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let's play a lov... sex game ~ lili (-18)
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let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 17 Sep - 0:06 Citer EditerSupprimer
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue // tes pas te mènent encore une fois devant la devanture du babylon. t’as un sourire qui s’affiche sur les lèvres alors que tu sais déjà ce qui va se passer avec ta belle lili. vous allez encore vous chercher verbalement et sexuellement. tu joues avec elle parce que ça te plait de voir ce regard qu’elle pose sur toi, ce regard enflammé. elle doit probablement te haïr de lui faire encore subir ce genre de chose parce qu’elle a arrêté de faire des stripteases mais tu t’en moques. qu’elle t’apprécie ou te déteste, tu continueras de la demander, de la faire danser pour toi. t’es subjugué, pour ne pas dire complètement obsédé, par ses formes, ses mouvements. toi qui ne sait pas danser, qui n’a aucune rythme dans la peau, tu es fasciné par tout ça. tu mentirais si tu disais qu’elle ne t’attirait pas physiquement. tu ne pourrais pas jouer avec elle de la sorte si ce n’était pas le cas. ton sourire s’étire alors que tu vérifies que tout est bien à sa place dans ta poche avant d’entrer dans le bâtiment. tu te diriges de suite vers le patron à qui tu serres la main lui remettant discrètement une liasse de billets. c’est devenu votre petit rituel. tu glisses quelques billets et lui te laisse profiter de ta soirée avec la fille que tu choisis. c’était ce qui était convenu. tu pouvais choisir la fille que tu voulais. sauf que toi, y en a qu’une qui t’intéresse, qu’une seule avec qui tu veux t’enfermer dans cette pièce et voir son corps se dévêtit pour toi, simplement pour toi. et depuis le début de ce deal, tu n’as jamais changé d’avis. c’est toujours lili que tu veux et ça le sera pendant bien longtemps. les autres sont belles, tu ne dis pas. mais elles ne te disent rien. elles ne sont pas malia. elles n’ont rien qui t’excite. tu sais pas vraiment pourquoi tu fais une fixation sur la jeune femme, mais tu t’en fous, tu veux t’amuser maintenant parce que tu n’as pas pu le faire jusqu’à présent avec na rae, ta copine, jusqu’à il y a six mois. tu l’aimais, tu l’aimes encore maintenant, même si tu essaies de l’oublier, mais tu t’ennuyais avec elle, sexuellement parlant. elle n’était pas adepte de jeux de rôle, de nouveautés. alors, avec elle, tu te cautionnais au simple missionnaire et c’était d’un ennui mortel. avec lili, même si tu ne l’as pas encore réellement touché, tu sens que tu pourrais faire ce que tu veux de ce corps et ça te plait, beaucoup trop d’ailleurs. tu secoues la tête pour éviter de penser à ça et tu t’assieds à ta place habituelle pendant qu’une fille t’apporte ton verre de champagne. t’as l’impression d’être le roi ici, d’être le maître des lieux. comme quoi, l’argent peut vraiment tout acheter. tu te délectes avec délice du breuvage pétillant, le regard rivé sur malia comme à ton habitude. elle doit le sentir, parce que ses yeux dérivent souvent vers toi et tu lui souris à chaque fois. sourire pervers, mais pas malsain. tu ne lui ferais jamais quelque chose qui lui déplaise, jamais. tu la respectes trop et les femmes en général pour ça. après une heure à siroter ton champagne, tu fais un signe de tête, votre signal, au patron pour lui faire comprendre que tu vas monopoliser lili pour toute la fin de la soirée. tu passes près d’elle et tu murmures pour elle seule. « apporte deux bouteilles de champagne et deux coupes. » t’attends même pas qu’elle ait réagit et tu te diriges vers une des salles en retrait qui donne plus d’intimité. tu souris en fermant la porte derrière toi et tu retires ta veste, après avoir pris ce que tu dois donner à malia. tu restes debout en attendant la jeune femme et quand elle rentre avec ce que tu as demandé, ton sourire s’élargit un peu plus. tu la laisses déposer tout sur la table pendant que tu refermes la porte derrière elle. tu t’approches dans son dos et tu attrapes ses cheveux pour les décaler sur son épaule. tu défais son choker que tu balances dans un coin de la pièce avant de lui mettre le tien. tu as été l’acheté un peu plus tôt dans la journée. tu voulais la marquer comme étant ta propriété. « j’voulais te prendre un collier de chien, mais ça aurait fait bizarre à ton cou. » que tu lances sur le ton de la plaisanterie, même si tu y avais pensé pendant quelques instants. tu finis par descendre ta bouche près de sa clavicule. ton souffle effleure sa peau avant que tu ne remontes vers son oreille. « maintenant déshabille toi. » et tu souris alors que tu la laisses là pour aller t’asseoir en face d’elle attendant ce pour quoi elle est payée.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 17 Sep - 18:52 Citer EditerSupprimer
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malia & euigeon
tenue ☾ tu attrapes la bouteille de vodka, servant un nouveau verre à ce client régulier. ouais, fidèle client, tu lui as même déjà fait un strip-tease à l'époque où tu te dévoilais pour gagner du fric, époque qui ne remonte à pas si loin que ça, au final, tu l'étais encore il y a quelques semaines de ça. ce n'était pas ton délire, clairement pas, t'avais l'impression d'être un bout de viande, ça te dégoûtait parfois, surtout lorsque tu tombais face à des clients qui ne comprenaient pas qu'un strip-tease n'est qu'un spectacle érotique dansé, et rien de plus. tu ne comptes même plus le nombre de fois où la sécurité est intervenue, même que parfois, elle n'avait même pas besoin de se ramener puisque c'était tes cinq doigts dans la figure que le client se prenait. tu as même souvent été rappelé à l'ordre, tu n'avais aucun droit de faire ça mais tu t'en moques. tu sais être professionnelle mais il y a des limites à ne pas dépasser, et tu te respectes. ce n'est pas parce que tu as joué les strip-teaseuse qu'il pouvait s'imaginer des choses, strip-teaseuse ne rime pas avec prostitués ou même fille facile. pourtant et même si ce n'était pas vraiment ta tasse de thé, parfois, ça ne te dérangeait pas tant que ça au fond, tu n'as jamais été complexée et puis, certains clients te respectaient, quand tout était réglo, tout était ok pour toi. mais il faut l'avouer, tu te sens beaucoup mieux derrière un bar ou à servir au babylon plutôt que de jouer les strip, tu n'avais simplement pas le choix. pourtant, il y a cet homme, homme pour qui tu continues de mouver ton corps de la manière la plus érotique qui soit. homme qui faisait et fait encore partie de ces mecs qui n'ont jamais été trop loin, danser pour lui ne t'a jamais réellement dérangé, pire, c'est le seul pour qui tu le voulais. parce qu'il y a ce jeu entre vous, jeu qui t'amuse au plus au point, qui t'excite aussi. tu te fais toujours autant d'argent grâce à lui d'ailleurs, il doit aimer ce jeu autant que toi pour dépenser tout son fric rien que pour toi, ça te plaît, il te plaît, tu ne vas pas le nier. « merci ma jolie. » te répond donc ce fameux client, fixant un peu trop ton décolleté. c'est en abordant toujours ce même sourire, que tu lui réponds. « mes yeux sont plus hauts. » ton sourire simulé, tu ne peux t'empêcher de lui faire la remarque, gentiment cela dit. tu n'aurais pas souris habituellement mais encore une fois, tu tentes de rester professionnelle. cependant, tu n'es plus là pour jouer les strip-teaseuse désormais. enfin bref, tu tournes vivement la tête vers ta collègue qui prend le relais au bar, le contournant pour t'aventurer dans la salle lorsque ton regard se pose sur euigeon. tu le sens depuis quelques minutes maintenant, son regard rivé sur toi, et tu ne peux t'empêcher de lui lancer un sourire. un sourire lourd de sens, un sourire séducteur avant de retourner à tes occupations. il est là. tu sais bien comment ça va se passer, qu'encore ce soir, tu joueras les strip-teaseuses pour ses beaux yeux et ouais, t'en souris à cette idée, à toute cette tension qui régnera encore entre vous. tu l'aimes tellement, votre petit jeu. « apporte deux bouteilles de champagne et deux coupes. » tu reconnais sa voix, c'est pour cette raison que tu tournes vivement la tête dans sa direction mais en réalité, il ne te laisse même pas le temps de réagir qu'il va d'ores et déjà vers l'une des salles en retrait. tu ne perds pas une minute, le patron te lançant un regard que tu déchiffres très vite, oui tu as compris, tu dois y aller, avec plaisir même. tu te diriges alors rapidement derrière le bar, te saisissant d'un plateau afin d'y déposer deux bouteilles de champagne et deux coupes, comme il te l'a demandé. tu sens même le regard de ta collègue se poser sur toi, tu sais pertinemment que si tu croises son regard, tu pourras y lire un : on dirait que ton jules est de retour. et là, t'as pas envie, t'as juste envie de profiter. encore mieux : profiter avec lui. alors tu pars en direction de la salle, ouvrant la porte à l'aide de ton coude, tu t'empresses de déposer le plateau sur une petite table près du fauteuil mais en réalité, tu n'as pas le temps de faire grand chose que tu le sens là, derrière toi et tu en souris. discrètement, un sourire taquin qui ne peut sans doute pas voir. tu le laisses faire alors qu'il attrape tes cheveux pour les décaler sur ton épaule, et sans que tu ais le temps de réfléchir, tu le sens détacher ton chocker et l'envoyer dans un coin de la pièce, tu le suis du regard, du coin de l'oeil tandis qu'il t'en vêtit d'un autre. tu as ce réflexe de baisser les yeux même si ce nouveau chocker est hors de ta vue, tu ne perds pas ton sourire, tu trouves ça même plutôt mignon dans son genre. « j’voulais te prendre un collier de chien, mais ça aurait fait bizarre à ton cou. » un sourire en coin, sa réflexion pourrait te faire pouffer de rire. tu sais qu'il plaisante, ça fait partie de ce petit jeu que tu aimes tant, c'est pour cette raison que tu lui réponds, sur le même ton, de la plaisanterie. « pourtant, je suis certaine que tu aimerais me tenir en laisse. » un sous-entendu pour la route, avec en prime, une expression des plus innocentes. ce mec, t'as envie de le pousser à bout, de tester ses limites. cependant, tu fermes les yeux un court instant lorsque tu sens son souffle chaud effleurer la peau de ton cou, ton sourire s'élargit même. « maintenant déshabille toi. » te lance t-il, prenant place sur le fauteuil face à toi. tu profites de cet instant pour tourner ton visage vers la gauche, là où un miroir se trouve afin d'observer ce chocker autour de ton cou, tu as même ce réflexe d'y passer ta main avant de très vite, reporter ton attention sur euigeon. un sourire qui se transforme très vite en un sourire assuré, un sourire même coquin dont tu en as le secret. et le timing parfait fait qu'une nouvelle musique se met en route, ta préférée pour tes danses érotiques. elle n'est pas forte, juste assez pour que vous puissiez l'entendre. alors doucement, seulement, ton corps commence doucement à se mouver au rythme de la musique, tu laisses la musique t'entraîner, ne le lâchant pas du regard, tu t'avances sensuellement vers lui. « tu m'as l'air impatient... » lâches-tu, d'une voix taquine. et puis très vite, tu viens plaquer tes mains sur ta poitrine, suivant le tempo de la musique, tu les laisses glisser le long de ton buste jusqu'à ce petit nœud qui relit ton chemisier, tu t'amuses avec, entourant ton doigt du fin tissue avant de tirer sensuellement sur ce dernier pour le détacher. et puis doucement, tu t'abaisses, écartant les cuisses de manière plus qu'érotique, ton corps ondulant toujours au son de la musique. tu restes même quelques secondes comme ça, ton regard planté dans le tien, tes mouvements aguicheurs, tes fesses galbées bougeant au rythme de ton corps. la danse n'a jamais eu aucun secret pour toi, tu danses depuis que tu es gamine et puis, le strip-tease non plus. ce n'est pas pour rien que tu étais la meilleure du babylon. et enfin, tu noues ce contact en déposant doucement tes mains sur ses genoux. tu y prends délicatement appui puis tu te redresses doucement, penchée vers lui, mais plutôt pour lui offrir une vue des plus alléchantes sur ton magnifique soutien-gorge. « je t'ai manqué ? » continues-tu, toujours plongé dans votre petit jeu, tu gardes ton petit sourire, à la fois satisfaite mais aussi, tout excité à l'idée de remettre ça.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Lun 18 Sep - 1:19 Citer EditerSupprimer
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malia & euigeon
tenue // elle est là sous tes yeux, dans cette tenue qui te fait rêver et tu ne peux pas la toucher. c’est la règle, on regarde mais on ne touche pas. il y en a qui ont essayé de déroger à cette règle mais souvent, ils se sont fait rembarrer. toi, tu fais ce que tu veux. malia, tu l’as déjà touchée, mais jamais bien longtemps, jamais trop indécemment. tu te retiens malgré l’envie qui ne manque pas. tout son corps t’attire. cette femme est clairement un appel au sexe. à chaque fois que tu la vois, t’as envie de lui sauter dessus, de lui arracher ses vêtements. mais tu te retiens. tu te retiens parce que votre jeu implique que vous ne craquiez pas. c’est la tension sexuelle qui vous réunit et ça te plait. à la place de pouvoir réellement la toucher, tu la marques comme étant ta propriété. tes lèvres, tes dents trouvent toujours leur chemin sur la peau blanche de la jeune femme, y laissant des marques plus ou moins visibles. tu ne cherches même pas à les cacher parce que tu veux que le bar entier sache qu’elle est à toi. tu comprends pas vraiment ce sentiment de possessivité qui t’amine quand tu penses à malia. vous n’êtes pas en couple et elle ne fait que son travail. pourtant, t’arrives pas à faire taire cette jalousie qui s’empare de toi à chaque fois qu’un mec la regarde. t’as envie de te lever de ton siège pour leur éclater la gueule contre une table. tu supportes pas les regards graveleux de tous ces chiens en rut sur le corps de ta belle. alors après une heure de ce manège incessant, tu perds patience et tu te diriges vers une salle en retrait après lui avoir passé commande. au moins, là t’es sûr qu’elle ne sera qu’à toi, qu’elle ne regardera que toi et mieux qu’elle ne dansera que pour toi. tu ne seras plus gêné par tous ces types qui ne pensent qu’à une chose la foutre dans leur lit pour ensuite pouvoir raconter leurs exploits. t’attends donc plus ou moins patiemment que lili décide de pointer le bout de son nez et quand elle entre, tu fermes la porte derrière elle, profitant de la vue de son fessier qui ressort quand elle se baisse. sourire narquois qui apparait sur tes lèvres alors que tu penses à tout ce que tu pourrais lui faire. mais tu réserves ça pour plus tard. pour le moment, tu t’approches d’elle et tu changes son choker, laissant entendre que tu aurais voulu lui acheter un collier de chien. t’y as pensé pour lui faire comprendre qu’elle n’était qu’à toi. mais tu n’es pas si dérangé, pas si pervers. pourtant quand elle prend la parole pour te parler de laisse, ton imagination vagabonde et tu la visualises à quatre pattes, totalement nue, à ta merci, une laisse reliant ta main à son cou. cette idée t’enchante, te donne envie de la prendre sauvagement sur la banquette de la salle. mais tu te retiens. tu ne relèves même pas ce qu’elle a dit et tu lui demandes de se déshabiller, puisque c’est exactement ce pour quoi tu la paies. tu viens prendre place en face d’elle et tu souris en l’observant jeter un coup d’œil dans le miroir pour avoir un aperçu de ce que tu lui as acheté. est-ce qu’elle aime ? tu sais pas vraiment, mais t’es plutôt content qu’elle ne l’enlève pas. tu veux la voir danser nue avec. la musique change et ton regard plonge dans le sien alors qu’elle se met à se mouvoir au rythme des notes. t’es totalement subjugué par son déhanché et ton cœur s’accélère quand tu la vois s’approcher de toi. elle se veut dominatrice et t’aimes ça. ça t’excite beaucoup trop. tu sens l’afflux de sang dans ton bas ventre et tu souris alors qu’elle te dit que t’es impatient. t’es pas connu pour être patient eui geon. tu veux les choses rapidement et tu t’énerves quand c’est trop long. sauf qu’avec malia c’est différent. avec elle, tu aimes cette sensation de frustration qui te prend alors que tu la regardes mais que tu ne peux pas lui faire tout ce que tu imagines. « je suis pas connu pour être très patient lili. » ta voix est rauque, signe qu’elle t’a complètement excité, signe que tu te rapproches de ta limite. tu la regardes jouer avec le morceau de tissu qui recouvre sa poitrine et t’as qu’une envie te lever et lui arracher toi-même parce qu’elle va trop lentement. mais elle sait ce qu’elle fait. ça se voit dans son regard et quand elle descend, écartant ses cuisses tu retiens tant bien que mal un grognement. depuis le temps que tu viens ici, elle a appris à te connaitre. elle sait ce que tu aimes, elle sait comment te satisfaire et c’est ça que t’aimes aussi chez elle. elle joue avec toi autant que tu joues avec elle et ça te fait clairement bander. t’es à l’étroit dans ton pantalon alors qu’elle se rapproche encore. elle dépose ses mains sur tes genoux et tu frissonnes à ce contact. malia sait exactement comment te contenter. ça pourrait presque te faire peur qu’elle le sache, mais au contraire t’aimes trop ça. t’étais beaucoup trop bridé avec na rae. avec lili, t’as l’impression de renaitre, tu vis à nouveau. toi qui a toujours aimé le sexe et être séduit, tu as laissé ta vie monotone de missionnaire pour cette vie excitante avec une stripteaseuse. malia se penche vers toi, t’offrant une vue sur sa poitrine. tes yeux se baissent vers ses seins avec lesquels tu meures d’envie de jouer, mais tu n’en fais rien parce que tu les remontes vers elle avec un sourire. « tu voudrais bien. » que tu lances malicieusement avant d’attraper son poignet pour la rapprocher encore plus de toi. tu l’as fait asseoir sur toi, ton érection contre ses fesses et tu avances ton visage très proche du sien, si proche que vous souffles se mêlent et vos lèvres ne sont qu’à quelques centimètres les unes des autres. « faudrait pas que tu prennes tes rêves pour la réalité. » tu murmures, ta voix tombant de plus en plus dans les graves. t’as chaud, très chaud et tu sens que ton sang pulse à l’intérieur de ton corps. tu finis par laisser vagabonder ton souffle sur sa peau, créant des frissons. arrivé à sa clavicule, tu déposes un baiser dessus, léger comme si tu l’avais simplement effleuré avant de planter tes dents dans sa chaire. tu ne lui fais pas mal, pas vraiment mais tu la marques comme ta possession encore une fois. tu joues avec le morceau de peau que tu tiens entre tes dents, en savourant le goût. tes mains viennent d’elles-mêmes se placer sur ses reins alors que ton bassin bouge légèrement de lui-même, frottant un peu plus contre les fesses galbées de la jeune femme. elle te rend fou, totalement fou. avec elle, t’arrives à oublier na rae. avec elle, tous tes soucis s’envolent comme par magie. tu finis par lâcher sa peau et tu souris face au résultat. demain quand elle se lèvera, elle pensera à toi parce qu’elle aura un suçon et cette pensée te fait encore plus sourire. tu détournes les yeux de ce bleu que tu lui as fait pour les planter dans les siens, attendant avec impatience la suite des évènements. t’as pris les rennes quelques instants, maintenant tu lui laisses avec grand plaisir.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Lun 18 Sep - 18:04 Citer EditerSupprimer
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malia & euigeon
tenue ☾ oui, tu étais une des meilleures strip-teaseuses de la boîte, si ce n'est la meilleure selon les dires de ton patron, d'ailleurs, quand tu lui as annoncé que tu ne comptais plus continuer, il était presque désespéré. oh, il a essayé de te retenir mais ta décision était prise. enfin, c'est ce que tu croyais. ouais, pour toi, le strip était désormais derrière toi avant que tu deviennes la strip-teaseuse que d'un seul homme. ça n'a pas été très difficile de te convaincre, cela dit, tu es même parfois encore mieux payé et puis, euigeon était bien le seul à qui tu aimais te donner en spectacle. oui tu l'avoues, tu aimais et tu aimes toujours faire ça. parce qu'il y a cette tension sexuelle entre vous, ce jeu que tu aimes tant. vous vous plaisez, tu le sais. il te plaît et tu lui plais, il ne te le dit pas clairement mais tu n'es pas idiote, tu connais les hommes, tu sais lorsque tu plais à un mec et c'est clairement le cas, et puis, son corps l'a déjà trahi plus d'une fois. tu ne sais pas où ce jeu vous mènera, tu joues peut-être à un jeu dangereux, mais ça te plaît beaucoup trop. tu n'es pas du genre à te prendre la tête, qu'est-ce que tu fais de mal au juste ? tu es simplement... beaucoup plus gentille avec euigeon, mais ce n'est plus important désormais, il est le seul à qui tu offres ces shows. avec grand plaisir, tu dirais même, avec envie. alors à peine enfermée avec lui dans cette salle privé que ça commence déjà, tu te permets même une petite remarque concernant une laisse. tu lui mets des idées en tête, tu sais très bien que son cerveau se chargera du reste, tu laisses même planer le doute, tu le laisses, t'imaginer soumise. parce que tu l'es un peu, tu te soumettrais à lui mais pas entièrement, tu as bien trop envie de le dévorer pour ça mais ça, tu te gardes bien de lui dire. tu laisses son imagination fonctionner tout seul. et même si tu es dos à lui, tu peux facilement deviner que ça fonctionne. et puis, après avoir jeté un coup d’œil à ce joli nouveau chocker que tu as autour du cou, tu ne tardes pas à commencer. tu mouves doucement tes hanches, ton corps au rythme de la musique, de la manière la plus sensuelle qui soit pour faire grimper le désir en lui, mais le tien par la même occasion, parce que oui, tu le savais bien avant qu'il te le dise : il n'est pas connu pour être très patient. voir son regard posé sur toi, sur ton corps te donne excessivement chaud. alors après t'être abaissé, tous tes moindres gestes se faisant plus érotiques les uns que les autres, au même titre que ces regards que tu lui lances, tu viens prendre appui sur ses genoux. te redressant légèrement dans le but de lui offrir une vue des plus agréables sur ton décolleté, qu'il regarde avec envie. « tu voudrais bien. » tu n'as même pas le temps de réagir à sa réponse qu'il vient se saisir de ton poignet, t'incitant de cette manière, à prendre place sur lui. tu ne te fais pas prier d'ailleurs, te retrouvant très vite en califourchon sur le jeune homme et ton sourire s'élargit aussitôt lorsque tu sens son excitation contre tes fesses. comme d'habitude, cette même sensation lorsque tu te rends compte de son état, de l'effet que tu peux avoir sur lui, et ça te plait, ça t'incite à continuer, à pousser le jeu encore plus loin. mais pas maintenant, pas lorsqu'il approche ton visage du sien, quelques centimètres seulement séparent vos lèvres et l'envie d'y prendre possession est présente, envie que tu refoules avec difficulté, tu sais très bien que tu ne le feras pas même si ce n'est pas l'envie qui manque. « faudrait pas que tu prennes tes rêves pour la réalité. » tu hausses un sourcil, ton sourire joueur toujours affiché aux lèvres. il n'agit pas différent de d'habitude, tu ne sais pas s'il se donne ou un rôle ou s'il est réellement comme ça, mais ça t'excite, là, t'as juste envie de lui prouver le contraire : tu sais que tu lui as manqué. et tu entends au son de sa voix qu'il commence lui aussi à avoir chaud. cependant et une nouvelle fois, tu n'as pas le temps de réagir à ses paroles qu'il dépose un presque baiser sur ton cou, un presque baiser que tu peux à peine sentir qui a pour effet de faire grimper d'un cran le désir en toi, tu fermes même les yeux pour savourer chacune des sensations que ce geste te procure. et puis voilà qu'il plante ses dents dans ta chair, sans grande surprise venant de lui, ce n'est pas la première fois qu'il te fait, en réalité, ça aurait été surprenant qu'il ne le fasse pas. le genre de choses interdites, genre de choses que tu laisses passer, parce que t'en crèves d'envie. mais tu le sais, il a besoin de te marquer comme était sa propriété, par ce chocker mais aussi par ces suçons. tu n'aimes pas ça, habituellement, c'est vrai.. tu n'appartiens à personne mais avec euigeon, c'est différent, tu en as beaucoup trop envie et puis, ça attise ce jeu entre vous. alors tu rouvres les yeux, un léger sourire aux lèvres lorsque tu sens son bassin se mouver doucement, se frotter contre toi, contre tes fesses. ton corps continue, doucement, à se mouver au rythme de la musique, sensuellement, mais tu en profites. frottant davantage tes fesses contre sa virilité, tu veux le rendre fou, lui voir perdre les pédales, ça t'excite encore plus, tout ça. et puis, tu baisses le regard, plus provocatrice que jamais. « elle n'a pas l'air d'accord avec toi. » tu le taquines, tu en joues, mais à en croire son érection, tu lui as belle et bien manqué. et c'est plus franchement que tu continues de bouger tes hanches, tes fesses, déposant tes mains sur ses épaules et d'un geste de la tête, tu viens place tes cheveux d'un seul côté, t'approchant à ton tour de son cou. il peut y sentir ton souffle, peut-être même ton sourire alors que tu colles ton bassin contre le sien, tout en allant chercher ses mains. mains que tu fais glisser jusqu'à tes fesses dans le but qu'il les agrippes, tu te permets même d'être plus appuyé dans tes mouvements, sentant davantage son excitation. non, il n'a pas le droit de toucher sauf si tu le lui permets, ça tombe bien. « et elles, elles t'ont manqués? » lui souffles-tu, parlant évidemment de tes fesses, tes lèvres à quelques millimètres de sa joue. tu joues de cet air innocent, tu sais qu'il aime ça, tu sais ce qu'il aime après tout, après tout ce temps. et t'en souris, t'es fière de toi, tu remontes doucement, retrouvant place face à ses lèvres pendant quelques secondes. vous partagez le même souffle qui reflète votre envie, votre désir l'un pour l'autre. mais au bout de quelques secondes, tu viens te redresser doucement, ta poitrine précédemment collée à son torse se décolle délicatement, juste le temps pour toi d'ouvrir ton chemisier d'un coup sec, dévoilant beaucoup plus ton soutient-gorge. tu viens même retirer ton pauvre chemiser, que tu laisses tomber au coin du fauteuil sans grande attention, non toi, tu ne quittes pas euigeon du regard. toi aussi, tu veux savourer le spectacle. le regarder, le regard rivé sur ton sous-vêtement. « ou eux peut-être ? » continues-tu parlant désormais de tes seins, usant du même ton, dans un souffle, d'une voix presque inaudible qui rend les choses davantage sensuelles. tu viens même bomber légèrement le dos, afin qu'il puisse pleinement profiter de la vue. souriante, plus satisfaite et excitée que jamais, tu viens te saisir de ses poignets, ses mains toujours sur tes fesses les faisant glisser le long de ton corps, remontant ainsi à ta taille, mais tu ne t'arrêtes pas, lui laissant ainsi comprendre qu'il pourrait, peut-être bien, toucher ta poitrine. mais tu t'arrêtes juste à temps, le laisser ainsi bouillonner, frottant toujours tes fesses contre sa virilité avec désir. parce que là, c'est le désir qui commence à prendre possession de toi, peut-être même un peu trop...
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Lun 18 Sep - 18:50 Citer EditerSupprimer
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tenue // elle t’a manqué lili, plus que tu ne l’avoueras jamais. sa présence, son odeur, ses formes, sa façon de te défier et puis son regard qui enflamme tout en toi. t’es au point de non-retour quand elle commence à danser devant toi. tu l’as que pour toi, et tu comptes bien en profiter. tes yeux n’en perdent pas une miette alors que les passent de son visage, à ses seins en passant par ses jambes pour remonter ensuite. tout en elle t’attire et tu sais que c’est aussi ton cas. tu lui plais et tu le vois à la façon qu’elle a de te dévorer des yeux. tu le sais aussi parce que tu l’as vu agir avec les autres mecs avant qu’elle ne devienne ta stripteaseuse. jamais elle ne les laissait toucher, jamais elle n’a été aussi intime qu’elle ne l’est avec toi. alors ça te plait de te dire que t’as l’exclusivité. tu crèverais de jalousie si ce n’était pas le cas. d’ailleurs, tu l’as bien précisé au patron que tu lui ferais couler son affaire si malia se déshabillait à nouveau pour quelqu’un d’autre que toi. tu ne penses pas qu’il veuille prendre le risque. alors, il te laisse user de lili comme tu l’entends. et c’est ce que tu comptes faire ce soir. vous chauffer sans jamais dépasser la limite. est-ce que vous le ferez ce soir ? tu ne penses pas, malgré l’envie qui te prend aux tripes. et cette envie augmente quand elle se penche vers toi. est-ce qu’elle se rend compte du jeu dangereux auquel elle joue en te proposant sa poitrine comme ça. t’as juste envie de la marquer ici aussi. mais t’es plutôt patient pour le coup. tu la fais juste asseoir sur tes genoux, son bassin collé au tien et ton érection sur ses fesses. elle sourit en te sentant si excité pour elle et tu devines aisément qu’elle ne doit pas être non plus tout sèche. tu te lèches les lèvres à cette pensée. t’aimerais bien partir à l’exploration de cette partie qui t’es pour le moment interdite. mais ça c’est malia qui décide. tu ne feras jamais quelque chose qui lui déplaise. si elle n’en a pas envie, tu arrêteras de suite même si tu mourras d’envie de continuer. alors, à la place de découvrir son intimité, tu embrasses légèrement son cou et tu le marques. tu goûtes à cette peau qui t’a manqué, à cette odeur qui t’enivre. tu sais qu’il n’en faut pas beaucoup avant que tu ne la déshabilles et la prennes comme ça. pourtant, même si tu sais d’avance que tu seras beaucoup trop à l’étroit dans ton pantalon, tu ne feras rien. t’aimes trop cette frustration que ça te procure. alors, quand tu lâches sa peau et que tu regardes avec délice tes dents restées dans sa chair, tu ne peux pas t’empêcher de sourire et tu lui laisses les rennes. tu veux qu’elle te domine, qu’elle fasse de toi ce qu’elle veut. et là, tu te mords la lèvre alors qu’elle bouge langoureusement sur la musique, sur ton membre déjà bien excité. est-ce qu’elle cherche à ce que tu perdes le contrôle ? peut-être. est-ce qu’elle veut passer à la vitesse supérieure ? t’es pas sûr, mais ça te dérangerait pas. à la place, tu lâches un soupir de bienêtre et quand ton regard croise le sien, il brûle de désir pour elle alors que le sien est provocateur. tu souris narquoisement à sa réflexion. « on est souvent en désaccord, elle et moi. » tu souffles lentement avant de laisser un gémissement franchir la barrière de tes lèvres tandis qu’elle se frotte plus franchement, plus passionnément. ses mains qui atterrissent sur tes épaules te font frissonner. ses cheveux te chatouillent le visage mais c’est le dernier de tes problèmes parce que tu as du mal à retenir ton bassin de se mouvoir lui aussi au rythme de la jeune femme alors que son souffle chaud est sur la peau mince de ton cou. malia se colle encore plus contre toi et tes mains se retrouvent sur ses fesses. fesses que tu agrippes sans hésitation. t’as l’autorisation. tu les malaxes, l’appuyant encore plus contre toi, essayant de titiller par la même occasion son intimité. tu veux pas être le seul à ressentir du plaisir. tu veux lui en donner. et si tu t’écoutais, tu l’embrasserais sur le champ et tes doigts partiraient à l’aventure sous ce short dans des contrées que tu n’as jamais encore vues. sa voix te parvient et pour tout réponse tu mines un coup de bassin comme tu pourrais lui en donner si vous étiez en train de faire l’amour. quelque chose de brutal et en même temps très sensuel. ça rapproche encore un peu plus vos corps. oui elle t’a manqué, tout en elle t’a manqué et tu lui montres avec ton corps, parce que tu ne veux pas mettre de mots sur ce que tu ressens. lili le sait très bien, puisqu’elle connait l’effet qu’elle a sur toi. elle vient se redresser sur toi, mais tu garder tes mains sur ses fesses l’empêchant de décoller son bassin du tien. tu continues tes mouvements, minant l’acte sexuel, sans réellement le faire et tes yeux se posent sur sa poitrine à présent offerte. elle n’est couverte que de son soutien-gorge et tu te retiens à grande peine de venir lui arracher pour dévoiler ses seins afin de jouer avec elle. elle reprend la parole et tu lui lances un regard plein d’envie alors que tes lèvres deviennent humides à cause de ta langue. ses mains sur tes poignets te fait descendre le regard vers elles. malia les remontent sur son corps et tu en profites pour la toucher du bout des doigts, l’effleurer sans réellement la toucher. tu veux qu’elle aussi, elle soit dans le même état que toi. tu penses qu’aujourd’hui tu vas avoir le droit de les toucher, mais elle se stoppe avant que tu n’aies pu ne serait que poser un doigt dessus. tu grognes, frustré et en même temps terriblement excité alors qu’elle continue de se mouvoir sur toi. elle veut jouer, très bien c’est exactement ce que tu comptes faire. tu entoures sa taille de ton bras et tu la soulèves, te levant par la même occasion. elle est légère lili, t’as donc aucun mal à la porter. tu fais passer ses jambes autour de ta taille alors que tu la plaques violemment contre le mur. t’es plus patient là, t’en veux plus, beaucoup plus. tu plantes ton regard dans le sien alors que tu reprends tes mouvements de bassin et t’avances ton visage vers elle. t’es près, très près d’elle. ses lèvres t’appellent et t’as une furieuse envie de l’embrasser. pourtant, tu ne le feras pas. ce n’est pas autorisé et tu veux que ce soit elle qui craque en premier. à la place, tu te décales sur sa joue, que tu embrasses. ce ne sont que des légers baisers aussi légers qu’un effleurement d’une plume jusqu’à ce que tu arrives à son oreille. tu mordilles son lobe avant de souffler d’une voix rauque et emplie de désir. « et moi alors, je t’ai manqué malia ? » c’est rare que tu emploies son véritable prénom, surtout dans ce genre de moment. mais aujourd’hui, t’as plus envie de jouer avec la stripteaseuse. aujourd’hui alors qu’elle est dans tes bras, collée au mur, ton bassin se mouvant sous elle, tu veux jouer avec la femme et tu veux faire jouir la femme. ta main descend alors sur son ventre, le caresse et s’arrête. tu cherches alors dans son regard, décollant ta bouche de son oreille, l’autorisation d’aller plus loin. celle de la toucher un peu plus. celle de lui donner du plaisir.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Jeu 21 Sep - 20:22 Citer EditerSupprimer
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue ☾ « on est souvent en désaccord, elle et moi. » un sourire en coin au bord des lèvres, tu assistes à cette scène, tu la savoures même. qu'est-ce que tu l'aimes, ce jeu entre vous. la tension sexuelle qui règne entre vous est beaucoup trop envahissante pour être ignoré : vous ne voulez pas l'ignorer. tu le vois dans ses yeux, il a envie de toi, tout comme il doit lire dans ton regard le désir que tu ressens pour lui. tu ne saurais l'expliquer pourtant, contrairement à ce que les gens disent, tu n'es pas du genre à coucher facilement. tu ne comptes même plus le nombre de garçons qui ont couru après toi sans jamais pouvoir te toucher. t'es comme ça, t'aimes pas t'offrir à n'importe qui et d'ailleurs, tu n'as pas couché avec énormément de garçons. tu es quand même resté plusieurs années avec ton premier petit ami, ton premier et unique petit ami, d'ailleurs. alors pour le coup, c'est ton désir qui prend le dessus, le contrôle de ton corps et il suffit de voir la manière dont tu te frottes à lui, t'as envie de le rendre fou ce mec, espères-tu quelque chose ? sans doute, oui. dire que tu n'aurais pas envie de passer à l'étape supérieure avec lui serait un mensonge. après tout, tu es jeune non ? tu as bien le droit de profiter un peu et clairement, arrivera ce moment où vous ne pourriez plus luter. vous restez humains, avec des envies, des besoins. pour preuve, tu fermes doucement les yeux lorsque tu entends ce gémissement, c'en est presque une torture de résister encore. c'est bon, c'est excitant, mais c'est une réelle torture. et comme si ça ne te suffisait pas, tu viens attraper ses mains comme pour lui donner l'autorisation de te toucher les fesses, chose qu'il ne tarde pas à faire, d'ailleurs. tu sens même ses doigts se diriger lentement vers ta zone sensible et tu t'en mords la lèvre inférieure, ta chaleur corporelle risque d'exploser. mais c'est pour cette raison que tu le cherches autant, sans doute parce que tu en as marre de jouer, au fond. qu'il est temps pour vous de passer à l'action. mais alors que tu le cherches encore, il te répond par ce coup de bassin, mimant ainsi l'acte et toi, tu te mords davantage la lèvre. comme pour retenir un quelconque gémissement. tu deviens beaucoup trop sensible, cette fois, tu ne sais pas si tu sauras garder ton self-control. pourtant, euigeon ne cesse à aucun moment ses mouvements du bassin, tu pousses même davantage le jeu en lui dévoilant pleinement ton soutien-gorge. et t'es fière de toi, lili, t'es fière de le pousser à bout de cette manière. c'est bien ce que tu voulais non ? et tu te retiens de toutes tes forces de ne pas baisser le regard sur ses lèvres, te répétant que ça serait sans doute un signe de faiblesse pourtant, l'envie est bel et bien présente, elle est même beaucoup trop forte. mais lorsque tu montes ses mains, le faisant ainsi espérer qu'il pourrait toucher ta poitrine tout en prenant soin de t'arrêter avant, c'est la goutte de trop. puisque brusquement, il vient entourer ta taille de son bras, se levant du fauteuil tout en te gardant dans les bras, un léger son de surprise s'échappe d'entre tes lèvres mais tu n'as pas le temps de vraiment réagir, qu'il vient aussitôt te plaquer contre le mur. et dire que tu ne pensais pas pouvoir être plus excitée, on dirait que vous veniez de franchir une nouvelle étape. pourtant, tu ne le quittes pas des yeux, tes bras ne quittant pas ses épaules. ça te rappelle ce rêve érotique que tu avais fait la dernière fois, avec euigeon, évidemment. ça n'étonne personne. vous passez beaucoup trop de temps à vous chercher que ton cerveau fait lui même son travail. il faut dire que ces rêves érotiques avec lui ne t'aide pas à calmer tes pauvres hormones. pourtant tu détestes ça, tu as l'impression qu'il a du pouvoir sur toi, et c'est le cas. tu risques de ne plus rien contrôler d'ici peu de temps, mais encore une fois, tu restes humaine. tu ne pourras bientôt plus lutter contre ton envie, ton envie de lui. tu sens toujours ses mouvements du bassin, et même le tien se met à se mouver au même rythme, t'en réclamerais plus, si tu pouvais. mais euigeon vient très vite déposer un doux baiser sur ta joue, tes yeux se ferment doucement, bercée par l'envie qu'il te possède, qu'il te prenne là, tout de suite. ça t’assourdit tellement que même le fait de franchir ce cap sur ton lieu de travail ne te repousse pas. ce ne sont que des effleurements, assez pour te rendre folle et il le fait exprès, tu le sais, qu'il le fait exprès. le pire, c'est qu'il continue en venant mordiller ton lobe d'oreille, tellement que tu ne peux en retenir un léger gémissement qui résonne jusqu'à son oreille, gémissement que tu étouffes en te mordant à nouveau la lèvre inférieure. « et moi alors, je t’ai manqué malia ? » et là, c'est comme un électrochoc. c'est rare qu'il t'appelle par ton vrai prénom, ton prénom complet. tu devines très rapidement qu'il n'a plus aucune envie de jouer, ça tombe bien, toi non plus. alors tu tentes de réunir le peu de force qu'il te reste pour sourire, malicieusement. oh non, tu ne veux pas craquer la première. « tu voudrais bien. » réponds-tu franchement, reprenant exactement ses mots alors que tu sens sa main se glisser sur ton ventre, mais tu sens également cette explosion dans ton bas-ventre. tu en retiens au mieux ta respiration haletante qui pourrait trahir ton excitation mais ce n'est pas vraiment gagné. et là, tu te décolles légèrement de lui, déposant l'arrière de ton crâne sur le mur toujours en le fixant de la même manière : tu le manges du regard mais tu le défies, aussi. « qu'est-ce que tu attends ? » lâches-tu, lâchant une main de son épaule pour venir la glisse sur ton short que tu déboutonnes doucement, de la manière la plus sensuelle qui soit. « tu n'oseras jamais. » lui dis-tu, ne lâchant pas ton regard du sien. tu le défies jusqu'au bout parce que oui, tu as envie qu'il craque mais tu ne feras pas le premier pas. pourtant là, tu es au bord de l'explosion, tu n'as qu'une seule envie : qu'il te soulage.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Jeu 21 Sep - 21:22 Citer EditerSupprimer
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue // des mois que vous vous connaissez. des semaines que vous jouez ensemble. fatalement à un moment donné vous allez craqué, c’est sûr. c’est pas humain de ressentir du plaisir pour l’autre sans jamais céder à la tentation de toucher le corps de la personne que l’on désire. alors, tu ne sais pas quand vous allez laisser exploser votre envie, mais pour ta part, tu sens que c’est bientôt. malia te rend fou et ce depuis la première fois que tu l’as vu. et bien entendu, ce n’est pas ses mouvements de hanche contre toi qui arrêteront de te faire désirer la jeune femme. t’as envie de plus, beaucoup plus. tu voudrais la prendre là maintenant. mais tu ne voudrais pas le faire avec elle en tant que stripteaseuse, mais en tant que femme, en tant que malia. tu t’es déjà imaginé lui faire l’amour de nombreuses fois d’ailleurs, éveillé comme endormi et à chaque fois c’était tellement bon, tellement libérateur. en même temps, depuis que tu as quitté na rae, t’es tout seul eui geon. ça fait bien six mois, un peu plus si on oublie les quelques mois où tu n’as pas touché na rae parce qu’elle te fuyait, que tu n’as pas réellement touché le corps d’une femme. alors, celui de lili, tu le veux, tu crèverais de lui faire connaitre le septième ciel que ce soit avec tes doigts, avec ta langue ou avec ton sexe. tu veux la faire jouir, tu veux qu’elle se tortille sous toi et qu’elle atteigne l’orgasme en criant ton nom, rien que ton nom. et la sentir se mouvoir contre ton membre à l’étroit dans ton pantalon ne t’aide pas à garder la tête froide. t’as envie de beaucoup plus et t’as l’impression de lire la même envie dans les yeux de la jeune femme. sûrement pour cette raison que tu donnes un coup de rein plus profond, plus brutal pour lui donner un aperçu de ce qui l’attend quand elle te donnera l’autorisation de pleinement la toucher. parce que tu ne feras jamais rien contre son gré. vous jouez certes, mais c’est elle la maîtresse du jeu, la maîtresse de tes envies et pulsions. si elle décide d’arrêter, tu arrêteras. ce serait pas la première fois que tu te rendrais aux toilettes pour te finir à la main quand tu es avec elle. mais aujourd’hui, t’as la sensation que vous ne contrôlez plus rien, que vos corps s’appellent de plus en plus, comme aimanté l’un à l’autre. du coup, tu laisses tes envies prendre le dessus et tu la plaques contre le mur après t’être levé. son cri de surprise te fait sourire et tu lui lances un regard moqueur. t’es fier de toi, elle s’y attendait pas. peut-être pensait-elle que tu allais rester sagement assis alors qu’elle te titillait. mais elle a voulu jouer, tu vas jouer. la bête est de sortie et tu ne contrôles plus rien. tu laisses tes instincts prendre le relais. t’as envie de l’embrasser, de mordre ses lèvres, de laisser ta langue jouer avec la sienne. mais tu ne le fais pas. à la place tu dérives sur sa joue, déposant de légers baisers, aussi léger qu’une plume. puis tu murmures à son oreille après lui avoir mordillé le lobe. son gémissement t’arrache un sourire, sourire que tu caches dans ses cheveux alors qu’elle te réponde sur un ton joueur. elle comme toi, vous ne voulez pas admettre que vous vous êtes manqués. ce serait avouer vos faiblesses à l’autre et c’est hors de question. pourtant, toi t’es prêt à rendre les armes. t’es prêt à abandonner ce jeu pour aller plus loin, pour la goûter tout entière et pas juste en surface. alors tu caresses son ventre, t’arrêtant en haut de son short pour chercher son accord. tu ne veux plus jouer, tu veux bien plus maintenant. tu veux son corps, tu la veux elle. tu veux la sentir autour de toi, tu veux lui faire plaisir. cette frustration sexuelle te plait, mais l’explosion en sera que meilleure et t’es arrivé à ta limite là. tu le sais que c’est aussi le cas de lili. elle n’en peut plus, tu le vois à ses yeux et ça te fait sourire. elle décale son corps du tien pour te défier du regard tout en te dévorant. tu sens ton érection gonfler encore si c’était possible alors que le feu anime tes pupilles. tu vas la bouffer toute crue cette gamine, tu vas lui faire regretter de te défier. qu’est-ce que tu attends qu’elle demande et tu ricanes. elle sait très bien ce que tu attends, parce qu’elle te connait depuis le temps. la main de lili quitte ton épaule et vient se placer entre vos corps pour défaire le bouton de son short. tu observes ses doigts délicats jouer avec le bouton te mordant la lèvre. elle te défie encore une fois dans ses mots et tu relèves la tête vers elle. tes yeux s’attardent quelques secondes sur les siens avant de descendre à ses lèvres. tu veux la faire taire, tu ne veux plus qu’elle te tienne tête. alors sans prévenir, tu approches ton visage du sien et tu t’empares de sa bouche avec envie et passion. tu l’embrasses pour la première fois et c’est tellement délicieux. ta langue force légèrement l’accès à la sienne et tu entames une danse sensuelle usant de ta langue et de tes dents. lentement, tu viens la coucher sur la banquette, sans quitter ses lèvres, te plaçant au-dessus d’elle. tu finis par rompre le baiser la contemplant un sourire aux lèvres. elle est belle à bout de souffle et avide de sexe. tu la trouves magnifique, tellement magnifique que tu parcoures des yeux son corps avant de t’arrêter au niveau de son short. elle n’a plus besoin de ça. tu l’envoies valser à l’autre bout de la pièce. tu viens t’humidifier les lèvres alors que tu te penches vers cet endroit que tu n’as jamais pu exploré jusqu’à maintenant. elle a voulu jouer, tu vas jouer. tu lui lances un regard pervers avant de disparaitre entre ses jambes. elle pense sûrement que tu vas jouer avec son intimité mais c’est pas dans tes plans, du moins pas comme elle le voudrait. tu lui souffles dessus attisant le feu dans son sous-vêtement, avant de tourner la tête vers sa cuisse. tu l’effleures du bout des doigts tout en continuant de souffler. t’y déposes un baiser, puis un autre, et un autre tout en remontant arrivé près de son entrejambe, tu plantes tes dents dans sa chair, marquant également cet endroit comme tien. elle est à toi, son corps t’appartient. tu le veux tout entier. après quelques secondes, tu finis par la lâcher pour remonter et tu viens à nouveau sceller vos lèvres tandis que ta main s’aventure plus bas, jouant par-dessus le tissu. tu ne veux pas aller trop vite, pas alors que vous rendez les armes petit à petit. finalement, elle va avoir ce que vous attendez tous les deux.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 24 Sep - 21:08 Citer EditerSupprimer
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malia & euigeon
tenue ☾ son regard t'électrise sur place. tu peux y sentir du désir, beaucoup trop de désir. l'envie de te posséder et tout ça te fait faiblir. il peut certainement y lire la même chose dans ton regard, ce n'est pas comme si tu essayais de le cacher. oh non, tu veux jouer toi, tu l'aimes beaucoup trop votre petit jeu à tous les deux... sauf que cette fois, le jeu risque de dépasser les règles imposées. cette idée fait naître cette flamme au fond de ton ventre, flamme qui ravage tout sur son passage, ta chaleur corporelle grimpe à une vitesse folle. oui, tu te permets encore de le provoquer, de le défier. osera t-il le faire ? oui, il osera. ou en tout cas, tu en es presque sûre mais tu ne peux t'empêcher de montrer un doute certain, juste pour le pousser à bout et finalement: le pousser à franchir le cap. tu ne veux pas craquer la première et tu sais que tu ne le feras pas, il est à deux doigts de craquer, tu le vois dans son regard, dans son comportement et même, à la chaleur de son corps. et c'est bien la première fois que tu ressens une telle attirance, une attirance incontrôlable et inexplicable. pourquoi lui ? tu le sais, physiquement, euigeon te plaît que trop mais il y a cette attirance que tu ne peux contrôler, cette attirance sexuelle qui vous relie tous les deux. vous en jouez, oui, mais vous n'allez pas pouvoir en jouer longtemps. il suffit de vos l'état dans lequel vous vous trouvez actuellement. c'en devient une réelle torture de résister à l'appel de vos corps. ils ne demandent que ça, qu'à s'unir par un acte des plus charnels, des plus enflammés. tu as envie de le sentir en toi, qu'il te fasse du bien, de laisser exploser ce désir intense qui devient beaucoup trop ingérable. mais là, il va craquer, tu le sais. il fixe tes lèvres et tu ne peux t'empêcher de te mordiller discrètement et sensuellement la lèvre inférieure comme pour un peu plus le pousser à bout. et ça fonctionne, puisque sauvagement, euigeon vient prendre possession de tes lèvres. une libération. tes yeux se ferment presque aussitôt tandis que tu lui rends son baiser, un son de plaisir sort d'entre tes lèvres rapidement étouffé par cet échange. après tant de temps à vous chercher, vous vous embrassez enfin. votre premier baiser qui image bien cette passion et ce désir que vous ressentez l'un pour l'autre. baiser qui ne tarde pas à devenir langoureux, encore plus chaud et torride. ta langue caressant la sienne, ta main vient se coller dans sa nuque comme pour le tenir près de toi lorsque tu approfondis le baiser. jusqu'à ce qu'il vienne te basculer sur la banquette, son corps sur le tien, il met fin au baiser. tu peines à rouvrir les yeux mais tu le fais, tu l'admires, un sourire des plus chauds sur tes lèvres encore assoiffées de lui. tu es essoufflée, ce désir est si profond, si puissant que tu en es à bout de souffle. euigeon vient alors ôter ton short, il te déshabille tandis que toi, tu as de plus en plus chaud. et ce regard affamé qu'il te lance ne t'aide en rien, ça, avant qu'il disparaisse finalement entre tes cuisses. l'arrière de ton crâne tombe sur la banquette, tu fermes les yeux un long moment, ta bouche entrouverte afin de laisser ta respiration haletante s'y libérer. respiration chaude, qui montre tout le désir que tu éprouves pour cet homme. et puis, dans un bref moment de lucidité, ton visage pivote vers la porte. vas-tu réellement franchir le pas maintenant ? ici ? à ton lieu de travail ? oui tu vas le faire, tu le sais. tu ne peux définitivement plus résister longtemps contre cette attirance et cette soif de son corps. alors lorsque tu sens son souffle chaud et puissant près de ton intimité, tes yeux se referment instantanément. des sons venant se mêler à ta respiration, trahissant ton excitation. ta main vient même se glisser dans ses cheveux que tu agrippes alors que ton corps, lui, commence à se tordre sous tout ce désir que tu ressens, sous cette envie envahissante qu'il te possède, c'est une torture. alors quand tu sens ses dents se planter dans ta chair, ton corps et plus particulièrement, ta poitrine se soulève, mais toi, tu ne peux retenir un court gémissement. tu n'en peux plus, t'as besoin de plus, tu en veux plus. alors quand euigeon se repositionne face à toi, scellant à nouveau vos lèvres, tu lui rends ce baiser avec plus de passion encore, plus d'envie. tes mains, elles, viennent doucement déboutonner sa chemise. premier bouton, deuxième bouton, et arrivé au dernier, tu remontes dans de tendres caresses tes mains jusqu'à ses épaules, l'ôtant de ce vêtement que tu balances à côté de toi, sans attention. c'est la première fois que tu le vois, ce torse, et tu ne te gênes pas pour l'admirer, te pincer la lèvre inférieure. tu as encore plus faim de lui, tellement que tes mains ne peuvent s'empêcher de parcourir son corps, ses abdos, tu les caresses. mais sa main à lui s'aventure plus bas, par dessus le tissu de ton sous-vêtements et là, tu ne peux retenir un léger gémissement. il attise ce feu en toi, feu qu'il doit éteindre, tu le veux, tu as besoin de son corps. alors ton corps se redresse légèrement, se nichant dans son cou que tu embrasses où il pourra y sentir ton souffle chaud, une respiration qui te trahie littéralement mais là, tu as beaucoup trop envie de lui. tes mains, elles, se dirigent plus bas également dans le but de déboutonner son pantalon. tes lèvres remontent près de son oreille alors que ton souffle commence à se faire de plus en plus court. et sensuellement, presque dans un supplice, tu viens lui souffler ces quelques mots. « touche moi. » touche la, euigeon, elle en a terriblement envie... et terriblement besoin, aussi. puis tu viens lui voler un autre baiser, avant de te laisser retomber sur la banquette, plantant ton regard assoiffé dans le sien, tu soulèves ta poitrine dans le but d'y laisser assez d'espace pour y passer tes mains. oui, car au moment où tu quittes son corps, tu viens les passer dans ton dos pour dégrafer ton soutien gorge, sans le retirer cela dit. tu fais ça lentement, tu veux encore savourer ce moment mais surtout, qu'il le savoure lui. et après ça, tu viens ôter une bretelle, puis la seconde, toujours sans le retirer complètement. une vision de toi irrésistible, tandis que tes mains viennent se balader sur son torse. et tu lui lances ce regard affamé, tu n'as qu'une seule envie : le dévorer, ou qu'il te dévore. mais tu souhaites juste assouvir cette faim en toi.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 24 Sep - 23:22 Citer EditerSupprimer
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tenue // tes lèvres qui trouvent les siennes dans un baiser avide et sauvage, presque brutal, ravive si c’était possible ton envie de son corps. tu brûles d’envie de la dévorer, de déposer tes lèvres partout sur sa peau, de la goûter de toutes les manières possibles et inimaginables. tu ne penses pas être un jour complètement rassasié de la jeune femme si jamais elle te laisse encore la toucher après ce soir. elle t’obsède jour et nuit et tu sais que même lorsque tu n’auras fait qu’un avec malia, elle continuera d’apparaitre dans tes rêves et même dans tes pensées. elle t’a défié encore une fois et t’as craqué le premier. et même si tu as perdu à ce jeun, t’as l’impression d’avoir gagné bien plus précieux. t’as eu l’autorisation de déposer tes mains sur elle, te faire ce que tu rêves depuis des mois. elle t’a cherché, elle a attisé le feu en toi, maintenant il est temps de lui rendre la monnaie de sa pièce. tu presses ton corps encore un peu plus contre elle alors qu’elle ta nuque approfondissant le baiser. tu sens le râle de plaisir se bloquer dans ta gorge alors que tu lui rends son baiser, vos bassins encore l’un contre l’autre. malia, comme toi, est avide de ton corps. elle veut te toucher, tu le sens à sa façon, qu’elle a de te garder près de sa bouche en maintenant ta nuque. sauf qu’elle n’a pas compris, t’as aucune envie de quitter ses lèvres, sa peau. pas tant que tu ne l’auras pas senti se serrer de plaisir autour de toi. mais pour ça, il faudrait que tu la déshabilles. c’est pour ça que tu la places sur la banquette et que tu l’enveloppes de tout ton être. t’as l’impression qu’elle est minuscule sous toi et tu ressens encore plus l’envie de la bouffer tout crue. sauf qu’à un moment, tu n’as plus de souffle et tu brises ce lien qui vous unissez pour l’observer. sa poitrine se soulève au rythme effréné de sa respiration et tu souris en la voyant autant à bout de souffle que toi. t’aimes cette vision que tu as sous les yeux. mais tu en veux plus. clairement, tu veux qu’elle hurle ton nom, qu’elle ne pense qu’à toi. tu veux aussi qu’elle te veuille. t’as peut-être craqué le premier, mais c’est elle qui te suppliera de la prendre. ton regard descend alors vers son short et il se retrouve bien vite sur le sol. elle est totalement exposée et tu te lèches sensuellement les lèvres alors, que tu plonges entre ses jambes. mais tu joues encore avec elle. après tout, c’est comme ça qu’est votre relation. vous jouez augmentant la frustration de l’autre et même si aujourd’hui le jeu est à un tout autre niveau, il n’empêche qu’il est toujours bien réel. tu lui souffles alors dessus pour attiser le feu de son intimité et les sons qui te parviennent t’incitent à continuer. tu aimes le son de sa voix. elle est sexy et ça t’excite encore un peu plus alors que tu sens sa main dans tes cheveux. tu souris près de sa cuisse avant de la marquer encore une fois comme tienne. tu sais pas vraiment pourquoi tu ressens ce besoin irrépressible de toujours déposer sur sa peau blanche des bleus, des traces de dents. elle n’appartient à personne lili, encore moins à toi, tu le sais. mais en faisant ça, t’as l’impression que c’est le cas, que l’espace d’un instant, elle est à toi, elle n’appartient qu’à toi. un gémissement s’échappe des lèvres de malia et tu soucis contre sa peau avant de remonter vers elle et de prendre à nouveau possession de ses lèvres. t’es surpris par la passion qu’elle met dans le baiser, mais tu ne dis rien te contentant d’apprécier ce moment. tu sens ses mains sur ta chemise qui défont les boutons et tu souris à nouveau contre sa bouche alors que tu te sens débarrasser de ton vêtement. la jeune femme observe ce qu’elle a sous les yeux et tu vois dans ses pupilles que ça lui plait. elle ne perd d’ailleurs pas de temps pour se mettre à te toucher, laissant courir ses doigts sur ta peau. tu sens ton cœur s’accélérer alors que ta respiration devient plus lourde et que ton regard affamé se dépose sur elle encore une fois. ta main descend vers son bas ventre et tu joues avec le tissu. tu attises le feu déjà bien présent, tu peux sentir l’humidité de son sous-vêtement, sans jamais réellement la toucher et lui donner ce qu’elle veut. cependant, ça ne l’empêche pas de gémir. t’appuies légèrement plus fort sur son bouton alors qu’elle redresse son corps, embrassant ton cou. tu sens son souffle sur ta peau et tu retiens difficilement un soupir d’aise. ça te plait le fait d’avoir sa poitrine si près de ton torse. sauf qu’il y a quelque chose qui te gêne, son soutien-gorge. tu voudrais lui enlever pour la sentir contre toi, mais t’as pas le temps que ses mains sont déjà sur ton pantalon, le déboutonnant. c’est qu’elle serait presque impatiente la petite malia et ça te fait sourire. un frisson parcoure ton échine alors qu’elle souffle à ton oreille ce qu’elle souhaite. elle veut que tu la touches et tu vas accéder à son souhait. pour une fois, tu ne vas pas jouer, parce que tu n’as plus envie de ça. tu veux bien plus beaucoup plus. ça fait bien trop longtemps que tu n’as pas touché le corps d’une femme, que tu n’as pas fait ressortir la bête en toi. avec na rae c’était trop sage, trop simple ennuyeux. avec malia, tu sens déjà que vous êtes beaucoup plus compatibles niveau sexe que tu l’étais avec ton ex petite amie. avec lili, tu sens que tu peux être toi-même et ne pas cacher, ta soif de sexe, et tes penchants un peu plus sauvages et brutaux que ce qu’elle, elle aimait. ses lèvres rencontrent les tiennes encore une fois avant qu’elle ne laisse son corps retrouver la banquette. tu stoppes ta main pour te concentrer sur le spectacle qu’elle t’offre. elle est magnifique lili. elle l’a toujours été à tes yeux. mais là, alors qu’elle ne te quitte pas des yeux et qu’elle dégrafe sensuellement son soutien-gorge, dernier rempart qui te donnera accès à sa poitrine. tu ne quittes pas des yeux ses mouvements et tu sens ton envie remonter encore en flèche alors que tu remontes ton regard vers elle et que son regard traduit votre état d’esprit. vous avez faim l’un de l’autre et tu vas lui donner ce qu’elle veut. t’attrapes le bout de tissus dans tes mains et tu l’arraches presque, parce que ça ne va pas assez vite. t’es pas patient eui geon, pas quand tu veux quelque chose. et tu la veux. tu fonds alors sur sa bouche, la capturant encore une fois, suçant sa lèvre inférieure avec passion. puis tu délaisses sa bouche pour embrasser sa mâchoire, son cou, la naissance de ses seins avant de le prendre en bouche. ta langue joue avec son téton rose dressé tandis que ta main s’empare de l’autre pour le masser à la fois légèrement, le pressant également un peu plus. tu entends sa respiration s’accélérer et t’es pas sûr que les râles de plaisir que tu entends soit les siens ou les tiens. en tout cas, ton rythme cardiaque également et tu te sens de plus en plus à l’étroit dans ton pantalon. tu finis par délaisser sa poitrine déposant des baisers sur son ventre. tes mains lui enlèvent son dernier vêtement et elle est totalement nue et offerte à tes caresses. tu souris, avant de te remonter vers sa bouche dont tu goûtes encore la douceur, collant ton bassin contre elle. tu attrapes une de ses mains pour la coller contre ton érection. t’es prêt à exploser dans ton jean et t’as besoin qu’elle te libère de cette pression. tu délaisses sa main, la laissant faire ce qu’elle souhaite pour jouer avec ses lèvres inférieures et son bouton. tu presses tes doigts contre sa peau, et tu souris à nouveau contre sa bouche en te rendant compte qu’elle est totalement mouillée pour toi.
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Sam 30 Sep - 16:54 Citer EditerSupprimer
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue ☾ il a craqué, ça y est. vous passez aux choses sérieuses. oh mais tu n'es pas idiote, il a craqué certes mais tu sais qu'il te fera payer ça, sans doute en te poussant à bout avant de réellement succomber à ce lourd et puissant désir? ça ne serait pas étonnant, en réalité, ça serait même fort probable que ça arrive. et puis, c'est le résumé de votre relation, ce jeu. lorsqu'il te dépose des baisers enflammés sur ta cuisse, ta main ne peut s'empêcher de s'aventurer dans ses cheveux, un moyen pour toi d'y passer ta frustration vue la manière dont tu les empoignes mais c'est surtout pour l'inciter à continuer, à aller plus loin encore. t'aimes le sentir entre tes cuisses, savoir que vous avez tous les deux atteints vos limites concernant ce petit jeu. mais tu le sens surtout te marquer, une nouvelle fois, ta poitrine se gonfle et ton corps se cambre dans un léger gémissement de désir. ça t'excite de le voir comme ça, tu aimes dominer, oui, mais tu aimes aussi quand on te domine et là, tu sens ce nouveau jeu se créer. qui de vous deux aura le dessus? il faut l'avouer, euigeon a l'air bien parti pour mais tu n'as pas joué toutes les cartes, pas encore. alors quand il vient reprendre possession de tes lèvres, tu lui rends son baiser, un baiser torride, enflammé qui pourra lui transmettre tout ce désir que tu ressens pour lui. d'ailleurs, tu n'es plus si patiente puisque tu viens très vite déboutonner sa chemise, tu ne te gênes pas pour admirer la vue de son corps, et tu en souris, discrètement, chaudement. tu as encore plus soif de lui maintenant. c'est pour cette raison que tes doigts partent à l'aventure sur ce corps que tu désires tant. mais tu ne peux être discrète en sentant ses mains sur ton corps, tu ne retiens même pas quelques gémissements de plaisir, gémissements qui illustrent bien ton état: tu es au bord de l'explosion. tu as tellement chaud, tellement envie de lui. alors tu finis par lui souffler chaudement quelques mots, oui, tu as envie qu'il te touche, tu as envie et besoin de plus désormais. d'ailleurs, c'est un ordre que tu lui lances. tu finis donc par soulever ton corps, retirant ton soutien-gorge mais tu parviens tout de même à jouer encore un peu, oh non, tu ne dévoiles pas ta poitrine tout de suite mais c'était sans compter sur euigeon qui ne peut plus se montrer si patient, lui non plus, puisqu'il vient te l'arracher brutalement. un son presque inaudible, de surprise, par la barrière de tes lèvres mais tu n'as pas le temps de réagir, en réalité, qu'il vient aussitôt reprendre possession de tes lèvres. tu lui rends son baiser tandis qu'il vient sucer ta lèvre inférieure et tu en souris, chaudement, contre ses lèvres. tu te sens si bien là, enivrée par tout ce désir. ta main vient alors se glisser dans sa nuque, tu lui offres même de tendres caresses, mine de rien, appréciant chacun de ses baisers qui se déposent sur ta mâchoire, dans ton cou, jusqu'à ta poitrine. ta respiration se fait toujours aussi bruyante, haletante. et quand tu sens sa langue sur ton téton, tu ne peux retenir un soupir de plaisir, fermant les yeux, te concentrant uniquement sur les sensations qu'il t'offre. tellement que ta seconde main vient lui agripper la sienne, déposée sur ton sein. tu cambres même légèrement ton corps, resserrant tes doigts dans sa chevelure. ça, avant que euigeon te déshabille de ton dernier sous-vêtement, te trouvant donc désormais, nue à lui, prête à t'offrir. tu peux apercevoir son sourire, une petite seconde avant qu'il reprenne possession de tes lèvres et très vite, il vient t'attraper la main, la dirigeant vers sa virilité. tu en souris doucement, contre ses lèvres, commençant de douces caresses contre celle-ci qui devrait avoir pour effet de faire grimper davantage sa chaleur corporelle. mais lorsque tu sens sa main entre tes lèvres inférieures, tu te laisses envahir par ce plaisir, lâchant un long soupir de plaisir contre ses lèvres, ton corps se cambre même, impatient que euigeon le soulage de ce désir charnelle qui a pris possession de toi. ta seconde main toujours dans ses cheveux, tu viens serrer ses cheveux entre tes doigts, signe de ton plaisir, avant de finalement quitter ses lèvres. non pas en éloignant les tiennes, non, mais juste assez pour déposer à nouveau l'arrière de ton crâne contre la banquette, à certains moments, tu ne peux retenir tes gémissements. il peut sentir à quel point tu es mouillée pour lui, ton excitation. et ça te plaît, tu sais que ça l'excite lui aussi. alors au bout de quelques instants, tes deux mains se dirigent vers les extrémités de son jeans, tu le baisses, doucement, l'ôtant alors de ce vêtement qui est de trop. ça, avant de passer tes jambes autour de sa taille, l'approchant au maximum de toi, vos bassins collés. tu rouvres les yeux, plantant ton regard dans le sien, tandis que tes mains s'occupent désormais de lui retirer son seul et unique sous-vêtement. le dénudant entièrement, lui aussi. d'ailleurs, tu ne te gênes pas pour baisser le regard sur sa virilité, tu l'observes, avant envie et désir. tu viens même te pincer la lèvre inférieure sans tenter d'être discrète. non non, tu as envie qu'il voit que tu le désires, que la vue te plaît. mais elle te plaît peut-être un peu trop, puisque tu ne peux empêcher ta main d'aller à sa rencontre, tu remontes ton regard, l'observant car soyons clair: tu ne veux pas en louper une miette. tu viens te saisir doucement de sa virilité, tes gestes sont doux, tu veux voir le plaisir grimper en lui, encore une fois. et tu souris chaudement contre ses lèvres tandis que tu entames de délicieux vas-et-vient sur sa virilité, cambrant à nouveau ton corps pour venir y coller ta poitrine contre son torse. tu ne sais pas combien de temps tu vas encore pouvoir tenir, peu de temps sans doute car là, tu as besoin qu'il te soulage.
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