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Let's run ! (ft. Matsuoka Ayame)
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Re: Let's run ! (ft. Matsuoka Ayame) | Mar 27 Juin - 21:15 Citer EditerSupprimer Let's run !Lee Jae Sang & Matsuoka Ayame Tous des nuls ? Han, j'étais outré là. Eh oh, depuis quand les dramas ça t'apprenait mieux la vie que la vie elle-même ? N'importe quoi elle ! Il n'y avait que dans les dramas que les gars arrivaient à pécho avec leurs techniques de merde ! Elle avait cru que j'avais pas déjà essayé, éternel célibataire que j'étais ? … La triste réalité du monde venait de me frapper en pleine face. J'étais l'éternel célibataire... Même si j'avais déjà eu des relations, hein, il ne fallait pas dire n'importe quoi ! Je n'étais pas célibataire depuis ma naissance, non, j'avais déjà eu des copines ! Bon, rien de très sérieux, et alors ! J'avais quand même eu des petites-amies ! Il ne fallait pas me prendre de haut comme ça ! Même si ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de relations. Que je cherchais une fille depuis des millénaires. Au secours... Dieu, aidez-moi. Vous pouviez faire quelque chose pour la terrible situation dans laquelle j'étais, hein ? Je ne croyais pas en vous mais aidez-moi !
« Les dramas t'apprennent pas la vraie vie, il ne faut pas rêver eh oh ! Ça ferait depuis longtemps que je serais en couple et marié avec deux bébés sinon ! J'ai pas de leçons à recevoir de toi non plus, l'enfant qui croit dur comme fer aux dramas, pff pff ! »
Ma bonne humeur tomba cependant tout de suite après. Porte-monnaie, porte-monnaie, porte-monnaie... En y repensant, je savais très bien où est-ce que je l'avais oublié. Sur ma table de nuit. Mon cerveau le visualisait très bien à sa place. Eh bien quand j'étais parti de chez moi, pourquoi est-ce que mon cerveau m'avait pas fait une alarme du genre : « Eh Jaesang, regarde dans ta mémoire, t'as oublié ton porte-monnaie ! Or c'est toi qui paies aujourd'hui, reprends-le ! » ? Ah non, mon cerveau préférait me voir souffrir en me voyant paniquer et faire le hors-la-loi comme je savais si bien le faire hein ? Quel sadique, ce cerveau que j'avais dans le crâne. Je tremblai de tout mon corps quand Namjame mentionna mon entrejambe. Ouh, rien qu'en y pensant, ça me faisait mal... J'avais déjà été envoyé à l'hôpital à cause de mon entrejambe, je savais la douleur que ça faisait. Je n'avais pas trop envie de revivre cette expérience, par contre... Mais bon, si Namjame disait ça, ça voulait bien dire qu'elle était d'accord pour qu'on exécute mon plan !
« Compris ! »
Elle se dépêcha pour finir ce merveilleux dessert tandis que je la regardais faire. Eh en y pensant, j'aurais dû en prendre un aussi, de toute façon, je n'aurais pas eu à payer. Ah, quel idiot je faisais ! J'aurais dû ! Une vague de regrets prit possession de mon corps. Je souffrais. Au secours. Non mais sérieusement, pourquoi est-ce qu'on ne m'avait pas prévenu ? On préférait me voir souffrir regardant le moi qui admirais Namjame déguster sa glace plutôt que de m'offrir le même plaisir, c'était ça ? La vie était vraiment sadique. A la seconde où je la vis finir son dessert, j'appelais le serveur pour qu'il nous donne l'addition. Quand je me disais que quelques minutes plus tôt j'étais inquiet du nombre de chiffres que j'allais voir s'aligner les uns derrière les autres sur l'addition, au final, je ne verrais même pas combien nous avions dépensé pour ce repas ! C'était satisfaisant, en fait. Bon bien sûr le restaurant avait besoin des sous-sous pour vivre, alors je viendrais leur rendre l'argent. Un jour.
L'homme s'était retourné dans la salle. Je me levai puis m'inclinai pour m'excuser, mais à peine que je m'étais courbé que Namjame prit ma main pour m'entraîner avec elle dans sa course effrénée. Regardant derrière moi, je vis que personne ne me poursuivait. Hey, Namjame, il fallait que tu t'arrêtes ! On avait juste l'air de deux fous qui courraient parce que personne ne nous poursuivait ! Ah, elle s'était encore crue dans ses dramas où l'héroïne échappait à un grand danger, c'était ça ? Allez, j'allais la laisser faire. Quoi, il fallait bien que les enfants rêvent un peu. Elle avait de la chance que je sois sportif, sinon je n'aurais pas tenu ces quelques longues minutes de courses à être traîné je-ne-sais-où. Avait-elle oublié mon piteux sens de l'orientation ? Nous n'allions pas pouvoir retourner sur nos pas très facilement... Enfin, Namjame arrêta de courir, et je me jetai directement sur le sol comme s'il était mon meilleur ami. Mes jambes étaient en compote là, c'était sûr. En plus on avait couru pour rien, il n'y avait personne derrière nous ! Enfin bon, on s'était bien tiré de cette situation au moins. Le capitaine Jaesang avait bien fait son travail, ehe ! J'étais Big Boss aussi, m'voyez ! J'entendis soudainement cette abrutie qui me servait de meilleure amie éclater de rire. Je me mis alors à sourire aussi.
« Hé, tu savais que personne ne nous poursuivait hein ? Ça servait à rien de courir autant ! En plus je ne sais pas même pas où est-ce qu'on a atterri ! Bah bravo hein, Namjame ! »
Je l'applaudis des deux mains avant de finalement arrêter, trop crevé. Puis je me mis à rire aussi. Il n'y avait qu'avec moi que ce genre de situations arrivait. J'étais le type de gars à me retrouver dans les situations les plus loufoques possibles ! Quand je disais que la vie m'en voulait, ce n'était pas pour rien ! © Crimson Day
« Les dramas t'apprennent pas la vraie vie, il ne faut pas rêver eh oh ! Ça ferait depuis longtemps que je serais en couple et marié avec deux bébés sinon ! J'ai pas de leçons à recevoir de toi non plus, l'enfant qui croit dur comme fer aux dramas, pff pff ! »
Ma bonne humeur tomba cependant tout de suite après. Porte-monnaie, porte-monnaie, porte-monnaie... En y repensant, je savais très bien où est-ce que je l'avais oublié. Sur ma table de nuit. Mon cerveau le visualisait très bien à sa place. Eh bien quand j'étais parti de chez moi, pourquoi est-ce que mon cerveau m'avait pas fait une alarme du genre : « Eh Jaesang, regarde dans ta mémoire, t'as oublié ton porte-monnaie ! Or c'est toi qui paies aujourd'hui, reprends-le ! » ? Ah non, mon cerveau préférait me voir souffrir en me voyant paniquer et faire le hors-la-loi comme je savais si bien le faire hein ? Quel sadique, ce cerveau que j'avais dans le crâne. Je tremblai de tout mon corps quand Namjame mentionna mon entrejambe. Ouh, rien qu'en y pensant, ça me faisait mal... J'avais déjà été envoyé à l'hôpital à cause de mon entrejambe, je savais la douleur que ça faisait. Je n'avais pas trop envie de revivre cette expérience, par contre... Mais bon, si Namjame disait ça, ça voulait bien dire qu'elle était d'accord pour qu'on exécute mon plan !
« Compris ! »
Elle se dépêcha pour finir ce merveilleux dessert tandis que je la regardais faire. Eh en y pensant, j'aurais dû en prendre un aussi, de toute façon, je n'aurais pas eu à payer. Ah, quel idiot je faisais ! J'aurais dû ! Une vague de regrets prit possession de mon corps. Je souffrais. Au secours. Non mais sérieusement, pourquoi est-ce qu'on ne m'avait pas prévenu ? On préférait me voir souffrir regardant le moi qui admirais Namjame déguster sa glace plutôt que de m'offrir le même plaisir, c'était ça ? La vie était vraiment sadique. A la seconde où je la vis finir son dessert, j'appelais le serveur pour qu'il nous donne l'addition. Quand je me disais que quelques minutes plus tôt j'étais inquiet du nombre de chiffres que j'allais voir s'aligner les uns derrière les autres sur l'addition, au final, je ne verrais même pas combien nous avions dépensé pour ce repas ! C'était satisfaisant, en fait. Bon bien sûr le restaurant avait besoin des sous-sous pour vivre, alors je viendrais leur rendre l'argent. Un jour.
L'homme s'était retourné dans la salle. Je me levai puis m'inclinai pour m'excuser, mais à peine que je m'étais courbé que Namjame prit ma main pour m'entraîner avec elle dans sa course effrénée. Regardant derrière moi, je vis que personne ne me poursuivait. Hey, Namjame, il fallait que tu t'arrêtes ! On avait juste l'air de deux fous qui courraient parce que personne ne nous poursuivait ! Ah, elle s'était encore crue dans ses dramas où l'héroïne échappait à un grand danger, c'était ça ? Allez, j'allais la laisser faire. Quoi, il fallait bien que les enfants rêvent un peu. Elle avait de la chance que je sois sportif, sinon je n'aurais pas tenu ces quelques longues minutes de courses à être traîné je-ne-sais-où. Avait-elle oublié mon piteux sens de l'orientation ? Nous n'allions pas pouvoir retourner sur nos pas très facilement... Enfin, Namjame arrêta de courir, et je me jetai directement sur le sol comme s'il était mon meilleur ami. Mes jambes étaient en compote là, c'était sûr. En plus on avait couru pour rien, il n'y avait personne derrière nous ! Enfin bon, on s'était bien tiré de cette situation au moins. Le capitaine Jaesang avait bien fait son travail, ehe ! J'étais Big Boss aussi, m'voyez ! J'entendis soudainement cette abrutie qui me servait de meilleure amie éclater de rire. Je me mis alors à sourire aussi.
« Hé, tu savais que personne ne nous poursuivait hein ? Ça servait à rien de courir autant ! En plus je ne sais pas même pas où est-ce qu'on a atterri ! Bah bravo hein, Namjame ! »
Je l'applaudis des deux mains avant de finalement arrêter, trop crevé. Puis je me mis à rire aussi. Il n'y avait qu'avec moi que ce genre de situations arrivait. J'étais le type de gars à me retrouver dans les situations les plus loufoques possibles ! Quand je disais que la vie m'en voulait, ce n'était pas pour rien !
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