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high for this {ft. tadary} +18

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Re: high for this {ft. tadary} +18 | Ven 20 Oct - 23:47
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tadary

Tenue ☾ Tes paroles se sont échappées d'entre tes lèvres sans que tu aies aucun contrôle là-dessus. Tu n'as plus aucun contrôle, ni sur Tadashi, ni sur toi-même. Tes désirs sont envahissants, ils t'aveuglent et te font agir à ta place. Tu as cette étrange impression d'être spectateur de ce qu'il se passe, de ne pas avoir ton mot à dire et c'est le cas, puisque c'est dans ses bras que tu te laisses bercer. Il peut bien faire ce qu'il veut de toi, et c'est bien ça qui devrait t'inquiéter. Est-ce que ça t'inquiète ? Non, pas encore. Tes battements cardiaques rapides résonnent trop forts contre ta poitrine pour entendre ton inquiétude te hurler de t'arrêter, d'arrêter tout ça. L'inquiétude ou la raison ? T'en sais rien, tu n'as plus aucune notion de ce qui est bien ou mal. De ce que tu devrais faire ou ne pas faire. Ton désir est si puissant qu'il commence à tout ravager sur son passage. Si puissant, si incontrôlable que même après avoir glissé ta douce main dans son caleçon, jouant avec son membre fièrement durci pour toi, ne te suffit plus. T'as besoin de plus, besoin de le sentir en toi, te posséder. Tu veux qu'il ne fasse qu'une bouchée de toi, c'est un peu l'avant-goût qu'il t'a donné en agissant avec une telle domination. Tu ne peux plus attendre et tu ne cherches même pas à camoufler ton impatience, bien au contraire, tu veux qu'il le comprenne. C'est la première fois qu'une telle envie prend possession de ton esprit, telle une obsession que seul lui peut calmer. Tout continue de se passer rapidement, puisqu'il se redresse, t'ôtant ton pantalon par la même occasion mais lui ne prend pas la peine de se déshabiller. C'est encore une vague de désir qui t'envahit lorsque tu le vois agir, comme si le moindre de ses mouvements te faisait un effet que tu n'aurais jamais imaginé, et c'est le cas, c'est juste tout nouveau pour toi. Tout nouveau et encore inexpliqué mais tu le laisses faire, tu te laisses faire depuis de nombreuses minutes maintenant. Parce que ça t'excite de le voir dominer l'acte, c'est vrai, mais pas que. Tadashi, tu lui as toujours fait confiance. Tu ne saurais expliqué pourquoi mais ç'a toujours été comme ça, depuis la première fois que tu as posé tes yeux sur lui. Tu mentirais si tu disais que tu ne t'étais pas méfié mais ça n'a duré qu'un court instant, tellement court que tu ne t'en rappelles même pas. Ouais, Tadashi, tu lui fais confiance. Tu lui confierais tout ce que tu as de plus cher et les yeux fermés. C'est sans doute pour cette raison que tu ne te montres pas si entreprenant, tu n'es pas habitué à vivre ça, on parle quand même de ta première fois avec un homme et aussi puissant soit ce désir qui t'empêche d'avoir les idées claires, ça, tu en as encore conscience. Ça ne t'arrête pas, non, mais tu le sais. Ça ne se voit peut-être pas mais tu commences à être anxieux à cette idée, pourtant, il peut certainement entendre tes battements de cœur qui s'accélèrent jusqu'à atteindre un rythme effréné, d'excitation, d'anxiété bien que le désir prend rapidement le dessus, comme depuis de nombreuses minutes maintenant.Tu pourrais te demander ce qu'il te prend pour te donner aussi rapidement à un homme, sans aucune préparation psychologique mais tu n'en as pas besoin, c'est ta confiance envers lui qui entre en jeu désormais sans même que tu puisses t'en rendre compte. Il doit passer à l'action, toi, tu ne tiens plus. Tu as besoin qu'il te fasse connaître cette nouvelle sensation qui t'obsède depuis quelques minutes. Parce qu'après avoir senti sa virilité, après cette pluie de baisers enflammés déposé sur ton corps et la douce mélodie de ses gémissements, tu ne peux tout simplement plus attendre une seule seconde de plus. Il passe tes jambes autour de sa taille et toi, tu le serres d'une force que tu ne contrôles même pas. Tu le plaques contre toi, l'empêchant de s'en aller. Tu n'as peut-être pas autant de force dans les bras mais dans les cuisses, c'est une toute autre histoire et là, tu n'hésites pas à t'en servir. Comme si tu avais peur qu'il s'envole, que tout s'arrête, une crainte qui ne devrait même pas être présente. Et là, tu sens ses doigts s'immiscer en toi. Tu as ce réflexe de cambrer légèrement ton corps face à cette nouvelle sensation, rapprochant, de cette manière, tes lèvres des siennes. Pourtant, ce ne sont que des soupirs de plaisir qui passent la barrière de tes lèvres, ton cœur lui est prêt à exploser, un de tes bras vient se passer sous sa chemise et plus exactement, sous son aisselle afin d'agripper fermement son épaule. Son corps est bouillant, comme le tien, alors que tu lâches ton premier gémissement lorsqu'il commence à jouer avec ta prostate. Un premier gémissement suivi par d'autres, plus poussés que tu ne contrôles même plus, et c'est ta deuxième main qui vient se loger dans son dos, agrippant sa chemise d'une certaine force tant le plaisir t'enivre mais ce n'est rien comparé au moment où tu le sens glisser en toi. C'est un gémissement plus rauque que tu pousses à ce moment là, un gémissement de plaisir mais de douleur aussi. Oui, tu ressens de la douleur mais encore une fois, c'est le plaisir qui prend le dessus. Ta tête vient se loger dans son cou pendant un court instant, un court instant dont tu profites pour plisser fermement les yeux, tentant de te concentrer sur le plaisir qu'il te procure lorsqu'il commence doucement ses vas-et-vient. Tu ne contrôles plus ces sons qui sortent d'entre tes lèvres. Tu tentes de contenir tes sons de douleur parce que non, tu ne veux pas qu'il s'arrête, tu veux que ton corps s'habitue à lui, à sa présence, à cette pénétration que tu désirais tant. Ce n'est que quelques secondes plus tard que tu laisses l'arrière de ton crâne retomber sur le matelas, croisant ainsi son regard, ne retenant pas cette respiration haletante qui te chatouille la gorge. Et tu arrives à lire dans son regard la réciprocité de cet échange, tu voulais qu'il te possède oui, mais lui aussi voulait te posséder. Il te lance ce regard qui pourrait te consumer sur place et toi, tu te laisses fondre. Et lorsque tu entends ses gémissements, se mêlant en parfaite symphonie avec les tiens, tes paupières se ferment doucement. Tu apprécies chaque sensation, chaque son qu'il t'offre. Ta main toujours agrippé à sa chemise vient très vite reprendre sa place initiale mais sous sa chemise cette fois, tu plantes tes ongles dans la peau de son dos bouillant sans en avoir conscience. T'as besoin de sentir chaque parcelle de son corps. Il vient alors prendre possession de tes lèvres dans un baiser torride, avec tant d'ardeur qu'une vague de plaisir t'envahit aussitôt. Tu viens même lâcher un gémissement plus poussé étouffé par ses lèvres et dans un geste poussé par le plaisir, ta main droite quitte alors son dos pour descendre le long de son corps, glissant dans son caleçon à moitié baissé dû à ses vas-et-vient et lorsque tu sens ses lèvres se poser dans ton cou, commençant à te sucer la peau, c'est fermement que tu viens lui agripper la fesse. Avec envie, désir. Parce que là, tu as besoin de le toucher mais de sentir aussi ses pénétrations d'une toute autre manière, tu veux que ta main puisse sentir ses mouvements du bassin. Et doucement, tu viens pencher la tête sur le côté comme pour lui offrir un meilleur accès. Tu as envie qu'il continue encore, qu'il ne s'arrête pas, que ça soit ses baisers mouillés, ses gémissements qui te font décoller ou ses vas-et-vient dont tu commences à y prendre un certain goût. La douleur est encore là, elle te fait même parfois serrer les dents, mais le plaisir qu'il t'offre parvient à te donner l'envie et la force de passer outre. Tellement que parfois, tu l'oublies. Pendant un court instant puisqu'elle se fait davantage présente lorsqu'il accélère ses mouvements. À nouveau, tu viens serrer tes cuisses autour de sa taille, tes gémissements eux, se font plus bruyants encore. Incapable de fermer la bouche ne serait-ce qu'une seconde, ta respiration bien trop haletante et ces sons de plaisirs t'habitent beaucoup trop. Incapable de t'en débarrasser et ça tombe bien, tu n'as aucune envie de le faire. Si tu le pouvais, tu lui demanderais sûrement de continuer, de ne pas s'arrêter. Alors comme pour le lui faire comprendre, tu viens exercer une légère pression grâce à ta main encore agrippée à son épaule, ta seconde main elle, remonte doucement, quittant sa fesse un court instant pour venir se poser sur son torse. Très vite interrompu par Tadashi qui vient s'en saisir pour la plaquer à côté de ton visage, il entrelace ses doigts dans les tiens et une nouvelle fois, tu ne contrôles pas ta force. Tu lui serres fort sa main toi aussi, certainement plus fort que lui puisque tu y fais passer tout le plaisir qu'il t'offre, tout ce désir que tu ressens pour lui et peut-être aussi, cette douleur que tu ressens encore parfois. Tu y mets une certaine force que toi-même tu ne contrôles pas, on peut le remarquer à tes veines apparentes le long de  ton bras voire même dans ton cou. Ton regard se plante dans le sien, un regard qui t'électrise sur place, un échange que tu es obligé de briser lorsque tes yeux viennent se ferment au moment où il devient plus brusque et là, tu deviens une véritable machine à gémissements. Ta main toujours logée dans la sienne vient resserrer son emprise sur elle tandis que ton corps se cambre un court instant, le temps pour toi de pousser ton dernier gémissement, et non des moindres, en même temps que Tadashi. Des sons de plaisirs viennent encore perturbés ta respiration forte et haletante alors que tu laisses ton crâne tomber sur le matelas, tes jambes se vident alors de toute force, venant même se dérouler de sa taille. Force qui quitte également ta main, tu ne lui lâches pas la main non, mais tu n'as plus la force d'y mettre autant de pression. Tes yeux restent clos, ton cœur et ton corps lui-même ont bien du mal à se remettre de ce qu'ils viennent de vivre. Pourtant, Tadashi finit par rouler sur le côté. Tu passes alors une de tes mains sur ton visage encore déformé par le plaisir qu'il vient de t'offrir, ta respiration toujours haletante, l’adrénaline n'est pas encore redescendu et seuls les bruits de vos respirations respectives se font entendre. Tu peines à rouvrir les yeux, comme si tu sentais que la réalité n'allait pas te plaire, qu'elle allait te frapper avec une telle force que tu ne t'en relèverais pas. Alors que là, tu es bien, tu te sens même étrangement bien dans ton petit monde que tu dois t'efforcer de quitter. Car au bout de quelques minutes, tu rouvres les yeux, fixant le plafond tandis que tu commences peu à peu à retrouver une respiration normale, ton cœur aussi, commence à doucement se remettre de ses émotions. Mais peu à peu, c'est cette prison qui se construit autour de toi. Tu as cette impression d'être bloqué, de ne rien pouvoir faire, de ne plus avoir cette liberté que tu aimais tant, cette liberté dont tu profitais il y a encore quelques minutes de ça. Tu n'oses pas. Ni le regarder lui, ni laisser à ton cerveau d'enregistrer ce qu'il vient de se passer mais pourtant, c'est ce qu'il est en train de faire. Ce désir que tu as ressenti était réelle, tout comme cette attirance, tout comme ce plaisir qu'il t'a offert et ces pensées redonne l'autorisation à ton cœur de reprendre un rythme plus rapide. D'inquiétude cette fois. Parce que oui, tu commences à te rendre compte des choses, de ce que tu viens de faire. Tu as couché avec Tadashi, avec celui qui était ton meilleur ami, celui que ta sœur a aimé. Et c'est cette pensée qui te fait agir, pris de panique, tu te redresses brusquement afin de te saisir de ton pantalon que tu enfiles à une vitesse ahurissante. Ça, tout en te levant avant d'enfiler une grosse veste posée sur l'une des chaises de la chambre. Tu ne lui adresses pas un regard, sachant pertinemment l'effet qu'il aura sur toi mais pourtant, tu sais qu'il te regarde, toi, tu veux simplement t'effacer. Pour le coup, tu aimerais devenir invisible, qu'on ne puisse plus te voir, même pas toi. De toute façon, sauras-tu te regarder à nouveau dans un miroir après ce que  tu viens de faire à ta sœur ? Tu as eu ce que tu voulais, des réponses à tes questions mais des réponses que tu craignais. Des réponses qui t'effrayent. Tellement que tu fuis, en attrapant tes dernières affaires avant de quitter définitivement la pièce. Tu le fuis, oui, mais c'est toi que tu souhaites principalement fuir. Sept ans passées sans ton meilleur ami, maintenant, tu sais désormais que tu ne risques pas de le récupérer de sitôt. Putain, qu'est-ce que vous veniez de faire au juste ?


 


#kerushirei

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