Page 1 sur 2 • 1, 2
Bad things happen ft yoliyan (-16)
Invité
Invité
Bad things happen ft yoliyan (-16) | Sam 15 Juil - 18:47 Citer EditerSupprimer
Tenue - ivresse charnelle. plaisir infinis que deux corps s'offraient dans le plus grand des pêchés. il ne connaissait pas son nom; ni son prénom et encore moins son âge. il ne savait rien d'elle si ce n'est à quel point elle lui faisait du bien, là, tout de suite. assis sur son bureau, la jeune demoiselle aux lèvres pulpeuses s'occupant délicieusement de son entrejambe. il n'avait pas besoin d'en savoir plus sur l'identité de la jeune femme rencontré quelques heures plus tôt dans son bar. une étudiante, comme beaucoup d'entre elles. surement plus jeune que lui et bien trop naïve. un encas pour ce grand méchant loup qui n'en manquait jamais une lorsqu'il s'agissait de satisfaire ses pulsions nymphomanes. tout ce qu'il demandait c'est qu'elle soit belle et se tais; il n'avait jamais aimé les femmes bavardes. bruyantes, ennuyeuses et barbantes; rien de tel pour lui ôter tout envie de se les faire. le sexe n'avait guère besoin de mots concrets. si elle le désirait peut-être lui permettrait-il d'exprimer ses envies charnelles; peut-être. les gémissements l'excitaient bien plus. " plus vite. " grogne t-il autoritaire en glissant sa main dans la chevelure brune de la jeune étudiante, la guidant de sorte à ce qu'elle adopte un rythme plus saccadée plus rapide. il n'avait pas de temps à perdre, même pas avec une aussi charmante compagnie et clairement pas un samedi soir, là où il faisait généralement le plus de profit. balançant la tête en arrière, il ferme les yeux grognant subtilement tout en l'incitant à continuer à ce rythme. elle était bien trop doué de ses douces lèvres pour qu'il ne passe à côté d'une telle faveur et il n'avait clairement guère envie de retarder une telle jouissance. seule une débauche désordonnée lui donnait un tel plaisir. cet excitation de ne rien savoir, ne rien planifier, profiter du moment et ne prendre aucune responsabilité. plaisir à l'état pur, sauvage. ses dents se refermant sur sa lèvre inférieure, il sait bien qu'il ne tiendra plus très longtemps et en soit, ce n'est pas réellement comme si il cherchait à se contrôler. il tape l'intérieur de la gorge de sa partenaire dans un râle de plaisir enfin prêt à se laisser aller. La suprême jouissance est le contentement de soi-même.
et pourtant elle s'arrête; soudainement; retirant le sexe douloureusement gorgé du jeune homme d'entre ses lèvres pulpeuses. il ouvre les yeux, redressant la tête quelques peu confus mais surtout irrité qu'elle est osé mettre à stop à un moment aussi intense. et elle semble paniquée, gênée et honteuse, son regard passant de lui à la porte de son bureau, dans l'embrasure de laquelle il découvre khaliyan. qu'est-ce qu'elle foutait là? et depuis quand se permettait-elle d'entrer dans son bureau sans frapper? " kalhi." grogne t-il en se laissant glisser hors du meuble sur lequel il était assis, remontant son boxer puis son pantalon. il ne jette même pas un coup d'oeil à la jeune étudiante qui embarrassé quitte rapidement le bureau. " j'espère que t'es satisfaite. " lâche t-il tout en passant la main dans ses cheveux roses avant de ne lever les yeux au ciel, sortant un paquet de cigarettes de la poche de son jean. cigarette entre les lèvres, regard posé sur la jeune blondinette, il allume sa clope puis recrache la fumée nonchalamment. " tu veux quoi ? "
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - ivresse charnelle. plaisir infinis que deux corps s'offraient dans le plus grand des pêchés. il ne connaissait pas son nom; ni son prénom et encore moins son âge. il ne savait rien d'elle si ce n'est à quel point elle lui faisait du bien, là, tout de suite. assis sur son bureau, la jeune demoiselle aux lèvres pulpeuses s'occupant délicieusement de son entrejambe. il n'avait pas besoin d'en savoir plus sur l'identité de la jeune femme rencontré quelques heures plus tôt dans son bar. une étudiante, comme beaucoup d'entre elles. surement plus jeune que lui et bien trop naïve. un encas pour ce grand méchant loup qui n'en manquait jamais une lorsqu'il s'agissait de satisfaire ses pulsions nymphomanes. tout ce qu'il demandait c'est qu'elle soit belle et se tais; il n'avait jamais aimé les femmes bavardes. bruyantes, ennuyeuses et barbantes; rien de tel pour lui ôter tout envie de se les faire. le sexe n'avait guère besoin de mots concrets. si elle le désirait peut-être lui permettrait-il d'exprimer ses envies charnelles; peut-être. les gémissements l'excitaient bien plus. " plus vite. " grogne t-il autoritaire en glissant sa main dans la chevelure brune de la jeune étudiante, la guidant de sorte à ce qu'elle adopte un rythme plus saccadée plus rapide. il n'avait pas de temps à perdre, même pas avec une aussi charmante compagnie et clairement pas un samedi soir, là où il faisait généralement le plus de profit. balançant la tête en arrière, il ferme les yeux grognant subtilement tout en l'incitant à continuer à ce rythme. elle était bien trop doué de ses douces lèvres pour qu'il ne passe à côté d'une telle faveur et il n'avait clairement guère envie de retarder une telle jouissance. seule une débauche désordonnée lui donnait un tel plaisir. cet excitation de ne rien savoir, ne rien planifier, profiter du moment et ne prendre aucune responsabilité. plaisir à l'état pur, sauvage. ses dents se refermant sur sa lèvre inférieure, il sait bien qu'il ne tiendra plus très longtemps et en soit, ce n'est pas réellement comme si il cherchait à se contrôler. il tape l'intérieur de la gorge de sa partenaire dans un râle de plaisir enfin prêt à se laisser aller. La suprême jouissance est le contentement de soi-même.
et pourtant elle s'arrête; soudainement; retirant le sexe douloureusement gorgé du jeune homme d'entre ses lèvres pulpeuses. il ouvre les yeux, redressant la tête quelques peu confus mais surtout irrité qu'elle est osé mettre à stop à un moment aussi intense. et elle semble paniquée, gênée et honteuse, son regard passant de lui à la porte de son bureau, dans l'embrasure de laquelle il découvre khaliyan. qu'est-ce qu'elle foutait là? et depuis quand se permettait-elle d'entrer dans son bureau sans frapper? " kalhi." grogne t-il en se laissant glisser hors du meuble sur lequel il était assis, remontant son boxer puis son pantalon. il ne jette même pas un coup d'oeil à la jeune étudiante qui embarrassé quitte rapidement le bureau. " j'espère que t'es satisfaite. " lâche t-il tout en passant la main dans ses cheveux roses avant de ne lever les yeux au ciel, sortant un paquet de cigarettes de la poche de son jean. cigarette entre les lèvres, regard posé sur la jeune blondinette, il allume sa clope puis recrache la fumée nonchalamment. " tu veux quoi ? "
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Dim 16 Juil - 13:50 Citer EditerSupprimer
Tenue - Khaliyan est assise sur le pont, celui à quelques rues du club. Elle écrit, comme souvent, dans son petit carnet, à la fois rêveuse et en pleine introspection. La nuit la couvre, rassurante et profonde. Elle se perd dans sa contemplation et dans ses pensées. Elle met de longues minutes à sentir son téléphone sonner. Son oncle. Cet homme qui l’a recueilli, celui qui lui a sauvé la vie et qui l’a plongé dans un monde plus noir encore, plus sombre qu’elle ne l’aurait voulu. Pourtant sa loyauté n’a d’égal que son amour pour lui. Enfin si on pouvait appeler ça de l’amour … Son oncle voyait ça comme une faiblesse, et avait du mal à considérer qu’on puisse … aimer. Pour lui ce n’était qu’un poison et un défaut. Naïvement, parfois, Srey se demandait jusqu’où son oncle serait prêt à aller pour la garder … Est-ce qu’elle ne pouvait pas considérer ça comme de l’amour ? Cette notion si vague à ses yeux, qu’elle avait du mal à comprendre. Sautant de la rambarde, elle prend la route direction le club pour parler à Yohan. Un nouvel ordre venait de tomber et c’était à elle de faire passer le message. Ça l’agaçait autant qu’elle aimait ça. Ça l’agaçait parce qu’on la dérangeait et parce qu’elle sentait son cœur s’emballer bêtement à l’idée de croiser Yohan. Elle aimait ça … parce qu’elle avait une excuse pour aller le voir. Depuis quand s’était-elle mise à la recherche d’excuse pour aller le voir ? C’était compliqué avec lui. C’était compliqué pour lui. Ils arrivaient pourtant à passer de très bons moments ensemble … Ils riaient autant qu’ils s’engueulaient mais ça allait à Srey. Elle avait fini par s’habituer à cette relation. A le voir avec d’autres filles. Elle se targuait même de croire que ça ne lui faisait plus rien. De toute façon il pouvait bien faire ce qu’il voulait … Elle ne se priverait pas de faire pareil. Mais cette véhémence n’avait pour but que de cacher les réels sentiments de la demoiselle à l’égard du plus vieux.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - Khaliyan est assise sur le pont, celui à quelques rues du club. Elle écrit, comme souvent, dans son petit carnet, à la fois rêveuse et en pleine introspection. La nuit la couvre, rassurante et profonde. Elle se perd dans sa contemplation et dans ses pensées. Elle met de longues minutes à sentir son téléphone sonner. Son oncle. Cet homme qui l’a recueilli, celui qui lui a sauvé la vie et qui l’a plongé dans un monde plus noir encore, plus sombre qu’elle ne l’aurait voulu. Pourtant sa loyauté n’a d’égal que son amour pour lui. Enfin si on pouvait appeler ça de l’amour … Son oncle voyait ça comme une faiblesse, et avait du mal à considérer qu’on puisse … aimer. Pour lui ce n’était qu’un poison et un défaut. Naïvement, parfois, Srey se demandait jusqu’où son oncle serait prêt à aller pour la garder … Est-ce qu’elle ne pouvait pas considérer ça comme de l’amour ? Cette notion si vague à ses yeux, qu’elle avait du mal à comprendre. Sautant de la rambarde, elle prend la route direction le club pour parler à Yohan. Un nouvel ordre venait de tomber et c’était à elle de faire passer le message. Ça l’agaçait autant qu’elle aimait ça. Ça l’agaçait parce qu’on la dérangeait et parce qu’elle sentait son cœur s’emballer bêtement à l’idée de croiser Yohan. Elle aimait ça … parce qu’elle avait une excuse pour aller le voir. Depuis quand s’était-elle mise à la recherche d’excuse pour aller le voir ? C’était compliqué avec lui. C’était compliqué pour lui. Ils arrivaient pourtant à passer de très bons moments ensemble … Ils riaient autant qu’ils s’engueulaient mais ça allait à Srey. Elle avait fini par s’habituer à cette relation. A le voir avec d’autres filles. Elle se targuait même de croire que ça ne lui faisait plus rien. De toute façon il pouvait bien faire ce qu’il voulait … Elle ne se priverait pas de faire pareil. Mais cette véhémence n’avait pour but que de cacher les réels sentiments de la demoiselle à l’égard du plus vieux.
Arrivée au club elle cherche des yeux un visage familier et rassurant, celui qu’elle connait depuis qu’elle a 7 ans mais les visages se perdent dans la foule et à part des faisceaux lumineux Srey ne voit rien. Elle retient un léger sourire. Au moins ils seront seuls. Elle passe une main sur sa nuque pour dégager ses cheveux et entre dans le bureau sans toquer. La scène qui l’accueil la fige. Vraiment, je ne sais pas à qui elle cherche à mentir, mais de le voir avec une autre lui fait tout sauf rien. Ses doigts se crispent sur la poignée de porte et son regard se durci. Elle intime silencieusement à la jeune femme occupée de dégager de là, ce qu’elle semble d’ailleurs très bien comprendre en prenant la fuite, et fixe Yohan avec l’envie pressante de le frapper. Pourtant elle n’en fait rien. Elle n’affiche qu’un air très légèrement pincé. Tenter d’agir comme si de rien n’était lui mobilisait toute ses forces. Elle se laisse tomber dans le fauteuil derrière le bureau tentant de chasser la vision de cette jeune femme suçant Yohan de son esprit. Bon sang qu’elle le détestait. Elle le haïssait de lui faire ça. « C’est ton truc les mineurs alors ? » ironise-t-elle en levant un regard accusateur sur lui. Elle serre des dents mais affiche un sourire moqueur. Elle plonge son regard sur son téléphone et ajoute « Ajhussi a appelé. L’échange est avancé d’une heure. » Elle comprend mieux pourquoi c’est à elle qu’on a demandé de faire passer le message. Monsieur était trop occupé pour répondre à son téléphone. Ou alors son oncle s’amusait à lui donner le rôle de la messagère. Quoiqu’il en soit Srey, qui ne s’attendait pas à ce genre de scène, avait bien du mal à passer à autre chose ….
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Mar 25 Juil - 15:15 Citer EditerSupprimer
Tenue L'égoïsme est l'amour exclusif de soi-même, c'est la recherche réfléchie et permanente de son plaisir et de son bien-être. Il s'humecte les lèvres d'un coup de langue quelque peu frustrée par ce plaisir brisé, échappé, évincé. il glisse de nouveau la cigarette entre ses lèvres, inspirant une grosse bouffée qu'il laisse nonchalamment s'échapper par la commissure de ses lèvres. il a manqué son coup, une question de minutes; même pas, de secondes. et tout ça parceque srey n'était pas capable de frapper à la porte de son bureau. " t'étais trop pressé pour attendre ton tour bébé ?" lui lance t-il, sarcastique se dirigeant vers le bar personnel du bureau d'où il en extrait deux verres et une bouteille de Jack Daniel's. srey avait meilleur goût, cela avait toujours été le cas. Mais il se cachait bien de le lui faire savoir. le problème avec les femmes c'est qu'elles devenaient bien trop excigeantes dés le moment où vous leur faisiez comprendre qu'elles étaient différentes. " t'es surement la seule mineur avec qui j'ai baisé srey. " véridicte. Il était majeur lorsqu'il avait commencé à coucher avec la jeune femme, à l'époque encore mineur; et jusque là elle avait été la seule mineur qu'il s'était autorisé à goûter. Égoïste certes, mais certainement pas au point de se foutre dans la merde. et en soit, srey avait toujours été son plus gros pêché.
Écrasant son mégot dans le cendrier du bureau, il s'approche de la demoiselle, posant les deux verres devant elle avant de ne les remplir à moitié. " je vois pas de quoi tu parles. " il referme délicatement la bouteille de bourbon avant de ne s'emparer d'un des verres qu'il porte à ses lèvres, humant subtilement l'elixir avant de n'y tremper le bout de sa langue, son regard plongé dans celui de srey. elle était belle srey, si belle qu'il ne pouvait s'empêcher de la considérer comme acquise. son objet, sa chose. et il se foutait bien de ce qu'elle était venu lui dire, elle l'avait interrompus en pleine extase et se tenait à présent assise confortablement sur son fauteuil et ce sans un brin de remord. Quel audace. " je m'occupe que du réseau, aucun échange de prévu de mon côté. " il n'avait eu vent d'aucun échange, chose qui en général ne le concernait guère puisque relatif au trafic de stupéfiants, ce que lui ne gérait pas. il avale une nouvelle gorgée de bourbon, poussant le verre de srey vers celle-ci; lui intimant de boire alors qu'il fait rapidement le tour du bureau pour venir se positionner derrière elle, sa main venant se poser sur l'épaule nue de la jeune femme dont il caresse sensuellement la peau. " à moins que ton histoire d'échange ne soit qu'une excuse. après tout, c'est vrai que ça fait longtemps qu'on a rien fait. " c'était son truc à yohan. il n'aimait pas se cantonner à une seule femme, il avait ce besoin d'être libre, indépendant, de faire ce qu'il voulait quand il le voulait sans avoir à se trouver des excuses, sans avoir à se prendre la tête et ça, elle le savait. il était égoïste, il vivait pour lui, la vie était bien trop courte pour qu'il obéisse à des règles imposées par une sociétée hypocrite. il pouvait compter sur lui-même; aucun risque de déception. il suivait ses envies, ses désirs, ses émotions, il ne se posait aucune limite, il vivait à mille à l'heure, sans restrictions si ce n'est celle que son propre corps lui imposait. " tu t'es faite belle pour moi srey ? " vient-il murmurer à l'oreille de la demoiselle, ce petit sourire fier dessiné à la comissure de ses lèvres. imbus de sa personne, prétentieux, hautain; c'est probablement ce qui fait ce qu'il est. yohan n'a nullement honte de passer d'une femme à une autre, il n'a jamais forcé aucune femme à s'offrir à lui et ne voit clairement rien de mal dans le fait de se faire plaisir. instinct purement animal, instinct naturel. Mais il devait l'avouer, srey restait son petit pêcher mignon, elle était différente, suffisamment pour qu'il apprécie les petits signes de jalousie et d'énervement qui se glissaient sur les doux traits de son visage lorsqu'elle l'apercevait avec une autre. ça le flattait, chose qui n'était guère le cas en provenance d'autres amantes. elle avait ce petit quelque chose en plus que les autres n'avaient pas. son respect.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue L'égoïsme est l'amour exclusif de soi-même, c'est la recherche réfléchie et permanente de son plaisir et de son bien-être. Il s'humecte les lèvres d'un coup de langue quelque peu frustrée par ce plaisir brisé, échappé, évincé. il glisse de nouveau la cigarette entre ses lèvres, inspirant une grosse bouffée qu'il laisse nonchalamment s'échapper par la commissure de ses lèvres. il a manqué son coup, une question de minutes; même pas, de secondes. et tout ça parceque srey n'était pas capable de frapper à la porte de son bureau. " t'étais trop pressé pour attendre ton tour bébé ?" lui lance t-il, sarcastique se dirigeant vers le bar personnel du bureau d'où il en extrait deux verres et une bouteille de Jack Daniel's. srey avait meilleur goût, cela avait toujours été le cas. Mais il se cachait bien de le lui faire savoir. le problème avec les femmes c'est qu'elles devenaient bien trop excigeantes dés le moment où vous leur faisiez comprendre qu'elles étaient différentes. " t'es surement la seule mineur avec qui j'ai baisé srey. " véridicte. Il était majeur lorsqu'il avait commencé à coucher avec la jeune femme, à l'époque encore mineur; et jusque là elle avait été la seule mineur qu'il s'était autorisé à goûter. Égoïste certes, mais certainement pas au point de se foutre dans la merde. et en soit, srey avait toujours été son plus gros pêché.
Écrasant son mégot dans le cendrier du bureau, il s'approche de la demoiselle, posant les deux verres devant elle avant de ne les remplir à moitié. " je vois pas de quoi tu parles. " il referme délicatement la bouteille de bourbon avant de ne s'emparer d'un des verres qu'il porte à ses lèvres, humant subtilement l'elixir avant de n'y tremper le bout de sa langue, son regard plongé dans celui de srey. elle était belle srey, si belle qu'il ne pouvait s'empêcher de la considérer comme acquise. son objet, sa chose. et il se foutait bien de ce qu'elle était venu lui dire, elle l'avait interrompus en pleine extase et se tenait à présent assise confortablement sur son fauteuil et ce sans un brin de remord. Quel audace. " je m'occupe que du réseau, aucun échange de prévu de mon côté. " il n'avait eu vent d'aucun échange, chose qui en général ne le concernait guère puisque relatif au trafic de stupéfiants, ce que lui ne gérait pas. il avale une nouvelle gorgée de bourbon, poussant le verre de srey vers celle-ci; lui intimant de boire alors qu'il fait rapidement le tour du bureau pour venir se positionner derrière elle, sa main venant se poser sur l'épaule nue de la jeune femme dont il caresse sensuellement la peau. " à moins que ton histoire d'échange ne soit qu'une excuse. après tout, c'est vrai que ça fait longtemps qu'on a rien fait. " c'était son truc à yohan. il n'aimait pas se cantonner à une seule femme, il avait ce besoin d'être libre, indépendant, de faire ce qu'il voulait quand il le voulait sans avoir à se trouver des excuses, sans avoir à se prendre la tête et ça, elle le savait. il était égoïste, il vivait pour lui, la vie était bien trop courte pour qu'il obéisse à des règles imposées par une sociétée hypocrite. il pouvait compter sur lui-même; aucun risque de déception. il suivait ses envies, ses désirs, ses émotions, il ne se posait aucune limite, il vivait à mille à l'heure, sans restrictions si ce n'est celle que son propre corps lui imposait. " tu t'es faite belle pour moi srey ? " vient-il murmurer à l'oreille de la demoiselle, ce petit sourire fier dessiné à la comissure de ses lèvres. imbus de sa personne, prétentieux, hautain; c'est probablement ce qui fait ce qu'il est. yohan n'a nullement honte de passer d'une femme à une autre, il n'a jamais forcé aucune femme à s'offrir à lui et ne voit clairement rien de mal dans le fait de se faire plaisir. instinct purement animal, instinct naturel. Mais il devait l'avouer, srey restait son petit pêcher mignon, elle était différente, suffisamment pour qu'il apprécie les petits signes de jalousie et d'énervement qui se glissaient sur les doux traits de son visage lorsqu'elle l'apercevait avec une autre. ça le flattait, chose qui n'était guère le cas en provenance d'autres amantes. elle avait ce petit quelque chose en plus que les autres n'avaient pas. son respect.
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Ven 18 Aoû - 17:22 Citer EditerSupprimer
Tenue - Srey avait beau se dire que s’attacher à Yohan avait été la pire idée de sa vie elle ne pouvait lutter contre l’attirance qu’elle éprouvait pour le garçon. Dès la première seconde où elle l’a vu, alors qu’elle n’était encore qu’une enfant qui se donnait de grands ars, elle avait succombée. Si vous lui demandiez de citer tous les défauts de Yohan elle prendrait le temps de les citer un par un. Elle prendrait son temps pour lister tout ce qui est détestable chez le plus vieux. Elle serait même bien incapable de lui trouver plus de deux trois qualités. Alors si vous lui demandez pourquoi lui ? Pourquoi avoir craquée pour lui elle ne serait capable de vous donner comme raison que le fait … « qu’il est lui. ». Et de cette faiblesse Yohan en fait une force … il joue, profite, et Srey lutte depuis des années pour ne pas le laisser gagner. Ele se confortait dans l’idée que tout ça n’était qu’un jeu qui finirait bien un jour ou l’autre. Elle se complaisait à croire qu’elle vivait sa vie tranquille et que la présence d Yohan n’était qu’un satellite qui tournait en orbite autour de son monde. La simple idée de lui accorder plus d’importance était insupportable pour la jeune fille qui supportait de moins en moins de le voir avec d’autres … lui qui se cachait de coucher avec d’autres femmes et ce parfois devant elle.elle devrait le détester pas vrai … ? lui en vouloir si fort que le simple vu de Yohan suffirait à lui donner des nausées. Pourtant … elle ne peut empêcher son cœur de rater un battement quand elle le voit. Elle ne peut s’empêcher de soupirer de plaisir en pensant à lui quand un autre homme couche avec elle. Ils sont rare c’est vrai, mais chaque baiser, chaque soupir n’est qu’une pensée de plus qui la mène à lui … dieu qu’elle le hait autant qu’elle est attirée par lui. Srey n’a jamais eu l’audace de parler d’amour. Est-ce qu’elle l’aime ? Comment pourrait-on aimer un homme lui ? Elle aime ses caresses, elle aime ses baisers, et ce qu’elle aime par-dessus tout c’est cette sensation d’être unique au creux de ses bras. Ce n’est qu’un mensonge, elle le sait bien, mais ce qu’elle ressent quand elle se perd entre ses bras est une drogue à laquelle elle n’a pas encore trouvé comment renoncer.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - Srey avait beau se dire que s’attacher à Yohan avait été la pire idée de sa vie elle ne pouvait lutter contre l’attirance qu’elle éprouvait pour le garçon. Dès la première seconde où elle l’a vu, alors qu’elle n’était encore qu’une enfant qui se donnait de grands ars, elle avait succombée. Si vous lui demandiez de citer tous les défauts de Yohan elle prendrait le temps de les citer un par un. Elle prendrait son temps pour lister tout ce qui est détestable chez le plus vieux. Elle serait même bien incapable de lui trouver plus de deux trois qualités. Alors si vous lui demandez pourquoi lui ? Pourquoi avoir craquée pour lui elle ne serait capable de vous donner comme raison que le fait … « qu’il est lui. ». Et de cette faiblesse Yohan en fait une force … il joue, profite, et Srey lutte depuis des années pour ne pas le laisser gagner. Ele se confortait dans l’idée que tout ça n’était qu’un jeu qui finirait bien un jour ou l’autre. Elle se complaisait à croire qu’elle vivait sa vie tranquille et que la présence d Yohan n’était qu’un satellite qui tournait en orbite autour de son monde. La simple idée de lui accorder plus d’importance était insupportable pour la jeune fille qui supportait de moins en moins de le voir avec d’autres … lui qui se cachait de coucher avec d’autres femmes et ce parfois devant elle.elle devrait le détester pas vrai … ? lui en vouloir si fort que le simple vu de Yohan suffirait à lui donner des nausées. Pourtant … elle ne peut empêcher son cœur de rater un battement quand elle le voit. Elle ne peut s’empêcher de soupirer de plaisir en pensant à lui quand un autre homme couche avec elle. Ils sont rare c’est vrai, mais chaque baiser, chaque soupir n’est qu’une pensée de plus qui la mène à lui … dieu qu’elle le hait autant qu’elle est attirée par lui. Srey n’a jamais eu l’audace de parler d’amour. Est-ce qu’elle l’aime ? Comment pourrait-on aimer un homme lui ? Elle aime ses caresses, elle aime ses baisers, et ce qu’elle aime par-dessus tout c’est cette sensation d’être unique au creux de ses bras. Ce n’est qu’un mensonge, elle le sait bien, mais ce qu’elle ressent quand elle se perd entre ses bras est une drogue à laquelle elle n’a pas encore trouvé comment renoncer.
Mais le veut elle vraiment ?
Srey serre les dents devant tant d’arrogance et d’irrespect. Elle aimerait lui faire ravaler sa suffisance et son assurance. Il y a tellement de vrai dans ce qu’il dit qu’elle déteste ça. Elle déglutit en fixant devant elle ignorant le verre qu’il pousse vers elle. Elle déteste devoir délivrer les messages, encore plus quand ces derniers ne sont pas clairs. Mais ce qu’elle déteste par-dessus c’est de sentir son cœur manquer un battement quand elle sent sa main sur son épaule. Plus encore quand il est si proche d’elle. Fermant les yeux pour chasser la colère soudaine qui s’emparait d’elle, elle chasser la fureur des traits de son visage et se relève d’un bond en repoussant cette main d’un geste gracieux. Ses cheveux blond et soyeux virevoltent autour d’elle avant de se reposer sur ses épaules délicatement. Son visage de poupée pincé et agacé se dresse fièrement vers lui, il était bien inconcevable de le laisser gagner. Pas cette fois. « Renseigne-toi. » dit-elle simplement, désirant peu tirer au clair cette histoire de livraison alors que Yohan empestait le parfum de cette femme et qu’il avait encore le col couvert de rouge à lèvres … Baissant son regard sur les traces qu’elle fixe d’un air désapprobateur elle ajoute « Et change toi, ce n’est pas la tenue qu’on attends de toi. » Prenant son air de princesse sévère Srey se plait à lui rappeler à travers ce on qu’elle est la fille adoptive nièce et futur héritière du titre qu’occupe son oncle. Il n’était certes pas le numéro 1 mais très bien placé pour prétendre à avoir du pouvoir. Ce qu’un jour la jeune femme aura aussi. C’est d’ailleurs dans ses rêves les plus fou quelle s’était imaginé gouverner le clan avec lui … ce connard sans cœur qui lui faisait face. Elle sentait bien qu’à eux deux ils pourraient faire de grandes choses … mais l’affection qu’elle éprouvait pour lui compliquait tout. « Pour ma part je n’ai plus rien à faire ici. Et on m’attend. » Elle affiche un sourire suffisant et provoquant. Elle savait elle aussi jouer avec les nerfs du garçon. Elle lisse sa tenue, prétextant ainsi, en un seul regard, que si elle est aussi jolie c’était définitivement pour un autre homme que lui et qu’elle n’était ici que pour délivrer son message. S’il pouvait aimer la voir souffrir de jalousie, elle se délectait de l’expression renfrogné qu’arborait parfois Yohan quand elle se tenait aux bras d’un autres. Tout ça n’était qu’un jeu. Et ils inventaient les règles au fur et à mesure.
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Sam 19 Aoû - 12:37 Citer EditerSupprimer
Tenue Une chance que personne ne puisse connaitre nos pensées les plus secrètes. Nous apparaitrions tels que nous sommes, à savoir des imbéciles manipulateurs et prétentieux. les lèvres trempant dans l'élixir brunâtre, il laisse un sourire de satisfaction se dessiner à la commissure de ses lèvres. la différence avec Yohan c'est qu'il ne cherchait guère à dissimuler ses pensées ni même à se la jouer faux modeste. il y avait bien longtemps de cela qu'il avait compris que la comédie ne lui apporterait rien de plus que ce qu'il pouvait obtenir en étant lui-même. les êtres humains venaient et s'en aller; parfois important le temps d'une poignée d'années puis du jour au lendemain, ils devenaient de vulgaires inconnus. et il n'y avait strictement rien à faire contre cela. c'était peut-être l'une des raisons pour laquelle il était aussi égocentrique. il ne laissait strictement aucune place à la déception, au chagrin et à l'amertume. son état de stress post traumatique avec survenue différée n'aidait à rien. Forte irritabilité, excès de colère, comportement imprudent et autodestructeur, hyper vigilance et paranoïa injustifiée, difficulté de concentration et des difficultés de sommeil. Tout ces détails faisaient ce qu'il était, un bâtard. il se contrefichait bien de blesser autrui si cela pouvait lui permettre de préserver sa santé mentale.
srey, elle se trouvait à la limite. une limite bien trop fine et fragile. le fait qu'ils aient grandis ensemble avec celui qu'il considérait comme son frère avait créait ce lien subtile entre deux âmes égarés, trois. et quand bien même il lui portait une attention particulière, il ne pouvait tout bonnement pas se l'admettre. il n'y était pas prêt. Quel homme peut échapper au joug de la dépendance ? Celui qui croit ne dépendre de personne, dépend du hasard, le plus absolu comme le plus capricieux de tous les maîtres. il n'était pas prête à dépendre d'autrui et encore moins d'une femme. non concevable non acceptable. il ne voulait plus vivre l'abandon, ne plus se sentir rejeté et quoi de mieux que de rejeter autrui en premier afin d'éviter de ne l'être. il observe son petit air agacé et cette manière qu'elle a de remuer la tête avec désapprobation, les longs cheveux blonds faisant ressortir ses douces lèvres rosies. " ce n'est pas ce pourquoi tu es là ? me renseigner ! " srey avait toujours été contradictoire, il avait finis par s'y habituer de toute manière l'on ne pouvait pas réellement dire qu'il faisait dans la logique. finissant son verre d'une traitre, il se lèche les lèvres avant de ne retirer sa veste puis son t-shirt noir qu'il balance sur le dossier de la chaise de son bureau. son torse est marqué à l'encre (tattoo torse) et ses tétons sont percés. il lui a fallu énormément d'années pour se découvrir, et encore maintenant il ne sait pas réellement qui il est. les tatouages? une manière d'ancrer ses doutes, ses peurs, sa souffrance en lui pour ne jamais oublier. " et maintenant ? " finit-il par la questionner les bras semi levés. elle pensait sincèrement pourvoir partir de la sorte après avoir foutus son coup en l'air ? " ce n'est pas la tenue qu'on attend de moi ? tu veux dire que TU attends ? " il a ce sourire taquin dessiné sur les lèvres alors qu'il se rapproche délicatement de srey, son index venant se poser sur la brassière bleu de la demoiselle " ce n'est pas non plus la tenue qu'on attend de toi, surtout quand tu mets les pieds dans un bordel. j'aimerais éviter qu'on te prenne pour une pute. " il siffle entre ses dents tout en baissant la tête observant le ventre nue de la jeune fille. il était sérieux. et ce malgré le sourire moqueur dessiné sur ses lèvres. il ne supportait pas que srey s'habille ainsi et encore moins lorsque quelqu'un l'attende. il fait glisser son doigts sur le ventre nu de la demoiselle, caressant son nombril avant de ne venir poser son regard sur elle. " qui t'attend ? " jackpot, elle avait réussit à égayer sa curiosité. n'oublions pas la possessivité et l'obsession du contrôle du jeune homme. sa srey.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue Une chance que personne ne puisse connaitre nos pensées les plus secrètes. Nous apparaitrions tels que nous sommes, à savoir des imbéciles manipulateurs et prétentieux. les lèvres trempant dans l'élixir brunâtre, il laisse un sourire de satisfaction se dessiner à la commissure de ses lèvres. la différence avec Yohan c'est qu'il ne cherchait guère à dissimuler ses pensées ni même à se la jouer faux modeste. il y avait bien longtemps de cela qu'il avait compris que la comédie ne lui apporterait rien de plus que ce qu'il pouvait obtenir en étant lui-même. les êtres humains venaient et s'en aller; parfois important le temps d'une poignée d'années puis du jour au lendemain, ils devenaient de vulgaires inconnus. et il n'y avait strictement rien à faire contre cela. c'était peut-être l'une des raisons pour laquelle il était aussi égocentrique. il ne laissait strictement aucune place à la déception, au chagrin et à l'amertume. son état de stress post traumatique avec survenue différée n'aidait à rien. Forte irritabilité, excès de colère, comportement imprudent et autodestructeur, hyper vigilance et paranoïa injustifiée, difficulté de concentration et des difficultés de sommeil. Tout ces détails faisaient ce qu'il était, un bâtard. il se contrefichait bien de blesser autrui si cela pouvait lui permettre de préserver sa santé mentale.
srey, elle se trouvait à la limite. une limite bien trop fine et fragile. le fait qu'ils aient grandis ensemble avec celui qu'il considérait comme son frère avait créait ce lien subtile entre deux âmes égarés, trois. et quand bien même il lui portait une attention particulière, il ne pouvait tout bonnement pas se l'admettre. il n'y était pas prêt. Quel homme peut échapper au joug de la dépendance ? Celui qui croit ne dépendre de personne, dépend du hasard, le plus absolu comme le plus capricieux de tous les maîtres. il n'était pas prête à dépendre d'autrui et encore moins d'une femme. non concevable non acceptable. il ne voulait plus vivre l'abandon, ne plus se sentir rejeté et quoi de mieux que de rejeter autrui en premier afin d'éviter de ne l'être. il observe son petit air agacé et cette manière qu'elle a de remuer la tête avec désapprobation, les longs cheveux blonds faisant ressortir ses douces lèvres rosies. " ce n'est pas ce pourquoi tu es là ? me renseigner ! " srey avait toujours été contradictoire, il avait finis par s'y habituer de toute manière l'on ne pouvait pas réellement dire qu'il faisait dans la logique. finissant son verre d'une traitre, il se lèche les lèvres avant de ne retirer sa veste puis son t-shirt noir qu'il balance sur le dossier de la chaise de son bureau. son torse est marqué à l'encre (tattoo torse) et ses tétons sont percés. il lui a fallu énormément d'années pour se découvrir, et encore maintenant il ne sait pas réellement qui il est. les tatouages? une manière d'ancrer ses doutes, ses peurs, sa souffrance en lui pour ne jamais oublier. " et maintenant ? " finit-il par la questionner les bras semi levés. elle pensait sincèrement pourvoir partir de la sorte après avoir foutus son coup en l'air ? " ce n'est pas la tenue qu'on attend de moi ? tu veux dire que TU attends ? " il a ce sourire taquin dessiné sur les lèvres alors qu'il se rapproche délicatement de srey, son index venant se poser sur la brassière bleu de la demoiselle " ce n'est pas non plus la tenue qu'on attend de toi, surtout quand tu mets les pieds dans un bordel. j'aimerais éviter qu'on te prenne pour une pute. " il siffle entre ses dents tout en baissant la tête observant le ventre nue de la jeune fille. il était sérieux. et ce malgré le sourire moqueur dessiné sur ses lèvres. il ne supportait pas que srey s'habille ainsi et encore moins lorsque quelqu'un l'attende. il fait glisser son doigts sur le ventre nu de la demoiselle, caressant son nombril avant de ne venir poser son regard sur elle. " qui t'attend ? " jackpot, elle avait réussit à égayer sa curiosité. n'oublions pas la possessivité et l'obsession du contrôle du jeune homme. sa srey.
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Sam 19 Aoû - 19:42 Citer EditerSupprimer
Tenue - Srey serre les dents. Dieu qu’elle ne le supporte pas quand il joue avec elle ainsi. Elle ne peut s’empêcher de zieuter vers ses tatouages qu’elle connait par cœur. Ces tatouages qu’elle a si souvent embrassé, griffé, aimé … ces tatouages qui la rendent aussi accroc qu’en colère. Dieu qu’il l’attire. S’en est presque indécent … elle souffle en pinçant ses lèvres et à ces mots elle se retient de lui mettre une gifle. Sa main se lève dangereusement mais son poing se ferme parce qu’elle sait qu’il y a certaine limite à ne pas franchir et que les seules fois où Yohan l’autorise à le frapper et sortir ses griffes de tigresses c’est quand ils sont au pieux et qu’ils se battent sous les draps mélangeant plaisir, passion et rage. Parce que leur relation est un équilibre parfait entre ces trois émotions fortes. Srey avait fini par ne plus lutter contre celles-ci et préférait se laisser détruire que de les affronter. Elle retient son souffle alors qu’il est si près d’elle, qu’il touche son corps, pourtant si faiblement, et qu’elle se sent totalement défaillir. Elle affiche pourtant un visage sans expression, calme et serein. Un visage qui arbore même un petit sourire en coin alors que l’envie de le gifler ne la quitte pas. Dieu qu’elle veut le toucher, lui faire du mal, lui faire du bien ... Dieu qu’elle le veut tout simplement. Mais elle a bien trop de fierté pour lui avouer, bien trop souffert d’avoir flanché la première pour tomber encore dans le piège. Elle veut résister. Lui prouver qu’elle n’est pas ce genre de fille qu’il peut avoir si facilement et lui rappeler Ô combien elle est libre … libre de cette liberté qu’il s’accorde pour lui-même et qu’elle décide de copier. Baissant son regard sur le doigt du garçon qui touche son ventre qu’elle creuse sous les sensations elle laisse échapper un petit rire. Surtout pour chasser l’air de ses poumons à vrai dire. Elle attrape son index de sa poigne et approche le doigt du garçon de ses lèvres. Comme pour s’amuser à son tour, elle glisse la pulpe de son doigt sur les chairs douces de sa bouche rosie. Se servant de son doigt comme d’un lipstick elle passe plusieurs fois sur ses lèvres avant de venir lui mordiller l’index en plantant son regard dans le sien. « Et qu’est-ce que ça peut te foutre qu’on prenne pour une pute… ? Ne suis-je pas qu’une fille de plus que tu baises Yohan ? » Susurre-t-elle suavement avant de se hisser sur la pointe des pieds. La vulgarité qui pèse sur le mot baise n’a d’égale que l’amertume qu’elle éprouve pour lui. Pourtant elle joue de ses airs de grandes dames attirantes et sensuelle. « Tu devrais pourtant le savoir Yohan … » elle attrape son lobe d’oreille entre ses dents qu’elle se met à mordiller et suçoter. Elle reteint son souffle en pressant sa poitrine contre le torse du jeune homme. Il sent encore tellement e parfum de cette femme que le cœur Srey se brise un peu plus, pourtant elle affiche un air de femme sûre d’elle. Il n’y a aucune vulgarité dans ses gestes, rien que du désir et une attirance qu’ils pourront difficilement assumer. Il sait jouer avec elle, ses nerfs, ses envies. Il doit même se rendre compte que Srey est finement accroc à lui … S’en délecte-t-il de le faire souffrir ainsi … ? Elle gémit au creux de son oreille pour le rendre un peu plus dingue, lui qui bandait quelques minutes avant pour une autre que lui … lui qui ne cherche qu’à vulgairement se vider les couilles. Srey ou une autre ? Qu’elle importance. Il était hors de questions pour la jeune fille de n’être qu’un trophée de chasse qu’il utilise comme un vulgaire Kleenex. Frôlant la joue du garçon de du bout de son nez elle se glisse jusqu’à ses lèvres qu’elle n’embrasse pourtant pas en lui murmurant « Ca non plus ça ne te regarde pas … » Qui l’attend ? Il n’aimerait pas savoir. Vraiment pas. Personne ne l’attendait vraiment mais Srey avait la réponse parfaite pour l’enrager. Quel stupide jeu ils jouaient là. Brusquement elle le repousse de ses mains, usant de l’effet de surprise pour avoir le dessus rien que quelques secondes. Elle se faufile derrière le bureau pour rejoindre la porte, balançant ses hanches en affichant un corps parfait, un corps qu’elle sait mettre en valeur pour rendre Yohan dingue. « Et je n’ai pas envie de le faire attendre. » passant une main dans ses cheveux, elle daigne ne lui jeter qu’un pauvre regard par-dessus son épaule en soufflant d’un air peu intéressé « A plus tard. »
✻✻✻ [/quote]
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - Srey serre les dents. Dieu qu’elle ne le supporte pas quand il joue avec elle ainsi. Elle ne peut s’empêcher de zieuter vers ses tatouages qu’elle connait par cœur. Ces tatouages qu’elle a si souvent embrassé, griffé, aimé … ces tatouages qui la rendent aussi accroc qu’en colère. Dieu qu’il l’attire. S’en est presque indécent … elle souffle en pinçant ses lèvres et à ces mots elle se retient de lui mettre une gifle. Sa main se lève dangereusement mais son poing se ferme parce qu’elle sait qu’il y a certaine limite à ne pas franchir et que les seules fois où Yohan l’autorise à le frapper et sortir ses griffes de tigresses c’est quand ils sont au pieux et qu’ils se battent sous les draps mélangeant plaisir, passion et rage. Parce que leur relation est un équilibre parfait entre ces trois émotions fortes. Srey avait fini par ne plus lutter contre celles-ci et préférait se laisser détruire que de les affronter. Elle retient son souffle alors qu’il est si près d’elle, qu’il touche son corps, pourtant si faiblement, et qu’elle se sent totalement défaillir. Elle affiche pourtant un visage sans expression, calme et serein. Un visage qui arbore même un petit sourire en coin alors que l’envie de le gifler ne la quitte pas. Dieu qu’elle veut le toucher, lui faire du mal, lui faire du bien ... Dieu qu’elle le veut tout simplement. Mais elle a bien trop de fierté pour lui avouer, bien trop souffert d’avoir flanché la première pour tomber encore dans le piège. Elle veut résister. Lui prouver qu’elle n’est pas ce genre de fille qu’il peut avoir si facilement et lui rappeler Ô combien elle est libre … libre de cette liberté qu’il s’accorde pour lui-même et qu’elle décide de copier. Baissant son regard sur le doigt du garçon qui touche son ventre qu’elle creuse sous les sensations elle laisse échapper un petit rire. Surtout pour chasser l’air de ses poumons à vrai dire. Elle attrape son index de sa poigne et approche le doigt du garçon de ses lèvres. Comme pour s’amuser à son tour, elle glisse la pulpe de son doigt sur les chairs douces de sa bouche rosie. Se servant de son doigt comme d’un lipstick elle passe plusieurs fois sur ses lèvres avant de venir lui mordiller l’index en plantant son regard dans le sien. « Et qu’est-ce que ça peut te foutre qu’on prenne pour une pute… ? Ne suis-je pas qu’une fille de plus que tu baises Yohan ? » Susurre-t-elle suavement avant de se hisser sur la pointe des pieds. La vulgarité qui pèse sur le mot baise n’a d’égale que l’amertume qu’elle éprouve pour lui. Pourtant elle joue de ses airs de grandes dames attirantes et sensuelle. « Tu devrais pourtant le savoir Yohan … » elle attrape son lobe d’oreille entre ses dents qu’elle se met à mordiller et suçoter. Elle reteint son souffle en pressant sa poitrine contre le torse du jeune homme. Il sent encore tellement e parfum de cette femme que le cœur Srey se brise un peu plus, pourtant elle affiche un air de femme sûre d’elle. Il n’y a aucune vulgarité dans ses gestes, rien que du désir et une attirance qu’ils pourront difficilement assumer. Il sait jouer avec elle, ses nerfs, ses envies. Il doit même se rendre compte que Srey est finement accroc à lui … S’en délecte-t-il de le faire souffrir ainsi … ? Elle gémit au creux de son oreille pour le rendre un peu plus dingue, lui qui bandait quelques minutes avant pour une autre que lui … lui qui ne cherche qu’à vulgairement se vider les couilles. Srey ou une autre ? Qu’elle importance. Il était hors de questions pour la jeune fille de n’être qu’un trophée de chasse qu’il utilise comme un vulgaire Kleenex. Frôlant la joue du garçon de du bout de son nez elle se glisse jusqu’à ses lèvres qu’elle n’embrasse pourtant pas en lui murmurant « Ca non plus ça ne te regarde pas … » Qui l’attend ? Il n’aimerait pas savoir. Vraiment pas. Personne ne l’attendait vraiment mais Srey avait la réponse parfaite pour l’enrager. Quel stupide jeu ils jouaient là. Brusquement elle le repousse de ses mains, usant de l’effet de surprise pour avoir le dessus rien que quelques secondes. Elle se faufile derrière le bureau pour rejoindre la porte, balançant ses hanches en affichant un corps parfait, un corps qu’elle sait mettre en valeur pour rendre Yohan dingue. « Et je n’ai pas envie de le faire attendre. » passant une main dans ses cheveux, elle daigne ne lui jeter qu’un pauvre regard par-dessus son épaule en soufflant d’un air peu intéressé « A plus tard. »
CODES © LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Lun 25 Sep - 13:56 Citer EditerSupprimer
Tenue Il s'en délecte, il savoure le contrôle qu'il a sur la jeune femme, cela a toujours été ainsi avec srey. les femmes, il en avait connus, en connaissait et en connaîtrait mais il n'en possédait aucune, du moins ne les considérait guère comme sienne à l'exception d'une. srey. il aimait cette détermination qui transgressait dans son regard, cette haine qu'elle désirait tant éprouver contre lui mais que leur attirance néfaste n'avait de cesse d'ombrager. il aimait la sentir jalouse quand bien même elle tentait de feindre l'ignorance. et là, encore plus que d'habitude. il se gargarisait de sa réaction, cette manière qu'elle avait de vouloir lui faire croire que la vue des lèvres d'une autre femme autour de son intimité ne la dérangeait guère. il avait des moeurs fragiles; peut-être était-ce dû à cette crainte de s'attacher, blesser pour ne pas l'être. et pourtant, il avait beau la repousser, il finissait toujours par la ramener vers lui. cercle interminable d'un désir accru d'aimer. son regard sombre, il l'observe se jouer de son index qu'elle glisse sur ses douces lèvres avant de ne le mordiller. cela aurait pu l'exciter si elle s'était tu; si elle avait évité de prononcer ce mot qu'il détestait tant l'entendre dire, si elle s'était retenu d'agir comme lui avec vulgarité et dérision. elle était là; la contradiction. yohan ne supportait pas qu'elle agisse de la même manière qu'il le faisait; il ne supportait pas qu'elle lui inflige ce que lui; lui imposait. les autres, il les baisait. mais pas srey. il se contrefichait de procurer un quelconque plaisir aux autres femmes, seul le sien lui importait mais encore une fois, c'était différent avec srey. il ne couchait pas avec elle pour se les vider. et le simple fait qu'elle sous entende cela, le mettait hors de lui. les dents serrées; il ferme les yeux lorsqu'elle vient mordiller le lobe de son oreille. rien qu'elle ne puisse faire à l'instant présent n'aurait d'effets positifs sur lui. cela ne faisait qu'assombrir son humeur. C’était ça son défaut. à défaut de ne pouvoir se contrôler lui même, il voulait la contrôler elle. il ne supporait rien qu'elle puisse faire n'allant pas dans son sens. relation abusif ? il se foutait bien de la manière dont cela pouvait être nommé; tout ce qu'il savait c'est qu'elle était sienne, pas une pute, pas un objet, mais sa personne ! il recule en arrière lorsqu'elle le repousse physiquement, ses yeux écarquillés, les lèvres déformés par la colère. depuis quand ?
depuis quand cela ne le regardait pas? depuis quand se permettait-elle de le pousser de la sorte ? depuis quand avait-elle commencé à lui échapper ? les lèvres pincées, le regard noir, il resserre son poing autour du verre de whisky qu'il finit par balancer contre le mur à quelques mètres de la jeune femme. c'était ça ou il allait défoncer ce pseudo mec qu'elle s'apprêtait à rejoindre. il n'attend d'ailleurs pas de la voir quitter son bureau pour la rattraper s'emparant de son poignet alors qu'il la force à s'engouffrer de nouveau dans la pièce et ce, à l'abris des regards; claquant la porte derrière elle qu'il verrouille d'un tour de clé avant de venir la plaquer contre le mur. elle le met hors de lui, était-ce si complexe à comprendre ? sa main droite autour de sa nuque, il caresse sa peau du bout du pouce, desserrant les dents alors qu'il vient s'humecter les lèvres d'un rapide coup de langue. " tu me rends fou srey. " il expire bruyamment tout en la relâchant, passant une main dans sa propre chevelure qu'il ébouriffe nerveusement. " putain mais faut te le dire dans quelle langue ? aaargh " il ébouriffe encore un peu plus ses cheveux; grognant avant de ne s'emparer de la bouteille qu'il porte à ses lèvres, en buvant une bonne gorgée. " t'as tant besoin de te sentir rassurée ou quoi? depuis quand je te baise srey, depuis quand ? " oui; il a besoin de l'entendre le lui dire, qu'elle lui dise qu'il lui avait manqué de respect ne serait-ce qu'une fois; qu'elle lui dise qu'il s'en contrefichait de son plaisir, qu'elle lui dise qu'il s'était déjà trompé de prénom en jouissant en elle comme il lui arrivait si souvent de le faire avec les autres, celles dont il se contrefichait. " tu crois que je me soucis de la jouissance de ces filles, tu crois que je perds mon temps ? t'as qu'à le dire que t'es jalouse srey, que tu ne veux pas partager comme j'ai toujours refuser de te partager. ou alors t'as qu'à le dire si tu veux que j'arrête de te respecter et que je fasse comme avec toutes les autres. un trou reste un trou c'est ça que tu veux ? " il lui suffisait juste de répondre.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue Il s'en délecte, il savoure le contrôle qu'il a sur la jeune femme, cela a toujours été ainsi avec srey. les femmes, il en avait connus, en connaissait et en connaîtrait mais il n'en possédait aucune, du moins ne les considérait guère comme sienne à l'exception d'une. srey. il aimait cette détermination qui transgressait dans son regard, cette haine qu'elle désirait tant éprouver contre lui mais que leur attirance néfaste n'avait de cesse d'ombrager. il aimait la sentir jalouse quand bien même elle tentait de feindre l'ignorance. et là, encore plus que d'habitude. il se gargarisait de sa réaction, cette manière qu'elle avait de vouloir lui faire croire que la vue des lèvres d'une autre femme autour de son intimité ne la dérangeait guère. il avait des moeurs fragiles; peut-être était-ce dû à cette crainte de s'attacher, blesser pour ne pas l'être. et pourtant, il avait beau la repousser, il finissait toujours par la ramener vers lui. cercle interminable d'un désir accru d'aimer. son regard sombre, il l'observe se jouer de son index qu'elle glisse sur ses douces lèvres avant de ne le mordiller. cela aurait pu l'exciter si elle s'était tu; si elle avait évité de prononcer ce mot qu'il détestait tant l'entendre dire, si elle s'était retenu d'agir comme lui avec vulgarité et dérision. elle était là; la contradiction. yohan ne supportait pas qu'elle agisse de la même manière qu'il le faisait; il ne supportait pas qu'elle lui inflige ce que lui; lui imposait. les autres, il les baisait. mais pas srey. il se contrefichait de procurer un quelconque plaisir aux autres femmes, seul le sien lui importait mais encore une fois, c'était différent avec srey. il ne couchait pas avec elle pour se les vider. et le simple fait qu'elle sous entende cela, le mettait hors de lui. les dents serrées; il ferme les yeux lorsqu'elle vient mordiller le lobe de son oreille. rien qu'elle ne puisse faire à l'instant présent n'aurait d'effets positifs sur lui. cela ne faisait qu'assombrir son humeur. C’était ça son défaut. à défaut de ne pouvoir se contrôler lui même, il voulait la contrôler elle. il ne supporait rien qu'elle puisse faire n'allant pas dans son sens. relation abusif ? il se foutait bien de la manière dont cela pouvait être nommé; tout ce qu'il savait c'est qu'elle était sienne, pas une pute, pas un objet, mais sa personne ! il recule en arrière lorsqu'elle le repousse physiquement, ses yeux écarquillés, les lèvres déformés par la colère. depuis quand ?
depuis quand cela ne le regardait pas? depuis quand se permettait-elle de le pousser de la sorte ? depuis quand avait-elle commencé à lui échapper ? les lèvres pincées, le regard noir, il resserre son poing autour du verre de whisky qu'il finit par balancer contre le mur à quelques mètres de la jeune femme. c'était ça ou il allait défoncer ce pseudo mec qu'elle s'apprêtait à rejoindre. il n'attend d'ailleurs pas de la voir quitter son bureau pour la rattraper s'emparant de son poignet alors qu'il la force à s'engouffrer de nouveau dans la pièce et ce, à l'abris des regards; claquant la porte derrière elle qu'il verrouille d'un tour de clé avant de venir la plaquer contre le mur. elle le met hors de lui, était-ce si complexe à comprendre ? sa main droite autour de sa nuque, il caresse sa peau du bout du pouce, desserrant les dents alors qu'il vient s'humecter les lèvres d'un rapide coup de langue. " tu me rends fou srey. " il expire bruyamment tout en la relâchant, passant une main dans sa propre chevelure qu'il ébouriffe nerveusement. " putain mais faut te le dire dans quelle langue ? aaargh " il ébouriffe encore un peu plus ses cheveux; grognant avant de ne s'emparer de la bouteille qu'il porte à ses lèvres, en buvant une bonne gorgée. " t'as tant besoin de te sentir rassurée ou quoi? depuis quand je te baise srey, depuis quand ? " oui; il a besoin de l'entendre le lui dire, qu'elle lui dise qu'il lui avait manqué de respect ne serait-ce qu'une fois; qu'elle lui dise qu'il s'en contrefichait de son plaisir, qu'elle lui dise qu'il s'était déjà trompé de prénom en jouissant en elle comme il lui arrivait si souvent de le faire avec les autres, celles dont il se contrefichait. " tu crois que je me soucis de la jouissance de ces filles, tu crois que je perds mon temps ? t'as qu'à le dire que t'es jalouse srey, que tu ne veux pas partager comme j'ai toujours refuser de te partager. ou alors t'as qu'à le dire si tu veux que j'arrête de te respecter et que je fasse comme avec toutes les autres. un trou reste un trou c'est ça que tu veux ? " il lui suffisait juste de répondre.
CODES LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Dim 22 Oct - 23:46 Citer EditerSupprimer
Tenue - " T’as tant besoin de te sentir rassurée ou quoi? Depuis quand je te baise Srey, depuis quand ? " Sa phrase claque comme une vérité insupportable pour la jeune femme qui a envie de lui hurler que oui. Oui bon sang, oui, elle a envie d’être rassurée, d’enfin comprendre ce qu’elle était pour lui ! Pas une fille une baise mais pas plus non plus, alors quoi ? Quelle était sa place ?! Que voulait-il d’elle ? Qu’elle soit là ? Qu’elle le laisse faire ce qu’il voulait ? Qu’elle le surprenne à se faire sucer par une pute et ne rien dire ? Sourire ? Peut-être même s’excuser de les avoir interrompus ? Srey était connu dans le clan pour être cette princesse intouchable, qu’aucun homme ne pouvait avoir. Pas seulement pace qu’elle était à Yohan, mais surtout parce qu’elle ne leur accordait aucun regard, et leur existence était soudain inexistante à ses yeux. Elle était lunaire Srey, d’une beauté froide, elle ne souriait qu’à peu de personnes et se montrait intransigeante sur les règles du clan. La jeune fille qui venait de s’enfuir ne savait pas encore qu’elle venait de s’attirer le foudre de la mauvaise poupée et que Yohan ne pourrait, et surtout, ne ferait rien pour la défendre. Srey n’était pas juste une poupée à la beauté délicate. Elle était aussi féroce qu’une lionne et sa froideur n’avait d’égale que sa colère. Elle avait leur cœur couvert d’hématomes que Yohan lui causait sans même le savoir, à moins qu’il préférait ne pas le montrer, continuer tant qu’il ne serait pris en faute … Elle le regardait de ses yeux noirs orages et colères. Ses mots la blessaient plus encore … parce qu’il lui avouait tout ce qu’elle aurait voulu entendre autrement, tout ce qu’elle aurait voulu qu’il lui confesse sans lui faire comprendre que malgré tout ça … il était incapable de lui donner plus, que sa normalité à lui c’était ce maximum qu’il lui offrait déjà … mais ne peux-tu pas faire plus pour moi Yohan ? Lui cri son regard remplie de colère et de tristesse.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - " T’as tant besoin de te sentir rassurée ou quoi? Depuis quand je te baise Srey, depuis quand ? " Sa phrase claque comme une vérité insupportable pour la jeune femme qui a envie de lui hurler que oui. Oui bon sang, oui, elle a envie d’être rassurée, d’enfin comprendre ce qu’elle était pour lui ! Pas une fille une baise mais pas plus non plus, alors quoi ? Quelle était sa place ?! Que voulait-il d’elle ? Qu’elle soit là ? Qu’elle le laisse faire ce qu’il voulait ? Qu’elle le surprenne à se faire sucer par une pute et ne rien dire ? Sourire ? Peut-être même s’excuser de les avoir interrompus ? Srey était connu dans le clan pour être cette princesse intouchable, qu’aucun homme ne pouvait avoir. Pas seulement pace qu’elle était à Yohan, mais surtout parce qu’elle ne leur accordait aucun regard, et leur existence était soudain inexistante à ses yeux. Elle était lunaire Srey, d’une beauté froide, elle ne souriait qu’à peu de personnes et se montrait intransigeante sur les règles du clan. La jeune fille qui venait de s’enfuir ne savait pas encore qu’elle venait de s’attirer le foudre de la mauvaise poupée et que Yohan ne pourrait, et surtout, ne ferait rien pour la défendre. Srey n’était pas juste une poupée à la beauté délicate. Elle était aussi féroce qu’une lionne et sa froideur n’avait d’égale que sa colère. Elle avait leur cœur couvert d’hématomes que Yohan lui causait sans même le savoir, à moins qu’il préférait ne pas le montrer, continuer tant qu’il ne serait pris en faute … Elle le regardait de ses yeux noirs orages et colères. Ses mots la blessaient plus encore … parce qu’il lui avouait tout ce qu’elle aurait voulu entendre autrement, tout ce qu’elle aurait voulu qu’il lui confesse sans lui faire comprendre que malgré tout ça … il était incapable de lui donner plus, que sa normalité à lui c’était ce maximum qu’il lui offrait déjà … mais ne peux-tu pas faire plus pour moi Yohan ? Lui cri son regard remplie de colère et de tristesse.
« Tu n’as rien compris Yohan. » Souffle-t-elle. Etrangement elle n’avait pas envie de se battre ce soir. Pire, elle abandonnait lourdement les armes à ses pieds en se redressant toujours acculée à ce mur. « J’arrête. » Elle n’aurait jamais cru qu’elle serait capable un jour de prononcer ces mots … comme était-ce même possible ? Ça lui faisait plus mal encore qu’un coup que lui aurait porté Yohan. « J’en ai marre. » gémit-elle. « De toi, de tout, de ces nuits où tu m’aimes et de ces matins où tu m’ignores. De ces baisers que tu me donnes et de ces filles qui te sucent … » Elle avait tenu longtemps Srey avant de lui cracher le morceau et elle se détestait de perdre le jeu si facilement face à lui. Mais peut-être que finalement elle pouvait jouer un coup de maitre, un échec et mat qu’il n’aurait pas vu venir. Qu’ils n’auraient pas vu venir. Ça la tuait plus qu’elle ne voulait l’admettre … elle pose délicatement ses mains sur son torse, à la fois pour le repousser et pour le retenir. Un trou reste un trou. Qu’elle horreur entendait-elle là de sa part … « Tu ne m’auras plus Yohan … » souffle-t-elle avec une douceur infime. Comme si elle craignait de lever une tempête qu’elle n’était pas certaine de pouvoir maitriser. Profitant de cet instant de surprise elle le repousse doucement en se redressant et lui fait face, avançant vers lui pour le faire reculer, quitte à poser ses mains sur son ventre si finement dessiné qu’elle connaissait par cœur. Ça lui faisait si mal à Srey. « T’as pas idée de tout ce que je suis prête à faire pour toi Yohan … mais j’ai fini de jouer. » Il caresse sa joue presque désolée d’en être arrivée là.
Elle savait pertinemment que le garçon ne la laisserait pas partir aussi facilement et c’était peut-être cette explosion de colère qu’elle attendait. Qu’il la pousse à sortir de ses gongs. Que la vérité explose enfin. Mais Srey était loin d’être prête à lui dire qu’elle l’aimait, oh non, elle était à peine prête à le quitter alors tout lui dire … qu’elle idée folle. Mais il fallait que les choses avancent, elle s’en persuadait la gosse en levant vers lui son regard à la fois électrique et doux. « C’est fini … » répète-t-elle une moue remplie d’assurance étirant ses lèvres.
CODES LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Ven 8 Déc - 9:51 Citer EditerSupprimer
Tenue L'amour trop souvent n'offre aux cœurs abusés qu'un bonheur décevant. et l’amour qui possédait différent visages revêtait parfois celui de la relation toxique. il était abusif, excessif et immodéré empoisonnant la vie de sa partenaire. peur de l’échec, d’être rejeté, jugé, aucune raison n’était suffisante pour justifier la manière qu’il avait de traiter srey. il la détruisait à petit feu, lui offrant constamment cette petite lueur d’espoir qui lui laissait entrapercevoir la possibilité qu’un jour il finisse par se contenter d’elle. système d’auto défense, la blesser revenait à l’éloigner, la tenir à l’écart, pour mieux survivre, éviter de chuter à nouveau, de s’auto détruire un peu plus qu’il ne le faisait d’hors et déjà. et plus il la rejetait plus il désirait la retenir, la garder près de lui, rien que pour lui. il sait cette relation nuisible et destructive autant pour elle que pour lui, était-ce voué à l’échec, n’y avait-il pas une chance minime qu’il s’offre à elle?
les paroles de la jeune femme le brise de l’intérieur, encore plus qu’il ne l’est déjà et quand bien même l’expression de son visage ne le démontre guère, yohan est littéralement abattus. n’était-ce pourtant pas ce qu’il voulait ? la faire souffrir pour mieux la repousser ? la salir pour mieux la dégoutter ? la hair pour mieux l’aimer ? il a mal et parcequ’il a mal, il ressent ce besoin qu’elle ai aussi mal; mais n’est-ce pourtant déjà pas le cas, n’est-elle pas celle qui en souffre le plus. ces mots sonnent comme des lames s’efforçant dans sa chair, se retournant encore et encore de sorte à ce qu’il puisse ressentir cette douleur à maintes reprises, la laissant s’ancrer en lui. que veux-tu de plus que je ne puisse te donner ? finit-il par lâcher lorsque la jeune femme en a finis, son regard noir soudainement moins agressif presqu’absent, perdu. c’était la première fois qu’elle allait aussi loin dans ses paroles, la première fois qu’elle lui faisait part de son désir d’en finir sous entendant qu’elle ne pouvait physiquement et mentalement plus supporter cette relation bien plus toxique que bénéfique qu’était la leur. et pourtant il n’était toujours pas prêt à la laisser partir, il ne le pouvait tout simplement pas. y penser seulement, lui était insupportable. imaginer qu’elle puisse appartenir à un autre, sourire à un autre que lui, pleurer pour un autre homme et pire encore aimer quelqu’un d’autre que lui, lui était intolérable. il voulait la repousser mais au final il en était complètement incapable, parcequ’il n’était personne, le fantôme d’un être décédé, jouant de l’identité d’une jeune homme qu’il n’était guère. pas de famille, pas d’origine, aucune attache. si ce n’est srey. son pilier, son point faible.
c’est vraiment ce que tu veux? il se recule, son regard égaré, observant les débris de verre sur le sol et ses mains qui tremblent encore sous le coup de la colère. il ne sait plus ce qu’il veut; ce qu’il ne veut guère, pas réellement, pas de manière rationnelle, il ne veut pas qu’elle cesse d’être sienne mais il n’est pas prêt à se donner pleinement à elle. qu’est-ce qu’y est finis srey ? il passe une main dans sa chevelure incapable de réfléchir ni même de savoir ce qu’il doit faire; s’énerver ? s’excuser ? accepter ? expirant bruyamment, il ferme les yeux tentant de remettre ses idées en place, la paume de sa main sur son front alors qu’il plisse les sourcils. il souffre yohan, il ne l’admettra jamais, il ne l’a d’ailleurs jamais fait mais il souffre à s’en couper les veines comme il le fût auparavant. Le bon côté des choses c’est qu’il avait compris qu’il était bien trop lâche pour mettre fin à ses jours. dans le cas contraire sans aucun doute n’auraient-ils guère cette conversation. cela aurait mieux ainsi, qu’elle ne le rencontre guère, qu’il ne la rencontre guère. il a des troubles du l’humeur, changeant d’humeur en un claquement de seconde, de l’excitation à la colère, de la colère à la confusion, de la confusion à quoi ? il se rapproche de srey, son regard sombre s’ancrant dans le sien alors qu’il vient poser ses mains autour du doux visage de la jeune femme. “ si c’est réellement ce que tu veux, alors j’essaierai. “ de te laisser partir, de t’oublier, de ne plus te contrôler. mais en serait-il capable ? pourrait-il réellement lâcher cette laisse qu’il lui avait attaché autour du coup ? rapprochant son visage de celui de la demoiselle, il s’arrête à quelques centimètres de son visage, leur souffles se mêlant tandis qu’il ferme les yeux savourant cet instant qu’il est prêt à considérer comme étant leur “dernier instant”. ses lèvres charnues se posent sur celle de srey dans un baiser étrangement tendre, il inspire, cesse de respirer, ancre ce souvenir dans son esprit puis se détache lentement. “ considérons qu’il s’agit du dernier. “
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue L'amour trop souvent n'offre aux cœurs abusés qu'un bonheur décevant. et l’amour qui possédait différent visages revêtait parfois celui de la relation toxique. il était abusif, excessif et immodéré empoisonnant la vie de sa partenaire. peur de l’échec, d’être rejeté, jugé, aucune raison n’était suffisante pour justifier la manière qu’il avait de traiter srey. il la détruisait à petit feu, lui offrant constamment cette petite lueur d’espoir qui lui laissait entrapercevoir la possibilité qu’un jour il finisse par se contenter d’elle. système d’auto défense, la blesser revenait à l’éloigner, la tenir à l’écart, pour mieux survivre, éviter de chuter à nouveau, de s’auto détruire un peu plus qu’il ne le faisait d’hors et déjà. et plus il la rejetait plus il désirait la retenir, la garder près de lui, rien que pour lui. il sait cette relation nuisible et destructive autant pour elle que pour lui, était-ce voué à l’échec, n’y avait-il pas une chance minime qu’il s’offre à elle?
les paroles de la jeune femme le brise de l’intérieur, encore plus qu’il ne l’est déjà et quand bien même l’expression de son visage ne le démontre guère, yohan est littéralement abattus. n’était-ce pourtant pas ce qu’il voulait ? la faire souffrir pour mieux la repousser ? la salir pour mieux la dégoutter ? la hair pour mieux l’aimer ? il a mal et parcequ’il a mal, il ressent ce besoin qu’elle ai aussi mal; mais n’est-ce pourtant déjà pas le cas, n’est-elle pas celle qui en souffre le plus. ces mots sonnent comme des lames s’efforçant dans sa chair, se retournant encore et encore de sorte à ce qu’il puisse ressentir cette douleur à maintes reprises, la laissant s’ancrer en lui. que veux-tu de plus que je ne puisse te donner ? finit-il par lâcher lorsque la jeune femme en a finis, son regard noir soudainement moins agressif presqu’absent, perdu. c’était la première fois qu’elle allait aussi loin dans ses paroles, la première fois qu’elle lui faisait part de son désir d’en finir sous entendant qu’elle ne pouvait physiquement et mentalement plus supporter cette relation bien plus toxique que bénéfique qu’était la leur. et pourtant il n’était toujours pas prêt à la laisser partir, il ne le pouvait tout simplement pas. y penser seulement, lui était insupportable. imaginer qu’elle puisse appartenir à un autre, sourire à un autre que lui, pleurer pour un autre homme et pire encore aimer quelqu’un d’autre que lui, lui était intolérable. il voulait la repousser mais au final il en était complètement incapable, parcequ’il n’était personne, le fantôme d’un être décédé, jouant de l’identité d’une jeune homme qu’il n’était guère. pas de famille, pas d’origine, aucune attache. si ce n’est srey. son pilier, son point faible.
c’est vraiment ce que tu veux? il se recule, son regard égaré, observant les débris de verre sur le sol et ses mains qui tremblent encore sous le coup de la colère. il ne sait plus ce qu’il veut; ce qu’il ne veut guère, pas réellement, pas de manière rationnelle, il ne veut pas qu’elle cesse d’être sienne mais il n’est pas prêt à se donner pleinement à elle. qu’est-ce qu’y est finis srey ? il passe une main dans sa chevelure incapable de réfléchir ni même de savoir ce qu’il doit faire; s’énerver ? s’excuser ? accepter ? expirant bruyamment, il ferme les yeux tentant de remettre ses idées en place, la paume de sa main sur son front alors qu’il plisse les sourcils. il souffre yohan, il ne l’admettra jamais, il ne l’a d’ailleurs jamais fait mais il souffre à s’en couper les veines comme il le fût auparavant. Le bon côté des choses c’est qu’il avait compris qu’il était bien trop lâche pour mettre fin à ses jours. dans le cas contraire sans aucun doute n’auraient-ils guère cette conversation. cela aurait mieux ainsi, qu’elle ne le rencontre guère, qu’il ne la rencontre guère. il a des troubles du l’humeur, changeant d’humeur en un claquement de seconde, de l’excitation à la colère, de la colère à la confusion, de la confusion à quoi ? il se rapproche de srey, son regard sombre s’ancrant dans le sien alors qu’il vient poser ses mains autour du doux visage de la jeune femme. “ si c’est réellement ce que tu veux, alors j’essaierai. “ de te laisser partir, de t’oublier, de ne plus te contrôler. mais en serait-il capable ? pourrait-il réellement lâcher cette laisse qu’il lui avait attaché autour du coup ? rapprochant son visage de celui de la demoiselle, il s’arrête à quelques centimètres de son visage, leur souffles se mêlant tandis qu’il ferme les yeux savourant cet instant qu’il est prêt à considérer comme étant leur “dernier instant”. ses lèvres charnues se posent sur celle de srey dans un baiser étrangement tendre, il inspire, cesse de respirer, ancre ce souvenir dans son esprit puis se détache lentement. “ considérons qu’il s’agit du dernier. “
“Do not hold your breath for anyone,
Do not wish your lungs to be still,
It may delay the cracks from spreading,
But eventually they will.
Sometimes to keep yourself together
You must allow yourself to leave,
Even if breaking your own heart
Is what it takes to let you breathe.”
Do not wish your lungs to be still,
It may delay the cracks from spreading,
But eventually they will.
Sometimes to keep yourself together
You must allow yourself to leave,
Even if breaking your own heart
Is what it takes to let you breathe.”
CODES LITTLE WOLF.
Invité
Invité
Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Ven 2 Mar - 11:14 Citer EditerSupprimer
Tenue - « T’es vraiment qu’un pauvre crétin ? » gémit-elle entre deux sanglots, retenant ses larmes du mieux qu’elle pouvait. Elle le fixe en tremblant, c’était tout son corps qui ne se révulsait à la simple idée de quitter ces lieux et c’était son cœur qui se brisait en pensant à ce qu’elle devra laisser tomber pour lui. Elle l’aime ? Elle l’aime tellement que cette situation n’est plus vivable. Elle avait fini par tout accepter venant de lui, mais Srey n’était pas trophée de plus. Elle n’était pas une de ces filles qu’il pouvait balloter comme bon lui semblait … elle avait du caractère, assez d’estime d’elle-même pour ne pas sombrer comme une idiote pour les beaux yeux de Yohan. Elle préférait vivre seule et malheureuse plutôt que de subir ses frasques et de sentir son cœur se briser encore et encore en restant à ses côtés. Elle avait attendu, assez patiemment à son sens, qu’il se décide, laissant défiler les années jusqu’à lui donner l’impression d’être une âme fatiguée sans ardeur. Elle se sentait vide Khaliyan quand elle était à ses côtés, autant qu’elle se sentait vivante. Un contraste si douloureux … Elle n’en pouvait plus de se forcer à regarder ce spectacle sans détourner les yeux. Et lui … lui continuait de s’en amuser. Criant à qui voulait l’entendre qu’il était libre et heureux. Qu’il fort et puissant. Mais il n’était qu’un gosse qui s’amusait avec la vie comme on joue avec ses petits soldats de plombs. Il se confortait derrière son masque et c’était bien la seule raison qui avait poussé Srey à rester. Parce qu’elle connaissait le vrai Yohan. Celui qui souffrait. Celui qui n’avait aucune idée de qui il était, de qui il pouvait être. Alors elle avait accepté cette version minable de Yohan, celle qu’il pensait arborer pour être heureux. C’était bien ridicule … Elle secoue la tête et sent son cœur laisser tomber les derniers morceaux qui pouvaient encore subsister.
✻✻✻
Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - « T’es vraiment qu’un pauvre crétin ? » gémit-elle entre deux sanglots, retenant ses larmes du mieux qu’elle pouvait. Elle le fixe en tremblant, c’était tout son corps qui ne se révulsait à la simple idée de quitter ces lieux et c’était son cœur qui se brisait en pensant à ce qu’elle devra laisser tomber pour lui. Elle l’aime ? Elle l’aime tellement que cette situation n’est plus vivable. Elle avait fini par tout accepter venant de lui, mais Srey n’était pas trophée de plus. Elle n’était pas une de ces filles qu’il pouvait balloter comme bon lui semblait … elle avait du caractère, assez d’estime d’elle-même pour ne pas sombrer comme une idiote pour les beaux yeux de Yohan. Elle préférait vivre seule et malheureuse plutôt que de subir ses frasques et de sentir son cœur se briser encore et encore en restant à ses côtés. Elle avait attendu, assez patiemment à son sens, qu’il se décide, laissant défiler les années jusqu’à lui donner l’impression d’être une âme fatiguée sans ardeur. Elle se sentait vide Khaliyan quand elle était à ses côtés, autant qu’elle se sentait vivante. Un contraste si douloureux … Elle n’en pouvait plus de se forcer à regarder ce spectacle sans détourner les yeux. Et lui … lui continuait de s’en amuser. Criant à qui voulait l’entendre qu’il était libre et heureux. Qu’il fort et puissant. Mais il n’était qu’un gosse qui s’amusait avec la vie comme on joue avec ses petits soldats de plombs. Il se confortait derrière son masque et c’était bien la seule raison qui avait poussé Srey à rester. Parce qu’elle connaissait le vrai Yohan. Celui qui souffrait. Celui qui n’avait aucune idée de qui il était, de qui il pouvait être. Alors elle avait accepté cette version minable de Yohan, celle qu’il pensait arborer pour être heureux. C’était bien ridicule … Elle secoue la tête et sent son cœur laisser tomber les derniers morceaux qui pouvaient encore subsister.
Elle ravale ses larmes du mieux qu’elle pouvait. Elle n’avait pas envie d’être faible devant lui mais à cet instant, dans le fond, elle se moquait bien de tout ça. Elle était fatiguée. Amoureusement fatiguée. « Tu n’as jamais rien compris Yohan … » Souffle-t-elle en essuyant rageusement ses yeux laissant une trainée de mascara sur ses pommettes. « C’est toi que je veux. C’est toi que j’ai toujours voulu. Mais tu ne pourras jamais être assez courageux pour être à moi … » Elle attrape une veste oubliée et l’enfile rageusement en tentant de contrôler le tremblement de ses mains. Elle sait que ses prochaines paroles vont tout casser, qu’elles vont lui être aussi douloureuses à prononcer qu’à entendre. Mais à cet instant elle a besoin de le blesser autant qu’elle souffre. Elle laisse échapper un rire désabusé et triste en soufflant, ses yeux de félines blessée encrée aux siens. « Au moins Il Kwon le sera assez à ta place … » Et son regard se fait si éloquent que Yohan ne peut pas manquer le sous-entendu. Elle arque un petit sourcil, l’air de dire : t’as vu comme ça fait mal ? Elle lui laisse le temps d’assimiler l’information et ne fuit pas. Ne prends pas la peine d’avoir le dernier mot. Elle veut le voir, son regard se voiler, son expression se changer et elle veut l’entendre, son cœur se briser. Même s’il fallait avouer … qu’à la seconde où elle avait prononcé ces mots … elle avait envie de se jeter à son cou en le suppliant de tout oublier pour qu’ils ne soient que tous les deux … mais elle ne se laisserait jamais tomber aussi bas. Jamais.
CODES LITTLE WOLF.
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2