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yang jun ha ⎯ fearless hearts.
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yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 21:48 Citer EditerSupprimer
nom : Yang 洋, "océan" en mandarin, ça me donne un air poète je trouve (ou poissirène au choix). prénom : Jun Ha 준하 pour simplifier la vie de ces bledards de coréens mais normalement, je suis venu en ce monde sous le nom de Tao Ling 涛灵, ou "âme des grandes vagues"... on a vraiment essayé de faire de moi une sirène faut croire. Du coup... Entre le kikoo et le blédard je sais pas ce qui est mieux. Si t'es une meuf appelle-moi juste oppa ça m'excite, teehee. âge : 22 ans déjà, ça me déprimerais presque. date et lieu de naissance : 20 mars 1994, parce que faut bien que ça tombe pas longtemps après la rentrée hein, sinon c'est pas drôle. Jusqu'à y'a pas très longtemps je pensais être né dans le ciel, quelque part entre Hong Kong et Singapour, mais non ! Il paraîtrait que je suis né ici, à Séoul mais bon, c'est tout de suite moins stylé à raconter. origines : Bah du coup frère moi je sais plus. Coréennes, techniquement, mais chinoises dans le coeur. nationalité : chinoise faudrait que j'aille demander la nationalité coréenne maintenant mais j'ai trop la flemme à chaque fois. Je vais me faire niquer là, je le sens gros comme une patate. cursus universitaire : ingénierie avionique et mécanique aéronautique. ça sonne plus compliqué que ça ne l'est, crois-moi. surtout quand tu fous rien. métier : Host au Ladies Paradise. J'aimerais avoir une raison intelligente pour faire ça mais franchement y'en a pas je crois. orientation sexuelle : Elles sont toutes belles, belles, belles comme le jour, tulutulututu. classe sociale : Riche à la base... code du règlement : ok par iMked. tu veux t'investir ? gumiho jusqu'à l'année dernière, je les ai quittés pour m'occuper de trucs et finalement j'ai voulu rejoindre les jeongal. (et si c'est pas possible et bah je suis rien wala)
Yang Jun Ha
I never lost a single game, I always see the end of it.
TCHATCHEUR (★★★★★) | HYPERACTIF (★★★★✰) | CURIEUX (mais c'est aussi un défaut) (★★★★★) | IRRÉFLÉCHI (★★★★✰) | DEMONSTRATIF (★★★★★) |
JALOUX (★★★★✰) | AUDACIEUX (★★★✰✰) | SE LASSE VITE (★★★✰✰) | IL EST LÀ... (★★★✰✰) | ...PARFOIS TROP (★★★✰✰) |
Rumour has it... A cause de son prénom on le prend souvent pour une meuf.(V : Quand je suis arrivé chez les gumihos y'en a trop qui m'ont pris pour une meuf. Voilà on vous choisit un prénom coréen pour au final être dénigré jusqu'à la moelle. "C'est androgyne", c'est ça ouais.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ ☾ Rah franchement vous me demandez un truc difficile là. C’est pas que ce mec est difficile à cerner tellement il est ouvert aux autres et tout ça mais. J’sais pas. C’est quand même compliqué de se résumer à du blanc ou du noir. Genre. Il est peut être chiant vous voyez. Comme l’âne dans Shrek qui peut pas s’empêcher d’ouvrir sa gueule toutes les cinq secondes parce que le trajet est trop long et qu’il s’emmerde. Ou comme… Vous voyez ce pote frustrant qui fait que parler encore et encore tout le long du cours et bizarrement au moment crucial, c’est toi qui te fait sortir et pas lui ? Bah c’est Jun Ha. Il sait pas se tenir, il faut toujours qu’il se la ramène mais t’inquiète qu’au bout du compte, c’est toi qui vas l’avoir dans le cul et pas lui ! Et t’façon, même si c’est lui qui l’a dans le cul il s’en bat tellement les steaks que tu finiras quand même plus frustré que lui. Après quand même, ça a du bon, c’est ce que je voulais dire tout à l’heure en fait : il prend la vie côté coca-cola, c’est une boule d’optimisme et d’énergie positive. Et puis même s’il peut être chiant, il l’est pas non plus H24, il sait se tenir… Quand il dort. Et encore, il parle dans son sommeil ce débile alors… Bon allez j’exagère parce qu’il me pète un peu les couilles, mais en vrai de vrai, il est cool, franchement il est cool. C’est le roi d’la tchatche, il a pas peur d’aller vers les inconnus tout ça. Si t’es réceptif à sa façon d’être, il a vraiment pas de mal à se faire des potes tout ça, tout ça. Et en parlant de ses potes d’ailleurs, il les vénère, mon gars ! Déjà bon, vu qu’il a pas eu de problèmes particuliers liés à l’amour et l’affection tout ça, c’est pas quelqu’un qui va avoir peur de te montrer qu’il tient à toi, de te le dire non plus d’ailleurs. Il est très expressif et très affectueux (j’te vois venir, t’inquiète il va pas non plus te faire un palpé-roulé à chaque fois qu’il te croise hein). Et puis j’sais pas, y’a quelque chose de réconfortant à propos de ce mec quand on le connaît bien, peut-être justement parce que c’est quelqu’un de si doux et optimiste. Le seul problème… Comment dire. Si vous vous en souvenez encore, j’vous ai dit qu’il avait pas de problème d’amour tout ça, machin. Mais au final il en a tellement reçu trop que du coup il a une certaine tendance à l’égocentrisme qui fait que, même s’il va être là pour comprendre ton problème si tu lui en parles ou je sais pas quoi. Bah c’est pas le mec qui va remarquer directement qu’il y a un truc qui va pas quoi. Alors je sais pas si c’est parce que c’est un mec tout court (genre t’sais les mecs sont moins subtils que les filles tout ça, tout ça) ou si c’est juste lui, mais il est vraiment pas très emphatique, à moins que ce soit ultra flagrant, quoi. Mais bon franchement, après quand il le sait, il t’écoute, tout ça. Il est un peu maladroit pour réconforter mais il va faire de son mieux et c’est un peu pour tout ça qu’il est assez attachant comme mec. Je pense aussi que ce côté « insensible » (j’utilise de très gros guillemets parce qu’insensible c’est peut-être trop fort) ou du moins difficile à perturber, fait qu’on peut avoir envie de se reposer sur lui parce qu’on sait qu’il va pas prendre peur ou se laisser impressionner par ce qui te tracasse… Après le problème, c’est que comme il est hyperactif, il a pas de limites. Ca l’a beaucoup aidé dans ses championnats de karaté, ses compets de tricking ou tout simplement dans les défis stupides qu’il se lance, surtout que c’est un gros compétitif en plus (et un très mauvais perdant soit dit en passant), mais il sait aussi qu’une fois en colère, il va trop loin. Il peut se montrer très blessant s’il te connaît bien et sa rage n’est que difficilement contrôlable une fois qu’il y est. C’est pour ça je pense qu’il est très fêtard, qu’il passe son temps à s’amuser et à faire n'importe quoi. Il a sa façon à lui de contrôler sa colère car il sait qu’une fois de mauvaise humeur, il peut partir en couilles. Mais bon fraté, faut vraiment le chercher pour l’énerver hein… Si tu l’énerves c’est sans doute plus de toi qu’il faut se méfier j’ai envie de dire ! Ou bien peut-être que tu as attisé sa jalousie ? En parlant de jalousie, il dit parfois que la femme de sa vie sera une mannequin trop cutie et trop belle gosse mais franchement j'en doute. Il rêve de toucher les étoiles, vous savez ? En amour comme dans tout mais il s'en donne pas toujours les moyens. Il aimerait être pilote comme son père par exemple mais il fout rien en cours ! Il a un super cerveau mais bon à un moment donné si tu te grattes le cul mon frère... Sinon c’est pas non plus quelqu’un d’hyper tolérant. C’est bizarre parce qu’il a beaucoup voyagé, il parle plein de langues, il sait plein de choses sur le monde et tout. Mais j’sais pas. C’est peut-être ses grands-parents un peu conservateurs qui ont déteint sur lui. Et vu qu’il a toujours eu tout pour lui, c’est pas non plus lui qui va penser à aider la veuve et l’orphelin. Pas parce qu’il veut pas, mais… Il s’en fout quoi. Si tu lui parles il va peut-être se dire « ah ouais t’as pas tort j’vais peut-être donner un truc pourquoi pas… » mais encore une fois, il tilte pas tout seul quoi. Pourtant il est très intelligent hein mais, j’sais pas… Il peut changer je pense. J’sais pas quoi dire d’autre franchement…Euuuh. Bah je pense que j’ai fait le tour hein, après t’as qu’à aller lui parler pour en savoir plus wesh je vais pas faire tout le taf à ta place ! J’ai l’impression d’avoir déballé tous ses défauts mais la vie de ma mère il est vraiment trop gentil. Il mord pas, c’est un caniche ce con. Enfin, attends, c’est sympa un caniche ? |
This is my story
No bed is more comfortable than the clouds.
- Dad?
- Hmm?
- We're pals, right?
- Right.
- And we'll always be together, right?
J’aurais pu commencer mon histoire par un drame à faire pleurer les mères célibataires dans leur chaumière et criser les mamies devant leur poste de télé. Avec ce que j’ai vu, vécu et entendu, ce serait tout à fait possible. Je pourrais vous étaler des lignes et des lignes de prose sur la cruauté de la vie et tout le tralala, mais je n’en ai pas envie. Ce n’est pas ce que je pense, ce n’est pas ce que je veux retenir. Je préfère commencer par quelque chose d’heureux car, pour tout vous dire, le bonheur est bien ce qui a occupé la plus grande partie de mon existence.
Je grandis dans un pays magnifique, la Chine, et dans une ville plus exceptionnelle encore : Shanghai. Emerveillé par la splendeur du Pudong, rêveur face au Huangpu Jiang ; amoureux de la nourriture, bercé par des rues continuellement noires de monde et par une effervescence constante… J’aime ma ville, j’aime ma vie, j’aime mes amis, et surtout, j’aime ma famille. Mon père est pilote de ligne, ma mère hôtesse de l’air. En bon petits chinois fortunés du Sud, mes grands-parents n’avaient pas particulièrement appréciés que mon père n’épouse pas une femme aussi fortunée que lui, qui plus est une étrangère. La sauce est passée un peu plus facilement quand ils ont appris que ma coréenne de mère n’était pas la fille de n’importe qui et tout le monde a finit par s’entendre je ne sais trop comment. Je n’ai jamais vraiment cherché à savoir plus de détails sur ces jours qui ont précédé ma venue au monde. Regard trop tourné vers l’avenir ou coeur beaucoup trop capricieux, les histoires de famille ça n'a jamais été ma tasse de thé. Je n’ai d’yeux que pour moi-même, et eux aussi.
Le xiǎo huángdì que je suis est, jusqu’à aussi loin que ma mémoire me permette de remonter, aimé, choyé, gâté et bien plus encore. J’ai tout ce que je veux, quand je veux. Mes parents me chérissent malgré leurs absences répétées, mes grands-parents me gâtent comme le mérite le petit roi que je suis. Non mais vraiment, j’aimerais vous dire quelque chose de waouh et qui fera chavirer votre cœur mais vraiment, il n’y a rien. Parce que les tableaux parfaits ça fait trop chier bah je vais vous préciser que je ne suis pas très bon élève, mes résultats scolaires sont médiocres. Je comprends tout mais j’en m’en fiche, ce n’est pas drôle, c’est ennuyeux à mourir. Je préfère chahuter et faire des bêtises, tirer sur les cheveux des filles et leur montrer mes fesses juste pour les entendre crier et geindre. J’aime leur balancer de la peinture dessus pour salir leur chemise au blanc immaculé, j’crois même que j’ai déjà coupé la tresse d’une fille mais bon que voulez-vous hein. Pas très sympa, je sais, mais c’est pas drôle pour moi les filles à l’époque. On leur donne toujours raison, toujours là à faire les précieuses et tout le tralala. De vrais êtres inutiles qui ne servent pas à grand chose, réflexion qui une fois arrivée aux oreilles de ma grand-mère m’a valu le coup de latte de ma vie et la vie de moi j’ai plus jamais rien dit ou pensé sur les êtres sans bite après ça. Même que j’ai été inscrit au karaté qui est ma foi le grand amusement de ma vie bien que j’aie beaucoup de mal à m’en tenir aux règles et à la discipline. Mais bon, je supporte.
Je supporte un peu moins quand à 12 ans, je me retrouve obligé de déménager dans la ville d’origine de ma mère, Séoul, alors que son père tombe gravement mal et qu’une crise interplanétaire frôle de ce fait notre famille. C’est méchant, mais là encore, je m’en fiche. Mon cœur est beaucoup plus brisé à l’idée de quitter ceux que je considère comme mes seuls grands-parents, à l’idée de quitter mes meilleurs amis et ceux avec qui j’ai passé ma vie. Je les reverrai, je le sais mais… Ce sont eux mes vrais repères, je ne veux pas les quitter. Je suis peut-être un peu triste pour ma mère mais je ne comprends pas toute cette crainte qui plane autour de la mort. La seule chose que j’ai vu mourir de ma vie, c’est une abeille coincée dans les toiles d’une araignée pas très belle. Ça n’a pas l’air si terrible que ça.
Et puis comme ça, mon grand-père est mort. Je suis en léthargie à cause de cette étrange atmosphère qui suit son décès, mais je veux passer à autre chose. On peut rentrer à la maison maintenant, non ? Non ? Pourquoi ? Ah, il ne faut pas laisser la mamie toute seule… Beh oui. Suis-je bête. Tant pis. A ce moment-là de ma vie, ma famille passe en second plan. On ne fait pas ce que je veux, ça ne m’intéresse pas. Mes nouveaux amis sont beaucoup plus drôles, et c’est marrant de charrier ces imbéciles de coréens qui n’y comprennent décidément rien. L’affection que je donne jusqu’alors à mes parents, je la donne maintenant à mes amis. Je donne tout à mes amis. Mes rires, mes blagues pourries, mes larmes, mes colères. Pas beaucoup de larmes en fait, surtout beaucoup de rire. L’ennui que j’ai toujours ressenti en allant à l’école m’a fait devenir un peu bizarre je crois, je pars dans des délires étranges que seule une fille encore plus délurée semble prendre à leur juste valeur. Avec elle et d’autres, on commence à former une petite bande d’inséparables avec laquelle je passe le plus clair de mon temps. La vie en Corée n’est pas si terrible que ce que je m’imaginais. Je ris encore peut-être plus qu’avant, je grandis. Je rencontre de jolies filles et je n'ai plus envie de les trucider, bien au contraire. Et puis il y en a une qui me tape dans l’oeil, un peu trop fort d’ailleurs. Je l’ai dans la peau, des pointes de mes cheveux au bout de mes orteils. Je l’aime, trop. Trop vite, trop tôt, trop tout. Elle me brise le cœur encore et encore et encore… Mais je suis trop borné et stupide pour passer à autre chose. Elle peut tout avoir de moi, mais jamais cela n’arrive. Je ne suis que la partie d’un tout qui ne lui suffit pas. Je continue ma vie de mon côté, j’attends sans être désespéré, je crois.
Et puis les années passent. J’entre à l’université, mes amis avec moi. Tout va bien dans le meilleur des mondes. J’enchaîne les soirées, les beuveries. Je fume des bédots dans ma chambre à en agacer mes colocs, je chill, je m’agite, je baise, je dors, je bouffe et puis je recommence mon cycle interminable de fête. Et puis pour une fois où je regarde les infos, je vois qu’un avion s’est craché. Mes parents étaient dedans. Mon père est mort, ma mère est dans un coma duquel elle ne semble pas vouloir se réveiller. C’est un coup de massue, c’est vrai. J’ai voulu être triste, j’ai voulu pleurer. Mais j’ai repensé à cette araignée et à cette abeille trop affolée pour réussir à s’échapper de sa toile. Je ne serai pas une abeille. Je continuerai à vivre ma vie comme je l’ai toujours fait, à kiffer comme je l’ai toujours fait, à ne penser qu’à ma gueule comme je l’ai toujours fait. C’est possible, non ? La preuve, un an plus tard je suis toujours là, toujours au top de ma forme. Le décès de mon père a soulevé des questions auxquelles j’ai du mal à répondre. Je cherche et je ne me décourage pas. Je me voile peut-être la face mais je m’en fous. Je ne suis pas seul, j’ai des gens qui m’aiment, d’autres qui me détestent. Rien de nouveau sous le soleil et la Terre continue de tourner. Je suis un homme heureux.
- Let me tell you something my father told me. Look at the stars. The great kings of the past look down on us from those stars.
- Really?
- Yes. So whenever you feel alone, just remember that those kings will always be there to guide you. And so will I.
- Hmm?
- We're pals, right?
- Right.
- And we'll always be together, right?
☾ ☾ ☾ ☾ ☾
J’aurais pu commencer mon histoire par un drame à faire pleurer les mères célibataires dans leur chaumière et criser les mamies devant leur poste de télé. Avec ce que j’ai vu, vécu et entendu, ce serait tout à fait possible. Je pourrais vous étaler des lignes et des lignes de prose sur la cruauté de la vie et tout le tralala, mais je n’en ai pas envie. Ce n’est pas ce que je pense, ce n’est pas ce que je veux retenir. Je préfère commencer par quelque chose d’heureux car, pour tout vous dire, le bonheur est bien ce qui a occupé la plus grande partie de mon existence.
Je grandis dans un pays magnifique, la Chine, et dans une ville plus exceptionnelle encore : Shanghai. Emerveillé par la splendeur du Pudong, rêveur face au Huangpu Jiang ; amoureux de la nourriture, bercé par des rues continuellement noires de monde et par une effervescence constante… J’aime ma ville, j’aime ma vie, j’aime mes amis, et surtout, j’aime ma famille. Mon père est pilote de ligne, ma mère hôtesse de l’air. En bon petits chinois fortunés du Sud, mes grands-parents n’avaient pas particulièrement appréciés que mon père n’épouse pas une femme aussi fortunée que lui, qui plus est une étrangère. La sauce est passée un peu plus facilement quand ils ont appris que ma coréenne de mère n’était pas la fille de n’importe qui et tout le monde a finit par s’entendre je ne sais trop comment. Je n’ai jamais vraiment cherché à savoir plus de détails sur ces jours qui ont précédé ma venue au monde. Regard trop tourné vers l’avenir ou coeur beaucoup trop capricieux, les histoires de famille ça n'a jamais été ma tasse de thé. Je n’ai d’yeux que pour moi-même, et eux aussi.
Le xiǎo huángdì que je suis est, jusqu’à aussi loin que ma mémoire me permette de remonter, aimé, choyé, gâté et bien plus encore. J’ai tout ce que je veux, quand je veux. Mes parents me chérissent malgré leurs absences répétées, mes grands-parents me gâtent comme le mérite le petit roi que je suis. Non mais vraiment, j’aimerais vous dire quelque chose de waouh et qui fera chavirer votre cœur mais vraiment, il n’y a rien. Parce que les tableaux parfaits ça fait trop chier bah je vais vous préciser que je ne suis pas très bon élève, mes résultats scolaires sont médiocres. Je comprends tout mais j’en m’en fiche, ce n’est pas drôle, c’est ennuyeux à mourir. Je préfère chahuter et faire des bêtises, tirer sur les cheveux des filles et leur montrer mes fesses juste pour les entendre crier et geindre. J’aime leur balancer de la peinture dessus pour salir leur chemise au blanc immaculé, j’crois même que j’ai déjà coupé la tresse d’une fille mais bon que voulez-vous hein. Pas très sympa, je sais, mais c’est pas drôle pour moi les filles à l’époque. On leur donne toujours raison, toujours là à faire les précieuses et tout le tralala. De vrais êtres inutiles qui ne servent pas à grand chose, réflexion qui une fois arrivée aux oreilles de ma grand-mère m’a valu le coup de latte de ma vie et la vie de moi j’ai plus jamais rien dit ou pensé sur les êtres sans bite après ça. Même que j’ai été inscrit au karaté qui est ma foi le grand amusement de ma vie bien que j’aie beaucoup de mal à m’en tenir aux règles et à la discipline. Mais bon, je supporte.
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Je supporte un peu moins quand à 12 ans, je me retrouve obligé de déménager dans la ville d’origine de ma mère, Séoul, alors que son père tombe gravement mal et qu’une crise interplanétaire frôle de ce fait notre famille. C’est méchant, mais là encore, je m’en fiche. Mon cœur est beaucoup plus brisé à l’idée de quitter ceux que je considère comme mes seuls grands-parents, à l’idée de quitter mes meilleurs amis et ceux avec qui j’ai passé ma vie. Je les reverrai, je le sais mais… Ce sont eux mes vrais repères, je ne veux pas les quitter. Je suis peut-être un peu triste pour ma mère mais je ne comprends pas toute cette crainte qui plane autour de la mort. La seule chose que j’ai vu mourir de ma vie, c’est une abeille coincée dans les toiles d’une araignée pas très belle. Ça n’a pas l’air si terrible que ça.
Et puis comme ça, mon grand-père est mort. Je suis en léthargie à cause de cette étrange atmosphère qui suit son décès, mais je veux passer à autre chose. On peut rentrer à la maison maintenant, non ? Non ? Pourquoi ? Ah, il ne faut pas laisser la mamie toute seule… Beh oui. Suis-je bête. Tant pis. A ce moment-là de ma vie, ma famille passe en second plan. On ne fait pas ce que je veux, ça ne m’intéresse pas. Mes nouveaux amis sont beaucoup plus drôles, et c’est marrant de charrier ces imbéciles de coréens qui n’y comprennent décidément rien. L’affection que je donne jusqu’alors à mes parents, je la donne maintenant à mes amis. Je donne tout à mes amis. Mes rires, mes blagues pourries, mes larmes, mes colères. Pas beaucoup de larmes en fait, surtout beaucoup de rire. L’ennui que j’ai toujours ressenti en allant à l’école m’a fait devenir un peu bizarre je crois, je pars dans des délires étranges que seule une fille encore plus délurée semble prendre à leur juste valeur. Avec elle et d’autres, on commence à former une petite bande d’inséparables avec laquelle je passe le plus clair de mon temps. La vie en Corée n’est pas si terrible que ce que je m’imaginais. Je ris encore peut-être plus qu’avant, je grandis. Je rencontre de jolies filles et je n'ai plus envie de les trucider, bien au contraire. Et puis il y en a une qui me tape dans l’oeil, un peu trop fort d’ailleurs. Je l’ai dans la peau, des pointes de mes cheveux au bout de mes orteils. Je l’aime, trop. Trop vite, trop tôt, trop tout. Elle me brise le cœur encore et encore et encore… Mais je suis trop borné et stupide pour passer à autre chose. Elle peut tout avoir de moi, mais jamais cela n’arrive. Je ne suis que la partie d’un tout qui ne lui suffit pas. Je continue ma vie de mon côté, j’attends sans être désespéré, je crois.
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Et puis les années passent. J’entre à l’université, mes amis avec moi. Tout va bien dans le meilleur des mondes. J’enchaîne les soirées, les beuveries. Je fume des bédots dans ma chambre à en agacer mes colocs, je chill, je m’agite, je baise, je dors, je bouffe et puis je recommence mon cycle interminable de fête. Et puis pour une fois où je regarde les infos, je vois qu’un avion s’est craché. Mes parents étaient dedans. Mon père est mort, ma mère est dans un coma duquel elle ne semble pas vouloir se réveiller. C’est un coup de massue, c’est vrai. J’ai voulu être triste, j’ai voulu pleurer. Mais j’ai repensé à cette araignée et à cette abeille trop affolée pour réussir à s’échapper de sa toile. Je ne serai pas une abeille. Je continuerai à vivre ma vie comme je l’ai toujours fait, à kiffer comme je l’ai toujours fait, à ne penser qu’à ma gueule comme je l’ai toujours fait. C’est possible, non ? La preuve, un an plus tard je suis toujours là, toujours au top de ma forme. Le décès de mon père a soulevé des questions auxquelles j’ai du mal à répondre. Je cherche et je ne me décourage pas. Je me voile peut-être la face mais je m’en fous. Je ne suis pas seul, j’ai des gens qui m’aiment, d’autres qui me détestent. Rien de nouveau sous le soleil et la Terre continue de tourner. Je suis un homme heureux.
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- Let me tell you something my father told me. Look at the stars. The great kings of the past look down on us from those stars.
- Really?
- Yes. So whenever you feel alone, just remember that those kings will always be there to guide you. And so will I.
About me
Je suis...
nomino
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/t11869-yang-jun-ha-fearless-hearts][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>WANG JIA ER (JACKSON, GOT7)</upper></taken> ✎ <lower>yang jun ha</lower>
PV pris
Supprimez le code inutile
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 21:49 Citer EditerSupprimer
Oh jolie zazou,
je t'aime un peu beaucoup (passionnément à la folieee, pas du tout, pas du tout )
Tu vas voir on va faire les foufous
tu m'as foudroyé avec ton junha
crois moi ce mec c'est son da-da(ddy)
et si les gens osent lui dire que c'est un clak
dis leur qu'elle le laissera pas dormir sur son clic clac
elle bug devant tant de beauté
mais c'est surtout ses mots qui lui ont parlé
amitié, complicité, sexualité (SENSUALITE AUSSI CC AXELLE RED)
le kokoro de risae ?
il l'a déjà gagné.
si une fille le fait chier, tkt elle va la massacrer
plus jamais il aura le coeur brisé
parce que ultimes seront ses nénés
Oh jolie zazou,
je t'aime un peu beaucoup
Tu vas voir on va faire les foufous
tu m'as foudroyé avec ton junha
crois moi ce mec c'est son da-da(ddy)
et si les gens osent lui dire que c'est un clak
dis leur qu'elle le laissera pas dormir sur son clic clac
elle bug devant tant de beauté
mais c'est surtout ses mots qui lui ont parlé
amitié, complicité, sexualité (SENSUALITE AUSSI CC AXELLE RED)
le kokoro de risae ?
il l'a déjà gagné.
si une fille le fait chier, tkt elle va la massacrer
plus jamais il aura le coeur brisé
parce que ultimes seront ses nénés
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 21:49 Citer EditerSupprimer
J'édite j'arrive
EDIT : T'es là mon 孩子
T'es beau j'vais t'en faire des choses
Nan mais en vrai je sais que tu vas avoir une demoiselle CANON, mais TELLEMENT CANON j'approuve, faudra qu'elle me demande mon avis par contre
En tout cas j'suis contente d'être encore BFF avec toi
J'te love
EDIT : T'es là mon 孩子
T'es beau j'vais t'en faire des choses
- Spoiler:
- :bang: :jihoon:
Sorry girls, il aime les garçon manqué c'toutJunJun a écrit:Malgré sa bonne volonté, ça n’a jamais fonctionné avec ses petites amies. (V: Il a jeté autant de filles que lui ne s’est fait larguer. Tout ça à cause d’une fille qui ne lui sort pas de l’esprit…)
Nan mais en vrai je sais que tu vas avoir une demoiselle CANON, mais TELLEMENT CANON j'approuve, faudra qu'elle me demande mon avis par contre
En tout cas j'suis contente d'être encore BFF avec toi
J'te love
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 21:54 Citer EditerSupprimer
BANDE DE RAPACES J'EN AI MARRE
Je F5 depuis tout à l'heure, j'me gratte la tête deux secs et l'autre elle lâche sa fiche.
MON SULLY
J'ai même plus besoin d'éditer tellement j'suis down dans le classement #nanalathug #nanaladéfaite
Rebienvenue Zazouettekool (admire ce respect.)
Jtm
Je F5 depuis tout à l'heure, j'me gratte la tête deux secs et l'autre elle lâche sa fiche.
MON SULLY
J'ai même plus besoin d'éditer tellement j'suis down dans le classement #nanalathug #nanaladéfaite
- let me hear you sing : "oppa c'est le plus chouette"
Rebienvenue Zazouettekool (admire ce respect.)
Jtm
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 22:04 Citer EditerSupprimer
COPAIN D'ABANDON
REBIENVENUE JTM DÉJÀ
REBIENVENUE JTM DÉJÀ
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 22:27 Citer EditerSupprimer
Re Bienvenue
Par contre j'ai une mauvaise nouvelle pour toi... Tu vas encore te farcir Yong sous ce compte comme vous êtes collègues
Bon courage pour ta fiche
Ps : je rep sur skype quand ça fonctionnera à nouveau sur mon ordi là c'est trop long sur mon tel
Ah et tu vas rire... j'ai plus les mps que je t'ai envoyé >>
Par contre j'ai une mauvaise nouvelle pour toi... Tu vas encore te farcir Yong sous ce compte comme vous êtes collègues
Bon courage pour ta fiche
Ps : je rep sur skype quand ça fonctionnera à nouveau sur mon ordi là c'est trop long sur mon tel
Ah et tu vas rire... j'ai plus les mps que je t'ai envoyé >>
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 22:55 Citer EditerSupprimer
Aaaaah mais c'est toi !
Salut poto. Même pas tu préviens. Je note. Je vais te kicker. Et je kick fort.
Salut.
Salut poto. Même pas tu préviens. Je note. Je vais te kicker. Et je kick fort.
Salut.
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 23:16 Citer EditerSupprimer
Je dirais juste une chose... jtm.
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mar 7 Mar 2017 - 23:53 Citer EditerSupprimer
mark
rebienvenue, il m'éclate déjà celui-là!
rebienvenue, il m'éclate déjà celui-là!
Invité
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Re: yang jun ha ⎯ fearless hearts. | Mer 8 Mar 2017 - 1:38 Citer EditerSupprimer
j'te pref avec des nichons.
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