han kim + pale blue eyes
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han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 18:32 Citer EditerSupprimer
nom : han. prénom : byungha dite kim. âge : vingt-et-un ans. date et lieu de naissance : née à l'hôpital de busan en 95 un sept septembre. origines : coréenne. nationalité : coréenne. cursus universitaire : bilicence d'arts appliqués et de lettres classiques. métier : baby-sitter de son temps libre, livreuse dans un combini le soir. orientation sexuelle : pas le souvenir que ça regarde quiconque? classe sociale : ça ne veut plus rien dire. code du règlement : ok by shadow tu veux t'investir ? finalement, oui.
Ce jour-là, étrangement, la petite Kim était mignonne, dans sa robe bouffante d’enfant, une couronne de roses noires ornant sa tête. Ses genoux se frottaient nerveusement, ses mains tripotaient un pétale de fleur ramassé, le regard fixé sur ses jolies ballerines à paillettes. Des images en saccadé défilaient dans sa tête sans s’arrêter, un bourdonnement sourd dans les oreilles, les mains moites et la bouche sèche. Elle se rappelait de la sensation salvatrice de voler. Son corps virevoltait dans ses souvenirs les bras soutenus par ceux de sa mère qui tournaient, tournaient, tournaient. C’était comme une photographie du temps qui peinait à se développer entièrement, coincée dans l’éternité de l’instant, la sensation que l’instant ne s’arrêterait jamais, qu’elle évoluerait dans l’air infiniment. Ça en donnait la nausée.
Une horde de personnes toutes plus inconnue les unes que les autres l’entouraient tandis que le prêtre récitait le verset 7 à 8 du chapitre 13 des Premières Lettres aux Corinthiens. C’était dramatiquement ridicule, Maman ne croyait pas en Dieu, encore moins à la résurrection, et encore moins au pardon. Elle m’avait enseigné à tenir mon archer, ne pas avoir peur en moto, à n’avoir confiance en personne, à voler des doritos sans me faire prendre, à sourire en toutes circonstances, à avoir l’air désolée, triste, joyeuse, exquise, à haïr mon père, mais jamais, au grand jamais, à pardonner. Elle était probablement amère, aigrie et m’avait instruit les mauvais codes sociaux selon la vertu populaire ; mais ce sont ses leçons de vie qui m’auront forgé plus tard. Ce jour là, je n’ai pas pleuré. J’avais neuf ans, et je n’ai pas le souvenir de m’être sentie enfant une fois encore depuis.
La kim en âge de raison était colérique devant les enfants, pleine de sagesse devant les enseignants, angélique devant les parents, mais vide quand il s’agissait des siens. Monsieur et madame han avaient accueilli cette étrangère au sein de leur foyer brisé à reculons. Madame était enchantée, ivre de joie de pouvoir recommencer à nouveau une famille sans les peines de la petite enfance, totalement abrutie par sa stupidité devant l’image même de l’adultère de son mari. Monsieur, lui, était juste ivre. Ivre de stupeur, de déconcertitude, de honte, d’amour niais et de whisky lourd. ils formaient à deux la famille le plus pathétique qu’il ne m’ait jamais été donné de voir. Celle que j’ai dû apprendre à appeler « mère » était pathétique par sa dévotion à son mari, par sa naïveté à croire en la bonté des gens, par sa détermination à faire fonctionner une famille qui, en absence d’enfants aimants, n’en était pas vraiment une. Celui qui était biologiquement mon « père » était pathétique par sa faiblesse d’esprit devant le bourbon sec, par les coups de lâche dont il faisait profiter notre corps, par son incapacité à aimer correctement. Le plus pathétique, et pourtant le plus intelligent, était celui que je n’avais jamais vu, celui dont on ne prononçait pas le nom, celui auquel on s’interdisait de penser. Je n’ai jamais su si c’était mon jeune âge qui me gardait loin des secrets de cette famille et notamment de celui recouvrant leur fils répudié ou bien si c’était le fait que je n’avais jamais vraiment fait partie de leur famille.
Kim, l’adolescente, n’a jamais vraiment bronché face à l’agressivité de son père. Elle était passive, presque provocante. Il n’osait jamais aller au delà de la nuque et en deçà de la ceinture. Au mieux, elle ornait des cicatrices d’une mosaïque de colère sur le dos, au pire, ces traces disparaissaient tôt ou tard. Aussi étrange que cela puisse paraître, il n’osait que très rarement la toucher. La mère était une cible plus facile, plus docile, plus plaintive. Elle, elle hurlait et se débattait par les mots. Elle savait pleurer et geindre. Elle savait implorer, implorer et encore implorer. Des heures durant parfois. Elle était là, elle. Je n’ai jamais su être aussi bonne comédienne.
J’étais stoïque et impénétrable, jusqu’à ce qu’il me dépasse à mon propre jeu. Il avait finalement appris à me frapper comme il le faisait probablement avec son fils, et non plus comme une jeune fille écervelée qu’il considérait.
c’est dans les explosions de lumières des boites de nuit, dans l’implosion de sentiments dissimulée dans une prélude en si mineur de bach, dans les palettes de couleurs des peintures de rusiñol, dans la subtilité des mots sensibles d’apollinaire, dans les coups vifs et honnêtes assénés à mes ennemis, dans l’assouvissement de la rencontre de deux corps nus sur une aire d’autoroute vide, que je me suis sentie le mieux. J’étais princesse à l’auto-bronzant, aux mini-jupes et aux cheveux blonds. J’étais une gal coréenne en devenir et passablement foirée qui forniquait le soir pour rentrer se faire embrasser par sa mère inquiète au matin. J’étais élève modèle devant les enseignants, enfant puritaine devant les femmes, caïd devant les filles, ambitieuse devant les hommes, impassible devant les garçons. Je frappais ceux qui ne me comprenaient pas, caressais ceux qui me comprenaient, manipulais les plus jeunes comme les plus vieux, buvais jusqu’à m’en détruire le foie, avalais ce que je pouvais, couchais avec ceux que je voulais, volais ce qui m’était possible.
Pourtant je tremble toujours à la lueur de la nuit, seule, dans ma chambre. Je me réveille le souffle coupé, la peau gelée, les yeux humides, des cauchemars pleins la tête. Je panique à l’idée qu’un jour, il franchisse la limite, de nouveau. Qu’il me brise entièrement ; moralement. Mon corps est interchangeable, mon âme est finie. J’avale alors mes cachets pour l’anxiété en les diluant au whisky qui traîne sur la table. Je me suis surprise à être, la nuit seulement, celui que je haïssais, celui que j’avais appris à haïr.
Je rêvais dans ma solitude, dans ma chambre, à ce que mon supposé frère avait bien pu faire pour mériter de quitter le foyer familial, le soit disant « cocon ». Jusque là, j’ignorais s’il était parti ou bien s’il avait été expulsé. Je ne connaissais que ses traits d’enfants qui ornaient quelques parcelles des murs remplis de photos, ainsi que son nom.
Puis je l’ai vu, sans qu’il ne me voie.
han kim
The Holocene extinction
audacieuse (★★★✰✰) | farouche (★★★✰✰) | impatiente (★★★✰✰) | arrogante (★★★✰✰) | anti-conformiste (★★★✰✰) |
introvertie (★★★✰✰) | bohème (★★★✰✰) | loyale (★★★✰✰) | honnête (★★★✰✰) | vicieuse (★★★✰✰) |
Rumour has it... intolérante au lactose, elle a fini par abandonner tout régime alimentaire incluant de la viande, du poisson ou des oeufs, mais ça ne l'empêche pas d'être une grande gourmande. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Sa peau pale, ses longs cheveux lisses et ses yeux en amande laissent à croire que kim est une jeune femme candide, pleine de sensibilité et d’attache. on s’amuse à la croire timide, réservée, naïve à la limite de la niaiserie. Les passants tendent à l’idéaliser, les inconnus l’angélisent, les gens qui la côtoient sont réalistes. Kim se prétend audacieuse, bagarreuse, dévergondée, illimitée. Elle omet de notifier sa sensibilité, son introversion, sa tristesse, mais aussi son altruisme. Avec ses airs et ses exigences de princesse des glaces, elle échappe aux manigances sociales des petites conversations, des rencontres superficielles, des échanges vides de sens. Son mutisme éloigne aux premiers abords ; elle sait quand il faut l’ouvrir et quand il faut la fermer. Son manque d’expression effraie ses camarades ; elle ne sait pas sourire aux anonymes qu’elle est susceptible de recroiser. Mais elle manipule et imite les codes sociaux comme une reine; elle s'exprime librement devant des visages mornes qu'elle est certaine de ne jamais revoir, elle chahute avec des inconnus dans les bars, danse avec les personnes les plus lambdas, discute avec la petite vieille de la queue du supermarché parce qu'elle sait que tôt ou tard, la mégère va clamser emportant l'image naïve de Kim avec elle. Elle s’exprime par la peinture, par les spectres de couleurs manipulés, par les différents supports créatifs utilisés. Elle chante sa douleur par le biais de son archer qui glisse sur son violon bon marché. Elle extériorise sa colère dans la boxe, le taekwondo, l’aikido, l’hapkido, le judo. Elle est une lâche quand elle s’échappe au volant de sa ducati qu’elle répare tous les week-ends. Elle hurle sa joie dans les chansons de Bowie passées tard le soir dans les bars dansant avant de happer des inconnus jusqu’à son terrier. Elle abreuve sa soif de connaissance en passant des journées à la bibliothèque. Elle se la joue anticonformiste à la limite de l’insupportable en refusant toute évolution technologique dans son environnement. Elle est soucieuse de son apparence quand elle passe des journées entières dans les rayons des boutiques de lingerie fine où elle ne peut rien s’offrir. Elle libère sa frustration dans des relations charnelles qu’elle entretient toutes les semaines avec des inconnus aux SMT toutes plus diverses que variées. Elle est irresponsable quand elle se rend chaque mois à la pharmacie demander la pilule du lendemain. Elle est imprudente quand elle n’est pas regardante sur la provenance de la viande qui git sur son lit tard le soir. Elle est libérée quand elle a trop bu et à la limite de la rigidité en situation réelle. Elle est inconsciente quand elle oublie de prendre ses médications ou bien qu’elle les surdose. Mais ses yeux cachent une grande malice. Et son sourire efface tous ses péchés. L’excitation derrière son regard à l’annonce d’un nouveau défi trahit son âme d’enfant qui git encore quelque part dans son être. Et son rire, les rares fois où il peut être entendu en public, illumine les cœurs les plus miséreux. Sa fourberie traînera quiconque d’assez influençable dans les plus grandes aventures aux plans les plus foireux. |
This is my story
state of the art
l’amour couvre tout : il souffre, endure et excuse...
Ce jour-là, étrangement, la petite Kim était mignonne, dans sa robe bouffante d’enfant, une couronne de roses noires ornant sa tête. Ses genoux se frottaient nerveusement, ses mains tripotaient un pétale de fleur ramassé, le regard fixé sur ses jolies ballerines à paillettes. Des images en saccadé défilaient dans sa tête sans s’arrêter, un bourdonnement sourd dans les oreilles, les mains moites et la bouche sèche. Elle se rappelait de la sensation salvatrice de voler. Son corps virevoltait dans ses souvenirs les bras soutenus par ceux de sa mère qui tournaient, tournaient, tournaient. C’était comme une photographie du temps qui peinait à se développer entièrement, coincée dans l’éternité de l’instant, la sensation que l’instant ne s’arrêterait jamais, qu’elle évoluerait dans l’air infiniment. Ça en donnait la nausée.
Une horde de personnes toutes plus inconnue les unes que les autres l’entouraient tandis que le prêtre récitait le verset 7 à 8 du chapitre 13 des Premières Lettres aux Corinthiens. C’était dramatiquement ridicule, Maman ne croyait pas en Dieu, encore moins à la résurrection, et encore moins au pardon. Elle m’avait enseigné à tenir mon archer, ne pas avoir peur en moto, à n’avoir confiance en personne, à voler des doritos sans me faire prendre, à sourire en toutes circonstances, à avoir l’air désolée, triste, joyeuse, exquise, à haïr mon père, mais jamais, au grand jamais, à pardonner. Elle était probablement amère, aigrie et m’avait instruit les mauvais codes sociaux selon la vertu populaire ; mais ce sont ses leçons de vie qui m’auront forgé plus tard. Ce jour là, je n’ai pas pleuré. J’avais neuf ans, et je n’ai pas le souvenir de m’être sentie enfant une fois encore depuis.
...c'est savoir tout porter, tout surmonter...
La kim en âge de raison était colérique devant les enfants, pleine de sagesse devant les enseignants, angélique devant les parents, mais vide quand il s’agissait des siens. Monsieur et madame han avaient accueilli cette étrangère au sein de leur foyer brisé à reculons. Madame était enchantée, ivre de joie de pouvoir recommencer à nouveau une famille sans les peines de la petite enfance, totalement abrutie par sa stupidité devant l’image même de l’adultère de son mari. Monsieur, lui, était juste ivre. Ivre de stupeur, de déconcertitude, de honte, d’amour niais et de whisky lourd. ils formaient à deux la famille le plus pathétique qu’il ne m’ait jamais été donné de voir. Celle que j’ai dû apprendre à appeler « mère » était pathétique par sa dévotion à son mari, par sa naïveté à croire en la bonté des gens, par sa détermination à faire fonctionner une famille qui, en absence d’enfants aimants, n’en était pas vraiment une. Celui qui était biologiquement mon « père » était pathétique par sa faiblesse d’esprit devant le bourbon sec, par les coups de lâche dont il faisait profiter notre corps, par son incapacité à aimer correctement. Le plus pathétique, et pourtant le plus intelligent, était celui que je n’avais jamais vu, celui dont on ne prononçait pas le nom, celui auquel on s’interdisait de penser. Je n’ai jamais su si c’était mon jeune âge qui me gardait loin des secrets de cette famille et notamment de celui recouvrant leur fils répudié ou bien si c’était le fait que je n’avais jamais vraiment fait partie de leur famille.
Kim, l’adolescente, n’a jamais vraiment bronché face à l’agressivité de son père. Elle était passive, presque provocante. Il n’osait jamais aller au delà de la nuque et en deçà de la ceinture. Au mieux, elle ornait des cicatrices d’une mosaïque de colère sur le dos, au pire, ces traces disparaissaient tôt ou tard. Aussi étrange que cela puisse paraître, il n’osait que très rarement la toucher. La mère était une cible plus facile, plus docile, plus plaintive. Elle, elle hurlait et se débattait par les mots. Elle savait pleurer et geindre. Elle savait implorer, implorer et encore implorer. Des heures durant parfois. Elle était là, elle. Je n’ai jamais su être aussi bonne comédienne.
J’étais stoïque et impénétrable, jusqu’à ce qu’il me dépasse à mon propre jeu. Il avait finalement appris à me frapper comme il le faisait probablement avec son fils, et non plus comme une jeune fille écervelée qu’il considérait.
...l’amour n'aura pas de fin.
c’est dans les explosions de lumières des boites de nuit, dans l’implosion de sentiments dissimulée dans une prélude en si mineur de bach, dans les palettes de couleurs des peintures de rusiñol, dans la subtilité des mots sensibles d’apollinaire, dans les coups vifs et honnêtes assénés à mes ennemis, dans l’assouvissement de la rencontre de deux corps nus sur une aire d’autoroute vide, que je me suis sentie le mieux. J’étais princesse à l’auto-bronzant, aux mini-jupes et aux cheveux blonds. J’étais une gal coréenne en devenir et passablement foirée qui forniquait le soir pour rentrer se faire embrasser par sa mère inquiète au matin. J’étais élève modèle devant les enseignants, enfant puritaine devant les femmes, caïd devant les filles, ambitieuse devant les hommes, impassible devant les garçons. Je frappais ceux qui ne me comprenaient pas, caressais ceux qui me comprenaient, manipulais les plus jeunes comme les plus vieux, buvais jusqu’à m’en détruire le foie, avalais ce que je pouvais, couchais avec ceux que je voulais, volais ce qui m’était possible.
Pourtant je tremble toujours à la lueur de la nuit, seule, dans ma chambre. Je me réveille le souffle coupé, la peau gelée, les yeux humides, des cauchemars pleins la tête. Je panique à l’idée qu’un jour, il franchisse la limite, de nouveau. Qu’il me brise entièrement ; moralement. Mon corps est interchangeable, mon âme est finie. J’avale alors mes cachets pour l’anxiété en les diluant au whisky qui traîne sur la table. Je me suis surprise à être, la nuit seulement, celui que je haïssais, celui que j’avais appris à haïr.
Je rêvais dans ma solitude, dans ma chambre, à ce que mon supposé frère avait bien pu faire pour mériter de quitter le foyer familial, le soit disant « cocon ». Jusque là, j’ignorais s’il était parti ou bien s’il avait été expulsé. Je ne connaissais que ses traits d’enfants qui ornaient quelques parcelles des murs remplis de photos, ainsi que son nom.
Puis je l’ai vu, sans qu’il ne me voie.
La Bible, 1 Corinthiens 13. 7-8
About me
Je suis...
kat
j'ai du mal à m'ouvrir à des inconnus, oki :( j'suis sensible putain :( (et oui je me suis lavée sous les bras, même sous les pieds, en fait...)
PV pris
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1100][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t8096-jang-da-hye-heize-han-kim]▼[/url] <taken><upper>jang da hye (heize)</upper></taken> ✎ <lower>han kim</lower>
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 18:44 Citer EditerSupprimer
OMG OMG OMG COUCOUUUUUUUUU
TU VAS FAIRE DES HEUREUX.
EN FAIT JE SUIS DÉJÀ HEUREUSE
et promis j'te ramène ton frère fissa
MON DIEU BAH JE SUIS TROP HEUREUSE DE TE VOIR
J’ESPÈRE QU'ON VA BIEN S'ENTENDRE
(et que tu t'occuperas bien de mon petit bout)
ALORS BAH. BIENVENUE SUR LE FORUM.
ET BONNE CHANCE POUR TA FICHE
ET DU LOVE, PLEIN, PARTOUT :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi:
TU VAS FAIRE DES HEUREUX.
EN FAIT JE SUIS DÉJÀ HEUREUSE
MON DIEU BAH JE SUIS TROP HEUREUSE DE TE VOIR
J’ESPÈRE QU'ON VA BIEN S'ENTENDRE
(et que tu t'occuperas bien de mon petit bout)
ALORS BAH. BIENVENUE SUR LE FORUM.
ET BONNE CHANCE POUR TA FICHE
ET DU LOVE, PLEIN, PARTOUT :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi: :pixi:
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 18:46 Citer EditerSupprimer
BIENVENUE ou re ? je sais pas trop , ta présentation de pseudo me dit quelque chose
en tout cas HAVE FUN ici et bon choix !
en tout cas HAVE FUN ici et bon choix !
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 18:58 Citer EditerSupprimer
awwwwwwh t'es trop chou syu merciiii et oui t'en fais pas qu'on s'entendra copains comme cochon.
merci olympe!!! je suis désolée, ton pseudo ne me dit rien par contre.
merci eunhye ! (comme l'actrice pour le nom, je fonds, c'était trop mon crush avant :( )
merci olympe!!! je suis désolée, ton pseudo ne me dit rien par contre.
merci eunhye ! (comme l'actrice pour le nom, je fonds, c'était trop mon crush avant :( )
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 19:00 Citer EditerSupprimer
bienvenue sur stw et bon courage pour ta fiche si t'as besoin de quoi que ce soit, le staff est là
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 19:02 Citer EditerSupprimer
Hello Hello ! ~
Yaaaah je valide le vava, quel charisme, splendiiide
Maaais ma belle, crois moi, c'est facile de s'ouvrir aux inconnus ici ! On va danser la lambada et la macarena ensemble, tu vas rien comprendre !!
Me tarde de lire la suite
Fiiighting pour la suite
Yaaaah je valide le vava, quel charisme, splendiiide
Maaais ma belle, crois moi, c'est facile de s'ouvrir aux inconnus ici ! On va danser la lambada et la macarena ensemble, tu vas rien comprendre !!
Me tarde de lire la suite
Fiiighting pour la suite
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 19:04 Citer EditerSupprimer
heize oh pretty !
WELCOMEE!!!
WELCOMEE!!!
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 19:10 Citer EditerSupprimer
Merrrde je reviens sous une autre de mes formes juste pour dire que j'ai continué à lire, et le fait qu'elle kiffe les sex pistols, JE DIS OUI PUTIN J'approuve le punk, je love le rock, bref, bon goût
Quand à ceci..
Yaaaah j'aime trop ce genre de femme mon dc féminin a un peu ce tempérament mais toi, t'envoie du lourd j'sais pas, c'est très sexy
À très viiiite
Quand à ceci..
Han Kim a écrit: elle te baise probablement tout court aussi si t'évite de parler et que tu te déshabilles assez rapidement pour qu'elle n'ait pas à le regretter
Yaaaah j'aime trop ce genre de femme mon dc féminin a un peu ce tempérament mais toi, t'envoie du lourd j'sais pas, c'est très sexy
À très viiiite
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Re: han kim + pale blue eyes | Lun 23 Jan - 19:40 Citer EditerSupprimer
oh nuo que ton vava est joli merci!
ohlala lenny, minki je fonds un peu là je dois t'avouer et je suis ready pour la lambada quand tu veux
& vu le personnage d'inha, je sens qu'on va bien s'entendre... musicalement parlant.
merci somee, je dois avouer que t'es pas mal non plus
ohlala lenny, minki je fonds un peu là je dois t'avouer et je suis ready pour la lambada quand tu veux
& vu le personnage d'inha, je sens qu'on va bien s'entendre... musicalement parlant.
merci somee, je dois avouer que t'es pas mal non plus
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