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1, 2La main dans le sac feat. Kwak Bora
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Lun 15 Jan - 18:31 
la main dans le sac
Wearing | « C'est ça bonne journée... » Il ne savait pas s'il avait dit les bonnes choses, s'il avait fait les bonnes choses aussi pour que cette femme s'en aille. Mais il ne pouvait pas se permettre de se faire pincer. Pas tout de suite après être sorti de taule. Les juges seraient trop prompts à le remettre derrière les barreaux ou à le renvoyer au Japon. Dans son pays natal, les journaux se régaleraient trop de l'histoire de sa vie. Lui qui avait été l'espoir du Taekwondo, une star montante du sport à haut niveau, être un toxico et un criminel ? Ces ragots étaient bien trop juteux pour que les journalistes aient pitié, il n'en demandait pas de toute façon. Mais il ne supporterait pas d'être confronté à ce qu'il avait été et ce qu'il était devenu. Alors il regarda cette presque inconnue d'un air dubitatif alors qu'elle parlait. Son rire et son sourire sonnaient faux, quelque chose dans son regard le dérangeait. Il la laissa s'éloigner, mais en quelques secondes son corps se remit en route, à défaut de son cerveau. Comme sur « pilote automatique » il sortit un mouchoir de sa poche et essuya la poignée qu'il avait touché de ses mains nues. Il renfila ses gants en cuir noir d'un geste vif et sortit précipitamment. La porte claqua derrière lui, et il savait qu'il ne remettrait pas les pieds là-dedans. La chance sembla avoir tourné un peu en sa faveur, la jeune femme n'était pas encore rentrée dans son appartement, comme si elle avait traîné pour le surveiller encore un peu. « C'est pas la peine d'appeler la police. J'm'en vais et j'n'ai rien volé. » Plus besoin de faire semblant, il était certain qu'il avait été démasqué, le regard de la jeune femme en disait long sur ce qu'elle avait pensé de leur échange. Il gardait la tête assez baissée pour qu'on ne voit pas son visage sur les écrans de sécurité, mais pas trop pour qu'elle puisse le voir un minimum. « Vous êtes la femme de la pharmacie. » Il ne saurait dire si c'était la façon dont elle parlait ou la façon dont elle l'avait regardé, mais ça avait fini par faire tilt dans la tête de Rei. « Vous me porter la poisse. » La deuxième entrevue confirmait bien ça.
☆☆☆ Beerus
la main dans le sac
Wearing | « C'est ça bonne journée... » Il ne savait pas s'il avait dit les bonnes choses, s'il avait fait les bonnes choses aussi pour que cette femme s'en aille. Mais il ne pouvait pas se permettre de se faire pincer. Pas tout de suite après être sorti de taule. Les juges seraient trop prompts à le remettre derrière les barreaux ou à le renvoyer au Japon. Dans son pays natal, les journaux se régaleraient trop de l'histoire de sa vie. Lui qui avait été l'espoir du Taekwondo, une star montante du sport à haut niveau, être un toxico et un criminel ? Ces ragots étaient bien trop juteux pour que les journalistes aient pitié, il n'en demandait pas de toute façon. Mais il ne supporterait pas d'être confronté à ce qu'il avait été et ce qu'il était devenu. Alors il regarda cette presque inconnue d'un air dubitatif alors qu'elle parlait. Son rire et son sourire sonnaient faux, quelque chose dans son regard le dérangeait. Il la laissa s'éloigner, mais en quelques secondes son corps se remit en route, à défaut de son cerveau. Comme sur « pilote automatique » il sortit un mouchoir de sa poche et essuya la poignée qu'il avait touché de ses mains nues. Il renfila ses gants en cuir noir d'un geste vif et sortit précipitamment. La porte claqua derrière lui, et il savait qu'il ne remettrait pas les pieds là-dedans. La chance sembla avoir tourné un peu en sa faveur, la jeune femme n'était pas encore rentrée dans son appartement, comme si elle avait traîné pour le surveiller encore un peu. « C'est pas la peine d'appeler la police. J'm'en vais et j'n'ai rien volé. » Plus besoin de faire semblant, il était certain qu'il avait été démasqué, le regard de la jeune femme en disait long sur ce qu'elle avait pensé de leur échange. Il gardait la tête assez baissée pour qu'on ne voit pas son visage sur les écrans de sécurité, mais pas trop pour qu'elle puisse le voir un minimum. « Vous êtes la femme de la pharmacie. » Il ne saurait dire si c'était la façon dont elle parlait ou la façon dont elle l'avait regardé, mais ça avait fini par faire tilt dans la tête de Rei. « Vous me porter la poisse. » La deuxième entrevue confirmait bien ça.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Sam 20 Jan - 11:05 
la main dans le sac
Sans l'ombre d'un doute, je me retourne pour rejoindre mon appartement. Jouer la potiche ne me ressemble pas vraiment. Je n'ai jamais eu à user d'un tel comportement jusqu'à aujourd'hui. Du coup, j'ai peur de lui avoir mis la puce à l'oreille. Pourtant, il est trop tard pour faire demi-tour. Dès que j'ai eu le cran de frapper à cette porte, je m'attendais à être confronté au pire mais au fond, même les plus grandes préparations peuvent être inutiles. Nous ne sommes pas tous des saints. Si j'étais un peu fière de mon manège, j'espère juste que je ne vais pas en payer le prix fort. Mes formules de politesse étaient peut-être trop exagérées quand on se rappelle du ton de notre conversation. Ainsi, je serre les dents quand, sans même enlever sa maudite casquette, le jeune homme commence à dévoiler son jeu. Il s'en va. Il va juste s'en aller mais est-ce que je devrais lui donner cette chance ? S'il ne se fait pas taper sur les doigts, il fera preuve de plus d'agilité pour son prochain coup. Je ne suis pas sûre de vouloir être complice de ses futures tentatives, de près ou de loin. J'aurais peut-être dû réfléchir avant d'agir. Je me sentirais bien plus en sécurité alors que l'excitation qui faisait battre mon coeur se fait la malle au fil des secondes, me donnant un goût amer. J'en deviens maso et idiote à force de rechercher un truc que je n'ai plus dans ma vie. Tentant de lutter contre une décomposition faciale, je regarde finalement le jeune homme. " Je ne suis pas pharmacienne. " Mais, j'ai cette lumière dans le regard qui me trahit. Je lâche finalement ce foutu soupir comme si je m’apprêtais à passer aux aveux. Ce type m'étonne et je ne sais pas quoi lui répondre. Qu'est-ce qu'il attendait de moi ? Qu'est-ce que ça peut lui foutre ? C'est vrai quoi ! Pour un inconnu cambrioleur, il a découvert plus de choses sur mon intimité que sur celle de ma voisine. Je ne vais pas non plus lui demander pardon... " Vous vous attendez à des excuses ? " Je ris jaune et surenchéris: " Si c'est ça qui vous retient de partir, je risque de vous faire perdre encore plus de temps. "
☆☆☆ Beerus
la main dans le sac
Sans l'ombre d'un doute, je me retourne pour rejoindre mon appartement. Jouer la potiche ne me ressemble pas vraiment. Je n'ai jamais eu à user d'un tel comportement jusqu'à aujourd'hui. Du coup, j'ai peur de lui avoir mis la puce à l'oreille. Pourtant, il est trop tard pour faire demi-tour. Dès que j'ai eu le cran de frapper à cette porte, je m'attendais à être confronté au pire mais au fond, même les plus grandes préparations peuvent être inutiles. Nous ne sommes pas tous des saints. Si j'étais un peu fière de mon manège, j'espère juste que je ne vais pas en payer le prix fort. Mes formules de politesse étaient peut-être trop exagérées quand on se rappelle du ton de notre conversation. Ainsi, je serre les dents quand, sans même enlever sa maudite casquette, le jeune homme commence à dévoiler son jeu. Il s'en va. Il va juste s'en aller mais est-ce que je devrais lui donner cette chance ? S'il ne se fait pas taper sur les doigts, il fera preuve de plus d'agilité pour son prochain coup. Je ne suis pas sûre de vouloir être complice de ses futures tentatives, de près ou de loin. J'aurais peut-être dû réfléchir avant d'agir. Je me sentirais bien plus en sécurité alors que l'excitation qui faisait battre mon coeur se fait la malle au fil des secondes, me donnant un goût amer. J'en deviens maso et idiote à force de rechercher un truc que je n'ai plus dans ma vie. Tentant de lutter contre une décomposition faciale, je regarde finalement le jeune homme. " Je ne suis pas pharmacienne. " Mais, j'ai cette lumière dans le regard qui me trahit. Je lâche finalement ce foutu soupir comme si je m’apprêtais à passer aux aveux. Ce type m'étonne et je ne sais pas quoi lui répondre. Qu'est-ce qu'il attendait de moi ? Qu'est-ce que ça peut lui foutre ? C'est vrai quoi ! Pour un inconnu cambrioleur, il a découvert plus de choses sur mon intimité que sur celle de ma voisine. Je ne vais pas non plus lui demander pardon... " Vous vous attendez à des excuses ? " Je ris jaune et surenchéris: " Si c'est ça qui vous retient de partir, je risque de vous faire perdre encore plus de temps. "
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Lun 5 Fév - 13:59
la main dans le sac
Wearing | Tout dans le comportement de la jeune femme confirmait à Rei qu'il avait bien fait de la suivre et d'intervenir. Elle allait appeler la police, il en était certain à présent. Autant abandonner la mission, baisser les armes et s'assurer qu'elle ne passe pas ce fichu appel, ou, au pire, qu'il ait le temps de quitter la résidence avant que la cavalerie arrive. Face à elle, le regard de l'inconnue trahissait tout, sa volonté de le dénoncer, mais aussi la crainte qu'il lui inspirait. De la crainte, c'était déjà ça, une arme qu'il pouvait utiliser. Il croisa les bras face à elle. « J'n'ai jamais dit que vous étiez pharmacienne, ne vous faites pas plus bête que vous ne l'êtes réellement. » Elle essayait de gagner du temps ? De brouiller les pistes ? Mais il avait beau avoir des substances illicites dans les veines, l'adrénaline permettait à Rei d'avoir les idées plutôt claires. « Je n'attends rien. Juste le bon moment pour m'en aller sans risque. » A comprendre, en sachant qu'il n'allait pas avoir la police qui allait le suivre dans les quelques minutes qui allaient suivre. « Je n'ai rien volé, et je n'suis pas un cambrioleur, vous n'avez rien à déclarer. Ce qui est tombé n'était pas fragile, y a pas mort d'homme. » Pas cette fois en tout cas, ce crime était tellement moindre à ce qu'il avait déjà pu faire. « J'vais m'en aller, et je n'reviendrais pas ici. Y a plus qu'à oublier tout ça. » Pour elle ce qu'elle avait vu, et pour Rei, les quelques appartements qu'il avait repéré ici. Heureusement, il avait une liste assez longue pour qu'on le remercie et le paye assez pour s'acheter de quoi se défoncer. « Vous vous en doutez je n'travaille pas seul, j'suis pas certains que mes camarades soient si compréhensifs vis à vis de vous. » Une menace oui, la peur était une arme. « Ca vous va ? » Question purement rhétorique, il s'en foutait complètement, se barrer sans finir en taule était la seule chose qui l'importait.
☆☆☆ Beerus
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Wearing | Tout dans le comportement de la jeune femme confirmait à Rei qu'il avait bien fait de la suivre et d'intervenir. Elle allait appeler la police, il en était certain à présent. Autant abandonner la mission, baisser les armes et s'assurer qu'elle ne passe pas ce fichu appel, ou, au pire, qu'il ait le temps de quitter la résidence avant que la cavalerie arrive. Face à elle, le regard de l'inconnue trahissait tout, sa volonté de le dénoncer, mais aussi la crainte qu'il lui inspirait. De la crainte, c'était déjà ça, une arme qu'il pouvait utiliser. Il croisa les bras face à elle. « J'n'ai jamais dit que vous étiez pharmacienne, ne vous faites pas plus bête que vous ne l'êtes réellement. » Elle essayait de gagner du temps ? De brouiller les pistes ? Mais il avait beau avoir des substances illicites dans les veines, l'adrénaline permettait à Rei d'avoir les idées plutôt claires. « Je n'attends rien. Juste le bon moment pour m'en aller sans risque. » A comprendre, en sachant qu'il n'allait pas avoir la police qui allait le suivre dans les quelques minutes qui allaient suivre. « Je n'ai rien volé, et je n'suis pas un cambrioleur, vous n'avez rien à déclarer. Ce qui est tombé n'était pas fragile, y a pas mort d'homme. » Pas cette fois en tout cas, ce crime était tellement moindre à ce qu'il avait déjà pu faire. « J'vais m'en aller, et je n'reviendrais pas ici. Y a plus qu'à oublier tout ça. » Pour elle ce qu'elle avait vu, et pour Rei, les quelques appartements qu'il avait repéré ici. Heureusement, il avait une liste assez longue pour qu'on le remercie et le paye assez pour s'acheter de quoi se défoncer. « Vous vous en doutez je n'travaille pas seul, j'suis pas certains que mes camarades soient si compréhensifs vis à vis de vous. » Une menace oui, la peur était une arme. « Ca vous va ? » Question purement rhétorique, il s'en foutait complètement, se barrer sans finir en taule était la seule chose qui l'importait.
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Re: La main dans le sac feat. Kwak Bora | Ven 9 Fév - 22:08
la main dans le sac
J'aurais aimé être plus rusée, j'aurais aimé faire comme les autres et ne pas intervenir. Je ne vois pas pourquoi je me suis intéressée à cette affaire, peut-être que je me sens obligée de le faire pour ma voisine. J'aurais aimé qu'on fasse la même chose pour moi, mais maintenant, je suis celle qui est dans l'embarras. Il reconnaît mon visage, connaît mon adresse et pourrait chercher mon nom sur la boîte aux lettres. D'ailleurs, est-ce qu'il a été en mesure de le retenir suite à notre première rencontre ? Pendant que je deviens muette, je tente de me rappeler à mon tour le nom inscrit sur la paperasse. Est-ce qu'il est assez professionnel pour avoir plusieurs noms ? Je me demande où il veut en venir et je serais à deux doigts de lui demander qu'il est vraiment alors ? S'il n'est pas un voleur, un gars qui se contente de rentrer dans des lieux privés ? A t-il besoin de se donner des idées de décoration ? Je comprends qu'il n'est pas du même monde que moi. Laissant mon côté langue de bois se reposer, je ne dois plus prendre de risques inutiles même si je déteste l'idée qu'il puisse me charmer tel le serpent dans Le Livre de la Jungle. Il m’hypnotise, me fait boire des mensonges pour fixer un acte unilatéral et je cède d'un signe de tête. Je ne veux pas m'aventurer dans un domaine qui sort de mes compétences. " Je suis seulement sortie pour aller chercher du courrier, pas vrai ? " C'est navrant comment ces hommes se fichent de vous menacer, comme ils sont prêts à tout. Mémoriser une adresse, un immeuble, une porte. Il n'en coûte que je vais quand même exiger certaines choses de notre syndicat ou de je ne sais quoi. Vérifiant à ce qu'il prenne le chemin de la sortie, je lâche un profond soupir avant de regagner mon appartement, que je prends soin de fermer à clé.
☆☆☆ Beerus
la main dans le sac
J'aurais aimé être plus rusée, j'aurais aimé faire comme les autres et ne pas intervenir. Je ne vois pas pourquoi je me suis intéressée à cette affaire, peut-être que je me sens obligée de le faire pour ma voisine. J'aurais aimé qu'on fasse la même chose pour moi, mais maintenant, je suis celle qui est dans l'embarras. Il reconnaît mon visage, connaît mon adresse et pourrait chercher mon nom sur la boîte aux lettres. D'ailleurs, est-ce qu'il a été en mesure de le retenir suite à notre première rencontre ? Pendant que je deviens muette, je tente de me rappeler à mon tour le nom inscrit sur la paperasse. Est-ce qu'il est assez professionnel pour avoir plusieurs noms ? Je me demande où il veut en venir et je serais à deux doigts de lui demander qu'il est vraiment alors ? S'il n'est pas un voleur, un gars qui se contente de rentrer dans des lieux privés ? A t-il besoin de se donner des idées de décoration ? Je comprends qu'il n'est pas du même monde que moi. Laissant mon côté langue de bois se reposer, je ne dois plus prendre de risques inutiles même si je déteste l'idée qu'il puisse me charmer tel le serpent dans Le Livre de la Jungle. Il m’hypnotise, me fait boire des mensonges pour fixer un acte unilatéral et je cède d'un signe de tête. Je ne veux pas m'aventurer dans un domaine qui sort de mes compétences. " Je suis seulement sortie pour aller chercher du courrier, pas vrai ? " C'est navrant comment ces hommes se fichent de vous menacer, comme ils sont prêts à tout. Mémoriser une adresse, un immeuble, une porte. Il n'en coûte que je vais quand même exiger certaines choses de notre syndicat ou de je ne sais quoi. Vérifiant à ce qu'il prenne le chemin de la sortie, je lâche un profond soupir avant de regagner mon appartement, que je prends soin de fermer à clé.
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