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just the two of us ♥
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Re: just the two of us ♥ | Dim 14 Mai - 2:18 Citer EditerSupprimer
just the two of us
tamaki & olympe
Fallait bien qu'il marque le coup, Tamaki. Qu'il prouve à sa petite-amie qu'il n'avait rien de particulier, ou de ressemblant à l'un de ses exs. Qu'il était, en fait, partant pour beaucoup de choses avec elle. Partant pour faire toutes ces folies que les garçons, de base, n'auraient jamais fait. L'idée du temple, ok, elle était un peu folle mais il fallait surtout retenir qu'elle venait de lui et ça, c'était un miracle. Lui qui débutait seulement dans les relations de couple, avait semble-t-il eu une brillante idée qui avait plu à sa petite amie. Pour la suite du programme, il laissa alors la jeune femme décider, et c'est bien vite que le choix se porta sur un village où il y avait possibilité de se promener en costumes d'époque. Alors oui, c'est vrai, Tamaki aurait pu refuser pour la simple et bonne raison qu'il n'avait jamais porté ce genre de tenues, mais il n'était pas du genre renfermé. Au contraire, il aimait les nouvelles expériences et celle-ci en était une belle, il en était presque certain.
Tout en conduisant, il se concentra sur la voix de sa petite amie qui lui expliqua qu'elle avait appréhendé sa réponse pour le simple fait que ce n'était pas tout le monde qui aurait accepté de se ridiculiser. Il haussa les sourcils. Hé bien faut croire que t'as trouvé un des rares hommes qui n'a pas peur de paraître ridicule. c'est vrai qu'il était étonné d'entendre ça. Quel mal y avait-il à porter les tenues d'époque? Pourtant, Tamaki était à moitié japonais, et avait donc tout autant de traditions japonaises que coréennes dans sa famille. Pourtant, il le faisait quand même. Parce qu'il voulait profiter d'un bon moment avec Olympe, et parce que ça lui faisait plaisir et croyez moi, quand on est amoureux, il n'y a rien de plus important que de rendre heureuse la personne avec qui vous partagez votre quotidien. Evidemment, qu'ils allaient bien s'amuser.
La voiture garée, le jeune couple se dirigea vers une petite maison du village, main dans la main. Alors qu'ils approchaient de l'entrée, Olympe commença à remercier le vétérinaire d'avoir accepté, déposant un bisou sur la paume du jeune homme. Il esquissa un sourire, étonné, venant alors caresser de son pouce les phalanges de sa main. Ca me rend unique, non? il posa les yeux sur elle, un poil joueur, avant de la suivre jusque dans cette maisonnette tout à fait charmante, il fallait le dire. Le vétérinaire avait un coup de coeur pour la décoration. Olympe paya pour porter les costumes, le premier réflexe qu'eut alors le jeune homme fut d'abord de lui demander: c'est pas trop cher j'espère? non parce qu'elle avait été plus rapide que lui pour sortir l'argent, il ne voulait pas qu'Olympe se saigne pour ça. C'était hors de question pour lui.
Vint alors le moment de l'essayage. Tamaki passa en premier après que sa petite amie lui ait suggéré. Il leva les yeux au ciel, avant de sourire à la demoiselle, un peu crispé il faut dire. Il partit donc dans une pièce, derrière, pour enfiler le premier costume qu'il avait trouvé. En ressortant de là, il fut étonné par le commentaire d'Olympe. Un eunuque? La simple idée lui arracha une vilaine grimace. Oh non, pas un eunuque. et, se regardant dans le miroir, un moue apparut sur son visage. Mouais... m'enfin en tout cas, il était marrant habillé ainsi, et ça le fit rire doucement. Je vais garder celui-là! Oui, il était bien décidé! Il se tourna vers la jolie brunette et lui fit un sourire se voulant espiègle. A ton tour maintenant! et Olympe partit donc essayer plusieurs tenues, jusqu'à enfin sortir avec une qui lui allait comme un gant.
Les yeux brillants et sûrement un peu trop amoureux, Tamaki finit par sourire bêtement, en admiration devant la sango. Si bien qu'il n'avait même pas entendu la question qu'elle lui avait posé. Il se redressa donc aussitôt, reprenant ses esprits. Tu es très belle. le sourire à ses lèvres en disait long: il ne la regardait pas de n'importe quelle façon. Il la trouvait sublime. Il l'admirait. Dommage qu'un eunuque ne pouvait avoir de femme, sinon, il l'aurait fièrement surnommé son épouse. Tu es faite pour porter ça on dirait. C'était à double tranchant, peut-être un compliment, peut-être un reproche, mais il en souriait lui, parce qu'il jouait au malin et qu'il adorait la taquiner. Si bien qu'il passa un bras autour du cou de la jeune femme pour la ramener près de lui. Une fois que tout était réglé, le jeune couple put quitter la maisonnette pour aller se balader dans le village. Si au début, il n'y avait aucun contact physique entre eux, Tamaki décida d'y remédier en attrapant la main d'Olympe, et d'entremêler ses doigts avec les siens. l'attention du vétérinaire était attirée de tous les côtés, il fallait dire que les ruelles étaient si jolies, sans parler des arbres fleuris qui apportaient une réelle touche de splendeur au décor. C'est joli. déclara-t-il, un sourire aux lèvres. C'était une bonne idée de venir. avoua le brun, un petit sourire discret aux lèvres alors qu'il regardait toujours à droite à gauche. D'autres couples avaient eu la même idée qu'eux, à croire qu'Olympe n'était pas la seule femme à avoir ce genre d'idées. Puis, ils passèrent devant un marchand de friandises et viennoiseries. Tamaki ralentit alors le pas, avant de se tourner vers Olympe. Tu veux manger quelque chose? Parce que lui en tout cas, son ventre grondait.
Tout en conduisant, il se concentra sur la voix de sa petite amie qui lui expliqua qu'elle avait appréhendé sa réponse pour le simple fait que ce n'était pas tout le monde qui aurait accepté de se ridiculiser. Il haussa les sourcils. Hé bien faut croire que t'as trouvé un des rares hommes qui n'a pas peur de paraître ridicule. c'est vrai qu'il était étonné d'entendre ça. Quel mal y avait-il à porter les tenues d'époque? Pourtant, Tamaki était à moitié japonais, et avait donc tout autant de traditions japonaises que coréennes dans sa famille. Pourtant, il le faisait quand même. Parce qu'il voulait profiter d'un bon moment avec Olympe, et parce que ça lui faisait plaisir et croyez moi, quand on est amoureux, il n'y a rien de plus important que de rendre heureuse la personne avec qui vous partagez votre quotidien. Evidemment, qu'ils allaient bien s'amuser.
La voiture garée, le jeune couple se dirigea vers une petite maison du village, main dans la main. Alors qu'ils approchaient de l'entrée, Olympe commença à remercier le vétérinaire d'avoir accepté, déposant un bisou sur la paume du jeune homme. Il esquissa un sourire, étonné, venant alors caresser de son pouce les phalanges de sa main. Ca me rend unique, non? il posa les yeux sur elle, un poil joueur, avant de la suivre jusque dans cette maisonnette tout à fait charmante, il fallait le dire. Le vétérinaire avait un coup de coeur pour la décoration. Olympe paya pour porter les costumes, le premier réflexe qu'eut alors le jeune homme fut d'abord de lui demander: c'est pas trop cher j'espère? non parce qu'elle avait été plus rapide que lui pour sortir l'argent, il ne voulait pas qu'Olympe se saigne pour ça. C'était hors de question pour lui.
Vint alors le moment de l'essayage. Tamaki passa en premier après que sa petite amie lui ait suggéré. Il leva les yeux au ciel, avant de sourire à la demoiselle, un peu crispé il faut dire. Il partit donc dans une pièce, derrière, pour enfiler le premier costume qu'il avait trouvé. En ressortant de là, il fut étonné par le commentaire d'Olympe. Un eunuque? La simple idée lui arracha une vilaine grimace. Oh non, pas un eunuque. et, se regardant dans le miroir, un moue apparut sur son visage. Mouais... m'enfin en tout cas, il était marrant habillé ainsi, et ça le fit rire doucement. Je vais garder celui-là! Oui, il était bien décidé! Il se tourna vers la jolie brunette et lui fit un sourire se voulant espiègle. A ton tour maintenant! et Olympe partit donc essayer plusieurs tenues, jusqu'à enfin sortir avec une qui lui allait comme un gant.
Les yeux brillants et sûrement un peu trop amoureux, Tamaki finit par sourire bêtement, en admiration devant la sango. Si bien qu'il n'avait même pas entendu la question qu'elle lui avait posé. Il se redressa donc aussitôt, reprenant ses esprits. Tu es très belle. le sourire à ses lèvres en disait long: il ne la regardait pas de n'importe quelle façon. Il la trouvait sublime. Il l'admirait. Dommage qu'un eunuque ne pouvait avoir de femme, sinon, il l'aurait fièrement surnommé son épouse. Tu es faite pour porter ça on dirait. C'était à double tranchant, peut-être un compliment, peut-être un reproche, mais il en souriait lui, parce qu'il jouait au malin et qu'il adorait la taquiner. Si bien qu'il passa un bras autour du cou de la jeune femme pour la ramener près de lui. Une fois que tout était réglé, le jeune couple put quitter la maisonnette pour aller se balader dans le village. Si au début, il n'y avait aucun contact physique entre eux, Tamaki décida d'y remédier en attrapant la main d'Olympe, et d'entremêler ses doigts avec les siens. l'attention du vétérinaire était attirée de tous les côtés, il fallait dire que les ruelles étaient si jolies, sans parler des arbres fleuris qui apportaient une réelle touche de splendeur au décor. C'est joli. déclara-t-il, un sourire aux lèvres. C'était une bonne idée de venir. avoua le brun, un petit sourire discret aux lèvres alors qu'il regardait toujours à droite à gauche. D'autres couples avaient eu la même idée qu'eux, à croire qu'Olympe n'était pas la seule femme à avoir ce genre d'idées. Puis, ils passèrent devant un marchand de friandises et viennoiseries. Tamaki ralentit alors le pas, avant de se tourner vers Olympe. Tu veux manger quelque chose? Parce que lui en tout cas, son ventre grondait.
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Re: just the two of us ♥ | Jeu 18 Mai - 22:47 Citer EditerSupprimer
just the two of us
tamaki & olympe
Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire en entendant les paroles de mon petit ami, amusée par toutes les références que cela peut avoir pour moi. « Et bien . . .je crois que je suis heureuse d'être avec un tel homme. De toute manière, si tu avais eu peur du ridicule tu n'aurais pas été à mes côtés » dis-je avec un petit clin d’œil, parce que je suis le ridicule incarné. Il faut sincèrement pouvoir me supporter, surtout lorsque je pars dans mes quelques amusements peu compréhensibles pour autrui. J'avoue avoir eu la crainte, au début, qu'il craigne ma présence ou même qu'il en ait honte, ce qui aurait été normal, mais au final, Tamaki m'accepte telle que je suis, dans ma folie, et ça me rassure. Je me permets d'être moi, tout en maintenant quand même une certaine passivité. Même si je sais pertinemment qu'il sait jusqu'où peut aller ma folie, il a sûrement entendu parler de mes quelques bêtises, soit par sa cousine, soit par une autre personne. Dans tous les cas, Tamaki accepte de porter ces quelques vêtements anciens, pour mon plus grand plaisir. Je lui souris tendrement alors qu'il me demande si ça le rend unique. « A mes yeux tu as toujours été unique et tu le seras sûrement toujours », j'appose un rapide baiser sur sa joue, sourire aux lèvres. Oui, pour moi Tamaki est unique et sous tous les points de vue, de tous les côtés. J'en ai rencontré des hommes pourtant mais lui, il a quelque chose de particulier, quelque chose qui attire mon regard, ne pouvant s'en détacher, quelque chose qui fait que j'ai le sentiment de trouver la personne idéale, mon âme sœur comme certains aiment le dire. J'exagère peut-être et seul le temps pourra me répondre mais j'ai cette vague impression chaque fois que je le retrouve et même lorsque je pense à lui. « Ne t'en fais pas, ce n'est pas très cher et puis de toute manière je ne peux pas te laisser payer tout. Je refuse, même si c'est dans les normes coréennes et asiatiques, je ne veux pas que tu sois le seul à tout dépenser » et j'insiste sur ce point-là. Il faut dire que j'ai une culture aussi extérieure à l'Asie et malgré mon imprégnation forte de la culture coréenne, je ne peux m'empêcher de piocher chez les autres et donc d'avoir une conception parfois différente. De toute manière il est trop tard, j'ai déjà payé.
Tamaki est donc le premier à passer à la casserole et je ne peux m'empêcher de le comparer à un eunuque. « Mais tu sais que les eunuques étaient très coursés par les femmes. Elles avaient toutes le désir de goûter au fruit défendu. Et puis sache quand même que quoique tu portes tu seras toujours le plus beau ». Je rougis légèrement et chasse mes dernières paroles en me hâtant vers la cabine d'essayage pour choisir à mon tour ma tenue. Bien sûr je ne peux m'empêcher de faire une entrée quelque peu remarquable qui attire forcément quelques regards amusés, mais le regard le plus important et qui compte le plus c'est celui de Tamaki qui n'hésite pas à me dire que je suis belle dans cette tenue. Je perds un peu de ma spontanéité, gênée par les propos du jeune homme. Je sais que je dois m'habituer à ce qu'il me qualifie de belle femme, mais tout de même, ça me perturbe encore. « Merci ». Je m'éclaircis la voix, souriant de manière chaleureuse. Je ne fais pas plusieurs essayages, parce que Tamaki m'attire vers lui pour nous en aller dans les petites ruelles, se promenant ainsi vêtus. Je sens sa main qui vient se loger dans la mienne, me sentant plus rassurée de le savoir à mes côtés, et de sentir sa chaleur du bout de mes doigts. « Je suis contente de savoir que l'idée te plaît finalement. Et c'est assez atypique comme décor mais j'aime bien. J'ai le sentiment de me plonger dans le passé ». Je me demande si j'ai eu une vie précédente et si même dans celle-ci j'ai retrouvé Tamaki, du moins si j'ai été sienne et qu'il a été mien. Malheureusement je ne pourrai jamais le savoir. Je fais un petit rire malicieux lorsque Tamaki propose de se poser quelque part pour manger. « Mon Tama', tu sais très bien que Olympe elle ne refuse jamais une pause nourriture ! Parce que la nourriture c'est tout un culte chez moi », mais surtout parce que je suis une véritable morfale. Je suis tellement enjouée que je me rapproche davantage de lui, prenant son bras entre mes deux mains, « allons-y ! Tu veux manger quoi ? Il y a plein de restaurants avec des coutumes assez particulières, du moins on se retrouve immergés dans le passé. Tu verras ça va être sympathique et cool ». En vérité ça n'a pas tellement changé par rapport à avant, c'est surtout la présentation des plats qui est parfois différente. « Tu as du choix donc je te laisse choisir, moi je mange tout ! TOUT !! ». Il en faut peu pour être heureuse je sais.
Tamaki est donc le premier à passer à la casserole et je ne peux m'empêcher de le comparer à un eunuque. « Mais tu sais que les eunuques étaient très coursés par les femmes. Elles avaient toutes le désir de goûter au fruit défendu. Et puis sache quand même que quoique tu portes tu seras toujours le plus beau ». Je rougis légèrement et chasse mes dernières paroles en me hâtant vers la cabine d'essayage pour choisir à mon tour ma tenue. Bien sûr je ne peux m'empêcher de faire une entrée quelque peu remarquable qui attire forcément quelques regards amusés, mais le regard le plus important et qui compte le plus c'est celui de Tamaki qui n'hésite pas à me dire que je suis belle dans cette tenue. Je perds un peu de ma spontanéité, gênée par les propos du jeune homme. Je sais que je dois m'habituer à ce qu'il me qualifie de belle femme, mais tout de même, ça me perturbe encore. « Merci ». Je m'éclaircis la voix, souriant de manière chaleureuse. Je ne fais pas plusieurs essayages, parce que Tamaki m'attire vers lui pour nous en aller dans les petites ruelles, se promenant ainsi vêtus. Je sens sa main qui vient se loger dans la mienne, me sentant plus rassurée de le savoir à mes côtés, et de sentir sa chaleur du bout de mes doigts. « Je suis contente de savoir que l'idée te plaît finalement. Et c'est assez atypique comme décor mais j'aime bien. J'ai le sentiment de me plonger dans le passé ». Je me demande si j'ai eu une vie précédente et si même dans celle-ci j'ai retrouvé Tamaki, du moins si j'ai été sienne et qu'il a été mien. Malheureusement je ne pourrai jamais le savoir. Je fais un petit rire malicieux lorsque Tamaki propose de se poser quelque part pour manger. « Mon Tama', tu sais très bien que Olympe elle ne refuse jamais une pause nourriture ! Parce que la nourriture c'est tout un culte chez moi », mais surtout parce que je suis une véritable morfale. Je suis tellement enjouée que je me rapproche davantage de lui, prenant son bras entre mes deux mains, « allons-y ! Tu veux manger quoi ? Il y a plein de restaurants avec des coutumes assez particulières, du moins on se retrouve immergés dans le passé. Tu verras ça va être sympathique et cool ». En vérité ça n'a pas tellement changé par rapport à avant, c'est surtout la présentation des plats qui est parfois différente. « Tu as du choix donc je te laisse choisir, moi je mange tout ! TOUT !! ». Il en faut peu pour être heureuse je sais.
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Re: just the two of us ♥ | Jeu 25 Mai - 22:18 Citer EditerSupprimer
just the two of us
tamaki & olympe
Elle se croyait ridicule le 3/4 du temps, ça, ça le tuait à Tamaki. Il ne l'avait jamais trouvé ridicule, il la trouvait... fantasque, à part, mais jamais ridicule. Et de toute façon, si elle l'avait été, il ne l'aurait pas quitté pour ça, au contraire, il aurait trouvé ça si mignon, une raison de plus pour l'aimer d'avantage. Parce que oui, n'importe quel défaut qu'elle pouvait avoir lui paraissait être, finalement, un bonus. On dit que c'est à ça que l'on reconnaît la bonne personne. Quand, malgré ses défauts, on la trouve d'autant plus parfaite. Et c'est exactement ce que ressentait Tamaki quand il regardait la Sango. Il avait ce sourire aux lèvres, ce sourire qui ne le quittait pas. Ce sourire amoureux, témoin de son bonheur. Et puis, comment ne pas être heureux et amoureux, à ses côtés? Olympe, elle voyait toujours le bon côté des choses, elle positivait quoiqu'il arrivait et c'était sûrement pour ça au final, qu'il était tombé amoureux d'elle. Parce qu'il avait su voir derrière sa bonne humeur à quel point elle luttait contre la tristesse qu'il lui faisait subir en cherchant vainement une copine. Alors que celle qu'il lui fallait était juste là, sous ses yeux.
Maintenant, il n'était plus question d'en laisser un autre en profiter. Il ne la voulait que pour lui, il voulait ses sourires, ses rires, ses attentions, et ses petits compliments pour lui tout seul, il savait déjà qu'il serait le genre de petit-ami possessif avec elle, lui qui avait été habitué à être seul, il allait apprendre à vivre pour deux, et non pas seulement pour lui. A penser pour deux, aussi. Lui laisser le choix de leurs sorties, ne pas imposer seulement ses idées et il commençait plutôt bien, il l'avait suivi jusqu'à ce village. Et vous savez quoi? Ça lui plaisait. Lui qui s'était fait une idée un peu trop précipitée sur le port des tenues de l'époque et le village traditionnel, il s'amusait plus qu'il ne l'aurait cru. Il n'avait d'ailleurs pas perdu de temps avant de prendre la main de sa douce et de commencer alors un petit parcours dans le village, passant près d'endroits tous aussi inspirants les uns que les autres. C'est joli. remarqua Tamaki, la tête tournée à droite, à gauche, sous le charme des lieux. Je devrais venir dessiner ici. rajouta-t-il, avant de tourner la tête vers la jeune femme, un sourire béat aux lèvres.
Après quelques minutes de ballade, Tamaki sentit son ventre gargouiller. Et après tout, il n'était pas étonnant que cela arrive, il était presque l'heure de goûter, et il n'avait pas eu le temps de manger à l'heure du repas de midi, parce qu'il voulait avancer vite dans son travail pour pouvoir retrouver Olympe plus vite. Il sautait rarement les repas mais là, c'était une urgence: il avait une surprise à lui faire en allant la chercher à l'atelier. Maintenant que la surprise était réussie, il allait pouvoir se remplir l'estomac, et quand il avait proposé l'idée, Olympe avait laissé son naturel revenir au galop pour témoigner de son affection toute particulière pour la nourriture, ce qui fit grimacer le vétérinaire. « Tristesse... Je vais finir par croire que tu aimes plus la nourriture que moi. » une moue adorable aux lèvres, il essayait de récolter un bisou sur la joue, ou sur la bouche. D'ailleurs, il tendit discrètement le cou pour se rapprocher d'elle, espérant qu'elle vienne y poser un bisou.
D'après les conseils de la demoiselle, il allait forcément trouver son bonheur dans un des restaurants traditionnels du village pour se remplir l'estomac. Alors, sans lâcher sa main, ils avancèrent encore de quelques centaines de mètres, alors que sa main libre vint se poser sur son ventre. « Je mangerais bien des Gyeongdan, si on en trouve, bien sûr. » De toute façon, il n'était pas compliqué, et s'il ne trouvait pas ce qu'il cherchait, il se retrouverait facilement comblé par toute autre nourriture proposé. Ils passèrent sur un petit pont, puis arrivèrent alors non loin d'un salon de thé traditionnel où il y avait bon nombre de personnes qui étaient venus, comme eux, promener en tenue traditionnelle. Tamaki regarda d'abord sa petite amie. « Ici? Ya du monde, c'est que ça doit être bon. » puis il se souvint qu'elle n'était pas compliqué non plus. Or, son instinct lui disait qu'il avait fait le bon choix.
Ils entrèrent dans le salon de thé, déjà bien occupé, avant d'être installés par une demoiselle en tenue aussi, à une table. Tamaki s'installa alors en tailleur, sur un petit tapis, face à la table, un sourire amusé aux lèvres alors que la serveuse leur expliqua ce qu'ils pouvaient manger. Au final, il y avait tant de choix que Tamaki ne savait plus où donner de la tête, mais son choix se porta vers un de ses pêchés mignons: les gâteaux aux marrons. Et il leva les yeux vers sa belle, attendant qu'elle fasse son choix.
Maintenant, il n'était plus question d'en laisser un autre en profiter. Il ne la voulait que pour lui, il voulait ses sourires, ses rires, ses attentions, et ses petits compliments pour lui tout seul, il savait déjà qu'il serait le genre de petit-ami possessif avec elle, lui qui avait été habitué à être seul, il allait apprendre à vivre pour deux, et non pas seulement pour lui. A penser pour deux, aussi. Lui laisser le choix de leurs sorties, ne pas imposer seulement ses idées et il commençait plutôt bien, il l'avait suivi jusqu'à ce village. Et vous savez quoi? Ça lui plaisait. Lui qui s'était fait une idée un peu trop précipitée sur le port des tenues de l'époque et le village traditionnel, il s'amusait plus qu'il ne l'aurait cru. Il n'avait d'ailleurs pas perdu de temps avant de prendre la main de sa douce et de commencer alors un petit parcours dans le village, passant près d'endroits tous aussi inspirants les uns que les autres. C'est joli. remarqua Tamaki, la tête tournée à droite, à gauche, sous le charme des lieux. Je devrais venir dessiner ici. rajouta-t-il, avant de tourner la tête vers la jeune femme, un sourire béat aux lèvres.
Après quelques minutes de ballade, Tamaki sentit son ventre gargouiller. Et après tout, il n'était pas étonnant que cela arrive, il était presque l'heure de goûter, et il n'avait pas eu le temps de manger à l'heure du repas de midi, parce qu'il voulait avancer vite dans son travail pour pouvoir retrouver Olympe plus vite. Il sautait rarement les repas mais là, c'était une urgence: il avait une surprise à lui faire en allant la chercher à l'atelier. Maintenant que la surprise était réussie, il allait pouvoir se remplir l'estomac, et quand il avait proposé l'idée, Olympe avait laissé son naturel revenir au galop pour témoigner de son affection toute particulière pour la nourriture, ce qui fit grimacer le vétérinaire. « Tristesse... Je vais finir par croire que tu aimes plus la nourriture que moi. » une moue adorable aux lèvres, il essayait de récolter un bisou sur la joue, ou sur la bouche. D'ailleurs, il tendit discrètement le cou pour se rapprocher d'elle, espérant qu'elle vienne y poser un bisou.
D'après les conseils de la demoiselle, il allait forcément trouver son bonheur dans un des restaurants traditionnels du village pour se remplir l'estomac. Alors, sans lâcher sa main, ils avancèrent encore de quelques centaines de mètres, alors que sa main libre vint se poser sur son ventre. « Je mangerais bien des Gyeongdan, si on en trouve, bien sûr. » De toute façon, il n'était pas compliqué, et s'il ne trouvait pas ce qu'il cherchait, il se retrouverait facilement comblé par toute autre nourriture proposé. Ils passèrent sur un petit pont, puis arrivèrent alors non loin d'un salon de thé traditionnel où il y avait bon nombre de personnes qui étaient venus, comme eux, promener en tenue traditionnelle. Tamaki regarda d'abord sa petite amie. « Ici? Ya du monde, c'est que ça doit être bon. » puis il se souvint qu'elle n'était pas compliqué non plus. Or, son instinct lui disait qu'il avait fait le bon choix.
Ils entrèrent dans le salon de thé, déjà bien occupé, avant d'être installés par une demoiselle en tenue aussi, à une table. Tamaki s'installa alors en tailleur, sur un petit tapis, face à la table, un sourire amusé aux lèvres alors que la serveuse leur expliqua ce qu'ils pouvaient manger. Au final, il y avait tant de choix que Tamaki ne savait plus où donner de la tête, mais son choix se porta vers un de ses pêchés mignons: les gâteaux aux marrons. Et il leva les yeux vers sa belle, attendant qu'elle fasse son choix.
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Re: just the two of us ♥ | Dim 9 Juil - 17:31 Citer EditerSupprimer
just the two of us
tamaki & olympe
C'est comme un conte de fée dans lequel je ne veux pas me réveiller. Pourtant ce n'est qu'une simple balade, du moins à première vue, entre un amoureux et une amoureuse. Mais pour moi, cela représente bien plus, c'est comme la concrétisation de notre relation. Je sais que ce n'est rien de grandiose, de fantastique, que ce n'est pas une demande de fiançailles, et encore moins de mariage, ce n'est même pas notre premier jour de relation, mais malgré tout, cette journée est essentielle à mes yeux. Je ne saurai l'expliquer mais j'ai le sentiment que cela ne va qu'endurcir mon amour pour lui. Je ne dis pas que je doute, bien au contraire, je n'ai jamais été aussi sûre de moi, mais dans un couple il y a plusieurs étapes c'est tout. Je regarde Tamaki, du coin de l’œil, tandis qu'il s'émerveille devant le paysage qui nous fait face. « Oui c'est très beau », mes yeux brillent d'une certaine lueur, non pas parce que je suis éblouie par la décoration mais par celui qui se trouve face à moi. Je secoue rapidement ma tête pour reprendre contact avec la réalité. « Oh . . je pourrai venir un jour pour te voir dessiner ? J'aimerai te voir à l’œuvre », certes je l'avais vu brièvement le jour de notre première rencontre mais je n'étais pas réellement captivée par ses gestes ce jour-là, même si j'avais été rapidement intriguée par cet homme. Au fond, j'ai envie de rentrer dans son univers, de le voir à l’œuvre, même en tant que futur vétérinaire. J'ai envie de voir comment il interagit avec les animaux, me sentir réellement présente dans sa vie, et savoir tout de lui. Ok, il peut quand même avoir un jardin secret, c'est normal, mais je veux en savoir au maximum. Lui, il en sait certainement plus que moi, comme par exemple mon amour incontestable pour la nourriture. Je rigole légèrement quand il prend une mine attristée, semblant signifier que j'aime plus la nourriture que lui. « Désolée oppa », je grimace, faisant mine d'être triste à mon tour, « la nourriture m'a toujours accompagné et m'accompagnera toujours. Je suis sûre qu'elle est plus fidèle que toi. Alors je suis dans le regret de t'annoncer que oui j'aime plus la nourriture que toi ». Je dépose un rapide bisou sur sa joue, me rapprochant malicieusement de lui. Peut-être que la nourriture c'est tout un mythe chez moi mais ce n'est pas la même relation. Je lui prends alors la main, un grand sourire aux lèvres pour le rassurer sur mes préférences, et m'en vais en sa compagnie jusqu'au restaurant.
Je souris doucement en entendant le bruit du ventre de mon petit-ami, me mettant alors à parler à son ventre, « oh mais c'est qu'il est affamé le petit ! Il faut rapidement le nourrir, mais ne t'en fais pas mon petit, nous arrivons bientôt ». Oui je sais, j'ai l'air totalement ridicule à parler à son ventre mais au point où j'en suis, ça ne va pas changer sa vision des choses sur ma personnalité. Du moins je n'espère pas. Je tape dans mes mains, l'air d'avoir une illumination soudaine, « oh mais oui quelle bonne idée ! Tu en sais bien plus que je ne l'aurai imaginé » dis-je avec un grand sourire, tandis que Tamaki repère en même temps un lieu où s'installer. C'est un endroit particulièrement agréable, avec des serveuses habillées en tenue traditionnelle. Je sens que je vais revenir ici. Vient le moment de la sélection et autant dire que je ne sais pas quoi choisir. Je ne veux pas faire ma gourmande et en même temps je ne veux pas trop me restreindre, au risque d'avoir fait quelques minutes après. La serveuse s'approche de nous, me voyant totalement indécise. « Si vous voulez nous avons une offre pour les couples. 3 pâtisseries en double », et bien sûr, il y a les gâteaux aux marrons dans les trois choix, pour que Tamaki puisse valider. « Oh c'est génial ! Je réalise qu'être en couple il y a de nombreux avantages, on prend ça ? ». Je fais des petits yeux, espérant qu'il accepte. « Il faudra que tu me dises quels sont tes plats préférés, je veux faire la cuisine pour toi la prochaine fois ». Il est vrai que je ne suis pas si douée que ça en cuisine, surtout pour les gâteaux, mais je m'améliore, de plus en plus, et puis j'ai vraiment envie de faire ça pour lui. Elle inspire profondément et commence alors à parler rapidement, « j'ai vraiment envie qu'on partage des moments tous les deux, qu'on se découvre réellement. C'est vrai, je ne sais pas tant de choses que ça sur toi et j'aimerai vraiment faire partie de ton monde, savoir ce que tu détestes le plus, ce que tu aimes le plus, ce que tu aimes faire, ce que tu aimerais faire, et puis peut-être rencontrer un jour ta sœur ». Je me racle la gorge. A vrai dire, je sais qui elle est, mais j'aimerai être officiellement présentée à elle, c'est assez symbolique. A peine ai-je fini de parler que nos pâtisseries arrivent déjà avec des boissons chaudes.
Je souris doucement en entendant le bruit du ventre de mon petit-ami, me mettant alors à parler à son ventre, « oh mais c'est qu'il est affamé le petit ! Il faut rapidement le nourrir, mais ne t'en fais pas mon petit, nous arrivons bientôt ». Oui je sais, j'ai l'air totalement ridicule à parler à son ventre mais au point où j'en suis, ça ne va pas changer sa vision des choses sur ma personnalité. Du moins je n'espère pas. Je tape dans mes mains, l'air d'avoir une illumination soudaine, « oh mais oui quelle bonne idée ! Tu en sais bien plus que je ne l'aurai imaginé » dis-je avec un grand sourire, tandis que Tamaki repère en même temps un lieu où s'installer. C'est un endroit particulièrement agréable, avec des serveuses habillées en tenue traditionnelle. Je sens que je vais revenir ici. Vient le moment de la sélection et autant dire que je ne sais pas quoi choisir. Je ne veux pas faire ma gourmande et en même temps je ne veux pas trop me restreindre, au risque d'avoir fait quelques minutes après. La serveuse s'approche de nous, me voyant totalement indécise. « Si vous voulez nous avons une offre pour les couples. 3 pâtisseries en double », et bien sûr, il y a les gâteaux aux marrons dans les trois choix, pour que Tamaki puisse valider. « Oh c'est génial ! Je réalise qu'être en couple il y a de nombreux avantages, on prend ça ? ». Je fais des petits yeux, espérant qu'il accepte. « Il faudra que tu me dises quels sont tes plats préférés, je veux faire la cuisine pour toi la prochaine fois ». Il est vrai que je ne suis pas si douée que ça en cuisine, surtout pour les gâteaux, mais je m'améliore, de plus en plus, et puis j'ai vraiment envie de faire ça pour lui. Elle inspire profondément et commence alors à parler rapidement, « j'ai vraiment envie qu'on partage des moments tous les deux, qu'on se découvre réellement. C'est vrai, je ne sais pas tant de choses que ça sur toi et j'aimerai vraiment faire partie de ton monde, savoir ce que tu détestes le plus, ce que tu aimes le plus, ce que tu aimes faire, ce que tu aimerais faire, et puis peut-être rencontrer un jour ta sœur ». Je me racle la gorge. A vrai dire, je sais qui elle est, mais j'aimerai être officiellement présentée à elle, c'est assez symbolique. A peine ai-je fini de parler que nos pâtisseries arrivent déjà avec des boissons chaudes.
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