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1, 2, 3 let's play a lov... sex game ~ lili (-18)
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 8 Oct - 0:30
tenue // t’as perdu le jeu, tu le sais au moment où tu déposes tes lèvres sur celle de la belle asiatique. mais même si tu as perdu, même si tu as craqué, même si c’est elle la grande gagnante de votre petit jeu frustrant, tu sais qu’au fond, vous avez tous les deux gagnés. vous allez tous les deux profiter de l’autre sans retenu parce que vous en mourrez d’envie depuis que vous vous connaissez. et maintenant que tu as placé la barre plus haute, vous ne pouvez plus résister. tu as tellement envie d’elle que tu ne veux plus être patient. tu voudrais la prendre là, maintenant sur cette banquette, mais tu veux quand même qu’elle craque un peu. tu veux la faire languir, lui laisser un goût d’inachevé sur les lèvres et qu’elle en redemande d’elle-même. certes, t’as perdu la bataille mais pas la guerre. et tu lui fais comprendre, en jouant avec elle, d’une autre façon maintenant que tu as l’autorisation. malia te demande même expressément de la toucher et tu ne te fais pas prier. tu déposes un baiser sur ses lèvres, suçant celle inférieur. tu sens sa main sur ta nuque et tu apprécies les caresses qu’elle y dépose. tu sens également son sourire et ça te fait sourire aussi. tu délaisses sa bouche, déposant une trainée de baiser sur sa mâchoire, dans son cou avant de venir butiner sa poitrine. tu sais ce que tu fais, t’as l’habitude même si tu n’as pas touché de corps féminin depuis plus de six mois. t’es impatient de goûter à sa peau, à tous les endroits où tu n’as jusqu’alors pas eu accès. tu te régales de ce morceau de chair avec lequel tu joues comme si c’était une sucrerie et entendre les soupirs plus bruyant de la jeune femme sous toi, te donne des indications sur ce qu’elle aime. t’es vraiment plus à l’aise enfermé dans ce pantalon et tu voudrais qu’elle te libère de cette prison de tissu. lili se cambre et tu grognes légèrement contre son sein alors que son bassin frotte le tien et ça à le don de te faire agir un peu plus vite. son sous-vêtement, dernier rempart à cette zone que tu brûles de désir de découvrir, se retrouve bien vite au sol avec le reste. et malia se retrouve nue. elle est belle, alors que le désir a déposé du rose sur ses joues, que ses lèvres sont gonflés par tes baisers et que sa poitrine se soulève à un rythme irrégulier. tu ne l’observes pas plus longtemps, t’as trop attendu. à la place tu viens une nouvelle fois poser tes lèvres sur les tiennes alors que tu lui ordonnes presque de te débarrasser de ton pantalon en mettant sa main sur ton érection. tu as besoin qu’elle s’occupe de cette partie pendant que tes doigts se font plus aventureux. tu les laisses se balader au gré de leur envie tandis que tu ressens les réactions de son corps. elle se cambre, vibre sous ta main et tu souris, satisfait de l’effet que tu lui fais. tu n’as pas perdu la main. parce que ce n’était pas avec na rae que tu pouvais faire ce genre de choses. t’étais limité au missionnaire. pas vraiment intéressant d’ailleurs. malia gémit face au désir et tu accélères légèrement la cadence, jouant tantôt avec son bouton, tantôt avec l’entrée tant convoitée. elle est mouillée et tu ressens l’envie de la posséder, ça en devient encore plus fort maintenant que tu ressens son excitation pour toi. tu voudrais te déshabiller toi-même et la prendre comme ça. tu sais que ça ne poserait aucun problème, elle est assez mouillée pour que tu puisses la pénétrer sans lui faire mal. mais à peine t’as pensé à ça que ses mains s’occupent de ton jeans. lui aussi se retrouve au sol et tu laisses un gémissement s’échapper quand lili rapproche encore une fois son bassin du tien. elle aussi, elle sait ce qu’elle fait et elle le fait bien. elle plante son regard dans le tien et tu serres les dents pour te contrôler. tu as de plus en plus de mal à ne pas te laisser aller et à laisser sortir ce démon qui brûle en toi, celui que tu as muselé pendant trois ans pour faire plaisir à ton ex petite amie. mais maintenant que ce n’est plus na rae que tu as dans les bras, est-ce que tu peux te lâcher ? est-ce que tu peux redevenir le eui geon que t’as enfermé dans un coin pendant tout ce temps ? mais encore une fois, lili ne te laisse pas le temps de réfléchir que ton caleçon est retiré lui aussi. t’es aussi nu qu’elle et tu vois bien qu’elle apprécie la vue. tu souris satisfait et légèrement arrogant. t’as jamais eu à te plaindre de ce côté-là et apparemment ça plait à la jeune femme. tu ne détournes pas les yeux quand elle revient enrouler ses doigts fins sur ton membre. elle y va doucement, presque lentement et c’est une torture. douce torture que tu apprécies. tu ne lâches pas ses pupilles alors que tu sens ton plaisir augmenter encore et encore sous ses gestes experts. ton souffle devient plus lourd devient plus erratique à mesure que tu approches de la délivrance. tu viens fermer les yeux et t’enfouis ton visage dans son cou, caché par ses cheveux. ton cœur cogne contre ton torse et ton souffle chaud contre la peau fine de son cou. tu viens l’embrasser avant de planter tes dents dans sa peau de porcelaine. tu discernes le démon à l’entrée de ta conscience qui ne demande qu’à être libéré. mais tu ne veux pas, pas encore. pas tant que tu n’es pas sûr que lili accepterait cette facette de toi. « malia… stop. » que tu murmures d'une voix rauque en lâchant sa peau et en attrapant fermement son poignet pour qu’elle arrête. encore un peu et tu te finissais dans sa main. sauf que tu veux qu’elle hurle de plaisir en même temps que toi. tu retires alors sa main récupérant la seconde avant de les remonter au-dessus de sa tête et d’y lier tes doigts aux siens. tu viens à nouveau mimer des mouvements de vas et viens contre son intimité avec ton bassin. mais cette fois, vous êtes nus, cette fois c’est pour l’exciter un peu plus, pour la frustrer tout autant. tu ne mets pas de cadence ou de rythme particulier, tu fais simplement par rapport à ton envie alternant des coups de bassins lascifs à des coups plus passionnés, plus brutaux. ton regard n’a pas quitté le sien alors que tu souris narquoisement. tu veux qu’elle te supplie de la prendre. sauf que tu te doutes que ce ne sera pas assez. alors tu te stoppes, lâchant ses mains pour descendre vers son sexe. cette fois, tu ne joueras pas, du moins pas de la façon dont tu l’as fait avant. cette fois tu déposes réellement tes lèvres sur les siennes, alors que ta langue trouve son bouton. tu la goûtes enfin, laissant ta bouche faire ce que tu rêves depuis des mois.
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue // t’as perdu le jeu, tu le sais au moment où tu déposes tes lèvres sur celle de la belle asiatique. mais même si tu as perdu, même si tu as craqué, même si c’est elle la grande gagnante de votre petit jeu frustrant, tu sais qu’au fond, vous avez tous les deux gagnés. vous allez tous les deux profiter de l’autre sans retenu parce que vous en mourrez d’envie depuis que vous vous connaissez. et maintenant que tu as placé la barre plus haute, vous ne pouvez plus résister. tu as tellement envie d’elle que tu ne veux plus être patient. tu voudrais la prendre là, maintenant sur cette banquette, mais tu veux quand même qu’elle craque un peu. tu veux la faire languir, lui laisser un goût d’inachevé sur les lèvres et qu’elle en redemande d’elle-même. certes, t’as perdu la bataille mais pas la guerre. et tu lui fais comprendre, en jouant avec elle, d’une autre façon maintenant que tu as l’autorisation. malia te demande même expressément de la toucher et tu ne te fais pas prier. tu déposes un baiser sur ses lèvres, suçant celle inférieur. tu sens sa main sur ta nuque et tu apprécies les caresses qu’elle y dépose. tu sens également son sourire et ça te fait sourire aussi. tu délaisses sa bouche, déposant une trainée de baiser sur sa mâchoire, dans son cou avant de venir butiner sa poitrine. tu sais ce que tu fais, t’as l’habitude même si tu n’as pas touché de corps féminin depuis plus de six mois. t’es impatient de goûter à sa peau, à tous les endroits où tu n’as jusqu’alors pas eu accès. tu te régales de ce morceau de chair avec lequel tu joues comme si c’était une sucrerie et entendre les soupirs plus bruyant de la jeune femme sous toi, te donne des indications sur ce qu’elle aime. t’es vraiment plus à l’aise enfermé dans ce pantalon et tu voudrais qu’elle te libère de cette prison de tissu. lili se cambre et tu grognes légèrement contre son sein alors que son bassin frotte le tien et ça à le don de te faire agir un peu plus vite. son sous-vêtement, dernier rempart à cette zone que tu brûles de désir de découvrir, se retrouve bien vite au sol avec le reste. et malia se retrouve nue. elle est belle, alors que le désir a déposé du rose sur ses joues, que ses lèvres sont gonflés par tes baisers et que sa poitrine se soulève à un rythme irrégulier. tu ne l’observes pas plus longtemps, t’as trop attendu. à la place tu viens une nouvelle fois poser tes lèvres sur les tiennes alors que tu lui ordonnes presque de te débarrasser de ton pantalon en mettant sa main sur ton érection. tu as besoin qu’elle s’occupe de cette partie pendant que tes doigts se font plus aventureux. tu les laisses se balader au gré de leur envie tandis que tu ressens les réactions de son corps. elle se cambre, vibre sous ta main et tu souris, satisfait de l’effet que tu lui fais. tu n’as pas perdu la main. parce que ce n’était pas avec na rae que tu pouvais faire ce genre de choses. t’étais limité au missionnaire. pas vraiment intéressant d’ailleurs. malia gémit face au désir et tu accélères légèrement la cadence, jouant tantôt avec son bouton, tantôt avec l’entrée tant convoitée. elle est mouillée et tu ressens l’envie de la posséder, ça en devient encore plus fort maintenant que tu ressens son excitation pour toi. tu voudrais te déshabiller toi-même et la prendre comme ça. tu sais que ça ne poserait aucun problème, elle est assez mouillée pour que tu puisses la pénétrer sans lui faire mal. mais à peine t’as pensé à ça que ses mains s’occupent de ton jeans. lui aussi se retrouve au sol et tu laisses un gémissement s’échapper quand lili rapproche encore une fois son bassin du tien. elle aussi, elle sait ce qu’elle fait et elle le fait bien. elle plante son regard dans le tien et tu serres les dents pour te contrôler. tu as de plus en plus de mal à ne pas te laisser aller et à laisser sortir ce démon qui brûle en toi, celui que tu as muselé pendant trois ans pour faire plaisir à ton ex petite amie. mais maintenant que ce n’est plus na rae que tu as dans les bras, est-ce que tu peux te lâcher ? est-ce que tu peux redevenir le eui geon que t’as enfermé dans un coin pendant tout ce temps ? mais encore une fois, lili ne te laisse pas le temps de réfléchir que ton caleçon est retiré lui aussi. t’es aussi nu qu’elle et tu vois bien qu’elle apprécie la vue. tu souris satisfait et légèrement arrogant. t’as jamais eu à te plaindre de ce côté-là et apparemment ça plait à la jeune femme. tu ne détournes pas les yeux quand elle revient enrouler ses doigts fins sur ton membre. elle y va doucement, presque lentement et c’est une torture. douce torture que tu apprécies. tu ne lâches pas ses pupilles alors que tu sens ton plaisir augmenter encore et encore sous ses gestes experts. ton souffle devient plus lourd devient plus erratique à mesure que tu approches de la délivrance. tu viens fermer les yeux et t’enfouis ton visage dans son cou, caché par ses cheveux. ton cœur cogne contre ton torse et ton souffle chaud contre la peau fine de son cou. tu viens l’embrasser avant de planter tes dents dans sa peau de porcelaine. tu discernes le démon à l’entrée de ta conscience qui ne demande qu’à être libéré. mais tu ne veux pas, pas encore. pas tant que tu n’es pas sûr que lili accepterait cette facette de toi. « malia… stop. » que tu murmures d'une voix rauque en lâchant sa peau et en attrapant fermement son poignet pour qu’elle arrête. encore un peu et tu te finissais dans sa main. sauf que tu veux qu’elle hurle de plaisir en même temps que toi. tu retires alors sa main récupérant la seconde avant de les remonter au-dessus de sa tête et d’y lier tes doigts aux siens. tu viens à nouveau mimer des mouvements de vas et viens contre son intimité avec ton bassin. mais cette fois, vous êtes nus, cette fois c’est pour l’exciter un peu plus, pour la frustrer tout autant. tu ne mets pas de cadence ou de rythme particulier, tu fais simplement par rapport à ton envie alternant des coups de bassins lascifs à des coups plus passionnés, plus brutaux. ton regard n’a pas quitté le sien alors que tu souris narquoisement. tu veux qu’elle te supplie de la prendre. sauf que tu te doutes que ce ne sera pas assez. alors tu te stoppes, lâchant ses mains pour descendre vers son sexe. cette fois, tu ne joueras pas, du moins pas de la façon dont tu l’as fait avant. cette fois tu déposes réellement tes lèvres sur les siennes, alors que ta langue trouve son bouton. tu la goûtes enfin, laissant ta bouche faire ce que tu rêves depuis des mois.#kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 15 Oct - 0:17
tenue ☾ ce n'était même pas qu'un jeu de séduction qui vous liait, mais carrément un jeu sexuel. vous la sentiez, cette tension. elle était pesante, énorme, il pouvait la ressentir à chacun de tes mouvements, à chacun de vos regards, c'est simple, il faudrait être aveugle pour ne pas se rendre compte que vous creviez d'envie de vous jeter l'un sur l'autre mais c'est désormais chose faite. ce soir, tu te laisses aller à tes désirs les plus charnels avec lui, sans barrière. si c'est une bonne idée? et bien, pourquoi pas, hm? tu es jeune après tout? qu'est-ce que tu risques? peut-être de perdre ton travail, chose que tu ne peux absolument pas te permettre après tout ce que tu as traversé, mais tu fais aveuglément confiance à euigeon. quand bien même tu aurais tort, ça sera uniquement de ta faute mais pour l'instant, tu es sereine. de toute façon, tu ne peux plus lutter contre cette attirance qui voue lie tous les deux, c'en devient presque inhumain. tu sens ses doigts jouer avec ton intimité, avec ton petit bouton mais aussi, tu les sens s'aventurer un peu plus bas. tes soupirs de plaisirs se font de moins en moins discrets, et tu as besoin qu'il t'entende dans cet état, qu'il sache à quel point il te donne du plaisir mais très vite, tu viens t'occuper de son jeans qui se retrouve très rapidement au sol lui aussi. tu as besoin de plus, tu veux plus, maintenant, et tu veux lui faire comprendre. c'est pour cette raison que tu rapproches ton bassin du sien. pour l'exciter, et ça fonctionne, tu peux l'entendre à son gémissement. et toi, ça te pousse à continuer car tu lui ôtes son caleçon, cette fois-ci. d'ailleurs, tu ne te gênes pas pour apprécier cette vue des plus exquise, tu ne t'en caches pas. tu as même envie qu'il te voit l'admirer, et tu t'en mords la lèvre de désir. tu viens vite te saisir de sa virilité, dans des mouvements délicats et appliqués, parce que tu veux savourer au même titre que lui, tu veux faire grimper le désir en lui, désir bien trop encombrant déjà. et tu l'entends à sa respiration, que ça lui plaît, tu en souris même discrètement parce que ça te plait plus que tu ne l'aurais pensé, de le voir dans un tel état sous tes caresses. tu fermes les yeux un court instant lorsque euigeon vient enfouir sa tête dans ton cou, sentant alors son souffle chaud et sa respiration saccadée tout contre ta peau, ça t'excite toi aussi, et te donne encore plus l'envie de continuer. il vient même te déposer des baisers dans le cou, te mordiller une nouvelle fois la peau et toi, tu ne peux retenir un énième soupir de plaisir face à ce geste. « malia… stop. » te souffle t-il d'une voix rauque, venant attraper ton poignet. oh tu pourrais croire que ça ne lui plaît pas, à la vue de sa réaction mais c'en est loin, tu sais que ça lui plaît... justement un peu trop. mais toi, t'es frustré de ne pas pouvoir continuer, toi, tu n'en peux plus, tu as besoin qu'il assouvisse ce désir beaucoup trop puissant en toi, cette flamme qui ne cesse de prendre en intensité, vers ton bas ventre. euigeon vient alors se saisir de tes mains pour les placer au dessus de ton crâne, liant ses doigts dans les tiens et toi, tu resserres cette emprise. et voilà qu'il s'amuse à nouveau à mimer des vas-et-vient, sauf que cette fois, vos vêtements ne sont plus là. alors tu sens son érection, tout contre ta peau. ce qui a pour effet de te faire lâcher un soupir de plaisir, tu es au bord de l'explosion, il souhaite encore jouer avec toi? ou il attend quelque chose? peut-être que tu lui demandes clairement, parce que là, tu ne tiens plus. tu viens même te mordre la lèvre quand il te donne ces coups de bassin plus brutaux, il te torture, c'est évident. ouais, il joue avec toi, tu le comprends à ce sourire qu'il te lance avant de descendre plus bas. redoutant la suite des événements, ton regard se rive sur le plafond, ton ventre se soulevant au rythme de ta respiration saccadée. quelques secondes avant que tu sentes sa langue s'aventurer entre tes lèvres inférieures, tes yeux se ferment, une vague de plaisir prend possession de tout ton corps tandis que tu ne peux retenir un gémissement. en réalité, tu ne te souviens même plus de la dernière fois où tu as été aussi excitée, mais c'est bon, de retrouver cette sensation. tes mains viennent se glisser dans ses cheveux, l'incitant alors à continuer parce que bon sang, qu'est-ce qu'il s'y prend bien, tu en perds littéralement la tête, tu ne t'entends même plus gémir. tu n'es plus du tout discrète à l'heure actuelle, heureusement qu'on ne pourra pas vous entendre mais quand bien même, tu n'y penses même pas. ton attention est rivé sur euigeon et uniquement sur lui et ce qu'il te fait, sur le plaisir qu'il t'offre. tes mains lui offrent même de tendres caresses tandis que ton corps commence à se tordre de plaisir. il te torture mais c'est beaucoup trop bon, tu as besoin de plus, tellement plus. là, tu veux le sentir en toi, l'entendre prendre du plaisir lui aussi. sentir l'effet que tu as sur lui. quelques minutes plus tard, tu tentes de reprendre un peu tes esprits « eui... » essayes-tu de reprendre. « euigeon... » murmures-tu, difficilement dû à ta respiration haletante qui trahie ton état, ton désir. mais là tu ne peux plus tenir, tu as beaucoup trop envie de lui. et pourtant, tu apprécies grandement ce qu'il te fait, si tu ne souhaitait pas tant le sentir en toi, tu l'aurais laissé continuer longtemps mais là, tu es obligé de l'arrêter, le forçant à revenir à ton niveau en l'attrapant par le bras. et là, tu reprends possession de ses lèvres encore humides de ton excitation, ça t'excite davantage. et tu viens lui souffler, chaudement « j'ai envie de toi... » tu lui avoues ces quelques mots, les yeux toujours clos car tu te sens tout bonnement incapable de les rouvrir. tu as besoin de le sentir, là tout de suite, on peut le remarquer à ton bassin qui se mouve d'excitation. « prends-moi, dépêche toi... » par pitié, il a assez joué avec toi.
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malia & euigeon
tenue ☾ ce n'était même pas qu'un jeu de séduction qui vous liait, mais carrément un jeu sexuel. vous la sentiez, cette tension. elle était pesante, énorme, il pouvait la ressentir à chacun de tes mouvements, à chacun de vos regards, c'est simple, il faudrait être aveugle pour ne pas se rendre compte que vous creviez d'envie de vous jeter l'un sur l'autre mais c'est désormais chose faite. ce soir, tu te laisses aller à tes désirs les plus charnels avec lui, sans barrière. si c'est une bonne idée? et bien, pourquoi pas, hm? tu es jeune après tout? qu'est-ce que tu risques? peut-être de perdre ton travail, chose que tu ne peux absolument pas te permettre après tout ce que tu as traversé, mais tu fais aveuglément confiance à euigeon. quand bien même tu aurais tort, ça sera uniquement de ta faute mais pour l'instant, tu es sereine. de toute façon, tu ne peux plus lutter contre cette attirance qui voue lie tous les deux, c'en devient presque inhumain. tu sens ses doigts jouer avec ton intimité, avec ton petit bouton mais aussi, tu les sens s'aventurer un peu plus bas. tes soupirs de plaisirs se font de moins en moins discrets, et tu as besoin qu'il t'entende dans cet état, qu'il sache à quel point il te donne du plaisir mais très vite, tu viens t'occuper de son jeans qui se retrouve très rapidement au sol lui aussi. tu as besoin de plus, tu veux plus, maintenant, et tu veux lui faire comprendre. c'est pour cette raison que tu rapproches ton bassin du sien. pour l'exciter, et ça fonctionne, tu peux l'entendre à son gémissement. et toi, ça te pousse à continuer car tu lui ôtes son caleçon, cette fois-ci. d'ailleurs, tu ne te gênes pas pour apprécier cette vue des plus exquise, tu ne t'en caches pas. tu as même envie qu'il te voit l'admirer, et tu t'en mords la lèvre de désir. tu viens vite te saisir de sa virilité, dans des mouvements délicats et appliqués, parce que tu veux savourer au même titre que lui, tu veux faire grimper le désir en lui, désir bien trop encombrant déjà. et tu l'entends à sa respiration, que ça lui plaît, tu en souris même discrètement parce que ça te plait plus que tu ne l'aurais pensé, de le voir dans un tel état sous tes caresses. tu fermes les yeux un court instant lorsque euigeon vient enfouir sa tête dans ton cou, sentant alors son souffle chaud et sa respiration saccadée tout contre ta peau, ça t'excite toi aussi, et te donne encore plus l'envie de continuer. il vient même te déposer des baisers dans le cou, te mordiller une nouvelle fois la peau et toi, tu ne peux retenir un énième soupir de plaisir face à ce geste. « malia… stop. » te souffle t-il d'une voix rauque, venant attraper ton poignet. oh tu pourrais croire que ça ne lui plaît pas, à la vue de sa réaction mais c'en est loin, tu sais que ça lui plaît... justement un peu trop. mais toi, t'es frustré de ne pas pouvoir continuer, toi, tu n'en peux plus, tu as besoin qu'il assouvisse ce désir beaucoup trop puissant en toi, cette flamme qui ne cesse de prendre en intensité, vers ton bas ventre. euigeon vient alors se saisir de tes mains pour les placer au dessus de ton crâne, liant ses doigts dans les tiens et toi, tu resserres cette emprise. et voilà qu'il s'amuse à nouveau à mimer des vas-et-vient, sauf que cette fois, vos vêtements ne sont plus là. alors tu sens son érection, tout contre ta peau. ce qui a pour effet de te faire lâcher un soupir de plaisir, tu es au bord de l'explosion, il souhaite encore jouer avec toi? ou il attend quelque chose? peut-être que tu lui demandes clairement, parce que là, tu ne tiens plus. tu viens même te mordre la lèvre quand il te donne ces coups de bassin plus brutaux, il te torture, c'est évident. ouais, il joue avec toi, tu le comprends à ce sourire qu'il te lance avant de descendre plus bas. redoutant la suite des événements, ton regard se rive sur le plafond, ton ventre se soulevant au rythme de ta respiration saccadée. quelques secondes avant que tu sentes sa langue s'aventurer entre tes lèvres inférieures, tes yeux se ferment, une vague de plaisir prend possession de tout ton corps tandis que tu ne peux retenir un gémissement. en réalité, tu ne te souviens même plus de la dernière fois où tu as été aussi excitée, mais c'est bon, de retrouver cette sensation. tes mains viennent se glisser dans ses cheveux, l'incitant alors à continuer parce que bon sang, qu'est-ce qu'il s'y prend bien, tu en perds littéralement la tête, tu ne t'entends même plus gémir. tu n'es plus du tout discrète à l'heure actuelle, heureusement qu'on ne pourra pas vous entendre mais quand bien même, tu n'y penses même pas. ton attention est rivé sur euigeon et uniquement sur lui et ce qu'il te fait, sur le plaisir qu'il t'offre. tes mains lui offrent même de tendres caresses tandis que ton corps commence à se tordre de plaisir. il te torture mais c'est beaucoup trop bon, tu as besoin de plus, tellement plus. là, tu veux le sentir en toi, l'entendre prendre du plaisir lui aussi. sentir l'effet que tu as sur lui. quelques minutes plus tard, tu tentes de reprendre un peu tes esprits « eui... » essayes-tu de reprendre. « euigeon... » murmures-tu, difficilement dû à ta respiration haletante qui trahie ton état, ton désir. mais là tu ne peux plus tenir, tu as beaucoup trop envie de lui. et pourtant, tu apprécies grandement ce qu'il te fait, si tu ne souhaitait pas tant le sentir en toi, tu l'aurais laissé continuer longtemps mais là, tu es obligé de l'arrêter, le forçant à revenir à ton niveau en l'attrapant par le bras. et là, tu reprends possession de ses lèvres encore humides de ton excitation, ça t'excite davantage. et tu viens lui souffler, chaudement « j'ai envie de toi... » tu lui avoues ces quelques mots, les yeux toujours clos car tu te sens tout bonnement incapable de les rouvrir. tu as besoin de le sentir, là tout de suite, on peut le remarquer à ton bassin qui se mouve d'excitation. « prends-moi, dépêche toi... » par pitié, il a assez joué avec toi.#kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Dim 15 Oct - 0:59
tenue // votre désir l’un pour l’autre s’entrechoque sans que vous ne puissiez faire marche arrière. de toute façon, maintenant, c’est trop tard, vous avez été trop loin. tu as trop faim de son corps, de sa peau. tu veux la posséder toute entière. tu veux qu’elle crie ton nom, qu’elle se cambre sous tes caresses. ça fait tellement longtemps que tu n’avais pas été aussi excité et aussi désireux de ne faire qu’un avec une femme. mais malia a cette emprise sur toi que tu ne peux pas contrôler. t’es sûr qu’elle s’en rend compte parce qu’elle n’aurait pas joué à ce jeu avec toi si ce n’était pas le cas. t’aimes aussi à croire que tu as de l’emprise sur elle, que tu arrives à l’exciter autant qu’elle t’excite. et alors que tes doigts jouent avec son intimité, tu peux sentir son excitation montée en même temps que la tienne. vous vous donnez mutuellement du plaisir et vous êtes doués pour ça. la jeune femme est si douée qu’elle te fait tout stopper pour venir enfouir ton visage dans son cou, caché par ses cheveux. ton souffle est court et saccadé. tu ne contrôles plus grand-chose, alors que ton corps réagit aux caresses de lili. tu en veux plus, tellement plus. tu veux la sentir se serrer autour de toi et exploser en elle. c’est pour ça que tu stoppes tout quand tu sens que tu pars. tu ne veux pas te lâcher maintenant. tu dois encore garder un peu le contrôle de toi. mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas jouer avec elle, l’émoustiller encore un peu. ton bassin se remet à se mouvoir, mimant les vas et viens qu’il te tarde de réellement vers et vos intimités se frôlent l’une à l’autre, t’excitant encore plus. tu voudrais la prendre maintenant mais c’est pas assez. tu as besoin qu’elle rende les armes elle aussi, comme tu l’as fait quelques instants plus tôt. alors, tu arrêtes tes mouvements pour te plonger entre ses jambes, tes lèvres et ta langue jouant avec elle. tu sens encore une fois ses mains dans tes cheveux et tu souris contre elle alors que tu continues d’alterner entre son bouton et l’entrée tant convoitée. ses gémissements de plus en plus bruyants te poussent à continuer et augmentent ton plaisir si c’était possible. tu sais ce que tu fais, tu l’as fait des dizaines de fois. mais cette fois, tu ne sais pas pourquoi c’est différent. peut-être parce que ça fait longtemps que tu n’as pas goûté une femme de la sorte. t’as l’impression de revivre, comme si avant que tu ne rencontres malia, ta vie était sans saveur. t’entends vaguement ton prénom dans la bouche de lili, mais tu n’y prêtes pas attention. t’es trop focalisé sur les réactions que son corps à chaque coup de langue, à chaque baiser. c’est grisant de savoir que tu as ce pouvoir sur son corps, comme s’il t’appartenait. et à ce moment précis, alors que tu es entre ses cuisses, c’est le cas. malia est à toi, rien qu’à toi. tu sens une pression sur ton bras alors qu’elle te remonte vers elle et tu grognes pour exprimer ton mécontentement. pourquoi elle ne t’a pas laisser finir ? t’as pas le temps de réellement être frustré qu’elle vient prendre possession de tes lèvres, savourant son humidité et tu lâches un râle de plaisir. ça t’excite qu’elle se soit goûté à travers ta bouche. mais ce qui t’excite encore plus ce sont les mots qu’elle souffle tout en collant son bassin au tien. elle bouge sous toi, quémandant ta virilité en elle. et quand elle te demande de la prendre, tu n’arrives plus à te contrôler. tu laisses le démon en toi prendre possession de ton corps, de ton esprit. ça fait tellement longtemps que tu n’avais pas lâché la bride que tu ne te maîtrises plus. tu attrapes les cuisses de malia, plantant tes doigts dans sa chair et serrant sûrement plus que nécessaire. tu la soulèves légèrement et tu te positionnes avant d’entrer en elle dans un coup de rein bestial tout en la ramenant contre toi. tu pousses un gémissement qui n’a rien de discret et tu restes immobile quelques secondes le temps de te ressaisir. tu reprends le contrôle, enfermant une nouvelle fois le démon dans ton esprit. ce n’est pas ce soir que tu le laisseras sortir complètement. ça fait tellement longtemps que tu n’as pas couché avec une femme que tu aurais pu jouir à l’instant, en t’unissant à elle. mais t’arrives in extrémis à te contenir et tu viens à nouveau chercher ses lèvres. tu mords sa lèvre inférieure alors que tu commences tes vas et viens langoureux. c’est encore mieux que ce que tu avais imaginé. son corps épouse parfaitement le tien et tu la sens répondre à ton rythme. tu ne l’imposes pas réellement, tu laisses simplement vos corps se répondre et s’appeler. tu finis par stopper tes mouvements, te redressant légèrement pour planter ton regard dans le sien. « tu me rends fous malia. » que tu murmures d’une voix rauque et pleine de désir alors que tu peux lire la même chose dans ses yeux. tu te décales de son corps pour passer ta main entre vous deux et tu laisses tes doigts s’amuser avec son bouton pour faire augmenter son excitation et son plaisir. tu la sens qui se resserre autour de toi et tu gémis. ta tête se retrouve à nouveau dans ses cheveux et ta bouche près de son oreille, tu souffles. « jouis pour moi malia. » tu sais qu’elle en a envie tout comme tu en as envie toi aussi.
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue // votre désir l’un pour l’autre s’entrechoque sans que vous ne puissiez faire marche arrière. de toute façon, maintenant, c’est trop tard, vous avez été trop loin. tu as trop faim de son corps, de sa peau. tu veux la posséder toute entière. tu veux qu’elle crie ton nom, qu’elle se cambre sous tes caresses. ça fait tellement longtemps que tu n’avais pas été aussi excité et aussi désireux de ne faire qu’un avec une femme. mais malia a cette emprise sur toi que tu ne peux pas contrôler. t’es sûr qu’elle s’en rend compte parce qu’elle n’aurait pas joué à ce jeu avec toi si ce n’était pas le cas. t’aimes aussi à croire que tu as de l’emprise sur elle, que tu arrives à l’exciter autant qu’elle t’excite. et alors que tes doigts jouent avec son intimité, tu peux sentir son excitation montée en même temps que la tienne. vous vous donnez mutuellement du plaisir et vous êtes doués pour ça. la jeune femme est si douée qu’elle te fait tout stopper pour venir enfouir ton visage dans son cou, caché par ses cheveux. ton souffle est court et saccadé. tu ne contrôles plus grand-chose, alors que ton corps réagit aux caresses de lili. tu en veux plus, tellement plus. tu veux la sentir se serrer autour de toi et exploser en elle. c’est pour ça que tu stoppes tout quand tu sens que tu pars. tu ne veux pas te lâcher maintenant. tu dois encore garder un peu le contrôle de toi. mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas jouer avec elle, l’émoustiller encore un peu. ton bassin se remet à se mouvoir, mimant les vas et viens qu’il te tarde de réellement vers et vos intimités se frôlent l’une à l’autre, t’excitant encore plus. tu voudrais la prendre maintenant mais c’est pas assez. tu as besoin qu’elle rende les armes elle aussi, comme tu l’as fait quelques instants plus tôt. alors, tu arrêtes tes mouvements pour te plonger entre ses jambes, tes lèvres et ta langue jouant avec elle. tu sens encore une fois ses mains dans tes cheveux et tu souris contre elle alors que tu continues d’alterner entre son bouton et l’entrée tant convoitée. ses gémissements de plus en plus bruyants te poussent à continuer et augmentent ton plaisir si c’était possible. tu sais ce que tu fais, tu l’as fait des dizaines de fois. mais cette fois, tu ne sais pas pourquoi c’est différent. peut-être parce que ça fait longtemps que tu n’as pas goûté une femme de la sorte. t’as l’impression de revivre, comme si avant que tu ne rencontres malia, ta vie était sans saveur. t’entends vaguement ton prénom dans la bouche de lili, mais tu n’y prêtes pas attention. t’es trop focalisé sur les réactions que son corps à chaque coup de langue, à chaque baiser. c’est grisant de savoir que tu as ce pouvoir sur son corps, comme s’il t’appartenait. et à ce moment précis, alors que tu es entre ses cuisses, c’est le cas. malia est à toi, rien qu’à toi. tu sens une pression sur ton bras alors qu’elle te remonte vers elle et tu grognes pour exprimer ton mécontentement. pourquoi elle ne t’a pas laisser finir ? t’as pas le temps de réellement être frustré qu’elle vient prendre possession de tes lèvres, savourant son humidité et tu lâches un râle de plaisir. ça t’excite qu’elle se soit goûté à travers ta bouche. mais ce qui t’excite encore plus ce sont les mots qu’elle souffle tout en collant son bassin au tien. elle bouge sous toi, quémandant ta virilité en elle. et quand elle te demande de la prendre, tu n’arrives plus à te contrôler. tu laisses le démon en toi prendre possession de ton corps, de ton esprit. ça fait tellement longtemps que tu n’avais pas lâché la bride que tu ne te maîtrises plus. tu attrapes les cuisses de malia, plantant tes doigts dans sa chair et serrant sûrement plus que nécessaire. tu la soulèves légèrement et tu te positionnes avant d’entrer en elle dans un coup de rein bestial tout en la ramenant contre toi. tu pousses un gémissement qui n’a rien de discret et tu restes immobile quelques secondes le temps de te ressaisir. tu reprends le contrôle, enfermant une nouvelle fois le démon dans ton esprit. ce n’est pas ce soir que tu le laisseras sortir complètement. ça fait tellement longtemps que tu n’as pas couché avec une femme que tu aurais pu jouir à l’instant, en t’unissant à elle. mais t’arrives in extrémis à te contenir et tu viens à nouveau chercher ses lèvres. tu mords sa lèvre inférieure alors que tu commences tes vas et viens langoureux. c’est encore mieux que ce que tu avais imaginé. son corps épouse parfaitement le tien et tu la sens répondre à ton rythme. tu ne l’imposes pas réellement, tu laisses simplement vos corps se répondre et s’appeler. tu finis par stopper tes mouvements, te redressant légèrement pour planter ton regard dans le sien. « tu me rends fous malia. » que tu murmures d’une voix rauque et pleine de désir alors que tu peux lire la même chose dans ses yeux. tu te décales de son corps pour passer ta main entre vous deux et tu laisses tes doigts s’amuser avec son bouton pour faire augmenter son excitation et son plaisir. tu la sens qui se resserre autour de toi et tu gémis. ta tête se retrouve à nouveau dans ses cheveux et ta bouche près de son oreille, tu souffles. « jouis pour moi malia. » tu sais qu’elle en a envie tout comme tu en as envie toi aussi.#kerushirei
Invité
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Mar 24 Oct - 22:59
tenue ☾ car là, au moment où tu le sens entre tes cuisses, tu te sens décoller. une vague de plaisir t'envahit aussitôt, une vague de plaisir qui détruit tout sur son passage, tellement que tu ne contrôles même plus tes gémissements. ses coups de langue te font perdre pied, il te transporte dans cet univers qui te manquait. ça faisait bien longtemps que tu n'avais pas autant désiré quelqu'un, euigeon, il y avait cette tension sexuelle qui ne demandait qu'à être assouvie. alors maintenant que vous passez à l'action, c'est l'explosion. c'est tout ce désir qui explose, toute cette envie. c'est bien la première fois que tu te donnes à quelqu'un sur ton lieu de travail, parce que oui, malgré tout ce qu'on peut dire sur les strip-teaseuse, toi, tu te donnais jamais aux hommes. il y a une différence à faire entre prostituée et strip, différence que certaines personnes n'ont pas compris. et puis, tu n'es pas une fille facile... ça aurait pu t'étonner de passer réellement aux choses sérieuses avec lui, mais avec ce jeu entre vous, cette tension, ce n'est pas réellement étonnant au final. tu avais envie de lui, et tu restes une femme qui n'est clairement pas insensible à son charme, bien au contraire. mais là tu ne tiens plus, tu as besoin de plus, alors tu lui empoignes le bras pour le remonter vers ton visage, tu l'entends grogner mais tu n'y prêtes pas attention, d'ailleurs, tu viens vite prendre possession de ses lèvres. tu ne contrôles même pas ton corps qui commence à se mouver sous lui, tant l'excitation t’enivre, tant ton corps ne demande qu'à être possédé par lui. par lui et personne d'autre. tes mots t'échappent rapidement puisque tu lui demandes de te prendre, tu ne veux plus attendre, pire : tu ne peux plus attendre. tu as besoin de le sentir te posséder de toute cette passion qui vous lie, tout ce désir incontrôlable qui vous habite depuis beaucoup trop longtemps maintenant. d'ailleurs, euigeon ne se fait pas prier puisqu'il vient aussitôt t'attraper les cuisses, tu y sens de la férocité à la manière dont il enfonce ses doigts dans ta peau mais tu te laisses faire, ça t'excite davantage. il vient alors te soulever quelque peu avant d'enfin, te pénétrer. et là, c'est une nouvelle vague de plaisir qui t’envahit, tu fermes les yeux, entrouvrant la bouche afin d'y laisser passer un gémissement plus poussé. son coup de bassin est bestial, impossible pourtant d'y retenir tes sons de plaisir. et puis, tu as envie qu'il entende l'effet qu'il a sur toi, l'effet qu'il te fait lorsqu'il te possède de cette manière. parce que toi, ça te plaît. entendre ce gémissement qu'il pousse ne fait qu'accroître ta chaleur corporelle et ce désir que tu as pour lui. il reste immobile un court instant, le temps pour toi de te ressaisir parce que là, tu pensais vraiment que tu allais devenir folle. tu fermes les yeux, passant tes bras autour de son cou, tu lui caresses même la nuque alors que ta respiration, elle, te fait toujours aussi secouée par tout ce plaisir. mais lorsqu'il commence à effectuer des vas-et-vient langoureux, ton souffle se fait fort à nouveau. tes gémissements sont plus discrets dans un premier temps bien que tu ne te retiennes pas vraiment, mais c'est tout ce désir qui t'en coupe le souffle. le sentir en toi, c'est encore mieux que ce que tu avais imaginé. d'ailleurs, tu te mets à mouver ton bassin toi aussi, suivant le rythme que vos corps vous imposent. ta respiration se fait plus haletante au fil des minutes, tes gémissements, eux, de plus en plus fréquents mais de moins en moins discrets. tes ongles entrent même dans la peau de sa nuque sans que tu puisses y avoir un quelconque contrôle là-dessus. ce n'est pas toi, mais le plaisir qu'il t'offre. ça, avant qu'il finisse par stopper ses mouvements, tu peines à rouvrir les yeux mais lorsque tu sens son visage s'éloigner de ton cou, tu agis. tu rouvres les yeux, plantant ton regard dans le sien alors qu'une mèche décoiffé de tes cheveux vient s'inviter au beau milieu de ton visage, secoué par ta forte respiration. « tu me rends fous malia. » ces mots ont l'effet d'une bombe pour ton corps. ça fait quelques minutes qu'il t'appelle par ton vrai prénom désormais, mais à croire que tu as du mal à t'y faire. que ça te fait encore plus d'effet que tu ne l'aurais jamais pensé. ces paroles, tu en aurais sans doute joué habituellement, mais là c'est différent. là, il a certaines cartes en main qu'il n'avait pas auparavant. mais en réalité, tu n'as même pas le temps de lui répondre quoi que ce soit, ni même que l'information aille jusqu'à ton cerveau puisque tu sens sa main se faufiler entre vos deux corps pour venir s'amuser avec ton petit bouton. et à nouveau, tu fermes les yeux, savourant davantage le plaisir qu'il t'offre. tu viens même lâcher un soupir de plaisir tout en resserrant ton emprise autour de son cou lorsqu'il vient à nouveau nicher sa tête dans tes cheveux. tes gémissements, tu ne les contrôles plus, tu te laisses simplement emporter par ce désir ravageur que vous partagez. « jouis pour moi malia. » tu te sens fondre sous lui, il a allumé cette flamme en toi, et ton corps n'a d'autre choix que de se laisser aller à ses désirs. une nouvelle vague de plaisir vient te secouer, et tu pousses alors ce nouveau gémissement incontrôlé lorsqu'il te souffle ces paroles à l'oreille. il sait comment t'exciter mais tu l'es déjà beaucoup trop, ça fait tellement longtemps que tu attends. ainsi, tes jambes viennent s'enrouler autour de sa taille alors que ton bassin continue de se mouver au rythme du sien. tu ne sais pas réellement combien de temps tu vas pouvoir tenir, mais peu de temps à ton avis. tu te sens déjà au bord de la jouissance, vous aviez peut-être un peu trop attendu... ton souffle se fait court mais surtout, coupé par certains gémissements. le moins que l'on puisse dire, c'est que vous n'êtes pas discrets. l'une de tes mains vient se glisser dans ses cheveux que tu agrippes avec envie, tu veux le sentir là, tout contre toi. « plus fort.. » souffles-tu, tu as envie de le sentir davantage, qu'il te fasse décoller et atteindre les septième ciel, tu le touches déjà du bout des doigts. ton corps se cambre légèrement face à tout ce plaisir qu'il parvient à te donner, tu te contractes même un court instant, ton cœur lui, bat la chamade. jusqu'à ce que tu lui répètes à nouveau: « plus fort! » gémis-tu, cette fois, tout en étant emporté par cette vague de plaisir. t'en réclames, encore et encore. c'est tellement bon et l'orgasme est si proche.
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malia & euigeon
tenue ☾ car là, au moment où tu le sens entre tes cuisses, tu te sens décoller. une vague de plaisir t'envahit aussitôt, une vague de plaisir qui détruit tout sur son passage, tellement que tu ne contrôles même plus tes gémissements. ses coups de langue te font perdre pied, il te transporte dans cet univers qui te manquait. ça faisait bien longtemps que tu n'avais pas autant désiré quelqu'un, euigeon, il y avait cette tension sexuelle qui ne demandait qu'à être assouvie. alors maintenant que vous passez à l'action, c'est l'explosion. c'est tout ce désir qui explose, toute cette envie. c'est bien la première fois que tu te donnes à quelqu'un sur ton lieu de travail, parce que oui, malgré tout ce qu'on peut dire sur les strip-teaseuse, toi, tu te donnais jamais aux hommes. il y a une différence à faire entre prostituée et strip, différence que certaines personnes n'ont pas compris. et puis, tu n'es pas une fille facile... ça aurait pu t'étonner de passer réellement aux choses sérieuses avec lui, mais avec ce jeu entre vous, cette tension, ce n'est pas réellement étonnant au final. tu avais envie de lui, et tu restes une femme qui n'est clairement pas insensible à son charme, bien au contraire. mais là tu ne tiens plus, tu as besoin de plus, alors tu lui empoignes le bras pour le remonter vers ton visage, tu l'entends grogner mais tu n'y prêtes pas attention, d'ailleurs, tu viens vite prendre possession de ses lèvres. tu ne contrôles même pas ton corps qui commence à se mouver sous lui, tant l'excitation t’enivre, tant ton corps ne demande qu'à être possédé par lui. par lui et personne d'autre. tes mots t'échappent rapidement puisque tu lui demandes de te prendre, tu ne veux plus attendre, pire : tu ne peux plus attendre. tu as besoin de le sentir te posséder de toute cette passion qui vous lie, tout ce désir incontrôlable qui vous habite depuis beaucoup trop longtemps maintenant. d'ailleurs, euigeon ne se fait pas prier puisqu'il vient aussitôt t'attraper les cuisses, tu y sens de la férocité à la manière dont il enfonce ses doigts dans ta peau mais tu te laisses faire, ça t'excite davantage. il vient alors te soulever quelque peu avant d'enfin, te pénétrer. et là, c'est une nouvelle vague de plaisir qui t’envahit, tu fermes les yeux, entrouvrant la bouche afin d'y laisser passer un gémissement plus poussé. son coup de bassin est bestial, impossible pourtant d'y retenir tes sons de plaisir. et puis, tu as envie qu'il entende l'effet qu'il a sur toi, l'effet qu'il te fait lorsqu'il te possède de cette manière. parce que toi, ça te plaît. entendre ce gémissement qu'il pousse ne fait qu'accroître ta chaleur corporelle et ce désir que tu as pour lui. il reste immobile un court instant, le temps pour toi de te ressaisir parce que là, tu pensais vraiment que tu allais devenir folle. tu fermes les yeux, passant tes bras autour de son cou, tu lui caresses même la nuque alors que ta respiration, elle, te fait toujours aussi secouée par tout ce plaisir. mais lorsqu'il commence à effectuer des vas-et-vient langoureux, ton souffle se fait fort à nouveau. tes gémissements sont plus discrets dans un premier temps bien que tu ne te retiennes pas vraiment, mais c'est tout ce désir qui t'en coupe le souffle. le sentir en toi, c'est encore mieux que ce que tu avais imaginé. d'ailleurs, tu te mets à mouver ton bassin toi aussi, suivant le rythme que vos corps vous imposent. ta respiration se fait plus haletante au fil des minutes, tes gémissements, eux, de plus en plus fréquents mais de moins en moins discrets. tes ongles entrent même dans la peau de sa nuque sans que tu puisses y avoir un quelconque contrôle là-dessus. ce n'est pas toi, mais le plaisir qu'il t'offre. ça, avant qu'il finisse par stopper ses mouvements, tu peines à rouvrir les yeux mais lorsque tu sens son visage s'éloigner de ton cou, tu agis. tu rouvres les yeux, plantant ton regard dans le sien alors qu'une mèche décoiffé de tes cheveux vient s'inviter au beau milieu de ton visage, secoué par ta forte respiration. « tu me rends fous malia. » ces mots ont l'effet d'une bombe pour ton corps. ça fait quelques minutes qu'il t'appelle par ton vrai prénom désormais, mais à croire que tu as du mal à t'y faire. que ça te fait encore plus d'effet que tu ne l'aurais jamais pensé. ces paroles, tu en aurais sans doute joué habituellement, mais là c'est différent. là, il a certaines cartes en main qu'il n'avait pas auparavant. mais en réalité, tu n'as même pas le temps de lui répondre quoi que ce soit, ni même que l'information aille jusqu'à ton cerveau puisque tu sens sa main se faufiler entre vos deux corps pour venir s'amuser avec ton petit bouton. et à nouveau, tu fermes les yeux, savourant davantage le plaisir qu'il t'offre. tu viens même lâcher un soupir de plaisir tout en resserrant ton emprise autour de son cou lorsqu'il vient à nouveau nicher sa tête dans tes cheveux. tes gémissements, tu ne les contrôles plus, tu te laisses simplement emporter par ce désir ravageur que vous partagez. « jouis pour moi malia. » tu te sens fondre sous lui, il a allumé cette flamme en toi, et ton corps n'a d'autre choix que de se laisser aller à ses désirs. une nouvelle vague de plaisir vient te secouer, et tu pousses alors ce nouveau gémissement incontrôlé lorsqu'il te souffle ces paroles à l'oreille. il sait comment t'exciter mais tu l'es déjà beaucoup trop, ça fait tellement longtemps que tu attends. ainsi, tes jambes viennent s'enrouler autour de sa taille alors que ton bassin continue de se mouver au rythme du sien. tu ne sais pas réellement combien de temps tu vas pouvoir tenir, mais peu de temps à ton avis. tu te sens déjà au bord de la jouissance, vous aviez peut-être un peu trop attendu... ton souffle se fait court mais surtout, coupé par certains gémissements. le moins que l'on puisse dire, c'est que vous n'êtes pas discrets. l'une de tes mains vient se glisser dans ses cheveux que tu agrippes avec envie, tu veux le sentir là, tout contre toi. « plus fort.. » souffles-tu, tu as envie de le sentir davantage, qu'il te fasse décoller et atteindre les septième ciel, tu le touches déjà du bout des doigts. ton corps se cambre légèrement face à tout ce plaisir qu'il parvient à te donner, tu te contractes même un court instant, ton cœur lui, bat la chamade. jusqu'à ce que tu lui répètes à nouveau: « plus fort! » gémis-tu, cette fois, tout en étant emporté par cette vague de plaisir. t'en réclames, encore et encore. c'est tellement bon et l'orgasme est si proche. #kerushirei
Invité
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Mer 25 Oct - 0:33
tenue // elle a envie de toi, elle l’a dit. ton torse se gonflerait presque de fierté si tu n’étais pas autant presser de la posséder. elle abandonne les armes comme tu l’as fait toi, quelques minutes avant. vous n’êtes plus que deux boules de désir qui s’appellent, se cherchent et veulent s’unir. alors, tu cherches pas plus longtemps, tu ne réfléchis pas non plus. tes mains attrapent les cuisses de malia, violemment, enfonçant tes doigts dans sa chair. tu sais pas si elle aura des marques à ce niveau, mais t’espères, comme ça, elle se rappellera de cette soirée pendant quelques temps. tu soulèves son bassin et dans un coup de rein brutal et puissant, tu entres en elle. le gémissement qui sort de ta bouche est incontrôlé et tu ne cherches même pas à le cacher, comme elle ne cherchait pas à retenir les siens quand ta langue se promenait contre elle. tu ne bouges plus pendant quelques secondes, histoire de reprendre le contrôle de toi. t’as entendu le râle de plaisir qui est sorti de ses lèvres alors que tu prenais possession d’elle. tu aurais pu la dévorer, imposer un rythme soutenu et en finir rapidement. sauf que tu ne veux pas laisser sortir le démon qui rode près de ta conscience et qui ne demande qu’à sortir. mais tu ne veux pas encore t’abandonner à son étreinte bestiale et brutale. tu veux encore garder le contrôle, le temps de savoir si malia est capable de t’accueillir tel que tu es vraiment, tel que tu l’étais trois auparavant avant que tu ne te mettes avec na rae. quand tu es de nouveau maître de toi, tu commences tes vas et viens, n’imposant pas vraiment de rythme régulier, alternant entre des coups de bassins langoureux, presque sensuels, et des coups plus bestiaux plus rapides. tu la sens se mouvoir sous toi et ça te rend fou. tes gémissements se mêlent aux siens dans une harmonie parfaite. vous n’êtes absolument pas discret et tu remercies le club d’avoir de la musique et des salles insonorisées. parce que tu ne veux que personne d’autres entendent que tu donnes du plaisir à la jeune femme. personne n’a besoin de savoir ce qui se passe dans cette pièce. malia te rend fou et tu ressens l’envie de lui dire. tu veux qu’elle sache l’effet qu’elle a sur toi. ce n’est plus le joueur qui parle, mais bien l’homme, l’homme que cette femme sous lui a envouté. tu te stoppes, quittant son cou pour lui avouer qu’elle te rend fou. tu ne veux cependant pas que la jeune femme réagisse trop vite à tes mots ou même en comprenne le sens. tu te dépêches de déplacer ta main jusqu’à son intimité, roulant entre tes doigts son bouton alors que tu lui demandes de jouir pour toi. tu n’es plus que désir pour cette femme et tu reprends un rythme plus rapide sous ses gémissements et quand elle enferme ta taille dans ses jambes, pressant vos bassins l’un contre l’autre, tu ne te retiens plus. ton souffle est de plus en plus hiératique et t’as du mal à penser correctement. si bien que tu penses avoir rêver les mots de malia. c’est sûrement tes propres envies qui ressortent alors que tu t’efforces de ne pas laisser ton démon sortir. il ne faut pas que ce soit ses mots à elle. si c’est le cas, tu n’auras plus aucun contrôle sur ton corps, ton désir et tes pulsions. alors, tu te concentres sur sa respiration, sur tes vas et viens de plus en plus rapides et profonds. et puis tu l’entends encore. « plus fort ! » qu’elle demande. cette fois, tu ne peux pas mettre ça sur le compte de tes rêves ou de tes envies. elle l’a clairement dit. tu relèves la tête pour observer son visage et tu vois bien que c’est ce qu’elle veut. et c’est ce que toi tu veux aussi. tu lâches alors la bride, ouvrant de moitié la boite de pandore. c’est lili qui a demandé, tu n’y es pour rien. tu sors donc ta main d’entre vos corps et tu viens attraper les siennes pour lier vos doigts, plaçant ses mains au-dessus de sa tête. de ta main libre, tu viens relever son bassin, te mettant à genoux pour te donner plus de force. t’entames alors de nouveaux vas et viens mais cette fois, t’imposes le rythme. tu vas vite, t’es brutal et ça rentre profondément. tu lui donnes ce qu’elle veut, ce que tu veux. tu es prêt à te laisser alors mais tu ne veux pas être le premier à le faire. alors, tu attrapes son téton entre tes lèvres, mordant et suçant ce bout de chair. tu t’amuses avec quelques secondes avant de décaler de quelques centimètres ta bouche. tu veux aussi marquer sa poitrine comme la tienne alors tu le fais. tu laisses un suçon à cet endroit. tu te doutes qu’il seras clairement visible si elle met un décolleté et t’aimes ça. tu finis par délaisser sa poitrine pour venir récupérer ses lèvres et tu continues de la posséder comme tu n’as jamais posséder de femmes depuis trois ans. tu la sens qui se resserre de plus en plus autour de toi et dans un dernier coup de rein, c’est la délivrance. tu gémis son prénom contre ses lèvres alors que tu atteins l’orgasme. tout ton corps en tremble et ta respiration est haletante et sifflante. tu laisses ton corps tomber sur le sien, veillant tout de même à ne pas l’écraser avec ton poids, ta tête enfuie dans ses cheveux. tu reprends ton souffle avec difficulté et au bout de quelques minutes, tu t’écartes de la jeune femme pour te mettre debout. t’observes son visage rougis par l’expérience, ses cheveux blonds qui encadrent sa figure dans un beau désordre. t’as toujours trouvé qu’une femme était magnifique après avoir fait l’amour et malia ne déroge pas à la règle. tu détournes les yeux, les laissant parcourir la salle avant de tomber sur les bouteilles de champagne. finalement, vous n’avez rien bu. tant pis une autre fois. « tu finis quand ton service ? » que tu demandes alors que tu brises le silence et que ta voix est encore rauque à cause du désir. t’as des plans pour la suite et ça implique un second round. mais pas ici, chez toi. t’attends sa réponse alors que tu commences à te rhabiller. une fois prêt, tu remarques son sous-vêtements et le fourres dans la poche arrière de ton jean. « t’auras pas besoin de ça. » tu souris joueur. « je t’attendrai dehors, derrière le club. » et tu sors de la pièce sans un regard vers la jeune femme. tu espères qu’elle viendra parce que tu as vraiment plein d’idées pour la suite des évènements. mais tu ne veux pas le faire ici. tu amènes donc ta voiture dans la ruelle derrière l’établissement, et tu attends qu’elle sorte, appuyé contre ton capot, une clope entre les lèvres. la cigarette d’après sexe, il n’y a rien de mieux.
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tenue // elle a envie de toi, elle l’a dit. ton torse se gonflerait presque de fierté si tu n’étais pas autant presser de la posséder. elle abandonne les armes comme tu l’as fait toi, quelques minutes avant. vous n’êtes plus que deux boules de désir qui s’appellent, se cherchent et veulent s’unir. alors, tu cherches pas plus longtemps, tu ne réfléchis pas non plus. tes mains attrapent les cuisses de malia, violemment, enfonçant tes doigts dans sa chair. tu sais pas si elle aura des marques à ce niveau, mais t’espères, comme ça, elle se rappellera de cette soirée pendant quelques temps. tu soulèves son bassin et dans un coup de rein brutal et puissant, tu entres en elle. le gémissement qui sort de ta bouche est incontrôlé et tu ne cherches même pas à le cacher, comme elle ne cherchait pas à retenir les siens quand ta langue se promenait contre elle. tu ne bouges plus pendant quelques secondes, histoire de reprendre le contrôle de toi. t’as entendu le râle de plaisir qui est sorti de ses lèvres alors que tu prenais possession d’elle. tu aurais pu la dévorer, imposer un rythme soutenu et en finir rapidement. sauf que tu ne veux pas laisser sortir le démon qui rode près de ta conscience et qui ne demande qu’à sortir. mais tu ne veux pas encore t’abandonner à son étreinte bestiale et brutale. tu veux encore garder le contrôle, le temps de savoir si malia est capable de t’accueillir tel que tu es vraiment, tel que tu l’étais trois auparavant avant que tu ne te mettes avec na rae. quand tu es de nouveau maître de toi, tu commences tes vas et viens, n’imposant pas vraiment de rythme régulier, alternant entre des coups de bassins langoureux, presque sensuels, et des coups plus bestiaux plus rapides. tu la sens se mouvoir sous toi et ça te rend fou. tes gémissements se mêlent aux siens dans une harmonie parfaite. vous n’êtes absolument pas discret et tu remercies le club d’avoir de la musique et des salles insonorisées. parce que tu ne veux que personne d’autres entendent que tu donnes du plaisir à la jeune femme. personne n’a besoin de savoir ce qui se passe dans cette pièce. malia te rend fou et tu ressens l’envie de lui dire. tu veux qu’elle sache l’effet qu’elle a sur toi. ce n’est plus le joueur qui parle, mais bien l’homme, l’homme que cette femme sous lui a envouté. tu te stoppes, quittant son cou pour lui avouer qu’elle te rend fou. tu ne veux cependant pas que la jeune femme réagisse trop vite à tes mots ou même en comprenne le sens. tu te dépêches de déplacer ta main jusqu’à son intimité, roulant entre tes doigts son bouton alors que tu lui demandes de jouir pour toi. tu n’es plus que désir pour cette femme et tu reprends un rythme plus rapide sous ses gémissements et quand elle enferme ta taille dans ses jambes, pressant vos bassins l’un contre l’autre, tu ne te retiens plus. ton souffle est de plus en plus hiératique et t’as du mal à penser correctement. si bien que tu penses avoir rêver les mots de malia. c’est sûrement tes propres envies qui ressortent alors que tu t’efforces de ne pas laisser ton démon sortir. il ne faut pas que ce soit ses mots à elle. si c’est le cas, tu n’auras plus aucun contrôle sur ton corps, ton désir et tes pulsions. alors, tu te concentres sur sa respiration, sur tes vas et viens de plus en plus rapides et profonds. et puis tu l’entends encore. « plus fort ! » qu’elle demande. cette fois, tu ne peux pas mettre ça sur le compte de tes rêves ou de tes envies. elle l’a clairement dit. tu relèves la tête pour observer son visage et tu vois bien que c’est ce qu’elle veut. et c’est ce que toi tu veux aussi. tu lâches alors la bride, ouvrant de moitié la boite de pandore. c’est lili qui a demandé, tu n’y es pour rien. tu sors donc ta main d’entre vos corps et tu viens attraper les siennes pour lier vos doigts, plaçant ses mains au-dessus de sa tête. de ta main libre, tu viens relever son bassin, te mettant à genoux pour te donner plus de force. t’entames alors de nouveaux vas et viens mais cette fois, t’imposes le rythme. tu vas vite, t’es brutal et ça rentre profondément. tu lui donnes ce qu’elle veut, ce que tu veux. tu es prêt à te laisser alors mais tu ne veux pas être le premier à le faire. alors, tu attrapes son téton entre tes lèvres, mordant et suçant ce bout de chair. tu t’amuses avec quelques secondes avant de décaler de quelques centimètres ta bouche. tu veux aussi marquer sa poitrine comme la tienne alors tu le fais. tu laisses un suçon à cet endroit. tu te doutes qu’il seras clairement visible si elle met un décolleté et t’aimes ça. tu finis par délaisser sa poitrine pour venir récupérer ses lèvres et tu continues de la posséder comme tu n’as jamais posséder de femmes depuis trois ans. tu la sens qui se resserre de plus en plus autour de toi et dans un dernier coup de rein, c’est la délivrance. tu gémis son prénom contre ses lèvres alors que tu atteins l’orgasme. tout ton corps en tremble et ta respiration est haletante et sifflante. tu laisses ton corps tomber sur le sien, veillant tout de même à ne pas l’écraser avec ton poids, ta tête enfuie dans ses cheveux. tu reprends ton souffle avec difficulté et au bout de quelques minutes, tu t’écartes de la jeune femme pour te mettre debout. t’observes son visage rougis par l’expérience, ses cheveux blonds qui encadrent sa figure dans un beau désordre. t’as toujours trouvé qu’une femme était magnifique après avoir fait l’amour et malia ne déroge pas à la règle. tu détournes les yeux, les laissant parcourir la salle avant de tomber sur les bouteilles de champagne. finalement, vous n’avez rien bu. tant pis une autre fois. « tu finis quand ton service ? » que tu demandes alors que tu brises le silence et que ta voix est encore rauque à cause du désir. t’as des plans pour la suite et ça implique un second round. mais pas ici, chez toi. t’attends sa réponse alors que tu commences à te rhabiller. une fois prêt, tu remarques son sous-vêtements et le fourres dans la poche arrière de ton jean. « t’auras pas besoin de ça. » tu souris joueur. « je t’attendrai dehors, derrière le club. » et tu sors de la pièce sans un regard vers la jeune femme. tu espères qu’elle viendra parce que tu as vraiment plein d’idées pour la suite des évènements. mais tu ne veux pas le faire ici. tu amènes donc ta voiture dans la ruelle derrière l’établissement, et tu attends qu’elle sorte, appuyé contre ton capot, une clope entre les lèvres. la cigarette d’après sexe, il n’y a rien de mieux.#kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Mer 1 Nov - 22:43
tenue ☾ soyons honnête, tu es encore jeune, lili. tu n'as que 22 ans. tu as beau endosser ce rôle de maman sans enfant, être une femme mature et posée, avoir enduré ces coups difficiles que la vie t'a foutu sur ton chemin, tu restes jeune. alors oui, là, tu te laisses aller à tes désirs sans penser à demain, ce n'est pas professionnel mais c'est bien la première fois que tu fais ça, ça ne te ressemble pas et justement, ça t'excite. comme quoi, cette tension sexuelle qui régnait entre vous a vraiment tout dévasté sur son passage. tu as envie de profiter, de laisser tes envies t'exprimer sans te prendre la tête, t'as bien le droit de profiter un peu de ta vie, après tout. ouais, ce soir, tu fais l'amour avec ce client qui t'a toujours extrêmement attiré, avec qui tu as construit ce jeu qui te plaît tant, ce soir, tu craques. tu le sens en toi, tu fermes les yeux comme pour encore plus te concentrer sur les sensations qu'il te procure car, honnêtement, il s'y prend que trop bien. tu en réclames même, en lui demandant d'y aller plus fort, tu le répètes même. tu as besoin de plus, t'es gourmande lili, beaucoup trop gourmande de lui et de ce qu'il peut t'offrir. il ne tarde pas à réagir, en ôtant sa main d'entre tes cuisses pour venir lier ses doigts aux tiens. tu te laisses faire, tu apprécies ce contact, tu serres même ton emprise sur lui de tes doigts tandis qu'il s’exécute enfin. tu fermes les yeux, retenant tes gémissements un court instant puisque c'en devient rapidement impossible pour toi de te contenir. alors tu laisses cette douce mélodie aller jusqu'à ses oreilles, te mordant même la lèvre inférieure pour te taire à certains moments, pur réflexe. ça, jusqu'à ce qu'il vienne s'amuser de sa langue sur ton téton, ton corps se cambre de plaisir tandis que tes mains viennent se glisser dans ses cheveux que tu caresses. et si tu avais encore les idées claires et un peu de lucidité, tu remarquerais sûrement qu'il laisse une nouvelle fois sa trace sur le haut de ta poitrine. et puis très vite, il reprend possession de tes lèvres dans un baiser ardent, tu te laisses porter par ce baiser qu'il t'offre, baiser qui étouffe tes gémissements non discrets à chaque fois que tu le sens exercer des vas-et-vient plus fort qu'auparavant. d'ailleurs, il garde ce même rythme et toi, tu ne peux contenir tes gémissements, tu te sens même arrivé peu à peu au point de non retour. tu commences à perdre toute lucidité alors que tes gémissements se font plus prononcés et aigus, et quand il te donne ce dernier coup de rein, tu te laisses succomber par cet orgasme dévastateur. ton corps se secoue de légers spasmes, tes muscles se crispent même quelque peu alors que tu viens resserrer tes doigts dans ses cheveux tant le plaisir te transporte. tu l'entends même gémir ton prénom tout contre tes lèvres et là, tu deviens totalement folle. c'est si bon ce que tu ressens actuellement, si orgasmique. tes paupières tremblent encore de plaisir, ta respiration, elle, se fait haletante. ta poitrine se soulève au rythme de ta respiration tandis que tu passes tes mains dans son dos, sur son corps, posé encore sur toi, qui tente lui aussi de s'en remettre. et d'ailleurs ça dure quelques minutes pendant lesquelles tu commences, peu à peu, à retrouver une respiration convenable. et puis, euigeon finit par se remettre debout. tu peines à rouvrir les yeux, à redescendre un peu sur terre mais il faut bien, alors tu en profites pour te redresser légèrement, tes cheveux en bataille, certaines mèches s'étant même invité sur ton doux visage encore déformé par le plaisir. instinctivement, tu viens passer ta main dans ta chevelure, tentant de te recoiffer un minimum. « tu finis quand ton service ? » reprends t-il d'une voix encore rauque, et disons-le, irrésistible. tes yeux cherchent tes sous-vêtements que tu ne tardes pas à retrouver et à enfiler (ou du moins, ton soutien-gorge), juste avant de regarder l'heure sur l'horloge face à vous. « hm... dans 20 minutes. » déjà ? et bien, pour une fois que ça passe vite. et à nouveau ton regard cherche ton deuxième sous-vêtement, mais euigeon a été plus rapide que toi. « t’auras pas besoin de ça. » tu fronces les sourcils, un sourire discret mais coquin sur les lèvres. quoi? il veut vraiment le garder? ou t'empêcher de le remettre? « je t’attendrai dehors, derrière le club. » te lance t-il avant de sortir de la pièce, sans attendre une réponse de ta part. est-ce raisonnable d'y aller ? non, toi tu n'es pas du genre à foncer tête baissée, mais t'as bien le droit de t'éclater un peu, non ? te changer les idées, ne pas te prendre la tête... regarde le bien fou que ça te fait, alors même si tu restes un court instant à réfléchir à cette option après t'être rhabillé, tu finis par décider de le rejoindre après ton service. tu lances un regard dans ce miroir, te recoiffant encore plus correctement pour ne pas éveiller les soupçons avant de t'approcher un peu plus pour retirer le noir qui a coulé sous tes yeux, foutu maquillage. et puis après avoir tout regardé à nouveau, tirant sur ta jupe pour avoir une meilleure allure qui ne laissera aucun soupçon, tu sors enfin de la pièce.
25 minutes plus tard. tu sors des vestiaires, ton sac sur l'épaule, tu te diriges vers la sortie du club tout en te coiffant, attachant tes cheveux d'une queue (faite sans miroir mais elle reste potable), et puis, tu te diriges à l'endroit que euigeon t'a indiqué avant de partir, tu ne tardes pas à le voir, appuyé sur le capot de sa voiture. tes yeux s'écarquillent, tu observes la véhicule, assez impressionnée. tu te doutais qu'il avait de l'argent, pas comme s'il en dépensait énormément pour toi d'ailleurs, mais toi, t'es pas habitué à ça. t'as quand même vécu dans la rue et puis, tu n'as jamais eu ta propre voiture, bien que tu aies ton permis. « wouah.. » lâches-tu, stoppant tes pas juste devant lui, un mince sourire sur les lèvres, tes doigts viennent agripper la sangle de ton sac. « jolie voiture. » et tu reposes ton regard sur lui, le dévorant à nouveau seulement de tes yeux. oh non, ça ne t'a pas réellement calmé, bien au contraire. t'as bien envie d'en avoir plus mais bizarrement, tu as cette étrange impression que ce jeu ne va pas disparaître non plus, et c'est tant mieux. t'as encore envie de t'amuser avec lui. c'est pour cette raison que tu t'approches de lui, de ta douce main, tu viens doucement lui retirer la cigarette qu'il a entre les lèvres. « mais je suppose que tu ne m'as pas demandé de venir uniquement pour me la montrer. » tu souris, espiègle et joueuse, venant tirant une taffe puis une deuxième seulement, tu n'aspires pas la fumée cette fois. non non, tu viens lâcher la sangle de ton sac, désormais maintenu que par ton épaule pour glisser tes doigts dans sa nuque, rapprochant ainsi son visage près du tien et plus particulièrement, ses lèvres. et une fois tes lèvres se trouvant à quelques centimètres à peine des siennes, tu entrouvres la bouche, laissant la fumée s'aventurer dans sa propre bouche. et après cette soufflette, tu te recules, lui tendant à nouveau sa cigarette pour qu'il l'a récupère. « alors? quel est le plan? » tu veux en savoir plus, toi.
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue ☾ soyons honnête, tu es encore jeune, lili. tu n'as que 22 ans. tu as beau endosser ce rôle de maman sans enfant, être une femme mature et posée, avoir enduré ces coups difficiles que la vie t'a foutu sur ton chemin, tu restes jeune. alors oui, là, tu te laisses aller à tes désirs sans penser à demain, ce n'est pas professionnel mais c'est bien la première fois que tu fais ça, ça ne te ressemble pas et justement, ça t'excite. comme quoi, cette tension sexuelle qui régnait entre vous a vraiment tout dévasté sur son passage. tu as envie de profiter, de laisser tes envies t'exprimer sans te prendre la tête, t'as bien le droit de profiter un peu de ta vie, après tout. ouais, ce soir, tu fais l'amour avec ce client qui t'a toujours extrêmement attiré, avec qui tu as construit ce jeu qui te plaît tant, ce soir, tu craques. tu le sens en toi, tu fermes les yeux comme pour encore plus te concentrer sur les sensations qu'il te procure car, honnêtement, il s'y prend que trop bien. tu en réclames même, en lui demandant d'y aller plus fort, tu le répètes même. tu as besoin de plus, t'es gourmande lili, beaucoup trop gourmande de lui et de ce qu'il peut t'offrir. il ne tarde pas à réagir, en ôtant sa main d'entre tes cuisses pour venir lier ses doigts aux tiens. tu te laisses faire, tu apprécies ce contact, tu serres même ton emprise sur lui de tes doigts tandis qu'il s’exécute enfin. tu fermes les yeux, retenant tes gémissements un court instant puisque c'en devient rapidement impossible pour toi de te contenir. alors tu laisses cette douce mélodie aller jusqu'à ses oreilles, te mordant même la lèvre inférieure pour te taire à certains moments, pur réflexe. ça, jusqu'à ce qu'il vienne s'amuser de sa langue sur ton téton, ton corps se cambre de plaisir tandis que tes mains viennent se glisser dans ses cheveux que tu caresses. et si tu avais encore les idées claires et un peu de lucidité, tu remarquerais sûrement qu'il laisse une nouvelle fois sa trace sur le haut de ta poitrine. et puis très vite, il reprend possession de tes lèvres dans un baiser ardent, tu te laisses porter par ce baiser qu'il t'offre, baiser qui étouffe tes gémissements non discrets à chaque fois que tu le sens exercer des vas-et-vient plus fort qu'auparavant. d'ailleurs, il garde ce même rythme et toi, tu ne peux contenir tes gémissements, tu te sens même arrivé peu à peu au point de non retour. tu commences à perdre toute lucidité alors que tes gémissements se font plus prononcés et aigus, et quand il te donne ce dernier coup de rein, tu te laisses succomber par cet orgasme dévastateur. ton corps se secoue de légers spasmes, tes muscles se crispent même quelque peu alors que tu viens resserrer tes doigts dans ses cheveux tant le plaisir te transporte. tu l'entends même gémir ton prénom tout contre tes lèvres et là, tu deviens totalement folle. c'est si bon ce que tu ressens actuellement, si orgasmique. tes paupières tremblent encore de plaisir, ta respiration, elle, se fait haletante. ta poitrine se soulève au rythme de ta respiration tandis que tu passes tes mains dans son dos, sur son corps, posé encore sur toi, qui tente lui aussi de s'en remettre. et d'ailleurs ça dure quelques minutes pendant lesquelles tu commences, peu à peu, à retrouver une respiration convenable. et puis, euigeon finit par se remettre debout. tu peines à rouvrir les yeux, à redescendre un peu sur terre mais il faut bien, alors tu en profites pour te redresser légèrement, tes cheveux en bataille, certaines mèches s'étant même invité sur ton doux visage encore déformé par le plaisir. instinctivement, tu viens passer ta main dans ta chevelure, tentant de te recoiffer un minimum. « tu finis quand ton service ? » reprends t-il d'une voix encore rauque, et disons-le, irrésistible. tes yeux cherchent tes sous-vêtements que tu ne tardes pas à retrouver et à enfiler (ou du moins, ton soutien-gorge), juste avant de regarder l'heure sur l'horloge face à vous. « hm... dans 20 minutes. » déjà ? et bien, pour une fois que ça passe vite. et à nouveau ton regard cherche ton deuxième sous-vêtement, mais euigeon a été plus rapide que toi. « t’auras pas besoin de ça. » tu fronces les sourcils, un sourire discret mais coquin sur les lèvres. quoi? il veut vraiment le garder? ou t'empêcher de le remettre? « je t’attendrai dehors, derrière le club. » te lance t-il avant de sortir de la pièce, sans attendre une réponse de ta part. est-ce raisonnable d'y aller ? non, toi tu n'es pas du genre à foncer tête baissée, mais t'as bien le droit de t'éclater un peu, non ? te changer les idées, ne pas te prendre la tête... regarde le bien fou que ça te fait, alors même si tu restes un court instant à réfléchir à cette option après t'être rhabillé, tu finis par décider de le rejoindre après ton service. tu lances un regard dans ce miroir, te recoiffant encore plus correctement pour ne pas éveiller les soupçons avant de t'approcher un peu plus pour retirer le noir qui a coulé sous tes yeux, foutu maquillage. et puis après avoir tout regardé à nouveau, tirant sur ta jupe pour avoir une meilleure allure qui ne laissera aucun soupçon, tu sors enfin de la pièce.25 minutes plus tard. tu sors des vestiaires, ton sac sur l'épaule, tu te diriges vers la sortie du club tout en te coiffant, attachant tes cheveux d'une queue (faite sans miroir mais elle reste potable), et puis, tu te diriges à l'endroit que euigeon t'a indiqué avant de partir, tu ne tardes pas à le voir, appuyé sur le capot de sa voiture. tes yeux s'écarquillent, tu observes la véhicule, assez impressionnée. tu te doutais qu'il avait de l'argent, pas comme s'il en dépensait énormément pour toi d'ailleurs, mais toi, t'es pas habitué à ça. t'as quand même vécu dans la rue et puis, tu n'as jamais eu ta propre voiture, bien que tu aies ton permis. « wouah.. » lâches-tu, stoppant tes pas juste devant lui, un mince sourire sur les lèvres, tes doigts viennent agripper la sangle de ton sac. « jolie voiture. » et tu reposes ton regard sur lui, le dévorant à nouveau seulement de tes yeux. oh non, ça ne t'a pas réellement calmé, bien au contraire. t'as bien envie d'en avoir plus mais bizarrement, tu as cette étrange impression que ce jeu ne va pas disparaître non plus, et c'est tant mieux. t'as encore envie de t'amuser avec lui. c'est pour cette raison que tu t'approches de lui, de ta douce main, tu viens doucement lui retirer la cigarette qu'il a entre les lèvres. « mais je suppose que tu ne m'as pas demandé de venir uniquement pour me la montrer. » tu souris, espiègle et joueuse, venant tirant une taffe puis une deuxième seulement, tu n'aspires pas la fumée cette fois. non non, tu viens lâcher la sangle de ton sac, désormais maintenu que par ton épaule pour glisser tes doigts dans sa nuque, rapprochant ainsi son visage près du tien et plus particulièrement, ses lèvres. et une fois tes lèvres se trouvant à quelques centimètres à peine des siennes, tu entrouvres la bouche, laissant la fumée s'aventurer dans sa propre bouche. et après cette soufflette, tu te recules, lui tendant à nouveau sa cigarette pour qu'il l'a récupère. « alors? quel est le plan? » tu veux en savoir plus, toi.
#kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Jeu 2 Nov - 1:17
tenue // ça faisait bien des mois, des années même que tu n’avais pas ressenti ça avec une femme. en même temps ce n’était pas avec na rae que tu allais pouvoir avoir une vie sexuelle épanouie. c’est tout juste si tu pouvais la toucher. t’as souffert de cette situation et t’as refreiner tes envies par amour. mais aujourd’hui, alors que tu n’es plus en couple, tu as l’impression de revivre dans les bras d’une femme qui n’est pas ta copine et qui ne le sera probablement jamais. ses gémissements te font de l’effet et tu ne t’arrêtes pas d’imposer ton rythme aussi vite que tu le peux, enhardi par les sons qui sortent de sa bouche. il ne faut pas longtemps pour que vous tombiez tous les deux dans les bras de l’orgasme. tu viens te laisser aller contre son corps quelques minutes pour reprendre ton souffle. tu n’as pas couché avec quelqu’un depuis des mois et c’était vraiment trop bon. tu en veux plus beaucoup plus. alors, tu te lèvres pour récupérer tes affaires. tes yeux se posent sur la jeune femme qui s’est redressée et elle est magnifique. elle recoiffe ses cheveux en bataille et tu trouves ça tellement sexy. tu finis par lui demander quand elle finit parce que tu veux la ramener chez toi. vingt minutes qu’elle te dit. vingt minutes pour récupérer et entamer le prochain round. parce que oui, il est hors de question que tu t’arrêtes maintenant. t’as besoin de beaucoup plus. tu brûles toujours de désir pour la jeune femme et t’es pas rassasié de son corps. il y a encore tellement de partie de son corps que tu veux découvrir, embrasser et goûter. mais tu ne veux pas continuer dans le club. t’as besoin de plus d’intimité et tu connais l’endroit parfait pour ça : ton appartement. t’espères juste que personne n’aura eu l’idée de venir squatter chez toi pendant que t’étais pas là. parce que disons que ça t’énerverait bien que les membres de la psycholeague soient là. tu les apprécies, c’est pas le problème, sinon tu ne leur aurais pas donné un double de tes clés. mais là, tu vas ramener malia chez toi, t’as pas besoin d’audience. t’as pas envie de découvrir jasun et taehyun dans ton salon affalés sur ton canapé une bière à la main, pas plus que soony et evan discutant du prochain défi que vous avez reçu ou de la meilleure façon de bizuter jaein qui vient à peine d’entrer dans les rangs. tu souhaites donc vraiment que ton appartement soit vide de toute présence masculine. tu veux n’être qu’avec elle pour la fin de la soirée, et probablement de la nuit. parce que tu ne la laisseras pas repartir avant le petit matin et totalement épuisée. parce que tu comptes user de son corps encore et encore. t’as appris avec le temps, qu’il n’y avait pas qu’avec ton pénis que tu pouvais donner du plaisir. tu peux utiliser tes mains et ta langue. et c’est ce qu’elle va expérimenter avec toi. du coup, tu gardes son sous-vêtement dans la poche arrière de ton jean et tu quittes la pièce après lui avoir donné rendez-vous derrière le club. ça te laissera le temps de calmer ta respiration qui est toujours haletante et sifflante. tu passes ta main dans tes cheveux avant d’aller chercher ta voiture et la garer dans la ruelle, à l’arrière de l’établissement. t’as encore une bonne vingtaine de minutes à attendre. parce que malia est une femme et qu’elle se refera une beauté avant de venir te rejoindre. tu t’allumes une clope, la calant entre tes lèvres encore gonflées par les baisers échangés avec la jeune femme. tu sens le désir reprendre possession de toi alors que tu repenses à son corps sous le tien, vibrant pour toi, à ses gémissements tous plus audible les uns que les autres qui ont carrément retourner ton cerveau et t’ont excités plus que de raison. ça y est t’es de nouveau trop serré dans ton jeans et tu poses tes yeux sur ta montre. encore dix minutes. tu pousses un soupir en essayant de penser à autre chose et c’est une deuxième clope qui se cale entre tes lèvres. tu t’es même pas aperçu que la première s’était consumée d’elle-même avant même que tu ne puisses prendre une autre taffe. t’attends donc que malia se pointe et quand elle le fait enfin, tu la détailles des pieds à la tête avec un regard satisfait et empli de désir. t’as déjà envie de remettre le couvert. tu la vois s’extasier sur ta voiture et ton sourire se fait arrogant. ouais pour une fois que la fortune de ton père te sert à quelque chose. « jolie voiture. » que tu l’entends dire et tu souris. t’en as deux autres comme ça à la maison et une quatrième en plus de celle qui est dans ton dos doit bientôt arriver. mais t’as pas le temps de rester concentré sur les voitures que le regard de la jeune femme fait monter la température de ton corps. tu lui rends tout autant brûlant. tu rêves déjà de la prendre sauvagement dans ta voiture. tu l’observes prendre ta cigarette avant qu’elle inhale la fumée. « tu supposes bien. j’ai des plans bien plus intéressants en tête. » que tu réponds alors que ta bouche s’étire en un sourire pervers. t’as tellement de pensées salaces dans la tête qui se bousculent que tu ne remarques pas qu’elle s’est approchée de toi et qu’elle s’arrête à quelques centimètres de ton visage. ce n’est que tu sens son souffle chaud sur toi que tu la remarques. t’ouvres la bouche alors qu’elle expulse la fumée de la sienne et tu aspires ce qu’elle te donne. tu souris avant de rejeter le tout. putain c’était quoi ça, c’était tellement sexy. t’as ton désir qui monte encore une fois en flèche alors qu’elle te rend ta cigarette en te demandant la suite.. tu la récupères, la jetant au loin avant de passer une de tes mains dans sa nuque et l’autre dans le creux de ses reins. tu la rapproches de toi et tu l’embrasses à nouveau, fougueusement. ta langue se fraye un chemin vers la sienne et tu la rapproches encore un peu de toi, collant ton érection douloureuse contre elle. tu mets fin au baiser et tu attrapes les clés dans ta poche avant de les mettre entre vos deux visages. « tu conduis. » que t’ordonnes d’une voix rauque qui ne donne aucune chance à la jeune femme de répliquer. tu te fous qu’elle ait son permis, tu te fous qu’elle puisse avoir un accident avec, la rayer. c’est pas comme si tu n’avais pas assez d’argent pour t’acheter la même en quelques instants. « j’ai besoin d’avoir mes mains de libre. » que tu lui dis alors que celle qui n’a pas les clés descend dangereusement vers son intimité. tu relèves légèrement sa jupe et tu viens trouver son bouton que tu pinces avec un sourire avant de te mettre à jouer avec, lui donnant un aperçu de ce que tu comptes lui faire dans cette voiture alors qu’elle conduira. ton visage s’approche dangereusement de son cou. tu viens butiner sa peau fine, jouant de plus en plus avec son entrée et ce bout de chair qui t’appellent.
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malia & euigeon
tenue // ça faisait bien des mois, des années même que tu n’avais pas ressenti ça avec une femme. en même temps ce n’était pas avec na rae que tu allais pouvoir avoir une vie sexuelle épanouie. c’est tout juste si tu pouvais la toucher. t’as souffert de cette situation et t’as refreiner tes envies par amour. mais aujourd’hui, alors que tu n’es plus en couple, tu as l’impression de revivre dans les bras d’une femme qui n’est pas ta copine et qui ne le sera probablement jamais. ses gémissements te font de l’effet et tu ne t’arrêtes pas d’imposer ton rythme aussi vite que tu le peux, enhardi par les sons qui sortent de sa bouche. il ne faut pas longtemps pour que vous tombiez tous les deux dans les bras de l’orgasme. tu viens te laisser aller contre son corps quelques minutes pour reprendre ton souffle. tu n’as pas couché avec quelqu’un depuis des mois et c’était vraiment trop bon. tu en veux plus beaucoup plus. alors, tu te lèvres pour récupérer tes affaires. tes yeux se posent sur la jeune femme qui s’est redressée et elle est magnifique. elle recoiffe ses cheveux en bataille et tu trouves ça tellement sexy. tu finis par lui demander quand elle finit parce que tu veux la ramener chez toi. vingt minutes qu’elle te dit. vingt minutes pour récupérer et entamer le prochain round. parce que oui, il est hors de question que tu t’arrêtes maintenant. t’as besoin de beaucoup plus. tu brûles toujours de désir pour la jeune femme et t’es pas rassasié de son corps. il y a encore tellement de partie de son corps que tu veux découvrir, embrasser et goûter. mais tu ne veux pas continuer dans le club. t’as besoin de plus d’intimité et tu connais l’endroit parfait pour ça : ton appartement. t’espères juste que personne n’aura eu l’idée de venir squatter chez toi pendant que t’étais pas là. parce que disons que ça t’énerverait bien que les membres de la psycholeague soient là. tu les apprécies, c’est pas le problème, sinon tu ne leur aurais pas donné un double de tes clés. mais là, tu vas ramener malia chez toi, t’as pas besoin d’audience. t’as pas envie de découvrir jasun et taehyun dans ton salon affalés sur ton canapé une bière à la main, pas plus que soony et evan discutant du prochain défi que vous avez reçu ou de la meilleure façon de bizuter jaein qui vient à peine d’entrer dans les rangs. tu souhaites donc vraiment que ton appartement soit vide de toute présence masculine. tu veux n’être qu’avec elle pour la fin de la soirée, et probablement de la nuit. parce que tu ne la laisseras pas repartir avant le petit matin et totalement épuisée. parce que tu comptes user de son corps encore et encore. t’as appris avec le temps, qu’il n’y avait pas qu’avec ton pénis que tu pouvais donner du plaisir. tu peux utiliser tes mains et ta langue. et c’est ce qu’elle va expérimenter avec toi. du coup, tu gardes son sous-vêtement dans la poche arrière de ton jean et tu quittes la pièce après lui avoir donné rendez-vous derrière le club. ça te laissera le temps de calmer ta respiration qui est toujours haletante et sifflante. tu passes ta main dans tes cheveux avant d’aller chercher ta voiture et la garer dans la ruelle, à l’arrière de l’établissement. t’as encore une bonne vingtaine de minutes à attendre. parce que malia est une femme et qu’elle se refera une beauté avant de venir te rejoindre. tu t’allumes une clope, la calant entre tes lèvres encore gonflées par les baisers échangés avec la jeune femme. tu sens le désir reprendre possession de toi alors que tu repenses à son corps sous le tien, vibrant pour toi, à ses gémissements tous plus audible les uns que les autres qui ont carrément retourner ton cerveau et t’ont excités plus que de raison. ça y est t’es de nouveau trop serré dans ton jeans et tu poses tes yeux sur ta montre. encore dix minutes. tu pousses un soupir en essayant de penser à autre chose et c’est une deuxième clope qui se cale entre tes lèvres. tu t’es même pas aperçu que la première s’était consumée d’elle-même avant même que tu ne puisses prendre une autre taffe. t’attends donc que malia se pointe et quand elle le fait enfin, tu la détailles des pieds à la tête avec un regard satisfait et empli de désir. t’as déjà envie de remettre le couvert. tu la vois s’extasier sur ta voiture et ton sourire se fait arrogant. ouais pour une fois que la fortune de ton père te sert à quelque chose. « jolie voiture. » que tu l’entends dire et tu souris. t’en as deux autres comme ça à la maison et une quatrième en plus de celle qui est dans ton dos doit bientôt arriver. mais t’as pas le temps de rester concentré sur les voitures que le regard de la jeune femme fait monter la température de ton corps. tu lui rends tout autant brûlant. tu rêves déjà de la prendre sauvagement dans ta voiture. tu l’observes prendre ta cigarette avant qu’elle inhale la fumée. « tu supposes bien. j’ai des plans bien plus intéressants en tête. » que tu réponds alors que ta bouche s’étire en un sourire pervers. t’as tellement de pensées salaces dans la tête qui se bousculent que tu ne remarques pas qu’elle s’est approchée de toi et qu’elle s’arrête à quelques centimètres de ton visage. ce n’est que tu sens son souffle chaud sur toi que tu la remarques. t’ouvres la bouche alors qu’elle expulse la fumée de la sienne et tu aspires ce qu’elle te donne. tu souris avant de rejeter le tout. putain c’était quoi ça, c’était tellement sexy. t’as ton désir qui monte encore une fois en flèche alors qu’elle te rend ta cigarette en te demandant la suite.. tu la récupères, la jetant au loin avant de passer une de tes mains dans sa nuque et l’autre dans le creux de ses reins. tu la rapproches de toi et tu l’embrasses à nouveau, fougueusement. ta langue se fraye un chemin vers la sienne et tu la rapproches encore un peu de toi, collant ton érection douloureuse contre elle. tu mets fin au baiser et tu attrapes les clés dans ta poche avant de les mettre entre vos deux visages. « tu conduis. » que t’ordonnes d’une voix rauque qui ne donne aucune chance à la jeune femme de répliquer. tu te fous qu’elle ait son permis, tu te fous qu’elle puisse avoir un accident avec, la rayer. c’est pas comme si tu n’avais pas assez d’argent pour t’acheter la même en quelques instants. « j’ai besoin d’avoir mes mains de libre. » que tu lui dis alors que celle qui n’a pas les clés descend dangereusement vers son intimité. tu relèves légèrement sa jupe et tu viens trouver son bouton que tu pinces avec un sourire avant de te mettre à jouer avec, lui donnant un aperçu de ce que tu comptes lui faire dans cette voiture alors qu’elle conduira. ton visage s’approche dangereusement de son cou. tu viens butiner sa peau fine, jouant de plus en plus avec son entrée et ce bout de chair qui t’appellent. #kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Lun 13 Nov - 3:29
tenue ☾ évidemment, tu te demandes si c'est une bonne idée. tu restes responsable malgré tout, tu sais très bien que ça pourrait se savoir dans la boîte et là... tu en risques ton métier. tu ne peux définitivement pas te le permettre, c'est eux qui t'ont permis de retomber sur tes pattes même s'il te tarde le jour où tu pourras changer de métier, d'endroit, commencer réellement à faire ce que tu souhaites. tu n'as pas envie de finir à la rue une deuxième fois mais si tu as su succomber à ses charmes pour la première fois, certes la tension sexuelle était bien trop forte mais tu n'aurais rien fait si tu n'avais pas un minimum confiance en lui, et ça, tu le sais bien. comment pourrait-on le savoir au juste ? t'es pas sûr que euigeon souhaite te voir quitter ton travail vue tout le fric qu'il dépense pour toi. et puis oui, tu es encore jeune, tu as bien le droit de profiter et tu as bien envie de voir ce que cette fin de soirée peut donner, alors tu ne mets que très peu de temps à te mettre en route vers la destination qu'il t'avait indiqué. une fois chose faite, tu ne te retiens pas de faire une remarque sur sa voiture. c'est vrai, elle est jolie, le genre de voiture que tu n'auras jamais. bien trop chère et puis... faudrait-il déjà que tu aies une voiture. tu n'as même pas encore pu t'en acheter une. tu as très vite repris ton attitude de femme fatale, joueuse. tu restes lili la strip-teaseuse pour lui même si là, ça commence à dépasser les limites que tu pensais t'être imposé. mais toi, ça te plaît. « tu supposes bien. j’ai des plans bien plus intéressants en tête. » un mince sourire taquin fleurit sur tes lèvres, voyez vous ça... bien plus intéressant, mais c'est qu'il te rendrait presque impatiente, toi, qui déborde de patience habituellement. mais toi, tu joues encore, en t'approchant de lui et se saisissant de sa cigarette non sans raison puisque tu viens lui faire une soufflette. et bien, on dirait que tu aimes jouer avec le feu, lili. il répond très vite à cet appel en passant une de ses mains sur ta nuque, la deuxième au creux de tes reins, te dirigeant vers lui. et là, il t'embrasse à nouveau. fougueusement, tes paupières se ferment et tu te laisses envahir par ces excitants ressentis qu'il provoque en toi. tes mains se déposent sur son torse, agrippant doucement ses épaules avec envie tout en lui rendant le baiser désormais langoureux que vous vous échangez, tu peux même y sentir son érection tout contre toi. quelques secondes avant qu'il y mette finalement fin, tes mains toujours sur ses épaules, il vient sortir ses clés de voiture pour les placer entre vos deux visages. « tu conduis. » tu hausses les sourcils, tentant de cacher un minimum ton étonnement pour rester dans le jeu mais clairement, ça te surprend. il te laisserait conduire sa voiture? sans même savoir que tu as le permis? et si tu ne l'avais pas? en plus, il vient de te l'ordonner. tu as bien compris au son de sa voix que tu n'avais pas le choix. toi, t'aimes pas qu'on te donne des ordres. tu n'écoutes rien ni personne, tu fais ce que bon te semble mais sexuellement... c'est une toute autre histoire. lili soumise? ça se pourrait bien. mais là, avec ce jeu et cette relation des plus charnels qui vous lie, c'est différent. tu restes en partie lili la strip-teaseuse et non malia, pas entièrement du moins, mais il est vrai que sa voix rauque vient de faire grimper ta chaleur corporelle, tu dirais même plus clairement: ça t'excite. bien que tu ne le montres pas vraiment, juste assez. « j’ai besoin d’avoir mes mains de libre. » tu quittes les clés du regard, le plantant dans les yeux de euigeon. tu vois très bien où il veut en venir mais est-ce vraiment une bonne idée? non pas que ça te plaise pas... bien au contraire, mais il va falloir que tu aies un self-control surhumain si tu penses à la même chose que lui, enfin, c'est certainement ça qui l'excite. il doit te faire confiance aussi, comme quoi. mais en réalité, tu n'as pas le temps de dire grand chose que tu sens sa deuxième main s'aventurer vers ton intimité, tu fermes doucement les yeux, soupirant d'aise lorsque tu sens ses doigts commencer à s'amuser à nouveau avec ton petit bouton. il approche même son visage de ton cou libéré de tout cheveux grâce à cette queue que tu avais rapidement faite, et là, tu te lâches un peu plus. tu ne penses même pas à regarder autour de toi, peut-être que quelqu'un pourrait vous voir mais il parvient à te faire décoller un court instant. un bref instant oui, avant que tu reprennes tes esprits tu ne sais comment, tu attrapes son poignet d'une main, le forçant à arrêter et te reculant assez pour pouvoir à nouveau lui faire face. tu baisses ton regard sur ses lèvres, elle t'appellent, mais tu ne succombes pas à la tentation... pas encore. tu souris juste, adoptant à nouveau cette attitude de femme joueuse. « tu vas me laisser conduire ta voiture ? » répètes-tu, comme si tu avais du mal à y croire. c'est le cas, mais tu te saisies bien vite des clés sans plus tarder. « que tu ne tiennes pas à ta voiture, c'est un fait... mais à ta vie ? » ça pourrait provoquer un accident tout ça, et si tu n'avais pas le permis ? tu as l'air plutôt sereine il est vrai, mais ça, c'est parce que tu te fais confiance. tu sais que tu as ton permis en plus de ça, lui, il ne le sait pas. tu te pinces discrètement la lèvre inférieure, te reculant de quelques pas avant d'observer à nouveau l'engin. « le danger t'excite, euigeon? » lui demandes-tu, d'une voix chaude, comme tu sais si bien le faire. tu lui lances un nouveau regard rempli de malice avant d'ouvrir la portière du côté conducteur. l'intérieur de la voiture est aussi magnifique que l'extérieur, ce n'est vraiment pas un milieu que tu connais, bien au contraire. toi, tu as quand même connu la rue. tu t'installes aisément tandis que euigeon t'imite du côté passager. t'es à l'aise, évidemment, ce n'est pas la première fois que tu conduis une voiture, loin de là. tu attaches ta ceinture après avoir déposé ton sac à l'arrière de la voiture, ton regard se pose sur le tableau de contrôle qui est, disons le, beaucoup plus perfectionné que toutes ces autres voitures que tu as connu. rien de bien étonnant, certes. il y a même un gps. « alors dis-moi... où est-ce qu'on va ? » il ne te l'a même pas dit, dans tout ça. chez lui, sans doute, enfin tu le supposes juste mais de toute façon, tu ne sais même pas où il habite. tu te contentes simplement de mettre le contact, attendant une réponse de sa part avant de prendre la route... à tes risques et périls.
let's play a lov... sex game
malia & euigeon
tenue ☾ évidemment, tu te demandes si c'est une bonne idée. tu restes responsable malgré tout, tu sais très bien que ça pourrait se savoir dans la boîte et là... tu en risques ton métier. tu ne peux définitivement pas te le permettre, c'est eux qui t'ont permis de retomber sur tes pattes même s'il te tarde le jour où tu pourras changer de métier, d'endroit, commencer réellement à faire ce que tu souhaites. tu n'as pas envie de finir à la rue une deuxième fois mais si tu as su succomber à ses charmes pour la première fois, certes la tension sexuelle était bien trop forte mais tu n'aurais rien fait si tu n'avais pas un minimum confiance en lui, et ça, tu le sais bien. comment pourrait-on le savoir au juste ? t'es pas sûr que euigeon souhaite te voir quitter ton travail vue tout le fric qu'il dépense pour toi. et puis oui, tu es encore jeune, tu as bien le droit de profiter et tu as bien envie de voir ce que cette fin de soirée peut donner, alors tu ne mets que très peu de temps à te mettre en route vers la destination qu'il t'avait indiqué. une fois chose faite, tu ne te retiens pas de faire une remarque sur sa voiture. c'est vrai, elle est jolie, le genre de voiture que tu n'auras jamais. bien trop chère et puis... faudrait-il déjà que tu aies une voiture. tu n'as même pas encore pu t'en acheter une. tu as très vite repris ton attitude de femme fatale, joueuse. tu restes lili la strip-teaseuse pour lui même si là, ça commence à dépasser les limites que tu pensais t'être imposé. mais toi, ça te plaît. « tu supposes bien. j’ai des plans bien plus intéressants en tête. » un mince sourire taquin fleurit sur tes lèvres, voyez vous ça... bien plus intéressant, mais c'est qu'il te rendrait presque impatiente, toi, qui déborde de patience habituellement. mais toi, tu joues encore, en t'approchant de lui et se saisissant de sa cigarette non sans raison puisque tu viens lui faire une soufflette. et bien, on dirait que tu aimes jouer avec le feu, lili. il répond très vite à cet appel en passant une de ses mains sur ta nuque, la deuxième au creux de tes reins, te dirigeant vers lui. et là, il t'embrasse à nouveau. fougueusement, tes paupières se ferment et tu te laisses envahir par ces excitants ressentis qu'il provoque en toi. tes mains se déposent sur son torse, agrippant doucement ses épaules avec envie tout en lui rendant le baiser désormais langoureux que vous vous échangez, tu peux même y sentir son érection tout contre toi. quelques secondes avant qu'il y mette finalement fin, tes mains toujours sur ses épaules, il vient sortir ses clés de voiture pour les placer entre vos deux visages. « tu conduis. » tu hausses les sourcils, tentant de cacher un minimum ton étonnement pour rester dans le jeu mais clairement, ça te surprend. il te laisserait conduire sa voiture? sans même savoir que tu as le permis? et si tu ne l'avais pas? en plus, il vient de te l'ordonner. tu as bien compris au son de sa voix que tu n'avais pas le choix. toi, t'aimes pas qu'on te donne des ordres. tu n'écoutes rien ni personne, tu fais ce que bon te semble mais sexuellement... c'est une toute autre histoire. lili soumise? ça se pourrait bien. mais là, avec ce jeu et cette relation des plus charnels qui vous lie, c'est différent. tu restes en partie lili la strip-teaseuse et non malia, pas entièrement du moins, mais il est vrai que sa voix rauque vient de faire grimper ta chaleur corporelle, tu dirais même plus clairement: ça t'excite. bien que tu ne le montres pas vraiment, juste assez. « j’ai besoin d’avoir mes mains de libre. » tu quittes les clés du regard, le plantant dans les yeux de euigeon. tu vois très bien où il veut en venir mais est-ce vraiment une bonne idée? non pas que ça te plaise pas... bien au contraire, mais il va falloir que tu aies un self-control surhumain si tu penses à la même chose que lui, enfin, c'est certainement ça qui l'excite. il doit te faire confiance aussi, comme quoi. mais en réalité, tu n'as pas le temps de dire grand chose que tu sens sa deuxième main s'aventurer vers ton intimité, tu fermes doucement les yeux, soupirant d'aise lorsque tu sens ses doigts commencer à s'amuser à nouveau avec ton petit bouton. il approche même son visage de ton cou libéré de tout cheveux grâce à cette queue que tu avais rapidement faite, et là, tu te lâches un peu plus. tu ne penses même pas à regarder autour de toi, peut-être que quelqu'un pourrait vous voir mais il parvient à te faire décoller un court instant. un bref instant oui, avant que tu reprennes tes esprits tu ne sais comment, tu attrapes son poignet d'une main, le forçant à arrêter et te reculant assez pour pouvoir à nouveau lui faire face. tu baisses ton regard sur ses lèvres, elle t'appellent, mais tu ne succombes pas à la tentation... pas encore. tu souris juste, adoptant à nouveau cette attitude de femme joueuse. « tu vas me laisser conduire ta voiture ? » répètes-tu, comme si tu avais du mal à y croire. c'est le cas, mais tu te saisies bien vite des clés sans plus tarder. « que tu ne tiennes pas à ta voiture, c'est un fait... mais à ta vie ? » ça pourrait provoquer un accident tout ça, et si tu n'avais pas le permis ? tu as l'air plutôt sereine il est vrai, mais ça, c'est parce que tu te fais confiance. tu sais que tu as ton permis en plus de ça, lui, il ne le sait pas. tu te pinces discrètement la lèvre inférieure, te reculant de quelques pas avant d'observer à nouveau l'engin. « le danger t'excite, euigeon? » lui demandes-tu, d'une voix chaude, comme tu sais si bien le faire. tu lui lances un nouveau regard rempli de malice avant d'ouvrir la portière du côté conducteur. l'intérieur de la voiture est aussi magnifique que l'extérieur, ce n'est vraiment pas un milieu que tu connais, bien au contraire. toi, tu as quand même connu la rue. tu t'installes aisément tandis que euigeon t'imite du côté passager. t'es à l'aise, évidemment, ce n'est pas la première fois que tu conduis une voiture, loin de là. tu attaches ta ceinture après avoir déposé ton sac à l'arrière de la voiture, ton regard se pose sur le tableau de contrôle qui est, disons le, beaucoup plus perfectionné que toutes ces autres voitures que tu as connu. rien de bien étonnant, certes. il y a même un gps. « alors dis-moi... où est-ce qu'on va ? » il ne te l'a même pas dit, dans tout ça. chez lui, sans doute, enfin tu le supposes juste mais de toute façon, tu ne sais même pas où il habite. tu te contentes simplement de mettre le contact, attendant une réponse de sa part avant de prendre la route... à tes risques et périls.#kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Lun 27 Nov - 0:37
tenue // quand tu sors du babylon, tu as le doute. est-ce qu’elle va venir ? est-ce qu’elle sera assez joueuse pour vouloir continuer ce que vous avez commencé. t’espères que ce sera le cas. tu ne veux pas t’arrêter en si bon chemin. il y a tellement de chose que tu as envie de faire à malia, et que t’as envie qu’elle te fasse. alors, tu l’attends dehors, la boule au ventre, te demandant si elle se pointera. ta cigarette se consume au coin de tes lèvres et t’es satisfait de la voir finalement arriver. tu souris alors qu’elle s’approche et tu l’embrasses à nouveau. maintenant que t’as goûté à ses lèvres, c’est comme si c’était devenu vital. t’en es accroc et tu pourrais passer ton temps à déposer ta bouche sur la sienne. et quand tu vois qu’elle te répond, passant ses mains sur tes épaules et rendant le baiser plus langoureux que passionné, ça augmente la pression sanguine dans ton pantalon et tu soupir discrètement d’aise en sentant ton corps contre le sien. tu pourrais encore une fois mimer des vas-et-viens dans cette ruelle, sur ta voiture, mais tu n’en fais rien. à la place, tu sors tes clés de voiture, et tu les mets devant les yeux, lui ordonnant de conduire. elle n’a pas un choix, c’est un ordre. tu te fous bien de savoir qu’elle a son permis ou non. toi, tout ce que tu veux c’est avoir les mains libres pour faire ce que tu as en tête. tu vois dans son regard toutes sortes d’émotions passées mais tu ne lui laisses pas le temps de se fixer sur l’une d’elle. tes doigts retrouvent le chemin de son intimité et tu recommences à jouer avec elle. tes doigts la titillent, essaient de lui faire voir ce qui l’attend dans cette chambre et ta bouche trouve son chemin jusqu’à son cou. tu ne laisses pas de marque cette fois-ci mais tu laisses une pluie de baisers tous plus léger les uns que les autres, alors que la jeune femme se dépose les armes et renonce à garder le contrôle de sa voix et de son corps. tu souris contre sa peau jusqu’à ce qu’elle attrape ton poignet. tu arrêtes cette douce torture tandis que tu surprends son regard sur tes lèvres. tu les lèches avec envie, y déposant un sourire amusé, avant que vos yeux se rencontrent à nouveau. malia te demande si elle va réellement conduire ta voiture. tu hoches la tête te retenant de lui dire qu’elle pourrait aussi te conduire plus tard. l’idée de voir la jeune femme au-dessus de toi, prenant les rennes de vos ébats, donnant le rythme alors que sa poitrine se soulèvera à la cadence de vos vas-et-viens te donne encore plus chaud. t’as du mal à revenir à la réalité alors que ton regard se fait plus sombre, plus avide de son corps. tu pourrais presque la prendre maintenant comme ça. elle est assez préparée pour que tu entres en elle facilement. mais t’as pas le temps qu’elle a déjà récupéré les clés que tu tenais toujours à la main. ta vie ? tu n’y tiens pas forcément. t’as plus de raisons de rester vivant. ta copine t’a trompé, te laissant seul avec une bague de fiançailles sur les bras. ta mère n’est plus là non plus et c’est pas ton père et sa nouvelle famille qui te donnent envie de te lever le matin. alors, ouais y a eu des fois où tu as pensé à ce genre de chose. mais jamais tu n’as pensé à te suicider ou mettre ta vie en danger avec quelqu’un d’autre. t’es peut-être inconscient mais t’es pas un meurtrier. elle reprend la parole et tu souris face à sa voix et son expression. « c’est toi qui m’excite malia. » que tu lui réponds, sur le même ton et avec le même air sur le visage. tu la rejoins à l’intérieur de l’habitacle avec un sourire en coin. tu l’observes prendre possession de ta voiture comme si elle était à elle et t’aimes cette vision. la voix de lili s’élève une nouvelle fois, emplissant l’espace dans l’habitacle. « chez moi. » réponds-tu à sa question alors que tu programmes le gps pour vous amener à destination. tu laisses quelques rues passer avant de poser ta main sur la cuisse de la jeune femme. tu montes tes doigts, glissant sur sa peau lentement, sans jamais accéder à la partie qui t’intéresse, avant de remonter. ton toucher est léger et tu sens des frissons se former sur son épiderme alors que tu continues ton manège, te rapprochant toujours un peu plus de son antre, sans jamais la toucher. tu joues avec elle, t’essaies de la frustrer pour qu’elle te supplie de lui faire du bien. « tu conduis plutôt bien pour une femme… » que tu lances sur un ton railleur alors que tu as déjà constaté une bonne dizaine de fautes et qu’elle a failli prendre un trottoir. si tu n’étais pas autant occupé à t’amuser avec le corps de malia, tu aurais sûrement fait des réflexions. pas à cause de ta voiture, tu t’en fous totalement de cette carrosserie. mais juste parce que ça t’horripile de voir quelqu’un qui roule pas aussi bien que tu le voudrais. c’est sûrement du au fait que tu continues de la titiller sans jamais la toucher réellement. même maintenant que ta main est près de son sexe, tu la frôles simplement, passant ton doigt sur ses lèvres, son bouton, sans jamais t’arrêter. tu finis même par t’approcher de son oreille pour murmurer d’une fois chaude et douce. « je veux que tu me supplies malia… je veux que tu me réclames. » et t’attrapes son lobe, le mordillant légèrement alors que tu laisses tes doigts passer très près de l’objet de ton désir.
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malia & euigeon
tenue // quand tu sors du babylon, tu as le doute. est-ce qu’elle va venir ? est-ce qu’elle sera assez joueuse pour vouloir continuer ce que vous avez commencé. t’espères que ce sera le cas. tu ne veux pas t’arrêter en si bon chemin. il y a tellement de chose que tu as envie de faire à malia, et que t’as envie qu’elle te fasse. alors, tu l’attends dehors, la boule au ventre, te demandant si elle se pointera. ta cigarette se consume au coin de tes lèvres et t’es satisfait de la voir finalement arriver. tu souris alors qu’elle s’approche et tu l’embrasses à nouveau. maintenant que t’as goûté à ses lèvres, c’est comme si c’était devenu vital. t’en es accroc et tu pourrais passer ton temps à déposer ta bouche sur la sienne. et quand tu vois qu’elle te répond, passant ses mains sur tes épaules et rendant le baiser plus langoureux que passionné, ça augmente la pression sanguine dans ton pantalon et tu soupir discrètement d’aise en sentant ton corps contre le sien. tu pourrais encore une fois mimer des vas-et-viens dans cette ruelle, sur ta voiture, mais tu n’en fais rien. à la place, tu sors tes clés de voiture, et tu les mets devant les yeux, lui ordonnant de conduire. elle n’a pas un choix, c’est un ordre. tu te fous bien de savoir qu’elle a son permis ou non. toi, tout ce que tu veux c’est avoir les mains libres pour faire ce que tu as en tête. tu vois dans son regard toutes sortes d’émotions passées mais tu ne lui laisses pas le temps de se fixer sur l’une d’elle. tes doigts retrouvent le chemin de son intimité et tu recommences à jouer avec elle. tes doigts la titillent, essaient de lui faire voir ce qui l’attend dans cette chambre et ta bouche trouve son chemin jusqu’à son cou. tu ne laisses pas de marque cette fois-ci mais tu laisses une pluie de baisers tous plus léger les uns que les autres, alors que la jeune femme se dépose les armes et renonce à garder le contrôle de sa voix et de son corps. tu souris contre sa peau jusqu’à ce qu’elle attrape ton poignet. tu arrêtes cette douce torture tandis que tu surprends son regard sur tes lèvres. tu les lèches avec envie, y déposant un sourire amusé, avant que vos yeux se rencontrent à nouveau. malia te demande si elle va réellement conduire ta voiture. tu hoches la tête te retenant de lui dire qu’elle pourrait aussi te conduire plus tard. l’idée de voir la jeune femme au-dessus de toi, prenant les rennes de vos ébats, donnant le rythme alors que sa poitrine se soulèvera à la cadence de vos vas-et-viens te donne encore plus chaud. t’as du mal à revenir à la réalité alors que ton regard se fait plus sombre, plus avide de son corps. tu pourrais presque la prendre maintenant comme ça. elle est assez préparée pour que tu entres en elle facilement. mais t’as pas le temps qu’elle a déjà récupéré les clés que tu tenais toujours à la main. ta vie ? tu n’y tiens pas forcément. t’as plus de raisons de rester vivant. ta copine t’a trompé, te laissant seul avec une bague de fiançailles sur les bras. ta mère n’est plus là non plus et c’est pas ton père et sa nouvelle famille qui te donnent envie de te lever le matin. alors, ouais y a eu des fois où tu as pensé à ce genre de chose. mais jamais tu n’as pensé à te suicider ou mettre ta vie en danger avec quelqu’un d’autre. t’es peut-être inconscient mais t’es pas un meurtrier. elle reprend la parole et tu souris face à sa voix et son expression. « c’est toi qui m’excite malia. » que tu lui réponds, sur le même ton et avec le même air sur le visage. tu la rejoins à l’intérieur de l’habitacle avec un sourire en coin. tu l’observes prendre possession de ta voiture comme si elle était à elle et t’aimes cette vision. la voix de lili s’élève une nouvelle fois, emplissant l’espace dans l’habitacle. « chez moi. » réponds-tu à sa question alors que tu programmes le gps pour vous amener à destination. tu laisses quelques rues passer avant de poser ta main sur la cuisse de la jeune femme. tu montes tes doigts, glissant sur sa peau lentement, sans jamais accéder à la partie qui t’intéresse, avant de remonter. ton toucher est léger et tu sens des frissons se former sur son épiderme alors que tu continues ton manège, te rapprochant toujours un peu plus de son antre, sans jamais la toucher. tu joues avec elle, t’essaies de la frustrer pour qu’elle te supplie de lui faire du bien. « tu conduis plutôt bien pour une femme… » que tu lances sur un ton railleur alors que tu as déjà constaté une bonne dizaine de fautes et qu’elle a failli prendre un trottoir. si tu n’étais pas autant occupé à t’amuser avec le corps de malia, tu aurais sûrement fait des réflexions. pas à cause de ta voiture, tu t’en fous totalement de cette carrosserie. mais juste parce que ça t’horripile de voir quelqu’un qui roule pas aussi bien que tu le voudrais. c’est sûrement du au fait que tu continues de la titiller sans jamais la toucher réellement. même maintenant que ta main est près de son sexe, tu la frôles simplement, passant ton doigt sur ses lèvres, son bouton, sans jamais t’arrêter. tu finis même par t’approcher de son oreille pour murmurer d’une fois chaude et douce. « je veux que tu me supplies malia… je veux que tu me réclames. » et t’attrapes son lobe, le mordillant légèrement alors que tu laisses tes doigts passer très près de l’objet de ton désir. #kerushirei
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Re: let's play a lov... sex game ~ lili (-18) | Ven 8 Déc - 17:17
tenue ☾ c'est vrai ça, est-ce que le danger l'excite? te filer les clés de sa voiture sans même savoir si tu as le permis, si tu sais conduire. tu aurais pu croire qu'il t'aies déjà vu mais tu n'as même pas de voiture, comment peut-il savoir que tu as obtenu le permis? non.... non, ce n'est pas possible, il ne le sait vraiment pas. il doit te vouer une confiance aveugle parce qu'en plus de ça, il a une bien trop jolie voiture pour que tu puisses te permettre de la rayer. « c’est toi qui m’excite malia. » tu souris discrètement, un doux sourire qui signifie beaucoup. oh tu es très loin d'être prétentieuse mais tu n'es pas non plus idiote, tu as bien remarqué que tu avais un certain pouvoir sur lui. pourquoi viendrait-il encore dépenser tout son fric pour toi, sinon? le pire dans cette histoire (du moins, le mieux pour toi, tout dépend du point de vue) c'est que tu gagnes encore plus de fric depuis que tu es la strip-teaseuse d'un seul homme. quand on y réfléchit, tu es gagnante. euigeon est la seule personne pour qui tu aimais danser. mais revenons à nos moutons, tu prends place sur le siège conducteur d'un air plutôt serein qui montre bel et bien que ce n'est pas la première fois que tu conduis une voiture. très vite, tu lui demandes où est-ce que tu es censé vous emmener. « chez moi. » et ton regard dérive vers son gns qu'il commence à programmer sous tes yeux. ton sourire se transforme en un sourire malicieux, un sourire lourd de sens sûrement dû à ces idées qui te traverses l'esprit. si on t'avait dit que cette soirée allait se passer comme ça, tu ne l'aurais pas cru. tu as encore bien du mal à croire que tu sois venue, mais soyons honnête, qu'est-ce que tu fais de mal? il te plaît euigeon et puis, ça va, ton service est terminé. tu as peut-être cette étrange sensation dû au fait que tu ne pensais jamais franchir le cap avec lui, que ce jeu n'allait rester qu'un jeu. enfin bref, tu prends la route, regardant parfois la direction indiquée par le gps bien vite déconcentrée par la main qu'il dépose sur ta cuisse, il remonte le long de ta peau tandis qu'une bouffée de chaleur t’emprisonne. t'essaies de rester un minimum concentrée pour conduire mais c'est bien trop difficile, pourquoi faut-il que cet homme t'attire autant? non toi, t'y es sensible. tu frisonnes à son contact, et silencieusement, tu en réclames plus. il tente de te frustrer mais ça, tu t'y attendais. « tu conduis plutôt bien pour une femme… » tu fronces les sourcils pendant quelques secondes, ton discret sourire ne te quitte pas et pourtant, dieu sait que tu détestes ce genre de remarques. sans doute parce que tu suspectes euigeon de vouloir te titiller un petit peu. « pour une femme? » qu'est-ce que ça veut dire, ça? tu tournes le visage vers lui un court instant avant de reposer à nouveau ton regard sur la route face à toi. « premièrement... je conduis comme un pied ce soir. » inutile de préciser pourquoi. « et deuxièmement les trois quarts des accidents de voiture sont provoqués par des hommes, ç'a été prouvé. » lili la féministe est un peu chiante quand elle s'y met, non? tant pis! c'est vrai. ton sourire s'élargit même, après tout, toi aussi tu as le droit de l'embêter un peu non? pourtant, tu perds vite ton sourire pour retrouver un air plus sérieux en remarquant sa main un peu trop proche de ton intimité. une vague de chaleur possédant tout ton petit corps et te paralyse même une demie seconde. tu tentes toujours de te concentrer sur la route que tu dois emprunter via le gps, ainsi que ta conduite, mais ça devient de plus en plus difficile. tu étouffes un soupir de plaisir au moment où il frôle tes lèvres inférieures de ses doigts, gigotant un peu sur ton siège. ça, avant qu'il vienne te murmurer à l'oreille. « je veux que tu me supplies malia… je veux que tu me réclames. » son souffle est chaud, tout comme ses paroles et à nouveau, tu viens afficher un léger sourire. tu luttes pour ne pas fermer les yeux afin de profiter de ces sensations mais non, il doit rester posé sur la route, les doigts se serrent autour du volant comme pour y passer ta frustration. il t'a clairement dit ce qu'il voulait, là. se rend t-il compte du pouvoir qu'il vient de te donner? enfin, si on peut dire ça comme ça... il joue avec toi, avec ton excitation, lui aussi a des cartes en mains actuellement, des cartes que tu n'as pas dans ton jeu. « et si j'ose désobéir ? » souffles-tu sans lui lancer un regard, tu as déjà perdu 50% de ta concentration à cause de ce qu'il te fait alors tu préfères fixer la route, éviter un quelconque accident. alors oui, tu fixes la route mais ton discret sourire lui, ne t'a pas quitté. « je serais punie? » demandes-tu toujours d'une voix faussement innocente. là, c'est encore la lili strip-teaseuse qui parle. la lili joueuse, la lili qui veut s'amuser encore un peu, la lili qui sait qu'être soumise, ça peut rendre fou un homme, lili qui.. disons-le, aime aussi se soumettre. mais aussi, la malia qui veut voir un euigeon se surpasser, parce qu'elle devient un peu trop curieuse de lui.
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malia & euigeon
tenue ☾ c'est vrai ça, est-ce que le danger l'excite? te filer les clés de sa voiture sans même savoir si tu as le permis, si tu sais conduire. tu aurais pu croire qu'il t'aies déjà vu mais tu n'as même pas de voiture, comment peut-il savoir que tu as obtenu le permis? non.... non, ce n'est pas possible, il ne le sait vraiment pas. il doit te vouer une confiance aveugle parce qu'en plus de ça, il a une bien trop jolie voiture pour que tu puisses te permettre de la rayer. « c’est toi qui m’excite malia. » tu souris discrètement, un doux sourire qui signifie beaucoup. oh tu es très loin d'être prétentieuse mais tu n'es pas non plus idiote, tu as bien remarqué que tu avais un certain pouvoir sur lui. pourquoi viendrait-il encore dépenser tout son fric pour toi, sinon? le pire dans cette histoire (du moins, le mieux pour toi, tout dépend du point de vue) c'est que tu gagnes encore plus de fric depuis que tu es la strip-teaseuse d'un seul homme. quand on y réfléchit, tu es gagnante. euigeon est la seule personne pour qui tu aimais danser. mais revenons à nos moutons, tu prends place sur le siège conducteur d'un air plutôt serein qui montre bel et bien que ce n'est pas la première fois que tu conduis une voiture. très vite, tu lui demandes où est-ce que tu es censé vous emmener. « chez moi. » et ton regard dérive vers son gns qu'il commence à programmer sous tes yeux. ton sourire se transforme en un sourire malicieux, un sourire lourd de sens sûrement dû à ces idées qui te traverses l'esprit. si on t'avait dit que cette soirée allait se passer comme ça, tu ne l'aurais pas cru. tu as encore bien du mal à croire que tu sois venue, mais soyons honnête, qu'est-ce que tu fais de mal? il te plaît euigeon et puis, ça va, ton service est terminé. tu as peut-être cette étrange sensation dû au fait que tu ne pensais jamais franchir le cap avec lui, que ce jeu n'allait rester qu'un jeu. enfin bref, tu prends la route, regardant parfois la direction indiquée par le gps bien vite déconcentrée par la main qu'il dépose sur ta cuisse, il remonte le long de ta peau tandis qu'une bouffée de chaleur t’emprisonne. t'essaies de rester un minimum concentrée pour conduire mais c'est bien trop difficile, pourquoi faut-il que cet homme t'attire autant? non toi, t'y es sensible. tu frisonnes à son contact, et silencieusement, tu en réclames plus. il tente de te frustrer mais ça, tu t'y attendais. « tu conduis plutôt bien pour une femme… » tu fronces les sourcils pendant quelques secondes, ton discret sourire ne te quitte pas et pourtant, dieu sait que tu détestes ce genre de remarques. sans doute parce que tu suspectes euigeon de vouloir te titiller un petit peu. « pour une femme? » qu'est-ce que ça veut dire, ça? tu tournes le visage vers lui un court instant avant de reposer à nouveau ton regard sur la route face à toi. « premièrement... je conduis comme un pied ce soir. » inutile de préciser pourquoi. « et deuxièmement les trois quarts des accidents de voiture sont provoqués par des hommes, ç'a été prouvé. » lili la féministe est un peu chiante quand elle s'y met, non? tant pis! c'est vrai. ton sourire s'élargit même, après tout, toi aussi tu as le droit de l'embêter un peu non? pourtant, tu perds vite ton sourire pour retrouver un air plus sérieux en remarquant sa main un peu trop proche de ton intimité. une vague de chaleur possédant tout ton petit corps et te paralyse même une demie seconde. tu tentes toujours de te concentrer sur la route que tu dois emprunter via le gps, ainsi que ta conduite, mais ça devient de plus en plus difficile. tu étouffes un soupir de plaisir au moment où il frôle tes lèvres inférieures de ses doigts, gigotant un peu sur ton siège. ça, avant qu'il vienne te murmurer à l'oreille. « je veux que tu me supplies malia… je veux que tu me réclames. » son souffle est chaud, tout comme ses paroles et à nouveau, tu viens afficher un léger sourire. tu luttes pour ne pas fermer les yeux afin de profiter de ces sensations mais non, il doit rester posé sur la route, les doigts se serrent autour du volant comme pour y passer ta frustration. il t'a clairement dit ce qu'il voulait, là. se rend t-il compte du pouvoir qu'il vient de te donner? enfin, si on peut dire ça comme ça... il joue avec toi, avec ton excitation, lui aussi a des cartes en mains actuellement, des cartes que tu n'as pas dans ton jeu. « et si j'ose désobéir ? » souffles-tu sans lui lancer un regard, tu as déjà perdu 50% de ta concentration à cause de ce qu'il te fait alors tu préfères fixer la route, éviter un quelconque accident. alors oui, tu fixes la route mais ton discret sourire lui, ne t'a pas quitté. « je serais punie? » demandes-tu toujours d'une voix faussement innocente. là, c'est encore la lili strip-teaseuse qui parle. la lili joueuse, la lili qui veut s'amuser encore un peu, la lili qui sait qu'être soumise, ça peut rendre fou un homme, lili qui.. disons-le, aime aussi se soumettre. mais aussi, la malia qui veut voir un euigeon se surpasser, parce qu'elle devient un peu trop curieuse de lui.#kerushirei
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