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Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais...

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Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:22
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Lee Jae-Hyeok
je sens que cela ne ce peut exprimer qu'en répondant : "parce que c'était lui, parce que c'était moi.s

SURDOUE
(★★★✰✰)
SURDOUE
(★★★✰✰)
TENDRE
(★★★✰✰)
IMPULSIF
(★★★✰✰)
TENACE
(★★★✰✰)
SUSCEPTIBLE
(★★★★✰)
RÊVEUR
(★★★✰✰)
BOUDEUR
(★★★✰✰)
DISCRET
(★★★✰✰)
RANCUNIER
(★★★✰✰)
nom : Lee. prénom : Jae-Hyeok. âge : Il aura bientôt 22 ans. date et lieu de naissance : 27/10 à Séoul. origines : Sud-Co. nationalité : Sud-co. cursus universitaire : Littérature. métier : prof particulier. orientation sexuelle : Gay refoulé. classe sociale : Riche. code du règlement : ok par fluttershy tu veux t'investir ? Les loups♥️

Rumour has it...
on dit qu'il est encore puceau (faux)
- On dit qu'il était premier de son régiment à l'armée (vrai) - on dit qu'il a déjà tué un chat (faux u_u) - on dit qu'il cacherait une maladie (faux, même si selon certains, être homo,
c'est être malade) - on dit qu'il aime se transformer en femme (bon, quand faut se déguiser, souvent, il finit en femme, donc oui) - on dit qu'il cherche sa mère (faux) - on dit qu'il a été démarché par des boites de prods pour devenir acteur (vrai) - on dit qu'il va finir fiancé contre son grès (il espère pas, mais vu son père) - on dit qu'il ferait des trucs louches (maybe) - on dit qu'il a déjà frappé un professeur (vrai...) - On dit qu'il a été viré d'une école (vrai aussi, mais son père a tout mis sur le dos des autres) - on dit qu'il a subi un harcèlement scolaire important (vrai) - on dit qu'il aime être un salaud (faux) - on dit qu'il déteste les mangas (faux)
Survole l'avatar, petit coquin.
My character
Il a été diagnostiqué comme étant un « haut potentiel » et un surdoué avec un QI avoisinant les 145, il ne s’en vente pas pour autant – Elève souvent considéré comme moyen dû à son manque cruel d’attention, ses professeurs ont fini par comprendre ce qui n’allait pas grâce à sa psy et la pression de son père – Longuement harcelé à l’école, il a fini par apprendre à savoir se défendre et à maîtriser un art martial afin d’intimider les autres, une sorte de sécurité pour lui plus qu’un réel plaisir – A 19 ans, il est parti faire son service militaire pour se débarrasser de ça. Il est revenu à la fac en mars 2017. Il est hypersensible et susceptible et peut avoir des réactions violentes pour des broutilles, ce que les autres ne comprennent pas vraiment – Il est végétarien depuis ses 14 ans, puis vegan depuis ses 20 ans, autant dire que ça a posé des soucis à l’armée, mais il a survécu – Il a grandi dans le christianisme et a longtemps cru en un Dieu tout puissant, patriarcal et punitif, un peu à l’image de son paternel, avant de comprendre que tout n’était que du flanc. Ex enfant de choeurs et compagnie, il se juge athée maintenant, ou plus proche de la pensée bouddhique qu’autre chose – L’alcool le rend mauvais, c’est un fait, il joue souvent au con avec les femmes en étant bourré ou couche avec elles pour taire son homosexualité, mais c’est un féminisme dans l’âme qui n’hésite pas à les défendre ou défendre ouvertement la cause LGTBQ, tout en…. Ne s’acceptant pas totalement – Il a un souci avec les chats depuis qu’il est enfant et qu’un chat empaillé à l’air démoniaque traînait dans le salon de ses grands-parents… Sa psy pense aussi que ça a un lien avec sa mère qui elle, les aimait beaucoup – Il aime les rats et en possède deux : Memphis et Tennessee – C’est un amateur de rock – Il aime danser – Il sait bien cuisiner – Il est doué au poker – Il cherche à casser son image de fils parfait – Il déteste la fac et souhaite juste avoir un diplôme pour être « normal » et ensuite, poursuivre ses rêves – Il le sait, un jour, il sera un grand scénariste - Il a sauté 2 classes - Il a déjà effectué son service militaire pour avoir la paix - Il déteste les films d'horreur et les disneys
This is my story
citation de ton choix
Un train passe dans le paysage. D’une allure plutôt vive, il semble infini avec son ensemble de wagons accrochés derrière lui. Des marchandises pour la plupart, quelques uns contenant du bétail même. Son sifflement et le bruit de ses roues sur les rails cassent la tranquillité du moment alors qu’un soleil doux réchauffe les terres autour. C’est vide dans la campagne avoisinante, bien trop calme d’ailleurs. Les adultes travaillent, les enfants sont à l’école. Déposant son sac sur le vieux pont de bois, il penche sa tête sur le côté, ses yeux clos, mais malgré tout, il « observe » le décor d’une autre façon. Au loin, des oiseaux piaillent. Et le train s’éloigne enfin. Une cascade chute à quelques mètres, la rivière sous ses pas, semble calme et tranquille. Le vent se fait chaud pour un mois de septembre et il ouvre enfin ses yeux pour fixer le monde, puis le vide en dessous de lui et l’eau qui s’étend. Ça paraît profond.

Vous êtes vous déjà demandé, pourquoi nous étions là ? Pourquoi nous avions cette vie, cette famille, ce physique, ce mental ? Pourquoi chaque pas que l’on fait semble nous diriger ? Vous sauriez expliquer cela vous ? Depuis que je suis enfant, je me suis posé cette question. Depuis que je suis enfant, je n’y trouve aucune réponse.

Ses yeux se ferment à nouveau et un autre train se met à siffler au loin. Il a l’impression d’entendre son coeur battre un peu trop fort, un peu trop vite. Ce train-ci, il est plus puissant, plus rapide, tellement que les petites planches de bois du pont qui le soutient, se mettent à trembler plus que de raison. Il est vieux, frêle, mais malgré les secousses, il tient bon. Souriant faiblement, ses paupières se relèvent et il attrape son sac, lorsqu’une nouvelle musique passe dans ses oreilles. Ses pas l’emmènent plus loin, vers la gare, il doit repartir à Séoul, revenir dans le tumulte.

*****

Dans la salle d’attente, il regarde un peu partout, jusqu’à ce que son regard ne s’attarde sur une affiche nouvelle. Il ne l’avait encore jamais vu ici. Quelque chose parlant d’enfants surdoués et du diagnostique. Dans une société comme celle-ci, c’est relativement compliqué de savoir décelé ça. Les gens poussent tellement les enfants à se surpasser, à être multi-fonctions, multi-activités. Son père le voulait beau, sportif, intelligent. Pour le sport, il adorait énormément l’équitation. Mais depuis une mauvaise chute, remonter sur un cheval semble difficile. Difficile car il a compris que l’erreur ne venait pas de l’animal, mais des personnes l’exploitant. Il n’a plus envie de participer à ça, bien que ce contact lui manque. Il s’est pris de passion pour le snowboard en particulier. Contrairement à un cheval, la neige, c’est froid, ça ne frissonne pas sous une caresse, ça ne panique pas, ça ne semble pas contenir de joie. Après avoir été harcelé au collège, pris dans ce genre de tourment, frappé à de nombreuses reprises, il s’est décidé à faire du taekwondo, sport national par excellence. Comme toujours, cette idée d’être « le fils parfait » guidait ses pas. Maintenant, il a atteint un des plus hauts grades. Lorsqu’on le cherche, on finit à l’hôpital.

Dans la salle, il fait un peu tâche. A ses côtés, un enfant de 8 ans sans doute, le fixe intensément. Son pull rouge semble trop petit pour lui, et son pantalon lui arrive aux fraises, comme on dit. Pourtant, il ne paraît pas s’en accommoder. A la place, il préfère fixer le grand brun qui soupire lourdement à ses côtés. « Jae-Hyeok ! » Redressant le nez, il se lève alors et pars dans la pièce de la psychologue.  

C’est étrange non, lorsqu’on y pense. Venir dans un cabinet pour enfants, rester là à fixer le monde en se disant que ce genre de rendez-vous est absolument inutile, mais venir quand même, parce qu’on a fait une sorte de promesse. Déjà dix ans que je la vois. Dix ans, c’est tout, c’est rien. J’étais son premier patient après l’obtention de son diplôme, à l’ouverture de son cabinet. Pourquoi prendre quelqu’un de si inexpérimenté ? Mon père connaissait son oncle, un bon ami. Il avait foi en sa nièce et chercher à lui trouver une bonne clientèle. Elle était jeune et jolie, je crois qu’il n’en fallait pas plus pour convaincre mon père. Le diagnostique était vite tombé, un gosse avec « un haut potentiel ». Pour ma part, je n’ai jamais aimé cette expression. Avoir un haut potentiel. On ne parle même par de surdoués dans ce cas, même si je le suis « aussi ». Non, les hauts potentiels, ils sont intenses, hypersensibles, susceptibles, entiers, capricieux, solitaires, rêveurs, imaginaires. Ils aiment étudier, les HP. Oh oui, ils aiment ça, mais pas le système scolaire trop cadré qui requière une attention ultime sans arrêt, alors qu’ils sont davantage comme des poulpes avariés à moins qu’on ne parle DU sujet qui les fait flancher dans leur kokoro. Oui. L’école, pour eux, c’est une poisse. Pleurer devant un film, même après l’avoir vu 50 fois, c’est une poisse. Avoir ce sentiment de ressentir ce que des personnes ressentent, réelles ou fictives, c’est une poisse. Mais c’est comme ça. Alors depuis 10 ans, je vais la voir, une fois par mois, discuter de ça, de la maison, du harcèlement que j’ai subi, d’autres choses. Entre nous, cette séance, comme toutes les autres, ne se résume qu’à une seule chose : tourner autour du pot sans énoncer le réel fond du problème. La vérité.

*****

Dans un bar quelconque de Séoul, minuit est déjà passée. Assis avec des amis à une table, son bras autour du coup d’une jeune femme, il se met à rire, avale un verre d’alcool d’une traite, puis un second. Déjà là, il rit, il bouge, il remue, il fait de grands gestes. Sa chemise, à moitié ouverte, il attrape la jeune femme pour commencer à l’embrasser langoureusement, la tripoter. Elle le repousse, il la retient, elle le repousse encore. Passant sa main sur ses lèvres à plusieurs reprises, comme à chaque fois qu’on l’énerve, le chagrine, il soupire. Les insultes viennent vite. « Pute », « salope », « allumeuse »… Un de ses amis l’arrête, lui dit qu’il est temps de rentrer. Tout le monde sait qu’il a l’alcool mauvais, qu’il en faut peu pour le rendre ivre, le rendre saoul. Mais il n’écoute pas, boit encore, finit par ses bagarrer, se faire virer. Assis sur le trottoir, il rit, pleure, rage. C’est tellement énervant. C’est tellement malsain. C’est une sorte de cercle vicieux. A chaque sortie, ça se finit mal. Il n’y peut rien. Sa main attrape son téléphone, il fouille dans ses contacts. Le seul qu’il aimerait appeler, c’est Jae-Sang, le seul qu’il n’appelle pas, c’est aussi lui. Encore une fois, un soupir las franchit ses lèvres, et il se redresse, la pommette bleue, la lèvre fendue, le t-shirt salit d’avoir vomi, les cheveux en pagaille. Enfin, il se décide à appeler un taxi. Enfin, il peut rentrer chez lui.

*****

Vêtu légèrement, il avance, une main dans ses cheveux en pagaille et ouvre la porte de l’appartement que son père lui paye chaque mois. Tête penchée sur le côté, il observe alors le jeune homme face à lui qui se retrouve HAUTEMENT surpris d’être face à un gamin de son âge. D’ordinaire plus à l’aise, c’est un peu malaisant cette fois. Il se pousse, le laisse entrer et ne lui laisse par vraiment le temps de communiquer. Des vêtements volent, des gémissements se font entendre, mais rien n’est réel, tout semble mécanique. Il n’y a pas de feeling, il n’y a pas d’attirance réelle l’un pour l’autre. Dans un autre contexte, peut-être. Il se refuse tellement à vivre ce qui lui blesse le coeur que c’est le seul moyen qu’il a trouvé pour assouvir ses envies. Pour être un peu honnête avec lui-même. Pas de baiser. Pas de mots doux. À la fin, il se met assis au bord du lit et l’autre attend, sans savoir quoi dire réellement, avant de soupirer. « Si j’dois rester, faut payer en plus. » Alors il se lève, enfile un boxer et lui balance ses fringues sans aucune délicatesse, n’oubliant rien, pas même les chaussettes, avant d’aller au salon, prêt à lui ouvrir la porte lorsqu’il sera présentable. Le jeune homme sort, il claque la porte avant d’être pris d’une violente nausée. Partant rapidement, il vomit ses tripes, son repas, déjà bien digéré, qui semble vouloir opposer de la résistance. Mais il n’y peut rien, il vomit. Il se l’inflige. Une fois debout, il brosse ses dents longuement et se traîne à nouveau vers son lit, le regardant comme un ennemi. Dégoûté de lui-même, de ses envies, de ses besoins, il s’en va sur le canapé et garde les yeux ouverts, à fixer le plafond, les lumières de la ville qui dansent dessus, les planches de bois qu’il compte et recompte encore. Et puis finalement, il finit par s’endormir, un bras dans le vide, ses doigts frôlant le tapis négligemment posé sur le parquet.

*****

« Mais pourquoi tu manges pas comme nous toi ? » « Et pourquoi tu manges des cadavres ? » Ils s’arrêtent, posent leurs baguettes, le regardent et soupirent. « T’es toujours à faire chier avec ça ! » « C’est vous qui posez des questions idiotes. » Remuant son plat à base de tofu, il finit par en prendre une bouchée à cause de l’odeur alléchante qui s’en échappe. Les oignons nouveaux, ajoutés sur le dessus en dernière minute, apportent une saveur particulière au plat, qui lui plaît grandement. « De toute façon, toi, t’es trop sensible, des fois, t’agis vraiment comme une tapette ! » Cette fois, il frappe la table du plat de la main, la tête vissée vers son assiette, ses mâchoires crispées. Mon dieu, comme il déteste ce genre d’insulte. Il ne pourrait pas en supporter d’avantage. C’est déjà compliqué pour lui. Trop même. « Je ne suis pas TROP sensible, je SUIS sensible. Et tu sais quoi Hyungseob ? Va te faire foutre, genre sérieusement. Tu te sens comme un vrai mec parce que tu manges de la chair ou des substances venant d’un animal élevé toute sa vie dans la souffrance et la misère et tué de façon immonde, juste pour que tu puisses contenter ton palais et ton estomac avec des produits dont tu n’as absolument pas besoin ? Tu crois que c’est ça « être un vrai mec » ? Et puis d’abord, ça veut dire quoi, être un vrai mec ? Ça veut dire que les personnes qui naissent dans un corps dit « féminin » mais avec un esprit masculin, et une volonté d’être un homme, ne peut l’être ? Vous avez vraiment ce genre de réactions primitives et barbares ? Des fois, je me dis qu’ici, on vit dans une société en retard d’un siècle sur tout. Et les femmes qui ont une poigne de fer à la maison, qui gèrent l’argent, qui mettent leurs maris alcoolisés dehors en cas de besoin, mais qui ne font rien d’autre que s’occuper de leur maison et leurs gosses en pensant que c’est leur place, c’est quoi hein ? » « Tu te perds Jae-hyeok, on était même pas…. » « En train de parler de ça ? Et alors, je dérange parce que je soulève des questions qui bouleversent votre conscience, vous le savez parfaitement, mais vous êtes trop paresseux et dans votre égo pour vous dire : putain, peut-être que je devrai changer, et essayer d’être moins con. » « Mais si on est des cons, pourquoi tu traînes avec nous hein ! T’es pas mieux, tu pètes plus haut que ton cul ! » « Right, t’as raison, j’sais pas ce que je fous encore là. Oubliez-moi pour les prochaines sorties. » Et alors, il se redresse, laisse de l’argent sur la table par acquis de conscience et sort du restaurant pour se promener en ville, malgré la nuit noire. Essayer de se canaliser, de passer à autre chose, de ne pas laisser ses pensées se faire inonder par eux et leurs propos, mais c’est compliqué. Dans sa tête, tous les jours, il refait le monde, il pense à d’autres choses, voit presque tout différemment, mais en société, il n’est qu’un alien parmi le commun des mortels qu’on regarde simplement de travers…
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:23
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:heart:
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:27
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Bon reboot ^^
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:30
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Merci vous deux ! Jaesang, y'a quasiment tout (sauf le règlement) tu peux dire si ça te va ? *-*
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:31
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OMG MAIS T AS DEJA TOUT FAIS ? Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... 4149734313

*le kidnappe pour le ramener chez les jaunes* Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... 4149734313
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:36
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Bah, j'avais du temps sans net :mdr: mimimiiiih, mais j'suis pas un bon jaune à pas être assez actif :'( sinon, je resterai :'( :cry:
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:37
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suhdzeeyzf c'est parfait, je valide :heart: allez fais-toi vite valider pour qu'on fasse les retrouvailles des deux frères :y:
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:39
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je m'en fous, y a des autres moins actifs que toi Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... 4149734313 *tire par la manche* :plz:
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:45
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Ce que tu me fais pas faire *soupire.... et fait un câlin*
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | Sam 30 Sep - 21:45
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OH OUI JTM :plz: :lick: ma saku d'amour :plz: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... 1174020843
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Re: Lee Jae-hyeok -- si on me presse de dire pourquoi je l'aimais... | 
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