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Loin des yeux, près du coeur
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Re: Loin des yeux, près du coeur | Mar 14 Mar - 23:55 Citer EditerSupprimer
Les lèvres du coréen ne s’étiraient pas en un sourire qu’il mourrait pourtant d’envie d’afficher. Elles restèrent scellées, comme figées par la crainte et la colère qui peinaient à s’estomper. Il rêvait, c’était certain, rien de tout ça ne pouvait être réel. Il tenait dans ses bras l’objet de ses rêves, de ses cauchemars et de ses fantasmes depuis des mois. Il sondait alors ses prunelles, dans une réflexion intense. Même la douleur qu’il éprouvait à ce moment lui paraissait douce, comme une caresse, une étreinte passionnée. Il ne réalisait pas encore, que le visage qui lui faisait face était le même que celui déformé par la colère et la rage qu’il croisait jours après jours. Les souvenirs se bousculaient dans sa tête, et l’envie de lui faire du mal, de l’éloigner de son monde lui semblait tellement loin qu’il se demandait s’il avait seulement un jour, eu ces pensées. Et pourtant, c’était exactement ce qu’il s’évertuait à faire en la repoussant de façon toujours plus blessante. Le coréen libéra l’une de ses mains pour venir glisser ses doigts dans les mèches de la canadienne, dans des gestes doux et mesurés. Une tendresse qu’il se découvrait après tant d’années à n’éprouver que colère et haine, le seul sentiment qu’il se pensait capable de ressentir. Sung Wook contemplait la jeune femme, celle qui lui avait semblé insaisissable, celle qui semblait si forte et qui pourtant avait le regard embué devant le mannequin blessé. Les iris de Stacy brillaient, pétillant de malice d’une manière innocente qui lui serra le cœur. Etait-il vraiment prêt à lui laisser prendre cette place qu’il se languissait de lui donner ? Il ne pouvait s’empêcher de penser à toutes ces fois où il la repoussait, et à chaque fois, ses émotions lui étaient revenues comme un boomerang avec d’autant plus de force et de poids.
Enfin, un sourire se dessinait sur son visage, l’air contrit, il déclarait finalement forfait contre cette guerre intérieure qui faisait rage depuis trop longtemps, mais uniquement pour cette soirée. Après il lui faudrait à nouveau réfléchir à un moyen de peut être concilier ses deux vies, ses deux mondes si éloignés l’un de l’autre. « Je ne vais nulle part non plus. » Puis sans prévenir, il se redressa, la forçant à faire de même. Ses gestes lui arrachèrent une nouvelle grimace, et par réflexe il porta la main à ses côtes endolories. Les derniers rayons du soleil disparaissaient à travers les fenêtres, et Sung Wook se rendait compte que le temps lui filait entre les doigts. Comment était-ce possible d’avoir l’impression de vivre des semaines entières entre les mains de son géniteur alors que les heures passées avec la canadienne lui semblaient s’égrener à la vitesse lumière ? En prenant soin de ne pas faire de gestes brusques, le coréen se levait pour attraper l’un des valises qui trônaient encore dans la pièce principale. « Si tu veux rester, il faut au moins que tu commences par prendre te mettre à l’aise non ? » Et d’un mouvement, il posait la valise sur son lit pour l’ouvrir et en exposer ainsi le contenu. Fouiller dans les bagages d’une demoiselle était loin d’être un passe temps, mais cela ne le gênait en rien. Les vêtements féminins n’avaient plus aucuns secrets pour lui tant il en avait vu. Pourtant, il ne put s’empêcher de déglutir en tombant sur les sous-vêtements de Stacy. Il ne fallut qu’une fraction de seconde pour qu’un frisson de désir remonte le long de ses vertèbres, assombrissant son regard. Rien ne serait plus facile pour lui que de s’emparer d’elle, d’en faire sa possession l’espace d’une nuit. Néanmoins, même si l’envie irrépressible de sentir sa peau contre la sienne et la chaleur de ses baisers grondait en lui, il la réprimait. Pas de cette manière, pas dans cet état. Pas alors qu’un simple geste pouvait lui provoquer des élancements cinglants. Il préféra alors jouer avec elle, et d’une main, il saisissait déjà l’un des soutiens gorges de la canadienne. Il fallut quelques longues secondes à Stacy pour comprendre et reconnaître le tissus qui trônait fièrement dans sa main, de longues secondes qui permirent à Wook de le détailler et d’en apprécier chaque coutures. Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent et son visage se couvrit d’un voile rouge. Il se leva alors d’un bond, immédiatement imité par sa victime. Il n’avait pas besoin de courir, d’ailleurs il n’était pas en état, il lui suffisait de lever sa main pour mettre l’objet du délit hors de portée. « Alors ? Suis-je toujours aussi galant ? » Un large sourire vint fendre son visage, ce sourire qui lui faisait tant défaut.
Il jouait avec elle, la dominant le plus facilement du monde lorsqu’elle prit finalement de la hauteur en montant sur le lit. « Vous trichez mademoiselle ! » riait-il. Mais il n’avait pas dit son dernier mot. Il bloqua le vêtement derrière sa nuque, la forçant à passer ses bras autour du cou du mannequin. Il savait qu’il venait de gagner à nouveau, et décida de lâcher prise pour venir encercler la taille fine de Stacy. Il l’attirait vers lui l’obligeant à prendre appui contre son torse, et cette proximité éveilla à nouveau en lui un élan de désir incontrôlé. Ses mains venaient à la rencontre des courbes de la canadienne. Il déposa un baiser chaste sur ses lèvres avant de se laisser consumer par le besoin d’une toute autre étreinte, et s’éloigna pour essayer en vain de reprendre possession de son corps. « Je te laisse trente secondes pour sauter dans la cabine de douche, sinon j’y vais le premier et je te garanti qu’il n’y aura plus d’eau chaude ! »
Il attendit qu’elle soit finalement dans la salle de bain pour soupirer. Le simple fait de respirer étirait sa cage thoracique lui donnant l’impression que l’on venait scier ses côtes à vif. D’un pas mal assuré il se dirigea vers les placards de sa cuisine, à la recherche d’un anti douleur suffisamment puissant pour parer à la douleur. S’il avait été seul, il se serait simplement allongé là, pendant plusieurs jours, laissant le soin à son corps de faire le travail. Mais il ne pouvait pas. Il avala alors les quelques pilules qu’il venait de trouver avant de se laisser tomber sur son canapé. Les minutes s’étiraient, le temps s’était arrêté, à moins que ce ne soit les médicaments que ne faisaient effet ? Il laissa sa tête retomber sur le dossier et sombra dans un demi sommeil. Une léthargie peuplée d’hommes aux mains d’acier qui faisaient plier son corps selon des angles impossibles. Il pouvait courir autant qu’il voulait, il ne pouvait pas leur échapper.
Wook ouvrit les yeux soudainement sur son studio, plongé dans le noir. Il fut désorienté un moment, et son corps lui semblait lourd, engourdi. Il mit un certain temps avant de se souvenir, de sa journée, de l’affliction qui parcourait ses muscles, mais aussi de Stacy, assise juste à côté de lui, les yeux à demi clos. Passant un bras autour de ses épaules il la rapprocha de lui, déposant un baiser sur son front. La fatigue se lisait dans ses iris endormis. Il passa un bras dans son dos, puis sous ses jambes pour l’emmener s’allonger plus confortablement dans son lit. Il hésita une fraction de secondes, puis finalement il s’allongea à ses côtés. « Dors, tu en as besoin. » Il aurait voulu la prendre dans ses bras, mais son corps criait de toute la détresse et la lassitude qu’il ressentait.
Loin des yeux, près du coeur
Feat WookCy ~♥~
Les lèvres du coréen ne s’étiraient pas en un sourire qu’il mourrait pourtant d’envie d’afficher. Elles restèrent scellées, comme figées par la crainte et la colère qui peinaient à s’estomper. Il rêvait, c’était certain, rien de tout ça ne pouvait être réel. Il tenait dans ses bras l’objet de ses rêves, de ses cauchemars et de ses fantasmes depuis des mois. Il sondait alors ses prunelles, dans une réflexion intense. Même la douleur qu’il éprouvait à ce moment lui paraissait douce, comme une caresse, une étreinte passionnée. Il ne réalisait pas encore, que le visage qui lui faisait face était le même que celui déformé par la colère et la rage qu’il croisait jours après jours. Les souvenirs se bousculaient dans sa tête, et l’envie de lui faire du mal, de l’éloigner de son monde lui semblait tellement loin qu’il se demandait s’il avait seulement un jour, eu ces pensées. Et pourtant, c’était exactement ce qu’il s’évertuait à faire en la repoussant de façon toujours plus blessante. Le coréen libéra l’une de ses mains pour venir glisser ses doigts dans les mèches de la canadienne, dans des gestes doux et mesurés. Une tendresse qu’il se découvrait après tant d’années à n’éprouver que colère et haine, le seul sentiment qu’il se pensait capable de ressentir. Sung Wook contemplait la jeune femme, celle qui lui avait semblé insaisissable, celle qui semblait si forte et qui pourtant avait le regard embué devant le mannequin blessé. Les iris de Stacy brillaient, pétillant de malice d’une manière innocente qui lui serra le cœur. Etait-il vraiment prêt à lui laisser prendre cette place qu’il se languissait de lui donner ? Il ne pouvait s’empêcher de penser à toutes ces fois où il la repoussait, et à chaque fois, ses émotions lui étaient revenues comme un boomerang avec d’autant plus de force et de poids.
Enfin, un sourire se dessinait sur son visage, l’air contrit, il déclarait finalement forfait contre cette guerre intérieure qui faisait rage depuis trop longtemps, mais uniquement pour cette soirée. Après il lui faudrait à nouveau réfléchir à un moyen de peut être concilier ses deux vies, ses deux mondes si éloignés l’un de l’autre. « Je ne vais nulle part non plus. » Puis sans prévenir, il se redressa, la forçant à faire de même. Ses gestes lui arrachèrent une nouvelle grimace, et par réflexe il porta la main à ses côtes endolories. Les derniers rayons du soleil disparaissaient à travers les fenêtres, et Sung Wook se rendait compte que le temps lui filait entre les doigts. Comment était-ce possible d’avoir l’impression de vivre des semaines entières entre les mains de son géniteur alors que les heures passées avec la canadienne lui semblaient s’égrener à la vitesse lumière ? En prenant soin de ne pas faire de gestes brusques, le coréen se levait pour attraper l’un des valises qui trônaient encore dans la pièce principale. « Si tu veux rester, il faut au moins que tu commences par prendre te mettre à l’aise non ? » Et d’un mouvement, il posait la valise sur son lit pour l’ouvrir et en exposer ainsi le contenu. Fouiller dans les bagages d’une demoiselle était loin d’être un passe temps, mais cela ne le gênait en rien. Les vêtements féminins n’avaient plus aucuns secrets pour lui tant il en avait vu. Pourtant, il ne put s’empêcher de déglutir en tombant sur les sous-vêtements de Stacy. Il ne fallut qu’une fraction de seconde pour qu’un frisson de désir remonte le long de ses vertèbres, assombrissant son regard. Rien ne serait plus facile pour lui que de s’emparer d’elle, d’en faire sa possession l’espace d’une nuit. Néanmoins, même si l’envie irrépressible de sentir sa peau contre la sienne et la chaleur de ses baisers grondait en lui, il la réprimait. Pas de cette manière, pas dans cet état. Pas alors qu’un simple geste pouvait lui provoquer des élancements cinglants. Il préféra alors jouer avec elle, et d’une main, il saisissait déjà l’un des soutiens gorges de la canadienne. Il fallut quelques longues secondes à Stacy pour comprendre et reconnaître le tissus qui trônait fièrement dans sa main, de longues secondes qui permirent à Wook de le détailler et d’en apprécier chaque coutures. Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent et son visage se couvrit d’un voile rouge. Il se leva alors d’un bond, immédiatement imité par sa victime. Il n’avait pas besoin de courir, d’ailleurs il n’était pas en état, il lui suffisait de lever sa main pour mettre l’objet du délit hors de portée. « Alors ? Suis-je toujours aussi galant ? » Un large sourire vint fendre son visage, ce sourire qui lui faisait tant défaut.
Il jouait avec elle, la dominant le plus facilement du monde lorsqu’elle prit finalement de la hauteur en montant sur le lit. « Vous trichez mademoiselle ! » riait-il. Mais il n’avait pas dit son dernier mot. Il bloqua le vêtement derrière sa nuque, la forçant à passer ses bras autour du cou du mannequin. Il savait qu’il venait de gagner à nouveau, et décida de lâcher prise pour venir encercler la taille fine de Stacy. Il l’attirait vers lui l’obligeant à prendre appui contre son torse, et cette proximité éveilla à nouveau en lui un élan de désir incontrôlé. Ses mains venaient à la rencontre des courbes de la canadienne. Il déposa un baiser chaste sur ses lèvres avant de se laisser consumer par le besoin d’une toute autre étreinte, et s’éloigna pour essayer en vain de reprendre possession de son corps. « Je te laisse trente secondes pour sauter dans la cabine de douche, sinon j’y vais le premier et je te garanti qu’il n’y aura plus d’eau chaude ! »
Il attendit qu’elle soit finalement dans la salle de bain pour soupirer. Le simple fait de respirer étirait sa cage thoracique lui donnant l’impression que l’on venait scier ses côtes à vif. D’un pas mal assuré il se dirigea vers les placards de sa cuisine, à la recherche d’un anti douleur suffisamment puissant pour parer à la douleur. S’il avait été seul, il se serait simplement allongé là, pendant plusieurs jours, laissant le soin à son corps de faire le travail. Mais il ne pouvait pas. Il avala alors les quelques pilules qu’il venait de trouver avant de se laisser tomber sur son canapé. Les minutes s’étiraient, le temps s’était arrêté, à moins que ce ne soit les médicaments que ne faisaient effet ? Il laissa sa tête retomber sur le dossier et sombra dans un demi sommeil. Une léthargie peuplée d’hommes aux mains d’acier qui faisaient plier son corps selon des angles impossibles. Il pouvait courir autant qu’il voulait, il ne pouvait pas leur échapper.
Wook ouvrit les yeux soudainement sur son studio, plongé dans le noir. Il fut désorienté un moment, et son corps lui semblait lourd, engourdi. Il mit un certain temps avant de se souvenir, de sa journée, de l’affliction qui parcourait ses muscles, mais aussi de Stacy, assise juste à côté de lui, les yeux à demi clos. Passant un bras autour de ses épaules il la rapprocha de lui, déposant un baiser sur son front. La fatigue se lisait dans ses iris endormis. Il passa un bras dans son dos, puis sous ses jambes pour l’emmener s’allonger plus confortablement dans son lit. Il hésita une fraction de secondes, puis finalement il s’allongea à ses côtés. « Dors, tu en as besoin. » Il aurait voulu la prendre dans ses bras, mais son corps criait de toute la détresse et la lassitude qu’il ressentait.
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Re: Loin des yeux, près du coeur | Jeu 15 Juin - 18:18 Citer EditerSupprimer
Serait-ce une hallucination... un mirage ou est-ce réellement un sourire qui s'esquisse sur les lèvres du coréen ? Parfois, il lui arrive de rire narquoisement, mais ces rictus n'ont rien à voir avec un tel ravissement qui devrait se produire plus souvent Pour la première fois, elle entrevoit un Sung Wook lumineux, délesté de son hostilité et prêt à ouvrir la porte de son cœur. Cependant, il se peut qu'elle se trompe. Le coréen est un mystère insondable et malheureusement, Stacy ne peut pas se narguer de le connaître sur le bout des doigts. Elle décode ses réactions les plus fréquentes mais elle ne peut lire dans ses pensées. Mais peut importe si elle n'est jamais sûre de rien en ce qui le concerne, pourvu que ces petits moments d'accalmie et de bonheur se multiplient.
Il ne s'en ira pas. De toute manière, il n'a pas le choix : il est chez lui. Et si l'envie le prenait de la laisser seule, elle l'en empêcherait ! Mais vu son état, il n'irait pas très loin. Il est voué à la supporter pour plusieurs jours. Et pour faire en sorte que ce sourire ne disparaisse pas trop vite, elle se montrera conciliante et agréable... Ce qui sera une première ! Il la sort brusquement de son introspection lorsqu'il se relève et l'entraîne avec lui. La canadienne s'apprête à envahir son espace vital et il lui propose de se mettre à l'aise. Il se met même à ouvrir sa valise et à y trifouiller. Pourquoi est-ce que ça la choque... et pas lui ? Bref... Elle l'aide à disposes ses vêtements dans les rangements qu'il a mit à sa disposition. Lorsqu'elle se retourne, il a entre les mains un bout de tissus qu'il ne quitte pas des yeux. Il le lorgne sous tous les angles l'examinant comme une oeuvre . Ce qu'est qu'après un long moment qu'elle réalise qu'il s'agit de l'un de ses soutiens gorge. Elle devient aussi rouge qu'une pivoine. Personne ne touche n'y ne reluque à ses sous vêtements, c'est privée... c'est comme si elle lui permettait de l'imaginer à demie nue. Elle se lève en faisant un bon pour le lui arracher mais il est d'humeur taquine : sa main s'élève bien trop haut pour qu'elle puisse l'atteindre. Mister Galant a disparu pour laisser place au Sung Wook espiègle. Il a encore gagné : quand elle prend de la hauteur en montant sur le lit, il place le tissus derrière sa nuque, obligeant Stacy à l'encercler de ses bras... pour lui voler un pieux baiser. Après la manière dont il l'a embrassée quelques minutes auparavant, il est dans la retenu, ce qui contraste avec cette facette de libertin provocateur.
Il lui donne trente secondes pour entrer dans la douche. Un temps tout juste suffisant pour se saisir du nécessaire de toilettes et de se précipiter vers la salle de bain. Ça lui semble tellement étrange de se retrouver là... dans la pièce où il se dénude. Et elle devrait entrer, nue, dans cette cabine de douche ? Comment, alors qu'elle a l'impression qu'à n'importe quel moment il va apparaître sur le seuil de la porte. A cette pensée, elle sourit niaisement. Mais comment ne pas avoir l'esprit qui divague, alors qu'elle peut sentir l'aura et l'odeur du jeune homme. L'étudiant est certes plus sur la réserve que lui, qui se montre plus démonstratif. Il agit au grès de ses envies et de ses humeurs mais contrairement à elle, il ne lutte jamais contre ses pulsions. Pour autant, cela ne signifie pas qu'elle ne ressente pas le désir d'être plus intime avec lui. Si elle agissait avant de réfléchir, elle lui aurait arraché ses vêtements sur le champs. Malheureusement, Stacy n'arrive à s'abandonner à ce qu'elle ressent lorsqu'elle est dans le flou. Pour elle, il est clair qu'elle a des sentiments pour Sung Wook. Si elle obtient la certitude que c'est réciproque, qu'elle est la seule qui compte malgré les choses immondes qu'il lui dit à longueur de journées, elle lui demandera l'instant d'après de lui faire l'amour Mais en serait il capable ? Pourrait il arrêter de la traiter si mal et apprendre à aimer ? En tout cas, elle ne serait pas capable de se donner corps et âme à quelqu'un qui ne lui appartient pas autant qu'elle lui appartient. C'est tout ou rien.. Et si cette histoire était vouée à tourner en rond et qu'il ne sache jamais apprécier ce qu'il a sous les yeux. Combien de temps le supporterait-il ?
Après avoir pris une douche froide, elle se se retrouve devant un choix : mettre un pyjama confortable ou une jolie nuisette échancrée ? Raisonnable, elle finit par céder pour la première option puis se met à chercher Sung Wook. Elle le retrouve endormi sur le canapé, où elle vient s'asseoir. Il est tellement beau, on dirait un ange. En pleine contemplation, elle admire et détaille chaque trait, chaque courbe de son visage : ses grands yeux clos, ses lèvres charnues, son long coup, son corps d'athlète... La perfection incarnée. Dommage que ce ne soit pas le cas pour son caractère. Mais ça fait partie de son charme, même s'il dépasse souvent les bornes. Le temps s'écoule, et la fatigue s'appesantit sur ses paupières. Elle lutte pour ne pas tomber dans les bras de Morphée mais c'est dans ceux de Sung Wook qu'elle se retrouve. Il ne devrait pas fournir tant d'efforts alors qu'il est blessé. Si elle a besoin de repos comme il dit, lui en a bien plus besoin. Il doit se ménager mais elle n'a pas la force de lui faire la morale.
Après l'avoir posé sur son lit, il s'allonge à ses côtés. À moitié endormie, Stacy se rapproche du coréen et se blottit tendrement contre lui, la tête sous le menton de celui-ci. "Je peux te poser des questions ?". En guise de réponse elle obtient un marmonnement qu'elle traduit en un oui. "Combien de filles se sont déjà couché sur ce lit ? Et pourquoi tu me contredis à chaque fois que tu en as l'occasion ? C'est qui la personne qui nous a suivit à l'aéroport ?". Lorsqu'elle est dans cet état là, pas tout à fait dans le monde des rêves et pas bien éveillé, Stacy dit la première chose qui lui passe par la tête et se montre incapable de mentir, se trouvant dans l'incapacité de filtrer ou de pondérer ces paroles, un peu comme si elle était ivre. "Est-ce que tu m'aimes, rien qu'un petit peu ?"
Loin des yeux, près du coeur
Feat WookCy ~♥~
Serait-ce une hallucination... un mirage ou est-ce réellement un sourire qui s'esquisse sur les lèvres du coréen ? Parfois, il lui arrive de rire narquoisement, mais ces rictus n'ont rien à voir avec un tel ravissement qui devrait se produire plus souvent Pour la première fois, elle entrevoit un Sung Wook lumineux, délesté de son hostilité et prêt à ouvrir la porte de son cœur. Cependant, il se peut qu'elle se trompe. Le coréen est un mystère insondable et malheureusement, Stacy ne peut pas se narguer de le connaître sur le bout des doigts. Elle décode ses réactions les plus fréquentes mais elle ne peut lire dans ses pensées. Mais peut importe si elle n'est jamais sûre de rien en ce qui le concerne, pourvu que ces petits moments d'accalmie et de bonheur se multiplient.
Il ne s'en ira pas. De toute manière, il n'a pas le choix : il est chez lui. Et si l'envie le prenait de la laisser seule, elle l'en empêcherait ! Mais vu son état, il n'irait pas très loin. Il est voué à la supporter pour plusieurs jours. Et pour faire en sorte que ce sourire ne disparaisse pas trop vite, elle se montrera conciliante et agréable... Ce qui sera une première ! Il la sort brusquement de son introspection lorsqu'il se relève et l'entraîne avec lui. La canadienne s'apprête à envahir son espace vital et il lui propose de se mettre à l'aise. Il se met même à ouvrir sa valise et à y trifouiller. Pourquoi est-ce que ça la choque... et pas lui ? Bref... Elle l'aide à disposes ses vêtements dans les rangements qu'il a mit à sa disposition. Lorsqu'elle se retourne, il a entre les mains un bout de tissus qu'il ne quitte pas des yeux. Il le lorgne sous tous les angles l'examinant comme une oeuvre . Ce qu'est qu'après un long moment qu'elle réalise qu'il s'agit de l'un de ses soutiens gorge. Elle devient aussi rouge qu'une pivoine. Personne ne touche n'y ne reluque à ses sous vêtements, c'est privée... c'est comme si elle lui permettait de l'imaginer à demie nue. Elle se lève en faisant un bon pour le lui arracher mais il est d'humeur taquine : sa main s'élève bien trop haut pour qu'elle puisse l'atteindre. Mister Galant a disparu pour laisser place au Sung Wook espiègle. Il a encore gagné : quand elle prend de la hauteur en montant sur le lit, il place le tissus derrière sa nuque, obligeant Stacy à l'encercler de ses bras... pour lui voler un pieux baiser. Après la manière dont il l'a embrassée quelques minutes auparavant, il est dans la retenu, ce qui contraste avec cette facette de libertin provocateur.
Il lui donne trente secondes pour entrer dans la douche. Un temps tout juste suffisant pour se saisir du nécessaire de toilettes et de se précipiter vers la salle de bain. Ça lui semble tellement étrange de se retrouver là... dans la pièce où il se dénude. Et elle devrait entrer, nue, dans cette cabine de douche ? Comment, alors qu'elle a l'impression qu'à n'importe quel moment il va apparaître sur le seuil de la porte. A cette pensée, elle sourit niaisement. Mais comment ne pas avoir l'esprit qui divague, alors qu'elle peut sentir l'aura et l'odeur du jeune homme. L'étudiant est certes plus sur la réserve que lui, qui se montre plus démonstratif. Il agit au grès de ses envies et de ses humeurs mais contrairement à elle, il ne lutte jamais contre ses pulsions. Pour autant, cela ne signifie pas qu'elle ne ressente pas le désir d'être plus intime avec lui. Si elle agissait avant de réfléchir, elle lui aurait arraché ses vêtements sur le champs. Malheureusement, Stacy n'arrive à s'abandonner à ce qu'elle ressent lorsqu'elle est dans le flou. Pour elle, il est clair qu'elle a des sentiments pour Sung Wook. Si elle obtient la certitude que c'est réciproque, qu'elle est la seule qui compte malgré les choses immondes qu'il lui dit à longueur de journées, elle lui demandera l'instant d'après de lui faire l'amour Mais en serait il capable ? Pourrait il arrêter de la traiter si mal et apprendre à aimer ? En tout cas, elle ne serait pas capable de se donner corps et âme à quelqu'un qui ne lui appartient pas autant qu'elle lui appartient. C'est tout ou rien.. Et si cette histoire était vouée à tourner en rond et qu'il ne sache jamais apprécier ce qu'il a sous les yeux. Combien de temps le supporterait-il ?
Après avoir pris une douche froide, elle se se retrouve devant un choix : mettre un pyjama confortable ou une jolie nuisette échancrée ? Raisonnable, elle finit par céder pour la première option puis se met à chercher Sung Wook. Elle le retrouve endormi sur le canapé, où elle vient s'asseoir. Il est tellement beau, on dirait un ange. En pleine contemplation, elle admire et détaille chaque trait, chaque courbe de son visage : ses grands yeux clos, ses lèvres charnues, son long coup, son corps d'athlète... La perfection incarnée. Dommage que ce ne soit pas le cas pour son caractère. Mais ça fait partie de son charme, même s'il dépasse souvent les bornes. Le temps s'écoule, et la fatigue s'appesantit sur ses paupières. Elle lutte pour ne pas tomber dans les bras de Morphée mais c'est dans ceux de Sung Wook qu'elle se retrouve. Il ne devrait pas fournir tant d'efforts alors qu'il est blessé. Si elle a besoin de repos comme il dit, lui en a bien plus besoin. Il doit se ménager mais elle n'a pas la force de lui faire la morale.
Après l'avoir posé sur son lit, il s'allonge à ses côtés. À moitié endormie, Stacy se rapproche du coréen et se blottit tendrement contre lui, la tête sous le menton de celui-ci. "Je peux te poser des questions ?". En guise de réponse elle obtient un marmonnement qu'elle traduit en un oui. "Combien de filles se sont déjà couché sur ce lit ? Et pourquoi tu me contredis à chaque fois que tu en as l'occasion ? C'est qui la personne qui nous a suivit à l'aéroport ?". Lorsqu'elle est dans cet état là, pas tout à fait dans le monde des rêves et pas bien éveillé, Stacy dit la première chose qui lui passe par la tête et se montre incapable de mentir, se trouvant dans l'incapacité de filtrer ou de pondérer ces paroles, un peu comme si elle était ivre. "Est-ce que tu m'aimes, rien qu'un petit peu ?"
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Re: Loin des yeux, près du coeur | Sam 17 Juin - 20:35 Citer EditerSupprimer
La proximité était un supplice, et pourtant, jamais Wook n’avait été si apaisé. Elle exhalait la quiétude et la confiance qu’elle lui portait, rassérénant les tourments qui l’envahissait depuis trop longtemps. Rien ne lui avait parut plus naturel que la présence de Stacy à ses côtés, et pourtant, jamais il n’avait pu imaginer pareille situation. Le souffle chaud qui passait la barrière de ses lèvres, les doux traits de son visage ensommeillé, le coréen la dévorait des yeux. Même la douleur se tarissait à la simple vue de la canadienne à qui il intimait de dormir. Mais sa voix brisa le silence. « Bien sûr, que veux-tu savoir ? » Répondre n’était pas un problème, mais la véracité de ses propos lui faisait peur. Il ne voulait pas lui imposer cette vie faite d’ombre et de violence, il ne voulait pas l’entrainer dans les méandres d’une relation père fils tordue affligeante. D’un geste, il ramena les quelques mèches brunes qui barraient le visage de Stacy avant de planter ses iris dans les siens, dans ce regard profond qui implorait déjà de la soulager de ses doutes. Son cœur se serra en imaginant qu’elle puisse découvrir son secret, et la crainte se distillait dans ses veines, le venin que son géniteur se plaisait à lui inoculer à chacune de leurs rencontres. Mais le soulagement décontracta ses muscles lorsqu’elle s’abandonnait à cette appréhension dans laquelle Wook l’avait plongé. Il s’en voulait, de l’avoir laissé pensé qu’elle puisse être remplacée aussi facilement, de l’avoir blessé toutes ces fois où il aurait aimé la prendre dans ses bras, et surtout, de l’avoir repoussé alors même que ses sentiments trouveraient une réponse favorable. Il attrapa l’une de ses mains pour la porter à ses lèvres, y déposer quelques baisers avant de la placer sur son cœur, sur le muscle battant calmement. Son cœur loupa un battement à ce simple contact, une preuve de plus de cette conscience accrue de l’affection qu’il lui portait. « Si je te réponds, est-ce que tu me croiras ? Si je mets ta main comme ça, tu sauras si je mens. » Il écrouait sa main contre son torse, savourant la chaleur de sa paume et la douceur de sa peau. « Il n’y a que toi. Cet appartement… doit rester secret, aucune autre femme n’y a mis les pieds. Est-ce que cela change quelque chose si tu n’avais pas été la première ? » Prenant une profonde inspiration, il s’armait de courage avant de laisser une nouvelle fois ses émotions prendre le dessus et répondre pour lui. « Si je te contredis… c’est parce que je voulais t’éloigner. Tu mérites mieux que ce que je peux t’offrir. Le romantisme, les moments de complicité, l’amour… c’est un domaine trop loin de moi. Je… » Les mots restèrent bloqués, la phrase laissée en suspend alors qu’il voulait lui avouer que la douleur était quotidienne dans son monde. « Je ne peux répondre à cette question. » Comment pouvait-il lui dévoiler ce lourd secret ? Celui qui lui avait valu un communiqué de presse annonçant sa propre mort alors qu’il était renvoyé de son agence. Comment la laisser entrevoir le vice et l’horreur d’un homme qui refusait de lâcher prise sur son fils, celui qu’il forçait à prendre la fuite alors qu’il aurait préféré vivre, simplement. La dernière question lui arracha un sourire, mais affola son cœur toujours prisonnier derrière la main de la canadienne. « Quelle est la bonne réponse ? » Il plaisantait sans réel humour, mais il connaissait déjà la réponse à cette question. Il appuya davantage sur les doigts de Stacy, resserrant son étreinte. Une première confession avant de laisser les paroles s’échapper. « Je t’aime. » Pas qu’un peu, je t’aime comme un fou, au point que mon cœur se sent esseulé quand tu n’es pas là, au point où je cherche ton sourire dans la foule, au point où la première chose que je me demande en me réveillant, c’est ce que tu fais et si tu penses aussi à moi. pensa-t-il. Mais l’aveu resta silencieux de peur de résonner sans trouver d’écho suffisant. La peur pénétrait sa chaire, piquant au vif la certitude qu’il pensait détenir quelques minutes plus tôt. Il l’attira alors vers lui, l’entourant de ses bras, réduisant la distance qui les séparait pour la sentir contre lui. Humant son parfum avant de goûter une nouvelle fois ses pulpeuses. « Tu devrais dormir maintenant ! La journée a été longue. Mais… promets moi d’être là à mon réveil, s’il te plait. » Le rideau de cils chuta, et derrière l’opaque de ses paupières, il savait qu’il ne pourrait pas être plus rassuré qu’à cet instant. La terreur et la colère avaient laissé place à la sérénité alors qu’il s’endormait dans les bras de celle qui hantait ses pensées.
Loin des yeux, près du coeur
Feat WookCy ~♥~
La proximité était un supplice, et pourtant, jamais Wook n’avait été si apaisé. Elle exhalait la quiétude et la confiance qu’elle lui portait, rassérénant les tourments qui l’envahissait depuis trop longtemps. Rien ne lui avait parut plus naturel que la présence de Stacy à ses côtés, et pourtant, jamais il n’avait pu imaginer pareille situation. Le souffle chaud qui passait la barrière de ses lèvres, les doux traits de son visage ensommeillé, le coréen la dévorait des yeux. Même la douleur se tarissait à la simple vue de la canadienne à qui il intimait de dormir. Mais sa voix brisa le silence. « Bien sûr, que veux-tu savoir ? » Répondre n’était pas un problème, mais la véracité de ses propos lui faisait peur. Il ne voulait pas lui imposer cette vie faite d’ombre et de violence, il ne voulait pas l’entrainer dans les méandres d’une relation père fils tordue affligeante. D’un geste, il ramena les quelques mèches brunes qui barraient le visage de Stacy avant de planter ses iris dans les siens, dans ce regard profond qui implorait déjà de la soulager de ses doutes. Son cœur se serra en imaginant qu’elle puisse découvrir son secret, et la crainte se distillait dans ses veines, le venin que son géniteur se plaisait à lui inoculer à chacune de leurs rencontres. Mais le soulagement décontracta ses muscles lorsqu’elle s’abandonnait à cette appréhension dans laquelle Wook l’avait plongé. Il s’en voulait, de l’avoir laissé pensé qu’elle puisse être remplacée aussi facilement, de l’avoir blessé toutes ces fois où il aurait aimé la prendre dans ses bras, et surtout, de l’avoir repoussé alors même que ses sentiments trouveraient une réponse favorable. Il attrapa l’une de ses mains pour la porter à ses lèvres, y déposer quelques baisers avant de la placer sur son cœur, sur le muscle battant calmement. Son cœur loupa un battement à ce simple contact, une preuve de plus de cette conscience accrue de l’affection qu’il lui portait. « Si je te réponds, est-ce que tu me croiras ? Si je mets ta main comme ça, tu sauras si je mens. » Il écrouait sa main contre son torse, savourant la chaleur de sa paume et la douceur de sa peau. « Il n’y a que toi. Cet appartement… doit rester secret, aucune autre femme n’y a mis les pieds. Est-ce que cela change quelque chose si tu n’avais pas été la première ? » Prenant une profonde inspiration, il s’armait de courage avant de laisser une nouvelle fois ses émotions prendre le dessus et répondre pour lui. « Si je te contredis… c’est parce que je voulais t’éloigner. Tu mérites mieux que ce que je peux t’offrir. Le romantisme, les moments de complicité, l’amour… c’est un domaine trop loin de moi. Je… » Les mots restèrent bloqués, la phrase laissée en suspend alors qu’il voulait lui avouer que la douleur était quotidienne dans son monde. « Je ne peux répondre à cette question. » Comment pouvait-il lui dévoiler ce lourd secret ? Celui qui lui avait valu un communiqué de presse annonçant sa propre mort alors qu’il était renvoyé de son agence. Comment la laisser entrevoir le vice et l’horreur d’un homme qui refusait de lâcher prise sur son fils, celui qu’il forçait à prendre la fuite alors qu’il aurait préféré vivre, simplement. La dernière question lui arracha un sourire, mais affola son cœur toujours prisonnier derrière la main de la canadienne. « Quelle est la bonne réponse ? » Il plaisantait sans réel humour, mais il connaissait déjà la réponse à cette question. Il appuya davantage sur les doigts de Stacy, resserrant son étreinte. Une première confession avant de laisser les paroles s’échapper. « Je t’aime. » Pas qu’un peu, je t’aime comme un fou, au point que mon cœur se sent esseulé quand tu n’es pas là, au point où je cherche ton sourire dans la foule, au point où la première chose que je me demande en me réveillant, c’est ce que tu fais et si tu penses aussi à moi. pensa-t-il. Mais l’aveu resta silencieux de peur de résonner sans trouver d’écho suffisant. La peur pénétrait sa chaire, piquant au vif la certitude qu’il pensait détenir quelques minutes plus tôt. Il l’attira alors vers lui, l’entourant de ses bras, réduisant la distance qui les séparait pour la sentir contre lui. Humant son parfum avant de goûter une nouvelle fois ses pulpeuses. « Tu devrais dormir maintenant ! La journée a été longue. Mais… promets moi d’être là à mon réveil, s’il te plait. » Le rideau de cils chuta, et derrière l’opaque de ses paupières, il savait qu’il ne pourrait pas être plus rassuré qu’à cet instant. La terreur et la colère avaient laissé place à la sérénité alors qu’il s’endormait dans les bras de celle qui hantait ses pensées.
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