Page 1 sur 2 • 1, 2 
just the two of us ♥
Invité
Invité
just the two of us ♥ | Lun 13 Mar - 17:52
C’était un vendredi après-midi ensoleillé sur Séoul, malheureusement un Vendredi que j’allais passer en partie au travail. Hormis un miracle, rien n’aurait pu me sortir du travail avant l’heure, si ce n’est peut-être m’activer dans mes tâches. Vous me demanderez alors pourquoi cette envie urgente de me libérer avant du travail… Haha. Vous l’ignorez donc, mais je suis plus que jamais sûr de mes sentiments désormais. Je suis un jeune homme amoureux, et qui languit de retrouver sa douce. Même si ça ne fait que quelques jours désormais que nous avons décidé de mettre les choses à plat, j’ai envie de me donner à fond dans cette première relation pour moi. De m’appliquer, d’être le petit ami qu’elle mérite d’avoir. Alors je me dépêche, j’avance certains de mes rendez-vous, m’occupe des félins, pour au final être libéré à 15h. J’aurais pu sortir illico mon téléphone pour appeler Olympe et lui annoncer la bonne nouvelle, mais j’allais plutôt lui faire la surprise. Lunettes de soleil sur le nez, je me dirige vers ma voiture garée sur le parking réservé au personnel du zoo et envoie un message rapide à ma cousine pour lui demander si elle avait vu Olympe quelque part. Deux minutes plus tard, alors que je démarre mon X6, ma cousine me répond qu’elle ne l’a pas vu. Bon, j’allais devoir faire travailler mon imagination et essayer de la trouver par mes propres moyens.
Bien que ce soit les vacances, Olympe, elle, est coincée à la Yonsei. Mais la connaissant, elle n’est pas du genre à rester deux jours d’affilé dans sa chambre. Hier déjà, elle s’était octroyé une journée entière pour lire ses manga, mais aujourd’hui, avec un peu de chance, elle n’y est pas. Peut-être qu’elle a décidé d’aller prendre l’air dans le jardin du campus.
Je gare donc ma voiture sur le parking de la fac et enfile mon sac à bandoulière. Je marche jusqu’aux jardins, mais je ne la vois pas. Je lève la tête, pour me plonger dans mes pensées, quand une idée me traverse l’esprit. Elle devait sûrement exercer sa deuxième passion: dessiner. Un sourire aux lèvres, je marche jusqu’au bâtiment des arts. J’y entre, monte les escaliers pour pousser la porte des ateliers discrètement. Et là, un sourire béat étire mes lèvres. Je la reconnais à ses longs cheveux, qu’elle a reteints en brun. Je la reconnais à sa façon de se tenir, son dos, ses épaules. Je la reconnaitrais entre mille. Au début, j’essaye d’être discret pour la surprendre mais, au fur et à mesure, je me rends compte qu’elle a des écouteurs, sûrement son allié le plus précieux pour passer des heures à dessiner. De ce fait, je contourne les tables et passe par derrière. Elle ne m’a pas encore vu. Je souris, amusé, et viens finalement derrière elle. Ma main droite se pose sur ses yeux. « Guess who… » dis-je, joueur, avant de pencher légèrement sa tête vers l’arrière pour finalement retirer ma main et découvrir ses yeux. Je lui souris, et me baisse pour venir déposer un baiser sur ses lèvres à la façon spiderman.
Je me retire, pour ouvrir les yeux et la regarder dans les yeux. Ma main vient attraper doucement sa chevelure pour la caresser. « Surprise? » lui demandé-je, avant de finalement m’asseoir sur le grand tabouret à sa gauche. Je m’attendais à une explosion de joie d’ici quelques secondes. Mais c’est tant mieux, j’aimais ça chez elle, son entrain, sa joie de vivre. Nous en avions assez de nous deux pour en distribuer au monde entier. « J’ai fini le boulot avant. Je voulais te faire la surprise. »
just the two of us
tamaki & olympe
C’était un vendredi après-midi ensoleillé sur Séoul, malheureusement un Vendredi que j’allais passer en partie au travail. Hormis un miracle, rien n’aurait pu me sortir du travail avant l’heure, si ce n’est peut-être m’activer dans mes tâches. Vous me demanderez alors pourquoi cette envie urgente de me libérer avant du travail… Haha. Vous l’ignorez donc, mais je suis plus que jamais sûr de mes sentiments désormais. Je suis un jeune homme amoureux, et qui languit de retrouver sa douce. Même si ça ne fait que quelques jours désormais que nous avons décidé de mettre les choses à plat, j’ai envie de me donner à fond dans cette première relation pour moi. De m’appliquer, d’être le petit ami qu’elle mérite d’avoir. Alors je me dépêche, j’avance certains de mes rendez-vous, m’occupe des félins, pour au final être libéré à 15h. J’aurais pu sortir illico mon téléphone pour appeler Olympe et lui annoncer la bonne nouvelle, mais j’allais plutôt lui faire la surprise. Lunettes de soleil sur le nez, je me dirige vers ma voiture garée sur le parking réservé au personnel du zoo et envoie un message rapide à ma cousine pour lui demander si elle avait vu Olympe quelque part. Deux minutes plus tard, alors que je démarre mon X6, ma cousine me répond qu’elle ne l’a pas vu. Bon, j’allais devoir faire travailler mon imagination et essayer de la trouver par mes propres moyens.Bien que ce soit les vacances, Olympe, elle, est coincée à la Yonsei. Mais la connaissant, elle n’est pas du genre à rester deux jours d’affilé dans sa chambre. Hier déjà, elle s’était octroyé une journée entière pour lire ses manga, mais aujourd’hui, avec un peu de chance, elle n’y est pas. Peut-être qu’elle a décidé d’aller prendre l’air dans le jardin du campus.
Je gare donc ma voiture sur le parking de la fac et enfile mon sac à bandoulière. Je marche jusqu’aux jardins, mais je ne la vois pas. Je lève la tête, pour me plonger dans mes pensées, quand une idée me traverse l’esprit. Elle devait sûrement exercer sa deuxième passion: dessiner. Un sourire aux lèvres, je marche jusqu’au bâtiment des arts. J’y entre, monte les escaliers pour pousser la porte des ateliers discrètement. Et là, un sourire béat étire mes lèvres. Je la reconnais à ses longs cheveux, qu’elle a reteints en brun. Je la reconnais à sa façon de se tenir, son dos, ses épaules. Je la reconnaitrais entre mille. Au début, j’essaye d’être discret pour la surprendre mais, au fur et à mesure, je me rends compte qu’elle a des écouteurs, sûrement son allié le plus précieux pour passer des heures à dessiner. De ce fait, je contourne les tables et passe par derrière. Elle ne m’a pas encore vu. Je souris, amusé, et viens finalement derrière elle. Ma main droite se pose sur ses yeux. « Guess who… » dis-je, joueur, avant de pencher légèrement sa tête vers l’arrière pour finalement retirer ma main et découvrir ses yeux. Je lui souris, et me baisse pour venir déposer un baiser sur ses lèvres à la façon spiderman.
Je me retire, pour ouvrir les yeux et la regarder dans les yeux. Ma main vient attraper doucement sa chevelure pour la caresser. « Surprise? » lui demandé-je, avant de finalement m’asseoir sur le grand tabouret à sa gauche. Je m’attendais à une explosion de joie d’ici quelques secondes. Mais c’est tant mieux, j’aimais ça chez elle, son entrain, sa joie de vivre. Nous en avions assez de nous deux pour en distribuer au monde entier. « J’ai fini le boulot avant. Je voulais te faire la surprise. »
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Mer 15 Mar - 17:47
C'est en chantonnant que je me dirige jusqu'à la salle de l'université pour pouvoir dessiner tranquillement mes quelques idées de vêtements. Le soleil m'éblouit et ses rayons du soleil me rendent encore plus joyeuse que je ne le suis. Quoique depuis quelques jours j'ai la vague impression d'être perpétuellement de bonne humeur, d'avoir bu ou mangé une potion me donnant le sourire à chaque levé comme à chaque couché. Certains, dans ma fraternité, ont remarqué mon changement d'humeur. Certes je suis toujours de bonne humeur mais encore plus ces derniers temps, j'en suis arrivée à faire des câlins à tout le monde et même à cuisiner quelques plats tout en chantonnant. Certains disent que je donne l'impression d'être sur un nuage, un petit nuage rose ou bleu, mieux encore, multicolore. Je sens la joie de vivre à des kilomètres à la ronde, donnant presque des frissons à certains. Il faut dire que dans ma vie il y a eu un changement assez radical et conséquent. Un changement qui me fait presque voler tout en haut du ciel. Un changement qui ne peut que me faire conserver ce sourire niais et pourtant si joyeux. Ce changement porte un prénom, celui de Tamaki. Juste à y penser, je souris encore plus, devenant totalement idiote. Il paraît que l'amour rend idiot, et bien, je confirme. Je suis toujours atteinte de cette maladie chaque fois que je me retrouve en couple et encore plus avec Tamaki. Mais je me dis sûrement tout le temps ça. Bref. Dans tous les cas je suis contente car désormais il est mon petit ami, il est mon partenaire de route, celui qui fait battre mon cœur, celui que j'aime. C'est stupide de penser ainsi et j'ai l'impression de régresser, telle une petite fille qui attend son prince charmant et qui l'a finalement trouvé, mais je ne peux m'empêcher de penser ainsi, quitte à être niaise. Il me manque un peu, beaucoup. Comme c'est tout nouveau j'ai forcément envie de l'avoir souvent à mes côtés, peut-être trop souvent. Ça a beau être les vacances, je ne le vois pas tant que ça, parce qu'il travaille et aussi parce que j'ai certains travaux à faire, alors le temps est peu présent pour nous deux. En même temps, il a ses propres préoccupations comme j'ai les miennes. J'ai quand même envie de le voir, mais je ne peux pas être trop exigeante.
Mes pensées sont tellement dirigées vers lui à l'heure actuelle que je me mets à dessiner son visage, du moins, je commence à le dessiner, sans même le réaliser. Je suis tellement absorbée par mon dessin que je sursaute lorsque je sens des mains venir cacher mes yeux, reconnaissant immédiatement l'odeur si particulière de la personne. J'esquisse progressivement un sourire, heureuse de savoir qu'il est là, juste quand je pense à lui. « TAMAKI ! » dis-je spontanément. Je souris de plus bel lorsque je sens ses lèvres contre les miennes et me tourne immédiatement vers lui, oubliant mon dessin. Je me rapproche un peu plus de lui, essayant de contenir la joie alors que j'ai la brusque envie de le prendre dans mes bras. « Pour une surprise, c'est une surprise! Je ne m'attendais pas du tout à te voir, pas si . . . soudainement et sûrement pas dans un tel lieu ». C'est une surprise qui me plaît énormément. Je n'aurai pu rêver mieux. Je glisse doucement ma main dans la sienne, posant rapidement un baiser sur celle-ci. « Je suis contente que tu ais pensé à moi ! Ça veut dire qu'on . . . peut profiter pour sortir toi et moi, comme les couples ? ». C'est vrai que je n'ai pas encore eu réellement l'occasion de le faire avec lui, et j'ai hâte de pouvoir le faire, montrant aux autres qu'il est mien. « Qu'est-ce que tu as envie de faire ? ».
just the two of us
tamaki & olympe
C'est en chantonnant que je me dirige jusqu'à la salle de l'université pour pouvoir dessiner tranquillement mes quelques idées de vêtements. Le soleil m'éblouit et ses rayons du soleil me rendent encore plus joyeuse que je ne le suis. Quoique depuis quelques jours j'ai la vague impression d'être perpétuellement de bonne humeur, d'avoir bu ou mangé une potion me donnant le sourire à chaque levé comme à chaque couché. Certains, dans ma fraternité, ont remarqué mon changement d'humeur. Certes je suis toujours de bonne humeur mais encore plus ces derniers temps, j'en suis arrivée à faire des câlins à tout le monde et même à cuisiner quelques plats tout en chantonnant. Certains disent que je donne l'impression d'être sur un nuage, un petit nuage rose ou bleu, mieux encore, multicolore. Je sens la joie de vivre à des kilomètres à la ronde, donnant presque des frissons à certains. Il faut dire que dans ma vie il y a eu un changement assez radical et conséquent. Un changement qui me fait presque voler tout en haut du ciel. Un changement qui ne peut que me faire conserver ce sourire niais et pourtant si joyeux. Ce changement porte un prénom, celui de Tamaki. Juste à y penser, je souris encore plus, devenant totalement idiote. Il paraît que l'amour rend idiot, et bien, je confirme. Je suis toujours atteinte de cette maladie chaque fois que je me retrouve en couple et encore plus avec Tamaki. Mais je me dis sûrement tout le temps ça. Bref. Dans tous les cas je suis contente car désormais il est mon petit ami, il est mon partenaire de route, celui qui fait battre mon cœur, celui que j'aime. C'est stupide de penser ainsi et j'ai l'impression de régresser, telle une petite fille qui attend son prince charmant et qui l'a finalement trouvé, mais je ne peux m'empêcher de penser ainsi, quitte à être niaise. Il me manque un peu, beaucoup. Comme c'est tout nouveau j'ai forcément envie de l'avoir souvent à mes côtés, peut-être trop souvent. Ça a beau être les vacances, je ne le vois pas tant que ça, parce qu'il travaille et aussi parce que j'ai certains travaux à faire, alors le temps est peu présent pour nous deux. En même temps, il a ses propres préoccupations comme j'ai les miennes. J'ai quand même envie de le voir, mais je ne peux pas être trop exigeante. Mes pensées sont tellement dirigées vers lui à l'heure actuelle que je me mets à dessiner son visage, du moins, je commence à le dessiner, sans même le réaliser. Je suis tellement absorbée par mon dessin que je sursaute lorsque je sens des mains venir cacher mes yeux, reconnaissant immédiatement l'odeur si particulière de la personne. J'esquisse progressivement un sourire, heureuse de savoir qu'il est là, juste quand je pense à lui. « TAMAKI ! » dis-je spontanément. Je souris de plus bel lorsque je sens ses lèvres contre les miennes et me tourne immédiatement vers lui, oubliant mon dessin. Je me rapproche un peu plus de lui, essayant de contenir la joie alors que j'ai la brusque envie de le prendre dans mes bras. « Pour une surprise, c'est une surprise! Je ne m'attendais pas du tout à te voir, pas si . . . soudainement et sûrement pas dans un tel lieu ». C'est une surprise qui me plaît énormément. Je n'aurai pu rêver mieux. Je glisse doucement ma main dans la sienne, posant rapidement un baiser sur celle-ci. « Je suis contente que tu ais pensé à moi ! Ça veut dire qu'on . . . peut profiter pour sortir toi et moi, comme les couples ? ». C'est vrai que je n'ai pas encore eu réellement l'occasion de le faire avec lui, et j'ai hâte de pouvoir le faire, montrant aux autres qu'il est mien. « Qu'est-ce que tu as envie de faire ? ».
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Ven 17 Mar - 19:02
Olympe saute de joie en prononçant mon prénom. Nul doute, elle est heureuse, et surprise de me voir. Elle me confie d’ailleurs qu’elle ne s’attendait pas à me voir dans un tel lieu. A cette remarque, j’esquisse un sourire et hausse les épaules, le regard amoureux. « Disons que tu m’obliges un peu à venir ici quand même. » Quoique, les ateliers, je les ai déjà fréquentés. Je dessine, moi aussi, mais ce n’est pas l’objet de mes études, plutôt un hobby, une passion. Ma main glisse dans la sienne, je la regarde, je m’arrête pas de la regarder, parce que je la trouve belle. C’est la plus belle des filles à mes yeux et ce qui était encore plus impressionnant, c’est que depuis que nous étions officiellement un couple, je la trouvais de plus en plus belle encore. « Exact! » répondis-je, avant de reprendre: « On peut faire ça. Après tout, ce serait bête de rester enfermés ici. Il fait beau dehors. » je tourne la tête vers les fenêtres. Le soleil brille, le thermomètre flirte avec les 15 degrés. Cela a le don de me donner le sourire. « Peu importe. » répondis-je à sa question. J’invite ma petite amie à se dépêcher de me suivre en lui prenant la main, tirant dessus. « Allez, viens. »
Je lui laisse le temps de ranger ses affaires. Une fois ça de fait, nous quittons donc les ateliers pour nous diriger vers le parking du campus. « Alors, ta journée? » je tourne la tête vers elle, souriant, tandis que je mets mes lunettes de soleil sur le nez. J’ai le temps de passer mon bras derrière ses épaules, histoire de montrer aux étudiants qui nous passent à côté que nous sommes bel et bien un couple maintenant mais surtout, surtout, qu’elle est à moi. Olympe est enfin mienne et croyez moi qu’après les obstacles rencontrés pour en arriver là, je n’allais pas me cacher.
Je la laisse entrer dans la voiture. Elle commence à la connaître, ce n’est pas la première fois qu’elle rentre dedans. Je la laisse s’attacher et, avant de démarrer, je me tourne vers elle pour lui proposer une idée: « Et si on allait à Insadong? J’ai entendu parler d’un temple où tu peux poser des petits portes bonheur pour les couples. » Soudain, je m’interromps. Ah, ce n’est pas génial comme idée et je me dis qu’elle ne va peut-être pas apprécier. C’est pourquoi je fuis vite son regard, affreusement gêné. Puis, ça fait un peu cul-cul pour un mec de proposer ça à sa copine, non? Je suis un peu stressé, je l’avoue, je voudrais être vraiment le copain parfait à ses yeux mais à force de me mettre la pression de la sorte, je vais la faire fuir, et c’est pas le but. Je tente alors de me montrer tout à fait à l’aise (même si elle est la mieux placée pour savoir que ce n’est pas le cas), et démarre ma voiture pour quitter le parking.
« Normalement, avec la dose de boulot que j’avais, j’étais censé finir à 18h, mais je me suis bien organisé. » Je reste concentré sur la route, surtout avec la circulation en ville, fallait garder les yeux partout. « Parce que ça me frustrait un peu de pas pouvoir te voir alors que c’est les vacances » et c’était pas des blagues. Ca faisait si peu de temps qu’on était ensemble, c’était maintenant qu’il fallait profiter de faire plein de choses ensemble. « Alors du coup, Insadong ou pas Insadong? » et je ris, doucement, attendant qu’elle
just the two of us
tamaki & olympe
Olympe saute de joie en prononçant mon prénom. Nul doute, elle est heureuse, et surprise de me voir. Elle me confie d’ailleurs qu’elle ne s’attendait pas à me voir dans un tel lieu. A cette remarque, j’esquisse un sourire et hausse les épaules, le regard amoureux. « Disons que tu m’obliges un peu à venir ici quand même. » Quoique, les ateliers, je les ai déjà fréquentés. Je dessine, moi aussi, mais ce n’est pas l’objet de mes études, plutôt un hobby, une passion. Ma main glisse dans la sienne, je la regarde, je m’arrête pas de la regarder, parce que je la trouve belle. C’est la plus belle des filles à mes yeux et ce qui était encore plus impressionnant, c’est que depuis que nous étions officiellement un couple, je la trouvais de plus en plus belle encore. « Exact! » répondis-je, avant de reprendre: « On peut faire ça. Après tout, ce serait bête de rester enfermés ici. Il fait beau dehors. » je tourne la tête vers les fenêtres. Le soleil brille, le thermomètre flirte avec les 15 degrés. Cela a le don de me donner le sourire. « Peu importe. » répondis-je à sa question. J’invite ma petite amie à se dépêcher de me suivre en lui prenant la main, tirant dessus. « Allez, viens. » Je lui laisse le temps de ranger ses affaires. Une fois ça de fait, nous quittons donc les ateliers pour nous diriger vers le parking du campus. « Alors, ta journée? » je tourne la tête vers elle, souriant, tandis que je mets mes lunettes de soleil sur le nez. J’ai le temps de passer mon bras derrière ses épaules, histoire de montrer aux étudiants qui nous passent à côté que nous sommes bel et bien un couple maintenant mais surtout, surtout, qu’elle est à moi. Olympe est enfin mienne et croyez moi qu’après les obstacles rencontrés pour en arriver là, je n’allais pas me cacher.
Je la laisse entrer dans la voiture. Elle commence à la connaître, ce n’est pas la première fois qu’elle rentre dedans. Je la laisse s’attacher et, avant de démarrer, je me tourne vers elle pour lui proposer une idée: « Et si on allait à Insadong? J’ai entendu parler d’un temple où tu peux poser des petits portes bonheur pour les couples. » Soudain, je m’interromps. Ah, ce n’est pas génial comme idée et je me dis qu’elle ne va peut-être pas apprécier. C’est pourquoi je fuis vite son regard, affreusement gêné. Puis, ça fait un peu cul-cul pour un mec de proposer ça à sa copine, non? Je suis un peu stressé, je l’avoue, je voudrais être vraiment le copain parfait à ses yeux mais à force de me mettre la pression de la sorte, je vais la faire fuir, et c’est pas le but. Je tente alors de me montrer tout à fait à l’aise (même si elle est la mieux placée pour savoir que ce n’est pas le cas), et démarre ma voiture pour quitter le parking.
« Normalement, avec la dose de boulot que j’avais, j’étais censé finir à 18h, mais je me suis bien organisé. » Je reste concentré sur la route, surtout avec la circulation en ville, fallait garder les yeux partout. « Parce que ça me frustrait un peu de pas pouvoir te voir alors que c’est les vacances » et c’était pas des blagues. Ca faisait si peu de temps qu’on était ensemble, c’était maintenant qu’il fallait profiter de faire plein de choses ensemble. « Alors du coup, Insadong ou pas Insadong? » et je ris, doucement, attendant qu’elle
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Jeu 23 Mar - 5:36
J'esquisse un grand sourire, heureuse de pouvoir quand même lui montrer une part de mon univers, même s'il s'y connaît quand même, mais de manière différente. Ce qui me plaît surtout est que le fait qu'il soit venu jusqu'à moi pour sortir, prenant la propre initiative après son travail, et forcément, cela me rend un peu importante, du moins, j'ai ce sentiment d'être essentielle. Je n'ai pas le temps d'ajouter quoique ce soit qu'il me prend la main et m'entraîne avec lui dehors, pour pouvoir profiter du beau temps mais aussi de la douceur des températures qui grimpent de jour en jour. Vivement le printemps que tout soit fleurissant. J'ai surtout hâte pour pouvoir me balader à ses côtés, avec des sakuras autour de nous, ou même d'autres fleurs, rendant l'atmosphère plus agréable et plus romantique. Je suis un peu fleur bleue, j'avoue, mais c'est nos débuts de couple, il faut me comprendre. « Oh ma journée . . . », je suis coupée dans ma lancée lorsqu'il dépose son bras autour de mes épaules comme pour signifier que je suis sienne devant les autres qui passent à nos côtés. Je rougis légèrement étant peu habituée à de tels gestes de sa part. Je suis un peu idiote à réagir de manière si excessive mais je suis tellement touchée par ses comportements et puis, c'est encore trop nouveau pour moi. Parfois, j'ai encore du mal à le réaliser. Je reprends tout de même le court de ma pensée, chassant toute cette émotion. « Ma journée était bien ennuyeuse sans toi mais maintenant, c'est différent, parce que tu es là, alors elle ne peut être que bien » dis-je avec un grand sourire, « et toi ? Ta journée ? J'imagine que tu dois être quand même un peu fatigué ? ». Et je me dis qu'il aurait peut-être été préférable de ne pas sortir s'il l'est. Mais c'est tellement rare de trouver un temps pour nous aussi . . . que c'est difficile de refuser une telle sortie. Dans la voiture, il me propose d'aller dans un temple où, selon lui, des couples y déposeraient quelques portes-bonheurs. Je fronce des sourcils, le fixant quelques secondes, et me mets à rire quelques secondes. Je ne me moque pas de lui mais je ne m'attendais pas à ce qu'il propose une telle chose. C'est généralement les filles qui le font. Mais c'est plaisant, qu'il prenne de tels devants. Je n'ai malheureusement pas le temps de réponse qu'il démarre déjà, sûrement intimidé par sa proposition. Je pose quelques secondes mes yeux par la fenêtre, regardant le paysage qui défile, un sourire aux lèvres lorsqu'il me dit qu'il s'est organisé au mieux pour me voir. Il est tellement mignon Tamaki et tellement prévenant aussi. Je n'aurai jamais pensé me trouver un tel petit ami et surtout pas lui. J'ai vraiment beaucoup de chance. Je ne cesserai de me le répéter. Je pose délicatement ma main sur la sienne, pour le rassurer, « c'est parfait ! Je t'avoue que je trouve ça surprenant que tu me le proposes mais ça me fait plaisir. J'ai un copain qui semble attentif aux désirs des filles ». Il ne faut pas se mentir, toutes les filles ont une part de sentimentale en elles, quoiqu'elles puissent en dire. « Et puis ça va sûrement nous porter chance ». Du moins, je l'espère.
Lorsque nous arrivons au temple il y a déjà quelques couples de présent. Je le sais par rapport à leur comportement vis à vis de chacun. Je me rapproche alors de Tamaki et passe mon bras autour de son bras, pour rester quand même discrète tout en montrant qu'il est le mien aussi. « Tu crois que ça va nous servir ? A rester ensemble pour un moment ? ». Parce que nous sommes encore jeunes et je sais à quel point les relations peuvent rapidement prendre fin.
just the two of us
tamaki & olympe
J'esquisse un grand sourire, heureuse de pouvoir quand même lui montrer une part de mon univers, même s'il s'y connaît quand même, mais de manière différente. Ce qui me plaît surtout est que le fait qu'il soit venu jusqu'à moi pour sortir, prenant la propre initiative après son travail, et forcément, cela me rend un peu importante, du moins, j'ai ce sentiment d'être essentielle. Je n'ai pas le temps d'ajouter quoique ce soit qu'il me prend la main et m'entraîne avec lui dehors, pour pouvoir profiter du beau temps mais aussi de la douceur des températures qui grimpent de jour en jour. Vivement le printemps que tout soit fleurissant. J'ai surtout hâte pour pouvoir me balader à ses côtés, avec des sakuras autour de nous, ou même d'autres fleurs, rendant l'atmosphère plus agréable et plus romantique. Je suis un peu fleur bleue, j'avoue, mais c'est nos débuts de couple, il faut me comprendre. « Oh ma journée . . . », je suis coupée dans ma lancée lorsqu'il dépose son bras autour de mes épaules comme pour signifier que je suis sienne devant les autres qui passent à nos côtés. Je rougis légèrement étant peu habituée à de tels gestes de sa part. Je suis un peu idiote à réagir de manière si excessive mais je suis tellement touchée par ses comportements et puis, c'est encore trop nouveau pour moi. Parfois, j'ai encore du mal à le réaliser. Je reprends tout de même le court de ma pensée, chassant toute cette émotion. « Ma journée était bien ennuyeuse sans toi mais maintenant, c'est différent, parce que tu es là, alors elle ne peut être que bien » dis-je avec un grand sourire, « et toi ? Ta journée ? J'imagine que tu dois être quand même un peu fatigué ? ». Et je me dis qu'il aurait peut-être été préférable de ne pas sortir s'il l'est. Mais c'est tellement rare de trouver un temps pour nous aussi . . . que c'est difficile de refuser une telle sortie. Dans la voiture, il me propose d'aller dans un temple où, selon lui, des couples y déposeraient quelques portes-bonheurs. Je fronce des sourcils, le fixant quelques secondes, et me mets à rire quelques secondes. Je ne me moque pas de lui mais je ne m'attendais pas à ce qu'il propose une telle chose. C'est généralement les filles qui le font. Mais c'est plaisant, qu'il prenne de tels devants. Je n'ai malheureusement pas le temps de réponse qu'il démarre déjà, sûrement intimidé par sa proposition. Je pose quelques secondes mes yeux par la fenêtre, regardant le paysage qui défile, un sourire aux lèvres lorsqu'il me dit qu'il s'est organisé au mieux pour me voir. Il est tellement mignon Tamaki et tellement prévenant aussi. Je n'aurai jamais pensé me trouver un tel petit ami et surtout pas lui. J'ai vraiment beaucoup de chance. Je ne cesserai de me le répéter. Je pose délicatement ma main sur la sienne, pour le rassurer, « c'est parfait ! Je t'avoue que je trouve ça surprenant que tu me le proposes mais ça me fait plaisir. J'ai un copain qui semble attentif aux désirs des filles ». Il ne faut pas se mentir, toutes les filles ont une part de sentimentale en elles, quoiqu'elles puissent en dire. « Et puis ça va sûrement nous porter chance ». Du moins, je l'espère. Lorsque nous arrivons au temple il y a déjà quelques couples de présent. Je le sais par rapport à leur comportement vis à vis de chacun. Je me rapproche alors de Tamaki et passe mon bras autour de son bras, pour rester quand même discrète tout en montrant qu'il est le mien aussi. « Tu crois que ça va nous servir ? A rester ensemble pour un moment ? ». Parce que nous sommes encore jeunes et je sais à quel point les relations peuvent rapidement prendre fin.
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Lun 27 Mar - 18:49
Il l'écoute parler, un petit sourire aux lèvres. Il ne se rend pas compte mais ce sourire, il l'arbore toujours depuis que lui et Olympe sont ensemble. Elle le rend plus heureux que jamais, ça, c'est indéniable. Elle le rend un peu niais aussi, parce qu'il y a quelques mois de ça, il n'aurait jamais proposé un tel plan que celui d'aller à un temple déposer des portes-bonheur pour avoir en retour la promesse d'un amour éternel. « Ma journée? » elle pense qu'il est fatigué. « Non ça va, franchement. Je suis assez en forme pour passer la fin de la journée avec toi. » Il se penche un peu vers elle tout en conduisant. « Sauf si tu m'épuises avant! » il ricane, il s'attend forcément à ce qu'elle lui mette une petite tape sur le bras. Il aimait la taquiner, qui aime bien châtie bien après tout. Alors il en profitait, d'autant plus qu'au final, ça prouvait la bonne entente qui régnait entre eux et le fait de former à présent un couple n'avait pas l'air de perturber la bonne entente déjà présente entre eux avant qu'ils passent le pas.
Quand Olympe lui répond qu'elle trouve son idée parfaite, il finit néanmoins par grimacer quand elle avoue être étonnée. « Ah... Ben... » Elle se rattrape quand même quand elle dit qu'elle a de la chance d'avoir un copain attentif. Il tourne la tête. « A vrai dire, j'avais un peu peur de passer pour le mec cul-cul mais si ça te plaît, tant mieux. » Et il continue de conduire en direction du quartier Insadong, où se trouvaient notamment les plus beaux temples de la ville. Il prit une place de parking non loin d'un des jolis temples, sous un arbre. Il sortit de la voiture puis baissa les yeux vers sa la croix qu'il avait accroché à son trousseau de clés. Il grimaça, lui, il n'était pas bouddhiste mais chrétien, il faisait ça pour faire plaisir à Olympe et parce qu'il avait envie de croire à ces portes bonheurs. Il se saisit de la main de la belle sans plus attendre, marchant en direction de ce joli temple où des gens entraient et sortaient. Au centre, une magnifique fontaine servait de lieu de repos pour les touristes qui semblaient avoir beaucoup marché. Tamaki s'étonnait toujours de voir à quel point ce pays était devenu de plus en plus visité, sûrement un coup de pouce de la kpop ça! « Ya du monde... » fit remarquer le japonais d'origine, avant de finalement reprendre sa marche jusqu'à pénétrer dans le lieu de culte. « Avant toute chose, je préfère te le dire... » il marqua une pause. Encore une occasion de se ridiculiser pour lui. « Je ne m'y connais pas trop en ces rituels là. J'ai grandi avec la religion chrétienne... » il semblait un peu intimidé, de quoi le rendre encore plus craquant. Il récupéra la main d'Olympe, puis ils pénétrèrent un peu plus dans le temple.
C'était sombre mais l'ambiance qui y régnait était reposante. Il tourna la tête et remarqua qu'ils n'étaient pas le seul couple à être venu pour prier. Il invita donc Olympe à passer devant, histoire aussi de lui montrer les coutumes qu'il avait un peu trop snober depuis son arrivée dans le pays.
just the two of us
tamaki & olympe
Il l'écoute parler, un petit sourire aux lèvres. Il ne se rend pas compte mais ce sourire, il l'arbore toujours depuis que lui et Olympe sont ensemble. Elle le rend plus heureux que jamais, ça, c'est indéniable. Elle le rend un peu niais aussi, parce qu'il y a quelques mois de ça, il n'aurait jamais proposé un tel plan que celui d'aller à un temple déposer des portes-bonheur pour avoir en retour la promesse d'un amour éternel. « Ma journée? » elle pense qu'il est fatigué. « Non ça va, franchement. Je suis assez en forme pour passer la fin de la journée avec toi. » Il se penche un peu vers elle tout en conduisant. « Sauf si tu m'épuises avant! » il ricane, il s'attend forcément à ce qu'elle lui mette une petite tape sur le bras. Il aimait la taquiner, qui aime bien châtie bien après tout. Alors il en profitait, d'autant plus qu'au final, ça prouvait la bonne entente qui régnait entre eux et le fait de former à présent un couple n'avait pas l'air de perturber la bonne entente déjà présente entre eux avant qu'ils passent le pas. Quand Olympe lui répond qu'elle trouve son idée parfaite, il finit néanmoins par grimacer quand elle avoue être étonnée. « Ah... Ben... » Elle se rattrape quand même quand elle dit qu'elle a de la chance d'avoir un copain attentif. Il tourne la tête. « A vrai dire, j'avais un peu peur de passer pour le mec cul-cul mais si ça te plaît, tant mieux. » Et il continue de conduire en direction du quartier Insadong, où se trouvaient notamment les plus beaux temples de la ville. Il prit une place de parking non loin d'un des jolis temples, sous un arbre. Il sortit de la voiture puis baissa les yeux vers sa la croix qu'il avait accroché à son trousseau de clés. Il grimaça, lui, il n'était pas bouddhiste mais chrétien, il faisait ça pour faire plaisir à Olympe et parce qu'il avait envie de croire à ces portes bonheurs. Il se saisit de la main de la belle sans plus attendre, marchant en direction de ce joli temple où des gens entraient et sortaient. Au centre, une magnifique fontaine servait de lieu de repos pour les touristes qui semblaient avoir beaucoup marché. Tamaki s'étonnait toujours de voir à quel point ce pays était devenu de plus en plus visité, sûrement un coup de pouce de la kpop ça! « Ya du monde... » fit remarquer le japonais d'origine, avant de finalement reprendre sa marche jusqu'à pénétrer dans le lieu de culte. « Avant toute chose, je préfère te le dire... » il marqua une pause. Encore une occasion de se ridiculiser pour lui. « Je ne m'y connais pas trop en ces rituels là. J'ai grandi avec la religion chrétienne... » il semblait un peu intimidé, de quoi le rendre encore plus craquant. Il récupéra la main d'Olympe, puis ils pénétrèrent un peu plus dans le temple.
C'était sombre mais l'ambiance qui y régnait était reposante. Il tourna la tête et remarqua qu'ils n'étaient pas le seul couple à être venu pour prier. Il invita donc Olympe à passer devant, histoire aussi de lui montrer les coutumes qu'il avait un peu trop snober depuis son arrivée dans le pays.
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Jeu 6 Avr - 19:42
J'ouvre légèrement la bouche, prête à répliquer, mais finis par me résigner, un sourire aux lèvres. Je sais pertinemment qu'il dit ça pour m'embêter, me charrier, mais j'avoue avoir quelques craintes concernant mes comportements. Je dois avouer que je suis parfois énervante, voir même épuisante, certes pas avec tout le monde, et bien heureusement beaucoup voient en moi cette fille calme, sérieuse, pouvant tenir des conversations intelligentes, celle que je montre peu. Et j'ai peur d'être fatigante vis à vis du jeune homme. Je me tourne tout de même vers lui, le visage inquiet, « si je suis . . . chiante, n'hésite pas à me le dire. Je ne le réalise pas toujours mais je sais que je peux être particulièrement énervante, épuisante, alors . . . si je le deviens, dis le moi, et ce n'est pas parce que tu es désormais mon petit ami que tu ne peux pas te permettre de me contenir ». J'esquisse un petit sourire. Je ne veux pas être une enfant à ses yeux, je veux être une femme. Une vraie. J'ai le temps de faire mes preuves avec Tamaki, mais pour le moment, c'est lui qui me montre ses qualités d'homme attentif et certainement romantique, ce qui ne me déplaît absolument pas, au contraire. « Je te rassure, tu n'es pas cul-cul et même si tu l'étais, ça ne m'aurait pas dérangé, tu sais. Je préfère ça qu'un homme trop . . . hum », je réfléchis quelques secondes, cherchant le bon terme, « machiste ! ». De toute manière, je suis totalement le genre de femme à aimer la délicatesse, qui rêve d'un homme attentionné, comme dans les mangas ou dramas. Ça fait toujours rêver !
Arrivant au fameux temple, je me sens au début intimidée, mais finis par prendre progressivement de la confiance, me sentant un peu plus à l'aise. Il faut dire que c'est assez particulier de se rendre dans un tel lieu avec son petit ami, c'est une première pour moi. Mais je crois que je ne suis pas la seule à être perturbée. Tamaki l'est d'autant plus. Il est tellement mignon à ne pas savoir comment se comporter, gêné par ce lieu qui lui est étranger. J'ai tellement envie de le serrer dans mes bras en cet instant précis mais je dois me retenir. Pas en public et pas de manière si spontané, dans un temple qui plus est. Je serre légèrement sa main, essayant d'être sereine. « Ne t'en fais pas, je suis là si besoin et puis tu sais, contrairement à ce qu'on pourrait croire, peu de coréens pratiquent cette religion, du moins les nouvelles générations. C'est surtout . . . symbolique », mais je suis contente de voir qu'il essaye quand même de s'imprégner de la culture si particulière des coréens. Je lui prends la main et le guide un peu, sans bruit. On pénètre dans une sorte de hall avec des centaines de lanternes blanches accrochées tout en haut, toutes représentant des portes-bonheurs. « On doit juste en prendre une, écrire nos souhaits et les accrocher là-haut » dis-je dans un murmure. Je vais donc nous prendre une lanterne blanche et deux stylos plumes pour créer notre propre porte-bonheur. « Attention tu n'as pas le droit de regarder ce que j'écris ! Chacun a son côté et c'est seulement quand on va l'accrocher qu'on pourra regarder. Tu ne triches pas ! ». Je lui lance un regard menaçant pour qu'il n'ait pas cette envie et commence à écrire, minutieusement mon souhait qui est de rester aux côtés de Tamaki, jusqu'à la fin. C'est peut-être stupide et puérile, mais c'est mon désir. J'ai l'étrange sentiment que tous les deux on s'est bien trouvés, mais peut-être que je me trompe. Quand il a lui aussi fini je m'en vais accrocher la lanterne sans regarder de suite ce qu'il a marqué. Je croise les mains et ferme quelques secondes les yeux, pour les ouvrir rapidement, pour voir ce qu'il a marqué, ayant une certaine crainte quand même.
just the two of us
tamaki & olympe
J'ouvre légèrement la bouche, prête à répliquer, mais finis par me résigner, un sourire aux lèvres. Je sais pertinemment qu'il dit ça pour m'embêter, me charrier, mais j'avoue avoir quelques craintes concernant mes comportements. Je dois avouer que je suis parfois énervante, voir même épuisante, certes pas avec tout le monde, et bien heureusement beaucoup voient en moi cette fille calme, sérieuse, pouvant tenir des conversations intelligentes, celle que je montre peu. Et j'ai peur d'être fatigante vis à vis du jeune homme. Je me tourne tout de même vers lui, le visage inquiet, « si je suis . . . chiante, n'hésite pas à me le dire. Je ne le réalise pas toujours mais je sais que je peux être particulièrement énervante, épuisante, alors . . . si je le deviens, dis le moi, et ce n'est pas parce que tu es désormais mon petit ami que tu ne peux pas te permettre de me contenir ». J'esquisse un petit sourire. Je ne veux pas être une enfant à ses yeux, je veux être une femme. Une vraie. J'ai le temps de faire mes preuves avec Tamaki, mais pour le moment, c'est lui qui me montre ses qualités d'homme attentif et certainement romantique, ce qui ne me déplaît absolument pas, au contraire. « Je te rassure, tu n'es pas cul-cul et même si tu l'étais, ça ne m'aurait pas dérangé, tu sais. Je préfère ça qu'un homme trop . . . hum », je réfléchis quelques secondes, cherchant le bon terme, « machiste ! ». De toute manière, je suis totalement le genre de femme à aimer la délicatesse, qui rêve d'un homme attentionné, comme dans les mangas ou dramas. Ça fait toujours rêver ! Arrivant au fameux temple, je me sens au début intimidée, mais finis par prendre progressivement de la confiance, me sentant un peu plus à l'aise. Il faut dire que c'est assez particulier de se rendre dans un tel lieu avec son petit ami, c'est une première pour moi. Mais je crois que je ne suis pas la seule à être perturbée. Tamaki l'est d'autant plus. Il est tellement mignon à ne pas savoir comment se comporter, gêné par ce lieu qui lui est étranger. J'ai tellement envie de le serrer dans mes bras en cet instant précis mais je dois me retenir. Pas en public et pas de manière si spontané, dans un temple qui plus est. Je serre légèrement sa main, essayant d'être sereine. « Ne t'en fais pas, je suis là si besoin et puis tu sais, contrairement à ce qu'on pourrait croire, peu de coréens pratiquent cette religion, du moins les nouvelles générations. C'est surtout . . . symbolique », mais je suis contente de voir qu'il essaye quand même de s'imprégner de la culture si particulière des coréens. Je lui prends la main et le guide un peu, sans bruit. On pénètre dans une sorte de hall avec des centaines de lanternes blanches accrochées tout en haut, toutes représentant des portes-bonheurs. « On doit juste en prendre une, écrire nos souhaits et les accrocher là-haut » dis-je dans un murmure. Je vais donc nous prendre une lanterne blanche et deux stylos plumes pour créer notre propre porte-bonheur. « Attention tu n'as pas le droit de regarder ce que j'écris ! Chacun a son côté et c'est seulement quand on va l'accrocher qu'on pourra regarder. Tu ne triches pas ! ». Je lui lance un regard menaçant pour qu'il n'ait pas cette envie et commence à écrire, minutieusement mon souhait qui est de rester aux côtés de Tamaki, jusqu'à la fin. C'est peut-être stupide et puérile, mais c'est mon désir. J'ai l'étrange sentiment que tous les deux on s'est bien trouvés, mais peut-être que je me trompe. Quand il a lui aussi fini je m'en vais accrocher la lanterne sans regarder de suite ce qu'il a marqué. Je croise les mains et ferme quelques secondes les yeux, pour les ouvrir rapidement, pour voir ce qu'il a marqué, ayant une certaine crainte quand même.
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Ven 14 Avr - 0:11
Sa blague a été, semble-t-il, mal interprétée. Alors, quand il entendit Olympe lui demander d'être honnête avec elle, Tamaki ne comprit pas tout de suite. Lui qui voulait plaisanter, voilà que sa petite amie pensait qu'il la trouvait réellement chiante. Heureusement, il parvint à s'arrêter à un feu rouge, le temps de tirer le frein à main et d'attraper la main de sa petite amie. Hé! commença-t-il, un sourire rassurant aux lèvres. Je serais pas avec toi à l'heure qu'il est si t'étais vraiment chiante. Il se stoppa, avant de reprendre. Néanmoins, si un jour tu l'es vraiment, je n'hésiterai pas à le te dire. Après tout, c'était ça, non, le but même d'un couple? Se faire confiance et tout se dire l'un à l'autre. Il était prêt à faire preuve de moins de timidité. De toute façon, elle lui inspirait confiance, c'était tout naturel avec elle. Il se sentait bien. Il se sentait comme l'homme qu'il avait toujours voulu être.
Le jeune couple arriva alors sur le parking du temple. Le jeune vétérinaire se sentait, malheureusement, pas à son aise en ces lieux saints. D'abord parce que ce n'était pas les endroits qu'il fréquentait le plus, et ensuite, parce que ce n'était pas sa religion, bien que c'était celle de ses parents. Il avait choisi de ne pas les suivre sur cette voie-là. Alors, comme un idiot, il se retrouva ici, avec sa petite amie, aux portes d'un temple où la tradition voulait que les jeunes couples viennent y poser leur porte bonheur. Mais lui, il ne connaissait rien de tout ça, et il prit finalement un peu de courage pour tout avouer à Olympe. Et comme d'habitude, la demoiselle se montra rassurante. Elle était décidément trop parfaite pour lui. La demoiselle vint s'emparer de la main du japonais, avant de le guider dans le hall du temple où régnait une ambiance silencieuse et reposante. Tamaki déglutit, regardant tout autour de lui alors qu'Olympe l'entraîna un peu plus dans le temple. Il leva les yeux vers plein de petites lanternes, blanches, illuminées, et un sourire étira ses lèvres. Voilà donc les fameux portes-bonheurs. Olympe ne tarda pas à lui expliquer comment il fallait procéder. De ce fait, il laissa la demoiselle aller en chercher une pour eux. Elle revint avec, en plus, deux stylo plumes. Il en prit eux, lança un regard hésitant à la demoiselle. Il fallait écrire un souhait... Il fit mine de réfléchir, un instant, comme s'il avait besoin de réfléchir pour savoir quel souhait il allait formuler sur cette lanterne. Olympe ne tarda pas à le mettre en garde, ce qui fit sursauter un peu le jeune homme. Faut dire qu'elle pouvait être féroce quand elle s'y mettait! Non non, t'inquiètes pas. la rassura-t-il, prenant soin de cacher alors les mots qu'il écrivit.
Pas grand chose d'exceptionnel à vrai dire. Il avait écrit mot pour mot: faites qu'Olympe et moi restions ensemble pendant encore très longtemps, que nous construisions de beaux projets et que nous puissions être heureux. Un sourire aux lèvres, Tamaki boucha le stylo et lança un regard mystérieux à Olympe, comme pour faire durer le suspens. Finalement, il la laissa prendre la lanterne et aller l'accrocher. De loin, Tamaki croisa les bras, la regardant avec un sourire amoureux. Il attendait de voir sa réaction, mais, vu qu'elle ne bougea pas de suite, il arriva derrière elle, doucement, et glissa ses bras autour de ses épaules, appuyant son menton sur son crâne. Il regarda la lanterne, découvrant à son tour ce qu'elle avait écrit. A peu près la même chose que lui. Son coeur se fit léger, il ferma les yeux un instant comme pour savourer ce moment. Cette fille était spéciale. Elle était la première, mais elle était surtout celle qui lui faisait changer d'avis sur toutes les certitudes qu'il avait depuis des années. Même si tout se chamboulait depuis qu'elle était apparue dans sa vie, tout cela avait un goût exquis. Olympe, il l'avait voulu, et à présent qu'il l'avait, il ne comptait pas la laisser s'échapper. Rassurée? lança Tamaki, le ton bas, avant de forcer Olympe à se tourner vers lui. On a les mêmes souhaits, c'est déjà un bon début. un rire bref passa ses lèvres, avant qu'il ne ramène Olympe vers lui pour déposer un baiser sur son front. Derrière eux, des couples arrivaient encore pour faire la même chose, de ce fait, le vétérinaire ne tarda pas à attraper la main de sa belle, pour la conduire vers l'extérieur. Voilà une chose de faite! A toi de choisir la prochaine activité maintenant. déclara l'étudiant, avant de se tourner complètement vers la demoiselle. Il était prêt à aller n'importe où.
just the two of us
tamaki & olympe
Sa blague a été, semble-t-il, mal interprétée. Alors, quand il entendit Olympe lui demander d'être honnête avec elle, Tamaki ne comprit pas tout de suite. Lui qui voulait plaisanter, voilà que sa petite amie pensait qu'il la trouvait réellement chiante. Heureusement, il parvint à s'arrêter à un feu rouge, le temps de tirer le frein à main et d'attraper la main de sa petite amie. Hé! commença-t-il, un sourire rassurant aux lèvres. Je serais pas avec toi à l'heure qu'il est si t'étais vraiment chiante. Il se stoppa, avant de reprendre. Néanmoins, si un jour tu l'es vraiment, je n'hésiterai pas à le te dire. Après tout, c'était ça, non, le but même d'un couple? Se faire confiance et tout se dire l'un à l'autre. Il était prêt à faire preuve de moins de timidité. De toute façon, elle lui inspirait confiance, c'était tout naturel avec elle. Il se sentait bien. Il se sentait comme l'homme qu'il avait toujours voulu être. Le jeune couple arriva alors sur le parking du temple. Le jeune vétérinaire se sentait, malheureusement, pas à son aise en ces lieux saints. D'abord parce que ce n'était pas les endroits qu'il fréquentait le plus, et ensuite, parce que ce n'était pas sa religion, bien que c'était celle de ses parents. Il avait choisi de ne pas les suivre sur cette voie-là. Alors, comme un idiot, il se retrouva ici, avec sa petite amie, aux portes d'un temple où la tradition voulait que les jeunes couples viennent y poser leur porte bonheur. Mais lui, il ne connaissait rien de tout ça, et il prit finalement un peu de courage pour tout avouer à Olympe. Et comme d'habitude, la demoiselle se montra rassurante. Elle était décidément trop parfaite pour lui. La demoiselle vint s'emparer de la main du japonais, avant de le guider dans le hall du temple où régnait une ambiance silencieuse et reposante. Tamaki déglutit, regardant tout autour de lui alors qu'Olympe l'entraîna un peu plus dans le temple. Il leva les yeux vers plein de petites lanternes, blanches, illuminées, et un sourire étira ses lèvres. Voilà donc les fameux portes-bonheurs. Olympe ne tarda pas à lui expliquer comment il fallait procéder. De ce fait, il laissa la demoiselle aller en chercher une pour eux. Elle revint avec, en plus, deux stylo plumes. Il en prit eux, lança un regard hésitant à la demoiselle. Il fallait écrire un souhait... Il fit mine de réfléchir, un instant, comme s'il avait besoin de réfléchir pour savoir quel souhait il allait formuler sur cette lanterne. Olympe ne tarda pas à le mettre en garde, ce qui fit sursauter un peu le jeune homme. Faut dire qu'elle pouvait être féroce quand elle s'y mettait! Non non, t'inquiètes pas. la rassura-t-il, prenant soin de cacher alors les mots qu'il écrivit.
Pas grand chose d'exceptionnel à vrai dire. Il avait écrit mot pour mot: faites qu'Olympe et moi restions ensemble pendant encore très longtemps, que nous construisions de beaux projets et que nous puissions être heureux. Un sourire aux lèvres, Tamaki boucha le stylo et lança un regard mystérieux à Olympe, comme pour faire durer le suspens. Finalement, il la laissa prendre la lanterne et aller l'accrocher. De loin, Tamaki croisa les bras, la regardant avec un sourire amoureux. Il attendait de voir sa réaction, mais, vu qu'elle ne bougea pas de suite, il arriva derrière elle, doucement, et glissa ses bras autour de ses épaules, appuyant son menton sur son crâne. Il regarda la lanterne, découvrant à son tour ce qu'elle avait écrit. A peu près la même chose que lui. Son coeur se fit léger, il ferma les yeux un instant comme pour savourer ce moment. Cette fille était spéciale. Elle était la première, mais elle était surtout celle qui lui faisait changer d'avis sur toutes les certitudes qu'il avait depuis des années. Même si tout se chamboulait depuis qu'elle était apparue dans sa vie, tout cela avait un goût exquis. Olympe, il l'avait voulu, et à présent qu'il l'avait, il ne comptait pas la laisser s'échapper. Rassurée? lança Tamaki, le ton bas, avant de forcer Olympe à se tourner vers lui. On a les mêmes souhaits, c'est déjà un bon début. un rire bref passa ses lèvres, avant qu'il ne ramène Olympe vers lui pour déposer un baiser sur son front. Derrière eux, des couples arrivaient encore pour faire la même chose, de ce fait, le vétérinaire ne tarda pas à attraper la main de sa belle, pour la conduire vers l'extérieur. Voilà une chose de faite! A toi de choisir la prochaine activité maintenant. déclara l'étudiant, avant de se tourner complètement vers la demoiselle. Il était prêt à aller n'importe où.
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Lun 17 Avr - 19:24
J'esquisse un sourire, rassurée. En même temps, il faut le dire, je ne suis pas une fille facile et il n'a sûrement pas choisi la fille la plus calme de l'univers, bien au contraire. Je sais pertinemment que ce côté de ma personnalité n'a jamais réellement été une épine au sein de mes relations, amicales et amoureuses, peu soient-elles, mais j'ai toujours cette crainte quand même d'être plus un poids pour l'autre qu'autre chose, d'où mon inquiétude. Toutefois, Tamaki parvient à me sécuriser et j'oublie ces quelques pensées néfastes, me concentrant alors sur la visite à venir, toute excitée à l'idée de m'y rendre,dans ce fameux temple. J'ai longuement entendu parler de ce temple mais je n'ai jamais pu m'y rendre, parce que je n'ai jamais trouvé la bonne personne pour y aller. Cela signifie t-il que Tamaki est le bon ? Qui sait. Seul le temps me le dira. En tout cas, pour le moment, je suis bien avec lui. Comblée est même l'adjectif qui convient le mieux. Je le guide donc dans le temple, lui qui ne s'y connaît absolument pas. Il faut dire que la culture japonaise est différente de celle de la Corée, et les coutumes aussi, malgré leur proximité, et parfois certaines similarités. Et puis, il faut avouer que c'est plus quelque chose de féminin que de se rendre dans un tel endroit, pour bénir quelque part le couple actuel. Je ne sais pas si cela fonctionne réellement, mais il suffit d'y croire pour que cela soit le cas. Je le laisse donc écrire son souhait, tandis que j'écris le mien, un grand sourire aux lèvres. Je m'en vais ensuite les accrocher, jetant par la même occasion un œil sur son souhaite, mon cœur s'emballant rapidement en lisant les quelques mots écrits par le jeune homme. Tamaki est tellement . . . Je ne saurai même pas le qualifier tellement il incarne la perfection. Il est tellement doux, tellement attentionné. Ce n'est pas tous les hommes qui auraient écrit une telle chose alors que lui, il l'a fait, quitte à paraître peut-être trop romantique. Je comprends de mieux en mieux pourquoi je suis tombée pour lui, pourquoi mon cœur s'emballe autant en sa présence. J'espère, sincèrement, que je vais pouvoir le garder longtemps à mes côtés, je ne veux pas le donner à une autre femme, je ne veux pas qu'une autre en profite. Je veux être la seule, l'unique. C'est peut-être égoïste de ma part, et trop tôt pour être si possessive, mais c'est ce que je ressens à l'heure actuelle. Je serre légèrement le bout des lanternes, prise par cette émotion soudaine encore inconnue ou du moins oubliée. Je sursaute lorsque je le sens se positionner dernière moi, comme un bouclier, me protégeant et me rassurant. Un sourire se dessine sur mes lèvres, mon cœur s'allégeant grâce aux paroles du jeune homme. « Très rassurée » dis-je alors qu'il me tourne, me retrouvant face à lui. Je ferme les yeux quelques secondes alors qu'il appose ses lèvres contre mon front. « C'est un très bon début », et le mot est faible. Savoir qu'il a le même désir que moi concernant notre avenir apaise mes craintes, même si je ne sais que ce ne sont que des mots écrits sur des lanternes et que rien n'est encore fait.
Je réfléchis à sa question lorsqu'il propose de trouver la seconde activité. A vrai dire, il y a quelque chose que j'aimerai beaucoup faire, mais je ne sais pas s'il va bien vouloir m’accompagner dans cette expérience quelque peu unique. J'ai toujours voulu le faire aussi, en compagnie d'un potentiel petit ami, mais je n'ai jamais trouvé, à mon grand regret. « Hum . . . et bien . . . comment dire. . . j'ai peut-être une idée mais je ne sais pas si tu vas être . . . d'accord ». Je grimace, baisse les yeux, fais bouger mon pied droit, intimidée. « Il y a . . . un endroit, enfin un petit sous-village à Séoul où . . . et bien comment dire . . . on peut se balader quelques heures avec des habilles traditionnels. C'est un quartier exprès pour ça. J'ai toujours voulu en faire avec mon petit ami mais je n'ai jamais pu le réaliser alors je me demandais si . . . ». J'ose le regarder enfin, gardant cette grimace qui défigure un peu mon visage, « tu voulais bien y aller avec moi. Tu peux ne pas accepter, ce n'est pas grave, je peux comprendre que ça ne soit pas trop ton . . . délire ». Je réfléchis quelques secondes, « je trouverai autre chose s'il le faut ».
just the two of us
tamaki & olympe
J'esquisse un sourire, rassurée. En même temps, il faut le dire, je ne suis pas une fille facile et il n'a sûrement pas choisi la fille la plus calme de l'univers, bien au contraire. Je sais pertinemment que ce côté de ma personnalité n'a jamais réellement été une épine au sein de mes relations, amicales et amoureuses, peu soient-elles, mais j'ai toujours cette crainte quand même d'être plus un poids pour l'autre qu'autre chose, d'où mon inquiétude. Toutefois, Tamaki parvient à me sécuriser et j'oublie ces quelques pensées néfastes, me concentrant alors sur la visite à venir, toute excitée à l'idée de m'y rendre,dans ce fameux temple. J'ai longuement entendu parler de ce temple mais je n'ai jamais pu m'y rendre, parce que je n'ai jamais trouvé la bonne personne pour y aller. Cela signifie t-il que Tamaki est le bon ? Qui sait. Seul le temps me le dira. En tout cas, pour le moment, je suis bien avec lui. Comblée est même l'adjectif qui convient le mieux. Je le guide donc dans le temple, lui qui ne s'y connaît absolument pas. Il faut dire que la culture japonaise est différente de celle de la Corée, et les coutumes aussi, malgré leur proximité, et parfois certaines similarités. Et puis, il faut avouer que c'est plus quelque chose de féminin que de se rendre dans un tel endroit, pour bénir quelque part le couple actuel. Je ne sais pas si cela fonctionne réellement, mais il suffit d'y croire pour que cela soit le cas. Je le laisse donc écrire son souhait, tandis que j'écris le mien, un grand sourire aux lèvres. Je m'en vais ensuite les accrocher, jetant par la même occasion un œil sur son souhaite, mon cœur s'emballant rapidement en lisant les quelques mots écrits par le jeune homme. Tamaki est tellement . . . Je ne saurai même pas le qualifier tellement il incarne la perfection. Il est tellement doux, tellement attentionné. Ce n'est pas tous les hommes qui auraient écrit une telle chose alors que lui, il l'a fait, quitte à paraître peut-être trop romantique. Je comprends de mieux en mieux pourquoi je suis tombée pour lui, pourquoi mon cœur s'emballe autant en sa présence. J'espère, sincèrement, que je vais pouvoir le garder longtemps à mes côtés, je ne veux pas le donner à une autre femme, je ne veux pas qu'une autre en profite. Je veux être la seule, l'unique. C'est peut-être égoïste de ma part, et trop tôt pour être si possessive, mais c'est ce que je ressens à l'heure actuelle. Je serre légèrement le bout des lanternes, prise par cette émotion soudaine encore inconnue ou du moins oubliée. Je sursaute lorsque je le sens se positionner dernière moi, comme un bouclier, me protégeant et me rassurant. Un sourire se dessine sur mes lèvres, mon cœur s'allégeant grâce aux paroles du jeune homme. « Très rassurée » dis-je alors qu'il me tourne, me retrouvant face à lui. Je ferme les yeux quelques secondes alors qu'il appose ses lèvres contre mon front. « C'est un très bon début », et le mot est faible. Savoir qu'il a le même désir que moi concernant notre avenir apaise mes craintes, même si je ne sais que ce ne sont que des mots écrits sur des lanternes et que rien n'est encore fait. Je réfléchis à sa question lorsqu'il propose de trouver la seconde activité. A vrai dire, il y a quelque chose que j'aimerai beaucoup faire, mais je ne sais pas s'il va bien vouloir m’accompagner dans cette expérience quelque peu unique. J'ai toujours voulu le faire aussi, en compagnie d'un potentiel petit ami, mais je n'ai jamais trouvé, à mon grand regret. « Hum . . . et bien . . . comment dire. . . j'ai peut-être une idée mais je ne sais pas si tu vas être . . . d'accord ». Je grimace, baisse les yeux, fais bouger mon pied droit, intimidée. « Il y a . . . un endroit, enfin un petit sous-village à Séoul où . . . et bien comment dire . . . on peut se balader quelques heures avec des habilles traditionnels. C'est un quartier exprès pour ça. J'ai toujours voulu en faire avec mon petit ami mais je n'ai jamais pu le réaliser alors je me demandais si . . . ». J'ose le regarder enfin, gardant cette grimace qui défigure un peu mon visage, « tu voulais bien y aller avec moi. Tu peux ne pas accepter, ce n'est pas grave, je peux comprendre que ça ne soit pas trop ton . . . délire ». Je réfléchis quelques secondes, « je trouverai autre chose s'il le faut ».
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Lun 24 Avr - 11:54
Il avait encore du mal à réaliser ce qu'il était en train de faire, ce qu'il était en train de vivre avec Olympe. Tamaki avait passé 17 ans de sa vie loin de la population et bien loin de ce que les jeunes faisaient habituellement. Pourtant, même si cela lui a pris un peu de temps, il avait réussi à se sortir de cette vie un peu sectaire pour tisser des liens avec d'autres personnes que sa famille, à commencer par Kazuya, son meilleur ami depuis le lycée, Daehyun, un de ses meilleurs amis aussi, et les gumiho... Puis, il y a eu Olympe. Cette jeune femme qu'il avait rencontré en Afrique, lors d'un safari, étudiante à la Yonsei qu'il n'avait jamais croisé avant ce safari. Pourquoi la vie était-elle faite ainsi? N'aurait-il pas pu la rencontrer avant, passer tous ces bons moments avant? Mais c'était leur histoire, elle était écrite ainsi et il devait y avoir une raison. Peut-être que s'il l'avait rencontré avant, il n'aurait jamais été prêt à se lancer avec elle. Mais, quand il la regardait à chaque fois, la réponse lui venait telle un rayon de soleil qui illuminait ses pensées: il l'aimait, très fort, et il n'y avait qu'elle qui pouvait faire de lui un homme, un vrai. Celui qu'il voulait devenir. L'homme accompli qu'il s'était imaginé depuis gamin.
Alors, les bras posés sur les épaules d'Olympe, il regarda ce qu'elle avait écrit, un sourire aux lèvres. Il s'agissait d'un nouveau départ, une nouvelle vie et de nouvelles habitudes. Finis les moments passés seul dans sa chambre devant la console, ou devant ses devoirs. Maintenant, il allait avoir le réflexe de demander à chaque fois à la Sango ce qu'elle faisait, si elle était libre pour sortir avec lui, passer des moments uniques. Des belles images à graver dans leur mémoire. Ce qu'ils vivaient aujourd'hui en était une. L'image de ces mots, écrits à la main, resterait pour toujours gravés dans la mémoire du japonais. Après avoir pris le temps de graver cette image, Tamaki se retrouva face à Olympe, et vint déposer ses lèvres sur son front, fermant les yeux. Oh oui, il l'aimait fort, sa Olympe, et tout ce qu'il avait écrit, il le pensait fermement.
Une fois dehors, le jeune homme partit s'asseoir au bord de la fontaine qui s'élevait au centre de la place, devant le temple. Il jeta un oeil rapide aux gens qui avaient fait pareil que lui, avant de demander à sa petite amie de choisir la prochaine activité. Quelle chance ils avaient, il faisait un temps magnifique, une promenade n'était pas une si mauvaise idée, alors Tamaki ne comprenait pas vraiment pourquoi Olympe semblait si gênée à l'idée de lui proposer cette promenade. Etait-ce les costumes qui la faisaient penser ainsi? Le vétérinaire esquissa un sourire, un soupçon moqueur, la laissant terminer de parler pour ne pas lui couper la parole. Une fois ça de fait, il prit néanmoins une minute, le temps de la regarder, d'apercevoir son visage poupon un peu rosie par la proposition qu'elle venait de faire. Puis, haussant les sourcils mais toujours souriant, il finit par déclarer: On va y aller. sur un ton qui traduisait une certaine évidence: pourquoi n'iraient-ils pas après tout? Il fait beau aujourd'hui, je vois pas ce qui nous empêcherait de le faire! Il se leva rapidement, attrapa sa main de sorte à l'entraîner avec lui vers le parking. Allez, viens! il lui adressa un sourire plus rassurant, et les voilà partis en direction du parking.
La voiture avait un peu pris la chaleur, de ce fait, Tamaki ouvrit illico les fenêtres avant de tourner la tête vers sa petite amie. Par contre, faut que tu me dises où c'est... Je vais mettre le GPS. de sa main droite, il commença à naviguer sur l'appareil, le temps qu'Olympe lui donne une adresse. Une fois ça de fait, le jeune homme entra les données, à la recherche d'un parking non loin. Ah, j'ai trouvé... se dit-il à lui même. Il entra la direction, puis démarra la voiture avant de quitter le parking. Le temps de se concentrer pour sortir de cet endroit, le vétérinaire finit par tourner la tête pour regarder Olympe. Pourquoi t'as été si hésitante pour me demander d'aller là-bas? Sa main droite vint pincer doucement son genou. Par rapport aux costumes? Son sourire s'élargit, il s'imaginait déjà dans cet accoutrement. C'est vrai que j'en ai jamais porté alors bon... Ca risque d'être drôle. Mais on va passer un bon moment. J'en suis sûr! et il tourna une dernière fois la tête pour regarder la Sango, un sourire aux lèvres, avant de reporter son attention sur la route.
just the two of us
tamaki & olympe
Il avait encore du mal à réaliser ce qu'il était en train de faire, ce qu'il était en train de vivre avec Olympe. Tamaki avait passé 17 ans de sa vie loin de la population et bien loin de ce que les jeunes faisaient habituellement. Pourtant, même si cela lui a pris un peu de temps, il avait réussi à se sortir de cette vie un peu sectaire pour tisser des liens avec d'autres personnes que sa famille, à commencer par Kazuya, son meilleur ami depuis le lycée, Daehyun, un de ses meilleurs amis aussi, et les gumiho... Puis, il y a eu Olympe. Cette jeune femme qu'il avait rencontré en Afrique, lors d'un safari, étudiante à la Yonsei qu'il n'avait jamais croisé avant ce safari. Pourquoi la vie était-elle faite ainsi? N'aurait-il pas pu la rencontrer avant, passer tous ces bons moments avant? Mais c'était leur histoire, elle était écrite ainsi et il devait y avoir une raison. Peut-être que s'il l'avait rencontré avant, il n'aurait jamais été prêt à se lancer avec elle. Mais, quand il la regardait à chaque fois, la réponse lui venait telle un rayon de soleil qui illuminait ses pensées: il l'aimait, très fort, et il n'y avait qu'elle qui pouvait faire de lui un homme, un vrai. Celui qu'il voulait devenir. L'homme accompli qu'il s'était imaginé depuis gamin.Alors, les bras posés sur les épaules d'Olympe, il regarda ce qu'elle avait écrit, un sourire aux lèvres. Il s'agissait d'un nouveau départ, une nouvelle vie et de nouvelles habitudes. Finis les moments passés seul dans sa chambre devant la console, ou devant ses devoirs. Maintenant, il allait avoir le réflexe de demander à chaque fois à la Sango ce qu'elle faisait, si elle était libre pour sortir avec lui, passer des moments uniques. Des belles images à graver dans leur mémoire. Ce qu'ils vivaient aujourd'hui en était une. L'image de ces mots, écrits à la main, resterait pour toujours gravés dans la mémoire du japonais. Après avoir pris le temps de graver cette image, Tamaki se retrouva face à Olympe, et vint déposer ses lèvres sur son front, fermant les yeux. Oh oui, il l'aimait fort, sa Olympe, et tout ce qu'il avait écrit, il le pensait fermement.
Une fois dehors, le jeune homme partit s'asseoir au bord de la fontaine qui s'élevait au centre de la place, devant le temple. Il jeta un oeil rapide aux gens qui avaient fait pareil que lui, avant de demander à sa petite amie de choisir la prochaine activité. Quelle chance ils avaient, il faisait un temps magnifique, une promenade n'était pas une si mauvaise idée, alors Tamaki ne comprenait pas vraiment pourquoi Olympe semblait si gênée à l'idée de lui proposer cette promenade. Etait-ce les costumes qui la faisaient penser ainsi? Le vétérinaire esquissa un sourire, un soupçon moqueur, la laissant terminer de parler pour ne pas lui couper la parole. Une fois ça de fait, il prit néanmoins une minute, le temps de la regarder, d'apercevoir son visage poupon un peu rosie par la proposition qu'elle venait de faire. Puis, haussant les sourcils mais toujours souriant, il finit par déclarer: On va y aller. sur un ton qui traduisait une certaine évidence: pourquoi n'iraient-ils pas après tout? Il fait beau aujourd'hui, je vois pas ce qui nous empêcherait de le faire! Il se leva rapidement, attrapa sa main de sorte à l'entraîner avec lui vers le parking. Allez, viens! il lui adressa un sourire plus rassurant, et les voilà partis en direction du parking.
La voiture avait un peu pris la chaleur, de ce fait, Tamaki ouvrit illico les fenêtres avant de tourner la tête vers sa petite amie. Par contre, faut que tu me dises où c'est... Je vais mettre le GPS. de sa main droite, il commença à naviguer sur l'appareil, le temps qu'Olympe lui donne une adresse. Une fois ça de fait, le jeune homme entra les données, à la recherche d'un parking non loin. Ah, j'ai trouvé... se dit-il à lui même. Il entra la direction, puis démarra la voiture avant de quitter le parking. Le temps de se concentrer pour sortir de cet endroit, le vétérinaire finit par tourner la tête pour regarder Olympe. Pourquoi t'as été si hésitante pour me demander d'aller là-bas? Sa main droite vint pincer doucement son genou. Par rapport aux costumes? Son sourire s'élargit, il s'imaginait déjà dans cet accoutrement. C'est vrai que j'en ai jamais porté alors bon... Ca risque d'être drôle. Mais on va passer un bon moment. J'en suis sûr! et il tourna une dernière fois la tête pour regarder la Sango, un sourire aux lèvres, avant de reporter son attention sur la route.
Code by kerushirei
Invité
Invité
Re: just the two of us ♥ | Sam 6 Mai - 21:05
Je veux créer des souvenirs en compagnie de Tamaki. Je veux redessiner le monde tout en tenant sa main. Je veux crier au monde entier que je l'aime et qu'il est très certainement le meilleur petit ami qui puisse exister sur la terre. Je veux faire tellement de choses, je veux vivre tellement d'aventures en sa compagnie, que j'ai peur de tomber, un jour, et de me faire très mal. J'ai peur que tout cela ne devienne qu'une illusion, des fantômes du passé, des souvenirs douloureux. Pourtant, j'ai le sentiment qu'avec lui je vais pouvoir aller loin, très loin. Je ne sais pas si c'est mon désir de femme romantique, ou si c'est la réalité. Mais je sais une chose, je veux rester à ses côtés encore quelques années. Je veux profiter de sa chaleur, de ses caresses, de ses baisers, de lui. Je veux profiter de tout. C'est peut-être trop demander et ce n'est peut-être que de fausses idées que je me fais là, mais j'espère, je fais des vœux pour qu'ils puissent se réaliser. Je regarde alors Tamaki, un sourire aux lèvres, en me disant que je suis très certainement la femme la plus chanceuse de tout l'univers. Je propose alors, comme prochaine activité, une idée qui me hante depuis quelques jours déjà, voir même des années. Une activité que j'ai toujours eu le désir de faire sans avoir la moindre occasion. A ma grande surprise Tamaki accepte, de suite, sans même sembler réticent, ou du moins il ne le montre pas. « Vraiment ? », j'écarquille les yeux, ceux-ci devenant presque pétillants de bonheur, une lueur d'espoir se nichant en moi. Je sautille de joie, serrant fermement la main de Tamaki. « J'avais peur que tu sois contre cette idée parce qu'elle n'est pas banale. Mais je suis contente que tu acceptes de m'y accompagner ». J'esquisse un grand sourire et accours avec lui jusqu'à la voiture, excitée à l'idée de pouvoir porter des vêtements traditionnels, tout en me promenant dans le village, en compagnie de mon petit ami. Juste à cette idée, j'en rougis. Je sais que c'est très stupide et très enfantin de ma part, mais je me sens particulièrement heureuse à l'idée de le faire avec Tamaki. Ça restera très certainement un souvenir gravé dans ma mémoire, et marqué à tout jamais. A l'intérieur de la voiture, je lui donne rapidement l'itinéraire pour pouvoir s'y rendre, encore toute excitée à l'idée de vraiment y aller. Manquerait plus qu'il me fasse une blague, mais je doute que cela soit le cas puisqu'il a cet air très sérieux. « Et bien, disons que ce n'est pas un endroit où les personnes ont le désir de s'y rendre. C'est quand même un lieu très particulier ». Je dis cela dans le sens où généralement les hommes éprouvent quelques réticences à y participer, trouvant cela très certainement ridicule. « C'est autant les costumes que le contexte. Je doute qu'un homme ait le désir de paraître si . . . . comment dire ça. . . . ridicule peut-être ? ». Je grimace, doutant moi même de mon idée. « Mais je suis certaine qu'on va bien s'amuser », du moins, je l'espère.
Nous arrivons donc au lieu du village, où quelques personnes sont déjà habillées en vêtements traditionnels, moi étant toute admirative. Il est vrai que je ne suis en Corée que depuis 12 ans mais j'ai le sentiment de réellement appartenir à une culture que je ne connais que trop peu, à mon sens. Sortant rapidement de la voiture, j'entraîne Tamaki vers la petite maisonnette aux décorations très traditionnelles pour nous habiller de suite. « Merci Tamaki, d'avoir accepté de m'accompagner. Ça fait bien longtemps que j'avais le désir de m'y rendre et t'as été le seul à répondre à mes attentes ». Je lui fais un bisou sur la paume de main et paye pour porter les costumes, parce que je pense que je dois le faire, puisque c'est moi qui l'ais entraîné dans cette aventure. Je lui donne quelques idées de costumes, « et si on allait essayer les quelques costumes pour voir qui nous va le plus ? Ça va être marrant ». J'ai l'impression d'être comme une enfant, toute excitée. Je le laisse donc commencer les premiers essayages, me mettant alors à rire lorsqu'il ressort avec le premier vêtement traditionnel. « Ahahah ! Oppa je suis certaine que tu étais dans ta vie précédente un coréen avec le titre de bon eunuque ». Je lui montre mon pouce pour approuver ce vêtement qui lui va à merveille. Il en essaye d'autres que je prends, forcément, en photo pour me souvenir de ces quelques moments, et vient ensuite mon tour. Et forcément j'y prends un grand plaisir à jouer celle qui vient de l'ancien temps, amusée par toute cette mascarade, mais trouvant les habilles parfaitement adaptés. « Qu'en penses-tu ? » dis-je en essayant de prendre une position adaptée, faisant celle qui vient du temps d'avant.
just the two of us
tamaki & olympe
Je veux créer des souvenirs en compagnie de Tamaki. Je veux redessiner le monde tout en tenant sa main. Je veux crier au monde entier que je l'aime et qu'il est très certainement le meilleur petit ami qui puisse exister sur la terre. Je veux faire tellement de choses, je veux vivre tellement d'aventures en sa compagnie, que j'ai peur de tomber, un jour, et de me faire très mal. J'ai peur que tout cela ne devienne qu'une illusion, des fantômes du passé, des souvenirs douloureux. Pourtant, j'ai le sentiment qu'avec lui je vais pouvoir aller loin, très loin. Je ne sais pas si c'est mon désir de femme romantique, ou si c'est la réalité. Mais je sais une chose, je veux rester à ses côtés encore quelques années. Je veux profiter de sa chaleur, de ses caresses, de ses baisers, de lui. Je veux profiter de tout. C'est peut-être trop demander et ce n'est peut-être que de fausses idées que je me fais là, mais j'espère, je fais des vœux pour qu'ils puissent se réaliser. Je regarde alors Tamaki, un sourire aux lèvres, en me disant que je suis très certainement la femme la plus chanceuse de tout l'univers. Je propose alors, comme prochaine activité, une idée qui me hante depuis quelques jours déjà, voir même des années. Une activité que j'ai toujours eu le désir de faire sans avoir la moindre occasion. A ma grande surprise Tamaki accepte, de suite, sans même sembler réticent, ou du moins il ne le montre pas. « Vraiment ? », j'écarquille les yeux, ceux-ci devenant presque pétillants de bonheur, une lueur d'espoir se nichant en moi. Je sautille de joie, serrant fermement la main de Tamaki. « J'avais peur que tu sois contre cette idée parce qu'elle n'est pas banale. Mais je suis contente que tu acceptes de m'y accompagner ». J'esquisse un grand sourire et accours avec lui jusqu'à la voiture, excitée à l'idée de pouvoir porter des vêtements traditionnels, tout en me promenant dans le village, en compagnie de mon petit ami. Juste à cette idée, j'en rougis. Je sais que c'est très stupide et très enfantin de ma part, mais je me sens particulièrement heureuse à l'idée de le faire avec Tamaki. Ça restera très certainement un souvenir gravé dans ma mémoire, et marqué à tout jamais. A l'intérieur de la voiture, je lui donne rapidement l'itinéraire pour pouvoir s'y rendre, encore toute excitée à l'idée de vraiment y aller. Manquerait plus qu'il me fasse une blague, mais je doute que cela soit le cas puisqu'il a cet air très sérieux. « Et bien, disons que ce n'est pas un endroit où les personnes ont le désir de s'y rendre. C'est quand même un lieu très particulier ». Je dis cela dans le sens où généralement les hommes éprouvent quelques réticences à y participer, trouvant cela très certainement ridicule. « C'est autant les costumes que le contexte. Je doute qu'un homme ait le désir de paraître si . . . . comment dire ça. . . . ridicule peut-être ? ». Je grimace, doutant moi même de mon idée. « Mais je suis certaine qu'on va bien s'amuser », du moins, je l'espère. Nous arrivons donc au lieu du village, où quelques personnes sont déjà habillées en vêtements traditionnels, moi étant toute admirative. Il est vrai que je ne suis en Corée que depuis 12 ans mais j'ai le sentiment de réellement appartenir à une culture que je ne connais que trop peu, à mon sens. Sortant rapidement de la voiture, j'entraîne Tamaki vers la petite maisonnette aux décorations très traditionnelles pour nous habiller de suite. « Merci Tamaki, d'avoir accepté de m'accompagner. Ça fait bien longtemps que j'avais le désir de m'y rendre et t'as été le seul à répondre à mes attentes ». Je lui fais un bisou sur la paume de main et paye pour porter les costumes, parce que je pense que je dois le faire, puisque c'est moi qui l'ais entraîné dans cette aventure. Je lui donne quelques idées de costumes, « et si on allait essayer les quelques costumes pour voir qui nous va le plus ? Ça va être marrant ». J'ai l'impression d'être comme une enfant, toute excitée. Je le laisse donc commencer les premiers essayages, me mettant alors à rire lorsqu'il ressort avec le premier vêtement traditionnel. « Ahahah ! Oppa je suis certaine que tu étais dans ta vie précédente un coréen avec le titre de bon eunuque ». Je lui montre mon pouce pour approuver ce vêtement qui lui va à merveille. Il en essaye d'autres que je prends, forcément, en photo pour me souvenir de ces quelques moments, et vient ensuite mon tour. Et forcément j'y prends un grand plaisir à jouer celle qui vient de l'ancien temps, amusée par toute cette mascarade, mais trouvant les habilles parfaitement adaptés. « Qu'en penses-tu ? » dis-je en essayant de prendre une position adaptée, faisant celle qui vient du temps d'avant.
Code by kerushirei
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2