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SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ?
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SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Sam 11 Mar - 11:24
J’avais pu bien dormir cette nuit, sans trop savoir pourquoi. Peut-être cette nouvelle de la libération de Rei qui me mettait d’aussi bonne humeur. Je n’avais pas vraiment conscience de tout ça pour dire vrai, je pensais juste m’être levée du bon pied. Sawyer ronflait encore lamentablement dans son lit et je pouvais l’entendre d’ici. Ça m’arracha un petit rire. Je regarde le réveil, le soleil pointe à peine le bout de son nez. Ce n’est pas franchement que je suis du matin, mais avec mes horaires décalés j’avais fini par avoir un rythme de sommeil particulier et très propre à … rien en fait. Je dormais et me réveillais un peu au grès de mes envies. Et ce matin, faisant exception à tous les autres, j’étais en forme, motivée avec un regain d’énergie si intense que j’avais fini de faire mon ménage en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Je tentais de ne pas faire trop bruit pour éviter de réveiller mon petit frère mais astiqua et rangea ce petit appartement en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Après avoir lancé deux machines, préparé un petit déjeuner copieux et prit une douche il me restait encore assez d’énergie à dépenser ! Enfilant ma tenue de sport préférée j’attrapais mon téléphone et mes écouteurs avec l’envie soudaine de me faire un petit footing. Ça faisait une éternité que je n’en avais pas fait mais j’espérais ne pas avoir perdu la main. Ça aurait été un comble … heureusement pour moi j’avais un bon cardio et assez de motivations pour courir. Courir assez longtemps d’ailleurs. J’ai fait plusieurs fois le tour du quartier, appréciant la tranquillité de la ville qui se réveillait doucement. J’humais l’air frais à plein poumon et respirait avec un entrain nouveau. Je souriais radieusement sans trop m’en rendre compte mais au moins je commençais cette journée en me sentant bien dans ma peau. Je décide de finalement entrée, accélérant à la perspective du bain chaud qui m’attendait chez moi. Je force sur les derniers mètres, quitte à me noyer sous la sueur et ralentit à l’approche de mon bâtiment. Mon cœur rata un battement et mes sourcils se froncèrent en lorgnant sur la silhouette qui boitait jusqu’à la porte d’entrée. Deux hommes. Un homme. Lui. Mon cœur s’emballe rien qu’un peu sous l’excitation et j’en oublie ma tenue peu appropriée et mon corps couvert de sueur. Ma queue de cheval se balance en rythme alors que j’arrive à sa hauteur en ralentissant. « Rei ! » m’écriais-je avec un éclat de joie dans la voix. « Tu es là ! » enfin ! Mais je me retenais bien de le souligner. « Comment tu vas ? » je ne savais pas si c’était la nuit qu’il avait visiblement passé ou ces mois de prisons qui lui creusaient autant le visage mais je ne pouvais m’empêcher de le trouver beau. Rei était un peu le boy next door. Le genre de crush amusant dans les séries télé. Je n’attendais rien de lui, mais le croiser parfois et discuter avec lui me faisait du bien. C’était d’une simplicité, un voisin à qui j’allais demander du sel sans en avoir besoin. Mon sourire s’agrandissait u peu plus alors que je laissais mon corps tomber contre la porte du hall pour la pousser comme j’avais l’habitude de faire.
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
J’avais pu bien dormir cette nuit, sans trop savoir pourquoi. Peut-être cette nouvelle de la libération de Rei qui me mettait d’aussi bonne humeur. Je n’avais pas vraiment conscience de tout ça pour dire vrai, je pensais juste m’être levée du bon pied. Sawyer ronflait encore lamentablement dans son lit et je pouvais l’entendre d’ici. Ça m’arracha un petit rire. Je regarde le réveil, le soleil pointe à peine le bout de son nez. Ce n’est pas franchement que je suis du matin, mais avec mes horaires décalés j’avais fini par avoir un rythme de sommeil particulier et très propre à … rien en fait. Je dormais et me réveillais un peu au grès de mes envies. Et ce matin, faisant exception à tous les autres, j’étais en forme, motivée avec un regain d’énergie si intense que j’avais fini de faire mon ménage en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Je tentais de ne pas faire trop bruit pour éviter de réveiller mon petit frère mais astiqua et rangea ce petit appartement en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Après avoir lancé deux machines, préparé un petit déjeuner copieux et prit une douche il me restait encore assez d’énergie à dépenser ! Enfilant ma tenue de sport préférée j’attrapais mon téléphone et mes écouteurs avec l’envie soudaine de me faire un petit footing. Ça faisait une éternité que je n’en avais pas fait mais j’espérais ne pas avoir perdu la main. Ça aurait été un comble … heureusement pour moi j’avais un bon cardio et assez de motivations pour courir. Courir assez longtemps d’ailleurs. J’ai fait plusieurs fois le tour du quartier, appréciant la tranquillité de la ville qui se réveillait doucement. J’humais l’air frais à plein poumon et respirait avec un entrain nouveau. Je souriais radieusement sans trop m’en rendre compte mais au moins je commençais cette journée en me sentant bien dans ma peau. Je décide de finalement entrée, accélérant à la perspective du bain chaud qui m’attendait chez moi. Je force sur les derniers mètres, quitte à me noyer sous la sueur et ralentit à l’approche de mon bâtiment. Mon cœur rata un battement et mes sourcils se froncèrent en lorgnant sur la silhouette qui boitait jusqu’à la porte d’entrée. Deux hommes. Un homme. Lui. Mon cœur s’emballe rien qu’un peu sous l’excitation et j’en oublie ma tenue peu appropriée et mon corps couvert de sueur. Ma queue de cheval se balance en rythme alors que j’arrive à sa hauteur en ralentissant. « Rei ! » m’écriais-je avec un éclat de joie dans la voix. « Tu es là ! » enfin ! Mais je me retenais bien de le souligner. « Comment tu vas ? » je ne savais pas si c’était la nuit qu’il avait visiblement passé ou ces mois de prisons qui lui creusaient autant le visage mais je ne pouvais m’empêcher de le trouver beau. Rei était un peu le boy next door. Le genre de crush amusant dans les séries télé. Je n’attendais rien de lui, mais le croiser parfois et discuter avec lui me faisait du bien. C’était d’une simplicité, un voisin à qui j’allais demander du sel sans en avoir besoin. Mon sourire s’agrandissait u peu plus alors que je laissais mon corps tomber contre la porte du hall pour la pousser comme j’avais l’habitude de faire. #kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Sam 18 Mar - 9:56
Wearing + Le ventre plein, de tout ce qu'il ne fallait pas. Les veines chargées d'alcool à en faire péter tout contrôle. Le système nerveux endormi par la dope. La tête pleine de rires, de nouveaux moments, de nouveaux souvenirs putain... Et le cœur chargé. Chargé de quoi ? … De liberté ça oui. D'amour ? Peut-être bien. Il aimait son frère, celui qui l'avait libéré. Et surtout... Le cœur plein de vie. D'envie. Rei était dehors. S'il croyait en un dieu, il serait allé allumer un cierge. Mais sa plus grande force, c'était de croire en Bom Chan, en son meilleur ami. Il aurait pu s'en vouloir d'avoir douté de son optimisme, de s'être dit qu'il allait crever derrière les barreaux. Mais Rei n'était pas un homme qui s'encombrait de regret inutile. Il descendit du taxi et le paya avec l'argent que son meilleur ami lui avait donné, pas honteux de devoir lui emprunter des billets pour quelque chose d'aussi basique. Comment aurait-il pu avoir de quoi payer en ayant été incapable de bosser dans quoique ce soit pendant ces longs mois d'enfermement ? Devant son immeuble, il marqua une pause, il ne s'était pas imaginé le revoir, il ne s'était pas imaginé y revenir. Encore une fois, il devait une fier chandelle à Bom Chan qui avait gardé espoir et avait payé son loyer durant tous ces mois. Il allait essayer de le rembourser, dans la mesure de son possible. Oh son frère ne demandait rien en retour, mais Rei y tenait, parce qu'il y avait des dommages et intérêt à payer. D'un pas légèrement boiteux, après tout ce temps sans marcher réellement, une telle activité mettait sa jambe à rude épreuve, Rei s'apprêta à rentrer dans son immeuble, à rentrer chez lui. Enfin. Mais il ne pu entrer, il se stoppa dans son mouvement et avisa une jeune femme qu'il connaissait plutôt bien. Un fin sourire étira ses lèvres qui avaient repris un peu de couleurs. C'est qu'il ne s'attendait pas à ce que la revoir lui fasse autant plaisir. « Hey ! » Sa voix était rauque d'avoir si peu parlé pendant tout ce temps, et aussi d'ivresse un peu. « Ça va. Je suis dehors. Alors ça va. » Même en le disant, il avait encore du mal à y croire. Il espérait que les choses allaient bien pour sa « petite voisine » comme il s'amusait souvent à l'appeler, pour l'énerver d'ailleurs. Il la suivit dans le hall d'entrée de l'immeuble, prenant un instant pour savourer le fait aussi simple que d'être dans son hall d'entrée. « Et quoi de neuf depuis mes vacances au vert ? » Il n'avait pas donné de nouvelles à la jeune femme, et elle n'était pas venue le voir, mais il ne lui en voulait pas un seul instant.
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
Wearing + Le ventre plein, de tout ce qu'il ne fallait pas. Les veines chargées d'alcool à en faire péter tout contrôle. Le système nerveux endormi par la dope. La tête pleine de rires, de nouveaux moments, de nouveaux souvenirs putain... Et le cœur chargé. Chargé de quoi ? … De liberté ça oui. D'amour ? Peut-être bien. Il aimait son frère, celui qui l'avait libéré. Et surtout... Le cœur plein de vie. D'envie. Rei était dehors. S'il croyait en un dieu, il serait allé allumer un cierge. Mais sa plus grande force, c'était de croire en Bom Chan, en son meilleur ami. Il aurait pu s'en vouloir d'avoir douté de son optimisme, de s'être dit qu'il allait crever derrière les barreaux. Mais Rei n'était pas un homme qui s'encombrait de regret inutile. Il descendit du taxi et le paya avec l'argent que son meilleur ami lui avait donné, pas honteux de devoir lui emprunter des billets pour quelque chose d'aussi basique. Comment aurait-il pu avoir de quoi payer en ayant été incapable de bosser dans quoique ce soit pendant ces longs mois d'enfermement ? Devant son immeuble, il marqua une pause, il ne s'était pas imaginé le revoir, il ne s'était pas imaginé y revenir. Encore une fois, il devait une fier chandelle à Bom Chan qui avait gardé espoir et avait payé son loyer durant tous ces mois. Il allait essayer de le rembourser, dans la mesure de son possible. Oh son frère ne demandait rien en retour, mais Rei y tenait, parce qu'il y avait des dommages et intérêt à payer. D'un pas légèrement boiteux, après tout ce temps sans marcher réellement, une telle activité mettait sa jambe à rude épreuve, Rei s'apprêta à rentrer dans son immeuble, à rentrer chez lui. Enfin. Mais il ne pu entrer, il se stoppa dans son mouvement et avisa une jeune femme qu'il connaissait plutôt bien. Un fin sourire étira ses lèvres qui avaient repris un peu de couleurs. C'est qu'il ne s'attendait pas à ce que la revoir lui fasse autant plaisir. « Hey ! » Sa voix était rauque d'avoir si peu parlé pendant tout ce temps, et aussi d'ivresse un peu. « Ça va. Je suis dehors. Alors ça va. » Même en le disant, il avait encore du mal à y croire. Il espérait que les choses allaient bien pour sa « petite voisine » comme il s'amusait souvent à l'appeler, pour l'énerver d'ailleurs. Il la suivit dans le hall d'entrée de l'immeuble, prenant un instant pour savourer le fait aussi simple que d'être dans son hall d'entrée. « Et quoi de neuf depuis mes vacances au vert ? » Il n'avait pas donné de nouvelles à la jeune femme, et elle n'était pas venue le voir, mais il ne lui en voulait pas un seul instant. #kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Mer 22 Mar - 17:45
Elle était heureuse de le voir. Plus qu’elle ne l’aurait pensé. Il semblait aller plutôt bien pour un homme qui avait passé de si long mois en taule. Elle lui souriait, comme elle aimait sourire quand une bonne nouvelle arrivait. Comme elle souriait à son frère, à si peu de gens en soit. Elle resserre sa queue de cheval amusé de sa remarque et ouvre sa boite aux lettres. « Ça va super, la routine » élude-t-elle avec un petit haussement d’épaule. Il n’avait pas besoin de savoir les détails de sa vie fantasque. Elle aimait n’être que la petite voisine au regard de Rei. Comme lui n’était que son séduisant voisin. Il n’avait rien du criminel que les média s’étaient amusés à dépeindre. Il n’avait rien de l’homme dangereux qu’il faudrait fuir comme la peste. Pourtant il avait blessé, tué ces étudiants. Il aurait pu tuer son frère et ça… ça elle ne lui aurait jamais pardonné, qui sait, elle aurait été prête à le tuer elle-même. Sans son frère Skyla n’avait plus rien à perdre. Elle avait fini par se complaire dans cette vie qu’elle menait pour le bien être de son tout petit frère. Sawyer était leur avenir, elle n’en doutait pas. Alors finalement ses sacrifices valaient la peine et c’était devenu naturel pour elle, et s’oublier ne semblait plus si difficile. Il y avait ces petits plaisirs de la vie qui la faisait tenir. Comme croiser son voisin, lui sourire, lui parler, comme si tous les deux finalement n’avaient besoin de rien d’autres. Elle sourit à nouveau, radieuse et range ses écouteurs dans la poche de son sweat. « T’as plutôt bonne mine pour quelqu’un parti au vert. Ça me faisait plaisir de te voir. » Et elle n’a pas peur de lui avouer, sans rougir, en le regardant droit dans les yeux. Elle n’a pas la prétention de croire qu’il lui retournera ce manque, mais elle ne s’en vexera pas. Elle prend son temps, appelle à peine l’ascenseur, elle ne le quitte pas des yeux. Elle passe une main dans ses cheveux long et zieute ceux de rei avec un petit rire « Ils ont poussé tes cheveux, t’as pas eu le temps d’aller au coiffeur ? » le taquine-t-elle avec un petit rire malicieux. C’était étrange de rire ainsi de ce temps passé en prison qui l’a sûrement traumatisé, mais … c’était ça entre eux. Et c’était si plaisant dans le fond. Elle se décide enfin à appuyer sur le bouton de l’ascenseur en précisant « J’ai ton courrier au fait. Je crois que ton amie l’a pris la plus part du temps, mais les jours où elle n’était pas là je m’en suis occupée. » Amie. Petite amie ? Elle aimerait connaitre la réponse mais elle pense la savoir déjà. Après tous les sons qui s’échappent parfois de son appartement n’était pas des plus anodins.
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Elle était heureuse de le voir. Plus qu’elle ne l’aurait pensé. Il semblait aller plutôt bien pour un homme qui avait passé de si long mois en taule. Elle lui souriait, comme elle aimait sourire quand une bonne nouvelle arrivait. Comme elle souriait à son frère, à si peu de gens en soit. Elle resserre sa queue de cheval amusé de sa remarque et ouvre sa boite aux lettres. « Ça va super, la routine » élude-t-elle avec un petit haussement d’épaule. Il n’avait pas besoin de savoir les détails de sa vie fantasque. Elle aimait n’être que la petite voisine au regard de Rei. Comme lui n’était que son séduisant voisin. Il n’avait rien du criminel que les média s’étaient amusés à dépeindre. Il n’avait rien de l’homme dangereux qu’il faudrait fuir comme la peste. Pourtant il avait blessé, tué ces étudiants. Il aurait pu tuer son frère et ça… ça elle ne lui aurait jamais pardonné, qui sait, elle aurait été prête à le tuer elle-même. Sans son frère Skyla n’avait plus rien à perdre. Elle avait fini par se complaire dans cette vie qu’elle menait pour le bien être de son tout petit frère. Sawyer était leur avenir, elle n’en doutait pas. Alors finalement ses sacrifices valaient la peine et c’était devenu naturel pour elle, et s’oublier ne semblait plus si difficile. Il y avait ces petits plaisirs de la vie qui la faisait tenir. Comme croiser son voisin, lui sourire, lui parler, comme si tous les deux finalement n’avaient besoin de rien d’autres. Elle sourit à nouveau, radieuse et range ses écouteurs dans la poche de son sweat. « T’as plutôt bonne mine pour quelqu’un parti au vert. Ça me faisait plaisir de te voir. » Et elle n’a pas peur de lui avouer, sans rougir, en le regardant droit dans les yeux. Elle n’a pas la prétention de croire qu’il lui retournera ce manque, mais elle ne s’en vexera pas. Elle prend son temps, appelle à peine l’ascenseur, elle ne le quitte pas des yeux. Elle passe une main dans ses cheveux long et zieute ceux de rei avec un petit rire « Ils ont poussé tes cheveux, t’as pas eu le temps d’aller au coiffeur ? » le taquine-t-elle avec un petit rire malicieux. C’était étrange de rire ainsi de ce temps passé en prison qui l’a sûrement traumatisé, mais … c’était ça entre eux. Et c’était si plaisant dans le fond. Elle se décide enfin à appuyer sur le bouton de l’ascenseur en précisant « J’ai ton courrier au fait. Je crois que ton amie l’a pris la plus part du temps, mais les jours où elle n’était pas là je m’en suis occupée. » Amie. Petite amie ? Elle aimerait connaitre la réponse mais elle pense la savoir déjà. Après tous les sons qui s’échappent parfois de son appartement n’était pas des plus anodins. #kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Dim 26 Mar - 0:15
Wearing + Rei planait, dans tous les sens du terme. Un peu défoncé, un peu ivre, un peu libre, un peu soulagé, un peu heureux aussi. Il avait du mal à se souvenir de moments où il s'était senti aussi bien. Dans l'immédiat, toute une combinaison de choses qui faisait qu'il avait l'air épuisé, amaigri, affaibli sans doute, mais aussi serein. Il était, pour quelques heures, serein, et putain ce que c'était bon. Il sourit à la jeune femme, rassuré et soulagé de voir que certaines choses ne changeaient pas. Elle était toujours la même, jolie et souriante. Elle aurait pu le nier après avoir appris ce qu'il avait fait, mais il savait aussi qu'elle venait d'un monde aussi sombre que le sien alors... « Bonne mine ? T'as mis le feu à mon appart' et t'oses pas l'dire ? » Il lâcha un rire rauque de sa voix enrouée. « Je suis content de t'voir aussi, j'pensais pas ça possible. » Il avouait sans honte avoir renoncé. De toute façon, ce n'était pas comme s'il avait une réputation d'homme optimiste. Il passa une main dans ses cheveux en fusillant la jeune femme du regard, non sans sourire. « On m'l'a bien proposé mais le type voulait que je lui grimpe ensuite sur les genoux alors... » Il haussa les épaules avant de la suivre jusque l’ascenseur. « Mon ami ? » Il pensa d'abord à Bom Chan, puis se souvint de la visite que lui avait rendu Wen Yi lui avouant venir régulièrement chez lui. Une vague d'émotions intenses et étranges le submergea à l'idée de pouvoir retrouver la jeune femme. Était-elle au courant ? Il rêvait déjà de lui faire une surprise. « Merci en tout cas ! T'as qu'à aller le récupérer et je te paye un café pour te remercier ? » Il eut un sourire au regard que lui lança la jeune femme. « Profite de ma bonté je plane complètement.... » Loin de rougir de son état et de son addiction, ça l'amusait plutôt qu'autre chose. Ils arrivèrent à leur étage, et il commença à remonter le couloir de son pas traînant. « Et si non quoi de neuf Mademoiselle Eom ? J'ai perdu tous ces mois de vie mais pas toi ! »
Et ce petit ange sur ton chemin
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Wearing + Rei planait, dans tous les sens du terme. Un peu défoncé, un peu ivre, un peu libre, un peu soulagé, un peu heureux aussi. Il avait du mal à se souvenir de moments où il s'était senti aussi bien. Dans l'immédiat, toute une combinaison de choses qui faisait qu'il avait l'air épuisé, amaigri, affaibli sans doute, mais aussi serein. Il était, pour quelques heures, serein, et putain ce que c'était bon. Il sourit à la jeune femme, rassuré et soulagé de voir que certaines choses ne changeaient pas. Elle était toujours la même, jolie et souriante. Elle aurait pu le nier après avoir appris ce qu'il avait fait, mais il savait aussi qu'elle venait d'un monde aussi sombre que le sien alors... « Bonne mine ? T'as mis le feu à mon appart' et t'oses pas l'dire ? » Il lâcha un rire rauque de sa voix enrouée. « Je suis content de t'voir aussi, j'pensais pas ça possible. » Il avouait sans honte avoir renoncé. De toute façon, ce n'était pas comme s'il avait une réputation d'homme optimiste. Il passa une main dans ses cheveux en fusillant la jeune femme du regard, non sans sourire. « On m'l'a bien proposé mais le type voulait que je lui grimpe ensuite sur les genoux alors... » Il haussa les épaules avant de la suivre jusque l’ascenseur. « Mon ami ? » Il pensa d'abord à Bom Chan, puis se souvint de la visite que lui avait rendu Wen Yi lui avouant venir régulièrement chez lui. Une vague d'émotions intenses et étranges le submergea à l'idée de pouvoir retrouver la jeune femme. Était-elle au courant ? Il rêvait déjà de lui faire une surprise. « Merci en tout cas ! T'as qu'à aller le récupérer et je te paye un café pour te remercier ? » Il eut un sourire au regard que lui lança la jeune femme. « Profite de ma bonté je plane complètement.... » Loin de rougir de son état et de son addiction, ça l'amusait plutôt qu'autre chose. Ils arrivèrent à leur étage, et il commença à remonter le couloir de son pas traînant. « Et si non quoi de neuf Mademoiselle Eom ? J'ai perdu tous ces mois de vie mais pas toi ! »#kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Jeu 4 Mai - 17:17
Skyla affiche un sourire amusé, au moins il n’avait pas perdu son sens de l’humour. « Oops démasquée ! » rit-elle en entrant alors dans l’ascenseur. Ça fait du bien de le retrouver réalise t elle et naturellement elle ne cesse de lui répondre avec quelques blagues. Elle aimait sentir leur complicité. « Quoi ? Tu ne pensais pas ça possible d’être content de me voir ? » le taquine-t-elle avec une mine faussement déçue. Elle éclate de rire à la mention de ce co détenu prêt à le faire grimper sur ses genoux. « Quel dommage j’aurais aimé voir ça. » Elle le suit alors qu’il remonte leur couloir. Elle s’ajuste à son pas lent, au moins elle pouvait profiter un peu plus longtemps de sa présence et l’idée du café lui arracha un grand sourire qu’elle ne s’efforça même pas de cacher. « Avec plaisir ! Mon frère dors encore de toute façon. » Elle sourit doucement avant d’hausser les épaules « Oh tu sais, la routine. Métro boulot dodo. Le seul truc un peu palpitant de ces derniers mois c’est ta sortie. » Elle n’a pas honte de l’avouer ça non plus. Elle s’arrête devant la porte du jeune homme et lui dit « Je vais chercher ton courrier et je te rejoins ? » Elle le voyait déjà ouvrir sa porte. « J’en ai pour 5 minutes. Peut-être que je devrais prendre une douche aussi avant … » souligne-t-elle en se regardant. Elle relève la tête avec un petit rire et attends l’approbation de Rei pour y aller.
Et ce petit ange sur ton chemin
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Skyla affiche un sourire amusé, au moins il n’avait pas perdu son sens de l’humour. « Oops démasquée ! » rit-elle en entrant alors dans l’ascenseur. Ça fait du bien de le retrouver réalise t elle et naturellement elle ne cesse de lui répondre avec quelques blagues. Elle aimait sentir leur complicité. « Quoi ? Tu ne pensais pas ça possible d’être content de me voir ? » le taquine-t-elle avec une mine faussement déçue. Elle éclate de rire à la mention de ce co détenu prêt à le faire grimper sur ses genoux. « Quel dommage j’aurais aimé voir ça. » Elle le suit alors qu’il remonte leur couloir. Elle s’ajuste à son pas lent, au moins elle pouvait profiter un peu plus longtemps de sa présence et l’idée du café lui arracha un grand sourire qu’elle ne s’efforça même pas de cacher. « Avec plaisir ! Mon frère dors encore de toute façon. » Elle sourit doucement avant d’hausser les épaules « Oh tu sais, la routine. Métro boulot dodo. Le seul truc un peu palpitant de ces derniers mois c’est ta sortie. » Elle n’a pas honte de l’avouer ça non plus. Elle s’arrête devant la porte du jeune homme et lui dit « Je vais chercher ton courrier et je te rejoins ? » Elle le voyait déjà ouvrir sa porte. « J’en ai pour 5 minutes. Peut-être que je devrais prendre une douche aussi avant … » souligne-t-elle en se regardant. Elle relève la tête avec un petit rire et attends l’approbation de Rei pour y aller.TENUE ] Elle faisait les cents pas dans son appartement Wen Yi. Elle l’attendait. Elle n’avait pas dormi de la nuit pratiquement. Elle s’était parfois endormi à quelques moments guettant toujours l’arrivée de Rei. Bom Chan avait tenu sa promesse. Il lui avait envoyé un sms pour la prévenir que Rei rentrait. Elle avait foncé dans sa petite salle de bain pour ajuster sa coiffure, son maquillage et sa robe … elle l’avait choisi, acheté même exprès pour l’occasion. Elle savait qu’elle n’allait pas la garder bien longtemps … mais elle voulait être belle, éblouissante. Elle ne voulait que le cœur du garçon lâche. Qu’il s’emballe et s’affole pour elle. Elle entend des voix dans le couloir et tend l’oreille. Elle se retient d’ouvrir la porte à la volée et de se jeter au cou de Rei. Maudit voisine qui le retient avec des histoires de courriers … Elle grogne Wen Yi et se plante au milieu du salon le cœur totalement fou. Si fou qu’elle n’est pas certaine de pouvoir tenir. Elle fait exprès de faire la pile de catalogue lourd sur le parquet pour attirer l’attention de Rei. Qu’il comprenne qu’il y avait quelqu’un dans son appartement. Qu’il y avait… elle. Son ange. Elle se désespère presque de pouvoir croiser son regard et sent les larmes lui monter aux yeux et son sourire lui défoncer les joues … il était enfin là … il était là … Rei.
#kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Mar 16 Mai - 21:49
Wearing + C'est qu'il aurait presque pu en devenir philosophe Rei. Se dire que maintenant qu'il était dehors, il allait apprendre à profiter des simples plaisirs de la vie et d'être heureux. Comme boire un café avec sa charmante voisine et essayer de savoir un peu ce qu'il s'était passé ces derniers mois. Rei était bien trop profondément tombé dans ses propres démons pour penser ainsi, mais il est vrai que dans l'instant, rendu léger par sa consommation en alcool et en opiacés, il se voyait profiter du soleil qui rentrait dans son appartement, une tasse brûlante de café entre les mains. « Tout ce qui me concerne est toujours palpitant c'est vrai mais j'ai du mal à croire que Eom Skyla puisse vivre une vie tranquille ! » Elle et lui se ressemblaient sans se ressembler, mais ils étaient pris dans les fils de leurs propres démons. Il allait répondre à la positive à la jeune femme mais un bruit dans son appartement l'interpella, il avait la porte à peine entrouverte. L'ouvrant un peu plus, il aperçu la silhouette de Wen Yi et son cœur se mît à battre comme un fou dans sa poitrine. Elle était là... N'osant plus se détourner de ce corps qu'il apercevait par l’entrebâillement de la porte, il articula difficilement tant sa gorge était sèche d'émotions, de manque. « Finalement on se fera ce café plus tard Sky... Je passerai prendre mon courrier. » Pas de merci, pas de désolé, il aurait pu s'en vouloir s'il avait réfléchit un peu, mais là, il n'était plus capable de rien. Il entra dans son appartement et referma la porte derrière lui. Il laissa son sac tombé et marqua une pause, fixant Wen Yi comme s'il ne l'avait jamais vu auparavant. Elle était bien trop belle. Un ange tombé du ciel, le blanc était sa couleur. Pur, rayonnant... Wen Yi... Le cœur dans la gorge, il parvint à faire un pas en avant, et il lui fût impossible de s'arrêter jusqu'à ce qu'il soit face à elle. Il aurait pu prendre le temps de la regarder à nouveau, mais il avait envie de la sentir contre lui, de la tenir dans ses bras, de sentir sa chaleur sous ses mains, de l'embrasser à en avoir l'impression de mourir. De toutes les drogues, c'était elle qui lui avait manqué le plus. Sans perdre plus de temps, il vint encadrer le visage de la belle de ses mains abîmées pour déposer sa bouche contre la sienne avec manque et passion. Il ne se recula que lorsque ses poumons hurlèrent pour reprendre de l'air. « Tu m'as manqué putain... » Sa voix était rauque, il avait presque du mal à parler. D'ailleurs, il n'avait pas envie de parler alors il l'embrassa une nouvelle fois. Une de ses mains resta sur sa joue pendant que l'autre se perdait dans sa chevelure, bon dieu ce qu'elle lui avait manqué.
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
Wearing + C'est qu'il aurait presque pu en devenir philosophe Rei. Se dire que maintenant qu'il était dehors, il allait apprendre à profiter des simples plaisirs de la vie et d'être heureux. Comme boire un café avec sa charmante voisine et essayer de savoir un peu ce qu'il s'était passé ces derniers mois. Rei était bien trop profondément tombé dans ses propres démons pour penser ainsi, mais il est vrai que dans l'instant, rendu léger par sa consommation en alcool et en opiacés, il se voyait profiter du soleil qui rentrait dans son appartement, une tasse brûlante de café entre les mains. « Tout ce qui me concerne est toujours palpitant c'est vrai mais j'ai du mal à croire que Eom Skyla puisse vivre une vie tranquille ! » Elle et lui se ressemblaient sans se ressembler, mais ils étaient pris dans les fils de leurs propres démons. Il allait répondre à la positive à la jeune femme mais un bruit dans son appartement l'interpella, il avait la porte à peine entrouverte. L'ouvrant un peu plus, il aperçu la silhouette de Wen Yi et son cœur se mît à battre comme un fou dans sa poitrine. Elle était là... N'osant plus se détourner de ce corps qu'il apercevait par l’entrebâillement de la porte, il articula difficilement tant sa gorge était sèche d'émotions, de manque. « Finalement on se fera ce café plus tard Sky... Je passerai prendre mon courrier. » Pas de merci, pas de désolé, il aurait pu s'en vouloir s'il avait réfléchit un peu, mais là, il n'était plus capable de rien. Il entra dans son appartement et referma la porte derrière lui. Il laissa son sac tombé et marqua une pause, fixant Wen Yi comme s'il ne l'avait jamais vu auparavant. Elle était bien trop belle. Un ange tombé du ciel, le blanc était sa couleur. Pur, rayonnant... Wen Yi... Le cœur dans la gorge, il parvint à faire un pas en avant, et il lui fût impossible de s'arrêter jusqu'à ce qu'il soit face à elle. Il aurait pu prendre le temps de la regarder à nouveau, mais il avait envie de la sentir contre lui, de la tenir dans ses bras, de sentir sa chaleur sous ses mains, de l'embrasser à en avoir l'impression de mourir. De toutes les drogues, c'était elle qui lui avait manqué le plus. Sans perdre plus de temps, il vint encadrer le visage de la belle de ses mains abîmées pour déposer sa bouche contre la sienne avec manque et passion. Il ne se recula que lorsque ses poumons hurlèrent pour reprendre de l'air. « Tu m'as manqué putain... » Sa voix était rauque, il avait presque du mal à parler. D'ailleurs, il n'avait pas envie de parler alors il l'embrassa une nouvelle fois. Une de ses mains resta sur sa joue pendant que l'autre se perdait dans sa chevelure, bon dieu ce qu'elle lui avait manqué.#kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Sam 20 Mai - 10:40
Plantée au milieu de ce salon Wen Yi déglutit quand elle le voit refermer cette porte. Le temps lui parait si long, si lent. Elle entrouvre les lèvres pour chercher un peu d’air. Sa poitrine gonfle et sa gorge se noue. Elle le fixe, parce qu’il est là, enfin. Combien de fois a-t-elle rêvée de le voir franchir le sol de cette maison. Elle aimerait courir jusqu’à lui mais elle a bien trop peur de s’effondrer au sol en faisant un pas. Viens … viens … Lui cri son regard, son corps, son âme. Elle lâche un rire alors qu’il se rapproche précipitamment vers elle. Son cœur explose quand elle peut enfin sentir ses lèvres sur les siennes. Elle a attendu ça toute la nuit, non, elle a attendu ça depuis qu’on lui a pris à elle. Depuis qu’on l’a arraché à ses bras il y a des mois de ça. Elle lâche un gémissement. De douleur, d’amour, de lui, d’eux. Elle l’aime tellement que ça fait mal. Elle n’a pas le droit, mais depuis bien longtemps elle se moque de cet interdit. Elle a besoin de lui. De lui. Elle se jette à son cou pour coller son corps au sien. C’est fou cette sensation de vouloir se fondre en elle, de ne vouloir ne faire plus qu’un, sans parler de sexe et de plaisir, mais d’amour, d’amour si fort que ça en devient … fou. C’est passionnel. Jamais Wen Yi n’aurait cru pouvoir vivre ça, ressentir ça aussi intensément. Après Calvin elle s’était convaincu que l’amour ne pourrait être plus fort et pourtant … quand elle était dans les bras de Rei … c’était tout un monde différent qui s’offrait à elle, toute une palette de couleur qu’il ne créait que pour elle. Malgré qu’elle soit à bout de souffle, elle grogne quand il se recule. Elle gémit, puis se met à rire, d’un rire heureux, elle vient l’enlacer en riant un peu plus fort, un peu plus amoureuse. « T’es là … » souffle-t-elle comme pour s’en convaincre un peu plus. T’es là et à moi … elle retrouve sa douceur aussi, et ce manque de lui tends à se dissiper à mesure que leur lèvres se trouvent. Elle caresse sa nuque tendrement et sourit malgré elle dans leur baiser. Elle a attendu patiemment toute la nuit qu’il puisse se retrouver avec Bom Chan parce qu’elle sait qu’elle passera toujours après le jeune homme mais maintenant qu’il était là … Oh non, elle ne l’aurait laissé à personne d’autres. C’était à son tour d’être heureuse maintenant. Elle noue ses bras autour de son cou et l’attire plus à elle encore. Courbant l’échine et se cambrant pour ne jamais que leur corps ne se quitte. Elle reste de longues minutes à l’embrasser au milieu de cet appartement avant de détacher ses lèvres à regret et de coller son front au sien. « Tu m’as tellement manqué aussi … je t’interdis de me laisser à nouveau Urakawa Rei. »
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
Plantée au milieu de ce salon Wen Yi déglutit quand elle le voit refermer cette porte. Le temps lui parait si long, si lent. Elle entrouvre les lèvres pour chercher un peu d’air. Sa poitrine gonfle et sa gorge se noue. Elle le fixe, parce qu’il est là, enfin. Combien de fois a-t-elle rêvée de le voir franchir le sol de cette maison. Elle aimerait courir jusqu’à lui mais elle a bien trop peur de s’effondrer au sol en faisant un pas. Viens … viens … Lui cri son regard, son corps, son âme. Elle lâche un rire alors qu’il se rapproche précipitamment vers elle. Son cœur explose quand elle peut enfin sentir ses lèvres sur les siennes. Elle a attendu ça toute la nuit, non, elle a attendu ça depuis qu’on lui a pris à elle. Depuis qu’on l’a arraché à ses bras il y a des mois de ça. Elle lâche un gémissement. De douleur, d’amour, de lui, d’eux. Elle l’aime tellement que ça fait mal. Elle n’a pas le droit, mais depuis bien longtemps elle se moque de cet interdit. Elle a besoin de lui. De lui. Elle se jette à son cou pour coller son corps au sien. C’est fou cette sensation de vouloir se fondre en elle, de ne vouloir ne faire plus qu’un, sans parler de sexe et de plaisir, mais d’amour, d’amour si fort que ça en devient … fou. C’est passionnel. Jamais Wen Yi n’aurait cru pouvoir vivre ça, ressentir ça aussi intensément. Après Calvin elle s’était convaincu que l’amour ne pourrait être plus fort et pourtant … quand elle était dans les bras de Rei … c’était tout un monde différent qui s’offrait à elle, toute une palette de couleur qu’il ne créait que pour elle. Malgré qu’elle soit à bout de souffle, elle grogne quand il se recule. Elle gémit, puis se met à rire, d’un rire heureux, elle vient l’enlacer en riant un peu plus fort, un peu plus amoureuse. « T’es là … » souffle-t-elle comme pour s’en convaincre un peu plus. T’es là et à moi … elle retrouve sa douceur aussi, et ce manque de lui tends à se dissiper à mesure que leur lèvres se trouvent. Elle caresse sa nuque tendrement et sourit malgré elle dans leur baiser. Elle a attendu patiemment toute la nuit qu’il puisse se retrouver avec Bom Chan parce qu’elle sait qu’elle passera toujours après le jeune homme mais maintenant qu’il était là … Oh non, elle ne l’aurait laissé à personne d’autres. C’était à son tour d’être heureuse maintenant. Elle noue ses bras autour de son cou et l’attire plus à elle encore. Courbant l’échine et se cambrant pour ne jamais que leur corps ne se quitte. Elle reste de longues minutes à l’embrasser au milieu de cet appartement avant de détacher ses lèvres à regret et de coller son front au sien. « Tu m’as tellement manqué aussi … je t’interdis de me laisser à nouveau Urakawa Rei. » #kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Jeu 8 Juin - 20:56
Wearing + Il planait. Défoncé aux opiacés que Bom Chan et lui avaient pris tout au long de cette nuit. Mais l’extase n’était complète que grâce à Wen Yi. Drogue douce, trop douce pour que l’on puisse s’en passer et pourtant ô combien cruelle. Il crevait d’être avec elle, mais la douleur était bien plus atroce lorsqu’il était loin de ses bras. Il l’embrassait à s’en faire exploser les poumons, il la serrait à lui en briser les os. Dieu qu’elle lui avait manqué. Instinctivement, son sourire se calqua sur celui de la belle, bien que ses lèvres soient contre les siennes. Lorsqu’à bout de souffle il dû une nouvelle fois se reculer, il vint enfouir son visage dans son cou, courbant sa carrure amaigrie. Le nez contre sa peau et dans ses boucles brunes, il huma son parfum comme on sniffe un rail de coke. La tête lui tourna de la même façon, une douce euphorie le saisissant. La voix de Wen Yi résonna à ses oreilles, musique sensuelle qu’il voulait déjà entendre soupirer au creux de son oreille. Ne pouvant rien promettre et se refusant de faire des promesses qu’il ne pouvait tenir, il se contenta de sourire, de ces sourires auxquels elle seule avait le droit. « J’aime entendre ça… Tu me montres à quel point je t’ai manqué ? » Et il recouvrit ses lèvres des siennes, caressant son visage d’une main alors que l’autre appuyait sur sa chute de reins pour la serrer davantage contre lui. Il serait cliché de dire qu’il avait ces pulsions parce qu’il sortait de prison, mais tous ces mois sans elle, sans ses baisers, sans sa chaleur, sans son corps… Comment tenir encore ? Il n’en avait ni la force, ni l’envie. Ne séparant leurs bouches que pour respirer, il l’entraîna doucement jusqu’au canapé où il l’allongea, finissant par la surplomber tout en mesurant son poids sur ses propres avants bras. « J’adore c’que tu portes… Un ange dans mon salon… » Et lui le démon ? Il ignorait s’il avait le droit de la posséder, de la « souiller » mais il le prenait. Dans ces moments, il se targuait de pouvoir la prétendre sienne. Même si ce n’était que quelques secondes, même si ce n’était qu’une illusion. Elle était sienne et ils étaient un tout qui n’appartenait qu’à eux.
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
Wearing + Il planait. Défoncé aux opiacés que Bom Chan et lui avaient pris tout au long de cette nuit. Mais l’extase n’était complète que grâce à Wen Yi. Drogue douce, trop douce pour que l’on puisse s’en passer et pourtant ô combien cruelle. Il crevait d’être avec elle, mais la douleur était bien plus atroce lorsqu’il était loin de ses bras. Il l’embrassait à s’en faire exploser les poumons, il la serrait à lui en briser les os. Dieu qu’elle lui avait manqué. Instinctivement, son sourire se calqua sur celui de la belle, bien que ses lèvres soient contre les siennes. Lorsqu’à bout de souffle il dû une nouvelle fois se reculer, il vint enfouir son visage dans son cou, courbant sa carrure amaigrie. Le nez contre sa peau et dans ses boucles brunes, il huma son parfum comme on sniffe un rail de coke. La tête lui tourna de la même façon, une douce euphorie le saisissant. La voix de Wen Yi résonna à ses oreilles, musique sensuelle qu’il voulait déjà entendre soupirer au creux de son oreille. Ne pouvant rien promettre et se refusant de faire des promesses qu’il ne pouvait tenir, il se contenta de sourire, de ces sourires auxquels elle seule avait le droit. « J’aime entendre ça… Tu me montres à quel point je t’ai manqué ? » Et il recouvrit ses lèvres des siennes, caressant son visage d’une main alors que l’autre appuyait sur sa chute de reins pour la serrer davantage contre lui. Il serait cliché de dire qu’il avait ces pulsions parce qu’il sortait de prison, mais tous ces mois sans elle, sans ses baisers, sans sa chaleur, sans son corps… Comment tenir encore ? Il n’en avait ni la force, ni l’envie. Ne séparant leurs bouches que pour respirer, il l’entraîna doucement jusqu’au canapé où il l’allongea, finissant par la surplomber tout en mesurant son poids sur ses propres avants bras. « J’adore c’que tu portes… Un ange dans mon salon… » Et lui le démon ? Il ignorait s’il avait le droit de la posséder, de la « souiller » mais il le prenait. Dans ces moments, il se targuait de pouvoir la prétendre sienne. Même si ce n’était que quelques secondes, même si ce n’était qu’une illusion. Elle était sienne et ils étaient un tout qui n’appartenait qu’à eux.#kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Sam 10 Juin - 11:39
Elle avait le sourire d’une enfant heureuse. D’une enfant qui retrouvait le plus beau des cadeaux. Il était enfin là, devant elle, contre elle, à l’embrasser, à la serrer dans ses bras. Elle se serait damnée pour avoir droit à son étreinte pendant ces longs mois de prison. Maintenant elle voulait croire que tout ça c’était le passé que c’était loin derrière eux, qu’ils pourraient oublier, que ça ne laisserait pas de marques. Pourrait-elle croire encore un peu que tout ça n’avait laissé aucunes séquelles ? Wen Yi s’accroche à ce corps frêle qui avait été autrefois si puissant. Son odeur reste la même, la texture de ses doigts sur sa peau sont si familier mais ce corps meurtri lui parait si … étranger. Que lui a-t-on fait ? Elle semble reprendre son souffle après avoir passé des mois sous l’eau. Elle gémit contre sa bouche et grimace de douleur. De plaisir ? C’est tout un torrent qui se déverse en elle. C’est de le retrouver, c’est de pouvoir l’aimer. Elle ne peut plus se retenir Wen Yi. Des mois … des mois qu’elle a été privée de l’homme qu’elle aime. Et elle se fou bien de savoir qu’il a été impliqué dans un incendie meurtrier, un incendie qui a bien failli lui coûter la vie. C’est déjà oublié, pardonné, non à vrai dire elle n’avait rien à lui pardonner. Elle ne le jugera jamais pour la faiblesse qu’il l’a poussé à traverser cette épreuve … Rei lui avait sauvé la vie un bon nombre incalculable de fois sans même le savoir … Dès ce premier soir qu’elle avait passé dans les toilettes de ca bar avec lui. Leur rencontre n’avait rien de … conventionnelle. Ils auraient dû arrêter de se voir depuis un long moment, de passer à autre chose, de reprendre le court de leur vie respective … Mais Wen Yi devait bien admettre qu’elle espérait pouvoir être la nouvelle vie de Rei … C'était bien fantasque ... Et aurait-elle le courage et l’audace de le faire … ? Elle se jette sur ses lèvres pour faire taire ses interrogations et retrouver son homme. Elle se presse contre lui avec fièvre et rit contre ses lèvres de le voir aimer sa robe. S’il savait le temps qu’elle avait mis à la choisir rien que pour lui. Mais ce qu’elle avait surtout hâte de pouvoir lui montrer c’était son corps nacré, vide de tout hématome. Sa peau était blanche et fine. Elle avait protégé son corps pour prouver à Rei qu’il n’avait pas à s’en faire, qu’elle était forte. Elle avait repoussé les attaques de son mari et s’était protégé des coups pour que son corps soit aussi pur que l’amour qu’elle portait au Japonais. Elle presse ses paumes sur les hanches de Rei penchant sa tête pour l’inviter à dévorer son cou. « Rei … » geint-elle en frémissant à son contact « Oh Rei … » lâche-t-elle dans un nouveau gémissement de bonheur. Celui de le retrouver enfin. Elle se laisse tomber sur le canapé dans un petit rire rebondissant légèrement l'attirant tout aussi rapidement à elle. il lui était inconcevable qu'il puisse rester loin d'elle ainsi ... de ne pas toucher son corps lui était insupportable. elle rattrape ses lèvres avidement en nouant ses doigts à sa nuque. elle souffle en frissonnant et marque une pause en croisant son regard, parce qu'elle avait besoin de le voir, de le regarder, de sentir ses yeux s'ancrer aux siens. elle dépose ses lèvres tendrement sur les siennes, soudain si calme et douce. son pouce caresse sa peau et son nez vient se frotter au sien. "Rei ..." amorce-t-elle d'une voix basse et douce, promettant un million de mot doux "Déshabille moi ..." Elle glissa main à celle de Rei pour qu’il puisse la découvrir lui-même. Qu’il puisse retrouver ce corps qui lui appartenait. Son souffle est court et ses pupilles dilatées. Elle n’a pas eu besoin de drogue pour se sentir aussi enivré, elle avait désormais retrouvée la sienne perlant sur les lèvres de Rei.
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
Elle avait le sourire d’une enfant heureuse. D’une enfant qui retrouvait le plus beau des cadeaux. Il était enfin là, devant elle, contre elle, à l’embrasser, à la serrer dans ses bras. Elle se serait damnée pour avoir droit à son étreinte pendant ces longs mois de prison. Maintenant elle voulait croire que tout ça c’était le passé que c’était loin derrière eux, qu’ils pourraient oublier, que ça ne laisserait pas de marques. Pourrait-elle croire encore un peu que tout ça n’avait laissé aucunes séquelles ? Wen Yi s’accroche à ce corps frêle qui avait été autrefois si puissant. Son odeur reste la même, la texture de ses doigts sur sa peau sont si familier mais ce corps meurtri lui parait si … étranger. Que lui a-t-on fait ? Elle semble reprendre son souffle après avoir passé des mois sous l’eau. Elle gémit contre sa bouche et grimace de douleur. De plaisir ? C’est tout un torrent qui se déverse en elle. C’est de le retrouver, c’est de pouvoir l’aimer. Elle ne peut plus se retenir Wen Yi. Des mois … des mois qu’elle a été privée de l’homme qu’elle aime. Et elle se fou bien de savoir qu’il a été impliqué dans un incendie meurtrier, un incendie qui a bien failli lui coûter la vie. C’est déjà oublié, pardonné, non à vrai dire elle n’avait rien à lui pardonner. Elle ne le jugera jamais pour la faiblesse qu’il l’a poussé à traverser cette épreuve … Rei lui avait sauvé la vie un bon nombre incalculable de fois sans même le savoir … Dès ce premier soir qu’elle avait passé dans les toilettes de ca bar avec lui. Leur rencontre n’avait rien de … conventionnelle. Ils auraient dû arrêter de se voir depuis un long moment, de passer à autre chose, de reprendre le court de leur vie respective … Mais Wen Yi devait bien admettre qu’elle espérait pouvoir être la nouvelle vie de Rei … C'était bien fantasque ... Et aurait-elle le courage et l’audace de le faire … ? Elle se jette sur ses lèvres pour faire taire ses interrogations et retrouver son homme. Elle se presse contre lui avec fièvre et rit contre ses lèvres de le voir aimer sa robe. S’il savait le temps qu’elle avait mis à la choisir rien que pour lui. Mais ce qu’elle avait surtout hâte de pouvoir lui montrer c’était son corps nacré, vide de tout hématome. Sa peau était blanche et fine. Elle avait protégé son corps pour prouver à Rei qu’il n’avait pas à s’en faire, qu’elle était forte. Elle avait repoussé les attaques de son mari et s’était protégé des coups pour que son corps soit aussi pur que l’amour qu’elle portait au Japonais. Elle presse ses paumes sur les hanches de Rei penchant sa tête pour l’inviter à dévorer son cou. « Rei … » geint-elle en frémissant à son contact « Oh Rei … » lâche-t-elle dans un nouveau gémissement de bonheur. Celui de le retrouver enfin. Elle se laisse tomber sur le canapé dans un petit rire rebondissant légèrement l'attirant tout aussi rapidement à elle. il lui était inconcevable qu'il puisse rester loin d'elle ainsi ... de ne pas toucher son corps lui était insupportable. elle rattrape ses lèvres avidement en nouant ses doigts à sa nuque. elle souffle en frissonnant et marque une pause en croisant son regard, parce qu'elle avait besoin de le voir, de le regarder, de sentir ses yeux s'ancrer aux siens. elle dépose ses lèvres tendrement sur les siennes, soudain si calme et douce. son pouce caresse sa peau et son nez vient se frotter au sien. "Rei ..." amorce-t-elle d'une voix basse et douce, promettant un million de mot doux "Déshabille moi ..." Elle glissa main à celle de Rei pour qu’il puisse la découvrir lui-même. Qu’il puisse retrouver ce corps qui lui appartenait. Son souffle est court et ses pupilles dilatées. Elle n’a pas eu besoin de drogue pour se sentir aussi enivré, elle avait désormais retrouvée la sienne perlant sur les lèvres de Rei. #kerushirei
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Re: SKYREI ❝ SHOULD I SAY THAT I WAS WAITING FOR YOU ? | Mar 27 Juin - 21:36
Wearing + Putain. Le bonheur c'était ça. Ce moment. Cet instant. Être avec elle. Être à elle. Être ensemble. Le bonheur c'était ça. Être vivant c'était ça. Et son souffle de vie c'était celui de Wen Yi sur son visage et la chaleur de sa bouche contre la sienne. La surplombant, il se régalait de la vue qu'elle lui offrait. Trop belle pour lui. Trop douce pour lui. Et pourtant égoïstement il la gardait. Le temps de cet instant de bonheur, elle était sienne. Il était libre. Il sourit de ces sourires auxquels elle seule avait droit alors qu'elle guidait sa main sur ses formes mais surtout sur sa robe. « Si tu insistes... » Joueur, taquin, ivre et défoncé. Heureux quoi. Rei obtempéra avec plaisir, glissant une main dans le dos de la belle pour faire descendre la fermeture de sa robe. Ce geste amena Wen Yi à soulever doucement son buste et ainsi le coller au torse du japonais. Il en profita pour dévorer ses lèvres à nouveau. Il laissa sa bouche avide de la peau blanche de la jeune femme descendre le long de sa mâchoire, se perdre dans son cou et glisser dans son décolleté où il s'arrêta. Sa main quitta son dos pour venir frôler ses clavicules et caresser la naissance de ses seins. Après quelques secondes à retrouver ces sensations sous ses doigts, il fît glisser le tissu de sa robe sur sa peau immaculée. Il aurait pu prendre son temps, le faire étape par étape mais il n'avait plus la patience. Alors d'une traite il fît glisser la robe, se redressant pour accompagner sa descente et invita Wen Yi à soulever son basin puis ses jambes, juste le temps de se débarrasser de ce qui était superflu. Il jeta la robe un peu plus loin, et prit un moment pour encaisser la beauté de Wen Yi. Ses longs cheveux bruns faisaient comme un halo autour de sa tête. Il remarqua qu'aucun ecchymose ne marquait les cuisses et le ventre de la jeune femme. La sensation qu'elle était sienne se fît si forte qu'elle lui serra l'estomac. « Boku no... » Murmura-t-il dans sa langue natale. Et comme un aigle sur sa proie, il fondit sur elle pour l'embrasser à en perdre la raison, caressant sa peau de ses mains rugueuses avec envie et passion. Il passait sur sa peau nue, sur le tissu de ses sous-vêtements, sous le tissu. Son être entier brûlait de la posséder à nouveau. Enfin.
Et ce petit ange sur ton chemin
t'éloignait de moi
Wearing + Putain. Le bonheur c'était ça. Ce moment. Cet instant. Être avec elle. Être à elle. Être ensemble. Le bonheur c'était ça. Être vivant c'était ça. Et son souffle de vie c'était celui de Wen Yi sur son visage et la chaleur de sa bouche contre la sienne. La surplombant, il se régalait de la vue qu'elle lui offrait. Trop belle pour lui. Trop douce pour lui. Et pourtant égoïstement il la gardait. Le temps de cet instant de bonheur, elle était sienne. Il était libre. Il sourit de ces sourires auxquels elle seule avait droit alors qu'elle guidait sa main sur ses formes mais surtout sur sa robe. « Si tu insistes... » Joueur, taquin, ivre et défoncé. Heureux quoi. Rei obtempéra avec plaisir, glissant une main dans le dos de la belle pour faire descendre la fermeture de sa robe. Ce geste amena Wen Yi à soulever doucement son buste et ainsi le coller au torse du japonais. Il en profita pour dévorer ses lèvres à nouveau. Il laissa sa bouche avide de la peau blanche de la jeune femme descendre le long de sa mâchoire, se perdre dans son cou et glisser dans son décolleté où il s'arrêta. Sa main quitta son dos pour venir frôler ses clavicules et caresser la naissance de ses seins. Après quelques secondes à retrouver ces sensations sous ses doigts, il fît glisser le tissu de sa robe sur sa peau immaculée. Il aurait pu prendre son temps, le faire étape par étape mais il n'avait plus la patience. Alors d'une traite il fît glisser la robe, se redressant pour accompagner sa descente et invita Wen Yi à soulever son basin puis ses jambes, juste le temps de se débarrasser de ce qui était superflu. Il jeta la robe un peu plus loin, et prit un moment pour encaisser la beauté de Wen Yi. Ses longs cheveux bruns faisaient comme un halo autour de sa tête. Il remarqua qu'aucun ecchymose ne marquait les cuisses et le ventre de la jeune femme. La sensation qu'elle était sienne se fît si forte qu'elle lui serra l'estomac. « Boku no... » Murmura-t-il dans sa langue natale. Et comme un aigle sur sa proie, il fondit sur elle pour l'embrasser à en perdre la raison, caressant sa peau de ses mains rugueuses avec envie et passion. Il passait sur sa peau nue, sur le tissu de ses sous-vêtements, sous le tissu. Son être entier brûlait de la posséder à nouveau. Enfin. #kerushirei
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