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La main dans le sac feat. Kwak Bora
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La main dans le sac feat. Kwak Bora | Lun 25 Sep 2017 - 22:51 Citer EditerSupprimer
la main dans le sac
Wearing | L'immeuble semblait relativement chic. Du genre immeuble dans lequel des coréens qui avaient un petit job posé pouvaient s'offrir un appartement. Rien de grandiose, mais tout ce qu'il fallait pour avoir le nécessaire dans les appartements, des choses intéressantes aussi, sans que les flics soient comme des chiens si quelqu'un osait s'introduire dans un appartement ou deux. C'était le travail qu'on avait demandé à Rei ce jour-là. Un masque noir posé sur le bas du visage, il entra dans ce fameux immeuble. Il vivait pas très loin de ce coin, une ou deux rues plus loin, ça suffisait à changer les loyers, à changer l'état d'un immeuble. Chez le japonais, les choses étaient un peu moins soignées, pas que ça le dérange particulièrement. Il y avait de nombreux étages, comme toujours, il se demandait parfois quelle hauteur minimum se fixait les architectes, était-ce à celui qui avait la plus longue ? L'idée le fît rire. Il choisit un étage un peu au hasard dans l’ascenseur, et lorsqu'il descendit, il regarda d'abord où se trouvait les caméras de sécurité dans le couloir. Il la trouva, une seule pour un si long couloir... Et il la couvrit d'un scotch opaque. Commençait la mission qu'on lui avait donné. S'introduire dans quelques appartements pour relever lesquels étaient intéressants pour de possibles cambriolages. Il ne serait pas celui qui les effectuerait, lui était juste chargé du repérage. Pourquoi faisait-il cela ? C'était risqué, il pourrait retourner en prison pour ça. Mais c'était évidemment pour l'argent, pour quoi d'autre sinon ? Il s'arrêta devant un appartement qui lui semblait vide, et tendit l'oreille, pas un son... Bien. De sa poche, il sortit de quoi forcer la serrure sans lui laisser le moindre dommage, ses mains gantées ne l'aidaient pas mais il avait l'habitude maintenant. Au bout de quelques secondes la porte s'ouvrit et il entra, il referma derrière lui sans la verrouiller, et en profita pour baisser son masque. L'appartement était cosy, et il sorti son téléphone pour prendre quelques clichés. En marchant à reculons pour avoir l'ensemble du système télé et hifi sur une photo, il bouscula un meuble sur lequel se tenait une pile de livres qui tomba en faisant un fracas énorme, lui arrachant de nombreux jurons en japonais.
☆☆☆ Beerus
la main dans le sac
Wearing | L'immeuble semblait relativement chic. Du genre immeuble dans lequel des coréens qui avaient un petit job posé pouvaient s'offrir un appartement. Rien de grandiose, mais tout ce qu'il fallait pour avoir le nécessaire dans les appartements, des choses intéressantes aussi, sans que les flics soient comme des chiens si quelqu'un osait s'introduire dans un appartement ou deux. C'était le travail qu'on avait demandé à Rei ce jour-là. Un masque noir posé sur le bas du visage, il entra dans ce fameux immeuble. Il vivait pas très loin de ce coin, une ou deux rues plus loin, ça suffisait à changer les loyers, à changer l'état d'un immeuble. Chez le japonais, les choses étaient un peu moins soignées, pas que ça le dérange particulièrement. Il y avait de nombreux étages, comme toujours, il se demandait parfois quelle hauteur minimum se fixait les architectes, était-ce à celui qui avait la plus longue ? L'idée le fît rire. Il choisit un étage un peu au hasard dans l’ascenseur, et lorsqu'il descendit, il regarda d'abord où se trouvait les caméras de sécurité dans le couloir. Il la trouva, une seule pour un si long couloir... Et il la couvrit d'un scotch opaque. Commençait la mission qu'on lui avait donné. S'introduire dans quelques appartements pour relever lesquels étaient intéressants pour de possibles cambriolages. Il ne serait pas celui qui les effectuerait, lui était juste chargé du repérage. Pourquoi faisait-il cela ? C'était risqué, il pourrait retourner en prison pour ça. Mais c'était évidemment pour l'argent, pour quoi d'autre sinon ? Il s'arrêta devant un appartement qui lui semblait vide, et tendit l'oreille, pas un son... Bien. De sa poche, il sortit de quoi forcer la serrure sans lui laisser le moindre dommage, ses mains gantées ne l'aidaient pas mais il avait l'habitude maintenant. Au bout de quelques secondes la porte s'ouvrit et il entra, il referma derrière lui sans la verrouiller, et en profita pour baisser son masque. L'appartement était cosy, et il sorti son téléphone pour prendre quelques clichés. En marchant à reculons pour avoir l'ensemble du système télé et hifi sur une photo, il bouscula un meuble sur lequel se tenait une pile de livres qui tomba en faisant un fracas énorme, lui arrachant de nombreux jurons en japonais.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Mar 26 Sep 2017 - 20:44 Citer EditerSupprimer
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Plongé dans un silence sans fin, je me demande si un jour, l'appartement pourra retrouver ses jours heureux et brillants. Même quand mon mari rentre du travail, il n'a aucune once de vie. Nous sommes devenus des machines sans conversation, non dôtées de la parole. Ainsi, les seuls bruits que l'on peut entendre ici, c'est celui de mes doigts qui tapent sur le clavier, des coups de ciseaux et de mes soupirs de fatigue. J'aurais pu mettre un peu de musique mais parfois celle-ci a un effet néfaste sur ma concentration. Jetant un coup d'oeil sur l'heure affichée depuis mon ordinateur, je lève les yeux au ciel. Parfois, j'aimerais avoir un autre appartement juste pour avoir un autre rythme de travail. Quoi que, la routine métro boulot dodo n'est pas forcément la plus charmante. Ici, j'ai la chance de pouvoir grignoter quand je le souhaite. La cuisine est à portée de mains. D'ailleurs, c'est un sourire en coin qui se dessine sur mes lèvres à cette pensée. A défaut d'avoir un bébé dans le ventre, je pourrais toujours prendre des formes autrement... Quelle ironie ! Cette fois-ci, c'est un soupir qui s'échappe de mes lèvres et je finis, d'un air blasé, à reprendre du service. J'ai beau avoir des défauts, je sais faire preuve de sérieux. Malheureusement, même avec toute la volonté du monde, je ne peux pas ignorer le bruit sourd qui résonne dans l'appartement voisin. Je suis surprise, pas forcément habituée à ce type de bordel dans cet immeuble. Piquée par la curiosité, je préfère quand même m'assurer que tout va bien. Après avoir refermé la porte de mon logement, je frappe à celle du voisin. " Madame Kim, vous êtes là ? " Les drames sont si vite arrivés. En plus, ça m'étonne de la savoir ici Généralement, une bonne partie de l'immeuble travaille à cette heure-ci ou sont tout simplement en vadrouilles. Du coup, je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Enfin, on ne pourra pas dire que je ne suis pas une bonne citoyenne, hein...
☆☆☆ Beerus
la main dans le sac
Plongé dans un silence sans fin, je me demande si un jour, l'appartement pourra retrouver ses jours heureux et brillants. Même quand mon mari rentre du travail, il n'a aucune once de vie. Nous sommes devenus des machines sans conversation, non dôtées de la parole. Ainsi, les seuls bruits que l'on peut entendre ici, c'est celui de mes doigts qui tapent sur le clavier, des coups de ciseaux et de mes soupirs de fatigue. J'aurais pu mettre un peu de musique mais parfois celle-ci a un effet néfaste sur ma concentration. Jetant un coup d'oeil sur l'heure affichée depuis mon ordinateur, je lève les yeux au ciel. Parfois, j'aimerais avoir un autre appartement juste pour avoir un autre rythme de travail. Quoi que, la routine métro boulot dodo n'est pas forcément la plus charmante. Ici, j'ai la chance de pouvoir grignoter quand je le souhaite. La cuisine est à portée de mains. D'ailleurs, c'est un sourire en coin qui se dessine sur mes lèvres à cette pensée. A défaut d'avoir un bébé dans le ventre, je pourrais toujours prendre des formes autrement... Quelle ironie ! Cette fois-ci, c'est un soupir qui s'échappe de mes lèvres et je finis, d'un air blasé, à reprendre du service. J'ai beau avoir des défauts, je sais faire preuve de sérieux. Malheureusement, même avec toute la volonté du monde, je ne peux pas ignorer le bruit sourd qui résonne dans l'appartement voisin. Je suis surprise, pas forcément habituée à ce type de bordel dans cet immeuble. Piquée par la curiosité, je préfère quand même m'assurer que tout va bien. Après avoir refermé la porte de mon logement, je frappe à celle du voisin. " Madame Kim, vous êtes là ? " Les drames sont si vite arrivés. En plus, ça m'étonne de la savoir ici Généralement, une bonne partie de l'immeuble travaille à cette heure-ci ou sont tout simplement en vadrouilles. Du coup, je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Enfin, on ne pourra pas dire que je ne suis pas une bonne citoyenne, hein...
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Lun 2 Oct 2017 - 10:59 Citer EditerSupprimer
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Wearing | Ce n'était pas une première pour Rei, des missions du genre, il en avait eu souvent. Déjà avant son incarcération il faisait des jobs pas très propre histoire de payer ses antidouleurs. Problème, depuis sa sortie, les cachets qu'il consommait avant ne lui suffisait plus, il lui en fallait toujours plus et il lui fallait des choses plus fortes. Le problème pour lui était que ce genre de substances étaient plus coûteuses encore. Alors il multipliait ses petites missions de « mercenaires », des jobs sales, pas très glorieux, mais qui au moins lui permettait d'assouvir ses besoins de junkie. Et malgré le fait d'être un habitué, ça ne l'avait pas empêché de faire un faux pas sur ce coup. C'est qu'il n'avait pas vu cette foutue pile de livres, et ça foutait quoi là ce truc ?! Le cœur battant la chamade, la respiration presque chaotique, il se mit en pause quelques secondes, attendant de voir ce qu'il se passait. Après quelques secondes, il se pensait tiré d'affaire jusqu'à ce qu'on frappe à la porte. « Fait chier putain... » Ragea-t-il tout bas dans sa langue natale. Il réfléchit à toutes les options qui s'offraient à lui. Il scanna de l’œil tout l'appartement, ses méninges anesthésiées marchant à tout va. Finalement, il rangea le masque qui cachait le bas de son visage dans sa poche, et replaça sa casquette sur sa tête pour qu'elle cache ses yeux et surtout cache le haut de son faciès. Il ouvrit la porte, gardant les yeux baissés. « Bonjour, Madame Kim n'est pas là, je suis un envoyé pas la société de désinfection pour un devis, certains habitants se sont plaints de la présence de cafards dans l'immeuble. » Il aurait presque éclaté de rire à l'idée que le seul cafard présent dans l'immédiat était lui-même. Mais il avait parlé le plus sérieusement possible, essayant de sonner le plus professionnel possible et donc d'être le plus crédible. Car c'était bien là la seule excuse qui lui était venue. Il releva un instant les yeux et les rebaissa rapidement après les avoir posé sur le visage de la femme en face de lui, il lui disait quelque chose, mais quoi ? Manquerait plus qu'ils se connaissent bordel...
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Wearing | Ce n'était pas une première pour Rei, des missions du genre, il en avait eu souvent. Déjà avant son incarcération il faisait des jobs pas très propre histoire de payer ses antidouleurs. Problème, depuis sa sortie, les cachets qu'il consommait avant ne lui suffisait plus, il lui en fallait toujours plus et il lui fallait des choses plus fortes. Le problème pour lui était que ce genre de substances étaient plus coûteuses encore. Alors il multipliait ses petites missions de « mercenaires », des jobs sales, pas très glorieux, mais qui au moins lui permettait d'assouvir ses besoins de junkie. Et malgré le fait d'être un habitué, ça ne l'avait pas empêché de faire un faux pas sur ce coup. C'est qu'il n'avait pas vu cette foutue pile de livres, et ça foutait quoi là ce truc ?! Le cœur battant la chamade, la respiration presque chaotique, il se mit en pause quelques secondes, attendant de voir ce qu'il se passait. Après quelques secondes, il se pensait tiré d'affaire jusqu'à ce qu'on frappe à la porte. « Fait chier putain... » Ragea-t-il tout bas dans sa langue natale. Il réfléchit à toutes les options qui s'offraient à lui. Il scanna de l’œil tout l'appartement, ses méninges anesthésiées marchant à tout va. Finalement, il rangea le masque qui cachait le bas de son visage dans sa poche, et replaça sa casquette sur sa tête pour qu'elle cache ses yeux et surtout cache le haut de son faciès. Il ouvrit la porte, gardant les yeux baissés. « Bonjour, Madame Kim n'est pas là, je suis un envoyé pas la société de désinfection pour un devis, certains habitants se sont plaints de la présence de cafards dans l'immeuble. » Il aurait presque éclaté de rire à l'idée que le seul cafard présent dans l'immédiat était lui-même. Mais il avait parlé le plus sérieusement possible, essayant de sonner le plus professionnel possible et donc d'être le plus crédible. Car c'était bien là la seule excuse qui lui était venue. Il releva un instant les yeux et les rebaissa rapidement après les avoir posé sur le visage de la femme en face de lui, il lui disait quelque chose, mais quoi ? Manquerait plus qu'ils se connaissent bordel...
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Dim 15 Oct 2017 - 13:54 Citer EditerSupprimer
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Un soupçon d'angoisse pourrait frapper à la porte comme je viens de le faire. Par chance, celui-ci s'échappe aussitôt. Mes pensées sont à des années-lumières d'une possible agression. En effet, j'envisage plutôt des problèmes de santé. Il est facile de tomber sous un stress intensif ou tout simplement de s'évanouir par manque de quelque chose. Je ne connais pas spécialement ma voisine mais elle est plutôt maigre, un peu trop malgré les normes de notre pays. C'est donc avec un sentiment soucieux que je m'évertue à prendre des nouvelles en signalant ma présence et mon identité. Malheureusement, je ne parviens pas à être satisfaite quand je n'entends rien à retour jusqu'au moment où je vois un homme relativement grand ouvrir faiblement la porte. Instinctivement, mon regard cherche croiser à le sien. C'est sans compter sur cette casquette qui semble écraser sa cervelle. Fronçant un sourcil, je me demande l'intérêt de porter un tel accessoire dans un lieu clos. Je ne vois même pas à un sens esthétique. Ce noir le rend juste plus sombre. Oui, belle image. Je lâche un simple " Ah. " Je reste assez surprise. " Etonnant qu'elle ne m'ait pas demandé de venir. " Je ne laisserai pas un inconnu entrer dans mon appartement sans surveillance. Je suis peut-être trop méfiante comme fille. Relâchant les épaules, je commence à faire demi-tour, crédule avant de me retourner et de lui dire de but en blanc. " Excusez-moi. Mais pourquoi n'ai-je pas été avertie ? Je suis juste à l'appartement d'en face. Et je ne sais pas, ça se reproduit très vite non ? " Plus que toi en tout cas, Bora mais au moins je ne fais pas partie de la sale vermine.
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Un soupçon d'angoisse pourrait frapper à la porte comme je viens de le faire. Par chance, celui-ci s'échappe aussitôt. Mes pensées sont à des années-lumières d'une possible agression. En effet, j'envisage plutôt des problèmes de santé. Il est facile de tomber sous un stress intensif ou tout simplement de s'évanouir par manque de quelque chose. Je ne connais pas spécialement ma voisine mais elle est plutôt maigre, un peu trop malgré les normes de notre pays. C'est donc avec un sentiment soucieux que je m'évertue à prendre des nouvelles en signalant ma présence et mon identité. Malheureusement, je ne parviens pas à être satisfaite quand je n'entends rien à retour jusqu'au moment où je vois un homme relativement grand ouvrir faiblement la porte. Instinctivement, mon regard cherche croiser à le sien. C'est sans compter sur cette casquette qui semble écraser sa cervelle. Fronçant un sourcil, je me demande l'intérêt de porter un tel accessoire dans un lieu clos. Je ne vois même pas à un sens esthétique. Ce noir le rend juste plus sombre. Oui, belle image. Je lâche un simple " Ah. " Je reste assez surprise. " Etonnant qu'elle ne m'ait pas demandé de venir. " Je ne laisserai pas un inconnu entrer dans mon appartement sans surveillance. Je suis peut-être trop méfiante comme fille. Relâchant les épaules, je commence à faire demi-tour, crédule avant de me retourner et de lui dire de but en blanc. " Excusez-moi. Mais pourquoi n'ai-je pas été avertie ? Je suis juste à l'appartement d'en face. Et je ne sais pas, ça se reproduit très vite non ? " Plus que toi en tout cas, Bora mais au moins je ne fais pas partie de la sale vermine.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Mar 17 Oct 2017 - 14:51 Citer EditerSupprimer
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Wearing | S'il se faisait chopper, il retournerait en taule. Étrangement, ça ne lui faisait pas peur, il était déconnecté de ces émotions, de ce qui pourrait le retenir. Pourtant cette réalité ne le quittait pas, il savait qu'il ne devait pas se faire prendre, il savait très bien la menace qui pesait au dessus de sa tête. Et pourtant, il n'avait pas peur. Un léger stress peut-être, mais tellement, tellement, d’adrénaline. Le plan qui lui était venu à l'esprit n'était pas des plus brillants, dans le rush c'est tout ce qui lui était venu. Il comptait bien sur sa gouaille pour se défaire de cette situation, c'était dans ce genre de moment qu'il fallait savoir bluffer. Face à la jeune femme, il parlait avec toute l'assurance qu'il possédait, sonnant le plus crédible possible. « Elle s'est arrangée avec l'entreprise, il n'y avait pas de raison de vous contacter. » Et puis, dans quel monde les voisins se prévenaient pour ci et pour ça ? Surtout dans un immeuble comme celui-là, comment les gens pouvaient-ils se connaître ? Il pouvait se balader dans les couloirs, dire qu'il vivait ici et on le croirait, il était impossible de connaître tout le monde. Il allait s'excuser, prétendre qu'il avait du travail pour refermer la porte mais elle ne le laissa pas partir. « C'est qu'une vérification pour le moment, on est pas certain que y en a. Si c'est le cas, on placera de quoi s'en débarrasser et vous serez avertie aussi, après inspection de votre appartement. » Il se força à sourire, essayant de jouer les hommes un peu commercial pour répondre au besoin d'une quelconque entreprise. Un employé ferait quoi dans cette situation, claquer la porte au nez ne semblait pas une bonne option, à moins qu'il veuille éveiller les soupçons. « Si vous avez des doutes, je passerais juste après. Vous êtes l'appartement d'à côté ? C'est noté. Au revoir madame. » Un autre sourire forcé, essayant d'avoir l'air aimable. Pour lui, c'était là un moyen de mettre fin à cette conversation. Il se pencha pour attraper la poignée de la porte pour pouvoir la fermer, révélant un peu plus de son visage par ce mouvement.
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Wearing | S'il se faisait chopper, il retournerait en taule. Étrangement, ça ne lui faisait pas peur, il était déconnecté de ces émotions, de ce qui pourrait le retenir. Pourtant cette réalité ne le quittait pas, il savait qu'il ne devait pas se faire prendre, il savait très bien la menace qui pesait au dessus de sa tête. Et pourtant, il n'avait pas peur. Un léger stress peut-être, mais tellement, tellement, d’adrénaline. Le plan qui lui était venu à l'esprit n'était pas des plus brillants, dans le rush c'est tout ce qui lui était venu. Il comptait bien sur sa gouaille pour se défaire de cette situation, c'était dans ce genre de moment qu'il fallait savoir bluffer. Face à la jeune femme, il parlait avec toute l'assurance qu'il possédait, sonnant le plus crédible possible. « Elle s'est arrangée avec l'entreprise, il n'y avait pas de raison de vous contacter. » Et puis, dans quel monde les voisins se prévenaient pour ci et pour ça ? Surtout dans un immeuble comme celui-là, comment les gens pouvaient-ils se connaître ? Il pouvait se balader dans les couloirs, dire qu'il vivait ici et on le croirait, il était impossible de connaître tout le monde. Il allait s'excuser, prétendre qu'il avait du travail pour refermer la porte mais elle ne le laissa pas partir. « C'est qu'une vérification pour le moment, on est pas certain que y en a. Si c'est le cas, on placera de quoi s'en débarrasser et vous serez avertie aussi, après inspection de votre appartement. » Il se força à sourire, essayant de jouer les hommes un peu commercial pour répondre au besoin d'une quelconque entreprise. Un employé ferait quoi dans cette situation, claquer la porte au nez ne semblait pas une bonne option, à moins qu'il veuille éveiller les soupçons. « Si vous avez des doutes, je passerais juste après. Vous êtes l'appartement d'à côté ? C'est noté. Au revoir madame. » Un autre sourire forcé, essayant d'avoir l'air aimable. Pour lui, c'était là un moyen de mettre fin à cette conversation. Il se pencha pour attraper la poignée de la porte pour pouvoir la fermer, révélant un peu plus de son visage par ce mouvement.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Sam 28 Oct 2017 - 21:34 Citer EditerSupprimer
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Un léger doute plane dans l'air. D'habitude, on s'arrange souvent pour être présent dans ce type de situations ou on demande l'intervention d'une de nos connaissances pour surveiller les travaux. Puis, en y réfléchissant, je me dis qu'elle n'était pas à l'aise d'avouer des petits soucis de nuisible. Les gens ont tendance à s'imaginer un appartement sale, un mode de vie exécrable. Et j'ai beau la connaître un petit peu, peut-être qu'elle n'a pas non plus osé me déranger pour une fausse alerte. Du moins, c'est ce que me fait comprendre le professionnel. Une vérification ? Pendant un court instant, je tente de me rappeler si j'ai vu une quelconque trace de présence mais rien ne me vient. Aucun signe de mon côté, aucun dans l'immeuble. Madame Kim doit vraiment avoir une certaine malchance. Je hausse furtivement les épaules et laisse la curiosité prendre place: " Vous allez devoir vérifier l'ensemble de l'immeuble avant de nous prévenir ? " Ma moue se veut plus boudeuse. On serait obligé de fonctionner avec sa boîte ? Vu le manque de politesse de ce jeune homme, je me permets de douter également de leurs compétences. En plus, il décide quasiment de me fermer la porte au nez. J'ai bien compris que je le dérangeais, et bizarrement, c'est ce qui m'étonne encore plus. Il aurait pu gagner ma confiance en cinq minutes. Maintenant, j'ai du mal à lui lâcher la grappe jusqu'au moment où j'aperçois une partie de son visage. Mais ? Arquant un sourcil, une mine étonnée prend possession du mien. " Excusez.. " Je ne finis pas ma phrase car je suis trop occupée à stopper cette porte qui tend à se fermer. Il ne prendrait plus la peine de me répondre si c'était le cas. " Vous pouvez retirer cette casquette s'il vous plaît ? Je serais ravie de dire à quel point Mme Kim a raté la venue d'un beau mec. " Ou pas. En vrai, la tête de cet homme me dit quelque chose. Ou suis-je folle. Il faut dire que celui auquel je pense a eu le don de me torturer l'esprit, d'une manière particulière.
☆☆☆ Beerus
la main dans le sac
Un léger doute plane dans l'air. D'habitude, on s'arrange souvent pour être présent dans ce type de situations ou on demande l'intervention d'une de nos connaissances pour surveiller les travaux. Puis, en y réfléchissant, je me dis qu'elle n'était pas à l'aise d'avouer des petits soucis de nuisible. Les gens ont tendance à s'imaginer un appartement sale, un mode de vie exécrable. Et j'ai beau la connaître un petit peu, peut-être qu'elle n'a pas non plus osé me déranger pour une fausse alerte. Du moins, c'est ce que me fait comprendre le professionnel. Une vérification ? Pendant un court instant, je tente de me rappeler si j'ai vu une quelconque trace de présence mais rien ne me vient. Aucun signe de mon côté, aucun dans l'immeuble. Madame Kim doit vraiment avoir une certaine malchance. Je hausse furtivement les épaules et laisse la curiosité prendre place: " Vous allez devoir vérifier l'ensemble de l'immeuble avant de nous prévenir ? " Ma moue se veut plus boudeuse. On serait obligé de fonctionner avec sa boîte ? Vu le manque de politesse de ce jeune homme, je me permets de douter également de leurs compétences. En plus, il décide quasiment de me fermer la porte au nez. J'ai bien compris que je le dérangeais, et bizarrement, c'est ce qui m'étonne encore plus. Il aurait pu gagner ma confiance en cinq minutes. Maintenant, j'ai du mal à lui lâcher la grappe jusqu'au moment où j'aperçois une partie de son visage. Mais ? Arquant un sourcil, une mine étonnée prend possession du mien. " Excusez.. " Je ne finis pas ma phrase car je suis trop occupée à stopper cette porte qui tend à se fermer. Il ne prendrait plus la peine de me répondre si c'était le cas. " Vous pouvez retirer cette casquette s'il vous plaît ? Je serais ravie de dire à quel point Mme Kim a raté la venue d'un beau mec. " Ou pas. En vrai, la tête de cet homme me dit quelque chose. Ou suis-je folle. Il faut dire que celui auquel je pense a eu le don de me torturer l'esprit, d'une manière particulière.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Lun 6 Nov 2017 - 18:15 Citer EditerSupprimer
la main dans le sac
Wearing | Plus les minutes passaient, plus le japonais se rendait compte que son mensonge était quand même assez fumeux. Il ne savait pas trop comment se déroulait ce genre d’intervention en réalité, il n’avait jamais fait attention à ça dans son propre immeuble. Alors ses propos devaient être approximatifs voire complètement erronés. Il espérait avoir quelqu’un qui s’y connaissait aussi mal que lui en face de lui. Mais il fallait juste un peu de bon sens… Bon sens que Rei n’avait pas avec tout ce qui courrait dans ses veines à l’heure actuelle. « Non je vérifie seulement les appartements pour lesquels il y a un signalement, vous n’êtes visiblement pas sur le liste, donc pas d’inquiétude à avoir. » Après quelques autres banalités, il espérait pouvoir fermer la porte, finir son repérage et s’éclipser. Dommage pour lui que ce soit arriver dans le premier appartement de cet immeuble, mais il avait eu la chance d’en visiter d’autres, il ne rentrait pas bredouille. Mais ça aurait été trop simple, il n’était pas connu pour avoir de la chance. Alors que la porte était presque fermée, la jeune femme la bloqua, et Rei prit sur lui pour ne pas devenir désagréable, surtout que sa demande… Les craintes du japonais se confirmaient, ils s’étaient déjà croisés. « C’est gentil Madame mais j’ai du travail. Ce genre de commentaires et comportements pourraient m’attirer des problèmes vous savez. » Comme si. Dans un autre contexte, il l’aurait sans doute matée ouvertement. Il se pencha de nouveau pour fermer la porte, révélant une nouvelle fois une partie de son visage à la jeune femme. Mais cette dernière l’en empêcha une nouvelle fois, n’ayant pas défait la prise qu’elle avait sur la porte jusque-là. « Vous permettez ? » Les alarmes allaient bon train dans la tête de Rei, ça sentait le roussi… C’était bien sa veine.
☆☆☆ Beerus
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Wearing | Plus les minutes passaient, plus le japonais se rendait compte que son mensonge était quand même assez fumeux. Il ne savait pas trop comment se déroulait ce genre d’intervention en réalité, il n’avait jamais fait attention à ça dans son propre immeuble. Alors ses propos devaient être approximatifs voire complètement erronés. Il espérait avoir quelqu’un qui s’y connaissait aussi mal que lui en face de lui. Mais il fallait juste un peu de bon sens… Bon sens que Rei n’avait pas avec tout ce qui courrait dans ses veines à l’heure actuelle. « Non je vérifie seulement les appartements pour lesquels il y a un signalement, vous n’êtes visiblement pas sur le liste, donc pas d’inquiétude à avoir. » Après quelques autres banalités, il espérait pouvoir fermer la porte, finir son repérage et s’éclipser. Dommage pour lui que ce soit arriver dans le premier appartement de cet immeuble, mais il avait eu la chance d’en visiter d’autres, il ne rentrait pas bredouille. Mais ça aurait été trop simple, il n’était pas connu pour avoir de la chance. Alors que la porte était presque fermée, la jeune femme la bloqua, et Rei prit sur lui pour ne pas devenir désagréable, surtout que sa demande… Les craintes du japonais se confirmaient, ils s’étaient déjà croisés. « C’est gentil Madame mais j’ai du travail. Ce genre de commentaires et comportements pourraient m’attirer des problèmes vous savez. » Comme si. Dans un autre contexte, il l’aurait sans doute matée ouvertement. Il se pencha de nouveau pour fermer la porte, révélant une nouvelle fois une partie de son visage à la jeune femme. Mais cette dernière l’en empêcha une nouvelle fois, n’ayant pas défait la prise qu’elle avait sur la porte jusque-là. « Vous permettez ? » Les alarmes allaient bon train dans la tête de Rei, ça sentait le roussi… C’était bien sa veine.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Jeu 7 Déc 2017 - 12:58 Citer EditerSupprimer
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Je ne suis pas une professionnelle dans le domaine. Qui s’intéresse à la reproduction des nuisibles de nos jours ? Je ne veux pas me moquer de sa vocation mais disons juste que leur procédure m’étonne un peu. Aucune annonce n’a été faite dans l’immeuble. Je peux comprendre qu’il n’est pas facile de dire à tout le monde qu’il y a des cafards, surtout ici, mais cela n’est pas synonyme de taudis. Du coup, je ne comprends pas pourquoi il ne ferait pas attention aux appartements voisins. Enfin, je suppose que je ne peux pas lui faire la leçon. J’entends comme une once d’impatience dans sa voix. Je n’ai plus qu’à le laisser tranquille mais c’est sans compter sur son mouvement de tête qu’il me permet de découvrir une partie de son visage. Sa casquette vissée sur ce dernier aurait dû lui permettre une certaine sécurité. Et d’ailleurs, c’est pour cette raison que je finis par prendre le taureau par les cornes en plaquant ma main contre la porte. Cela aurait pu être un peu plus sauvage mais j’ai dû réagir vite. Avec mon comportement, le jeune homme n’aurait pas pris la peine de m’ouvrir à nouveau, de toute façon. « Je n’ai rien dit d’insultant à votre égard. » Et clairement, mon compliment est clairement un moyen comme un autre pour garder son attention sur moi. Aucune arrière-pensée, qu’il soit rassuré. « Et vous, vous permettez que je rentre ? Je pourrais regarder comment vous faites et regarder si on y a laissé quelques indices dans mon logement. Ne m’en voulez pas… Je suis de nature très inquiète… Très têtue aussi. » Et je devrais apprendre à me mêler de mes affaires. Je ne sais pas dans quelle situation je suis en train de me mettre, mon petit doigt me disant qu’il s’agit tout simplement d’un imposteur.
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la main dans le sac
Je ne suis pas une professionnelle dans le domaine. Qui s’intéresse à la reproduction des nuisibles de nos jours ? Je ne veux pas me moquer de sa vocation mais disons juste que leur procédure m’étonne un peu. Aucune annonce n’a été faite dans l’immeuble. Je peux comprendre qu’il n’est pas facile de dire à tout le monde qu’il y a des cafards, surtout ici, mais cela n’est pas synonyme de taudis. Du coup, je ne comprends pas pourquoi il ne ferait pas attention aux appartements voisins. Enfin, je suppose que je ne peux pas lui faire la leçon. J’entends comme une once d’impatience dans sa voix. Je n’ai plus qu’à le laisser tranquille mais c’est sans compter sur son mouvement de tête qu’il me permet de découvrir une partie de son visage. Sa casquette vissée sur ce dernier aurait dû lui permettre une certaine sécurité. Et d’ailleurs, c’est pour cette raison que je finis par prendre le taureau par les cornes en plaquant ma main contre la porte. Cela aurait pu être un peu plus sauvage mais j’ai dû réagir vite. Avec mon comportement, le jeune homme n’aurait pas pris la peine de m’ouvrir à nouveau, de toute façon. « Je n’ai rien dit d’insultant à votre égard. » Et clairement, mon compliment est clairement un moyen comme un autre pour garder son attention sur moi. Aucune arrière-pensée, qu’il soit rassuré. « Et vous, vous permettez que je rentre ? Je pourrais regarder comment vous faites et regarder si on y a laissé quelques indices dans mon logement. Ne m’en voulez pas… Je suis de nature très inquiète… Très têtue aussi. » Et je devrais apprendre à me mêler de mes affaires. Je ne sais pas dans quelle situation je suis en train de me mettre, mon petit doigt me disant qu’il s’agit tout simplement d’un imposteur.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Sam 16 Déc 2017 - 0:20 Citer EditerSupprimer
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Wearing | La tuile. La venue de cette femme était purement et simplement une tuile. Il aurait pu s'en débarrasser facilement, mais elle semblait tenace et coriace. Avait-elle des soupçons ? Ou était-elle simplement une de ces voisines trop curieuses qu'on trouvait partout ? Il avait essayé de jouer les employés soucieux du « quand dira-t-on », d'un vrai professionnel, mais c'était tout sauf ce qu'il était vraiment, alors peut-être que cela sonnait faux. Il prenait sur lui pour ne pas devenir désagréable et lui dire de lui foutre la paix, parce que, vraiment, elle commençait à devenir lourde. Il poussa un soupir, réfléchissant toujours à comment gérer ça. Et si il ouvrait la porte d'un coup et partait en courant ? Ce serait son dernier recours, pour le moment il essayait de gratter encore un peu. « Non pas insultante, mais ce pourrait être vu comme déplacé. » Et il essaya d'insisté encore un peu pour fermer la porte, mais elle continuait de le bloquer. S'il forçait, il la blessait, et ça c'était son dernier recours au dernier recours. « Oui je vois ça... » Il voyait qu'elle était têtue. « Croyez-moi, si vous aviez une infestation chez vous, vous le sauriez. » Sa voix devenait un peu plus vive, l'agacement n'allait pas tarder à poindre. Le point de dernier recours approchait. Pourquoi ne travaillait-elle pas ? Il avait choisi ce moment de la journée parce qu'il était presque sûr que personne ne serait là... Son œil fût attirer par une bague au doigt de la jeune femme. Une femme au foyer, tout s'expliquait... Les femmes mariées coréennes, elles s'ennuyaient c'était certain. Alors celle-là devait voir à sa venue, une sorte de divertissement. N'avait-elle que ça à faire ? Il la détailla, elle n'avait pas l'air en cloque alors... « Vous avez sans doute mieux à faire. Un enfant à vous occuper, ou un petit plat à cuisiner. Laissez moi faire mon travail et allez faire le votre. Si j'ai un peu de temps je passerais chez vous. » Qu'elle dégage... Mais son ton avait perdu tout professionnalisme, son attitude aussi. La nervosité et l'agacement avaient pris le pas.
☆☆☆ Beerus
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Wearing | La tuile. La venue de cette femme était purement et simplement une tuile. Il aurait pu s'en débarrasser facilement, mais elle semblait tenace et coriace. Avait-elle des soupçons ? Ou était-elle simplement une de ces voisines trop curieuses qu'on trouvait partout ? Il avait essayé de jouer les employés soucieux du « quand dira-t-on », d'un vrai professionnel, mais c'était tout sauf ce qu'il était vraiment, alors peut-être que cela sonnait faux. Il prenait sur lui pour ne pas devenir désagréable et lui dire de lui foutre la paix, parce que, vraiment, elle commençait à devenir lourde. Il poussa un soupir, réfléchissant toujours à comment gérer ça. Et si il ouvrait la porte d'un coup et partait en courant ? Ce serait son dernier recours, pour le moment il essayait de gratter encore un peu. « Non pas insultante, mais ce pourrait être vu comme déplacé. » Et il essaya d'insisté encore un peu pour fermer la porte, mais elle continuait de le bloquer. S'il forçait, il la blessait, et ça c'était son dernier recours au dernier recours. « Oui je vois ça... » Il voyait qu'elle était têtue. « Croyez-moi, si vous aviez une infestation chez vous, vous le sauriez. » Sa voix devenait un peu plus vive, l'agacement n'allait pas tarder à poindre. Le point de dernier recours approchait. Pourquoi ne travaillait-elle pas ? Il avait choisi ce moment de la journée parce qu'il était presque sûr que personne ne serait là... Son œil fût attirer par une bague au doigt de la jeune femme. Une femme au foyer, tout s'expliquait... Les femmes mariées coréennes, elles s'ennuyaient c'était certain. Alors celle-là devait voir à sa venue, une sorte de divertissement. N'avait-elle que ça à faire ? Il la détailla, elle n'avait pas l'air en cloque alors... « Vous avez sans doute mieux à faire. Un enfant à vous occuper, ou un petit plat à cuisiner. Laissez moi faire mon travail et allez faire le votre. Si j'ai un peu de temps je passerais chez vous. » Qu'elle dégage... Mais son ton avait perdu tout professionnalisme, son attitude aussi. La nervosité et l'agacement avaient pris le pas.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Dim 24 Déc 2017 - 15:33 Citer EditerSupprimer
la main dans le sac
Je serre les dents pour empêcher une quelconque explosion, verbale ou physique. Une femme au foyer, qui dans ce cas précis, n'a aucun enfant à charge, ne devrait pas être sous-estimée. C'est que j'ai l'occasion de regarder la télévision pendant mes pauses de travail et clairement, j'en ai vu des dramas sans aucun sens. Je pourrais éclater de rire à cette pensée mais mon petit doigt que je suis sur la bonne piste. Je ne peux pas non plus agir de manière irraisonnable et vu mon immeuble, je ne pourrais pas crier au feu pour qu'on puisse venir me secourir. Relâchant finalement la pression sur la porte, je passe furtivement un coup sur mon pantalon comme si je tenais à supprimer toute trace de nuisible comme lui. C'est qu'il a touché cette porte avant moi, ce petit. Je ne voudrais pas finir contaminer par cet enfoiré. " Je manque à tout mes devoirs. " Je lui adresse un sourire hypocrite avant de reculer d'un pas. " Merci pour votre coopération. Vous venez de me rappeler la mère indigne que je suis. Hihi, vous connaîtrez ça plus tard. C'est tout le temps agités et parfois on serait pas contre un bon verre de vin pour nous détendre. " J'aurais pu rigoler comme une vieille mégère mais je serais ravie qu'il me considère comme tel. En effet, dès qu'il aura refermé la porte, je pourrais appeler les flics sans le tarder. Ce qui est bien, c'est que je pourrais clairement le surveiller. Maintenant que j'ai vu la moitié de son visage, ça sera un avantage pour un signalement. " Excusez-moi. Et bonne journée. " Je fais demi-tour et m'approche de mon appartement, sans manquer de jeter un dernier coup d'oeil vers lui. Ca serait con qu'il suspecte quelque chose lui aussi.
☆☆☆ Beerus
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Je serre les dents pour empêcher une quelconque explosion, verbale ou physique. Une femme au foyer, qui dans ce cas précis, n'a aucun enfant à charge, ne devrait pas être sous-estimée. C'est que j'ai l'occasion de regarder la télévision pendant mes pauses de travail et clairement, j'en ai vu des dramas sans aucun sens. Je pourrais éclater de rire à cette pensée mais mon petit doigt que je suis sur la bonne piste. Je ne peux pas non plus agir de manière irraisonnable et vu mon immeuble, je ne pourrais pas crier au feu pour qu'on puisse venir me secourir. Relâchant finalement la pression sur la porte, je passe furtivement un coup sur mon pantalon comme si je tenais à supprimer toute trace de nuisible comme lui. C'est qu'il a touché cette porte avant moi, ce petit. Je ne voudrais pas finir contaminer par cet enfoiré. " Je manque à tout mes devoirs. " Je lui adresse un sourire hypocrite avant de reculer d'un pas. " Merci pour votre coopération. Vous venez de me rappeler la mère indigne que je suis. Hihi, vous connaîtrez ça plus tard. C'est tout le temps agités et parfois on serait pas contre un bon verre de vin pour nous détendre. " J'aurais pu rigoler comme une vieille mégère mais je serais ravie qu'il me considère comme tel. En effet, dès qu'il aura refermé la porte, je pourrais appeler les flics sans le tarder. Ce qui est bien, c'est que je pourrais clairement le surveiller. Maintenant que j'ai vu la moitié de son visage, ça sera un avantage pour un signalement. " Excusez-moi. Et bonne journée. " Je fais demi-tour et m'approche de mon appartement, sans manquer de jeter un dernier coup d'oeil vers lui. Ca serait con qu'il suspecte quelque chose lui aussi.
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