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1, 2qui aime bien châtie bien ~ jae sang
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Re: qui aime bien châtie bien ~ jae sang | Dim 22 Avr - 22:25
✻✻✻ votre petite querelle devient réellement puérile et totalement conne. vous cherchez à démontrer quelle matière est la meilleure et on dirait clairement des gosses en train de se chamailler pour savoir qui a la plus grosse part de gâteau par rapport à l’autre. tu le sais, tu t’en rends compte, mais tu ne peux pas faire autrement. c’est presque naturel et tu t’en veux pour agir de manière si immature. c’est toi la plus âgée, c’est toi qui devrait montrer l’exemple. mais à cause de cette attirance que tu ressens pour le jeune homme, tu te bloques. tout ça, parce que t’es une frileuse de l’amour. mais ce n’est qu’une attirance, qu’un crush passager. mais t’étais tellement effrayée à l’idée que ça ne devient plus que tu faisais tout pour le repousser, pour lui donner cette envie de te frapper que tu voyais danser dans ses yeux, mais également de te détester. tu sais que vous auriez pu devenir ami si tu n’avais pas été si conne. mais c’était trop tard maintenant. vous continuez vos comparaisons entre l’art et la science et tu sais que dans le fond il n’a pas tort. l’art n’est justement que de l’art que quelque chose d’abstrait, quelque chose qui restait mais qui n’était qu’une forme de joie passagère donnée à des gens pour qu’ils aient l’illusion qu’ils allaient bien pendant quelques temps. alors que les sciences, la médecine, les mathématiques, c’était bien plus pratique, bien plus intéressant pour le monde parce que ça permettait à la race humaine d’avancer. tu le savais, le reconnaissais même mais là devant jaesang, ce n’était pas possible. tu ne pouvais pas le faire, parce que ça voudrait dire lui laisser le dernier mot et c’était hors de question. tu n’avais jamais tort même quand tu avais tort. c’était ta règle d’or. sauf que là, tu n’as plus tellement d’argument pour le contrer. tu es à sec comme on dit. putain, faut que tu trouves quelque chose. « mais c’est que t’aurais presque bouffé un clown tellement t’es hilarant. en attendant, nous les artistes on reste pas coincé dans des pièces toute la journée entourés d’objets tous plus ennuyants les uns que les autres. on voyage, on rencontre du monde, on agrandit et on cultive notre culture. » t’avais pas trouvé mieux et c’était clairement débile comme argument. tu te mords la lèvre, signe que tu n’as plus d’inspiration avant de laisser de côté de sujet pour t’en prendre à son ami, juhyeon. tu ne le connais pas réellement, l’as vu simplement deux ou trois fois comme ça, sans réellement lui parler mais tu sais qu’il est précieux pour jaesang, sinon, pourquoi réagirait-il comme ça, comme s’il voulait te frapper. tu le pousses à le faire avec ton sourire et ton regard provocateurs, mais ça ne semble pas fonctionner. dommage, tu aurais bien aimé lui rendre ce coup qui semblait totalement avoir envie de te mettre. à la place, tu écoutes ce qu’il te dit et ton sourire ne disparait pas. il s’agrandit même à ses mots. tu fais pitié qu’il a dit. dans ton esprit une phrase s’affiche, comme un néon. « c’est celui qui dit qui est. » comme les enfants dans une cours de récréation parce que c’est clairement le cas. on dirait réellement deux enfants qui se chamaillent et s’engueulent. alors, tu ne dis rien, ne va pas renchérir parce que ça n’en serait que plus puéril. mais tu ne peux pas le laisser continuer de dire des inepties sans en rajouter toi aussi de ton côté. vous faites de la peine tous les deux dans le couloir à vous battre pour de la merde en plus. tu pousses un soupir avant de reprendre un grand sourire arrogant sur le visage. « oh mais grand bien vous fasse si vous serrez des meufs. je suis sûre qu’elles doivent se dire qu’elles ont réussi à choper l’intello du coin. elles doivent bien se foutre de votre gueule, mais ça booste votre égo de sauter des meufs pas vrai. pauvre de vous. je vous plains quand même un peu. » pas vraiment, mais ça rajoutait à l’ironie de tes propos. il faudrait vraiment que l’un de vous soit assez intelligent pour stopper ça, mais ce ne sera pas toi malheureusement. parce que tu as trop besoin d’avoir raison, d’avoir le dernier mot. « d’ailleurs, si t’as besoin, je peux écarter les cuisses pour toi, parce que tu me fais pitié. ce serait con que tu finisses ta vie puceau, tu crois pas ? » tu présumes qu’il est puceau comme tous les scientifiques alors qu’il pourrait être un quetard. tu sais même pas pourquoi tu lui fais cette proposition. tu viens même tapoter son épaule dans un signe de pitié comme pour renforcer ce pseudo sentiment de sacrifice qui t’anime.
love is hard
jaesang & akiko
✻✻✻ votre petite querelle devient réellement puérile et totalement conne. vous cherchez à démontrer quelle matière est la meilleure et on dirait clairement des gosses en train de se chamailler pour savoir qui a la plus grosse part de gâteau par rapport à l’autre. tu le sais, tu t’en rends compte, mais tu ne peux pas faire autrement. c’est presque naturel et tu t’en veux pour agir de manière si immature. c’est toi la plus âgée, c’est toi qui devrait montrer l’exemple. mais à cause de cette attirance que tu ressens pour le jeune homme, tu te bloques. tout ça, parce que t’es une frileuse de l’amour. mais ce n’est qu’une attirance, qu’un crush passager. mais t’étais tellement effrayée à l’idée que ça ne devient plus que tu faisais tout pour le repousser, pour lui donner cette envie de te frapper que tu voyais danser dans ses yeux, mais également de te détester. tu sais que vous auriez pu devenir ami si tu n’avais pas été si conne. mais c’était trop tard maintenant. vous continuez vos comparaisons entre l’art et la science et tu sais que dans le fond il n’a pas tort. l’art n’est justement que de l’art que quelque chose d’abstrait, quelque chose qui restait mais qui n’était qu’une forme de joie passagère donnée à des gens pour qu’ils aient l’illusion qu’ils allaient bien pendant quelques temps. alors que les sciences, la médecine, les mathématiques, c’était bien plus pratique, bien plus intéressant pour le monde parce que ça permettait à la race humaine d’avancer. tu le savais, le reconnaissais même mais là devant jaesang, ce n’était pas possible. tu ne pouvais pas le faire, parce que ça voudrait dire lui laisser le dernier mot et c’était hors de question. tu n’avais jamais tort même quand tu avais tort. c’était ta règle d’or. sauf que là, tu n’as plus tellement d’argument pour le contrer. tu es à sec comme on dit. putain, faut que tu trouves quelque chose. « mais c’est que t’aurais presque bouffé un clown tellement t’es hilarant. en attendant, nous les artistes on reste pas coincé dans des pièces toute la journée entourés d’objets tous plus ennuyants les uns que les autres. on voyage, on rencontre du monde, on agrandit et on cultive notre culture. » t’avais pas trouvé mieux et c’était clairement débile comme argument. tu te mords la lèvre, signe que tu n’as plus d’inspiration avant de laisser de côté de sujet pour t’en prendre à son ami, juhyeon. tu ne le connais pas réellement, l’as vu simplement deux ou trois fois comme ça, sans réellement lui parler mais tu sais qu’il est précieux pour jaesang, sinon, pourquoi réagirait-il comme ça, comme s’il voulait te frapper. tu le pousses à le faire avec ton sourire et ton regard provocateurs, mais ça ne semble pas fonctionner. dommage, tu aurais bien aimé lui rendre ce coup qui semblait totalement avoir envie de te mettre. à la place, tu écoutes ce qu’il te dit et ton sourire ne disparait pas. il s’agrandit même à ses mots. tu fais pitié qu’il a dit. dans ton esprit une phrase s’affiche, comme un néon. « c’est celui qui dit qui est. » comme les enfants dans une cours de récréation parce que c’est clairement le cas. on dirait réellement deux enfants qui se chamaillent et s’engueulent. alors, tu ne dis rien, ne va pas renchérir parce que ça n’en serait que plus puéril. mais tu ne peux pas le laisser continuer de dire des inepties sans en rajouter toi aussi de ton côté. vous faites de la peine tous les deux dans le couloir à vous battre pour de la merde en plus. tu pousses un soupir avant de reprendre un grand sourire arrogant sur le visage. « oh mais grand bien vous fasse si vous serrez des meufs. je suis sûre qu’elles doivent se dire qu’elles ont réussi à choper l’intello du coin. elles doivent bien se foutre de votre gueule, mais ça booste votre égo de sauter des meufs pas vrai. pauvre de vous. je vous plains quand même un peu. » pas vraiment, mais ça rajoutait à l’ironie de tes propos. il faudrait vraiment que l’un de vous soit assez intelligent pour stopper ça, mais ce ne sera pas toi malheureusement. parce que tu as trop besoin d’avoir raison, d’avoir le dernier mot. « d’ailleurs, si t’as besoin, je peux écarter les cuisses pour toi, parce que tu me fais pitié. ce serait con que tu finisses ta vie puceau, tu crois pas ? » tu présumes qu’il est puceau comme tous les scientifiques alors qu’il pourrait être un quetard. tu sais même pas pourquoi tu lui fais cette proposition. tu viens même tapoter son épaule dans un signe de pitié comme pour renforcer ce pseudo sentiment de sacrifice qui t’anime.© LOYALS.
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Re: qui aime bien châtie bien ~ jae sang | Mar 8 Mai - 14:56
✻✻✻ Je me sentais littéralement comme un gamin. J'avais l'impression d'avoir perdu vingt ans et d'être un gosse de quatre ans en train de se disputer avec une autre gamine pour une histoire de goûts et de couleurs. Artiste, c'était très bien, je n'avais rien à reprocher à ceux qui rêvaient de ce métier, ou ceux qui en étaient passionnés. Avec un meilleur ami spécialisé dans la photographie, difficile de leur en vouloir, en même temps. Moi, j'étais dans la psychologie, mais pour rien. Honnêtement, même avec le diplôme en poche, je n'étais même pas sûr de savoir si j'aurais un travail dans ce domaine. Je passais à peine en septième année, vu mes notes terribles et mon absentéisme en cours. J'étais là, sur ma chaise, mais je n'écoutais pas. Mes résultats le traduisaient bien. Avec un bulletin pareil, qui m'embauchera ? Personne. Je devais sincèrement réfléchir à ce que je devais faire de ma vie, parce que je n'étais plus le gamin qui pouvait se permettre de se reposer sur son père pour lui trouver un bon travail. J'avais toujours compté là-dessus pour avoir une roue de secours, mais maintenant que lui et moi c'était terminé, je n'avais plus rien. En tout cas, vu mon comportement actuel, je n'étais même pas certain de savoir si je n'étais vraiment plus un gamin. Mais cette fille m'énervait profondément, et mon tempérament faisait que j'étais obligé de répliquer. Ouais. J'étais encore un gamin, ouais. Un grand gamin qui voulait devenir adulte, mais qui n'y arrivait pas. Pathétique. On était en train de faire un débat sans queue ni tête, un débat sans logique. Mais comme on voulait chacun le dernier mot... Il ne prenait pas fin. « Lol, les médecins aussi rencontrent du monde. Ils rencontrent tous les jours des gens qu'ils doivent sauver et guérir, des gens à qui ça leur est utile de rencontrer des gens comme nous. Vous, vous voyagez, vous rencontrez du monde, mais au final, c'est pour votre propre culture. Vous n'enrichissez que vous-mêmes tandis que nous, on enrichit les autres. Je pense que celui qui pense aux autres est meilleur non ? » Idiot. C'était juste du grand n'importe quoi. Mais j'étais énervé, je voulais absolument rebondir sur tout ce qu'elle disait, même si c'était débile. Oui, c'était mon comportement en tant que grand gamin, et j'assumais plus ou moins. En tout cas, face à elle, je ne dévoilerais jamais l'une de mes faiblesses, parce que je voulais à tout prix l'écraser. Elle me donnait envie de la frapper, mais heureusement que je ne frappais pas les filles. En attaquant Juhyeon, elle faillit réussir à me faire la frapper, mais je réussis à me contrôler. Parce que non, fallait pas que je la frappe. Ça allait être moi le fautif dans toute l'histoire après. Je détesterais ça. Alors que je m'énervais contre elle, elle afficha un grand sourire sans rien me dire. Putain. C'était frustrant. Terriblement frustrant. Ce sourire, j'avais juste envie de lui arracher toutes les dents pour qu'elle ne puisse plus sourire, et qu'elle aie même honte d'ouvrir la bouche. Non, non, calme-toi Jaesang... Tu étais un adulte, tu savais te contrôler. Son sourire arrogant toujours sur sa tronche, elle continua de débiter des conneries. « Tu racontes vraiment n'importe quoi... » dis-je, presque émerveillé. « Dis-moi, c'est quoi le fantasme le plus populaire entre baiser avec un médecin et baiser avec un artiste ? Tu crois que les gens ont vraiment envie de le faire avec un artiste recouvert de peinture et crade parce qu'il dessine avec tout et n'importe quoi ? C'est vous que je plains, vraiment. » Je lâchai un rire juste après sa dernière phrase, retirant violemment sa main de mon épaule. « Même si j'étais puceau, je préférerais le rester si je devais baiser une fille comme toi. » C'était de la pure méchanceté, mais cette fois, je disais vrai. Si j'avais le choix entre elle et un mec, même si j'étais hétérosexuel je choisirais le mec. « Excusez-moi ? » Une voix étrangère me fit froncer les sourcils et je tournai ma tête vers cette personne. « La fin des cours a déjà sonné depuis un moment, l'université va fermer ses portes. Vous feriez mieux de partir maintenant. » C'était une femme de ménage. Pardon ? J'avais déjà dépensé autant de temps à me disputer avec elle ? Qu'est-ce que j'en avais perdu du temps... J'étais vraiment qu'un gamin. En plus, Juhyeon devait être parti depuis le temps. Je l'avais raté... Génial. J'affichai un sourire chaleureux à la dame. « Oh, oui, excusez-moi, je vais partir. Ça ne sert à rien de continuer à parler, hein ? » demandai-je à Akiko sur un ton bien niais. « Tu m'as bien gâché la journée. Passe une mauvaise soirée ! » Je n'attendis pas plus longtemps pour commencer à partir. Heureusement qu'elle était apparue cette femme de ménage, je ne savais pas pour combien de temps on aurait continué à se disputer comme deux gamins sinon... J'étais vraiment misérable.
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jaesang & akiko
✻✻✻ Je me sentais littéralement comme un gamin. J'avais l'impression d'avoir perdu vingt ans et d'être un gosse de quatre ans en train de se disputer avec une autre gamine pour une histoire de goûts et de couleurs. Artiste, c'était très bien, je n'avais rien à reprocher à ceux qui rêvaient de ce métier, ou ceux qui en étaient passionnés. Avec un meilleur ami spécialisé dans la photographie, difficile de leur en vouloir, en même temps. Moi, j'étais dans la psychologie, mais pour rien. Honnêtement, même avec le diplôme en poche, je n'étais même pas sûr de savoir si j'aurais un travail dans ce domaine. Je passais à peine en septième année, vu mes notes terribles et mon absentéisme en cours. J'étais là, sur ma chaise, mais je n'écoutais pas. Mes résultats le traduisaient bien. Avec un bulletin pareil, qui m'embauchera ? Personne. Je devais sincèrement réfléchir à ce que je devais faire de ma vie, parce que je n'étais plus le gamin qui pouvait se permettre de se reposer sur son père pour lui trouver un bon travail. J'avais toujours compté là-dessus pour avoir une roue de secours, mais maintenant que lui et moi c'était terminé, je n'avais plus rien. En tout cas, vu mon comportement actuel, je n'étais même pas certain de savoir si je n'étais vraiment plus un gamin. Mais cette fille m'énervait profondément, et mon tempérament faisait que j'étais obligé de répliquer. Ouais. J'étais encore un gamin, ouais. Un grand gamin qui voulait devenir adulte, mais qui n'y arrivait pas. Pathétique. On était en train de faire un débat sans queue ni tête, un débat sans logique. Mais comme on voulait chacun le dernier mot... Il ne prenait pas fin. « Lol, les médecins aussi rencontrent du monde. Ils rencontrent tous les jours des gens qu'ils doivent sauver et guérir, des gens à qui ça leur est utile de rencontrer des gens comme nous. Vous, vous voyagez, vous rencontrez du monde, mais au final, c'est pour votre propre culture. Vous n'enrichissez que vous-mêmes tandis que nous, on enrichit les autres. Je pense que celui qui pense aux autres est meilleur non ? » Idiot. C'était juste du grand n'importe quoi. Mais j'étais énervé, je voulais absolument rebondir sur tout ce qu'elle disait, même si c'était débile. Oui, c'était mon comportement en tant que grand gamin, et j'assumais plus ou moins. En tout cas, face à elle, je ne dévoilerais jamais l'une de mes faiblesses, parce que je voulais à tout prix l'écraser. Elle me donnait envie de la frapper, mais heureusement que je ne frappais pas les filles. En attaquant Juhyeon, elle faillit réussir à me faire la frapper, mais je réussis à me contrôler. Parce que non, fallait pas que je la frappe. Ça allait être moi le fautif dans toute l'histoire après. Je détesterais ça. Alors que je m'énervais contre elle, elle afficha un grand sourire sans rien me dire. Putain. C'était frustrant. Terriblement frustrant. Ce sourire, j'avais juste envie de lui arracher toutes les dents pour qu'elle ne puisse plus sourire, et qu'elle aie même honte d'ouvrir la bouche. Non, non, calme-toi Jaesang... Tu étais un adulte, tu savais te contrôler. Son sourire arrogant toujours sur sa tronche, elle continua de débiter des conneries. « Tu racontes vraiment n'importe quoi... » dis-je, presque émerveillé. « Dis-moi, c'est quoi le fantasme le plus populaire entre baiser avec un médecin et baiser avec un artiste ? Tu crois que les gens ont vraiment envie de le faire avec un artiste recouvert de peinture et crade parce qu'il dessine avec tout et n'importe quoi ? C'est vous que je plains, vraiment. » Je lâchai un rire juste après sa dernière phrase, retirant violemment sa main de mon épaule. « Même si j'étais puceau, je préférerais le rester si je devais baiser une fille comme toi. » C'était de la pure méchanceté, mais cette fois, je disais vrai. Si j'avais le choix entre elle et un mec, même si j'étais hétérosexuel je choisirais le mec. « Excusez-moi ? » Une voix étrangère me fit froncer les sourcils et je tournai ma tête vers cette personne. « La fin des cours a déjà sonné depuis un moment, l'université va fermer ses portes. Vous feriez mieux de partir maintenant. » C'était une femme de ménage. Pardon ? J'avais déjà dépensé autant de temps à me disputer avec elle ? Qu'est-ce que j'en avais perdu du temps... J'étais vraiment qu'un gamin. En plus, Juhyeon devait être parti depuis le temps. Je l'avais raté... Génial. J'affichai un sourire chaleureux à la dame. « Oh, oui, excusez-moi, je vais partir. Ça ne sert à rien de continuer à parler, hein ? » demandai-je à Akiko sur un ton bien niais. « Tu m'as bien gâché la journée. Passe une mauvaise soirée ! » Je n'attendis pas plus longtemps pour commencer à partir. Heureusement qu'elle était apparue cette femme de ménage, je ne savais pas pour combien de temps on aurait continué à se disputer comme deux gamins sinon... J'étais vraiment misérable.© LOYALS.
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Re: qui aime bien châtie bien ~ jae sang | Mer 16 Mai - 13:29
✻✻✻ cette conversation tourne clairement en rond. vous êtes comme deux gamins, dans une cour de récréation a essayé de savoir qui a raison et qui a tort. sauf qu’aucun de vous n’est un enfant. toi tu as vingt-six ans et lui en a vingt-quatre. c’est débile, puéril et tu en penses. pourtant, malgré le fait que tu le saches, tu n’arrêtes pas pour autant. tu veux avoir le dernier mot sur votre débat stérile et jaesang est comme toi. il ne veut pas lâcher l’affaire et encore moins face à toi. tu trouves donc de plus en plus d’arguments de moins en moins convaincants pour prouver que les artistes sont meilleurs que les scientifiques. sauf que le jeune homme utilisait les mêmes arguments pour te démontrer le contraire. ça avait le don de t’énerver de plus en plus et tes pensées devenaient de moins en moins cohérentes. encore une fois, il retourne ton argument contre toi et tu essaies de ne pas montrer que tu es à court d’idées, ce qui est malheureusement le cas. tu ne sais plus quoi répondre à ce qu’il vient de te dire et te retrouves bête pendant quelques secondes à faire fonctionner ton cerveau à plein régime. pourquoi a-t-il fallu que tu te lances dans ce débat stupide avec lui encore ? pourquoi tu peux pas faire comme toutes les filles qui ont des crush et jouer la carte de la fille timide ? pourquoi faut-il que tu sois si masculine et pas un sou comme les autres filles ? tu sais que tu t’emmerderais si tu étais comme les autres. t’as beau aimer ta cousine de toute ton cœur, la voir devenir rouge comme une tomate et chercher ses mots quand elle parle aux gens autour d’elle, encore plus quand c’est son crush, toi tu sais que tu ne supporterais pas d’être comme ça. enfin, peut-être que tu l’avais été plus jeune mais maintenant tu avais changé. tu n’étais plus cette gamine bégayante et amoureuse, maintenant, tu n’étais plus qu’une stupide gamine. « avant ça aurait pu être le cas… maintenant les gens ne font ça que pour l’argent et la reconnaissance qu’ils en tireront. » et tu te rends compte après avoir parlé que ça vaut aussi bien pour les scientifiques que pour les artistes ça. mais tu ne lui montres pas que tu t’es toi-même tiré dans le pied. après tout, il n’a pas besoin de savoir que tu sais que c’est totalement débile ce que vous vous dites. c’est pour cette raison que tu finis par l’attaquer sur son meilleur ami parce qu’il est aussi en art et que ce qu’il a dit sur toi, pourrait très bien s’appliquer à lui. tu vois bien que jaesang se retient de te frapper et ça te fait encore plus jubiler et te donne de plus en plus l’envie de le chercher et de le voir porter la main sur toi. dès que ce sera le cas, tu n’auras plus qu’à le frapper en retour et lui faire mal. d’ordinaire, tu frappes la première, tu ne laisses que très peu de chance à tes adversaires, mais là avec le jeune homme t’as pas réellement envie de lui faire mal. tu le laisses parler du fantasme entre baiser avec un médecin ou un artiste. tu sais que c’est vrai il a raison. combien de fois akira avait choppé parce qu’il faisait médecine ? oh mais tu insultes aussi akira depuis le début… t’y avais pas pensé à ça. tu es vraiment débile akiko. enfin, c’est pas comme si tu ne passais pas ton temps à le faire devant lui. tu sors de tes pensées quand il t’annonce que même s’il était puceau il ne coucherait pas avec toi. mais la tristesse de la chose. tu vas pour répliquer mais une voix te coupe dans ton élan vous annonçant qu’il voudrait que vous y allez parce que l’université va fermer ses portes. oh mon dieu, il est déjà si tard ? vous êtes vraiment restés aussi longtemps pour avoir ce débat totalement puéril et débile ? t’arrives pas à y croire et dire que de base tu voulais juste acheter un nouveau paquet de bonbons. tu pousses un soupir quand tu vois jaesang partir. « ouais toi aussi, passe une mauvaise soirée. » que t’es conne akiko ! tu te retournes vers la femme de ménage avec un sourire sincère sur les lèvres. « excusez moi. je récupère mes affaires et je vous laisse le champ libre. » tu te dépêches de récupérer ton sac rangeant plus ou moins l’atelier et tu entres dans la chambre noire pour décrocher les photos qui ont eu le temps d’apparaitre. un sourire s’affiche sur tes lèvres en regardant l’un des clichés. tu vas l’offrir à akira pour votre anniversaire et tu espères qu’il sera heureux. après un dernier tour dans l’atelier pour vérifier que tu n’avais rien oublié, tu souhaites une bonne soirée et un bon courage à la femme de ménage et tu sors du bâtiment. tu attrapes ton portable que tu avais laissé dans ton sac et tu te rends compte que tu as énormément d’appels manqués, ta mère… t’avais oublié que tu devais la voir ce soir… quelle perte de temps quand même cette conversation avec jaesang.
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jaesang & akiko
✻✻✻ cette conversation tourne clairement en rond. vous êtes comme deux gamins, dans une cour de récréation a essayé de savoir qui a raison et qui a tort. sauf qu’aucun de vous n’est un enfant. toi tu as vingt-six ans et lui en a vingt-quatre. c’est débile, puéril et tu en penses. pourtant, malgré le fait que tu le saches, tu n’arrêtes pas pour autant. tu veux avoir le dernier mot sur votre débat stérile et jaesang est comme toi. il ne veut pas lâcher l’affaire et encore moins face à toi. tu trouves donc de plus en plus d’arguments de moins en moins convaincants pour prouver que les artistes sont meilleurs que les scientifiques. sauf que le jeune homme utilisait les mêmes arguments pour te démontrer le contraire. ça avait le don de t’énerver de plus en plus et tes pensées devenaient de moins en moins cohérentes. encore une fois, il retourne ton argument contre toi et tu essaies de ne pas montrer que tu es à court d’idées, ce qui est malheureusement le cas. tu ne sais plus quoi répondre à ce qu’il vient de te dire et te retrouves bête pendant quelques secondes à faire fonctionner ton cerveau à plein régime. pourquoi a-t-il fallu que tu te lances dans ce débat stupide avec lui encore ? pourquoi tu peux pas faire comme toutes les filles qui ont des crush et jouer la carte de la fille timide ? pourquoi faut-il que tu sois si masculine et pas un sou comme les autres filles ? tu sais que tu t’emmerderais si tu étais comme les autres. t’as beau aimer ta cousine de toute ton cœur, la voir devenir rouge comme une tomate et chercher ses mots quand elle parle aux gens autour d’elle, encore plus quand c’est son crush, toi tu sais que tu ne supporterais pas d’être comme ça. enfin, peut-être que tu l’avais été plus jeune mais maintenant tu avais changé. tu n’étais plus cette gamine bégayante et amoureuse, maintenant, tu n’étais plus qu’une stupide gamine. « avant ça aurait pu être le cas… maintenant les gens ne font ça que pour l’argent et la reconnaissance qu’ils en tireront. » et tu te rends compte après avoir parlé que ça vaut aussi bien pour les scientifiques que pour les artistes ça. mais tu ne lui montres pas que tu t’es toi-même tiré dans le pied. après tout, il n’a pas besoin de savoir que tu sais que c’est totalement débile ce que vous vous dites. c’est pour cette raison que tu finis par l’attaquer sur son meilleur ami parce qu’il est aussi en art et que ce qu’il a dit sur toi, pourrait très bien s’appliquer à lui. tu vois bien que jaesang se retient de te frapper et ça te fait encore plus jubiler et te donne de plus en plus l’envie de le chercher et de le voir porter la main sur toi. dès que ce sera le cas, tu n’auras plus qu’à le frapper en retour et lui faire mal. d’ordinaire, tu frappes la première, tu ne laisses que très peu de chance à tes adversaires, mais là avec le jeune homme t’as pas réellement envie de lui faire mal. tu le laisses parler du fantasme entre baiser avec un médecin ou un artiste. tu sais que c’est vrai il a raison. combien de fois akira avait choppé parce qu’il faisait médecine ? oh mais tu insultes aussi akira depuis le début… t’y avais pas pensé à ça. tu es vraiment débile akiko. enfin, c’est pas comme si tu ne passais pas ton temps à le faire devant lui. tu sors de tes pensées quand il t’annonce que même s’il était puceau il ne coucherait pas avec toi. mais la tristesse de la chose. tu vas pour répliquer mais une voix te coupe dans ton élan vous annonçant qu’il voudrait que vous y allez parce que l’université va fermer ses portes. oh mon dieu, il est déjà si tard ? vous êtes vraiment restés aussi longtemps pour avoir ce débat totalement puéril et débile ? t’arrives pas à y croire et dire que de base tu voulais juste acheter un nouveau paquet de bonbons. tu pousses un soupir quand tu vois jaesang partir. « ouais toi aussi, passe une mauvaise soirée. » que t’es conne akiko ! tu te retournes vers la femme de ménage avec un sourire sincère sur les lèvres. « excusez moi. je récupère mes affaires et je vous laisse le champ libre. » tu te dépêches de récupérer ton sac rangeant plus ou moins l’atelier et tu entres dans la chambre noire pour décrocher les photos qui ont eu le temps d’apparaitre. un sourire s’affiche sur tes lèvres en regardant l’un des clichés. tu vas l’offrir à akira pour votre anniversaire et tu espères qu’il sera heureux. après un dernier tour dans l’atelier pour vérifier que tu n’avais rien oublié, tu souhaites une bonne soirée et un bon courage à la femme de ménage et tu sors du bâtiment. tu attrapes ton portable que tu avais laissé dans ton sac et tu te rends compte que tu as énormément d’appels manqués, ta mère… t’avais oublié que tu devais la voir ce soir… quelle perte de temps quand même cette conversation avec jaesang.© LOYALS.
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