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kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do
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kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 19:31 Citer EditerSupprimer
kwak bora
parfois, les rêves ne se réalisent pas
IDENTITY CARD |
Il parait que... Bora peut sembler froide de prime abord mais c'est juste parce qu'elle est assez réservée et cela passe pour de la froideur (Vrai. Sa mine renfermée a tendance à impressionner les autres. Un comble quand on découvre sa personnalité). | Dis nous qui tu es ! Se décrire ne sera jamais une tâche aisée. Si vous entendez le discours de vos parents, de vos collègues de travail ou de simples personnes âgées discutant dans la rue, vous comprendrez qu'on apprend, à chaque instant, sur soi, sur sa propre personnalité. Je n'ai jamais eu la prétention de dire: je suis comme ci, comme ça. Je n'ai jamais été prétentieuse tout court alors qu'on aurait pu m'envier d'être mariée avec celui que j'ai considéré comme l'homme de ma vie ou que je considère encore comme tel. Ma vie n'a jamais été aussi incertaine qu'aujourd'hui. Et, pour tout vous dire, ce aujourd'hui dure depuis trois ans, période où les mélodrames de la vie ont décidé de se jouer de nous et notre réputation. En parlant de celle-ci, il n'est pas rare pour moi d'être vue comme une personne froide, à qui l'on ne peut rien dire sans qu'elle soit complètement désintéressée par vos propos. En plus de cela, je ne suis pas connue pour être spécialement avenante. Ce mélange de défauts (pour la société) enlève parfois une partie de mon charme. Pourtant, j'ose penser avoir le courage de le cultiver jour après jour, en faisant preuve d'imagination, de créativité et de coquetterie. Si mon mari n'ose plus poser les mains sur moi ou même les yeux, je tiens à garder une image de femme. Il faut bien trouver un remède quand toutes les hormones au monde ne parviennent même pas à vous rendre enceinte. Mais soit. D'une douceur sans nom, on peut découvrir, derrière cette apparence, une femme chaleureuse avec ses envies. La discrétion n'est pas un crime. La flemmardise devrait en être un. Appliquée et concentrée, il m'arrive d'échapper quelques soupirs râleurs voire même des insultes quand la tâche me donne du fil à retordre. Ils sont comme une source d'encouragement et d'ailleurs, cela a tendance à faire rire à moins d'en être la victime. J'ai beau être conciliante, je ne supporte pas la stupidité, les changements d'avis constants et complètement illégitimes. J'aime dire mon point de vue, et ce, sans faire preuve de diplomatie. On ne s'est pas manqué de vouloir me dicter ma vie. Pourquoi devrais-je faire attention aux autres alors que des tiers personnes sont à deux doigts de ruiner mon mariage ? Ma patience est mise à l'épreuve et, je me dis qu'il serait bien temps que je me remette en question tout ce qui fonde ma vie. Chaque problème a sa solution, n'est-ce pas ? Il faut juste savoir en prendre conscience, à temps. |
omoi.namida toujours la même.
ps; supprimez le code inutile. |
It's my life...
tell me who is the real winner now.
Kuala Lampur, capitale de la Malaisie, n'est pas simplement qu'un doux nom inscrit sur des affiches pour des séjours touristiques. Cette ville est mon berceau, celle qui m'a vu grandir. J'ai hérité de sa pluralité mais peut-être pas de son agitation. Fille unique, seuls mes cousins me poussaient à faire des bêtises. Par leur faute, ou grâce à eux, selon les goûts, j'ai découvert à quel point j'étais douée pour jouer des coudes et mon attrait à la bagarre est vraiment insoupçonnable quand on voit la femme que je suis devenue. J'avais du courage voire un peu trop. En y réfléchissant, j'ai fini par penser que c'était simplement l'instinct des enfants: ils n'ont pas le soucis du risque hormis quand ils respectent les ordres de leurs aînés. Maintenant que nous sommes dotés d'une pensée, d'une réflexion plus poussée, il est difficile d'avancer sereinement. Pourtant, cela n'a pas empêché ma petite famille de déménager dans un autre pays : la Corée du Sud.
Mon père m'a souvent parlé de son pays natal et à quel point, il avait le mal du pays. Comment a-t-il pu vivre quatorze ans loin de sa Corée ? Je me pose souvent la question, et la plupart du temps, un sourire moqueur prend possession de mes lèvres. Quand je l'entendais s'exprimer, à cette époque, je n'arrêtais pas non plus de me demander si ma mère ne l'avait pas contaminé avec sa plume littéraire ou devrais-je dire fleur bleue. C'est avec les récits de mon paternel et un besoin de savoir immense que j'ai apprécié, à l'avance, ce pays qui n'attendait que de m'ouvrir ses bras. J'ai feuilleté, lu des romans pendant des jours avant de devoir malheureusement tourner la page sur une tendre enfance, sans événement majeur et d'une adolescence rêveuse.
Lors de mes premiers pas sur le sol coréen, ma première inquiétude a été l'intégration. Je ne suis pas spécialement douée pour aller vers les gens, et d'après les ragôts, je ne suis pas non plus très fréquentable. Alors, en plus des hormones en folie, j'avais un accent à coucher dehors. C'est ainsi que j'ai passé quelques mois dans le flou le plus total, trouvant finalement ce pays fermé d'esprit comparé à ma terre natale. Je crois que c'est un peu pour cette raison que je me suis éprise d'une nouvelle passion: internet ou bien les soirées geekage. A défaut de pouvoir voyager, je le faisais à travers un écran avant de découvrir encore une multitude de choses et une nouvelle hobby. Eh non, ce n'était pas les hommes bien que je n'ai pas trop tardé non plus... Il faut dire que j'ai su laisser mes créations de bijoux pour l'un d'entre eux, celui qui marque encore ma vie. D'une façon bien différente maintenant.
J'étais au lycée quand j'ai rencontré Woo Young. Un sourire à faire rêver toutes les filles et plutôt beau parleur, même si en y repensant, on aurait de quoi faire un one man show. Impossible de ne pas le remarquer et mes yeux, curieux, s'étaient posés sur sa silhouette pourtant quelconque. Un premier regard échangé, un premier sourire et nos premières discussions. Toutes les histoires commencent ainsi, non ? La notre n'a pas échappé à la règle. Jouant avec lui pour le faire languir et pour accroître une relation de plus en plus forte, nous sommes sortis ensemble au bout de quelques mois. Une belle idylle qui faisait battre mon coeur à la chamade, des doux baisers tandis que nous étions cloîtrés dans un endroit à l'abri des regards envieux et curieux, c'était un simple amour naissant. D'ailleurs, nous avons toujours fait de notre mieux pour attiser la flamme, espérant que rien ne pourrait jamais nous séparer, hormis cette fichue lettre, qui signalerait, un jour, son départ pour l'armée.
Jeunes adultes, je me rappelle de lui avoir évoqué mon envie de vivre ensemble lors de nos premières années universitaires. Je n'avais pas spécialement besoin de brûler les étapes mais notre relation était tellement forte que cela me paraissait évident. Tout était évident avec lui et je ne serais jamais capable d'utiliser les bons mots pour m'exprimer. A croire que ma mère ne m'a pas transmis son talent pour l'écriture. La vilaine. Puis, le premier doute s'est emparé de mon être pendant plusieurs semaines. Pour une raison que j'ignorais, Woo Young s'est éloigné de moi. Est-ce que mes envies étaient à l'origine de son supposé stress ? Quel était mon faux pas ? Est-ce qu'il voulait juste s'amuser en étant à l'université ? Finalement, s'inquiéter pour rien est bien le comble d'une femme amoureuse. Et pourtant, la nouvelle de son départ au service militaire est un mélange de regrets et de joie immense. Mariée à l'homme de ma vie, nous payons au jour d'aujourd'hui les pots cassés pour un amour trop ardent.
Certaines décisions que l'on prend sont mûrement réfléchies. D'autres décisions sont entraînées par une force invisible. Notre couple en a définitivement payé les frais.
Quittant le cursus universitaire à la fin de ma licence, la vie professionnelle n'attendait que moi. Lasse du système de la faculté dans laquelle j'étais inscrite, je voulais juste gagner ma vie et faire ce que j'aime. Je voulais aussi en profiter pour faire plus attention à moi. Pourtant, lorsque j'ai commencé à décider de monter ma petite affaire, beaucoup de regards se sont braqués sur moi ainsi que sur mon conjoint. C'est triste à dire mais notre société est très critique. C'était notamment mon premier ressenti sur celle-ci, dés mon arrivée en Corée du Sud, quand on y repense. Cependant, avec le temps et l'intégration, j'ai arrêté d'avoir ce type de pensées pour ce pays d'accueil. Moins regardante, j'ai l'impression d'être devenue comme eux et ce n'est pas ce souhait d'ouvrir mes propres ailes qui risque de changer cette théorie. Je l'ai rapidement foutu à la poubelle après avoir entendu le destin me souffler à l'oreille qu'il était temps pour moi de devenir mère. Contradictoire, pas vrai ? Un peu, oui.
Emménager ensemble, le mariage, le premier enfant… Toutes ces étapes constituent le schéma classique mais parfois, les traditions peuvent devenir un véritable fardeau. Nous avons pris tous les deux suivis ce qu’on attendait de nous. Cette énorme pression a changé ce que nous étions, ce que nous formions. Les choses ont encore plus dérapé lorsque nos tentatives ont toujours échoué. Le pire, c’est quand ma belle-sœur Nah Woori nous a annoncé sa grossesse. Une grossesse évidemment pas voulue, et vu son âge, je n’aurais jamais pensé qu’elle puisse avoir le courage de le garder, malgré mes supplices. Pour tout dire, je n’aime pas spécialement parler de cette période. Ma relation avec mon neveu n’est pas vraiment saine, lui que j’aurais pu aimer comme un fils, lui qui aurait pu représenter la solution à mes problèmes de couple. Mais quelle idée j’ai eu de supplier la sœur de mon conjoint, qui peu à peu, me tourne le dos ?
Ma vie ne ressemble à rien. J’ignore réellement qui je suis et qui je veux être dans le futur. Je voudrais retrouver le sourire, apprécier le retour de mon homme à notre domicile conjugal, ne plus devoir sentir ses parfums féminins sur ses vêtements. J’ai l’impression d’être une mendiante sans aucun honneur, une femme qui se laisse abattre et qui ne fait rien pour réagir, guidée par un chemin sans lumière. Ma seule source de bonheur est certainement mes créations. Que ferais-je le jour où je perdrais toute inspiration ? Je suis déjà devenue une simple loque, coincée entre quatre murs dans l’attente d’un espoir qui, ne pourrait être qu’un geste de la part de Woo Young. Je veux retrouver mon corps de femme, être aimée pour ce que je suis et non pas pour ce que je dois être aux yeux d’une société trop envahissante. Retourner à la surface et crier de toutes mes forces pour arrêter d’être cette demoiselle dégoûtante et sans fierté. Mais à qui devrais-je envoyer un SOS ? Qui osera être ma bouffée d’oxygène ? Je l’ignore et c’est bien ça la tristesse de ma vie, le point de départ d’une solitude qui dure depuis des années. .
Mon père m'a souvent parlé de son pays natal et à quel point, il avait le mal du pays. Comment a-t-il pu vivre quatorze ans loin de sa Corée ? Je me pose souvent la question, et la plupart du temps, un sourire moqueur prend possession de mes lèvres. Quand je l'entendais s'exprimer, à cette époque, je n'arrêtais pas non plus de me demander si ma mère ne l'avait pas contaminé avec sa plume littéraire ou devrais-je dire fleur bleue. C'est avec les récits de mon paternel et un besoin de savoir immense que j'ai apprécié, à l'avance, ce pays qui n'attendait que de m'ouvrir ses bras. J'ai feuilleté, lu des romans pendant des jours avant de devoir malheureusement tourner la page sur une tendre enfance, sans événement majeur et d'une adolescence rêveuse.
Lors de mes premiers pas sur le sol coréen, ma première inquiétude a été l'intégration. Je ne suis pas spécialement douée pour aller vers les gens, et d'après les ragôts, je ne suis pas non plus très fréquentable. Alors, en plus des hormones en folie, j'avais un accent à coucher dehors. C'est ainsi que j'ai passé quelques mois dans le flou le plus total, trouvant finalement ce pays fermé d'esprit comparé à ma terre natale. Je crois que c'est un peu pour cette raison que je me suis éprise d'une nouvelle passion: internet ou bien les soirées geekage. A défaut de pouvoir voyager, je le faisais à travers un écran avant de découvrir encore une multitude de choses et une nouvelle hobby. Eh non, ce n'était pas les hommes bien que je n'ai pas trop tardé non plus... Il faut dire que j'ai su laisser mes créations de bijoux pour l'un d'entre eux, celui qui marque encore ma vie. D'une façon bien différente maintenant.
J'étais au lycée quand j'ai rencontré Woo Young. Un sourire à faire rêver toutes les filles et plutôt beau parleur, même si en y repensant, on aurait de quoi faire un one man show. Impossible de ne pas le remarquer et mes yeux, curieux, s'étaient posés sur sa silhouette pourtant quelconque. Un premier regard échangé, un premier sourire et nos premières discussions. Toutes les histoires commencent ainsi, non ? La notre n'a pas échappé à la règle. Jouant avec lui pour le faire languir et pour accroître une relation de plus en plus forte, nous sommes sortis ensemble au bout de quelques mois. Une belle idylle qui faisait battre mon coeur à la chamade, des doux baisers tandis que nous étions cloîtrés dans un endroit à l'abri des regards envieux et curieux, c'était un simple amour naissant. D'ailleurs, nous avons toujours fait de notre mieux pour attiser la flamme, espérant que rien ne pourrait jamais nous séparer, hormis cette fichue lettre, qui signalerait, un jour, son départ pour l'armée.
Jeunes adultes, je me rappelle de lui avoir évoqué mon envie de vivre ensemble lors de nos premières années universitaires. Je n'avais pas spécialement besoin de brûler les étapes mais notre relation était tellement forte que cela me paraissait évident. Tout était évident avec lui et je ne serais jamais capable d'utiliser les bons mots pour m'exprimer. A croire que ma mère ne m'a pas transmis son talent pour l'écriture. La vilaine. Puis, le premier doute s'est emparé de mon être pendant plusieurs semaines. Pour une raison que j'ignorais, Woo Young s'est éloigné de moi. Est-ce que mes envies étaient à l'origine de son supposé stress ? Quel était mon faux pas ? Est-ce qu'il voulait juste s'amuser en étant à l'université ? Finalement, s'inquiéter pour rien est bien le comble d'une femme amoureuse. Et pourtant, la nouvelle de son départ au service militaire est un mélange de regrets et de joie immense. Mariée à l'homme de ma vie, nous payons au jour d'aujourd'hui les pots cassés pour un amour trop ardent.
Certaines décisions que l'on prend sont mûrement réfléchies. D'autres décisions sont entraînées par une force invisible. Notre couple en a définitivement payé les frais.
Quittant le cursus universitaire à la fin de ma licence, la vie professionnelle n'attendait que moi. Lasse du système de la faculté dans laquelle j'étais inscrite, je voulais juste gagner ma vie et faire ce que j'aime. Je voulais aussi en profiter pour faire plus attention à moi. Pourtant, lorsque j'ai commencé à décider de monter ma petite affaire, beaucoup de regards se sont braqués sur moi ainsi que sur mon conjoint. C'est triste à dire mais notre société est très critique. C'était notamment mon premier ressenti sur celle-ci, dés mon arrivée en Corée du Sud, quand on y repense. Cependant, avec le temps et l'intégration, j'ai arrêté d'avoir ce type de pensées pour ce pays d'accueil. Moins regardante, j'ai l'impression d'être devenue comme eux et ce n'est pas ce souhait d'ouvrir mes propres ailes qui risque de changer cette théorie. Je l'ai rapidement foutu à la poubelle après avoir entendu le destin me souffler à l'oreille qu'il était temps pour moi de devenir mère. Contradictoire, pas vrai ? Un peu, oui.
Emménager ensemble, le mariage, le premier enfant… Toutes ces étapes constituent le schéma classique mais parfois, les traditions peuvent devenir un véritable fardeau. Nous avons pris tous les deux suivis ce qu’on attendait de nous. Cette énorme pression a changé ce que nous étions, ce que nous formions. Les choses ont encore plus dérapé lorsque nos tentatives ont toujours échoué. Le pire, c’est quand ma belle-sœur Nah Woori nous a annoncé sa grossesse. Une grossesse évidemment pas voulue, et vu son âge, je n’aurais jamais pensé qu’elle puisse avoir le courage de le garder, malgré mes supplices. Pour tout dire, je n’aime pas spécialement parler de cette période. Ma relation avec mon neveu n’est pas vraiment saine, lui que j’aurais pu aimer comme un fils, lui qui aurait pu représenter la solution à mes problèmes de couple. Mais quelle idée j’ai eu de supplier la sœur de mon conjoint, qui peu à peu, me tourne le dos ?
Ma vie ne ressemble à rien. J’ignore réellement qui je suis et qui je veux être dans le futur. Je voudrais retrouver le sourire, apprécier le retour de mon homme à notre domicile conjugal, ne plus devoir sentir ses parfums féminins sur ses vêtements. J’ai l’impression d’être une mendiante sans aucun honneur, une femme qui se laisse abattre et qui ne fait rien pour réagir, guidée par un chemin sans lumière. Ma seule source de bonheur est certainement mes créations. Que ferais-je le jour où je perdrais toute inspiration ? Je suis déjà devenue une simple loque, coincée entre quatre murs dans l’attente d’un espoir qui, ne pourrait être qu’un geste de la part de Woo Young. Je veux retrouver mon corps de femme, être aimée pour ce que je suis et non pas pour ce que je dois être aux yeux d’une société trop envahissante. Retourner à la surface et crier de toutes mes forces pour arrêter d’être cette demoiselle dégoûtante et sans fierté. Mais à qui devrais-je envoyer un SOS ? Qui osera être ma bouffée d’oxygène ? Je l’ignore et c’est bien ça la tristesse de ma vie, le point de départ d’une solitude qui dure depuis des années. .
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 19:32 Citer EditerSupprimer
je tenais à te dire que mon fils est à moi
mon frère est à moi
et que tu vas arrêter de m'en vouloir pour avoir ce que toi t'as pas >_>
Entre ci et ça merciiiii de prendre ce pv hihihi
Et puis j'aime déjà détester ce perso même si elles se détestent pas tu vois quoi !
Et t'es trop l'amour *-*
Et t'es trop la mignonnance *-*
Et cet avatar est perf bordel !
Et j'ai hâte de lire ta fiche *-*
je tenais à te dire que mon fils est à moi
mon frère est à moi
et que tu vas arrêter de m'en vouloir pour avoir ce que toi t'as pas >_>
Entre ci et ça merciiiii de prendre ce pv hihihi
Et puis j'aime déjà détester ce perso même si elles se détestent pas tu vois quoi !
Et t'es trop l'amour *-*
Et t'es trop la mignonnance *-*
Et cet avatar est perf bordel !
Et j'ai hâte de lire ta fiche *-*
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 19:34 Citer EditerSupprimer
t'es belle comme ça .
il arrive bientôt ton mari . en attendant, pas trop de bêtises sans .
il arrive bientôt ton mari . en attendant, pas trop de bêtises sans .
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 19:36 Citer EditerSupprimer
T'es belle la faiblesse te va bien
Garde moi des liens au chaud !!
Courage pour ta fiche
Garde moi des liens au chaud !!
Courage pour ta fiche
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 19:38 Citer EditerSupprimer
ah ben je peux ENFIN t'épouser. pas trop tôt
allez maintenant tu me fais cette fiche, beautey
allez maintenant tu me fais cette fiche, beautey
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 19:46 Citer EditerSupprimer
Superbe
re la belle, j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire cette fois
re la belle, j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire cette fois
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 20:14 Citer EditerSupprimer
Reeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
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Re: kwak bora - ain't nobody gonna love you like i do | Dim 17 Sep - 21:12 Citer EditerSupprimer
RE COUCOU
(ça me fait bizarre de shy avec miu, profite. )
(ça me fait bizarre de shy avec miu, profite. )
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