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    :: Défouloir :: 2017

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high for this {ft. tadary} +18 | Sam 30 Sep - 19:55
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tadary

Tenue ☾ Ton sang n'a fait qu'un tour, pourtant, tu aurais eu le temps de te calmer. Ça fait bien une heure que tu le cherches absolument partout mais à croire que plus les secondes passent, plus tu perds ton sang froid. Ce n'est pas étonnant avec ce que tu viens d'entendre. Tadashi ? Dealer ? Ça ne pourrait être que des rumeurs, ça ne serait pas étonnant même mais bizarrement, tu le sens pas. Tu sais dans quelle merde il se trouve et ça te brise littéralement. Tu veux l'aider, tu ne veux pas le laisser seul et encore moins crouler sous ses problèmes, mais comment pourrais-tu l'aider si tu n'es au courant de rien? Non, il te cache encore des choses et pas des moindres. Ce n'est pas quelque chose qui peut te cacher, pas s'il accepte ton aide. Pourtant, dire que tu n'es plus chamboulé par ce qu'il s'est passé la dernière fois serait mentir, bien évidemment, tu ne penses qu'à ça ces derniers jours mais à croire que la panique et cette crainte de le savoir dealer te fait oublier tout ça. Non là, tu veux l'affronter, et c'est pour ça que tu es parti à sa recherche. Tu ne peux pas laisser tomber ou fermer les yeux sur ce que tu veux d'entendre, tu as besoin de savoir si ces rumeurs sont vraies. Tu ne l'espères pas mais t'as un mauvais pré-sentiment, comme si tu savais déjà que tu venais de découvrir quelque chose que tu n'étais pas supposé entendre.

Un dernier regard sur ta montre, remarquant que tu es plus en retard que d'habitude, tu finis par t'arrêter dans tes recherches et de retourner dans la chambre afin d'y récupérer ton casque. Tu ne sais pas comment ta soirée au club va se dérouler, ton inquiétude risque de te bouffer pendant des heures mais tu n'as aucune idée d'où est-ce qu'il se trouve. Autrement dit, tu n'as pas le choix. Alors c'est à contre cœur que tu te diriges aux dortoirs, dans l'aile des garçons, mais quand ton regard se pose enfin sur lui, ton expression change littéralement. Il est là et il vient d'entrer dans votre chambre. Alors tu presses le pas, ne voulant absolument pas qu'il t'échappe cette fois. Tu entres en trombe dans la chambre, faisant face à un Tadashi sûrement pressé puisqu'il se trouve devant toi, il était certainement prêt à repartir mais toi, tu claques la porte derrière toi, collant même ton dos contre cette dernière. Geste qui lui fera sans doute comprendre que tu le laisseras aller nul part. Ton regard se plante dans le sien, tu serres même les dents inconsciemment. « Tu deales ?! » Non là, t'as pas la patience ni l'envie de passer par quatre chemins. Au moins, c'est dit. Tu reprends même très rapidement, lâchant un peu la pression. « Dis-moi la vérité! » Tu n'es qu'à moitié calme, pour le coup, mais tu sais que ça ne durera pas longtemps, que tu es au bord de l'explosion. Tu tentes de prendre sur toi mais tu n'y parviens pas, tu lui craches ces mots. Non parce que là, tu ne supporterais pas qu'il tourne autour du pot ou qu'il tente de faire comme si de rien était. Pas après ce long moment de panique que tu viens de vivre, pas après t'être fait autant de films.


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Lun 2 Oct - 0:01
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tadary

Tenue ☾ Deux jours s'étaient écoulés depuis que tu avais embrasser Yury. Depuis ça, vous ne faisiez que vous évitez. Enfin, toi tu l'évitais. Tu redoutais de le croiser ou de te retrouver face à lui. Une angoisse permanente te collait au ventre. Tu ne voulais pas te trouver dans la même pièce que lui. Tu craignais de ce qu'il pouvait arrivé s'il était là, en face de toi. Tu avais bien du mal à te faire confiance parce qu'au fond de toi, quelque chose avait changé. Et tu le ressentais. Même si ce baiser n'était censé qu'être qu'un accident, tu ne voyais plus ça comme ça. C'était un accident, oui, mais qui t'avais bouleversé au plus profond de toi. Et malgré tous tes efforts pour tenté de faire disparaître le souvenir de ses lèvres contre les tiennes, tu n'arrêtais pas d'y penser. Étrangement, tu en voulais plus. Mais il y avait quelque chose de mal à ressentir ce genre de chose pour Yury. Il n'est pas juste ton meilleur ami, il est aussi le frère jumeau de ton ex, morte. Ça devrait suffire à bloquer toutes les pensées inappropriées qui pouvait traversé ton esprit. Malheureusement, ce n'était pas le cas, quand tu pensais à lui, il y avait cette petite partie de toi qui l'imaginait dans tes bras et, aussi petite soit cette partie de toi, tu la sentais capable de prendre le contrôle sur tout le reste de tes sentiments. Plusieurs fois, tu t'es demandé si ce n'était pas l'interdiction d'y goûté à nouveau qui t'attirais. Tu sais que les interdis t'excitent et te font perdre la tête, et c'est peut-être pour ça que tu ne cesses de penser à Yury de cette manière. A force de tourner la situation dans tous les sens, tu pensais devenir fou. Alors tu avais décidé d'oublier tout ça en prenant ton héroïne comme tu le fais toujours. Ça avait au moins eu l'avantage de calmer tes pensées qui fusaient.

C'est peut-être le dixième message que tu reçois de la part de Cecilia en l'espace de dix minutes. Elle te harcèle pour savoir à quelle heure tu es censé la rejoindre chez elle. Elle le sait, tu lui as dis, tu seras chez elle dans une heure tout au plus. Pour le moment, tu dois aller dans ta chambre pour récupérer des affaires. Depuis quelques temps, elle te demande de passer la nuit chez elle, au début tu as refusé mais quand elle a parlé de la somme qu'elle était prête à mettre, tu as réfléchis à deux fois. Et ce soir, tu dois passé la nuit chez elle. Tu n'en as pas envie. Être avec elle devient un vrai calvaire pour toi mais est-ce que tu as vraiment le choix ? Non, ta famille serait probablement à la rue sans son  argent.
Arrivé dans la chambre, tu commences à préparer ton sac à toute vitesse par peur de croiser la route de Yury. Et quand c'est fait, tu vas pour sortir mais la porte s'ouvre pour laisser entrer celui que tu ne voulais pas voir. Il claque la porte et le regard qu'il te lance n'annonce rien de bon. Par instinct, tu recules de quelques pas. « Tu deales ?! » Lâche-t-il, les dents serrées. Tu ne t'attendais pas à ça, tu pensais plutôt qu'il allait te reparler de ce baiser mais il faut croire que tu es le seul à y penser autant. « Quoi ?! » Tu mimes l'étonnement. Tu ne veux pas qu'il sache ça, mais ce qui t'effraie encore plus, c'est qu'il puisse apprendre que tu ne fais pas que dealer, tu consomme aussi. « Dis-moi la vérité! » Tu vois qu'il essaye de contenir sa colère mais ça ne va pas t'empêcher de lui mentir. « Si tu parles de ces rumeurs qui circulent sur moi, elles sont fausses ! » Oui, les bruits courent et même si tout ces dires sont vrais, tu préfères garder le mystère. Jamais tu ne confirmeras ça. « Ça fait longtemps que j'ai arrêté de foutre mon nez dans ce genre de conneries. » Les trafiques t'en as fait, et ça depuis que tu savais que ça payait plus que n'importe quel job honnête. Et Yury le sait parce qu'avant d'être avec sa sœur, les rumeurs faisaient vite le tour des lycées et ta réputation te précédait. « Tu ferais mieux de me faire confiance, au lieu d'écouter les bruits de couloirs, maintenant, si tu veux bien me laisser passer. » Tu indiques d'un signe de la main la porte derrière lui. Tu veux partir de cette pièce, encore une fois. Il faut que tu t'éloignes de lui, c'est mieux pour toi. Pour lui. Pour vous.


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Lun 2 Oct - 20:36
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Tenue ☾ Il te fuit depuis ce baiser, mais tu ne sais pas juste pas pourquoi. Tu peux le comprendre, tes mots n'ont pas dû le rassurer suffisamment mais est-ce que lui aussi, il se sent chamboulé depuis? Tu l'es, tu le sais, tu n'arrêtes pas d'y penser mais tu as beau ressasser cette histoire dans ton foutu crâne, tu ne trouves pas les réponses à tes questions. Tu pourrais pourtant, tu as juste peur d'en découvrir certaines. Alors tu préfères ne pas les chercher au risque de te retrouver dans le pétrin, ce n'est pas la meilleure des réactions mais ça se saurait, si tu savais gérer toutes les situations. Pourtant là, il n'est plus question de ce baiser, la panique prend le dessus sur tout ce que tu peux ressentir tellement que tu n'appréhendes même pas de te trouver face à lui, au contraire, tu as besoin qu'il soit là.  Mais là, tu te trouves dans un état second, tellement que lorsque tu l'aperçois enfin, tu carbures pour le bloquer aussitôt dans la chambre, claquant la porte derrière toi mais tu ne tournes pas autour du pot, pas après avoir passé plus d'une heure à le chercher et faire les pires scénarios possible. Il joue l'étonné, le mec qui ne comprend pas et c'est pour cette raison que tu hausses le ton, lui demandant de te dire la vérité. Oh non, tu n'as plus la patience là, tu n'as encore aucune confirmation mais c'est presque le cas, ou alors, tu veux une bonne explication à tout ça, une explication qui tient la route et là, il va falloir qu'il trouve quelque chose de bon. « Si tu parles de ces rumeurs qui circulent sur moi, elles sont fausses ! » Non, tu ne parles pas de ces rumeurs mais de la conversation que tu as entendu. Tu n'aurais pas été du genre à l'attaquer aussi franchement, tu les connais toi, ces personnes qui lancent des rumeurs. À les écouter, t'es un ancien drogué qui est tombé amoureux de sa moto. Non non, t'y crois pas. « Ça fait longtemps que j'ai arrêté de foutre mon nez dans ce genre de conneries. » Un point pour lui, ce n'est pas réellement étonnant de savoir que ces rumeurs circulent sur lui, ce n'est pas la première fois qu'il en fait les frais sachant qu'il a un passé qui pousse les gens à penser certaines choses. T'es au courant de tout ça, évidemment. Pourtant tu ne le lâches pas du regard, à aucun moment. Tu sais dans quelle merde il se trouve, c'est même plus que plausible. « Tu ferais mieux de me faire confiance, au lieu d'écouter les bruits de couloirs, maintenant, si tu veux bien me laisser passer. » « Je ferais mieux de te faire confiance?! » lui répètes-tu, aussitôt, ne prenant même pas la peine de réagir sur ses dernières paroles. Il est évident pour toi que tu ne le laisseras pas partir d'ici. Tu penches légèrement la tête sur le côté, fronçant tes sourcils. Il te demande de lui faire confiance alors qu'il y a de fortes chances pour qu'il te mente? « J'te parle pas de ces rumeurs là, j'te parle de ce mec. » Non de ces rumeurs mais de cette discussion que tu as entendu, tu n'as pas clairement tout entendu sachant que tu n'avais pas part à cette conversation mais tu en as entendu assez pour l'accuser, au pire, tu préfères l'accuser et avoir tort plutôt que de le croire sur parole et d'apprendre plus tard qu'il t'a menti. « 1m80, blond, cicatrice à la joue. » De ce que t'as compris, c'est lui qui avait soit-disant, besoin de Tadashi pour avoir sa dose. « J'le connais. » C'est faux, tu n'as aucune idée de qui est ce type mais tu prêches le faux pour savoir le vrai. « Alors, je devrais te faire confiance, tu dis? » Parce que clairement, s'il est en train de te mentir, tu risques de ne pas trop apprécier. Tu n'es déjà pas si calme... Tu te décolles finalement de la porte, t'approchant de lui sans pour autant t'en éloigner énormément. Tu es prêt à rebondir sur cette dernière si Tadashi souhaite s'enfuir. « Je croyais que t'acceptais mon aide? » Alors pourquoi il continue de te mentir comme ça, hm ? Tu veux pas le faire chier là, tu veux l'aider, mais savoir qu'il te ment de cette manière, ç'a le don de te foutre en rogne. On peut clairement le deviner en remarquant tes dents serrés, ta mâchoire crispé et tes sourcils froncés. Tu indiques la porte d'un geste du doigt. « Alors non, je te laisserai pas quitter cette pièce. Pas avant d'avoir eu une bonne explication à tout ça ! Avec un peu de chance, tu comprendras que je ne pourrais pas t'aider si tu continues de me cacher des choses... ou de me fuir. » Tu sais sur quelle pente tu t'aventures. Ouais, vous le savez tous les deux. Tu sais pourquoi il te fuit, alors tu y repenses, à ce baiser. C'est plus fort que toi. Et tu ne sais pas ce qu'il te passe par la tête à ce moment là, pour baisser les yeux sur ses lèvres, une demi-seconde. Peut-être parce que tu commences à te rendre compte que tu ne peux pas totalement le regarder sans oublier cette histoire de baiser. Tu tentes de vite te reprendre, baissant donc le regard sur sa tenue de manière non discrète mais tu te sens bouillonner. Tada n'est pas le genre de garçon à avoir des tenues négligées, non, mais tu commences à comprendre pourquoi il est sans doute si pressé. La coiffure, cette chemise, les fringues, ce parfum. Alors tu remontes ton regard, le plantant dans le sien, sachant pertinemment que tu es en train de prendre un énorme risque. Que l'histoire du baiser, t'y repenses, quoi que tu fasses mais cette pensée attise clairement la rage qui brûle en toi. Pourquoi ? Peut-être parce que ça te plaît pas de savoir qu'il joue les gigolos pour cette femme. Le fait qu'elle utilise Tada de cette manière, ouais, sans doute. Tu sais pas. Ça fait partie des réponses que tu ne souhaites absolument pas avoir. « Elle attendra. » lui craches-tu sans pour autant cacher le fait que ça te déplaît. Le pire? Tu lui montres à ton attitude et sans t'en rendre réellement compte que ça ne fait pas que te déplaire. Non. Ça t'emmerde beaucoup trop.

 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Ven 6 Oct - 15:48
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Tenue« Je ferais mieux de te faire confiance?! » Il répète tes mots. Tu le sens au ton de sa voix qu'il est en colère, qu'il ne lâchera pas non plus l'affaire. Que tu le veuilles ou non, tu es piégé à nouveau dans cette chambre. Et une nouvelle fois, tu te demande si vous allez encore vous engueulez à propos de toutes vos conneries. Enfin là, c'est de tes conneries dont il est question. Tu voudrais lui expliquer tout ça mais malheureusement, là tout de suite, tu veux fuir. Rester avec lui dans cette pièce pourrait bien te faire perdre le contrôle de toi-même. Votre baiser a chamboulé beaucoup de chose, ça a foutu le bordel dans tes émotions et maintenant, tu ne sais pas comment le regarder droit dans les yeux sans y repenser. « J'te parle pas de ces rumeurs là, j'te parle de ce mec. » Tu fronces les sourcils, tu ne comprends pas de qui il parle. Du moins si, tu comprends mais tu préfères prétendre le contraire. Si ce n'est pas les rumeurs qui lui font penser ça, c'est qu'il a croisé un de tes nombreux clients sur le campus. « De quoi tu parles ? » On peut le dire, tu sors le grand jeu d'acteur aujourd'hui. « 1m80, blond, cicatrice à la joue. J'le connais. » Ajoute-t-il. Yury a des preuves, c'est un client que tu côtoies souvent, la plupart du temps en dehors de l'université pour pas avoir à te faire pincer par quiconque. Cette fois, tu es démasqué et même si tu tentes de mentir, avec les trafiques que tu as fais auparavant, Yury ne te croira pas. « Fais chier. » Tu laisse échappé un juron d'entre tes lèvres baissant la tête. Tu crois vraiment pouvoir lui mentir après tout ça ? « Alors, je devrais te faire confiance, tu dis? Je croyais que t'acceptais mon aide? » D'un coup, tu as honte. Oui, tu voulais de son aide, et tu en as toujours cruellement besoin mais ce n'est malheureusement pas le bon moment pour parler de tout ça. Tu voudrais lui dire la vérité sur le fait que tu deales, que tu consommes, mais là, ce n'est pas le moment. Si seulement tu pouvais lui dire que tu ne veux pas parler de ça parce que tu es incapable de le regarder dans les yeux sans avoir l'image de tes lèvres contre les siennes. C'est comme si le goût sucré de ses lèvres te hantais et brouillait tous tes sens. « Alors non, je te laisserai pas quitter cette pièce. (...) tu comprendras que je ne pourrais pas t'aider si tu continues de me cacher des choses... ou de me fuir. » Tu lèves les yeux vers lui. Tu sers les poings. La colère monte doucement sans que tu te rende compte. Il ne comprend pas que c'est mieux pour vous deux s'il ne reste pas ici. Est-ce qu'il cherche à te pousser à bout ? Est-ce que son but c'est de te rendre complètement taré ? Ta colère grimpe en même temps que celle de Yury. Tu ne gères pas cette force qui te submerge quand tu le regardes. Cette attirance étrange et inexplicable ne calme pas cette tempête qui s'apprête à tout dévaster sur son passage. Yury te regarde de haut en bas, te scrutant. Tu sers la mâchoire en le voyant faire. « Elle attendra. » Il est froid. Ces paroles suffisent à semer le doute. Est-ce que c'est de la jalousie que tu vois dans son regard ? Ou est-ce que c'est seulement toi qui te fait des films ? Pourquoi t'en viens à espérer qu'il le soit ? Peut-être parce que ça te conforterait dans l'idée que tu n'es pas le seul à avoir perdu la tête durant ce fameux baiser. Et peut-être aussi que ça te pousserait à écouter cette petite voix qui t'ordonne de lui sauter à la gorge. « Putain Yury ! Je voudrais t'expliquer tout ça mais là c'est tout sauf le bon moment pour ça ! » Non, là tes pensées font n'importe quoi et te feront certainement faire n'importe quoi, si tu reste ici plus longtemps. « Je peux pas rester plus longtemps ici, fais moi confiance, c'est mieux pour nous deux. » Te voilà d'un coup beaucoup plus calme, pourtant tu es froid.  Tu pars en direction de la porte, frôlant son épaule. Il faut que tu quittes cette pièce, tu as besoin de fuir, de le fuir car tout ce qui bouillonne en toi pourrait bien faire des dégâts.


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Sam 7 Oct - 22:58
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Tenue« De quoi tu parles ? » Il continue de tourner autour du pot, et t'aimes pas ça. T'aimes pas ça parce que plus le temps passe, plus tes doutes s'évaporent, comme si ses mensonges confirmaient les choses. Alors tu continues, tu lui mens même toi aussi, une manière pour toi de lui faire avouer la vérité, ton côté rusé et non menteur. « Fais chier. » Ça fonctionne. Et il a osé te dire que tu devrais lui faire confiance ? Alors qu'il vient de te prouver le contraire ? Putain, ça te rend fou ça. Est-ce qu'il s'en rend compte ? Est-ce que Tadashi sait à quel point tu peux t'inquiéter pour lui, et que ses mensonges n'arrangent rien, bien au contraire ? Alors oui, sous la colère, tu lui reproches discrètement son attitude. Il te fuit depuis quelques temps et ça t'embête mais tu sais pourquoi il agit comme ça, vous le savez tous les deux après tout et c'est aussi pour ça que tu évitais la conversation. Tu tentes d'agir comme si rien ne s'était passé, c'est bien ce que tu dois faire, non ? Pourquoi tu n'arrêtes pas d'y penser alors ? Parce qu'il s'agit de Tadashi, Tadashi qui se trouve également être l'ancien petit-ami de Min Hee, et cette pensée te retourne, elle te retourne parce que tu culpabilises. Tu ne devrais pas, n'est-ce pas ? Déjà parce que ce n'était qu'un baiser et toi, tu n'as rien fait.  Pourtant, tu t'es laissé faire... Mais tu culpabilises quand même. Tu te caches la vérité, c'est toujours plus facile, bien trop effrayé à l'idée de trouver réponses à tes questions. Parce qu'elle est là la vérité: tu culpabilises d'avoir apprécié. Te l'avouer ? Hors de question. Tu n'oses pas imaginer dans quelle merde tu serais... Déjà parce que tu le perdrais sans doute, mais aussi parce que tu risquerais de t'en vouloir toute ta vie par rapport à ta sœur jumelle. Et puis si seulement il n'y avait que ça... Ça remet aussi en question ta sexualité. Tu n'as jamais été attiré par un homme, tu n'as même jamais imaginé faire ta vie avec un mec, tu ne te posais aucune question jusqu'à présent mais ne l'aurais-tu pas repoussé si c'était bel et bien le cas ? Trop de questions à affronter, tu préfères simplement ne pas y penser. Choisir la mauvaise solution, finalement, mais la plus simple. Pourtant ça te chamboule de mettre ce sujet sur ce tapis, même si tu ne l'as pas fait clairement, tellement que lorsque tu remarques sa tenue, devinant facilement ce qui compte faire de sa soirée, tu lui craches ces mots. Jaloux ? Sans doute. Mais toi, tu ne le vois pas, tu ne vois rien, tu montres simplement à Tadashi que ça t'emmerde clairement sans te dire un seul instant qui pourrait se poser des questions face à ton attitude. T'as juste pas envie qu'il te fuit encore, qu'il va la retrouver et là c'est la panique, parce qu'il veut se tirer d'ici. Il veut se barrer, ouais, mais tu ne le laisseras pas partir. « Putain Yury ! Je voudrais t'expliquer tout ça mais là c'est tout sauf le bon moment pour ça ! » Tu pourrais bien lui répondre que tu ne le laisseras pas se trouver des excuses mais tu la sens, cette tension. Elle te fait même perdre tous tes moyens tellement que tu restes là, à le fixer. Tout sauf le bon moment ? Pourquoi tu as cette étrange impression qu'il a raison ? Non, pourquoi tu as cette impression qu'il ressent cette tension, lui aussi ? Toi qui est persuadé qu'il t'a embrassé parce qu'il pensait simplement à ta sœur à ce moment-là. « Je peux pas rester plus longtemps ici, fais moi confiance, c'est mieux pour nous deux. » reprend t-il, plus calme mais étrangement froid. Comme s'il ne voulait pas discuter plus longtemps. Comment ça, c'est mieux pour vous deux ? Tu n'es donc pas le seul à ressentir cette tension qui s'est installé entre vous, il te le confirme plus ou moins. Tu penses à tellement de choses que tu t'y perds toi-même, des choses qui te font flipper, clairement. Des choses auxquelles tu n'aurais jamais imaginé penser un jour, des craintes mais des doutes aussi, beaucoup trop de doutes et de choses que tu n'arrives pas encore à expliquer. Tellement qu'au moment où il te frôle l'épaule, tu agis. Beaucoup trop rapidement. Pour ne pas le laisser fuir, oui, mais surtout parce que tu abandonnes, tu baisses les bras. T'en as marre de réfléchir, de chercher des réponses mais d'esquiver celles qui t'effrayent. T'en peux plus et ce soir, tu ne vais plus lutter ni laisser ces pensées t'embrouiller davantage l'esprit. Tu te tournes vers lui, lui attrapant le poignet, tu le serres assez fort de manière à ce qu'il ne puisse faire un seul pas de plus. T'as bien dit que tu ne le laisserais pas sortir d'ici pourtant, il a peut-être raison, il serait mieux pour vous deux de vous séparer au moins pour la soirée mais il est là le truc: t'en as pas envie. Et tout se passe que trop rapidement, tellement qu'après lui avoir attrapé son poignet, c'est ton corps qui agit à ta place en faisant un pas vers lui. Assez pour être proche de son visage mais aussi pour le coller à la porte, le forçant à se  reculer. Peut-être ta frustration qui parle à ta place sans que tu t'en rendes compte. Et ton regard se plante dans le sien, un regard différent, beaucoup plus sérieux mais qui ne concerne en rien le sujet de ta venue ici, oh non, ça concerne tout autre chose. « Sinon quoi ? » lâches-tu d'une voix étrangement rauque, ne le quittant pas du regard. Tu ne sais pas pourquoi tu restes si près de lui, ça te fait perdre tous tes moyens mais tu n'arrives pas à t'en éloigner, comme si tu lui tenais tête et que tu tentais de le prouver que tu ne le lâcheras pas, que t'as aucune envie de le lâcher. Pour preuve, tu ne lui as pas encore lâché le poignet. Sinon quoi, hm ? Non, ce soir tu mets tes craintes et tes doutes de côté mais tu veux avoir une réponse à une de ces questions parce qu'aussi étrange que ça soit, tu as besoin de savoir. Ce soir, tu veux cette réponse avant de trouver les tiennes, avant de comprendre pourquoi tu ressens cette tension sexuelle, pourquoi tu as apprécié ce baiser. Tu veux la réponse à cette question : est-ce qu'il osera ? Est-ce qu'il en a cruellement envie ? Est-ce qu'il a tenté de te le faire comprendre ou est-ce toi qui commence à te faire beaucoup trop de films avec toutes ces questions qui te restent en tête ? T'en viens à prier pour que non, quitte à ce que ça foute le bordel dans ta vie. Peut-être parce que la tension se fait beaucoup trop forte, tellement forte que ça en explique ta réaction, tellement forte que tu baisses les bras pendant un instant, tellement forte que ton regard se baisse sur ses lèvres, les dévorent du regard. Tellement forte que s'il n'agit pas, t'en viens à te demander si tu ne le ferais pas... Retrouver ses lèvres, et avoir ta propre réponse. Parce que oui, tu te demandes s'il osera le faire sans te dire que demain, tu te demanderas sans doute pourquoi toi, tu aurais osé.

 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Jeu 12 Oct - 21:22
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Tenue ☾ C'est la tempête dans ta tête. Tes pensées volent et tourbillonnent à la recherche d'une explication à ce qui est entrain de se passer. Tu as besoin comprendre pourquoi tout est brouillé quand il est là. Tu veux savoir pourquoi quand il est trop près de toi, tu ne répond plus de rien. Y'a-t-il une quelconque explication à tout ça ? Des mots qui pourraient expliquer ton ressenti ? Non, y'a rien parce que c'est le bordel. Et le bordel ça s'explique pas comme ça. Faut du temps pour démêler les choses, pour remettre de l'ordre dans ce foutoir. Mais du temps t'en as pas. Là, tu es piégé. Tu es face à lui. Et il t'embrouille. La seule chose dont tu es certain quand il est là, c'est que tu veux de lui. Tu veux t’enivrer de son corps. Savourer sa peau. En devenir fou. Tu te demande alors si sa peau est aussi douce que ses lèvres et puis, tu te demande si, en goûtant à son corps, tu pourrais en être accro. Il a suffit que tu déposes tes lèvres sur les siennes pour que tout s'emballe, s'affole. Tes pensées te dictent des choses qui te sont interdites. Tu lutte pour ne pas laisser la tentation prendre le contrôle sur tout le reste. C'est un combat mental qui commence alors que tu sens la colère s'ajouter à tout ça. C'est la rage de ne pas pouvoir laisser libre court à tes envies. Dans ta tête, c'est le bordel mais au milieu de tout ça, y'a cette attirance pour lui qui germe depuis votre baiser. Et maintenant qu'il te fait face, tu l'a sens grandir en toi. Et si tu oubliais les interdits, tu lui sauterais à la gorge pour lui faire comprendre qu'il a su bousculé tes pensées. Que, sans le vouloir, il avait tout changer en toi. Malheureusement, tu ne veux pas brisé les interdits, pas sans être sûr qu'il est lui aussi bouleversé. Tu ressens le besoin de savoir si ce baiser a submergé tout son être comme il l'a fait pour toi. Alors quand il montre des signes de jalousie, tu vois ça comme un signal d'alerte : Il faut que tu partes. Si tu restes plus longtemps, tout va déraper et tu lui offrira plus qu'un simple baiser. Tu fuis, du moins tu essayes mais Yury te stop. Il te touche le poignet et tu lui montre les dents comme un chien qui fait part son mécontentement. Ensuite, tu le vois faire un pas vers toi, par réflexe tu recules venant te coller contre la porte. Cette fois, tu es pris au piège par celui que tu veux fuir. Tu luttes, tu sens que tu perds le contrôle, que tu as beau résister contre cette tentation de lui sauté dessus, ton corps te lâchera bientôt, si ce n'est pas déjà fait. « Sinon quoi ? » te souffle-t-il. Ses mots t'embrasent, et tu comprends que tout est finit. La tentation a prit le dessus sur tout le reste. Inutile de lutter. A quoi bon ? Dans son regard tu décèles quelque chose que tu n'avais jamais vu auparavant. Il y a du défi, de la provocation et puis, surtout de la curiosité. Cherche-t-il à savoir si tu oseras l'interdit ? La colère que tu ressens se transforme en animosité quand enfin il te lâche le poignet. Tu vois ça comme une invitation, alors tu l'attrape par les épaules et vient le plaquer vivement contre la porte. Dans ton regard il y a de la violence, de la bestialité. Tu plaques ta main contre la porte près de son visage lâchant un peu plus cette rage qui gronde en toi. A force de trop réfléchir, de laisser la tempête de tes pensées tourbillonné dans ta tête, tu en as perdu le contrôle sur toi-même. Tu n'es plus sûr de savoir comment stopper tout ça. Mais est-ce que tu veux vraiment arrêter ? Non, là il est trop tard, tu le veux, et ce désir pour lui balayera tes doutes pour ce soir. Doucement, tu approche tes lèvres de ses oreilles. « Sinon, tu le regretteras. » Que tu lui murmure alors parce que tu sais qu'il regrettera tout ça. Toi tu n'en es plus si sûr. Ton visage vient faire face au sien alors que tu mord la lèvre. Pourquoi tu continues de résister à cette attirance ? Ses lèvres appellent les tiennes. Ton corps a soif du sien. Ton être tout entier le veut. A quoi bon résister ? C'est trop tard maintenant. Ta main vient agripper ses cheveux et sans réfléchir plus longtemps, tu cèdes à cette pulsion. Tu l'embrasse, tu dévores ses lèvres avec toute la fougue et l'envie que tu éprouve. Et puis, tu te colle à lui parce que tu ressens le besoin d'être au plus près de son corps. Ce soir, tu le veux comme jamais tu n'as voulu personne, tu veux le posséder sans penser une seule seconde aux conséquences que cet acte aura sur vous. Non, là maintenant, ce n'est que vous deux, le reste n'a plus d'importance.


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Ven 13 Oct - 23:24
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Tenue ☾ Comme la dernière fois, tout se passe que trop vite. Cette révélation, cette dispute et ensuite ce baiser. Cette fois, c'est différent. Cette fois, tu sens que ça ira plus loin. Il a sans doute raison quand il te demande de le laisser partir, que ça serait mieux pour vous deux, mais va savoir pourquoi, tu n'y parviens pas. Tu ne veux pas. Tu n'as aucune envie de le laisser sortir. Et ça ne concerne même plus uniquement les explications dont tu as besoin concernant cette histoire, tu es bien trop déstabilisé. Tu ne sais pas pourquoi tu t'es approché de lui de cette manière, pourquoi tu ressens ce besoin de le provoquer mais tu as besoin de savoir s'il va oser. Enfin surtout : s'il en a envie. C'est ce que tu as compris mais encore une fois, tu ne sais pas, c'est peut-être seulement toute cette histoire de baiser qui te monte bien trop à la tête. Tu as l'impression de devenir fou, de ne plus avoir le contrôle et c'est bel et bien le cas, tu ne te contrôles plus, tu ne contrôles plus ton corps. Et le voir là, piégé entre tes mains, collé à cette porte, ne t'aide en rien. Ça t'excite. C'est mal et tu le sais, tu n'as pas le droit de faire ça à ta sœur. Alors pourquoi tu en crèves autant d'envie ? C'est lui, qui te rend comme ça ? Parce que non, tu n'as jamais été attiré envers un homme, jamais de toute ta vie et cette soudaine attirance commence à te faire flipper. Depuis qu'il t'a embrassé, tu ne sais même plus où tu en es, où vous en êtes, et tu es bien trop apeuré pour y réfléchir correctement. Pour trouver les vraies raisons, elles t'effrayent. Il y a tant de questions qui te restent en tête, tant de questions qui restent sans réponse mais là tu dois savoir. Tu dois savoir ce qu'il en pense, ce qu'il désire lui aussi et c'est ce soir que tu comptes en avoir le cœur net. Tu restes brouillé par tout ça, flippé, craintif mais tu te jettes dans la gueule du loup sans te poser une seule question supplémentaire. T'en peux plus de réfléchir, de ne penser qu'à ça sans jamais t'en sortir, toi aussi t'es pris au piège. C'est terminé. Tu le sais quand Tadashi t'attrape par les épaules pour te plaquer contre la porte, une mèche de tes cheveux ayant quitté le reste pour s'inviter sur ton front dû au choc. Tu vois de la bestialité dans son regard, de la violence, mais tu ne baisses pas le regard. Qui te dit qu'il ne se reprendra pas rapidement, comme la dernière fois ? On peut clairement dire que tu le défies encore du regard et il s'en rend sûrement compte puisqu'il ne s'arrête pas là, et vient claquer sa main contre la porte juste à côté de ton visage. Tu as ce sentiment étrange d'être rassuré, de le voir faire ce que tu voulais qu'il fasse, un sentiment que tu ne pourras nier cette fois, il est bien trop imposant, tu n'as aucune excuse derrière laquelle te cacher cette fois. Pas comme cette excuse de le pousser à bout dans le seul but de savoir s'il osera, oui, t'avais besoin de savoir mais t'en avais surtout envie. Là, c'est toi qui est piégé, toi qui est coincé comme tu le voulais au fond de toi, tu as l'impression que ton corps va te lâcher à tout moment sous tous ces sentiments qui s'emmêlent mais va savoir pourquoi, ça te plaît à ce point. T'en redemandes. Tu te sens juste beaucoup trop vulnérable, quand tu vois dans quel état il a réussi à te rendre simplement en t'embrassant, tu sais qu'il a du pouvoir sur toi, tu ne sais juste pas pourquoi. Alors quand il approche ses lèvres de ton oreille, tu profites de ce court instant hors de sa vue pour fermer les yeux, pour tenter de retrouver un minimum de lucidité mais rien, tu ne veux rien savoir, ton corps non plus, tu sais ce dont tu as besoin là tout de suite. « Sinon, tu le regretteras. » Il est là le problème, t'en sais rien. Pourquoi regrettais-tu quelque chose que tu désires tant? Pourtant, tu devrais. Ouais, tu devrais regretter sinon, ça t'apporterait des réponses bien trop effrayantes, des réponses que tu ne veux pas affronter. T'es juste incapable de réfléchir, l'appel de son corps t'assourdi bien trop pour ça et on peut le voir à la manière dont tu le manges du regard, à ta respiration qui devient plus bruyante dû à tout ce désir que tu ressens. Et il y a encore cette petite voix, lointaine désormais, mais elle est encore là, elle te crie de partir mais tu sais que tu ne l'écouteras pas. Cette voix, elle disparaît au moment où il prend possession de tes lèvres, après t'avoir agrippé les cheveux. Cet échange, tu le ressens comme une libération, il te libère de ces pensées, de ces questions qui t'empêchent d'y mettre de l'ordre dans ta tête mais surtout, il te permet de laisser libre court à tes désirs les plus charnels. Tu ne sais pas d'où ils viennent mais pour la première fois, tu vas les laisser agir à ta place. Ce que tu ressens est beaucoup trop fort pour que tu puisses lutter, alors c'est aussitôt que tu lui rends son baiser, avec autant d'envie et de fougue. Parce que oui, t'en crevais d'envie. Il s'agit de Tadashi là, tu ne saurais expliquer ce qu'il t'arrive mais c'est effrayant, ça remet pas mal de choses en question. Comme par exemple, le fait que tu jalousais parfois le couple de ta sœur jumelle. Tu étais bien trop heureux pour elle pour avouer quoi que ce soit mais oui, tu as déjà ressenti cette jalousie. Ce n'était pas méchant, loin de là, mais c'était de la jalousie. Jalousie de ne pas vivre la même chose ou de ne pas avoir Tadashi ? T'en sais rien, tu ne t'ai jamais avoué la vérité et fort heureusement, tu ne penses plus à rien à l'heure actuelle. Et quand bien même tu y penserais, lorsque tu sens son corps se coller au tien, tu flanches littéralement. Tu abandonnes toutes tes pensées, toutes tes craintes en y mettant plus de fougue dans ce baiser, en collant toi aussi, ton corps contre le sien. Tu ressens ce besoin de le sentir encore plus près de toi, ça te suffit pas. Alors ta main vient se plaquer sur la porte, en dessous de la poignée de porte où tu viens verrouiller cette dernière. C'est terminé, aucun de vous deux ne luttera plus longtemps. Les conséquences suivront mais tu n'y penses même pas, tu ne peux pas, ton désir t'aveugle et t'assourdi beaucoup trop pour ça. Tu laisses tes envies charnels prend possession de toi, puisqu'au moment où tu retires ta main de la porte, cette dernière vient se glisser dans ses cheveux que tu agrippes toi aussi. Un peu brutalement, mais tu as beaucoup trop envie de lui pour en avoir conscience. Tu veux qu'il reste près de toi, qu'il ne s'arrête pas, pas comme la dernière fois. Alors tu décolles ton corps de la porte, t'approchant davantage de lui, tu avances, le forçant ainsi à se reculer. Pourtant, tu ne quittes pas ses lèvres, à aucun moment, ça serait bien trop te demander mais tu finis par t'y forcer au moment où vous arrivez près du lit. Ta main précédemment dans ses cheveux se glisse jusqu'à son torse, rejoignant la deuxième, dans le but de le pousser sur le lit. C'est effrayant ce désir, si profond qu'il t'aveugle, qu'il t'empêche d'avoir conscience des choses et de ce que tu t'apprêtes à faire, avec lui. Puisque tu ne tardes pas à le rejoindre, déposant un genou après l'autre de chaque côté de son bassin, avant de te pencher vers son visage pour reprendre possession de ses lèvres. Tu l'embrasses fougueusement, comme si tu attendais ça depuis le baiser de la dernière fois, tu auras tout le temps de te demander si ce n'était pas le cas plus tard mais là, tu es incapable de réfléchir à quoi que ce soit. Et alors que vos lèvres restent scellés, tes deux mains descendent au niveau de sa ceinture, c'est aveuglément que tu la déboucles, bien trop concentré sur le baiser que vous êtes en train de vous échanger et puis de toute façon, il n'y a que très peu de lumière ici. Pourtant, une fois la ceinture débouclée, tu mets fin au baiser. Tes lèvres toujours collées aux siennes pendant un bref instant, tu es certain qu'il puisse sentir ton discret sourire dans un premier temps, le voir dans un second temps car tu te redresses, tu as besoin de le voir, une image qui te restera gravée dans ta mémoire seulement, tu ne peux pas encore t'en rendre compte. Et c'est ton regard toujours planté dans le sien que tu viens passer deux doigts dans la boucle de sa ceinture afin de la tirer vers toi et de lui ôter, un peu trop doucement mais une fois retirée, après avoir apprécié ce moment, tu la laisses tomber au sol, te penchant une nouvelle fois vers lui. Tes lèvres frôlent les siennes, vos respiration s'emmêlent, tu peux y sentir son souffle chaud tout comme il pourra certainement y sentir le tien. C'est angoissant comme ça te plaît, angoissant que tu aies cette envie de sourire de satisfaction alors que tu ne devrais pas. Tu viens mordiller sa lèvre inférieure alors que tes mains viennent chercher ses poignets, tu diriges ses mains le long de ton corps, terminant leur course sur tes fesses et une fois chose faites, tu l'embrasses à nouveau, profitant de ta main libre pour la glisser dans sa nuque tandis que la deuxième prend appui sur le matelas. Là, tu lui demandes indirectement de te toucher, de ne plus fuir. C'en est presque un ordre. D'ailleurs, échangeant toujours ce baiser, ta main précédemment dans sa nuque glisse vite sur son torse, tu caresses sa peau à travers sa chemise tout en la descendant un peu plus bas, et là, c'est sa virilité que tu frôles de tes doigts. Tu ne comprends pas ce qu'il se passe, t'en as sans doute pas encore conscience puisque c'est ton désir pour lui qui parle et agit à ta place, t'en sais rien, rien du tout mais tout ce que tu sais, c'est que tu as besoin de plus. Pourquoi ? Tu ne sais pas, tu t'en fous, ce soir, t'en veux plus. Tu en as besoin.  


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Sam 14 Oct - 2:08
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Tenue ☾ C'est quand il te touche que tu sens ton être tout entier s'enflammer. C'est aussi là que tu perds le contrôle, que tes pulsions deviennent aveuglantes. Elles brouillent tout. Elles te font oubliés tes doutes et tes craintes. Tout s'éclaircit dans ta tête. Tu ne penses qu'à une chose : lui. Tu ne vois que lui, tu ne veux que lui, que ce soit contre cette porte, à même le sol ou dans le lit. Tu t'en fous, tu le veux et même si ça doit durer que quelques minutes, tu es prêt à prendre les plus gros risques. Tu veux le possédé, le faire tien. Tu ne réfléchis plus, tu ne cherche pas à résister plus longtemps à ce que ton âme toute entière t'ordonne de faire. Non, tu lâche cette bestialité soudaine sur lui. Tu le plaque avec force contre la porte. Et puis tout s'accélère, tout va plus vite, te voilà les lèvres contre les siennes. Tu goûtes une nouvelle fois à ce qui t'a fais perdre pied il y a quelques jours. Et l'effet est plus puissant aujourd'hui. Tu es foudroyé par un désir qui se veut plus ardant. Tu te colles à lui pour sentir son corps contre le tien, pour sentir son cœur battre au même rythme que le tien. Tes pensées s'affolent et bousculent dans ta tête mais tu n'y prête même plus attention. Il est trop tard pour avoir des regrets, il est trop tard pour penser à demain. Non, là tu savoures, tu es curieux de lui, de son corps. Tu as l'impression de redécouvrir celui qui fut il y a quelques jours de ça ton meilleur ami. Maintenant, ce n'est plus le cas, tu n'en as pas conscience mais depuis votre baiser, tu ne vois plus Yury comme un ami. Et après ça, tu ne le verra plus jamais comme tel. Tu le sais quand tu le sens se coller à toi, tu as la soudaine impression que vous êtes tous les deux prêt à vous perdre l'un dans l'autre. Il agrippe tes cheveux avec une violence qui te rend complètement fou, qui te fait perdre pieds, tu pose ta main contre la porte comme pour tenter de garder les pieds sur terre. Tu ne veux pas laissé ta bestialité gâcher ce moment. Tu as envie d'apprécier chaque contact, aussi minimes soient-ils. Tu résistes encore à cette animosité qui naît en toi, et qui s'empare de tout ton corps. Tu te sens peu à peu devenir sa marionnette. Même si pour le moment, tu repousses l'instant où tu la laisseras totalement prendre le contrôle. Yury s'éloigne de la porte pour te pousser vers le lit. Ta mâchoire se serre. Le désir est trop fort, il faut que tu l'es contre toi, qu'il n'y ait plus aucunes distances entre vous. Maintenant que tu as effleuré ses lèvres à nouveau, tu ne veux plus aller nulle part, et tu ne veux plus qu'il s'éloigne. Comme si la distance que tu voulais mettre il y a quelques minutes de ça pouvait à cet instant t'être fatale. Il te pousse dans le lit et vient se placer au dessus de toi. Tu te mords la lèvre pour ne pas te mettre au dessus de lui. Ton instinct te dicte de reprendre le dessus, de lui montrer qu'il est à toi, de lui faire part du désir qui brûle le corps. Mais voilà qu'il t'embrasse et tes mains s'enroulent autour de lui pour le plaquer contre toi, une main venant se glisser à nouveau dans ses cheveux. Tu luttes pour ne pas laisser tes pulsions venir lui toucher la peau. Les mains de Yury descendent le long de ton corps pour venir se poser sur ta ceinture. A cet instant, tu veux lui ordonner de te toucher pour calmer ce feu ardant qui te brûle l'estomac. Oui, parce que tu veux qu'il te possède lui aussi, qu'il te dévore au même titre que toi tu souhaites le dévorer. Il met fin à votre baiser et toi, tu t'accroche encore à ses lèvres avant de les laissées s'échapper. Il se redresse et malgré l'obscurité de la pièce, tu aperçois son visage et tu le trouves d'autant plus beau maintenant qu'il est au dessus de toi. Un sourire s'affiche sur ses lèvres, une sourire que tu n'avais jamais vu avant aujourd'hui. Et puis, il prend un malin plaisir à retirer ta ceinture, à jouer avec ta patience. Tu résistes, tu refuses de gâcher ce moment en précipitant les choses. Quand la ceinture tombe au sol, il se penche à nouveau vers toi, rapprochant son visage du tien. Votre souffle est fort, votre désir est commun. Il mordille ta lèvre, et tu ne peux t'empêcher de grogner de désir. C'est la bête en toi qui s'exprime, elle n'attend qu'une chose : que tu la libère. Tu sens ses mains prendre les tiennes et se poser sur lui t'invitant à prendre possession de son corps. Alors sans attendre tu fais pression sur son bassin pour qu'il sente tout l'effet qu'il te fait. Ses lèvres capturent à nouveaux les tiennes et tu ne peux t'empêcher de planter tes ongles sur ses fesses. Ta peau semble te brûler agréablement. Ton cœur lui, il s'emballe, il palpite beaucoup trop fort. Sa main descend le long de ton corps finissant sa course sur ton membre qui commence à se faire beaucoup trop étroit dans ton pantalon. Un grognement de plaisir s'étouffe entre ses lèvres. Cette fois, tu ne peux plus tenir, tu ne veux pas lutter, tu te redresses d'un coup, déchirant sa chemise dans un élan de bestialité. Et puis, tu détache ton visage du sien pour le regarder dans les yeux. Votre échange dur quelques secondes à peine, juste le temps pour toi de voir ce quelque chose de nouveau dans le regard de Yury. Ensuite, tu viens lui tirer les cheveux le poussant à pencher la tête sur le côté t'offrant une vue parfaite sur son cou. Sa peau t'appelle et tu ne tarde pas à y répondre en venant y déposé ta langue. Elle suit le chemin d'une veine apparente pour finir sa course sur son lobe d'oreille que tu mordilles. On peut t'entendre grogner doucement à chaque fois que tu enfonces tes dents dans sa chair. Sans attendre plus longtemps, tu le retourne pour être cette fois au dessus de lui. Ton excitation semble grimper d'un cran, le sentir en dessous de toi te fais plus d'effet que tu ne l'aurais imaginer. Tu viens profiter du fait que tu sois entre ses cuisses pour plaquer ta virilité contre la sienne poussant un léger soupire de désir que tu viens étouffer contre ses lèvres. Tes mains ayant soif de son corps, elles descendent le long de son torse frôlant chaque parcelles de sa peau. Et comme tu l'avais imaginé, il a la peau aussi douce que ses lèvres, et tu ressens le besoin de venir la goûter. Alors tu mets fin à votre baiser pour venir savourer sa chair, tout doucement tu descends le long de son torse prenant le temps de t'attarder sur ses abdos laissant un léger suçon. C'est comme si tu laissais ta marque, comme si tu avais besoin d'immortalisé ce moment pour qu'il ne l'oublie pas ne serais-ce que pour quelques jours. Maintenant, c'est à ton tour de lui retirer sa ceinture, sauf que toi, tu ne veux pas prendre ton temps, tu ne veux pas y aller doucement alors même si tu le fixe d'un regard plein de malice, tu tire un coup sec sur le morceau cuir et le jette par terre. Tu ne reste pas plus longtemps à le regarder, tu préfères revenir près de lui même si tu ne l'embrasse pas, tu laisse une distance de quelques millimètres entre vos deux visages. Tu t'éloignes même encore un peu quand, à nouveau, ta main frôle son torse bouillant. Tu souris en pensant à ce que tu es sur le point de faire et tu le fais exprès. Ton sourire, tu veux qu'il le voit même s'il fait sombre dans la pièce, tu veux qu'il voit ce sourire carnassier sur ton visage. Ta main finit sa course sur le seul et unique bouton de son pantalon que tu ne tarde pas à enlever et puis, tu baisses cette braguette avant de laisser ta main un peu trop gourmande venir se faufiler dans son caleçon pour faire la rencontre avec sa virilité. Ton sourire s'agrandit. Tu veux le voir se tordre de plaisir sous tes caresses, tu veux l'entendre souffler de désir et tu veux le voir perdre ses moyens comme toi tu as perdu les tiens. Tu veux qu'il voit dans ton regard que tu le désir plus que jamais, que tu ne veux que lui et qu'aujourd'hui, il est à toi comme toi tu es à lui.


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Sam 14 Oct - 18:17
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Tenue ☾ Tu es victime de ce désir que tu ressens pour lui. Ce désir soudain et encore inexpliqué. Ce baiser t'a complètement chamboulé, tu le sais, tu n'as cessé d'y penser mais jamais tu n'aurais cru que ça aurait installé cette tension entre vous, ce désir. Il peut le ressentir lui aussi, tu le vois à la façon dont il te regarde, dont il crispe sa mâchoire et ça t'excite, tu es encore plus assoiffé de son corps. Peut-être que tu délires complètement et dans ce cas-là, ta folie n'aurait jamais été aussi réciproque. Et à en voir la force dont tu uses pour le pousser dans le lit, on pourrait se demander si tu lui en veux pas un petit peu de te mettre dans un tel état, parce que c'est le cas. Toi t'es largué, tu ne comprends strictement rien et après ça, tu risques de l'être davantage. C'est lui qui a foutu le bordel dans ta tête, lui qui te rend comme ça et tu ne sais pas pourquoi, tu n'y trouves aucune explication et ce n'est certainement pas ce soir que tu les trouveras. Non, ce soir, tu te laisses aller à tes désirs les plus charnels, les plus fous et même, les plus effrayants. Ceux que tu découvres en même temps que lui. Tu te retrouves donc sur lui, lui ôtant sa ceinture avant de venir lui mordiller la lèvre, chose à laquelle il réagit très vite en grognant de désir et toi, ça te fait doucement sourire. Tu ne sais pas pourquoi tu aimes autant l'entendre dans cet état, pourquoi tu aimes entendre l'effet que tu as sur lui. Toi qui, encore avant d'entrer dans cette pièce, était loin de t'imaginer que tu avais un quelconque effet sur Tadashi. Non toi, tu étais encore persuadé qu'il pensait un peu trop à ta sœur jumelle quand il t'a embrassé mais heureusement pour toi, tu n'as pas le temps de réfléchir, ton désir prend beaucoup trop de place pour ça. Ce désir qui te pousse à te saisir de ses mains et les poser sur ton corps, t'as besoin de le sentir mais aussi, de lui donner indirectement l'autorisation d'aller plus loin, de continuer. Et là, Tadashi fait pression sur ton bassin tandis que tu reprends possession de ses lèvres, étouffant un gémissement discret mais surtout, incontrôlé. Oui, incontrôlé lorsque tu sens son érection tout contre toi. D'ailleurs, ta main se fait un peu trop curieuse puisqu'elle vient s'y aventurer pour le sentir davantage, par dessus son pantalon, et t'es satisfait lorsque tu entends à nouveau ce grognement qu'il lâche. Pourtant, il te surprend bien trop rapidement puisqu'il se redresse brusquement, et tu n'as même pas le temps de le questionner du regard qu'il déchire ta chemise. Saisi, tu baisses le regard vers ton corps dénudé et tout ce que tu peux y voir, c'est ton ventre se soulevant au rythme de ta respiration saccadée. Et puis tu replonges ton regard dans celui de Tadashi, t'es complètement surpris, on pourrait même croire que tu as retrouvé un peu de lucidité mais ce n'est même pas le cas, t'es simplement saisi par cette nouvelle vague d'excitation qui t'envahit. Mais tu n'as même pas le temps de réagir, ni même de penser à quoi que ce soit, qu'il vient aussitôt te tirer les cheveux, te forçant ainsi à pencher la tête. Tu grimaces légèrement, non pas de douleur, mais bien parce que tu commences à perdre le peu de contrôle que tu avais, parce que ton désir se fait bien trop envahissant, bien trop puissant, c'est effrayant. Aucun homme ne t'a jamais touché et là, tu t'offres à Tadashi comme si tu en crevais d'envie, et c'est le cas. C'est une réponse à l'une de tes questions. Tu ne peux plus le nier. Alors ta main vient lui attraper son poignet, non pas pour retirer sa main agrippant tes cheveux, mais plutôt parce qu'encore une fois, tu as besoin de le toucher, de le sentir. Mais tu fermes très vite les yeux lorsque tu sens sa langue s'aventurer dans ton cou, ta respiration se fait d'autant plus bruyante, on peut même y entendre un son de plaisir s'échapper d'entre tes lèvres. Tu as l'impression que tu vas réellement devenir fou, entre l'incompréhension et cette puissante excitation, que lorsque Tada lâche un énième grognement, tu te mordilles la lèvre comme pour t'empêcher de lui crier d'arrêter. Non pas parce que tu souhaites qu'il arrête, bien au contraire, c'est tout ce désir qui te colle dans le ventre, entre tes jambes et dans ta tête qui te rend juste totalement taré, tu ne sais pas comment arrêter tout ça, tu ne veux pas. Et une nouvelle fois, tout se passe très vite, Tadashi te retourne afin de se positionner sur toi, et ton regard ne peut se détacher du sien. Le voir au dessus de toi te permet une nouvelle fois de te rendre compte des choses, tu es coincé ici, dans cette cage que tu as toi-même construite, mais cette sensation n'a jamais été aussi délicieuse qu'à cet instant. Aussi étrange et inexpliquée ça puisse être. Pourtant, tu n'as pas le temps de penser à grand chose puisque tu le sens, entre tes cuisses, plaquant sa virilité contre la tienne ce qui a pour effet de te faire lâcher un soupir de désir, en même temps que lui, c'est ce même souffle que vous partagez. Ton cœur s'emballe, s'enflamme dans ta cage thoracique, tu es sûr qu'il puisse le sentir lui aussi. Tu as l'impression qu'il va exploser d'une minute à l'autre. Tu frissonnes sous chacune de ses caresses, reprenant un peu ta respiration lorsqu'il quitte tes lèvres. Tout ce désir t'essouffle, te fait perdre la tête, alors même si tu baisses un court instant ton regard dans sa direction, l'arrière de ton crâne vient très vite se reposer sur le matelas. Tes yeux sont clos comme pour apprécier davantage la sensation de ses baisers chauds sur ton corps, tes deux mains viennent même se glisser dans ses cheveux, suivant également le chemin de son visage sur ta peau. Mais tu finis par lui agripper davantage les cheveux lorsqu'il te fait ce suçon, ton bassin se soulève même quelque peu d’excitation, et tu lâches à nouveau, ce son de plaisir. Ça, avant qu'il vienne s'occuper de ta ceinture, tes mains quittent doucement ses cheveux tandis que tu rouvres les yeux, avec difficulté, toujours  victime de cette respiration saccadée illustrant ton envie de lui. Mais tu croises son regard, il te lance ce regard malicieux, toi, tu ne souris plus, ton regard est vidé de tout expression tant tu es submergé par ces vagues de désirs intenses, il vient de déconnecter ton cerveau, incapable de réfléchir ni de faire quoi que ce soit, tu veux juste te laisser faire, te laisser aller dans ses bras, ô combien c'est inquiétant de ressentir ça, c'est si fort, si puissant. Il tire ta ceinture d'un coup sec, et ta chaleur corporelle grimpe encore d'un cran en l'observant agir de cette façon. Tu veux t'offrir à lui, ce sentiment est si fort que pendant un court instant, il te fait même oublier que ça sera ta première fois avec un homme, que tu devrais sans doute stresser et c'est le cas, au fond, tu n'es pas si entreprenant que ça mais tu n'as pas d'autre choix que de te laisser noyer par ce désir, c'est beaucoup trop bon. Alors quand il revient près de toi, ta main se plaque dans sa nuque, tu soulèves même légèrement le menton, signe que tu cherches ses lèvres, que tu en as besoin mais il ne le fait pas, il ne t'embrasse pas, il s'éloigne même de toi en affichant ce sourire au moment où il déboutonne ton pantalon. C'est un tout autre Tadashi qui se trouve face à toi, au dessus de toi, un Tadashi que tu désires que trop. Alors quand il faufile sa main dans ton caleçon, rencontrant ta virilité, l'arrière de ton crâne se laisse violemment tomber sur la matelas. Comme si ce geste pouvait y passer ta frustration mais là, ce sont des vagues de plaisirs qui t'envahissent, des soupirs que tu ne cherches même pas à contrôler. Même pas tes gémissements qui commencent à se faire de moins en moins discrets, et submergé par le plaisir, tu viens te saisir du visage de Tadashi, tu l'approches de toi et capture fougueusement ses lèvres. Ce baiser étouffe certains de tes gémissements même s'il ne dure qu'un court instant, un court instant avant que tu y mettes fin puisque ta bouche, toujours collé à la sienne, vient s'entrouvrir pour y laisser passer ta respiration bruyante et haletante, ta respiration illustrant à merveille tout ce plaisir qu'il t'offre. Tu daignes à replonger ton regard dans le sien, sachant pertinemment qu'il saura également te faire perdre pied en un regard mais tu as besoin de le regarder, de lui montrer que là, tu as beaucoup trop envie de lui. Tu découvres tout ça, toi aussi, mais tu découvres aussi une réciprocité dans son regard. Tu ne comprends strictement rien à ce qu'il se passe, comment vous en êtes arrivés là mais tu as cette sensation de réconfort, comme si tu te trouvais là où tu devrais être. Parce que là, tu te sens étrangement bien, entouré par son corps bouillant, sachant qu'il n'ira nul part, qu'il restera avec toi à t'accorder toute son attention. Peut-être que tu deviens vraiment fou, ou c'est peut-être ce puissant désir qui te pousse à penser ça, quoi qu'il en soit, ce sentiment est là. Alors tes deux mains encore sur ses tympans se baissent au niveau de sa chemise et tu lui retires un à un ses boutons, tu ne te montres pas aussi rapide que lui non, toi, tu prends un peu plus ton temps même si là, tu ne peux plus attendre. Tu as cette boule de désir prête à exploser au beau milieu de ton ventre, ta respiration et tes gémissements n'arrangent rien. Et une fois chose faite, tu passes tes mains sur son torse, tu le caresses, venant même lui attraper les épaules pour qu'il baisse son visage vers toi dans le but de venir y enfouir le tien dans son cou. C'est ce que tu fais. Tu viens coller tes lèvres contre sa peau, ne retenant même plus tes soupirs de plaisir, aussi bruyants soient-ils, tu te surprends même à gémir son prénom d'une voix presque inaudible, à bout de souffle tant ce désir en devient incontrôlable. Et doucement, tes mains se baissent à nouveau, caressant son torse et s'arrêtant au niveau de son pantalon pour en défaire le bouton. Maintenant, tu passes à la vitesse supérieure, tu ne prends plus vraiment ton temps puisqu'au moment où tu baisses la braguette de son pantalon, baissant légèrement ce dernier, tu ne te fais pas prier pour glisser, à ton tour, ta main dans son caleçon. Toi aussi, tu veux lui faire plaisir, toi aussi tu veux le rendre fou, l'entendre prendre du plaisir grâce à toi. Alors doucement, tu te saisies de sa virilité, soulevant légèrement ton bassin pendant un court instant dû au désir qui t'enivre, dans le but également de l'exciter lui aussi. Tu commences alors de doux vas-et-vient, tentant de rester silencieux les prochaines secondes pour l'entendre, lui. C'est officiel, tu commences réellement à perdre la tête, tu n'as plus conscience de rien, simplement du plaisir qu'il t'offre, de ce désir que tu éprouves pour lui et c'est tant mieux, parce que tu te surprends à adorer ça, à en avoir besoin, plus que tu ne l'aurais cru.  Et toujours ton visage dans le creux de son cou, tu diriges tes lèvres vers son oreille afin qu'il puisse parfaitement entendre l'effet qu'il a sur toi, ta respiration haletante et tes gémissements aussi. T'as envie de lui dire qu'il t'excite, que tu as envie de lui, et tu ne sais pas pourquoi tu ne le fais pas. Peut-être parce que tu sais que tu te l'avouerais également à toi-même, te reste t-il encore un peu de lucidité ? Pas sûr, puisque tu finis par lui souffler, chaudement. « Je te veux. » Ta voix cassée trahie ton état. Tu le veux. Maintenant, tout de suite. Tu ne peux plus attendre, c'est impossible. Tu veux le sentir en toi, tu veux qu'il te possède. Il vient de te rendre complètement fou en agissant de cette manière, et toi aussi tu y lis du désir dans son regard, tu succombes. Tu ne sais pas s'il compte jouer encore longtemps mais toi, tu lui fais comprendre que tu ne peux plus attendre. L'arrière de ton crâne se repose aussitôt sur le matelas dans le but de pouvoir le regarder à nouveau, tes mouvements du poignet n'ont cessés à aucun moment, mais là, toujours la bouche entrouverte pour y laisser passer ta respiration, tu plantes ton regard dans le sien. « Prends-moi. » Ce n'est pas un ordre, mais une supplique. Qu'il te prenne, de la manière dont il souhaite mais qu'il le fasse, ton désir pour lui ne demande qu'à être assouvi.


 


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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Mer 18 Oct - 0:53
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tadary

Tenue ☾ Il y a quelque chose d'animal en toi. Plus les secondes avancent et plus tu te vois devenir de plus en plus bestial. Tu ressens le désir de vouloir lui mordre la peau comme un guépard planterait ses crocs dans la cuisse d'une gazelle. Tu te découvre une facette de toi-même que tu n'aurais jamais soupçonné. Est-ce que c'est le désir pour Yury qui te rend comme ça ? Est-ce que c'est le fait de n'avoir aucun contrôle sur toi-même qui libère en toi cette férocité ? Oui, le désir qui te consume et qui te fait perdre le peu de lucidité que tu avais ne calme pas cette brutalité. Tu pourrais en avoir peur, tu pourrais être effrayé d'être si violent dans tes actes -plus violent qu'à ton habitude- mais ce n'est pas le cas, c'est comme si tu ressentais le besoin de lâché cette animal ainsi que toute la force qu'il génère en toi sur Yury. C'est comme si ça pouvait calmer cette pulsion alors qu'en fait, ça ne fait que l'alimenté. Cette envie d'être au plus près de lui te fait perdre les pédales. Tu ne t'ai jamais retrouvé dans une telle situation, tu n'as jamais autant désiré faire l'amour à quelqu'un. Et ça devrait t'inquiéter, ça devrait même être une bonne excuse pour stopper tout ça mais non, il n'y a rien à faire. Rien ne pourra calmer cette attirance. Il est trop tard. Et puis même si tu pouvais arrêter, tu ne ferais pas. Tu en meurs d'envie. Tu crève de désir pour lui. Maintenant qu'il est là entre tes bras, tu ne veux plus qu'il aille nulle part, et tu ne veux que lui. Tu le possèdes, il est à toi ne serais-ce que pour quelques instants. Peu importe si votre acte charnel ne dur que quelques minutes, tu t'en fous, il aura été tien avant de t'échapper pour toujours. Tu le sais après ça, il y aura des conséquences, votre relation sera foutue, il ne pourra même plus te regarder dans les yeux. Tu en souffrira sûrement mais qu'est-ce que ça peut te foutre ? Tu es prêt à prendre le risque, tu es prêt à laisser cette folie détruire tout sur son passage simplement pour qu'il t'appartienne qu'un petit instant. Mais là, tu ne penses qu'à lui, qu'à vous deux. Tu le dévore, découvrant chaque partie de son torse déposant tes lèvres sur son corps qui brûle. Il bouge à chaque fois que tu le touche et toi tu sens que ton corps approche de plus en plus de ses limites. Oui, tu veux qu'il se torde de plaisir sous tes caresses mais ce que tu veux encore plus, c'est le posséder d'une tout autre manière. Alors quand tu retires sa ceinture et que tu viens de nouveau lui faire face, tu ne lui pas tout de suite tes lèvres. Oh tu brûle d'envie de lui meurtrir les lèvres mais tu préfères venir jouer avec son membre. Et là, commence quelque chose que tu n'aurais jamais cru être aussi jouissif. Yury ne se contrôle même plus, ses gémissements en sont la preuve et toi, tu peux pas t'empêcher de venir te mordre violemment la lèvre tant l'excitation te fait perdre la tête. Il attrape ensuite le visage pour venir étouffé ses gémissements et tu le laisse emprisonner tes lèvres. Tu continues tes douces caresses jouant avec cette partie du corps qui t'étais inconnue avant aujourd'hui. Votre baiser s'arrête et vos regards se croisent, tout est électrique et à cet instant tu ne vois que lui. Tu vois aussi qu'il ressent la même chose que toi. Tous les deux êtes esclaves de vos pulsions. Les mains de Yury descendent pour venir retirer les boutons de ta chemise, il prend son temps et ça te rend fou, tu veux qu'il arrache ta chemise pour que tu sentes ses mains sur ta peau bouillante. D'un coup tu manques de patience. Enfin, ses mains se posent sur ta peau et tu ne peux pas t'empêcher d'augmenter la cadence de tes caresses signe que ton excitation est de plus en plus grande. Il te force ensuite à te rapprocher de lui et tu sens son souffle dans ton cou et tu frissonne. Ses lèvres déposent de douce caresses sur ta peau et tu soupir de plaisir en même temps que lui. Tu veux lui mordre la peau pour tenter de te contenir face à toutes ces sensations qui parcourent mais tu ne le fais pas, tu préfères gémir en même temps que lui. Il te rend fou et tu veux qu'il le sache. Pendant une seconde, tu penses entendre ton prénom dissimulé au milieu de ses souffles de plaisir mais tu n'en ai pas sûr. Est-ce que tu hallucine ? Tu n'as pas le temps de te poser plus de question puisque les mains de Yury finissent par arrivé là où tu voulais qu'elles soient : sur ta virilité. Et là, tu ne te contrôle même plus, tu attrapes l'oreiller derrière lui pour le serrer fort. Et puis, tu serres les dents poussant des gémissements qui sonnent plutôt comme des grognements bestiales. Tu fermes les yeux tellement le plaisir t'enivre. Tu veux lui ordonner de continuer mais tu ne trouve pas la force. Quand tu ouvre les yeux, tu viens lui mordre le cou étouffant tes cris de plaisir. Il s'approche de ton oreille pour te laisser entendre le plaisir que tu lui procure. Tu continues de serré cet oreiller de toutes tes forces mais tu atteins bientôt tes limites et tu ne pourras bientôt plus contenir tout ce quelque chose qui te fera perdre toute lucidité. « Je te veux. » Sa voix qui s'étouffe dans ses soupirs et toi, qui serre les dents pour ne pas pousser un rugissement. Vos regards se croisent à nouveau. Vous vous fixez avant que Yury te souffle : « Prends-moi. » Tu le vois dans son regard qu'il ne peut plus, qu'il veut la suite et tu ne vas pas perdre ton temps plus longtemps. Tu en crèves d'envie toi aussi, et lui faire plaisir ne suffit plus. Il te faut plus maintenant. Alors tu te redresses et tu le déshabille avant de revenir te placer entre ses cuisses. Tu ne prends même pas le temps d'enlever tes vêtements, tu es trop impatient, tu ne tient plus, tu le veux tout de suite. Sans attendre, tu viens enrouler ses jambes autour de toi en collant ton corps au sien. Tu sens son torse contre le tien. Son cœur s'emballe au même rythme que le sien. Tes doigts viennent s’immiscer en lui, tu n'oublies pas que c'est sa première fois et même si tu voudrais passer cette étape pour le posséder, tu ne veux pas que ça soit un souvenir trop douloureux pour lui. Alors après quelques minutes à jouer avec sa prostate et l'entendre pousser ses gémissements, tu décides d'enfin entrer en lui. Tu commences doucement bien que tu ai envie d'être bestiale, de laisser cette férocité s'exprimer mais tu veux prendre ton temps. Tu le regardes pour voir sa réaction, pour le voir découvrir la sensation de t'avoir en lui. Tu veux qu'il te sente le possédé, tu veux qu'il te sente lui donner du plaisir parce que c'est tout ce que tu veux. Tu contiens même plus tes gémissements, tu te fous bien de qui peut vous entendre parce que personne n'est entrain de vivre ce que tu vis là. Personne ne brûle autant de désir que vous deux. Vous êtes tous les deux collés l'un à l'autre, vous consumant petit à petit au rythme de tes mouvements qui s'amplifient doucement. Tu viens l'embrassé avec ardeur, en les mordant même. Tes lèvres viennent ensuite se posées sur son cou. Tu lui suces la peau comme si tu voulais t'enivrer d'elle. Peu à peu, tu te sens perdre pieds. Tu as la douce impression de quitter le sol, de t'envoler doucement. La sensation est agréable, elle te prouve que ce que tu ressens pour Yury est plus fort que tu ne veux te l'avouer. Et puis, tu accélères tes mouvements plus tu te perd en lui et te noies dans tes émotions. C'est comme si vous ne faisiez bientôt qu'une seule et même personne, comme si à force de brûler de désir l'un pour l'autre, vous alliez vous consumez tous les deux. Malheureusement, cette sensation ne peut pas durer éternellement et cette fois, tu veux lâché cette animosité une bonne fois pour toute. Tu viens attrapé une de ses mains pour la plaquer contre le matelas avant d'enlacer tes doigts dans cette dernière. Pendant quelques secondes, tu te demande si tout ce que tu vis là est bel et bien réel alors tu sers fort la main de Yury, tu veux être certain qu'il est là, avec toi et qu'il vit tout ça en même temps que toi et avec la même intensité. Tu viens le regarder droit dans les yeux en intensifiant tes mouvements de bassin, tu es d'un coup plus brusque, et moins doux qu'au départ parce que tu ne te contrôle plus, tu as perdu toute lucidité et c'est cette brutalité qui s'exprime. Et puis, très vite, c'est l'orgasme et tu viens pousser ton ultime gémissement animal au creux de son oreille. Ça dure quelques secondes durant lesquelles tu as des spasmes de plaisir alors que Yury peut entendre ta respiration qui se fait forte. Tu finis par rouler sur le côté alors que, les yeux fermés, tu profites de l'agréable sensation qui t'envahis soudainement. Tes muscles se détendent suite à l'effort et tout doucement tu semble redescendre sur terre. La réalité ne te frappe pas encore, tu ne réalise pas tout ce qui vient de se produire, non tout ce qui te vient à l'esprit, c'est que tu n'en as pas eu assez.


 


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