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Red blood in dark coffee [pv Jordan]
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Re: Red blood in dark coffee [pv Jordan] | Sam 21 Oct - 23:38 Citer EditerSupprimer
「 Frapper pour se défendre
Déchirer la tranquillité d'un lieu
En payer le prix, par le sang et par l'argent... 」
Se Jin & Jordan
Je ne suis pas vraiment étonné d’apprendre qu’elle ne sait pas cuisiner, je suis sûr qu’elle a d’autres qualités qui peuvent remplacer cette faiblesse. Ses mots me font sourire discrètement, elle l’assume tout à fait et bien que je ne connaisse pas encore bien le personnage, je crois que cela colle bien avec son caractère. Je ne fais pas de commentaires, étant aussi timide que silencieux, mais je suppose qu’elle ne s’en étonnera pas. Je commence donc à cuisiner et me retrouve dans mon élément, la seule activité qui fait de moi un homme plus calme, moins violent, moins maladroit aussi –enfin presque puisqu’il va sans dire que je suis toujours aux côtés d’une femme qui semble s’amuser à me taquiner. Je suis surpris qu’elle me pose une telle question et c’est pour cela que je cesse quelques secondes ma cuisine avant de la reprendre en lui répondant timidement, d’une voix qui a très peu confiance en elle.
Ma vision de la femme est assez différente de celle qu’ont la plupart des hommes mais ce n’est pas pour cela que je compte me mettre à penser comme mes semblables. Les femmes sont telles des reines qui ont toujours été rabaissées à un niveau inacceptables. Je me suis toujours mis un peu en-dessous de ces créatures qui ont toute une beauté que les hommes n’auront jamais et ne surpasseront jamais. Elles ont cette douceur et ce regard qui peut changer le cœur d’un des plus froids et des plus forts des hommes et c’est un pouvoir qu’en plus d’avoir sur moi, je leur envierais presque. La réponse de la jeune femme à la chevelure rousse me fait rougir et baisser les yeux sur ma viande pour tenter de cacher ma gêne face à ses mots. Je secoue légèrement la tête et continue ma cuisine en tentant de rester naturel mais je pense que c’est déjà raté…
-J… Je… Je n’oserais j-j-jamais regarder la poi… poi... poitrine d’une f-f-f-emme…
Cette phrase a eu beaucoup plus de difficultés à sortir que les précédentes qui étaient déjà fort hésitantes et je sens mes joues chauffer en espérant que c’est à cause de la chaleur régnant dans la pièce. J’ajoute ensuite qu’avec leur simple présence, les femmes ont la capacité de m’empêcher de penser et cela semble amuser Jordan qui continue de m’observer alors que je termine de préparer le repas. Elle me lâche une phrase qui me déstabilise encore et je lève un regard aussi surpris que gêné vers la jeune femme qui m’adresse juste un clin d’œil pour que je comprenne qu’elle plaisante. Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de rougir encore un peu en pensant qu’elle n’a pas tout à fait tort sur le fait qu’elle est très jolie. C’est probablement pour cela que je suis encore moins à l’aise en sa présence. Je prépare les assiettes du mieux que je peux et l’invite à retourner dans la salle qu’un peu plus tôt j’ai mis dans un désordre irresponsable. Je termine de préparer la table pour ensuite l’inviter à prendre place à celle-ci. J’ai préparé tout cela parce que je lui devais bien ça après avoir détruit le lieu où elle travaille. Je prends place en face d’elle mais manque de tomber à côté de ma chaise lorsqu’elle parle d’un dîner aux chandelles, un dîner romantique. Je me redresse tant bien que mal en essayant de cacher mon embarras et m’assied convenablement en lui faisant part de mon espoir que ça lui plaise pour cacher ma gêne. Je ne touche pas à mon plat, la fixant simplement comme elle goût le premier morceau de viande, elle ferme les yeux et mon souffle se coupe sous l’effet de la nervosité. J’ai peur que cela ne lui plaise pas, que ce ne soit pas à son goût et c’est pour cela que je n’ose pas manger tant qu’elle ne m’a pas donné son avis. Elle s’arrête après quelques secondes, remarquant probablement que je suis presque pendu à ses lèvres. Je pousse un petit soupir de soulagement quand elle annonce que c’est parfait et me remercie. Je ne lui demande pas si c’est vrai, si elle ne dit pas ça pour me faire plaisir parce que je préfère y croire aveuglément. Je ne suis pas très à l’aise en repensant à sa remarque sur notre dîner en tête à tête. Je tente de me concentrer sur le repas, commençant à mon tour à profiter du petit plat que je nous ai fait, mais en vain, l’idée d’être seul avec une femme me rend nerveux, surtout que j’ai bien senti qu’elle jouait un peu avec ma timidité… Sa question me prend alors au dépourvu et je lève un regard confus vers la jeune femme et hésite un peu avant d’essayer de reprendre mes esprits en prenant en premier lieu une bouchée du plat. Mes lèvres se pincent alors que j’avale et je dépose mes couverts en détournant le regard.
-Je… Je n’ai jamais vraiment d-draguer une fille… Je crois que… Cela se voit sur mon visage quand une jeune femme me plaît plus que de raison…
Je sais que mes paroles sont un peu étranges mais je n’ai réellement jamais vraiment « dragué ». C’est une attitude que je trouverais déplacée de ma part, surtout que je devrais l’adopter devant une jeune femme qui me plairait particulièrement. Cette pensée suffit à me rendre timide comme je le suis mais c’est plus fort que moi, je me permets de lui retourner la question en rougissant tout de même.
-E… Et vous ? Vous… Vous arrivez à d-draguer un h…homme ?
Cette pensée me met mal à l’aise, je n’arrive pas vraiment à concevoir que quelqu’un arrive à avoir assez de courage pour faire comprendre à une autre personne qu’elle lui plaît, explicitement…
Ma vision de la femme est assez différente de celle qu’ont la plupart des hommes mais ce n’est pas pour cela que je compte me mettre à penser comme mes semblables. Les femmes sont telles des reines qui ont toujours été rabaissées à un niveau inacceptables. Je me suis toujours mis un peu en-dessous de ces créatures qui ont toute une beauté que les hommes n’auront jamais et ne surpasseront jamais. Elles ont cette douceur et ce regard qui peut changer le cœur d’un des plus froids et des plus forts des hommes et c’est un pouvoir qu’en plus d’avoir sur moi, je leur envierais presque. La réponse de la jeune femme à la chevelure rousse me fait rougir et baisser les yeux sur ma viande pour tenter de cacher ma gêne face à ses mots. Je secoue légèrement la tête et continue ma cuisine en tentant de rester naturel mais je pense que c’est déjà raté…
-J… Je… Je n’oserais j-j-jamais regarder la poi… poi... poitrine d’une f-f-f-emme…
Cette phrase a eu beaucoup plus de difficultés à sortir que les précédentes qui étaient déjà fort hésitantes et je sens mes joues chauffer en espérant que c’est à cause de la chaleur régnant dans la pièce. J’ajoute ensuite qu’avec leur simple présence, les femmes ont la capacité de m’empêcher de penser et cela semble amuser Jordan qui continue de m’observer alors que je termine de préparer le repas. Elle me lâche une phrase qui me déstabilise encore et je lève un regard aussi surpris que gêné vers la jeune femme qui m’adresse juste un clin d’œil pour que je comprenne qu’elle plaisante. Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de rougir encore un peu en pensant qu’elle n’a pas tout à fait tort sur le fait qu’elle est très jolie. C’est probablement pour cela que je suis encore moins à l’aise en sa présence. Je prépare les assiettes du mieux que je peux et l’invite à retourner dans la salle qu’un peu plus tôt j’ai mis dans un désordre irresponsable. Je termine de préparer la table pour ensuite l’inviter à prendre place à celle-ci. J’ai préparé tout cela parce que je lui devais bien ça après avoir détruit le lieu où elle travaille. Je prends place en face d’elle mais manque de tomber à côté de ma chaise lorsqu’elle parle d’un dîner aux chandelles, un dîner romantique. Je me redresse tant bien que mal en essayant de cacher mon embarras et m’assied convenablement en lui faisant part de mon espoir que ça lui plaise pour cacher ma gêne. Je ne touche pas à mon plat, la fixant simplement comme elle goût le premier morceau de viande, elle ferme les yeux et mon souffle se coupe sous l’effet de la nervosité. J’ai peur que cela ne lui plaise pas, que ce ne soit pas à son goût et c’est pour cela que je n’ose pas manger tant qu’elle ne m’a pas donné son avis. Elle s’arrête après quelques secondes, remarquant probablement que je suis presque pendu à ses lèvres. Je pousse un petit soupir de soulagement quand elle annonce que c’est parfait et me remercie. Je ne lui demande pas si c’est vrai, si elle ne dit pas ça pour me faire plaisir parce que je préfère y croire aveuglément. Je ne suis pas très à l’aise en repensant à sa remarque sur notre dîner en tête à tête. Je tente de me concentrer sur le repas, commençant à mon tour à profiter du petit plat que je nous ai fait, mais en vain, l’idée d’être seul avec une femme me rend nerveux, surtout que j’ai bien senti qu’elle jouait un peu avec ma timidité… Sa question me prend alors au dépourvu et je lève un regard confus vers la jeune femme et hésite un peu avant d’essayer de reprendre mes esprits en prenant en premier lieu une bouchée du plat. Mes lèvres se pincent alors que j’avale et je dépose mes couverts en détournant le regard.
-Je… Je n’ai jamais vraiment d-draguer une fille… Je crois que… Cela se voit sur mon visage quand une jeune femme me plaît plus que de raison…
Je sais que mes paroles sont un peu étranges mais je n’ai réellement jamais vraiment « dragué ». C’est une attitude que je trouverais déplacée de ma part, surtout que je devrais l’adopter devant une jeune femme qui me plairait particulièrement. Cette pensée suffit à me rendre timide comme je le suis mais c’est plus fort que moi, je me permets de lui retourner la question en rougissant tout de même.
-E… Et vous ? Vous… Vous arrivez à d-draguer un h…homme ?
Cette pensée me met mal à l’aise, je n’arrive pas vraiment à concevoir que quelqu’un arrive à avoir assez de courage pour faire comprendre à une autre personne qu’elle lui plaît, explicitement…
Red blood in dark coffee
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