oiseaux chanter même si ce n'était pas encore la période, et je finis par reculer ma tête, l'admirant. C'est là que je m'arrêtai sur ses cheveux, rouges. J'arquai un sourcil, je les avais remarqué de suite en rentrant dans la chambre mais j'étais tellement fixé sur mon objectif de ma venue que je n'avais pas pensé à lui demander pourquoi elle se retrouvait comme ça. Et au fait... Ma main droite glissa dans ses cheveux, traçant jusqu'à ses pointes sans mal. Le rouge te va à ravir. Je souris, timidement, alors que je la vois être un peu gênée à son tour. Et alors qu'elle semble éviter mon regard moi, tout ce que je trouve à faire, encore et encore, c'est la regarder et me demander comment je pouvais être si chanceux. T'es magnifique. Et oui, même habillée comme ça, sans maquillage, dans la plus gênante des positions, Olympe restait la plus belle fille que j'avais jamais vu.
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Mer 1 Mar - 17:54 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
C'est étrange. Comme sensation. Comme impression. Je me sens à la fois dans un rêve et dans la réalité. J'ai l'impression d'être dans une bulle dorée, d'être euphorique et à la fois d'être dans une situation inédite, singulière. Pourtant des hommes, j'en ai croisé dans ma vie. Certes pas énormément, mais quelques uns, sans que pour autant j'ai cette étrange émotion qui ne cesse de progresser, de me caresser le ventre, de faire voler quelques papillons au creux de mon ventre. Je me sens vivre, tout en suffoquant. Il n'y a rien de plus beau pour le moment. Rien de plus merveilleux que ce moment-là. Je suis heureuse. Terriblement heureuse. Est-ce possible ? Réellement possible de plonger dans un tel bonheur sans faille ? En tout cas pour le moment. Je ne sais pas jusqu'à quand il va durer, et jusqu'à quel point. Je sais pertinemment que l'amour, ça vient, ça part, de manière incontrôlable. J'ai connu ça. Je pensais qu'il était l'amour de ma vie, mais j'ai été trop naïve à cette époque et même si désormais, ce n'est qu'un ami, je pensais que ça allait durer et je suis tombée bien bas. Bien sûr je ne dois pas de suite penser à la suite, aux risques d'être, éventuellement, en couple avec Tamaki, de déjà imaginer le pire. La vie est courte alors je dois simplement profiter de ce qu'elle m'offre et me contenter d'être, peut-être, heureuse aux côtés de Tamaki. C'est quand même étrange de me dire qu'il m'aime et que je l'aime tout autant. De me dire que je vais être la fille se tenant à ses côtés. De me dire que je suis celle qu'il va aimer, et chérir. De me dire que pour le moment il ne va voir que moi et rien que moi. C'est tellement étrange que j'ai réellement, encore, l'impression d'être dans un rêve éveillé. C'est pour cette raison que sans même crier garde, j’appose doucement mes lèvres contre les siennes, goûtant ainsi à leur saveur si unique. Un sourire se prolonge tout au long de mon visage pendant que j'échange ce baiser avec Tamaki qui représente bien plus qu'un baiser. Il concrétise mes sentiments. Nos sentiments respectifs. Je veux qu'il comprenne que je tiens à lui, et surtout que oui, je l'aime moi aussi. Je n'ai pas envie d'attendre encore pour profiter d'être à ses côtés. J'ai assez perdu de temps comme ça. Désormais, je ne veux plus le quitter. Désormais, je veux être celle qui l'accompagne où qu'il aille.
Ses lèvres s'éloignent de moi, ressentant déjà le manque d'une telle proximité. Mon sourire s'élargit et mes yeux s'ouvrent doucement, voyant le visage de Tamaki si près du mien. Qu'il est beau Tamaki. Mon Tamaki. Intérieurement je rigole, mais me retiens de paraître si idiote à rire pour un rien, juste parce que je suis heureuse. Mon cœur palpite encore, sous l'effet du baiser, des déclarations, de tout ça. J'ai le rouge aux joues, et je me sens étrange. Trop étrange. Il s'éloigne définitivement de moi, mon visage n'ayant plus aucun contact, mon cœur se serrant légèrement. Mais de nouveau je me sens toute intimidée lorsqu'il parcourt ma chevelure rouge. J'ai l'impression d'être une gamine face à un étranger qui ne parvient plus à prononcer un mot, tremblante sous l'émotion. Je dis doucement, « oh c'est . . . une erreur de ma part, le soir du jour de l'an. C'est parti un peu en cacahuète avec ta cousine ». Je ris nerveusement en repensant à toutes les étapes que nous avons du traverser toutes les deux. « Mais je vais rapidement retrouver ma couleur d'origine. Même si je l'aime bien, elle est un peu trop . . . voyante ! » et c'est peu de le dire. Je me racle la gorge et baisse encore plus mes yeux lorsqu'il me dit que je suis belle. Immédiatement après, je pose mes deux mains contre mes joues, « je vais finir par devenir une tomate si tu continues à me faire de tels compliments. Mais tu dis ça parce que tu m'apprécies de manière . . . unique ». C'est encore perturbant d'employer le mot aimer. « Toi aussi . . . tu es beau. Le plus beau ». Je me mords la lèvre et prends soudainement mon coussin pour enfoncer mon visage dedans. « C'est très gênant de le dire ». Je relève doucement la tête. « Alors . . . avec tout ça . . . est-ce que ça veut dire que nous sommes un . . . enfin tu vois . . . couple ? ».
Ses lèvres s'éloignent de moi, ressentant déjà le manque d'une telle proximité. Mon sourire s'élargit et mes yeux s'ouvrent doucement, voyant le visage de Tamaki si près du mien. Qu'il est beau Tamaki. Mon Tamaki. Intérieurement je rigole, mais me retiens de paraître si idiote à rire pour un rien, juste parce que je suis heureuse. Mon cœur palpite encore, sous l'effet du baiser, des déclarations, de tout ça. J'ai le rouge aux joues, et je me sens étrange. Trop étrange. Il s'éloigne définitivement de moi, mon visage n'ayant plus aucun contact, mon cœur se serrant légèrement. Mais de nouveau je me sens toute intimidée lorsqu'il parcourt ma chevelure rouge. J'ai l'impression d'être une gamine face à un étranger qui ne parvient plus à prononcer un mot, tremblante sous l'émotion. Je dis doucement, « oh c'est . . . une erreur de ma part, le soir du jour de l'an. C'est parti un peu en cacahuète avec ta cousine ». Je ris nerveusement en repensant à toutes les étapes que nous avons du traverser toutes les deux. « Mais je vais rapidement retrouver ma couleur d'origine. Même si je l'aime bien, elle est un peu trop . . . voyante ! » et c'est peu de le dire. Je me racle la gorge et baisse encore plus mes yeux lorsqu'il me dit que je suis belle. Immédiatement après, je pose mes deux mains contre mes joues, « je vais finir par devenir une tomate si tu continues à me faire de tels compliments. Mais tu dis ça parce que tu m'apprécies de manière . . . unique ». C'est encore perturbant d'employer le mot aimer. « Toi aussi . . . tu es beau. Le plus beau ». Je me mords la lèvre et prends soudainement mon coussin pour enfoncer mon visage dedans. « C'est très gênant de le dire ». Je relève doucement la tête. « Alors . . . avec tout ça . . . est-ce que ça veut dire que nous sommes un . . . enfin tu vois . . . couple ? ».
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Lun 6 Mar - 18:00 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Olympe ▬ TamaLympe ♥
C’est quand je la regarde que je comprends que j’ai trouvé la pièce manquante au puzzle de ma vie. Que soudain, ces milliers de questions que je me posais depuis gosse trouvaient leur réponse une à une alors que je tenais Olympe près de moi, que je me laissais m’enivrer de son odeur. J’suis amoureux, y'a pas d’autres explications. Enfin je suis capable de savoir quoi répondre quand on me demandera maintenant ce qu’on ressent quand on est amoureux. C’est, soudainement, le soleil qui se lève sur les plaines assombries de ma vie. Et c’est surtout aimer, aimer à n’en plus pouvoir, aimer plus que l’on s’aime soi-même, aimer au-delà de ce que l’on aurait imaginé. J’avais déjà embrassé une fille au lycée mais ça n’avait pas du tout la même saveur. Ces lèvres, pulpeuses, représentaient déjà mon pêché mignon dont je ne saurais me passer. Je me recule, pour la regarder et lui parler, mais tout ce que je veux, c’est l’embrasser à nouveau. Néanmoins, je me dois de rester encore un peu éloigné de ses lèvres ne serait-ce que pour prendre le temps de l’admirer et la complimenter sur sa nouvelle couleur de cheveux. Quand elle m’explique comment elle en est arrivée là, j’esquisse un sourire avant de passer ma main sur son cou, comme pour la rassurer parce que je la sens un peu déboussolée, les mains tremblantes. « Je vois qu’on s’amuse bien entre filles. » ma cousine était une bonne vivante aussi, pas étonnant que les deux s’entendent si bien. Un bon point de marqué pour moi quant à l’entente familiale plutôt réussie. Elle rajoute sans trop tarder qu’elle compte retrouver sa couleur naturelle, j’hausse alors les épaules. « Ca te va bien aussi le rouge, mais c’est sûr que si tu veux être discrète c’est pas le meilleur choix. »
Elle prononce quelques paroles qui me font rire doucement, puis, je la voix se cacher derrière le coussin. Gênée de ses aveux. Amusé, j’attrape le coussin pour le lui retirer de force et la tape doucement avec sur la tête. « Arrête de te cacher. » Et, quand elle repose les yeux sur moi, elle parvient enfin à prononcer quelques mots, bout à bout, formulant une question qui me laisse un peu hésitant au début.
Si nous étions désormais un couple? Je dirais que oui. Mais je m’appelais Yang Tamaki, et ça, ça signifiait que je n’étais pas encore bien à l’aise avec cette notion de couple, même si c’était ce que je voulais par dessus tout, surtout avec elle. « Euh… » je passe une main dans mon dos, puis la remonte jusqu’à ma nuque. Finalement, je jette le coussin sur son lit et attrape ses deux mains, la regardant droit dans les yeux. Un petit sourire malin étire mes lèvres. « Je suppose que oui. » Je joue avec ses doigts, puis repose les yeux sur elle, toujours ce sourire joueur aux lèvres. « A moins que tu ne veuilles pas de moi? » un silence. « Mais tu sais pas c’que tu loupes! » Et après quelques secondes de silence, je finis par reprendre mon sérieux. Je déglutis, rive mes yeux vers le bas puis, levant la tête, je la regarde un moment avant de finalement déclarer : « Non… J’te veux vraiment. A mes côtés. Alors oui, j’pars du principe qu’à partir de maintenant, toi et moi, on est ensemble. » mes mains relèvent un peu les siennes de sorte à les mettre au niveau de nos visages, puis nos doigts s’entrelacent. Les yeux plongés dans les siens, je m’approche d’un pas vers elle. « Ya plus que ça qui compte. Toi et moi. Qu’on soit bien. Qu’on soit heureux… » et je laisse mes lèvres venir se poser sur les siennes, les caressant avec amour tandis que mes doigts sont toujours entrelacés avec les siens.
Elle prononce quelques paroles qui me font rire doucement, puis, je la voix se cacher derrière le coussin. Gênée de ses aveux. Amusé, j’attrape le coussin pour le lui retirer de force et la tape doucement avec sur la tête. « Arrête de te cacher. » Et, quand elle repose les yeux sur moi, elle parvient enfin à prononcer quelques mots, bout à bout, formulant une question qui me laisse un peu hésitant au début.
Si nous étions désormais un couple? Je dirais que oui. Mais je m’appelais Yang Tamaki, et ça, ça signifiait que je n’étais pas encore bien à l’aise avec cette notion de couple, même si c’était ce que je voulais par dessus tout, surtout avec elle. « Euh… » je passe une main dans mon dos, puis la remonte jusqu’à ma nuque. Finalement, je jette le coussin sur son lit et attrape ses deux mains, la regardant droit dans les yeux. Un petit sourire malin étire mes lèvres. « Je suppose que oui. » Je joue avec ses doigts, puis repose les yeux sur elle, toujours ce sourire joueur aux lèvres. « A moins que tu ne veuilles pas de moi? » un silence. « Mais tu sais pas c’que tu loupes! » Et après quelques secondes de silence, je finis par reprendre mon sérieux. Je déglutis, rive mes yeux vers le bas puis, levant la tête, je la regarde un moment avant de finalement déclarer : « Non… J’te veux vraiment. A mes côtés. Alors oui, j’pars du principe qu’à partir de maintenant, toi et moi, on est ensemble. » mes mains relèvent un peu les siennes de sorte à les mettre au niveau de nos visages, puis nos doigts s’entrelacent. Les yeux plongés dans les siens, je m’approche d’un pas vers elle. « Ya plus que ça qui compte. Toi et moi. Qu’on soit bien. Qu’on soit heureux… » et je laisse mes lèvres venir se poser sur les siennes, les caressant avec amour tandis que mes doigts sont toujours entrelacés avec les siens.
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Re: dry your tears ft. Tamalympe ♥ | Mer 8 Mar - 16:29 Citer EditerSupprimer
dry your tears
Feat Tamaki ▬ TamaLympe ♥
Parfois le bonheur vient frapper à la porte sans qu'on n'y soit réellement préparé. Parfois il s'insinue dans les vies, doucement, chaleureusement, et permet de retrouver le sourire de chacun. Je me sens idiote d'avoir déprimé ces derniers jours, d'être restée dans l'ombre sans jamais parler à Tamaki de ce qui pouvait me peser, des sentiments que j'avais, et que j'ai, pour lui. Je me sens vraiment sotte. Mais jamais, ô grand jamais, je n'aurai imaginé une seule seconde que mes sentiments puissent être réciproques. Cette idée ne m'a jamais traversé l'esprit, et pourtant, c'est le cas. Finalement, il m'aime comme je l'aime et je n'en suis que plus heureuse. Je n'aurai pu imaginer meilleur dénouement. Désormais, je peux m'épanouir à ses côtés, et profiter de chaque instant, jusqu'à ce que cela prenne fin. Car cela prendra forcément fin un jour. Je rigole en passant une main dans mes cheveux rouges flamboyants. « Olympe discrète ? ». Je cligne plusieurs fois des yeux, rigolant encore plus. « J'ai le regret de t'annoncer que ta petite amie est loin d'être discrète. Enfin, elle risque de se calmer quand même un peu maintenant qu'elle a un copain ». Mais il est vrai que je vais devoir quand même changer de couleur de cheveux. C'est un peu trop rouge à mon goût. J'avais eu le désir de changer dès l'apparition de cette fameuse couleur mais dans l'état dans lequel j'étais, j'ai préféré la conserver. Enfin bref. La situation est tellement gênante pour moi que je suis dans l'obligation de plonger mon visage dans le coussin pour cacher mes joues rougies. Ce n'est pas que j'ai honte mais je suis juste gênée du contexte. C'est tellement étrange que mon cœur palpite encore sous l'effet de l'émotion. Je lui demande alors, pour être certaine, si nous formons véritablement un couple. Pour m'assurer de ne pas me tromper,de ne pas le considérer comme mon petit ami alors que ce n'est pas le cas de son côté. Je fronce des sourcils lorsque je le vois hésiter. Oh mince ! C'est mauvais signe ça, non ? C'est qu'il ne sait pas comment décrire notre relation, c'est que je ne suis pas sa petite amie pour lui, alors je suis quoi ? Certes il est sûrement trop tôt pour se catégoriser déjà comme un couple, alors que ça ne fait que quelques minutes que nos sentiments ont été révélés mais tout de même, comment puis-je décrire alors notre relation ? J'angoisse quand même un peu lorsqu'il pose ses mains contre les miennes, ne sachant pas vraiment à quoi m'attendre comme réponse. « JE TE VEUX » je me mets tellement à crier que je sursaute presque de m'entendre crier et proférer de telles paroles. « Enfin . . . je veux dire que . . . je te veux comme petit ami ». Je rougis et baisse la tête, honteuse de ma spontanéité.
Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire lorsqu'il me dit que lui aussi désire être à mes côtés, en tant que petit ami, formant un véritable couple. Je suis d'autant plus touchée par ce qu'il me dit ensuite, qu'il n'y a que lui et moi désormais. Qu'on soit heureux . . .Et pour affirmer ses mots, ses lèvres viennent se poser contre les miennes, fermant mes yeux petit à petit, profitant de ce baiser, mes doigts serrant les siens. Je sais désormais que je ne veux que lui. Je m'en fiche de ses défauts, de ses manies. Je m'en fiche de savoir s'il va me rendre heureuse ou non, c'est lui et seulement lui que je veux. C'est tout. C'est à nous d'écrire notre histoire. Ensemble. Main dans la main. Jusqu'à ce que l'encre s'écoule . .
Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire lorsqu'il me dit que lui aussi désire être à mes côtés, en tant que petit ami, formant un véritable couple. Je suis d'autant plus touchée par ce qu'il me dit ensuite, qu'il n'y a que lui et moi désormais. Qu'on soit heureux . . .Et pour affirmer ses mots, ses lèvres viennent se poser contre les miennes, fermant mes yeux petit à petit, profitant de ce baiser, mes doigts serrant les siens. Je sais désormais que je ne veux que lui. Je m'en fiche de ses défauts, de ses manies. Je m'en fiche de savoir s'il va me rendre heureuse ou non, c'est lui et seulement lui que je veux. C'est tout. C'est à nous d'écrire notre histoire. Ensemble. Main dans la main. Jusqu'à ce que l'encre s'écoule . .
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