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PRESS PLAY. - ft. Jae & BomChan
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Re: PRESS PLAY. - ft. Jae & BomChan | Jeu 10 Aoû - 20:43 Citer EditerSupprimer
“You can't stop the future
You can't rewind the past
The only way to learn the secret
...is to press play.”
You can't rewind the past
The only way to learn the secret
...is to press play.”
⇜ code by bat'phanie ⇝
- HRP :
- buuuh c'est caca pas beau :(((((
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Re: PRESS PLAY. - ft. Jae & BomChan | Sam 30 Sep - 15:24 Citer EditerSupprimer
“You can't stop the future
You can't rewind the past
The only way to learn the secret
...is to press play.”
You can't rewind the past
The only way to learn the secret
...is to press play.”
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Re: PRESS PLAY. - ft. Jae & BomChan | Sam 28 Oct - 23:21 Citer EditerSupprimer
Personne n'est parfait. Ni toi, ni Bom Chan, ni même Syu, Tu essais de t'auto persuader que tout va bien dans le meilleur des mondes, mais encore aujourd'hui on te prouve le contraire. Rien ne va ni n'ira, ou du moins, c'est le sentiment qui t'anime. T'a l'impression que tout vole en éclat, encore une fois, que tu vas finir une nouvelle fois en cabane à cause de tes conneries et de celle des autres. T'es pas un mec bien, c'est justement pour ça que tu sais que t'es pas parfait, mais tu t'étais dit que ça pouvait changer. Mais bon. Lorsqu'on fait des efforts, la claque qu'on prend en est d'autant plus violente. Qu'est-ce qui te retient de lui défoncer la mâchoire à ce mec ? C'est pas que t'as pas de couilles. Bom Chan le sait, très probablement, et t'en est même certain pour être honnête. Tes couilles, tu les portes. T'hésiterais pas une seconde à lui massacrer sa gueule d'ange si Syu n'était pas là.
Tu ferais comme le type des vestiaires : limite, on pourrait plus voir qu'il est le frère jumeau du fiancé de Lin, avec la chirurgie qu'il devra subir si tu lâches prise.
Dans ta tête, t'es sûr d'une chose. Que le mec le plus mature des deux, c'est bel et bien toi. A part parler, faire des grands airs, Bom Chan n'est qu'un bon à rien. Il a probablement grandi dans le luxe, comme son petit bourgeois de jumeau et il se tape à peu près des tas de filles contre du fric. Putain. Tu pourrais lui en dire des trucs, parce que les reflexions, elles se bousculent dans ton esprit. T'es juste pas un bavard. Déjà peu d'habitude, encore moins ce soir. Ta pensée est toujours plus explicite. Il est là, avec ses grands airs, à rabaisser une femme, parce qu'il n'est pas foutu de mettre de côté ses convictions. Il t'a frappé le premier, sous prétexte que t'étais un bon gros fils de pute (cette reflexion est limite véridique quand on y pense) parce qu'il est amoureux de la meuf de son frère. C'est lui qu'est incapable de se contrôler, lui qui pense être le roi du monde.
Toi ? Tu voulais juste de l'honnêteté. Ni plus, ni moins. T'aurais peut-être été en colère après Syu, mais quand bien même, que pouvait-elle y faire si le mec qui l'avait collé en taule était en réalité son meilleur ami d'enfance ? Le destin, fichu hasard, prêt à écrire une tragédie grecque pour le prochain acte.
Soit heureuse. Tu craches par terre ce dédain qui t'arrache littéralement la gueule. L'hypocrisie pure pour toi. Comme s'il pouvait lui souhaiter d'être heureuse avec toi. Au contraire, t'es carrément convaincu qu'il souhaite à ta femme de vivre malheureuse et de regretter ce choix. Dans un sens, tu en veux à Syu. T'as envie de partir, là maintenant, pour te ressourcer, te vider l'esprit, mais dans un autre sens, tu peux pas la laisser, parce que tu ferais les mêmes erreur. Tu te permets un léger coup d'oeil vers elle, pour apaiser ta colère, mais la voir pleurer de plus belle te fait serrer les dents de plus belle.
Ce type n'y connait rien. Il n'a probablement jamais été amoureux. Il ne sait pas à quel point ces choses peuvent changer un homme.
Te conduire comme un homme ? Manquant de cracher à nouveau par terre, tu essuies ton nez en sang avec le revers de ta manche. T'es convaincu que les larmes sont dues au coup que t'as reçu. Mais c'est pas grave, avec le temps, t'as compris que les mots cognaient plus fort par moment que les poings. Ton neveu, je doute qu'il se souvienne de toi d'ici quelques années... Et puis neveu de quoi sérieusement, t'es qu'un pauvre type sorti de nulle part sans aucun lien de sang. lâches-tu en le voyant saisir le t-shirt de Shin Bom. Plutôt que de rebondir sur ses dires qui te font, ne mentons pas, grave chier, tu préfères jouer la carte de la provocation. J'espère que t'es fier de toi, Lee Bom Chan.
T'es sur ses talons à travers le couloir, presque automatiquement pour le rattraper. C'est pas Syu qui sera la plus malheureuse dans cette histoire, mais son fils. Tu t'arrêtes en attrapant le vêtement du gamin. T'as aucun droit sur le gosse, et t'en aura encore moins si tu franchis cette porte avec ta pauvre gueule de mec trop fier pour souhaiter le bonheur de la mère de ton "neveu". dire qu'ils sont frère et soeur t'arracherait la mâchoire sur le moment. Tu arques un sourcil, toujours aussi bouillonnant. Bon dieu, que Syu reste dans les parages car un accident c'est si vite arrivé. En tous cas, moi j'assumerais mon rôle de père officiellement quand j'en aurais l'occasion. C'était une idée que t'avais en tête, mais de toute façon tu t'es remis tout en tête, en bordel, tu sais même pas si t'envisagera encore cette possibilité dans quelques heures, quelques jours, mais là, tu dois vider ton sac et le faire chier jusqu'à la moelle avec le peu de moyens légaux qu'il te reste.
Tu ferais comme le type des vestiaires : limite, on pourrait plus voir qu'il est le frère jumeau du fiancé de Lin, avec la chirurgie qu'il devra subir si tu lâches prise.
Dans ta tête, t'es sûr d'une chose. Que le mec le plus mature des deux, c'est bel et bien toi. A part parler, faire des grands airs, Bom Chan n'est qu'un bon à rien. Il a probablement grandi dans le luxe, comme son petit bourgeois de jumeau et il se tape à peu près des tas de filles contre du fric. Putain. Tu pourrais lui en dire des trucs, parce que les reflexions, elles se bousculent dans ton esprit. T'es juste pas un bavard. Déjà peu d'habitude, encore moins ce soir. Ta pensée est toujours plus explicite. Il est là, avec ses grands airs, à rabaisser une femme, parce qu'il n'est pas foutu de mettre de côté ses convictions. Il t'a frappé le premier, sous prétexte que t'étais un bon gros fils de pute (cette reflexion est limite véridique quand on y pense) parce qu'il est amoureux de la meuf de son frère. C'est lui qu'est incapable de se contrôler, lui qui pense être le roi du monde.
Toi ? Tu voulais juste de l'honnêteté. Ni plus, ni moins. T'aurais peut-être été en colère après Syu, mais quand bien même, que pouvait-elle y faire si le mec qui l'avait collé en taule était en réalité son meilleur ami d'enfance ? Le destin, fichu hasard, prêt à écrire une tragédie grecque pour le prochain acte.
Soit heureuse. Tu craches par terre ce dédain qui t'arrache littéralement la gueule. L'hypocrisie pure pour toi. Comme s'il pouvait lui souhaiter d'être heureuse avec toi. Au contraire, t'es carrément convaincu qu'il souhaite à ta femme de vivre malheureuse et de regretter ce choix. Dans un sens, tu en veux à Syu. T'as envie de partir, là maintenant, pour te ressourcer, te vider l'esprit, mais dans un autre sens, tu peux pas la laisser, parce que tu ferais les mêmes erreur. Tu te permets un léger coup d'oeil vers elle, pour apaiser ta colère, mais la voir pleurer de plus belle te fait serrer les dents de plus belle.
Ce type n'y connait rien. Il n'a probablement jamais été amoureux. Il ne sait pas à quel point ces choses peuvent changer un homme.
Te conduire comme un homme ? Manquant de cracher à nouveau par terre, tu essuies ton nez en sang avec le revers de ta manche. T'es convaincu que les larmes sont dues au coup que t'as reçu. Mais c'est pas grave, avec le temps, t'as compris que les mots cognaient plus fort par moment que les poings. Ton neveu, je doute qu'il se souvienne de toi d'ici quelques années... Et puis neveu de quoi sérieusement, t'es qu'un pauvre type sorti de nulle part sans aucun lien de sang. lâches-tu en le voyant saisir le t-shirt de Shin Bom. Plutôt que de rebondir sur ses dires qui te font, ne mentons pas, grave chier, tu préfères jouer la carte de la provocation. J'espère que t'es fier de toi, Lee Bom Chan.
T'es sur ses talons à travers le couloir, presque automatiquement pour le rattraper. C'est pas Syu qui sera la plus malheureuse dans cette histoire, mais son fils. Tu t'arrêtes en attrapant le vêtement du gamin. T'as aucun droit sur le gosse, et t'en aura encore moins si tu franchis cette porte avec ta pauvre gueule de mec trop fier pour souhaiter le bonheur de la mère de ton "neveu". dire qu'ils sont frère et soeur t'arracherait la mâchoire sur le moment. Tu arques un sourcil, toujours aussi bouillonnant. Bon dieu, que Syu reste dans les parages car un accident c'est si vite arrivé. En tous cas, moi j'assumerais mon rôle de père officiellement quand j'en aurais l'occasion. C'était une idée que t'avais en tête, mais de toute façon tu t'es remis tout en tête, en bordel, tu sais même pas si t'envisagera encore cette possibilité dans quelques heures, quelques jours, mais là, tu dois vider ton sac et le faire chier jusqu'à la moelle avec le peu de moyens légaux qu'il te reste.
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Re: PRESS PLAY. - ft. Jae & BomChan | Mer 15 Nov - 17:31 Citer EditerSupprimer
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You can't rewind the past
The only way to learn the secret
...is to press play.”
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