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Bad things happen ft yoliyan (-16)
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Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Mer 7 Mar - 16:37 Citer EditerSupprimer
Tenue « Tu n’as jamais rien compris Yohan … » L'incompréhension le plus souvent ne vient pas d'un manque d'intelligence mais d'un manque de sens. Il était incapable de trouver des réponses à ses questions, bloqué dans l'instant, incapable d'échapper à cette voix inquisitrice qui n'avait de cesse de lui répéter qu'il n'était pas celui que l'on appelait yohan. un usurpateur, un acteur, une ombre. et elle avait raison. il n'avait jamais rien compris et peut-être au fond ne voulait-il pas comprendre. parceque comprendre c'était accepté que la vérité le frappe en plein visage, c'était accepter de voir le monde qu'il s'était efforcé à bâtir autour de lui tel d'immenses murs de briques ne finissent par s'affaisser sur lui. lui rappelant à quel point les délimitations de son monde était fines, fragiles, quasi inexistantes. il errait dans les abîmes de l'inconnu, se rattachant au peu de personnes qui percevaient un potentiel en lui, n'hésitant guère à les détruire à l'instant même où il en avait la possibilité. mais ça il le savait, il le savait qu'elle le voulait tout autant qu'il la voulait, il le savait si bien qu'il l'avait repoussé de toutes ses forces, cédant pour finalement se ressaisir, la gardant constamment à distance pour éviter de ne faire bien pire que ce qu'il lui infligeait, à moins qu'il ne la rejette dans l'unique but égoïste de renforcer les barrières qui le recouvrent, dans le seul objectif de s'auto protéger persuadé que si c'était lui qui la blessait alors jamais elle ne le ferait.
« Au moins Il Kwon le sera assez à ta place … » un sourire se dessine sur ses fines lèvres. qui essaie t-il de tromper ainsi, son sourire se tordant lentement en une grimace douloureuse. il le perçoit dans son regard. Au-delà du silence, il y a la solitude, entre l'abandon et la trahison. elle laissait un goût particulièrement douloureux et amer, un sentiment de vide et l'impression que son coeur se serrait jusqu'à ne plus pouvoir respirer. il souffre, tellement. expirant, il finit par lui tourner le dos, se dirigeant vers le bar de son bureau il s'empare d'une veille bouteille de bourbon dont il plaque le goulot contre ses lèvres, s'imbibant du nectar chaud et épicé qui s'en écoule. ingurgitant gorgées après gorgées. comment avait-il pu leur faire confiance alors qu'il n'avait même pas confiance en lui-même? il avait abaissé ses barrières persuadé d'être le monstre qui extériorisait sa peine sur elle. son frère et la femme qu'il aimait. quelle ironie du sort. il se sent soudainement si stupide, si ridicule, retirant le goulot de ses lèvres, il balance sa tête en arrière. c'est fou à quel point il a envie de se foutre en l'air. dire qu'ils était tout ce qui le rattachait à cette merde qu'on appelait la vie. " c'est cool. longue vie aux amants! " lâche t-il dans un rire pithiatique, nerveux, agité. putain merde c'était quoi ce délire. pourquoi n'avait-il même pas la force de lui hurler dessus, de courir hors du bureaux pour aller défoncer la gueule de celui qu'il avait toujours considérer comme étant la personne la plus important de sa vie ? D'abord il y a le désir, puis la passion, ensuite le soupçon, la jalousie, la colère, la trahison, quand l'amour va au plus offrant la confiance est impossible, et sans la confiance il n'y a pas d'amour. La jalousie, oui, la jalousie te rendra démon. " tu peux te casser maintenant, j'ai envie de dormir " prononce t-il tout en se laissant tomber sur le canapé, une énième cigarette glissée entre ses lèvres, son regard la jaugeant un instant avant de ne se reporter sur la cigarette qu'il allume. il n'y avait plus rien à faire, ni retour en arrière ni porte de sortie. le néant.
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Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue « Tu n’as jamais rien compris Yohan … » L'incompréhension le plus souvent ne vient pas d'un manque d'intelligence mais d'un manque de sens. Il était incapable de trouver des réponses à ses questions, bloqué dans l'instant, incapable d'échapper à cette voix inquisitrice qui n'avait de cesse de lui répéter qu'il n'était pas celui que l'on appelait yohan. un usurpateur, un acteur, une ombre. et elle avait raison. il n'avait jamais rien compris et peut-être au fond ne voulait-il pas comprendre. parceque comprendre c'était accepté que la vérité le frappe en plein visage, c'était accepter de voir le monde qu'il s'était efforcé à bâtir autour de lui tel d'immenses murs de briques ne finissent par s'affaisser sur lui. lui rappelant à quel point les délimitations de son monde était fines, fragiles, quasi inexistantes. il errait dans les abîmes de l'inconnu, se rattachant au peu de personnes qui percevaient un potentiel en lui, n'hésitant guère à les détruire à l'instant même où il en avait la possibilité. mais ça il le savait, il le savait qu'elle le voulait tout autant qu'il la voulait, il le savait si bien qu'il l'avait repoussé de toutes ses forces, cédant pour finalement se ressaisir, la gardant constamment à distance pour éviter de ne faire bien pire que ce qu'il lui infligeait, à moins qu'il ne la rejette dans l'unique but égoïste de renforcer les barrières qui le recouvrent, dans le seul objectif de s'auto protéger persuadé que si c'était lui qui la blessait alors jamais elle ne le ferait.
« Au moins Il Kwon le sera assez à ta place … » un sourire se dessine sur ses fines lèvres. qui essaie t-il de tromper ainsi, son sourire se tordant lentement en une grimace douloureuse. il le perçoit dans son regard. Au-delà du silence, il y a la solitude, entre l'abandon et la trahison. elle laissait un goût particulièrement douloureux et amer, un sentiment de vide et l'impression que son coeur se serrait jusqu'à ne plus pouvoir respirer. il souffre, tellement. expirant, il finit par lui tourner le dos, se dirigeant vers le bar de son bureau il s'empare d'une veille bouteille de bourbon dont il plaque le goulot contre ses lèvres, s'imbibant du nectar chaud et épicé qui s'en écoule. ingurgitant gorgées après gorgées. comment avait-il pu leur faire confiance alors qu'il n'avait même pas confiance en lui-même? il avait abaissé ses barrières persuadé d'être le monstre qui extériorisait sa peine sur elle. son frère et la femme qu'il aimait. quelle ironie du sort. il se sent soudainement si stupide, si ridicule, retirant le goulot de ses lèvres, il balance sa tête en arrière. c'est fou à quel point il a envie de se foutre en l'air. dire qu'ils était tout ce qui le rattachait à cette merde qu'on appelait la vie. " c'est cool. longue vie aux amants! " lâche t-il dans un rire pithiatique, nerveux, agité. putain merde c'était quoi ce délire. pourquoi n'avait-il même pas la force de lui hurler dessus, de courir hors du bureaux pour aller défoncer la gueule de celui qu'il avait toujours considérer comme étant la personne la plus important de sa vie ? D'abord il y a le désir, puis la passion, ensuite le soupçon, la jalousie, la colère, la trahison, quand l'amour va au plus offrant la confiance est impossible, et sans la confiance il n'y a pas d'amour. La jalousie, oui, la jalousie te rendra démon. " tu peux te casser maintenant, j'ai envie de dormir " prononce t-il tout en se laissant tomber sur le canapé, une énième cigarette glissée entre ses lèvres, son regard la jaugeant un instant avant de ne se reporter sur la cigarette qu'il allume. il n'y avait plus rien à faire, ni retour en arrière ni porte de sortie. le néant.
CODES LITTLE WOLF.
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Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Mar 1 Mai - 16:29 Citer EditerSupprimer
Tenue - « Bien. » c’était le seul mot qu’elle avait pu prononcer avant que sa gorge ne se serre. Ca concluait leur relation. Mettait un point à leur histoire ? Elle se persuadait que non … Mais elle n’était pas certaine d’avoir le courage de lui courir après. Parce que maintenant c’était elle la coupable. La responsable. La fautive. Elle était celle qui avait tout gâchée … Il lui ferait payer. Elle en était certaine. Elle redresse ses épaules et vacille. Elle n’était pas certaine de ce qu’elle devait désormais faire. Partir. Rester. Supplier. Crever ? La dernière option lui paraissait la plus facile et la moins douloureuse. Elle devrait quitter ce bureau mais elle en est incapable. Elle serre les dents et s’avance vers son sac à main qu’elle avait laissé tomber près de la chaise à son entré dans la pièce. Elle fouille dedans, les mots durs de Yohan ne l’atteignent même plus. Son cœur est si anesthésié et brisé qu’elle ne ressent plus rien. Jamais. Elle tire de son sac cette barrette en forme de petite couronne qu’elle avait toujours dans les cheveux plus jeune. C’était sûrement là son bien le plus précieux bien qu’elle n’oserait jamais l’avouer … elle se tourne vers lui, le fixe, lui et son air dévasté … comment ont-ils fait pour en arriver là … ? Ils n’étaient pas censés se déchirer ainsi. Ils n’étaient pas censés se faire autant de mal. Ils s’aimaient, c’était d’une évidence limpide quand elle observe sa réaction.
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Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue - « Bien. » c’était le seul mot qu’elle avait pu prononcer avant que sa gorge ne se serre. Ca concluait leur relation. Mettait un point à leur histoire ? Elle se persuadait que non … Mais elle n’était pas certaine d’avoir le courage de lui courir après. Parce que maintenant c’était elle la coupable. La responsable. La fautive. Elle était celle qui avait tout gâchée … Il lui ferait payer. Elle en était certaine. Elle redresse ses épaules et vacille. Elle n’était pas certaine de ce qu’elle devait désormais faire. Partir. Rester. Supplier. Crever ? La dernière option lui paraissait la plus facile et la moins douloureuse. Elle devrait quitter ce bureau mais elle en est incapable. Elle serre les dents et s’avance vers son sac à main qu’elle avait laissé tomber près de la chaise à son entré dans la pièce. Elle fouille dedans, les mots durs de Yohan ne l’atteignent même plus. Son cœur est si anesthésié et brisé qu’elle ne ressent plus rien. Jamais. Elle tire de son sac cette barrette en forme de petite couronne qu’elle avait toujours dans les cheveux plus jeune. C’était sûrement là son bien le plus précieux bien qu’elle n’oserait jamais l’avouer … elle se tourne vers lui, le fixe, lui et son air dévasté … comment ont-ils fait pour en arriver là … ? Ils n’étaient pas censés se déchirer ainsi. Ils n’étaient pas censés se faire autant de mal. Ils s’aimaient, c’était d’une évidence limpide quand elle observe sa réaction.
Etait-ce trop tard à présent ? N’avaient-ils le courage de se donner une dernière chance ? Srey s’avance doucement vers lui, craignant de nouvelles paroles blessantes qu’elle n’aurait su supporter. C’était un miracle qu’elle puisse ainsi tenir debout. Chacune des fautes de Yohan lui avait entaillé le cœur, le corps, l’âme. Chacune de ses infidélités non cachés, chacun de ses mensonges amusés. Elle avait perdu son souffle à mesure qu’elle le laissait jouer, qu’elle le laissait avoir peur et fuir … Elle avait tenté d’être forte, vacillant tant de fois bien qu’elle s’était toujours rattrapée. Elle n’avait plus aucune force. Pas ce soir en tout cas … Elle dépose la barrette à côté de lui. Ça lui déchirait le cœur d se séparer de cet objet, si symbolique à ses yeux. Elle n’était pas naïve au point de croire qu’il aurait fait d’elle sa seule et unique reine mais qu’ils auraient pu dominer le monde à eux deux … que si l’amour ne les avait pas unit comme elle le désirait si ardemment, qu’ils puissent au moins … qu’ils puissent au moins être uni dans leur folie de dominer leur univers.
Elle se redresse lentement en murmurant « Le jour où tu te sentiras prêt à tenir ta promesse vins me trouver … » et parce qu’elle le connaissait suffisamment elle ajouta « S’il te plait ne gâche pas ce souvenir … » parce qu’elle entendait une petite voix au fond d’elle l’imiter parce que tu crois que j’étais sincère ?! Parce que tu crois que j’accorde de l’importance à cette barrette ?! Blessé comme il était … elle ferme les yeux avant de les rouvrir le regardant avec tellement de douleur dans les yeux que Yohan ne pouvait que comprendre que le moindre mot de travers de sa part casserait tout. Pour de bon. Elle retient ses larmes en se détournant et récupère son sac. Elle aimait énormément Il Kwon mais ce n’était rien comparé à l’amour et la dévotion qu’elle vouait à Yohan … il était l’amour de sa vie mais le jeune homme n’était pas prêt pour endosser ce rôle. Srey se tenait désormais au bord d’un gouffre et il ne restait plus qu’à Yohan de décider ce qu’ils adviendraient tous les deux. Elle ne savait pas où elle trouvait la force d’avancer et de marcher jusqu’à cette porte qu’elle ouvre. Les doigts crispés sur la poignée elle espère l’entendre la retenir. Rien qu’un mot, une preuve que tout n’est pas fini … même si ce soir il la laisse partir …
CODES LITTLE WOLF.
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Re: Bad things happen ft yoliyan (-16) | Sam 26 Mai - 19:35 Citer EditerSupprimer
Tenue elle était son dernier pilier, tout ce qu'il le maintenait debout, lui permettait de percevoir une fine lueur d'espoir dans cette vie que le passé anéantissait. il s'était reposé si longtemps sur les épaules de sa cadette, persuadé qu'un jour il finirait par se relever, soutenu par celle qui deviendrait, si futur il avait, sans hésitation sa femme. il avait conscience d'être le pire des enfoirés, la pire enflure qui puisse être. il savait pertinnemment ce qu'il lui infligeait. mais ce qu'il faisait à ces femmes c'est tout ce qu'il se refusait de lui faire, c'était extérioriser cette haine, cette peine que srey ne méritait guère de ressentir. aucune excuse aurait su pardonner ses actes, son tempéramment ni même son attitude envers la jeune femme. mais, malgrè tout cela il l'avait toujours pensé sincère, prête à attendre, patienter jusqu'à ce qu'il réussise enfin à oublier son passé, jusqu'à ce qu'il efface le moindre de ses tourments, jusqu'à ce qu'il soit prêt à entreprendre une relation sérieuse avec la demoiselle. parce que ça, il n'en était pas capable, pas maintenant, pas en étant aussi instable, pas lorsqu'il lui arrivait encore de vouloir mettre fin à ses jours. pas sans être sur de la rendre heureuse. mais tout comme il s'était inlassablement montré égoïste envers srey, celle-ci avait finis par le devenir, lui arrachant non pas son amour mais aussi son frère. un frère a qui il n'avait qu'une envie. cracher au visage.
il jette un coup d'oeil à la barette, sans un mot. cela n'avait plus aucune importance, ni ce morceaux de métal merdique ni même la jeune femme meurtrie qui lui faisait face. parce qu'à ce moment précis il était incapable de surmonter son propre désarroi, que toutes paroles ou gestes qu'il aurait se révélerait extrêmement blessant et violent, hors la seule chose qu'il pouvait encore se permettre de faire c'était de la laisser partir, de la laisser disparaitre, de laisser son visage s'effacer, l'autorisant ainsi à se plonger dans l'alcool avant de ne sombrer dans un sommeil profond tout en espérant vainement ne guère avoir à se réveiller. Nos chagrins et nos déceptions sont, au fond, notre œuvre ; le fait vient du dehors, l'effet vient de nous. Chaque vie se construit son tombeau, chacune de nos actions engendre un démon ou un ange chargé de la punir ou de la récompenser. il a tellement mal qu'il aimerait en crever, tirant sur sa cigarette sans se soucier que celle-ci en est déjà au filtre. alors c'était ça dont il était question : la roue tourne. et putain ce qu'elle tounait mal. balançant son mégot, il ferme les yeux. il sait qu'elle n'attend qu'une seule et unique chose de lui; et encore une fois c'est une chose qu'il se refusera à lui donner. parce que sa peine était purement égoiste et qu'à aucun moment il n'avait encore été capable de comprendre la sienne. " aurevoir srey. "
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Bad things happen
ft. yoliyan
Tenue elle était son dernier pilier, tout ce qu'il le maintenait debout, lui permettait de percevoir une fine lueur d'espoir dans cette vie que le passé anéantissait. il s'était reposé si longtemps sur les épaules de sa cadette, persuadé qu'un jour il finirait par se relever, soutenu par celle qui deviendrait, si futur il avait, sans hésitation sa femme. il avait conscience d'être le pire des enfoirés, la pire enflure qui puisse être. il savait pertinnemment ce qu'il lui infligeait. mais ce qu'il faisait à ces femmes c'est tout ce qu'il se refusait de lui faire, c'était extérioriser cette haine, cette peine que srey ne méritait guère de ressentir. aucune excuse aurait su pardonner ses actes, son tempéramment ni même son attitude envers la jeune femme. mais, malgrè tout cela il l'avait toujours pensé sincère, prête à attendre, patienter jusqu'à ce qu'il réussise enfin à oublier son passé, jusqu'à ce qu'il efface le moindre de ses tourments, jusqu'à ce qu'il soit prêt à entreprendre une relation sérieuse avec la demoiselle. parce que ça, il n'en était pas capable, pas maintenant, pas en étant aussi instable, pas lorsqu'il lui arrivait encore de vouloir mettre fin à ses jours. pas sans être sur de la rendre heureuse. mais tout comme il s'était inlassablement montré égoïste envers srey, celle-ci avait finis par le devenir, lui arrachant non pas son amour mais aussi son frère. un frère a qui il n'avait qu'une envie. cracher au visage.
il jette un coup d'oeil à la barette, sans un mot. cela n'avait plus aucune importance, ni ce morceaux de métal merdique ni même la jeune femme meurtrie qui lui faisait face. parce qu'à ce moment précis il était incapable de surmonter son propre désarroi, que toutes paroles ou gestes qu'il aurait se révélerait extrêmement blessant et violent, hors la seule chose qu'il pouvait encore se permettre de faire c'était de la laisser partir, de la laisser disparaitre, de laisser son visage s'effacer, l'autorisant ainsi à se plonger dans l'alcool avant de ne sombrer dans un sommeil profond tout en espérant vainement ne guère avoir à se réveiller. Nos chagrins et nos déceptions sont, au fond, notre œuvre ; le fait vient du dehors, l'effet vient de nous. Chaque vie se construit son tombeau, chacune de nos actions engendre un démon ou un ange chargé de la punir ou de la récompenser. il a tellement mal qu'il aimerait en crever, tirant sur sa cigarette sans se soucier que celle-ci en est déjà au filtre. alors c'était ça dont il était question : la roue tourne. et putain ce qu'elle tounait mal. balançant son mégot, il ferme les yeux. il sait qu'elle n'attend qu'une seule et unique chose de lui; et encore une fois c'est une chose qu'il se refusera à lui donner. parce que sa peine était purement égoiste et qu'à aucun moment il n'avait encore été capable de comprendre la sienne. " aurevoir srey. "
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