Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥
Invité
Invité
Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 2:03 Citer EditerSupprimer
[/b][/b]
Park Kwang Ho
Ce sont les faiblesses du cœur qui font les plus belles défaillances
# Attentionné (à sa manière) | # fier et Fourbe | # Sentimental et Possessif | # Borné | #Décalé |
#Sadique et agressif | # Ame d’enfant, joueur et câlin | #Narcissique et Susceptible | #Loyal mais maladroit avec les mots | # TRES Immature |
#Séducteur | # Rancunier | #Manipulateur | #Pervers | #Fou (bipolaire) |
NOM : Park PRÉNOM : Kwang Ho ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 22 ans, 1 Mai ORIGINES : Sud-Coréen NATIONALITÉ : Coréen CLASSE SOCIALE : Riche babe, j’suis né avec une cuillère en or dans la bouche ORIENTATION SEXUELLE :Bi. J’suis ouvert d’esprit, appréciant autant les moules que les frites CURSUS UNIVERSITAIRE : 1ère année de Master en science politique et Droit MÉTIER : chieur invétéré ? Sinon, nop quedal Code du règlement : tic tac
TU VEUX T'INVESTIR? : Ouai, vas-y bro’, on va tout faire péter ! Yeaaaah !
“ Rumour has it :Héritier d'une des familles Mafieuses les plus puissantes de Corée (V) + Il parait que j'ai aménagé un endroit dans les égouts avec un hamac et des bougies et que j'aime m'y terrer pour qu'on m'foute une paix royale (V) + J’ai assassiné quelqu’un (F. Trois, en réalité) + Je suis leader d'un gang (v) + Je suis suivi par un psychiatre (v) + Bourré, il m'est arrivé de draguer un lampadaire, chanter la sérénade devant un frigo ouvert face aux yaourts périmés et, courir dans tous les sens en hurlant "les saucissons nous attaques !!!" (v) + « Pisse-partout », j’aime marquer mon territoire comme un clebs, dans cette optique, j’ai une plante qui m’sert d’urinoir (v) + Il parait que mes passes-temps favoris se résument à la bouffe, le sexe, la violence et rabaisser les gens (V & F. J'kiff aussi, tricoter, me caler dans l'lit avec mon doudou Lapin, et pleurnicher devant un remake merdique de Titanic ) + En plus de mes deux chats femelles, Débauche et Luxure, surnommées affectueusement « Dédé » et « Lulu », j’ai une poule de compagnie (v) + J'ai violé une gonzesse (v) et il paraîtrait que c'était pas la première (f) + Tel un vrai gosse, j'ai l'esprit de contradiction, j'aime emmerder mon monde et faire tourner les gens de cette populace, en bourrique (v) + En terminale, l'année lors de laquelle mon frère est revenu en Corée car je partais complètement en couille, il m'a menacé de m'faire interner. Agressivité, toxicomanie, aucune gestion émotionnelle, pour sur qu'il aurait pu et sans grand mal (v).
TU VEUX T'INVESTIR? : Ouai, vas-y bro’, on va tout faire péter ! Yeaaaah !
“ Rumour has it :Héritier d'une des familles Mafieuses les plus puissantes de Corée (V) + Il parait que j'ai aménagé un endroit dans les égouts avec un hamac et des bougies et que j'aime m'y terrer pour qu'on m'foute une paix royale (V) + J’ai assassiné quelqu’un (F. Trois, en réalité) + Je suis leader d'un gang (v) + Je suis suivi par un psychiatre (v) + Bourré, il m'est arrivé de draguer un lampadaire, chanter la sérénade devant un frigo ouvert face aux yaourts périmés et, courir dans tous les sens en hurlant "les saucissons nous attaques !!!" (v) + « Pisse-partout », j’aime marquer mon territoire comme un clebs, dans cette optique, j’ai une plante qui m’sert d’urinoir (v) + Il parait que mes passes-temps favoris se résument à la bouffe, le sexe, la violence et rabaisser les gens (V & F. J'kiff aussi, tricoter, me caler dans l'lit avec mon doudou Lapin, et pleurnicher devant un remake merdique de Titanic ) + En plus de mes deux chats femelles, Débauche et Luxure, surnommées affectueusement « Dédé » et « Lulu », j’ai une poule de compagnie (v) + J'ai violé une gonzesse (v) et il paraîtrait que c'était pas la première (f) + Tel un vrai gosse, j'ai l'esprit de contradiction, j'aime emmerder mon monde et faire tourner les gens de cette populace, en bourrique (v) + En terminale, l'année lors de laquelle mon frère est revenu en Corée car je partais complètement en couille, il m'a menacé de m'faire interner. Agressivité, toxicomanie, aucune gestion émotionnelle, pour sur qu'il aurait pu et sans grand mal (v).
“ Caractère :
Je suis Park Kwang Ho et immortellement riche et beau. Ou peu s’en faut. Mais, en tout cas, je l’espère, pour encore bien des années. Jeune homme impie qui ne croit ni en Dieu, au Diable, ivre d’amour et de séduction, fin observateur, impatient comme un enfant qui veut sa voiture téléguidée à l’instant, on pourrait penser, rien qu’avec ceci que cette naïveté me rendrait gentil et honnête. Tch. Moi, Kwang Ho, je suis un être supérieur. Un de ceux qui se sont forgés à mesure qu’ils ont glissé dans la vie, lentement mais sûrement, et certainement, pas de la meilleure des façons. Certains m’évitent, me craignent tandis que d’autre tentent par bien des moyens de m’approcher. Sans doute, me prennent-t-ils pour une sorte d’ange déchu et peut-être le suis-je quelque part, dans un monde où toutes ces conneries auraient un semblant d’existence. Salaud jusqu’à la moelle, je suis loin de l’image de l’homme sympathique, confiant et agréable que l’on souhaite avoir dans ses connaissances.
J’aime blesser et j’aime à croire qu’il m’est possible d’inciter une personne à se faire du mal, volontairement ou non. Je suis un monstre, ivre de haine et sensualité. Je suis un monstre dont la lucidité n’est plus, ou en tout cas, plus aussi souvent présente qu’avant. Je suis un sale con égoïste, vantard, possessif, en manque d’amour et j’aime prêcher le faux pour obtenir le vrai. Pour autant, cela ne fait pas de moi un p’tit con auto-satisfait qui se complait à avoir toujours tout ce qu’il désire dès l’instant où il le demande et à veiller à lâcher des liasses de billets s’il le faut.
Mnh……Enfaite, si.
Je crois bien que si.
Pour autant que je sache, cela ne fait pas de moi une vilaine personne, tout au contraire.
Mon grand-père et patriarche de cette famille mafieuse, avec ses doigts tachetés de nicotine et ses mains aux tremblotes chroniques dû à la caféine, m’a maintes fois relégué dans la case du « sale avorton à dresser », rajoutant chaque fois à ceci que je n’étais qu’une merde ingrate et grondante qui n’avait rien à apporter à autrui. Et, je le soupçonnais de prendre depuis bien des années et jusqu’alors (et pour encore bien longtemps), un plaisir quasi malsain à chacune des fois qu’il posait la main sur ma personne afin de me bastonner. Les raisons ? Une réponse fausse. BIM. Un regard posé au mauvais endroit ? BIM. Ou la simple envie d’me cogner, aussi. Toxique pour les nerfs, m’a-t-il dit ? Tellement de gens le dises. Ceux qui ne me connaissent pas réellement disent que je suis un connard, un monstre usant des faiblesses des autres pour les rabaisser, leur marcher dessus, les écraser. Et alors ? C’est parce que tout simplement, je les aime. Oui, j’aime les gens ! J'aime leur raconter des conneries ! J'aime déconner avec eux ! J’aime ce qu’ils pensent, ce qu’ils disent, ce qu’ils font, ce qu’ils veulent être. Les gens me fascinent. Je veux qu’ils m’éblouissent et me fascinent.
Je ne les aimes que pour mieux les détruire.
Sadique, mais détaché, froid cependant mais aux conseils avisés, je n’étais pourtant pas le type le plus apprécié et entouré qu’il soit. En effet, je suis un petit morveux désobéissant et donnant envie aux autres de me casser en deux comme une chaise en sucre. Manquant de discernement lorsque le danger guette, de tact, ou encore, d’empathie, j’fais chier et je m’assure le poste de chieur invétéré. Et, malgré cela, attaché à mes proches, empreint d’une grande sensibilité, je pleurais depuis longtemps les mois durant lesquels, tout filé droit. Comprenez-moi, je ne suis pas un pragmatiste mais un presqu’utopiste. J’aurais pu, et je pourrais être un type bien, mais pour ceci, il faudrait revoir certains détails et reprogrammer mes « dysfonctionnements » mais je suis bien trop occupé et pantouflard pour prendre le temps de changer. Déglingué, psychologiquement parlant, aussi. Et puis, j’aime faire parler de moi, être au centre du débat, autant en bien qu’en mal, puisqu’au final, ce concept ne relève que du point de vue de chacun et surtout de pouvoir. Ça vous dérange ? M’en fou. Nul ne me contredira, car ici-bas, c’est moi l’alpha.
J’aime blesser et j’aime à croire qu’il m’est possible d’inciter une personne à se faire du mal, volontairement ou non. Je suis un monstre, ivre de haine et sensualité. Je suis un monstre dont la lucidité n’est plus, ou en tout cas, plus aussi souvent présente qu’avant. Je suis un sale con égoïste, vantard, possessif, en manque d’amour et j’aime prêcher le faux pour obtenir le vrai. Pour autant, cela ne fait pas de moi un p’tit con auto-satisfait qui se complait à avoir toujours tout ce qu’il désire dès l’instant où il le demande et à veiller à lâcher des liasses de billets s’il le faut.
Mnh……Enfaite, si.
Je crois bien que si.
Pour autant que je sache, cela ne fait pas de moi une vilaine personne, tout au contraire.
Mon grand-père et patriarche de cette famille mafieuse, avec ses doigts tachetés de nicotine et ses mains aux tremblotes chroniques dû à la caféine, m’a maintes fois relégué dans la case du « sale avorton à dresser », rajoutant chaque fois à ceci que je n’étais qu’une merde ingrate et grondante qui n’avait rien à apporter à autrui. Et, je le soupçonnais de prendre depuis bien des années et jusqu’alors (et pour encore bien longtemps), un plaisir quasi malsain à chacune des fois qu’il posait la main sur ma personne afin de me bastonner. Les raisons ? Une réponse fausse. BIM. Un regard posé au mauvais endroit ? BIM. Ou la simple envie d’me cogner, aussi. Toxique pour les nerfs, m’a-t-il dit ? Tellement de gens le dises. Ceux qui ne me connaissent pas réellement disent que je suis un connard, un monstre usant des faiblesses des autres pour les rabaisser, leur marcher dessus, les écraser. Et alors ? C’est parce que tout simplement, je les aime. Oui, j’aime les gens ! J'aime leur raconter des conneries ! J'aime déconner avec eux ! J’aime ce qu’ils pensent, ce qu’ils disent, ce qu’ils font, ce qu’ils veulent être. Les gens me fascinent. Je veux qu’ils m’éblouissent et me fascinent.
Je ne les aimes que pour mieux les détruire.
Sadique, mais détaché, froid cependant mais aux conseils avisés, je n’étais pourtant pas le type le plus apprécié et entouré qu’il soit. En effet, je suis un petit morveux désobéissant et donnant envie aux autres de me casser en deux comme une chaise en sucre. Manquant de discernement lorsque le danger guette, de tact, ou encore, d’empathie, j’fais chier et je m’assure le poste de chieur invétéré. Et, malgré cela, attaché à mes proches, empreint d’une grande sensibilité, je pleurais depuis longtemps les mois durant lesquels, tout filé droit. Comprenez-moi, je ne suis pas un pragmatiste mais un presqu’utopiste. J’aurais pu, et je pourrais être un type bien, mais pour ceci, il faudrait revoir certains détails et reprogrammer mes « dysfonctionnements » mais je suis bien trop occupé et pantouflard pour prendre le temps de changer. Déglingué, psychologiquement parlant, aussi. Et puis, j’aime faire parler de moi, être au centre du débat, autant en bien qu’en mal, puisqu’au final, ce concept ne relève que du point de vue de chacun et surtout de pouvoir. Ça vous dérange ? M’en fou. Nul ne me contredira, car ici-bas, c’est moi l’alpha.
“ Once upon a time :
Comment décrire l’histoire de ma vie ? Jamais une chose simple, car il y aurait trop à dire, rien à laisser au hasard. Puis, je n’aime pas me mettre en avant, ni me vanter…..hahaha, mais qui pourrait croire que je n’aime pas m’vanter ?
« Park Kwang Ho n'a pas vraiment eu à se plaindre de sa vie, ou très peu. Il l'a choisi telle qu'il l'a voulu. Fin observateur, il a fait ses choix au détriment des autres, la plupart du temps, pour venir s’assoir au-dessus. Aucune destinée, pas d'un seul choix, tout aurait pu se passer autrement, mais ce n'est pas le cas. Le jeu de la roulette, de la chance. Et, il se pourrait bien qu’il soit né sous une bonne étoile »
Hum. C’est ainsi que j’espère le discours de mes funérailles. Pas de pleurs, ni de regrets, juste, se remémorer à quel point j’étais synonyme de royauté. Rajoutant à ceci « il était le plus beau, le plus fort, le plus rusé et celui qui baisait le mieux ». Bah quoi ? J’ai une chance de Cocu. Toujours le beurre, l’argent du beurre, et même, la fille de la crémière.
Mais, laissez-moi commencer par le commencement. Ça n’aura peut-être pas plus de sens, mais tout de même, on comprendra un peu mieux l’tableau.
Mon existence débuta au cœur de Busan, en Corée. Notre Mère –puisqu’il s’agit bien là, du commencement pour mon tendre jumeau et moi-même- eu des difficultés à nous mettre au monde, mais par un saint miracle ou que sais-je encore, nous sommes parvenues à croiser les yeux de notre génitrice en une chaude matinée de Mai, le premier plus précisément. Nous étions de beaux bébés, de très beaux bébés en bonne santé. Sages, nous ne pleurions que par faim ou par la faute d’une odeur nauséabonde venant de nos belles Pampers.
Enfant, j'inspirais bien des sentiments, autant variés les uns que les autres. Joueur, toujours en quête d'une nouvelle connerie à faire, mon cul a été maintes fois rougi par les fessées de mon père, bien qu'elles ne soient jamais très fortes, je versais des larmes, horriblement vexé par ce geste. Sacré comédien, je pleurais sur commande et savais rajouter du dramatisme à ma situation –sans trop pour rester crédible mais, bien assez pour être pris au sérieux –. C'est ainsi que le vase en porcelaine chinoise de ma mère fut brisé, le tapis provenant du Maroc taché, le corps du chien de la voisine tondu par endroits ou encore, le vélo caché du voisin, ne m'attirèrent en fin de compte que peu d'ennuis.
Indifférent envers les autres, plus par dégoût que par réelle timidité de m’en approcher, ma vie sociale ne se composait que de mon frère et de nos valets, ceux qui nous faisaient la cour, avant d’être rejoints par une fille. Nous étions les Princes et la princesse. Nous possédions un royaume dont j’étais le seul Roi, esclaves des moindres désires de mon cadet, clown incontesté de notre amie que nous avions acceptée.
Aussi, fragile et craintif. Toujours proche de mon jeune frère, refusant de le quitter, prétextant vouloir le protéger. En tant qu’aîné, c’était mon devoir le plus précieux. Et bien que personne ne fasse de commentaires sur ma soi-disante bravoure, tous savaient la vérité : j’étais tétanisé rien qu’à l’idée d’être séparé de lui une seule seconde. Humpf. Je me souviens de cette année de CP, à la fin de laquelle, il ne savait toujours pas une lecture fluide et correcte. Je me souviens avoir pleuré à chaudes larmes dans les bras de notre mère pour redoubler aussi et rester auprès de ma moitié.
Nous étions liés, telles des âmes sœurs, a l’incapacité de fermer nos cœurs. Si fragiles, si désirablement proches, notre univers me manque, alors…Alors, pas à pas, j’entrelace mes doigts, dans les souvenirs qui m’ont détruit. Car, même aussi loin que cela puisse paraître, je n’ai jamais pu laisser tout cela derrière moi.
Non, je n’ai jamais pu oublier, ça me hante.
Année de nos douze ans. Assis sur la banquette arrière, mes parents à l’avant, j’avais fait un caprice pour qu’ils m’offrent un nouveau jouet. Tout se passa très vite. Un feu rouge grillé. Un piéton téméraire. Un motard peu réactif. Le pire c’était produit. Trois morts, un coma, une fuite et moi, seul rescapé d’entre les blessés, même si, grièvement abîmé.
Quand mon frère pleura contre moi lorsqu’il vint me voir à l’hôpital, je restais là, le regard vide, sans réagir, choqué par l’accident. Les semaines défilèrent et je pus rentrer chez moi après de nombreuses visites en rééducation et entretiens avec un pédopsychiatre. A l’époque, je ne comprenais pas la raison de tous ces rendez-vous chez ce psy, les trouvant inutiles et barbants jusqu’à ce que mon esprit réagisse et accepte d’encaisser la mort de papa et maman.
Crises d’angoisses, larmes, insomnies, j’étais loin d’être l’héritier idéal aux yeux de l’homme qui nous avaient recueillis : Notre grand-père, patriarche de la famille Park, maître absolu de cette famille mafieuse trempée jusqu’au coup dans ses affaires illégales, mais qui avait su faire son nom et sa fortune. Une bien belle fortune, au passage. Moi ne servant plus à rien, le vieillard nous a séparé, l’envoyant en France dans l’espoir de pouvoir me frapper, battre ma chaire, m’éloignant de ma bouée de sauvetage afin de me ciseler à son image ; Froid et cruel. Les coups de fouet. Les baffes. Le martinet. Rien n’y faisait car je restais bien trop amorphe, pitoyablement faible et inutile à son humble goût.
Comme les choses ont bien changé, depuis. Huhuhu
On m'appelle «le démon » et j'aime à croire que ce surnom est mérité. J'ai beau n'être qu’un gosse comme aimait à le dire mon ancien boss, je n’en restais pas moins, le plus agressif de ses hommes, aujourd’hui à la tête d’un gang de trafic de drogue. Je suis tel le Lion lâché dans l’arène, fier et majestueux. L’ivresse de la victoire m’accompagne à chacun de mes pas. Je suis le meilleur. Celui qui se fait les couilles en or, pardonnez l’expression, sans sourciller devant les larmes et les suppliques de ces junkies en manque mais n’ayant pas d’oseilles. Pas de quoi payer la note, je jarte. Les glands, je les dévore.
Pourquoi le démon ? Parce que je suis le mal incarné, je ne connais pas la pitié et quand j'ai attrapé ma proie, elle est irrémédiablement condamnée à me servir, me baiser les godasses tel le plus soumis des rats. Je détruis, brise et, j’aime m’en mettre plein les poches. Leader d’un gang depuis quatre ans, chef de meute et mâle dominant respecté, mes subalternes me trouvent cool et charismatique, un tantinet colérique. Je domine et contrôle mon territoire. Certains disent que je suis sans états d’âmes. Stupide. La vie, m’a appris que l’être humain est un animal, un clébard comme les autres, il obéit aux lois de la nature : bouffé ou être bouffé. Un chien de chasse tel un doberman aux oreilles dressées, un Loup aux canines parfaitement ciselées, prêt à sauter à la gorge de sa proie. Je suis un prédateur. Et, j'ai les dents longues et affûtées. Autrefois, indigne du titre de seul successeur, je marche enfin dans les traces de celui qui me laissera son trône.
On me dit : fourbe et menteur, manipulateur et escroc. Et, pourtant, la plus belle escroquerie reste et restera ce masque que je porte, cette comédie à laquelle je m’abandonne comme une drogue devenue essentielle à ma survie. Ce Kwang Ho n’était au final qu’un masque pour, en fin de compte, devenir celui que je suis, aujourd’hui. Une cruauté accrue par une désinvolture sans fond. Je me fou éperdument de faire souffrir les autres, et encore moins, de gonfler mon entourage par mes attitudes de gosse pourri gâté. M’enfin, ce n’est qu’une apparence. Humpf. Mon psy pense que le décès de mes parents et la perte de mon rôle d’aîné, m’ont laissé un traumatisme bien plus important que je ne le laisse paraître. Pire, ce crétin m’a même sorti que mon côté enfantin et irresponsable avaient un lien avec ce malheureux évènement, un truc dans l’genre que je laisserais libre cours, inconsciemment, à mon âme d’enfant, de cadet (connerie, quand tu nous tiens la jambe…) afin de me persuader que, quelque part, je serais toujours à même de rendre à mon frère, son innocence passée.
…Ils sont cons ces psy….en particulier le mien. Je hais lorsqu’il a raison. Je hais lorsqu’il me fait parler, car, je vais être franc, je n’aime que bien trop peu parler, et penser à cette partie de ma vie, préférant laisser mon frère aborder le sujet pour moi. Mais, replaçons les choses dans leurs contextes. Réponses en onomatopées et rires glacials, il faut dire que je ne suis pas le patient le plus facile à supporter, après tout, le voir n’était pas de mon initiative.
Pff. Que pourrais-je y faire ? Après tout, qui puis-je blâmer sinon ma propre connerie ? Moi, accros au pouvoir, adeptes des jeux de sang, ceux-là même qui l’inquiétait, l’enragé. Peu importe. Il s’occupait de moi, pansait mes blessures, accompagné de mes gémissements étouffés. Rien à foutre. Il prenait soin de moi. Mon amour, mon Jae, pensait qu’il était de son devoir de me venir en aide, moi, celui qu’il voyait à présent comme une demoiselle en détresse.
En fin de compte, rien n'a vraiment changé, nous jouons simplement la comédie dans une symphonie modifié. Ensemble, les coups fusent, les insultent à demi-pensées sont hurlés avec une fracassante vérité. Nous avons bu, ensemble. Nous avons croisé le fer, ensemble. Nous étions, un.
Et à présent ?
Au-devant de la scène, lorsqu'il pense me corriger, me recadrer, il semblerait qu'il ait oublié, le lien nous unissant, jadis.
« Park Kwang Ho n'a pas vraiment eu à se plaindre de sa vie, ou très peu. Il l'a choisi telle qu'il l'a voulu. Fin observateur, il a fait ses choix au détriment des autres, la plupart du temps, pour venir s’assoir au-dessus. Aucune destinée, pas d'un seul choix, tout aurait pu se passer autrement, mais ce n'est pas le cas. Le jeu de la roulette, de la chance. Et, il se pourrait bien qu’il soit né sous une bonne étoile »
Hum. C’est ainsi que j’espère le discours de mes funérailles. Pas de pleurs, ni de regrets, juste, se remémorer à quel point j’étais synonyme de royauté. Rajoutant à ceci « il était le plus beau, le plus fort, le plus rusé et celui qui baisait le mieux ». Bah quoi ? J’ai une chance de Cocu. Toujours le beurre, l’argent du beurre, et même, la fille de la crémière.
Mais, laissez-moi commencer par le commencement. Ça n’aura peut-être pas plus de sens, mais tout de même, on comprendra un peu mieux l’tableau.
Mon existence débuta au cœur de Busan, en Corée. Notre Mère –puisqu’il s’agit bien là, du commencement pour mon tendre jumeau et moi-même- eu des difficultés à nous mettre au monde, mais par un saint miracle ou que sais-je encore, nous sommes parvenues à croiser les yeux de notre génitrice en une chaude matinée de Mai, le premier plus précisément. Nous étions de beaux bébés, de très beaux bébés en bonne santé. Sages, nous ne pleurions que par faim ou par la faute d’une odeur nauséabonde venant de nos belles Pampers.
Enfant, j'inspirais bien des sentiments, autant variés les uns que les autres. Joueur, toujours en quête d'une nouvelle connerie à faire, mon cul a été maintes fois rougi par les fessées de mon père, bien qu'elles ne soient jamais très fortes, je versais des larmes, horriblement vexé par ce geste. Sacré comédien, je pleurais sur commande et savais rajouter du dramatisme à ma situation –sans trop pour rester crédible mais, bien assez pour être pris au sérieux –. C'est ainsi que le vase en porcelaine chinoise de ma mère fut brisé, le tapis provenant du Maroc taché, le corps du chien de la voisine tondu par endroits ou encore, le vélo caché du voisin, ne m'attirèrent en fin de compte que peu d'ennuis.
Indifférent envers les autres, plus par dégoût que par réelle timidité de m’en approcher, ma vie sociale ne se composait que de mon frère et de nos valets, ceux qui nous faisaient la cour, avant d’être rejoints par une fille. Nous étions les Princes et la princesse. Nous possédions un royaume dont j’étais le seul Roi, esclaves des moindres désires de mon cadet, clown incontesté de notre amie que nous avions acceptée.
Aussi, fragile et craintif. Toujours proche de mon jeune frère, refusant de le quitter, prétextant vouloir le protéger. En tant qu’aîné, c’était mon devoir le plus précieux. Et bien que personne ne fasse de commentaires sur ma soi-disante bravoure, tous savaient la vérité : j’étais tétanisé rien qu’à l’idée d’être séparé de lui une seule seconde. Humpf. Je me souviens de cette année de CP, à la fin de laquelle, il ne savait toujours pas une lecture fluide et correcte. Je me souviens avoir pleuré à chaudes larmes dans les bras de notre mère pour redoubler aussi et rester auprès de ma moitié.
Nous étions liés, telles des âmes sœurs, a l’incapacité de fermer nos cœurs. Si fragiles, si désirablement proches, notre univers me manque, alors…Alors, pas à pas, j’entrelace mes doigts, dans les souvenirs qui m’ont détruit. Car, même aussi loin que cela puisse paraître, je n’ai jamais pu laisser tout cela derrière moi.
Non, je n’ai jamais pu oublier, ça me hante.
Année de nos douze ans. Assis sur la banquette arrière, mes parents à l’avant, j’avais fait un caprice pour qu’ils m’offrent un nouveau jouet. Tout se passa très vite. Un feu rouge grillé. Un piéton téméraire. Un motard peu réactif. Le pire c’était produit. Trois morts, un coma, une fuite et moi, seul rescapé d’entre les blessés, même si, grièvement abîmé.
Quand mon frère pleura contre moi lorsqu’il vint me voir à l’hôpital, je restais là, le regard vide, sans réagir, choqué par l’accident. Les semaines défilèrent et je pus rentrer chez moi après de nombreuses visites en rééducation et entretiens avec un pédopsychiatre. A l’époque, je ne comprenais pas la raison de tous ces rendez-vous chez ce psy, les trouvant inutiles et barbants jusqu’à ce que mon esprit réagisse et accepte d’encaisser la mort de papa et maman.
Crises d’angoisses, larmes, insomnies, j’étais loin d’être l’héritier idéal aux yeux de l’homme qui nous avaient recueillis : Notre grand-père, patriarche de la famille Park, maître absolu de cette famille mafieuse trempée jusqu’au coup dans ses affaires illégales, mais qui avait su faire son nom et sa fortune. Une bien belle fortune, au passage. Moi ne servant plus à rien, le vieillard nous a séparé, l’envoyant en France dans l’espoir de pouvoir me frapper, battre ma chaire, m’éloignant de ma bouée de sauvetage afin de me ciseler à son image ; Froid et cruel. Les coups de fouet. Les baffes. Le martinet. Rien n’y faisait car je restais bien trop amorphe, pitoyablement faible et inutile à son humble goût.
Comme les choses ont bien changé, depuis. Huhuhu
On m'appelle «le démon » et j'aime à croire que ce surnom est mérité. J'ai beau n'être qu’un gosse comme aimait à le dire mon ancien boss, je n’en restais pas moins, le plus agressif de ses hommes, aujourd’hui à la tête d’un gang de trafic de drogue. Je suis tel le Lion lâché dans l’arène, fier et majestueux. L’ivresse de la victoire m’accompagne à chacun de mes pas. Je suis le meilleur. Celui qui se fait les couilles en or, pardonnez l’expression, sans sourciller devant les larmes et les suppliques de ces junkies en manque mais n’ayant pas d’oseilles. Pas de quoi payer la note, je jarte. Les glands, je les dévore.
Pourquoi le démon ? Parce que je suis le mal incarné, je ne connais pas la pitié et quand j'ai attrapé ma proie, elle est irrémédiablement condamnée à me servir, me baiser les godasses tel le plus soumis des rats. Je détruis, brise et, j’aime m’en mettre plein les poches. Leader d’un gang depuis quatre ans, chef de meute et mâle dominant respecté, mes subalternes me trouvent cool et charismatique, un tantinet colérique. Je domine et contrôle mon territoire. Certains disent que je suis sans états d’âmes. Stupide. La vie, m’a appris que l’être humain est un animal, un clébard comme les autres, il obéit aux lois de la nature : bouffé ou être bouffé. Un chien de chasse tel un doberman aux oreilles dressées, un Loup aux canines parfaitement ciselées, prêt à sauter à la gorge de sa proie. Je suis un prédateur. Et, j'ai les dents longues et affûtées. Autrefois, indigne du titre de seul successeur, je marche enfin dans les traces de celui qui me laissera son trône.
On me dit : fourbe et menteur, manipulateur et escroc. Et, pourtant, la plus belle escroquerie reste et restera ce masque que je porte, cette comédie à laquelle je m’abandonne comme une drogue devenue essentielle à ma survie. Ce Kwang Ho n’était au final qu’un masque pour, en fin de compte, devenir celui que je suis, aujourd’hui. Une cruauté accrue par une désinvolture sans fond. Je me fou éperdument de faire souffrir les autres, et encore moins, de gonfler mon entourage par mes attitudes de gosse pourri gâté. M’enfin, ce n’est qu’une apparence. Humpf. Mon psy pense que le décès de mes parents et la perte de mon rôle d’aîné, m’ont laissé un traumatisme bien plus important que je ne le laisse paraître. Pire, ce crétin m’a même sorti que mon côté enfantin et irresponsable avaient un lien avec ce malheureux évènement, un truc dans l’genre que je laisserais libre cours, inconsciemment, à mon âme d’enfant, de cadet (connerie, quand tu nous tiens la jambe…) afin de me persuader que, quelque part, je serais toujours à même de rendre à mon frère, son innocence passée.
…Ils sont cons ces psy….en particulier le mien. Je hais lorsqu’il a raison. Je hais lorsqu’il me fait parler, car, je vais être franc, je n’aime que bien trop peu parler, et penser à cette partie de ma vie, préférant laisser mon frère aborder le sujet pour moi. Mais, replaçons les choses dans leurs contextes. Réponses en onomatopées et rires glacials, il faut dire que je ne suis pas le patient le plus facile à supporter, après tout, le voir n’était pas de mon initiative.
Pff. Que pourrais-je y faire ? Après tout, qui puis-je blâmer sinon ma propre connerie ? Moi, accros au pouvoir, adeptes des jeux de sang, ceux-là même qui l’inquiétait, l’enragé. Peu importe. Il s’occupait de moi, pansait mes blessures, accompagné de mes gémissements étouffés. Rien à foutre. Il prenait soin de moi. Mon amour, mon Jae, pensait qu’il était de son devoir de me venir en aide, moi, celui qu’il voyait à présent comme une demoiselle en détresse.
En fin de compte, rien n'a vraiment changé, nous jouons simplement la comédie dans une symphonie modifié. Ensemble, les coups fusent, les insultent à demi-pensées sont hurlés avec une fracassante vérité. Nous avons bu, ensemble. Nous avons croisé le fer, ensemble. Nous étions, un.
Et à présent ?
Au-devant de la scène, lorsqu'il pense me corriger, me recadrer, il semblerait qu'il ait oublié, le lien nous unissant, jadis.
MadHatter
Quand tu saigne du nez, c’est ta cervelle qui fou l’camp
Me suis lavé les dessous des bras, même que mes pieds, bah ils s’instillent ! Bah quoi ? C’était la question, là, juste avant ! M’enfin passons. J’ai 21 zigwigwi (ouai, zigwigwi, vous kiffez c’mot, hein ? Hein ? Z’avez raison, il est trop classe !). Pour ceux qui m’connaissent, vous savez déjà que j’suis pas du genre à rester dans mon coin, et pour ceux qui vont pas tarder à m’voir débouler sur la CB, vous allez le comprendre trèèèèèès vite ! Mais vous inquiétez pas, on va bien s’amuser. My body it à vous ♥
Et pour les plus curieux, c’est Yun Maloe, ma banane d’amour qui m’a dit de venir alors je suis venu ! J’suis trop en mode soumis avec l’autre banane mais j’aime quand elle me fouette huhuhuhJ’pas de DC, bro’ ! Moi it’s not a schizophrène, pas encore (j’cause trop bien l’Anglais tavu ? huhuh)
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE) ✎ pseudo personnage
[/b][/b][/b][/b]
Et pour les plus curieux, c’est Yun Maloe, ma banane d’amour qui m’a dit de venir alors je suis venu ! J’suis trop en mode soumis avec l’autre banane mais j’aime quand elle me fouette huhuhuhJ’pas de DC, bro’ ! Moi it’s not a schizophrène, pas encore (j’cause trop bien l’Anglais tavu ? huhuh)
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼
[/b][/b][/b][/b]
- Code:
[url=http://LIENVERSTONPROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken>Choi Seung Hyeon ( T.O.P, BigBang)</taken> ✎ Park Kwang Ho
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 2:25 Citer EditerSupprimer
Top. Juste top. J'aime tellement ce gars que je t'offre mon corps et tout ce que tu voudras de moi
Petite question mise à part : ton pseudo me dit grandement quelque chose. Tu ne connaîtrais pas une Gazelle-san par hasard ? Il me semble que j'ai déjà entendu parler de toi via ma cousine. Si c'est pas toi bah... j'ai l'air cruche ? 8) [ mais je suis presque sûre au vue de la citation que ma cousine avait déjà employé en rp il me semble, m'enfin ça c'est plus une coïncidence qu'autre chose je pense xD ]
en tous les cas bienvenu magnifique monsieur si tu as une question n'hésite pas !
Petite question mise à part : ton pseudo me dit grandement quelque chose. Tu ne connaîtrais pas une Gazelle-san par hasard ? Il me semble que j'ai déjà entendu parler de toi via ma cousine. Si c'est pas toi bah... j'ai l'air cruche ? 8) [ mais je suis presque sûre au vue de la citation que ma cousine avait déjà employé en rp il me semble, m'enfin ça c'est plus une coïncidence qu'autre chose je pense xD ]
en tous les cas bienvenu magnifique monsieur si tu as une question n'hésite pas !
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 3:52 Citer EditerSupprimer
bienvenuuuuue
à la maison en fait
à la maison en fait
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 6:03 Citer EditerSupprimer
We. together. flawless. kiss.
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 6:05 Citer EditerSupprimer
DP: t'as mal rempli le code du bottin chou
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 9:40 Citer EditerSupprimer
AH BEN ENFIN !!!
J'ai attendu que tu la postes cette fiche toute la soirée et tu l'as posté trop tard pour moi, je dormais déjà
T.O.P *_____* quel choix d'avatar, tu places la barre très haut pour le coup
Allez finis ta fiche qu'on se marie et qu'on ait des enfants toi et moi
Et je crois que je te connais...
J'ai attendu que tu la postes cette fiche toute la soirée et tu l'as posté trop tard pour moi, je dormais déjà
T.O.P *_____* quel choix d'avatar, tu places la barre très haut pour le coup
Allez finis ta fiche qu'on se marie et qu'on ait des enfants toi et moi
Et je crois que je te connais...
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 10:56 Citer EditerSupprimer
Ouuuuh Sexy
Bienvenue~
Bienvenue~
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 11:05 Citer EditerSupprimer
COUCOU TOI ! COUCOU TOP ! COUCOU SLIP QUI S'EN VA !
Bienvenue à toi mon petit coco. Je sens que tu vas me plaire, ouais ouaiis !
Toi et moi, on va se faire des courses de voiture la nuit
D'ailleurs au passage, si tu pouvais m'apprendre à tricoter aussi ma gueule, je t'en serai reconnaissant !
Hihi, bonne chance pour l'histoire et mec .. RAPPELLE TOI QUE LES SANGO, C'EST LA MEILLEURE DES FRATS !
Bienvenue à toi mon petit coco. Je sens que tu vas me plaire, ouais ouaiis !
Toi et moi, on va se faire des courses de voiture la nuit
D'ailleurs au passage, si tu pouvais m'apprendre à tricoter aussi ma gueule, je t'en serai reconnaissant !
Hihi, bonne chance pour l'histoire et mec .. RAPPELLE TOI QUE LES SANGO, C'EST LA MEILLEURE DES FRATS !
Hwang Bomi
☆☆☆☆ TOP-STAR SHAKER
Pseudo : omoi.namida
Célébrité : lee chae young (isa ; stayc)
Crédits : moonaetics (avatar) ; drake (signature)
Messages : 4659
Âge : 22
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 11:12 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous **
________________________________
something wrong with us
Imagination, of course, can open any door - turn the key and let terror walk right in.
Invité
Invité
Re: Park Kwang Ho ~ do you believe in fate, babies ? ♥ | Dim 7 Déc - 11:53 Citer EditerSupprimer
OUAIS GRAVE OUBLIE PAS QUE LES SANGO C'EST LE TOP DU TOP (jeu de mot )
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5