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[-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Ven 3 Fév - 23:45 Citer EditerSupprimer
First night out
haewon & sangae
Play it! - Tenue - Je me pinçais les lèvres, je retenais tout ce que je pouvais de ma tristesse. Mais après tout, pourquoi se gâcher la vie pour quelques abrutis? La soirée n'était pas finie. On pouvait toujours la rattraper et aller dans un autre endroit. Etait-ce un crime que d'être une jolie fille dans notre époque? Je n'avais rien demandé et au final voilà que tout ça s'était très mal terminé. J'étais obligée de me sentir mal, je prenais toujours tout sur moi, comme d'habitude. Je pouvais bien supporter certaines choses mais me dire que c'était de ma faute si la soirée avait tourné au vinaigre, ça, ça ne passait pas, et j'en avais les larmes aux yeux. Je tenais tellement au garçon à mes côtés. Je l'aimais tellement s'il savait... J'étais juste folle de lui, je voulais pas le décevoir, je voulais être parfaite à ses yeux mais j'en étais loin en réalité. Je m'excusai, ce qui eut le don d'énerver encore plus Sangae qui, d'un coup de volant, prit la direction d'un parking vide. Il tira le frein à main et tourna aussitôt la tête pour me regarder. Je sentais son regard lourd sur moi, alors, je l'évitai soigneusement en tournant la tête de l'autre côté, pour regarder par la fenêtre une fois de plus. Je déglutis. Pourquoi tu t'excuses? répondis-je aussitôt qu'il s'excusa, les sourcils froncés. Il devait voir mon reflet dans la fenêtre, il devait savoir que j'avais pleuré mais putain, il me faisait peur. Il avait ces pulsions qu'il devait tenir des Yu quand il s'agissait de moi. Il était trop tard pour sécher mes larmes, quoique je fasse, il le voyait maintenant qu'il ne conduisait pas. Alors je tournais simplement la tête vers lui, et ainsi, il put voir que j'avais les yeux rouges. Tant pis, c'était pas grave après tout, je saurais le calmer. Je le laissais finir, j'attendais la fin de sa phrase, et quand, dans un chuchotement, il termina sa phrase, je finis par m'enfoncer dans le siège, le regard toujours rivé vers lui. Un petit soupir discret passa mes lèvres. Un long silence. Seul le bruit de nos respirations se faisait entendre. Regarde moi. déclarai-je. Oui, j'ai pleuré. Je te le cache pas. Je le défiais, j'en étais consciente. Mais tu n'y retourneras pas. Tu ne retourneras pas là-bas et il y a plusieurs raisons à cela. je décrochai ma ceinture pour pouvoir me rapprocher un peu plus de lui. Nos visages maintenant séparés d'à peine quelques centimètres, je m'humectai les lèvres avant de passer à la suite. D'abord parce qu'il va y avoir toute une orde de flics qui te cherche là-bas. Un silence. Ensuite, parce qu'ils vont t'embarquer et qu'est-ce que je ferais moi, sans toi? Oui, on n'y pensait jamais assez mais qu'est-ce que je ferais sans ce mec? Et enfin... Je me penchai pour actionner le levier sous son fauteuil pour le faire reculer. Je relevai légèrement ma robe par la suite, dévoilant mes cuisses, avant de venir, telle une féline agile, me placer sur lui à califourchon. Mes bras s'appuyant sur le siège où Sangae était installé, je finis par approcher mon visage du sien, nos nez se touchant. Et dans un souffle qui vint caresser ses lèvres, je déclarai: parce que la soirée est loin d'être finie pour que tu l'achèves de la sorte... je lui adressai un sourire, avant de venir l'embrasser tendrement. Après quelques secondes à donner de l'amour et de la sensualité à ce baiser, je me retirai, ouvrant doucement les yeux, afin de le regarder dans les yeux. Je craque littéralement pour toi, Yu Sang Ae. Mais quand tu dis des trucs comme ça... Ca devient incontrôlable. Et de ma main droite, j'attrapai la sienne, et nos doigts s'entrelacèrent.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Sam 4 Fév - 1:43 Citer EditerSupprimer
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haewon & sangae
Play it! - Pourquoi je m'excuse ? Parce que je lui avais promis qu'on allait passer une bonne soirée. Ce n'est pas de sa faute, d'ailleurs, je ne tarde pas à le lui dire... Je reste silencieux après mes dernières paroles. Parce que je suis en colère et quand c'est le cas, je tente de la canaliser du mieux possible. Je ne suis pas du genre à être impulsif malgré les apparences, malgré ce que j'ai pu faire à ce type et peut-être le fait d'avoir été aussi violent, m'énerve aussi. Je n'aime pas ça. Il faut vraiment que je me ressaisisse, je n'ai aucune envie de gâcher le reste de ma soirée avec Haewon à cause de ce type... C'est mal parti, mais je ne compte pas le laisser faire. Elle reprend très rapidement la parole, me demandant ou plutôt, m'ordonnant de la regarder, chose que je fais aussitôt. Toujours aussi silencieux, je plonge mon regard dans le sien. Mon regard se noie dans le sien. Je n'arrive tout simplement pas à la quitter des yeux. Elle m'avoue qu'elle a pleuré, je serre les dents mais ne réagit pas pour autant. Pourquoi ? Parce qu'elle ne veut pas que je réagisse, que je parte au quart de tour et puis... ça ne me ressemble pas. Alors je la laisse parler, je l'écoute. Et oui, je dois l'avouer, elle arrive à me calmer. En tout cas, assez pour que je ne redémarre pas la voiture pour aller lui régler son compte. « qu'est-ce que je ferais moi, sans toi? » Et moi, alors ? Qu'est-ce que je ferais sans elle ? Je n'ose même pas l'imaginer, même pas une seule seconde. C'est alors qu'elle commence à se pencher vers moi, je fronce les sourcils, lâchant un faible « Qu'est-ce que tu - » Je n'ai même pas le temps de terminer ma phrase qu'elle abaisse rapidement mon siège. Et je commence à comprendre où elle veut en venir. Je l'observe alors relever sa robe, je regarde ses cuisses avec envie. Ces cuisses qui m'appartiennent désormais. Elle vient alors s'installer sur moi et instinctivement, je dépose mes mains sur ses hanches afin de la maintenir correctement sur moi. Elle approche son visage du mien, je sens son souffle jusque dans mon cou, j'en ai des frissons à tel point que j'en ferme les yeux un court instant. « parce que la soirée est loin d'être finie pour que tu l'achèves de la sorte... » et elle m'offre un baiser. Baiser que j’approfondis, baiser qui devient très vite langoureux. Après un instant d'échange, Haewon met fin au baiser avant de finalement m'avouer « Je craque littéralement pour toi, Yu Sang Ae. Mais quand tu dis des trucs comme ça... Ça devient incontrôlable. » Phrase qui me fait décrocher un fin sourire, un sourire plutôt coquin je dois l'avouer mais lorsqu'on voit l'état dans lequel je me trouve, ce n'est pas réellement étonnant. D'ailleurs, c'est bien le premier sourire que je décroche depuis que nous avions quitté le bar. Ma main se resserre alors dans la sienne tandis que je reprends enfin la parole, mon souffle s'étant accéléré au cours des dernières secondes « Je peux le comprendre... » Je baisse mon regard sur sa robe, lui lâchant la main, je viens agripper sa robe de chaque côté de sa taille, soulevant d'autant plus cette dernière. « Quand tu fais ce genre de choses, ça devient incontrôlable. » Je remonte mon regard, le plongeant dans le sien. Et dire que j'étais encore énervé il y a quelques minutes de cela. Une magicienne, cette femme. Il faut dire qu'avec tout le pouvoir qu'elle a sur moi... J'approche mon visage du sien, lui offrant de nouveau un baiser beaucoup plus fougueux cette fois, un baiser qui signifie tout. Et tout en l'embrassant, mes mains descendent le long de sa taille afin de venir caresser le plus sensuellement et avec envie, ses cuisses, au bout de quelques secondes, je mets fin au baiser, lui mordillant légèrement la lèvre inférieur avant de reprendre la parole. Toujours les yeux clos, mon front se colle au sien, je viens lui chuchoter ces quelques mots « J'ai envie de toi... »
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Dim 5 Fév - 22:09 Citer EditerSupprimer
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haewon & sangae
Play it! - Tenue - Je refusais qu'il retourne là-bas, c'était catégorique. A quoi bon après tout, si ce n'était mal finir la soirée, au poste, entouré de flics et à attendre la fin de la garde à vue? Non, oh que non, cette soirée était la première pour nous en tant que couple officiel, je ne voulais pas la gâcher de la sorte. Il fallait rattraper tout ça et bien comme il le fallait. A croire qu'il avait choisi l'endroit propice pour s'arrêter: un parking vide. Je jetai un regard d'ensemble au parking pour vérifier qu'il n'y ait vraiment personne avant de relever un peu ma robe pour pouvoir écarter un peu plus les cuisses et de pouvoir me mettre sur Sangae. Ca, c'était un de mes fantasmes. Faire l'amour dans une voiture... mais le réaliser avec Sangae, c'était presque un rêve. D'ailleurs, plus je le regardais plus j'avais du mal à réaliser que nous étions ensemble, qu'il était à moi. Je vins alors l'embrasser avec amour mais voilà qu'il prolongea le baiser avec ardeur, ce qui me fit sourire malicieusement quand je me retirai, le regard plongé dans le sien.
Il prit la parole, ses mains tenaient toujours mes hanches, mais elles vinrent agripper ma robe qu'il prit soin de relever un peu plus. Je baissai les yeux vers ses mains avant de replonger mon regard dans le sien alors qu'il me confia que je faisais des choses qui le rendait incontrôlable. Amusée, un doux rire s'échappa de mes lèvres, qu'il vient presque taire en venant m'embrasser avec, fougueux. Ses mains, elles, se chargèrent de descendre sur mes cuisses, un contact qui me fit frissonner, surtout que je ne portais pas de collants par cette nuit froide, mais quelque chose me disait que je n'allais pas tarder à me réchauffer, grâce à lui. Il se retira pour me regarder, il aurait tendance à me faire rougir tant il avait cette puissance dans le regard, ce charme qui me faisait fondre quoiqu'il faisait. Et puis, nos fronts l'un contre l'autre, je fermai les yeux et l'écoutai m'avouer qu'il avait envie de moi. Je n'eus pas besoin de lui répondre. Je repris notre baiser où il l'avait interrompu, tout en dirigeant mes mains vers les siennes. Je les agrippai doucement, et les dirigeai vers mes fesses, sous ma robe, alors qu'un sourire se dessina contre ses lèvres. Un sourire malin, un sourire qui voulait dire bien des choses. Mais, tout de même... Touche moi. lui avais-je demandé en retirant mes lèvres pour les placer près de son oreille pour lui chuchoter.
Si je ne lui avais encore jamais dit ce que j'éprouvais lui, il ne faisait l'ombre d'un doute qu'il me rendait complètement folle. Je le voulais tout le temps, jour et nuit, corps et âme, lui et lui seul et je ne pouvais retenir l'ardeur qu'il me faisait ressentir à chaque fois que nos corps se touchaient, que nos peaux entraient en contact. Et si je lui avais ordonné de me toucher, pour ma part, je n'attendis pas qu'il le fasse. Mes mains vinrent, brusquement, le débarrasser de sa veste de costume, que je m'arrangeai de balancer sur la banquette arrière. Et, sans trop attendre, je commençai à dégrafer sa chemise, avide de son corps. Je pus d'ailleurs voir se dessiner au fur et à mesure ses muscles, et quelle folle pourrait résister à cette vue. Pas moi. Je savais qu'il allait sûrement râler en bon frileux qu'il était, mais je ne pus m'empêcher de passer mes mains sur ses pectoraux avant de les descendre lentement vers ses abdos, le tout avec un regard provocateur. C'était moi qui avais le dessus et je comptais bien le garder encore un peu, menais la danse et l'obligeais à subir. Mon index traça chaque ligne parfaitement dessinée de ses abdos. Et puis, comme pour l'inviter à faire ce qu'il voulait de moi, de mon autre main je vins faire tomber une bretelle de ma robe.
Nous y revoilà.
La nuit était à nous, Sangae. Faisons en sorte qu'on ne l'oublie jamais. Comme toutes les autres.
Il prit la parole, ses mains tenaient toujours mes hanches, mais elles vinrent agripper ma robe qu'il prit soin de relever un peu plus. Je baissai les yeux vers ses mains avant de replonger mon regard dans le sien alors qu'il me confia que je faisais des choses qui le rendait incontrôlable. Amusée, un doux rire s'échappa de mes lèvres, qu'il vient presque taire en venant m'embrasser avec, fougueux. Ses mains, elles, se chargèrent de descendre sur mes cuisses, un contact qui me fit frissonner, surtout que je ne portais pas de collants par cette nuit froide, mais quelque chose me disait que je n'allais pas tarder à me réchauffer, grâce à lui. Il se retira pour me regarder, il aurait tendance à me faire rougir tant il avait cette puissance dans le regard, ce charme qui me faisait fondre quoiqu'il faisait. Et puis, nos fronts l'un contre l'autre, je fermai les yeux et l'écoutai m'avouer qu'il avait envie de moi. Je n'eus pas besoin de lui répondre. Je repris notre baiser où il l'avait interrompu, tout en dirigeant mes mains vers les siennes. Je les agrippai doucement, et les dirigeai vers mes fesses, sous ma robe, alors qu'un sourire se dessina contre ses lèvres. Un sourire malin, un sourire qui voulait dire bien des choses. Mais, tout de même... Touche moi. lui avais-je demandé en retirant mes lèvres pour les placer près de son oreille pour lui chuchoter.
Si je ne lui avais encore jamais dit ce que j'éprouvais lui, il ne faisait l'ombre d'un doute qu'il me rendait complètement folle. Je le voulais tout le temps, jour et nuit, corps et âme, lui et lui seul et je ne pouvais retenir l'ardeur qu'il me faisait ressentir à chaque fois que nos corps se touchaient, que nos peaux entraient en contact. Et si je lui avais ordonné de me toucher, pour ma part, je n'attendis pas qu'il le fasse. Mes mains vinrent, brusquement, le débarrasser de sa veste de costume, que je m'arrangeai de balancer sur la banquette arrière. Et, sans trop attendre, je commençai à dégrafer sa chemise, avide de son corps. Je pus d'ailleurs voir se dessiner au fur et à mesure ses muscles, et quelle folle pourrait résister à cette vue. Pas moi. Je savais qu'il allait sûrement râler en bon frileux qu'il était, mais je ne pus m'empêcher de passer mes mains sur ses pectoraux avant de les descendre lentement vers ses abdos, le tout avec un regard provocateur. C'était moi qui avais le dessus et je comptais bien le garder encore un peu, menais la danse et l'obligeais à subir. Mon index traça chaque ligne parfaitement dessinée de ses abdos. Et puis, comme pour l'inviter à faire ce qu'il voulait de moi, de mon autre main je vins faire tomber une bretelle de ma robe.
Nous y revoilà.
La nuit était à nous, Sangae. Faisons en sorte qu'on ne l'oublie jamais. Comme toutes les autres.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Mar 7 Fév - 21:54 Citer EditerSupprimer
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haewon & sangae
Play it! - « Touche moi. » me souffle t-elle à l'oreille, menant mes mains jusqu'à ses fesses sous sa robe. Je me sens tout simplement incapable de la quitter du regard lorsqu'elle replonge son regard dans le mien, je la dévore. De nouveau, je suis en train de fondre, en train de perdre les pédales. En quelques mots seulement, quelques regards suffisent pour que je sois littéralement à ses pieds, pour qu'elle me fasse perdre tout contrôle de moi-même. Mais j'aime ça. J'aime ressentir ce que je ressens pour elle depuis des semaines. Le contact de son corps contre le mien ne fait que me rappeler à quel point elle m'est indispensable, à quel point je la désire, à quel point je l'aime et qu'elle est mienne désormais. Elle se débarrasse alors de ma veste de costume qu'elle balance non soigneusement sur la banquette arrière et doucement, ses mains glissent sur mon torse, retirant sensuellement les boutons de ma chemise. Ma température corporelle ne fait que grimper d'autant plus mais ce n'est rien comparé au moment où elle pose ses mains sur moi. Mon corps se contracte dû à la froideur de ses mains mais aussi et surtout, dû à l'excitation. Le regard provocateur qu'elle me lance ne m'aide en rien, d'ailleurs, je ne me gêne pas pour lui lancer l'identique. Elle vient finalement faire tomber une bretelle de sa robe, sans me lâcher du regard. Je bouillonne, mon corps est chaud. Soif d'assouvir mes désirs pour elle. Mais Haewon... C'est fini pour toi, maintenant, c'est moi qui prend les rênes.
Alors je me redresse quelque peu, mes mains faisant pression sur ses fesses afin de la maintenir contre moi. Une d'entre elles vient abaisser d'autant plus la bretelle de sa robe, je me dégage de cette dernière afin d'y venir déposer quelques doux baisers sur son épaule. Un, puis deux, puis un troisième avant de remonter mes baisers dans son cou. Tout ça tandis que mes mains viennent de nouveau agripper ses cuisses sous le désir, mon visage désormais à quelques centimètres du sien, ses cheveux caressant à moitié ma joue, je lui adresse un fin sourire coquin. « Vos désirs sont des ordres. » lui dis-je en réponse à ses dernières paroles. Haewon n'est pas la seule qui aime jouer et ça, elle le sait très bien. Alors je reprends possession de ses lèvres, un baiser passionné que je prolonge au fil des secondes. Pendant ce temps là, une de mes mains quitte enfin ses cuisses, remontant doucement et sensuellement jusqu'à arrivé près de sa culotte. Trois de mes doigts passent sous le cordon de celui-ci, m'amusant quelque peu tandis qu'un fin sourire se dessine sur mes lèvres, toujours collées aux siennes. Bouillonne Haewon. Je mets finalement fin au baiser et puis redressant d'autant plus mon corps, le collant le plus possible contre le sien, je finis par glisser entièrement ma main dans cette dernière, ne lui laissant même pas le temps de réagir, je viens caresser son intimé avec sensualité mais surtout, avec envie. Je viens ensuite coller mes lèvres contre les siennes sans pour autant l'embrasser, le sourire scotché sur ces dernières ne m'a toujours pas quitté. Mon désir pour elle en devient insoutenable mais à la fois, encore plus excitant. Et après lui avoir mordiller passionnément la lèvre inférieure, sans cesser mes caresses, je viens loger ma tête dans son cou dans le but d'y déposer d'autres doux baisers. Elle me rend totalement fou, Haewon, je veux la dévorer toute crue et si elle ne l'avait pas encore compris, c'est maintenant chose faite.
Alors je me redresse quelque peu, mes mains faisant pression sur ses fesses afin de la maintenir contre moi. Une d'entre elles vient abaisser d'autant plus la bretelle de sa robe, je me dégage de cette dernière afin d'y venir déposer quelques doux baisers sur son épaule. Un, puis deux, puis un troisième avant de remonter mes baisers dans son cou. Tout ça tandis que mes mains viennent de nouveau agripper ses cuisses sous le désir, mon visage désormais à quelques centimètres du sien, ses cheveux caressant à moitié ma joue, je lui adresse un fin sourire coquin. « Vos désirs sont des ordres. » lui dis-je en réponse à ses dernières paroles. Haewon n'est pas la seule qui aime jouer et ça, elle le sait très bien. Alors je reprends possession de ses lèvres, un baiser passionné que je prolonge au fil des secondes. Pendant ce temps là, une de mes mains quitte enfin ses cuisses, remontant doucement et sensuellement jusqu'à arrivé près de sa culotte. Trois de mes doigts passent sous le cordon de celui-ci, m'amusant quelque peu tandis qu'un fin sourire se dessine sur mes lèvres, toujours collées aux siennes. Bouillonne Haewon. Je mets finalement fin au baiser et puis redressant d'autant plus mon corps, le collant le plus possible contre le sien, je finis par glisser entièrement ma main dans cette dernière, ne lui laissant même pas le temps de réagir, je viens caresser son intimé avec sensualité mais surtout, avec envie. Je viens ensuite coller mes lèvres contre les siennes sans pour autant l'embrasser, le sourire scotché sur ces dernières ne m'a toujours pas quitté. Mon désir pour elle en devient insoutenable mais à la fois, encore plus excitant. Et après lui avoir mordiller passionnément la lèvre inférieure, sans cesser mes caresses, je viens loger ma tête dans son cou dans le but d'y déposer d'autres doux baisers. Elle me rend totalement fou, Haewon, je veux la dévorer toute crue et si elle ne l'avait pas encore compris, c'est maintenant chose faite.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Mar 7 Fév - 23:27 Citer EditerSupprimer
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haewon & sangae
Play it! - Tenue - Je le voulais tout entier, mais avec des mots il me serait impossible d'expliquer le désir puisant et incontrôlable que je ressentais dès que mon corps se collait contre le sien, dès que ses mains me tenaient contre lui. En l'occurence, avoir placé ses mains sur mes fesses me fit frémir, j'en eus des frissons sur tout le corps et pourtant, la température montait continuellement maintenant. Je voulais qu'il me touche, encore et encore, ne jamais en avoir assez de ses caresses, douces ou violentes soient-elles, je voulais qu'il me fasse sentir que j'étais belle et bien à lui maintenant, et à personne d'autre. Vos désirs sont mes ordres. je le regarde à ce moment-là. Terminé le regard de la copine amoureuse, le regard tendre. Non cette fois, mon regard est bien plus sérieux, bien plus désireux, ardent. Je rapproche mes lèvres des siennes pour les capturer avec désir, tandis qu'une de ses mains quitte ma cuisse. Je devine le chemin qu'elle va se frayer, et c'est droit vers mon sous-vêtement. Un sourire se dessine alors sur mes lèvres avant que je ne finisse par me la mordre doucement, mes mains se plaçants sur ses joues alors que j'attrape ses lèvres une nouvelle fois, fougueusement.
Je le sens sourire contre mes lèvres, mais je le sens surtout jouer de ses doigts sur mon intimité, ce qui me fait soupirer d'aise. Un soupir de plaisir qui s'écrase alors contre ses lèvres, mais je ne peux poursuivre ce baiser. Mes lèvres se décalent, s'écrasant contre sa joue alors que je ferme les yeux, savourant la sensation de sa main me procurant déjà une vague de plaisir inattendue, qui me torture, qui me fait gémir contre sa peau alors que mon bassin commence à bouger discrètement mais sûrement contre sa main, me procurant d'avantage de sensations. Sa bouche vient se loger dans mon cou, ce qui me fait relever la tête alors que ma bouche exprime par de doux gémissements le plaisir qu'il est en train de me donner. Ma main vient soudainement attraper son poignet, comme si je voulais l'empêcher de s'arrêter trop vite et l'incite alors à continuer de la même façon. Ses doigts viennent finalement se poser sur mon clitoris, sensation qui me secoue un premier temps. Je ne contrôle d'ailleurs pas mes gémissements, une chance qu'on soit seuls sur ce parking, nous aurions déjà été repéré.
Le plaisir montant trop rapidement, je décide de l'obliger à arrêter ce qu'il faisait en retirant sa main de mon intimité. Et sans perdre de temps, je passe sur la banquette arrière, sur le siège du milieu, l'obligeant à me suivre du regard. J'aimais sa façon de me regarder quand on faisait l'amour, il me donnait l'impression de me déshabiller du regard, de me dévorer, il suffisait d'un simplement regard pour qu'il m'embrase entièrement. Je veux lui donner chaud ce soir, faire battre son coeur plus fort encore que notre première nuit au gymnase, alors, de la façon la plus douce, je relève mon bassin, passant mes mains sous ma robe. J'attrape les deux extrémités de ma culotte, avant de tirer dessus et de la faire glisser le long de mes cuisses. Je relève légèrement les genoux, faisant glisser le bout de tissu sur mes mollets avec provocation alors que je ne quitte pas Sangae du regard. Je fais passer la culotte à mes pieds et la retire complètement, la jetant à mes côtés. Je remonte ma robe, le laissant alors apercevoir le temps d'une seconde mon intimité, le tout dans une provoc totale. Le message était clair: viens me faire l'amour, Sangae.
Je le sens sourire contre mes lèvres, mais je le sens surtout jouer de ses doigts sur mon intimité, ce qui me fait soupirer d'aise. Un soupir de plaisir qui s'écrase alors contre ses lèvres, mais je ne peux poursuivre ce baiser. Mes lèvres se décalent, s'écrasant contre sa joue alors que je ferme les yeux, savourant la sensation de sa main me procurant déjà une vague de plaisir inattendue, qui me torture, qui me fait gémir contre sa peau alors que mon bassin commence à bouger discrètement mais sûrement contre sa main, me procurant d'avantage de sensations. Sa bouche vient se loger dans mon cou, ce qui me fait relever la tête alors que ma bouche exprime par de doux gémissements le plaisir qu'il est en train de me donner. Ma main vient soudainement attraper son poignet, comme si je voulais l'empêcher de s'arrêter trop vite et l'incite alors à continuer de la même façon. Ses doigts viennent finalement se poser sur mon clitoris, sensation qui me secoue un premier temps. Je ne contrôle d'ailleurs pas mes gémissements, une chance qu'on soit seuls sur ce parking, nous aurions déjà été repéré.
Le plaisir montant trop rapidement, je décide de l'obliger à arrêter ce qu'il faisait en retirant sa main de mon intimité. Et sans perdre de temps, je passe sur la banquette arrière, sur le siège du milieu, l'obligeant à me suivre du regard. J'aimais sa façon de me regarder quand on faisait l'amour, il me donnait l'impression de me déshabiller du regard, de me dévorer, il suffisait d'un simplement regard pour qu'il m'embrase entièrement. Je veux lui donner chaud ce soir, faire battre son coeur plus fort encore que notre première nuit au gymnase, alors, de la façon la plus douce, je relève mon bassin, passant mes mains sous ma robe. J'attrape les deux extrémités de ma culotte, avant de tirer dessus et de la faire glisser le long de mes cuisses. Je relève légèrement les genoux, faisant glisser le bout de tissu sur mes mollets avec provocation alors que je ne quitte pas Sangae du regard. Je fais passer la culotte à mes pieds et la retire complètement, la jetant à mes côtés. Je remonte ma robe, le laissant alors apercevoir le temps d'une seconde mon intimité, le tout dans une provoc totale. Le message était clair: viens me faire l'amour, Sangae.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Jeu 16 Fév - 20:51 Citer EditerSupprimer
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Play it! - Ses lèvres s'écrasent contre ma joue tandis que je continue mes caresses. D'abord lentement, sensuellement, glissant ensuite sur son petit bouton. Son bassin se mouve délicatement, geste qui me fait décrocher un fin sourire. J'en profite alors pour l'embrasser dans le cou, augmentant le plaisir intense désormais installé entre nous. Ma chaleur corporelle grimpe encore d'un cran, en réalité, je ne sais pas combien de temps je vais tenir comme ça, ma respiration elle, se fait d'autant plus haletante dû à l'excitation. J'ai envie d'elle. Maintenant. Mais je joue avec elle, je la fais bouillonner. Elle aussi, me fait bouillonner. Ses gémissements près de mes oreilles, comment je suis censé y rester ? Elle m'attrape même le poignet, non pas pour m'éloigner mais plutôt pour m'inciter à continuer, geste qui me stimule d'autant plus, qui me donne d'autant plus chaud. De toute façon... Je ne comptais pas m'arrêter et à entendre ses gémissements, elle ne le souhaite pas non plus.
Mais au bout de quelques minutes, elle finit tout de même par retirer ma main. Passant ensuite sur la banquette arrière, plutôt surpris que ça se termine aussi vite, je ne faisais que commencer... Je la suis du regard. Et sensuellement, Haewon relève son bassin, baissant son sous-vêtement que je suis du regard dans un premier temps. Mon cœur rate un battement. Elle continue dans son jeu de provocation qui, il faut l'avouer, fonctionne à merveille. Je suis à deux doigts de lui sauter dessus, je ne sais même pas comment j'arrive à rester immobile, mais ça, c'est avant qu'elle m'offre une vue sur son intimé. Je remonte le regard, le plongeant dans le sien. Oh je l'ai déjà dévoré du regard et plus d'une fois mais de cette manière ? Jamais. Là, je veux la manger toute crue. Alors après quelques secondes, je finis par m'avancer vers elle, m'arrêtant cependant avant de passer à l'arrière. J'attrape mon sac de sport qui se trouvait précédemment à ses pieds, fouille sans patience à l'intérieur afin d'y sortir un préservatif que je garde dans le creux de ma main. Impensable pour nous de l'oublier cette fois... Heureusement que j'avais prévu le coup. Il faut dire que depuis la dernière fois, je préfère en avoir sur moi. Comme quoi, ça sert d'être prévoyant.
Une fois chose faite, je passe également à l'arrière et tout cela, sans la quitter du regard, ne cessant guère de la dévorer des yeux. J'approche mon visage du sien, l'embrassant langoureusement et j'en profite par la même occasion pour la faire basculer en arrière, mon corps désormais sur elle. J'ai envie de lui crier qu'elle me rend fou, qu'elle a un effet sur moi que je ne saurai expliquer mais ça, elle le sait déjà. Ça se voit, ça se ressent. Une de mes mains vient s'appuyer sur le siège, près de sa tête afin de garder l'équilibre et d'avoir un minimum d'appui. Mes lèvres n'ont pas encore quitté les siennes, impossible. J'approfondis le baiser, collant mon corps contre le sien dans le but de faire grimper d'autant plus la température. De ma main qui contient toujours le préservatif, je viens le déposer sur le côté sans grande attention afin de libérer ma main, une fois chose faite, je glisse cette dernière entre nos deux corps. Soulevant encore quelque peu sa robe avant de venir retirer mon bouton de pantalon. Je finis par mettre fin au baiser sans pour autant m'éloigner d'elle, nos lèvres ne sont qu'à quelques centimètres les unes des autres, comme si je pouvais toujours les sentir. Je lui offre un fin sourire tandis que ma main se charge toujours de me déboutonner mon pantalon. J'ai l'impression que je vais exploser d'une minute à l'autre. Exploser de désir mais surtout d'amour.
Mais au bout de quelques minutes, elle finit tout de même par retirer ma main. Passant ensuite sur la banquette arrière, plutôt surpris que ça se termine aussi vite, je ne faisais que commencer... Je la suis du regard. Et sensuellement, Haewon relève son bassin, baissant son sous-vêtement que je suis du regard dans un premier temps. Mon cœur rate un battement. Elle continue dans son jeu de provocation qui, il faut l'avouer, fonctionne à merveille. Je suis à deux doigts de lui sauter dessus, je ne sais même pas comment j'arrive à rester immobile, mais ça, c'est avant qu'elle m'offre une vue sur son intimé. Je remonte le regard, le plongeant dans le sien. Oh je l'ai déjà dévoré du regard et plus d'une fois mais de cette manière ? Jamais. Là, je veux la manger toute crue. Alors après quelques secondes, je finis par m'avancer vers elle, m'arrêtant cependant avant de passer à l'arrière. J'attrape mon sac de sport qui se trouvait précédemment à ses pieds, fouille sans patience à l'intérieur afin d'y sortir un préservatif que je garde dans le creux de ma main. Impensable pour nous de l'oublier cette fois... Heureusement que j'avais prévu le coup. Il faut dire que depuis la dernière fois, je préfère en avoir sur moi. Comme quoi, ça sert d'être prévoyant.
Une fois chose faite, je passe également à l'arrière et tout cela, sans la quitter du regard, ne cessant guère de la dévorer des yeux. J'approche mon visage du sien, l'embrassant langoureusement et j'en profite par la même occasion pour la faire basculer en arrière, mon corps désormais sur elle. J'ai envie de lui crier qu'elle me rend fou, qu'elle a un effet sur moi que je ne saurai expliquer mais ça, elle le sait déjà. Ça se voit, ça se ressent. Une de mes mains vient s'appuyer sur le siège, près de sa tête afin de garder l'équilibre et d'avoir un minimum d'appui. Mes lèvres n'ont pas encore quitté les siennes, impossible. J'approfondis le baiser, collant mon corps contre le sien dans le but de faire grimper d'autant plus la température. De ma main qui contient toujours le préservatif, je viens le déposer sur le côté sans grande attention afin de libérer ma main, une fois chose faite, je glisse cette dernière entre nos deux corps. Soulevant encore quelque peu sa robe avant de venir retirer mon bouton de pantalon. Je finis par mettre fin au baiser sans pour autant m'éloigner d'elle, nos lèvres ne sont qu'à quelques centimètres les unes des autres, comme si je pouvais toujours les sentir. Je lui offre un fin sourire tandis que ma main se charge toujours de me déboutonner mon pantalon. J'ai l'impression que je vais exploser d'une minute à l'autre. Exploser de désir mais surtout d'amour.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Jeu 23 Fév - 15:13 Citer EditerSupprimer
First night out
haewon & sangae
Play it! - Tenue - Il me faisait passer par tous les sentiments possibles et imaginables. Tout d'abord, il était entré dans ma vie comme un ouragan, quelque chose qu'on ne voit pas venir, ou alors, dont on ne mesure pas assez les conséquences, dont on n'a pas conscience de ce que ça peut engendrer après son passage. J'avais une vie bien ennuyante au final, je croyais être une fille normale, il a tout remis en question. La normalité n'existe pas, mais au-delà de ça, il me faisait me sentir unique, et surtout: bien dans ma peau. J'oubliais les erreurs du passé, j'oubliais tout, même le faux pas que j'avais commis avec lui, pour lui, parce que je sais maintenant la puissance que peut avoir un coup de foudre, ce qu'il peut provoquer, les sentiments qu'il fait naître. Je me pardonne. Je nous pardonne de tous les péchés qu'on commettra à l'avenir. Nous sommes jeunes. Nous devons profiter de la vie.
J'veux lui faire comprendre à chacun de mes gestes tout ce qu'il représente pour moi. En même pas un mois, il a dominé le jeu, il a tout gagné. Moi mais aussi ma confiance, et c'était les yeux fermés que j'avais décidé de construire quelque chose avec lui. Parce que je savais qu'il en valait la peine. Alors ce soir non, on ne baise pas à l'arrière de sa voiture, nous faisons l'amour. Aussi simple que cela pouvait être, c'était l'expression appliquée au sens propre. Mon coeur battait pour lui, le sentir près de moi était devenu vital, un besoin. Et j'en tremblais, ma respiration s'accélérait. Telle une enfant gâtée pourrie, je ne voulais pas attendre plus longtemps. Je le regarde, le dévorant, prendre une protection avant de venir me rejoindre à l'arrière. Nos langues se caressent, il me fait basculer en arrière. Je me laisse manipuler par lui, telle une poupée, puis je finis par passer mes mains dans son dos, comme pour le garder près de moi, parce que cette sensation de sa peau contre la mienne n'égale aucune autre sur ce monde. Comme si j'avais attendu presque 20 ans juste pour connaître ça, cette sensation de brûler au moindre contact avec ce garçon.
Sa main relève encore un peu le tissu de ma robe. Je prends la suite, le relevant pour les derniers centimètres qu'il restait, alors que, baissant les yeux, je vois sa main libre déboutonner son pantalon. Je m'en mords la lèvre. Quoiqu'il fasse, il était irrésistible. Je me redresse légèrement, et alors qu'il descend la braguette, j'ai l'audace de glisser lentement ma main sous son caleçon, histoire d'éveiller un peu plus ses sens même si, je n'en doute pas, ils le sont déjà assez bien. Je joue, le temps de quelques courtes secondes, durant lesquelles je vais même jusqu'à me rapprocher de son cou, où je dépose des baisers, brûlants, lui laissant alors quelques marques de rouge à lèvres par ci par là. J'en ris discrètement, contre sa peau, puis je me recule pour le regarder alors dans les yeux. Je prends un peu le temps de le dévisager, de le dévorer des yeux, de me dire que je l'ai dans la peau et ce sûrement pour un bon moment, parce qu'il m'a ensorcelé et que je ne pourrai plus m'imaginer sans lui. C'était tout bonnement impossible.
Mon dos se recolle contre la banquette, le laissant sûrement encore plus impatient que toute à l'heure. Je tourne la tête, et aperçois le préservatif encore dans son emballage. J'attrape le papier, le déchire, et sors le plastique, avant de me redresser une fois de plus, pour pouvoir l'atteindre. Et sans trop attendre son avis, je finis par glisser sur son intimité ce qui allait nous permettre de faire l'amour sans se poser 1000 questions, sans avoir peur dès le soleil levé. Sans avoir besoin de courir à la pharmacie du coin pour prendre la pilule du lendemain. Je le glisse avec lenteur, dans le but de me faire encore un peu désirer, mais me mettant moi-même dans une attente insupportable, je ne fais pas durer plus longtemps et finis par me rallonger, relevant à nouveau la robe qui s'était un peu baissée.
J'veux lui faire comprendre à chacun de mes gestes tout ce qu'il représente pour moi. En même pas un mois, il a dominé le jeu, il a tout gagné. Moi mais aussi ma confiance, et c'était les yeux fermés que j'avais décidé de construire quelque chose avec lui. Parce que je savais qu'il en valait la peine. Alors ce soir non, on ne baise pas à l'arrière de sa voiture, nous faisons l'amour. Aussi simple que cela pouvait être, c'était l'expression appliquée au sens propre. Mon coeur battait pour lui, le sentir près de moi était devenu vital, un besoin. Et j'en tremblais, ma respiration s'accélérait. Telle une enfant gâtée pourrie, je ne voulais pas attendre plus longtemps. Je le regarde, le dévorant, prendre une protection avant de venir me rejoindre à l'arrière. Nos langues se caressent, il me fait basculer en arrière. Je me laisse manipuler par lui, telle une poupée, puis je finis par passer mes mains dans son dos, comme pour le garder près de moi, parce que cette sensation de sa peau contre la mienne n'égale aucune autre sur ce monde. Comme si j'avais attendu presque 20 ans juste pour connaître ça, cette sensation de brûler au moindre contact avec ce garçon.
Sa main relève encore un peu le tissu de ma robe. Je prends la suite, le relevant pour les derniers centimètres qu'il restait, alors que, baissant les yeux, je vois sa main libre déboutonner son pantalon. Je m'en mords la lèvre. Quoiqu'il fasse, il était irrésistible. Je me redresse légèrement, et alors qu'il descend la braguette, j'ai l'audace de glisser lentement ma main sous son caleçon, histoire d'éveiller un peu plus ses sens même si, je n'en doute pas, ils le sont déjà assez bien. Je joue, le temps de quelques courtes secondes, durant lesquelles je vais même jusqu'à me rapprocher de son cou, où je dépose des baisers, brûlants, lui laissant alors quelques marques de rouge à lèvres par ci par là. J'en ris discrètement, contre sa peau, puis je me recule pour le regarder alors dans les yeux. Je prends un peu le temps de le dévisager, de le dévorer des yeux, de me dire que je l'ai dans la peau et ce sûrement pour un bon moment, parce qu'il m'a ensorcelé et que je ne pourrai plus m'imaginer sans lui. C'était tout bonnement impossible.
Mon dos se recolle contre la banquette, le laissant sûrement encore plus impatient que toute à l'heure. Je tourne la tête, et aperçois le préservatif encore dans son emballage. J'attrape le papier, le déchire, et sors le plastique, avant de me redresser une fois de plus, pour pouvoir l'atteindre. Et sans trop attendre son avis, je finis par glisser sur son intimité ce qui allait nous permettre de faire l'amour sans se poser 1000 questions, sans avoir peur dès le soleil levé. Sans avoir besoin de courir à la pharmacie du coin pour prendre la pilule du lendemain. Je le glisse avec lenteur, dans le but de me faire encore un peu désirer, mais me mettant moi-même dans une attente insupportable, je ne fais pas durer plus longtemps et finis par me rallonger, relevant à nouveau la robe qui s'était un peu baissée.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Dim 12 Mar - 23:48 Citer EditerSupprimer
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haewon & sangae
Play it! - J'ai l'air calme comme ça, peut-être un peu trop mais toucher à Haewon peut me mettre hors de moi. Et encore ce soir... Je me suis contrôlé, encore. Je passe mon temps à prendre sur moi et ça peut être un vilain défaut. Le jour où ça éclatera, ça ne prévoit rien de bon. Mais c'est plus fort que moi, cela fait partie de mon caractère. Je n'arrive pas à faire autrement. Face à ce type, je ne pouvais pas ne rien faire. L'entendre parler d'Haewon de cette manière en plus de ça... Alors oui, j'ai eu du mal à me calmer, à faire redescendre l'envie de lui faire manger toutes les tables du bar, et même du bar d'en face. Toucher à Haewon peut me rendre dans cet état, oui, mais seule elle parvient également à me calmer. Alors quand la situation commence à déraper, ma colère se transforme en désir intense, je la désire chaque minute de ma vie mais quand elle s'y met... Impossible de rester de marbre. Haewon est ma faiblesse, littéralement.
Chaque baiser que nous nous échangions, chaque caresse, chaque regard qui me provoquerait presque comme un électrochoc dans mon corps. Électrochoc qui me prouve encore que cette femme est différente des autres, qu'entre nous, ce n'est pas prêt de s'arrêter. Oh que non, j'en suis persuadé, Haewon a déjà changé ma vie mais également, mon futur. Tout cet amour entre nous, cette tension, toutes ses choses que je ne peux exprimer avec de simples mots. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour la garder près de moi, pour la rendre heureuse car elle le mérite. Haewon mérite d'être heureuse et moi... Moi... Je ne sais clairement pas ce que j'ai fait pour mériter une femme aussi parfaite.
Mais cette fois, je ne compte pas oublier le plus important... Le préservatif. Une fois pas deux, alors avant de la rejoindre sur la banquette arrière, je m'en saisie aussitôt. Je joue avec elle, lui relevant quelque peu son vêtement. Ce jeu entre nous qui n'est pas prêt de s'éteindre, ce jeu qui me rend littéralement fou. Même si Haewon arrive toujours à me surprendre, et ça... Je doute que ça change réellement, elle glisse sa main dans mon caleçon. Je laisse échapper un soupir de désir d'entre mes lèvres, mes yeux se ferment même un court instant. Ses lèvres viennent se déposer contre mon cou, mon cœur bat si fort dans ma poitrine, j'ai l'impression que je vais littéralement crever, à tout instant. Jamais personne ne m'a fait cet effet-là, jamais personne avant elle. Je suis à ses pieds, complètement. C'est avec elle que je profite, que je profite de ma jeunesse mais également, avec elle que je vois mon avenir, avec elle que je veux évoluer, vieillir.
J'ai bien du mal à me remettre de mes émotions, ou ne serait-ce juste que de me concentrer. Me concentrer avec le corps bouillant d'Haewon sous moi ? Impossible. Ma respiration se fait plus haletante encore, mais ce n'est rien comparé au moment où ma petite amie prend les devants et glisse le préservatif sur mon intimé, lentement, beaucoup trop lentement. Haewon se fait désirer et l'attente en devient insoutenable. Alors je viens de relever son visage et rapidement, je viens reprendre possession de ses lèvres. Un baiser langoureux, passionné mais surtout amoureux. Haewon, j'en suis raide dingue. Le pire dans tout ça... Le mot est faible, si faible. Mais à l'heure actuelle, je n'ai pas cette patience. Alors je glisse ma main entre nos deux corps, souriant contre ses lèvres. Je ne perds pas de temps, je ne me contrôle plus vraiment, je glisse en elle lâchant par la même occasion un soupir de désir. Ma main vient alors s'appuyer sur la banquette, près de la tête de ma petite amie afin d'y prendre appui, mes lèvres ne quittent pas les siennes ma chaleur corporelle quant à elle est à son maximum, mon coeur est toujours près à exploser. Je commence alors à mouver mon bassin, lâchant enfin ses lèvres avec difficulté. Mouvements d'abord lents qui deviennent rapidement plus brusques. Mes lèvres à quelques centimètres des siennes. J'oublie tout, absolument tout. Surtout le fait que je suis en train de faire ça dans la voiture de mon père...
Chaque baiser que nous nous échangions, chaque caresse, chaque regard qui me provoquerait presque comme un électrochoc dans mon corps. Électrochoc qui me prouve encore que cette femme est différente des autres, qu'entre nous, ce n'est pas prêt de s'arrêter. Oh que non, j'en suis persuadé, Haewon a déjà changé ma vie mais également, mon futur. Tout cet amour entre nous, cette tension, toutes ses choses que je ne peux exprimer avec de simples mots. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour la garder près de moi, pour la rendre heureuse car elle le mérite. Haewon mérite d'être heureuse et moi... Moi... Je ne sais clairement pas ce que j'ai fait pour mériter une femme aussi parfaite.
Mais cette fois, je ne compte pas oublier le plus important... Le préservatif. Une fois pas deux, alors avant de la rejoindre sur la banquette arrière, je m'en saisie aussitôt. Je joue avec elle, lui relevant quelque peu son vêtement. Ce jeu entre nous qui n'est pas prêt de s'éteindre, ce jeu qui me rend littéralement fou. Même si Haewon arrive toujours à me surprendre, et ça... Je doute que ça change réellement, elle glisse sa main dans mon caleçon. Je laisse échapper un soupir de désir d'entre mes lèvres, mes yeux se ferment même un court instant. Ses lèvres viennent se déposer contre mon cou, mon cœur bat si fort dans ma poitrine, j'ai l'impression que je vais littéralement crever, à tout instant. Jamais personne ne m'a fait cet effet-là, jamais personne avant elle. Je suis à ses pieds, complètement. C'est avec elle que je profite, que je profite de ma jeunesse mais également, avec elle que je vois mon avenir, avec elle que je veux évoluer, vieillir.
J'ai bien du mal à me remettre de mes émotions, ou ne serait-ce juste que de me concentrer. Me concentrer avec le corps bouillant d'Haewon sous moi ? Impossible. Ma respiration se fait plus haletante encore, mais ce n'est rien comparé au moment où ma petite amie prend les devants et glisse le préservatif sur mon intimé, lentement, beaucoup trop lentement. Haewon se fait désirer et l'attente en devient insoutenable. Alors je viens de relever son visage et rapidement, je viens reprendre possession de ses lèvres. Un baiser langoureux, passionné mais surtout amoureux. Haewon, j'en suis raide dingue. Le pire dans tout ça... Le mot est faible, si faible. Mais à l'heure actuelle, je n'ai pas cette patience. Alors je glisse ma main entre nos deux corps, souriant contre ses lèvres. Je ne perds pas de temps, je ne me contrôle plus vraiment, je glisse en elle lâchant par la même occasion un soupir de désir. Ma main vient alors s'appuyer sur la banquette, près de la tête de ma petite amie afin d'y prendre appui, mes lèvres ne quittent pas les siennes ma chaleur corporelle quant à elle est à son maximum, mon coeur est toujours près à exploser. Je commence alors à mouver mon bassin, lâchant enfin ses lèvres avec difficulté. Mouvements d'abord lents qui deviennent rapidement plus brusques. Mes lèvres à quelques centimètres des siennes. J'oublie tout, absolument tout. Surtout le fait que je suis en train de faire ça dans la voiture de mon père...
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Lun 13 Mar - 17:43 Citer EditerSupprimer
First night out
haewon & sangae
Play it! - Tenue - La nuit est froide. La température chute à mesure que les minutes passent mais à l’intérieur de cette voiture, il n’en est rien. Je me charge de faire grimper le mercure, je torture Sangae. Parce que j’aime faire ça, mais j’aime encore plus le voir à mon supplice. Je suis prête à parier qu’il n’a jamais eu une copine comme moi avant, si entreprenante. Pourtant, Dieu sait que je ne suis pas vraiment comme ça de base, mais lui, il change tellement de choses en moi que j’en viens à me poser des questions. Est-ce que je n’étais pas sous hypnose? Qu’est-ce qu’il avait en lui qui me rendait si faible, si folle? C’est en le regardant que je me rends compte que je ne pourrais jamais me passer de lui et de son corps. Je voudrais en embrasser chaque parcelle, le mordre parfois, je suis accroc et je n’en suis pas si fière. Mais je n’ai pas peur de le dire, de le crier sur tous les toits, je suis folle de ce garçon. Je suis folle du dernier Yu, parce qu’il n’a rien des autres garçons que je fréquente habituellement, parce qu’il est simple. Parce que la première fois que je l’ai rencontré, il est tombé, et j’ai craqué. C’est idiot dit comme ça mais celui que je prenais pour le plus mignon des Yu est en fait tous mes fantasmes devenus réalité. Ce corps, cette voix, ce caractère… Je rêvais de rencontrer quelqu’un comme lui et maintenant qu’il était à moi, je ne le laisserais jamais partir.
Parce que Sang, c’est ce garçon qui encaisse tout jusqu’à un certain point où il finit par exploser. Il a cette force en lui, ce courage, que j’admire tant. Qui me fait craquer et je n’ai pas honte de le reconnaître. Oui, à 19 ans, je me livre complètement à un garçon parce que je sais que je ne le regretterai pas. D’où ma façon de jouer avec lui aussi, de le soumettre à la tentation mais on ne tient pas longtemps. Si d’abord, j’ai voulu faire ça pour faire redescendre sa colère, je me retrouve finalement aussi embrigadée dans ce jeu de séduction. Il pose les mains sur moi une fois, et c’en est fini. Je deviens dingue, et il me faut plus. Plus, plus, encore plus…
Alors je m’allonge sur cette banquette, mon corps brûlant dans ce froid de Janvier, je l’incite à venir en moi. J’écarte alors légèrement les cuisses de sorte à ce qu’il s’y mette, mais, quand il approche de moi, je l’attrape par la nuque, de ma main froide, et le force à venir m’embrasser. Il m’embrasse, oui, il m’embrasse avec une telle puissance que je ressens soudainement tout ce qu’il éprouve pour moi. Je l’aime désespérément, il m’aime pareil. Je refuse qu’il me fasse trop attendre, alors, quand je le sens s’immiscer en moi, un râle de plaisir passe mes lèvres alors que je viens frôler les siennes, toujours assez audacieuse pour jouer à ce petit jeu de séduction. Ma main gauche attrape son avant-bras, il me semble même le griffer en voulant le saisir, mais je ne peux pas garder les idées claires. Tellement de sentiments à la fois m’accablent, je ne sais plus me contrôler. Je sais juste que, quand j’ouvre les yeux pour le regarder, alors qu’il effectue des mouvements plus secs, je le dévore du regard. Je l’incite à continuer. Je m’en mords la lèvre, comment est-ce possible que ce garçon soit mien? Ce soir particulièrement, je ne me retiens pas. Nous sommes seuls sur ce parking, alors je veux qu’il m’entende, qu’il entende à quel point ce qu’il me fait est bon. Il n’y a pas meilleure sensation que ça. Plusieurs soupirs de plaisir s’échappent de mes lèvres, je me surprends même à gémir son prénom. Ma tête se tourne, je regarde sa main prendre appui sur la banquette, je le trouve d’autant plus excitant dans cette position. Alors, je repose les yeux sur lui et relève légèrement la tête pour venir attraper ses lèvres dans un baiser ardent alors que mes jambes glissent sur les siennes. Je le sens accélérer, j’aime tellement ce qu’il me fait. Mes lèvres essayent d’attraper les siennes, mais c’est un échec, je suis bien trop occupée à savourer le plaisir qu’il me donne. De ce fait, un nouveau gémissement de plaisir passe mes lèvres alors que je laisse échapper « T’arrête pas… » Oh non Sangae, ne t’arrête pas. Ne t’arrête jamais.
Au bout de quelques minutes, je souhaite rendre ça encore plus excitant. De ce fait, je le force à se lever, appuyant sur ses épaules. Nous basculons. Je me retrouve alors sur lui, à califourchon, sur le siège du milieu. Je relève ma robe, encore. Jusqu’à l’enlever complètement. Je me débarrasse sans tarder de mon soutien-gorge, me retrouvant alors entièrement nue sur lui. Je sais que ça lui plaît, que la simple vue de mon corps nu le pousse dans ses retranchements. J’en souris de malice, avant de venir l’embrasser une fois de plus, avec fougue. Et, mes bras viennent trouver appui sur ses épaules, alors que je commence à mouver mon corps sur le sien, provoquant ainsi des vas et viens sur son sexe. Doucement, d’abord, parce que je veux profiter, je veux qu’on profite.
Parce que Sang, c’est ce garçon qui encaisse tout jusqu’à un certain point où il finit par exploser. Il a cette force en lui, ce courage, que j’admire tant. Qui me fait craquer et je n’ai pas honte de le reconnaître. Oui, à 19 ans, je me livre complètement à un garçon parce que je sais que je ne le regretterai pas. D’où ma façon de jouer avec lui aussi, de le soumettre à la tentation mais on ne tient pas longtemps. Si d’abord, j’ai voulu faire ça pour faire redescendre sa colère, je me retrouve finalement aussi embrigadée dans ce jeu de séduction. Il pose les mains sur moi une fois, et c’en est fini. Je deviens dingue, et il me faut plus. Plus, plus, encore plus…
Alors je m’allonge sur cette banquette, mon corps brûlant dans ce froid de Janvier, je l’incite à venir en moi. J’écarte alors légèrement les cuisses de sorte à ce qu’il s’y mette, mais, quand il approche de moi, je l’attrape par la nuque, de ma main froide, et le force à venir m’embrasser. Il m’embrasse, oui, il m’embrasse avec une telle puissance que je ressens soudainement tout ce qu’il éprouve pour moi. Je l’aime désespérément, il m’aime pareil. Je refuse qu’il me fasse trop attendre, alors, quand je le sens s’immiscer en moi, un râle de plaisir passe mes lèvres alors que je viens frôler les siennes, toujours assez audacieuse pour jouer à ce petit jeu de séduction. Ma main gauche attrape son avant-bras, il me semble même le griffer en voulant le saisir, mais je ne peux pas garder les idées claires. Tellement de sentiments à la fois m’accablent, je ne sais plus me contrôler. Je sais juste que, quand j’ouvre les yeux pour le regarder, alors qu’il effectue des mouvements plus secs, je le dévore du regard. Je l’incite à continuer. Je m’en mords la lèvre, comment est-ce possible que ce garçon soit mien? Ce soir particulièrement, je ne me retiens pas. Nous sommes seuls sur ce parking, alors je veux qu’il m’entende, qu’il entende à quel point ce qu’il me fait est bon. Il n’y a pas meilleure sensation que ça. Plusieurs soupirs de plaisir s’échappent de mes lèvres, je me surprends même à gémir son prénom. Ma tête se tourne, je regarde sa main prendre appui sur la banquette, je le trouve d’autant plus excitant dans cette position. Alors, je repose les yeux sur lui et relève légèrement la tête pour venir attraper ses lèvres dans un baiser ardent alors que mes jambes glissent sur les siennes. Je le sens accélérer, j’aime tellement ce qu’il me fait. Mes lèvres essayent d’attraper les siennes, mais c’est un échec, je suis bien trop occupée à savourer le plaisir qu’il me donne. De ce fait, un nouveau gémissement de plaisir passe mes lèvres alors que je laisse échapper « T’arrête pas… » Oh non Sangae, ne t’arrête pas. Ne t’arrête jamais.
Au bout de quelques minutes, je souhaite rendre ça encore plus excitant. De ce fait, je le force à se lever, appuyant sur ses épaules. Nous basculons. Je me retrouve alors sur lui, à califourchon, sur le siège du milieu. Je relève ma robe, encore. Jusqu’à l’enlever complètement. Je me débarrasse sans tarder de mon soutien-gorge, me retrouvant alors entièrement nue sur lui. Je sais que ça lui plaît, que la simple vue de mon corps nu le pousse dans ses retranchements. J’en souris de malice, avant de venir l’embrasser une fois de plus, avec fougue. Et, mes bras viennent trouver appui sur ses épaules, alors que je commence à mouver mon corps sur le sien, provoquant ainsi des vas et viens sur son sexe. Doucement, d’abord, parce que je veux profiter, je veux qu’on profite.
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Re: [-18] FIRST NIGHT OUT FT. SANGWON | Mar 14 Mar - 23:02 Citer EditerSupprimer
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haewon & sangae
Play it! - Il y a des choses que tu n'arrives pas à expliquer, comme tout cet amour que tu ressens pour elle. Les mots ne suffisent même plus, tu ressens juste les choses, ces ressentis, tout cet amour, tu ne rendrais tout ça pour rien au monde... Puis d'autres choses que tu n'arrives pas à comprendre, comme... Comment as-tu réussi à avoir une petite amie telle que Haewon ? Tu n'es que Sang Ae, que le dernier Yu de la famille, ce garçon discret qu'on ne remarque même pas, ou simplement qu'en tant que le petit frère des Yu, ou encore, le frère jumeau de Soon Ae. En général, les gens connaissent plus Soon Ae que toi. Ouais... Rare sont les personnes qui connaissent Yu Sang Ae, la vraie personne que tu es, au delà de ce garçon discret qui garde la tête enfouie dans ses bouquins, au delà de ce génie dont on ne connaît même pas le nom, qu'on ne prend même pas la peine de lui parler, mais qu'on est pourtant certain qu'il vient d'une grande famille. Te voilà, vivant cette magnifique histoire avec Nam Haewon, ta Nam Haewon, à toi, oui oui. Et là tu partages de nouveau un moment intime avec elle, un moment intime mais passionnel, amoureux, un moment unique, comme chaque instant que vous partagez tous les deux. Unique, oui. Ce n'est pas la première fois que tu lui succombes mais unique et bel et bien le mot, Haewon le rend unique, elle a ce pouvoir sur toi mais pas que. Sans doute parce que tu l'aimes à en crever, à en recracher ton coeur qui bat au rythme du sien... mais qu'à la fois, cet amour te rend plus vivant que jamais.
Tes vas et viens se font plus secs, plus bestiaux encore. Parce que ce soir, Haewon, tu veux la dévorer toute crue. Ta colère n'est pas vraiment redescendue, tu l'as juste oublié puisqu'elle s'est transformée, Haewon l'a transformé. Tu es devenue une bête Sang, et tu as faim, tu as faim d'elle, de son corps. Pourtant, tu ne la baise pas, même dans cet état, même lorsque ses griffes te rentrent dans la peau et que toi tu es au bord de l'explosion, que tu continues tes gestes, les dents serrés comme pour retenir tes gémissements, tu ne la baises pas, même quand elle se met à gémir ton prénom, geste qui t'incite à continuer sur ta lancée, gardant le même rythme. Tu ne la baises pas, même quand elle te demande de ne pas t'arrêter, même quand tu continues de tout lui donner, dans des gestes tout aussi bestiaux. Non, on ne parle pas de baise, là, tu lui fais l'amour. Encore et toujours. Vous faites l'amour, même lorsque cet amour vous possède au point où vous vous dévorez comme ce soir, du regard mais pas que. C'est cet amour et Haewon qui te rendent aussi sauvage, aussi assoiffé d'elle, de son corps, du plaisir qu'elle peut t'apporter. Qui t'a également fait faire connaissance avec le nouveau Sang, la bête que tu es depuis quelques minutes.
Au bout de quelques minutes, elle te force à te redresser, se mettant ainsi en califourchon sur ton corps, elle se met à se déshabiller et toi... tu l'admires, tu admires son corps si parfait, ton corps à toi. Tu aimes ça toi, quand elle souhaite prendre le dessus, ça t'excite d'avantage et Haewon le sait très bien. Tu aimes aussi te soumettre à elle, être complètement à sa merci, tu la dévores du regard, tu te surprends même en train de te mordiller la lèvre inférieure, laissant échapper un énième soupir de désir. Haewon, qui passe de la soumission à la domination en quelques minutes à peine, tu aimes ça, toi. Tu bouillonnes encore Sang, tu as chaud, elle joue avec toi. Elle dépose ses mains sur tes épaules comme pour y trouver un appui puis se met à mouver lentement son bassin, tu fermes délicatement les yeux comme pour plus apprécier cet échange. Puis après ça, tes mains viennent agripper sa taille, nue, avec désir et envie, comme pour l'inciter à continuer, la sentir encore plus proche de toi, comme si elle ne l'était déjà pas assez... Tu l'agrippes si fort, tu la désires tellement, tellement que tu es bord de l'explosion. Tes lèvres appellent les siennes, elles les réclament. Ton coeur bat si fort dans ta poitrine, tellement fort... Et dans un soupir, tu lui chuchotes tout contre ses lèvres un « Continue.. » Continue Haewon... tu aimes ça, tu ne veux pas qu'elle arrête. Tu veux qu'elle te rende fou jusqu'au bout. Que ton coeur explose. Qu'elle te rende encore plus fou, encore, encore plus, fou à t'en faire enfermé.
Tes vas et viens se font plus secs, plus bestiaux encore. Parce que ce soir, Haewon, tu veux la dévorer toute crue. Ta colère n'est pas vraiment redescendue, tu l'as juste oublié puisqu'elle s'est transformée, Haewon l'a transformé. Tu es devenue une bête Sang, et tu as faim, tu as faim d'elle, de son corps. Pourtant, tu ne la baise pas, même dans cet état, même lorsque ses griffes te rentrent dans la peau et que toi tu es au bord de l'explosion, que tu continues tes gestes, les dents serrés comme pour retenir tes gémissements, tu ne la baises pas, même quand elle se met à gémir ton prénom, geste qui t'incite à continuer sur ta lancée, gardant le même rythme. Tu ne la baises pas, même quand elle te demande de ne pas t'arrêter, même quand tu continues de tout lui donner, dans des gestes tout aussi bestiaux. Non, on ne parle pas de baise, là, tu lui fais l'amour. Encore et toujours. Vous faites l'amour, même lorsque cet amour vous possède au point où vous vous dévorez comme ce soir, du regard mais pas que. C'est cet amour et Haewon qui te rendent aussi sauvage, aussi assoiffé d'elle, de son corps, du plaisir qu'elle peut t'apporter. Qui t'a également fait faire connaissance avec le nouveau Sang, la bête que tu es depuis quelques minutes.
Au bout de quelques minutes, elle te force à te redresser, se mettant ainsi en califourchon sur ton corps, elle se met à se déshabiller et toi... tu l'admires, tu admires son corps si parfait, ton corps à toi. Tu aimes ça toi, quand elle souhaite prendre le dessus, ça t'excite d'avantage et Haewon le sait très bien. Tu aimes aussi te soumettre à elle, être complètement à sa merci, tu la dévores du regard, tu te surprends même en train de te mordiller la lèvre inférieure, laissant échapper un énième soupir de désir. Haewon, qui passe de la soumission à la domination en quelques minutes à peine, tu aimes ça, toi. Tu bouillonnes encore Sang, tu as chaud, elle joue avec toi. Elle dépose ses mains sur tes épaules comme pour y trouver un appui puis se met à mouver lentement son bassin, tu fermes délicatement les yeux comme pour plus apprécier cet échange. Puis après ça, tes mains viennent agripper sa taille, nue, avec désir et envie, comme pour l'inciter à continuer, la sentir encore plus proche de toi, comme si elle ne l'était déjà pas assez... Tu l'agrippes si fort, tu la désires tellement, tellement que tu es bord de l'explosion. Tes lèvres appellent les siennes, elles les réclament. Ton coeur bat si fort dans ta poitrine, tellement fort... Et dans un soupir, tu lui chuchotes tout contre ses lèvres un « Continue.. » Continue Haewon... tu aimes ça, tu ne veux pas qu'elle arrête. Tu veux qu'elle te rende fou jusqu'au bout. Que ton coeur explose. Qu'elle te rende encore plus fou, encore, encore plus, fou à t'en faire enfermé.
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