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Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin
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Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Mer 1 Nov - 16:24
Tenue Ѻ Bien que lourdement chargée, entre l’étui de l’instrument sur son dos, les deux grosses valises qu’elle tirait de ses mains, et un sac en bandoulière, Wu Qing traversait avec une certaine aisance le campus de Yonsei sans s’arrêter depuis qu’elle avait traversé le portail d’entrée. C’était la première fois qu’elle y mettait les pieds, et pourtant il était difficile de le croire au vue du fait de son allure assurée et de sa démarche stable. Sans carte, si ce n’est celle imprimée dans sa mémoire lorsqu’elle consultait l’établissement depuis son smartphone dans le court trajet de bus, l’étudiante chinoise prenait la direction du dortoir sango, sa nouvelle fraternité.
Écouteurs aux oreilles, on l’entendait fredonner joyeusement sans se soucier un instant des personnes qui l’entouraient. Du décor. Mais si l’une d’entre elles avait eu la curiosité de s’approcher de la demoiselle, elle aurait vite remarqué que ce qu’elle humait ne correspondait absolument pas à l’audio que son ipod jouait. Elle semblait être enfermé dans son mode, par ses écouteurs qui la coupaient du monde extérieur, mais en vérité, elle était ailleurs, dans son propre monde et n’entendait, ou ne voyait que ce qu’elle voulait bien entendre et voir. Son excitation était palpable et pas désagréable à observer, puisqu’un sourire enjoué étiré ses lèvres teintés d’un rouge parfaitement tracé. Elle ne cachait pas son état d’esprit, elle l’assumait parfaitement même si à la première question, elle ne se contenterait que d’un rire poli. Au fur et à mesure qu’elle s’approchait du building, ses pas se faisait plus courts, plus sautillant, ses cheveux remontés en une queue de cheval assez haute se balançait au rythme de ses pas. Et arrivée devant le fameux bâtiment qu’elle voyait depuis un moment à l’horizon, elle marqua son premier arrêt.
Observant l’architecture du bâtiment, restant immobile un court instant, de multiples pensées traversaient son esprit, ou encore ce sentiment curieux de satisfaction alors même qu’elle n’avait pas encore poussé la porte du bâtiment. Le jeu commençait, la partie était lancée avant même que tous les joueurs n’y soient préparés. Elle était à la maître du jeu et joueur, et cette double casquette ne la gênait pas. Elle n’allait pas être spolié, loin de là, elle s’attendait même à être surprise. Reprenant son chemin, elle poussa la porte en usant de son corps, faisant toutefois de ne pas trop brusquer son précieux instrument, glissant ses valises à l’intérieur avant de s’y faufiler à son tour.
Le premier obstacle passé, regardant derrière elle qu’elle avait bien refermé la porte, un second surgit de nulle part quand elle percuta un autre étudiant. « Excusez-moi, je ne faisais pas attention » fit-elle, surprise, en anglais. Ses lunettes de soleil lui retombait sur le nez.
Nice to meet you, buddy.
Feat. Ha Woo Jin
Tenue Ѻ Bien que lourdement chargée, entre l’étui de l’instrument sur son dos, les deux grosses valises qu’elle tirait de ses mains, et un sac en bandoulière, Wu Qing traversait avec une certaine aisance le campus de Yonsei sans s’arrêter depuis qu’elle avait traversé le portail d’entrée. C’était la première fois qu’elle y mettait les pieds, et pourtant il était difficile de le croire au vue du fait de son allure assurée et de sa démarche stable. Sans carte, si ce n’est celle imprimée dans sa mémoire lorsqu’elle consultait l’établissement depuis son smartphone dans le court trajet de bus, l’étudiante chinoise prenait la direction du dortoir sango, sa nouvelle fraternité. Écouteurs aux oreilles, on l’entendait fredonner joyeusement sans se soucier un instant des personnes qui l’entouraient. Du décor. Mais si l’une d’entre elles avait eu la curiosité de s’approcher de la demoiselle, elle aurait vite remarqué que ce qu’elle humait ne correspondait absolument pas à l’audio que son ipod jouait. Elle semblait être enfermé dans son mode, par ses écouteurs qui la coupaient du monde extérieur, mais en vérité, elle était ailleurs, dans son propre monde et n’entendait, ou ne voyait que ce qu’elle voulait bien entendre et voir. Son excitation était palpable et pas désagréable à observer, puisqu’un sourire enjoué étiré ses lèvres teintés d’un rouge parfaitement tracé. Elle ne cachait pas son état d’esprit, elle l’assumait parfaitement même si à la première question, elle ne se contenterait que d’un rire poli. Au fur et à mesure qu’elle s’approchait du building, ses pas se faisait plus courts, plus sautillant, ses cheveux remontés en une queue de cheval assez haute se balançait au rythme de ses pas. Et arrivée devant le fameux bâtiment qu’elle voyait depuis un moment à l’horizon, elle marqua son premier arrêt.
Observant l’architecture du bâtiment, restant immobile un court instant, de multiples pensées traversaient son esprit, ou encore ce sentiment curieux de satisfaction alors même qu’elle n’avait pas encore poussé la porte du bâtiment. Le jeu commençait, la partie était lancée avant même que tous les joueurs n’y soient préparés. Elle était à la maître du jeu et joueur, et cette double casquette ne la gênait pas. Elle n’allait pas être spolié, loin de là, elle s’attendait même à être surprise. Reprenant son chemin, elle poussa la porte en usant de son corps, faisant toutefois de ne pas trop brusquer son précieux instrument, glissant ses valises à l’intérieur avant de s’y faufiler à son tour.
Le premier obstacle passé, regardant derrière elle qu’elle avait bien refermé la porte, un second surgit de nulle part quand elle percuta un autre étudiant. « Excusez-moi, je ne faisais pas attention » fit-elle, surprise, en anglais. Ses lunettes de soleil lui retombait sur le nez.
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Jeu 2 Nov - 19:41
Le silence. Pesant mais parfois impératif. Il est l’âme des choses qui veulent garder leur secret. Il s’en va quand le jour paraît et revient dans les couchants roses. Il guérit de longues névroses, de la rancune et surtout du regret. Il panse les plaies les plus ancrées. Le front contre la fenêtre de sa chambre, Woo Jin réfléchit, ses pensées voguant de souvenir en souvenir, son visage crispé par la nostalgie mais aussi la douleur. Il regarde le paysage face à lui, écoutant le silence qui règne dans la pièce, mais aussi dans la demeure. Demeure appartenant à sa fraternité, les sangos. Le cœur lourd de remords, il finit par se détacher de cette vue qui le monopolise tant, s’en allant chercher sa guitare. Sa seule source d’inspiration mais aussi son seul moyen d’extérioriser toutes ses pensées qui le pourchassent depuis tant d’années. Il commence alors à gratter quelques notes, laissant libre court à son imagination, inventant alors une mélodie et quelques paroles qu’il gribouille sur une feuille de papier. Après quelques minutes à jouer, il se sent mieux, presque vide, le sourire esquissant ses lèvres. La guitare a toujours eu le don d’apaiser ses maux, et de lui raviver la flemme du bonheur, retrouvant la joie et la bonne humeur. Il ne peut s’en passer, elle est devenue comme une drogue, une nécessité, pour survivre dans ce vaste monde et rester tel qu’il est, sans jamais trembler. Il dépose alors sa guitare, un petit tremblement lui signalant la venue d’un message. C’est le président de la fraternité qui lui rappelle qu’il y a normalement une nouvelle recrue au dortoir et qu’il ne doit pas oublier de la prendre en charge, étant le seul à être présent au dortoir. Heureusement qu’il est là pour le rappeler à l’ordre. Il avait complètement oublié sa mission du jour. Il s’en va alors vers le salon, y entendant un bruit étrange, découvrant alors une silhouette féminine, sûrement la nouvelle. Il accourt vers elle en voyant les nombreuses valises qu’elle porte, désireux de venir l’aider, mais il n’a pas le temps d’annoncer sa présence qu’elle le percute, faisant tomber ses lunettes. « Pardon » dit-il maladroitement, reculant légèrement pour apercevoir le visage de la jeune femme. Pendant quelques secondes, un laps de temps très court, il se perd dans la profondeur de ses yeux, sa gorge se nouant, une sensation étrange l’envahissant, mais finit par chasser rapidement cette sensation de déjà-vu. « Tu es certainement la nouvelle ? Enchanté, je m’appelle Ha Woo Jin . . . Je suis chargé de m’occuper de toi parce que comme tu peux le voir il n’y a personne . . . ». Il recule légèrement pour lui laisser la vision du dortoir vide, lui faisant un grand sourire. « T’as besoin d’aide je suppose », il regarde ses nombreuses valises, se demandant bien comment elle est parvenue jusqu’ici sans se blesser. « Tu t’appelles comment ? Tu viens d’où ? ». C’est qu’il est curieux . . . peut-être même trop.
Nice to meet you, buddy.
Feat. Huang Wu Qing - Sister 
Le silence. Pesant mais parfois impératif. Il est l’âme des choses qui veulent garder leur secret. Il s’en va quand le jour paraît et revient dans les couchants roses. Il guérit de longues névroses, de la rancune et surtout du regret. Il panse les plaies les plus ancrées. Le front contre la fenêtre de sa chambre, Woo Jin réfléchit, ses pensées voguant de souvenir en souvenir, son visage crispé par la nostalgie mais aussi la douleur. Il regarde le paysage face à lui, écoutant le silence qui règne dans la pièce, mais aussi dans la demeure. Demeure appartenant à sa fraternité, les sangos. Le cœur lourd de remords, il finit par se détacher de cette vue qui le monopolise tant, s’en allant chercher sa guitare. Sa seule source d’inspiration mais aussi son seul moyen d’extérioriser toutes ses pensées qui le pourchassent depuis tant d’années. Il commence alors à gratter quelques notes, laissant libre court à son imagination, inventant alors une mélodie et quelques paroles qu’il gribouille sur une feuille de papier. Après quelques minutes à jouer, il se sent mieux, presque vide, le sourire esquissant ses lèvres. La guitare a toujours eu le don d’apaiser ses maux, et de lui raviver la flemme du bonheur, retrouvant la joie et la bonne humeur. Il ne peut s’en passer, elle est devenue comme une drogue, une nécessité, pour survivre dans ce vaste monde et rester tel qu’il est, sans jamais trembler. Il dépose alors sa guitare, un petit tremblement lui signalant la venue d’un message. C’est le président de la fraternité qui lui rappelle qu’il y a normalement une nouvelle recrue au dortoir et qu’il ne doit pas oublier de la prendre en charge, étant le seul à être présent au dortoir. Heureusement qu’il est là pour le rappeler à l’ordre. Il avait complètement oublié sa mission du jour. Il s’en va alors vers le salon, y entendant un bruit étrange, découvrant alors une silhouette féminine, sûrement la nouvelle. Il accourt vers elle en voyant les nombreuses valises qu’elle porte, désireux de venir l’aider, mais il n’a pas le temps d’annoncer sa présence qu’elle le percute, faisant tomber ses lunettes. « Pardon » dit-il maladroitement, reculant légèrement pour apercevoir le visage de la jeune femme. Pendant quelques secondes, un laps de temps très court, il se perd dans la profondeur de ses yeux, sa gorge se nouant, une sensation étrange l’envahissant, mais finit par chasser rapidement cette sensation de déjà-vu. « Tu es certainement la nouvelle ? Enchanté, je m’appelle Ha Woo Jin . . . Je suis chargé de m’occuper de toi parce que comme tu peux le voir il n’y a personne . . . ». Il recule légèrement pour lui laisser la vision du dortoir vide, lui faisant un grand sourire. « T’as besoin d’aide je suppose », il regarde ses nombreuses valises, se demandant bien comment elle est parvenue jusqu’ici sans se blesser. « Tu t’appelles comment ? Tu viens d’où ? ». C’est qu’il est curieux . . . peut-être même trop. Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Ven 3 Nov - 0:28
Tenue Ѻ Brusquée, par ce soudain obstacle inattendu, elle eut un mouvement de recul sans même réalisé qu’il était en parfait synchronisme avec la personne qui l’avait percuté. Pour autant, elle ne se laissa pas décontenancée plus que cela, au contraire, elle leva les yeux vers cet inconnu et avant même qu’elle ne puisse dire quelque chose, exprimer une quelconque réaction, les mots se perdirent entre ses lèvres entrouvertes, son souffle les absorba. Elle resta muette, silencieuse, comme ce garçon qui la dévisageait sans comprendre ce qui lui arrivait. Un sourire étire ses lèvres en même temps qu’il brise le silence, reprenant alors ses esprits. « Ce n’est rien » répondit-elle enfin avec calme, ajustant à nouveau sur sa tête, ses lunettes de soleil. Elle aurait voulu les ajuster sur son nez pour jeter un voile, ne plus le laisser l’observer, droit dans les yeux, sans qu’elle n’en décide autrement, mais elle se retint in extremis de le faire car ce serait bien trop étrange que de les garder à l’intérieur. « Ravie de te voir, Ha Woo Jin », elle prononça avec un soin particulier, dans une élocution lente mais élégante, le nom de celui qui était venu l’accueillir. Et sans le cacher, on pouvait voir des lueurs enjouées s’allumer dans son regard, accompagnant ce sourire qu’elle continuait à avoir.
Parce qu’il s’écarte pour lui dégager le champ de vision, elle fait ce qu’il semble attendre d’elle, elle scrute rapidement le dortoir où elle se trouvait. Lumineux, spacieux et moderne, ce qui n’était absolument pas son style mais elle n’allait pas s’arrêter à ce genre de détail. « Où sont partis les autres ? » demanda-t-elle par curiosité, en reposant son regard sur le jeune homme. Si à cet instant précis, il pouvait lire dans ses pensées, il aurait très certainement pris la fuite. Et c’était certainement la seule solution qu’il pouvait envisager car elle ne compterait pas le lui offrir. Le jeu avait commencé, si elle avançait dans ce vaste échiquier, c’était bien pour renverser ce qui se dresserait devant elle, sans aucune exception. « C’est gentil, ce n’était pas très pratique dans le bus, je dois bien l’avouer ». Petit mensonge, mais c’était parfaitement possible. Elle tire une valise pour la mettre devant elle et la lui tendre. Ses bagages sont de tailles équivalentes mais celle-ci est légèrement plus lourd. « D’où je viens… quelle drôle de question ! De l’arrêt de bus de l’autre côté de la rue ? » Elle guette sa réaction, avant de rire faiblement et reprendre avec davantage de sérieux, « je reviens tout juste d’un vol de Hong Kong et je m’appelle Huan Wu Qing, enchantée Ha Woo Jin ». Elle lui tend sa main, pour officialiser les présentations, et ils auront tout le temps par la suite de se connaitre. Elle le souhaitait, très sincèrement, voire même, plus qu’autre chose. « J’espère que nous allons très bien nous entendre ».
Nice to meet you, buddy.
Feat. Ha Woo Jin
Tenue Ѻ Brusquée, par ce soudain obstacle inattendu, elle eut un mouvement de recul sans même réalisé qu’il était en parfait synchronisme avec la personne qui l’avait percuté. Pour autant, elle ne se laissa pas décontenancée plus que cela, au contraire, elle leva les yeux vers cet inconnu et avant même qu’elle ne puisse dire quelque chose, exprimer une quelconque réaction, les mots se perdirent entre ses lèvres entrouvertes, son souffle les absorba. Elle resta muette, silencieuse, comme ce garçon qui la dévisageait sans comprendre ce qui lui arrivait. Un sourire étire ses lèvres en même temps qu’il brise le silence, reprenant alors ses esprits. « Ce n’est rien » répondit-elle enfin avec calme, ajustant à nouveau sur sa tête, ses lunettes de soleil. Elle aurait voulu les ajuster sur son nez pour jeter un voile, ne plus le laisser l’observer, droit dans les yeux, sans qu’elle n’en décide autrement, mais elle se retint in extremis de le faire car ce serait bien trop étrange que de les garder à l’intérieur. « Ravie de te voir, Ha Woo Jin », elle prononça avec un soin particulier, dans une élocution lente mais élégante, le nom de celui qui était venu l’accueillir. Et sans le cacher, on pouvait voir des lueurs enjouées s’allumer dans son regard, accompagnant ce sourire qu’elle continuait à avoir.Parce qu’il s’écarte pour lui dégager le champ de vision, elle fait ce qu’il semble attendre d’elle, elle scrute rapidement le dortoir où elle se trouvait. Lumineux, spacieux et moderne, ce qui n’était absolument pas son style mais elle n’allait pas s’arrêter à ce genre de détail. « Où sont partis les autres ? » demanda-t-elle par curiosité, en reposant son regard sur le jeune homme. Si à cet instant précis, il pouvait lire dans ses pensées, il aurait très certainement pris la fuite. Et c’était certainement la seule solution qu’il pouvait envisager car elle ne compterait pas le lui offrir. Le jeu avait commencé, si elle avançait dans ce vaste échiquier, c’était bien pour renverser ce qui se dresserait devant elle, sans aucune exception. « C’est gentil, ce n’était pas très pratique dans le bus, je dois bien l’avouer ». Petit mensonge, mais c’était parfaitement possible. Elle tire une valise pour la mettre devant elle et la lui tendre. Ses bagages sont de tailles équivalentes mais celle-ci est légèrement plus lourd. « D’où je viens… quelle drôle de question ! De l’arrêt de bus de l’autre côté de la rue ? » Elle guette sa réaction, avant de rire faiblement et reprendre avec davantage de sérieux, « je reviens tout juste d’un vol de Hong Kong et je m’appelle Huan Wu Qing, enchantée Ha Woo Jin ». Elle lui tend sa main, pour officialiser les présentations, et ils auront tout le temps par la suite de se connaitre. Elle le souhaitait, très sincèrement, voire même, plus qu’autre chose. « J’espère que nous allons très bien nous entendre ».
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Lun 6 Nov - 21:56
Maladroit il est. Au lieu d’accueillir cette nouvelle dans les meilleures conditions, il la percute, la terrorisant très certainement. Il ne sait même pas si elle sait qu’il est en charge de lui présenter les lieux et qu’ils seront seuls pendant quelques heures, le temps que les autres reviennent de leurs occupations. Il la fixe quelques secondes, fronçant légèrement des sourcils, et finit par sourire lorsqu’elle se met à parler doucement avec un certain ton. Il ne sait pas si c’est parce qu’elle est étrangère ou si c’est parce qu’elle vient d’un certain milieu mais dans tous les cas elle a un côté précieux. Ou est-ce juste parce qu’il n’est pas encore habitué à cette nouvelle recrue. Il se penche vers elle, oubliant presque le respect coréen, même s’il ne sait pas son âge, mais à première vue elle ne semble pas très éloignée de son âge à lui. Il la laisse donc rentrer, grimaçant en voyant le salon si vide. C’est dommage qu’elle ne puisse pas déjà apercevoir l’ambiance au sein de la fraternité. Il a connu plus agiter. « Malheureusement tu n’es pas arrivée au meilleur moment. Ils sont tous occupés ailleurs mais ne t’en fais pas, tu auras rapidement l’occasion de connaître les joies de vivre au sein des sangos », il rigole ne sachant pas si c’est réellement une joie ou un malheur. Il l’aide ensuite avec ses nombreuses valises, grimaçant en sentant le poids de celles-ci. « Et bien . . . effectivement ça ne devait pas être facile. Tu aurais pu le signaler au président. Je serai venu t’aider dans les transports en commun. Je sais à quel point ce n’est pas toujours facile », il l’a expérimenté par le même passé, même si à cette époque il n’avait qu’un sac à dos, mais parler le coréen avec des coréens avait été une expérience complexe, malgré sa maitrise parfaite de cette langue. Il se met brusquement à rire lorsqu’elle lui répond qu’elle vient de l’arrêt de bus. Au moins elle a de l’humour, c’est inattendu. « Et bien je pense que tu vas t’entendre avec certains de nos membres », elle a bien fait de choisir cette fraternité. Il arque un sourcil quand elle précise qu’elle vient de Hong Kong, une certaine joie l’envahissant, son cœur manquant un battement. La Chine . . . Lieu rempli de souvenirs, pour la plupart mauvais. Il a un petit geste de recul, juste par précaution, espérant ne pas la connaître. Parce que tout le monde connait sa famille, quel que soit l’endroit, la ville. Il lui prend toutefois la main qu’elle lui tend, scellant ainsi à jamais leur destin. « Très beau prénom. Il a une signification spécifique ou pas du tout ? Et si je comprends bien tu es une étrangère ? Tu ne vas pas avoir quelques difficultés avec le Coréen ? Si tu as besoin de cours particulier, n’hésite pas ». Woo Jin ou l’art de se faire passer pour un coréen au sang pur. « Il n’y a pas de raison que ça se passe mal entre toi et moi » dit-il avec un grand sourire encourageant, « en plus j’aime bien les chinois. J’ai appris pendant quelques années la langue, mais j’ai encore du mal à parler réellement chinois, c’est une autre langue ». Il inspire profondément, gardant le visage placide. « Viens je t’amène dans ta chambre pour que tu puisses déposer tes valises et après je te fais un tour de la propriété ». Il lui prend ses valises et l’amène jusqu’à sa chambre, « je crois que tu es actuellement seule dans ta chambre. Tu peux te considérer comme chanceuse » dit-il en lançant un regard rapide à la chambre vide. « Tu veux que je te laisse déballer tes valises et on se retrouve après ou je te fais visiter de suite ? ».
Nice to meet you, buddy.
Feat. Huang Wu Qing - Sister
Maladroit il est. Au lieu d’accueillir cette nouvelle dans les meilleures conditions, il la percute, la terrorisant très certainement. Il ne sait même pas si elle sait qu’il est en charge de lui présenter les lieux et qu’ils seront seuls pendant quelques heures, le temps que les autres reviennent de leurs occupations. Il la fixe quelques secondes, fronçant légèrement des sourcils, et finit par sourire lorsqu’elle se met à parler doucement avec un certain ton. Il ne sait pas si c’est parce qu’elle est étrangère ou si c’est parce qu’elle vient d’un certain milieu mais dans tous les cas elle a un côté précieux. Ou est-ce juste parce qu’il n’est pas encore habitué à cette nouvelle recrue. Il se penche vers elle, oubliant presque le respect coréen, même s’il ne sait pas son âge, mais à première vue elle ne semble pas très éloignée de son âge à lui. Il la laisse donc rentrer, grimaçant en voyant le salon si vide. C’est dommage qu’elle ne puisse pas déjà apercevoir l’ambiance au sein de la fraternité. Il a connu plus agiter. « Malheureusement tu n’es pas arrivée au meilleur moment. Ils sont tous occupés ailleurs mais ne t’en fais pas, tu auras rapidement l’occasion de connaître les joies de vivre au sein des sangos », il rigole ne sachant pas si c’est réellement une joie ou un malheur. Il l’aide ensuite avec ses nombreuses valises, grimaçant en sentant le poids de celles-ci. « Et bien . . . effectivement ça ne devait pas être facile. Tu aurais pu le signaler au président. Je serai venu t’aider dans les transports en commun. Je sais à quel point ce n’est pas toujours facile », il l’a expérimenté par le même passé, même si à cette époque il n’avait qu’un sac à dos, mais parler le coréen avec des coréens avait été une expérience complexe, malgré sa maitrise parfaite de cette langue. Il se met brusquement à rire lorsqu’elle lui répond qu’elle vient de l’arrêt de bus. Au moins elle a de l’humour, c’est inattendu. « Et bien je pense que tu vas t’entendre avec certains de nos membres », elle a bien fait de choisir cette fraternité. Il arque un sourcil quand elle précise qu’elle vient de Hong Kong, une certaine joie l’envahissant, son cœur manquant un battement. La Chine . . . Lieu rempli de souvenirs, pour la plupart mauvais. Il a un petit geste de recul, juste par précaution, espérant ne pas la connaître. Parce que tout le monde connait sa famille, quel que soit l’endroit, la ville. Il lui prend toutefois la main qu’elle lui tend, scellant ainsi à jamais leur destin. « Très beau prénom. Il a une signification spécifique ou pas du tout ? Et si je comprends bien tu es une étrangère ? Tu ne vas pas avoir quelques difficultés avec le Coréen ? Si tu as besoin de cours particulier, n’hésite pas ». Woo Jin ou l’art de se faire passer pour un coréen au sang pur. « Il n’y a pas de raison que ça se passe mal entre toi et moi » dit-il avec un grand sourire encourageant, « en plus j’aime bien les chinois. J’ai appris pendant quelques années la langue, mais j’ai encore du mal à parler réellement chinois, c’est une autre langue ». Il inspire profondément, gardant le visage placide. « Viens je t’amène dans ta chambre pour que tu puisses déposer tes valises et après je te fais un tour de la propriété ». Il lui prend ses valises et l’amène jusqu’à sa chambre, « je crois que tu es actuellement seule dans ta chambre. Tu peux te considérer comme chanceuse » dit-il en lançant un regard rapide à la chambre vide. « Tu veux que je te laisse déballer tes valises et on se retrouve après ou je te fais visiter de suite ? ». Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Mer 8 Nov - 22:26
Tenue Ѻ Deux parfaits étrangers, voilà désormais ce à quoi ils ressemblaient, leurs masques parfaitement ajustés. Ils ne se connaissaient pas, du moins, il était incapable de percer à jour ce qu’elle prétendrait être tout comme elle était incapable de se souvenir de lui. Son visage avait déserté sa mémoire mais maintenant qu’elle le voyait, des sentiments multiples et contradictoires se manifestaient. De la haine à l’indifférence, sans jamais que la nostalgie ne puisse la frapper. C’était terriblement frustrant et déstabilisant, de le voir en face, et être incapable de savoir, comment elle devait réagir. Il n’y avait personne, l’opportunité était parfaite pour qu’elle efface, d’un simple geste, son existence et en même temps, quelque chose la freinait. Quoi exactement ? Elle n’avait qu’une réponse, le jeu. Le torturer comme il avait su le faire, en lui infligeant cette blessure et en brillant de son absence. Qu’importe le nombre de fois où elle s’était affrontée à lui faire face, aujourd’hui était encore un autre scénario, imprévisible mais inévitable. Maintenant qu’elle le voyait, une question surgissait : à quoi ressemblait ses journées, que prétendait-il être, quel genre de question surgissait dans son esprit lorsqu’il était seul. « S’il a une signification ? Je ne sais pas, du moins, j’ai pas souvenir que ce soit le cas » répondit-elle, inclinant légèrement la tête tandis qu’elle plissait les yeux, essayant ou prétendant de ressasser un quelconque souvenir du genre. Son prénom avait une signification particulière, il marquait au fer rouge, son renouveau. Mais ceux qui l’ignoraient, n’y voyait apposé qu’un triste sort. Quel genre de parent, nommerait son enfant, sans cœur. « Pour le moment ça semble aller, mais je t’avoue que j’ai parfois du mal, lorsqu’on me parle vite. Et vous autres coréens, avez une élocution parfois rapide », elle sourit, saisissant l’opportunité qu’il lui offrait sans la moindre hésitation. Il lui créait des excuses, des prétextes, sans qu’elle n’y mette d’effort. « Je risque de beaucoup t’ennuyer avec mes questions ! Surtout que je ne sais pas encore comment vont se passer les cours ici » continuait-elle, observant la moindre de ses réactions sans pour autant le fixer directement. Elle était plus discrète, balayant de temps à autre son regard dans cette pièce immense qu’était la salle commune. « Vraiment ? Combien de temps as-tu appris le chinois ? Faisons un échange dans ce cas, des cours de coréen contre des cours de chinois », une illumination, si bien qu’elle frappa dans ses mains, sidérée, ou presque, de son idée. Quel bon menteur qu’il était. Jusqu’où, avait-il caché ce qu’il était réellement ? Le chinois, était bien plus qu’une langue d’un pays voisin pour lui. Mais elle se taisait et jouait le jeu. « Je te suis ! J’espère seulement que je ne vais pas trop me perdre » répondit-elle, arrangeant sur son dos, la sangle de l’étui de violon. Et la première chose qu’elle fit, c’est poser avec délicatesse l’instrument avant de regarder cette chambre, qu’elle allait occuper désormais seule. « Effectivement ! Ça me fait plus d’espace », elle s’installa sur le rebord du lit, testant les ressors du matelas. « Hmm, je crois que j’aurais le temps de le faire ce soir ~ Et puis, ça risquerait de prendre du temps. Je te suis, cher guide ! »
Nice to meet you, buddy.
Feat. Ha Woo Jin
Tenue Ѻ Deux parfaits étrangers, voilà désormais ce à quoi ils ressemblaient, leurs masques parfaitement ajustés. Ils ne se connaissaient pas, du moins, il était incapable de percer à jour ce qu’elle prétendrait être tout comme elle était incapable de se souvenir de lui. Son visage avait déserté sa mémoire mais maintenant qu’elle le voyait, des sentiments multiples et contradictoires se manifestaient. De la haine à l’indifférence, sans jamais que la nostalgie ne puisse la frapper. C’était terriblement frustrant et déstabilisant, de le voir en face, et être incapable de savoir, comment elle devait réagir. Il n’y avait personne, l’opportunité était parfaite pour qu’elle efface, d’un simple geste, son existence et en même temps, quelque chose la freinait. Quoi exactement ? Elle n’avait qu’une réponse, le jeu. Le torturer comme il avait su le faire, en lui infligeant cette blessure et en brillant de son absence. Qu’importe le nombre de fois où elle s’était affrontée à lui faire face, aujourd’hui était encore un autre scénario, imprévisible mais inévitable. Maintenant qu’elle le voyait, une question surgissait : à quoi ressemblait ses journées, que prétendait-il être, quel genre de question surgissait dans son esprit lorsqu’il était seul. « S’il a une signification ? Je ne sais pas, du moins, j’ai pas souvenir que ce soit le cas » répondit-elle, inclinant légèrement la tête tandis qu’elle plissait les yeux, essayant ou prétendant de ressasser un quelconque souvenir du genre. Son prénom avait une signification particulière, il marquait au fer rouge, son renouveau. Mais ceux qui l’ignoraient, n’y voyait apposé qu’un triste sort. Quel genre de parent, nommerait son enfant, sans cœur. « Pour le moment ça semble aller, mais je t’avoue que j’ai parfois du mal, lorsqu’on me parle vite. Et vous autres coréens, avez une élocution parfois rapide », elle sourit, saisissant l’opportunité qu’il lui offrait sans la moindre hésitation. Il lui créait des excuses, des prétextes, sans qu’elle n’y mette d’effort. « Je risque de beaucoup t’ennuyer avec mes questions ! Surtout que je ne sais pas encore comment vont se passer les cours ici » continuait-elle, observant la moindre de ses réactions sans pour autant le fixer directement. Elle était plus discrète, balayant de temps à autre son regard dans cette pièce immense qu’était la salle commune. « Vraiment ? Combien de temps as-tu appris le chinois ? Faisons un échange dans ce cas, des cours de coréen contre des cours de chinois », une illumination, si bien qu’elle frappa dans ses mains, sidérée, ou presque, de son idée. Quel bon menteur qu’il était. Jusqu’où, avait-il caché ce qu’il était réellement ? Le chinois, était bien plus qu’une langue d’un pays voisin pour lui. Mais elle se taisait et jouait le jeu. « Je te suis ! J’espère seulement que je ne vais pas trop me perdre » répondit-elle, arrangeant sur son dos, la sangle de l’étui de violon. Et la première chose qu’elle fit, c’est poser avec délicatesse l’instrument avant de regarder cette chambre, qu’elle allait occuper désormais seule. « Effectivement ! Ça me fait plus d’espace », elle s’installa sur le rebord du lit, testant les ressors du matelas. « Hmm, je crois que j’aurais le temps de le faire ce soir ~ Et puis, ça risquerait de prendre du temps. Je te suis, cher guide ! » Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Sam 11 Nov - 0:23
« Oh » dit-il simplement, semblant attristé qu’elle n’ait pas connaissance de la signification de son prénom. Et lui ? Quelle était la signification de son prénom ? Le prédestinait-il à être celui qu’il est aujourd’hui ? Avec ce passé aussi lourd que torturant ? Il en doute, ou du moins il ne l’espère pas. Un simple prénom ne peut tracer l’avenir d’un enfant. Quoique. Il esquisse un rapide sourire comprenant totalement les paroles de la jeune femme. Il est vrai que les coréens ont tendance à parler rapidement, surtout lorsqu’ils pensent être face à un coréen, comme cela a été son cas de nombreuses fois, pour son plus grand plaisir. Certes il parle, enfin parlait, couramment chinois mais pour autant, le coréen est différent et parfois difficile à parler, devant ainsi emprunter un autre ton. « Ne t’en fais pas. Je t’ai accueilli donc il est normal de me proposer en tant que tuteur, surtout à une étrangère. Je n’aimerai pas que tu te sentes à part dans notre fraternité. Tu sais ici c’est un peu comme une . . . famille ». Il ne préfère pas dire seconde famille car pour lui c’est actuellement la seule famille qu’il lui reste. Enfin, c’est ce qu’il croit. « Tu fais quoi comme étude ? » demande-t-il curieux de savoir si elle a choisi la facilité ou bien la difficulté. Il se met à rire, trouvant la situation particulièrement amusante. Si elle savait, mais elle le sait, il connait le chinois comme sa propre langue. Ce qui est finalement le cas. Il n’a donc pas besoin d’avoir des cours particuliers, mais à force, Woo Jin sait jouer le jeu du bon menteur. Il en est devenu un expert. Il parvient même à ne pas réagir chaque fois qu’il entend du chinois, même lorsqu’un autre l’insulte. « Avec plaisir. J’ai encore beaucoup à apprendre, mais j’apprends très vite. Et puis si un jour je souhaite voyager en Chine je pourrai comprendre et parler la langue ». Mais jamais cela ne risque d’arriver. Il ne compte pas y retourner. Pas avant que son père soit déclaré mort. « Tu ne risques pas de te perdre. Ce n’est pas si grand que ça et puis ne t’en fais pas, si tu as besoin de retrouver ton chemin, il y aura toujours quelqu’un pour venir t’aider ». En général les couloirs de la demeure sont toujours animés et il n’y a jamais silence complet, à part le soir, et encore ! Il lui fait donc un grand sourire après lui avoir présenté sa chambre, où elle dort encore seule. « Ok alors partons en exploration de l’océan ». C’est qu’il essaye d’être marrant Woo Jin. « Je vais d’abord te présenter le salon », il sautille de partout car il apprécie énormément cette pièce si chaleureuse. « Là tu as le mini-séjour avec des poissons que tu peux voir sous tes pieds et juste après tu as le salon avec une cheminée. Autant dire que j’affectionne ce lieu en Hiver, autour d’un bon chocolat chaud et des marshmallows, avec ma guitare en main. Je ne sais pas si tu as déjà testé du chocolat chaud ? ».
Nice to meet you, buddy.
Feat. Huang Wu Qing - Sister
« Oh » dit-il simplement, semblant attristé qu’elle n’ait pas connaissance de la signification de son prénom. Et lui ? Quelle était la signification de son prénom ? Le prédestinait-il à être celui qu’il est aujourd’hui ? Avec ce passé aussi lourd que torturant ? Il en doute, ou du moins il ne l’espère pas. Un simple prénom ne peut tracer l’avenir d’un enfant. Quoique. Il esquisse un rapide sourire comprenant totalement les paroles de la jeune femme. Il est vrai que les coréens ont tendance à parler rapidement, surtout lorsqu’ils pensent être face à un coréen, comme cela a été son cas de nombreuses fois, pour son plus grand plaisir. Certes il parle, enfin parlait, couramment chinois mais pour autant, le coréen est différent et parfois difficile à parler, devant ainsi emprunter un autre ton. « Ne t’en fais pas. Je t’ai accueilli donc il est normal de me proposer en tant que tuteur, surtout à une étrangère. Je n’aimerai pas que tu te sentes à part dans notre fraternité. Tu sais ici c’est un peu comme une . . . famille ». Il ne préfère pas dire seconde famille car pour lui c’est actuellement la seule famille qu’il lui reste. Enfin, c’est ce qu’il croit. « Tu fais quoi comme étude ? » demande-t-il curieux de savoir si elle a choisi la facilité ou bien la difficulté. Il se met à rire, trouvant la situation particulièrement amusante. Si elle savait, mais elle le sait, il connait le chinois comme sa propre langue. Ce qui est finalement le cas. Il n’a donc pas besoin d’avoir des cours particuliers, mais à force, Woo Jin sait jouer le jeu du bon menteur. Il en est devenu un expert. Il parvient même à ne pas réagir chaque fois qu’il entend du chinois, même lorsqu’un autre l’insulte. « Avec plaisir. J’ai encore beaucoup à apprendre, mais j’apprends très vite. Et puis si un jour je souhaite voyager en Chine je pourrai comprendre et parler la langue ». Mais jamais cela ne risque d’arriver. Il ne compte pas y retourner. Pas avant que son père soit déclaré mort. « Tu ne risques pas de te perdre. Ce n’est pas si grand que ça et puis ne t’en fais pas, si tu as besoin de retrouver ton chemin, il y aura toujours quelqu’un pour venir t’aider ». En général les couloirs de la demeure sont toujours animés et il n’y a jamais silence complet, à part le soir, et encore ! Il lui fait donc un grand sourire après lui avoir présenté sa chambre, où elle dort encore seule. « Ok alors partons en exploration de l’océan ». C’est qu’il essaye d’être marrant Woo Jin. « Je vais d’abord te présenter le salon », il sautille de partout car il apprécie énormément cette pièce si chaleureuse. « Là tu as le mini-séjour avec des poissons que tu peux voir sous tes pieds et juste après tu as le salon avec une cheminée. Autant dire que j’affectionne ce lieu en Hiver, autour d’un bon chocolat chaud et des marshmallows, avec ma guitare en main. Je ne sais pas si tu as déjà testé du chocolat chaud ? ». Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Dim 12 Nov - 17:23
Tenue Ѻ Famille, un concept qu’elle ne comprenait pas, si elle en connaissait parfaitement le sens textuel, ce qu’il signifiait réellement était source d’interrogation pour elle. Et celui qui se tenait devant elle en était un parfait exemple. Le sang ne suffit pas à lui seul à souder une famille alors pour s’en détourner, il avait fait verser ce sang. Et aujourd’hui, il s’était trouvé une autre famille. Bien qu’il ne le disait pas de vive voix, elle n’était pas dupe. C’était bien pour cela qu’elle était venue, retrouver avec lui ce qu’ils avaient perdu. Ils n’étaient plus des étrangers, mais membre d’une même fraternité désormais. « Je m’en remets à toi dans ce cas ~ ». C’est avec une certaine impatience, qu’elle espérait voir tous les membres des Sango à présent, pour mieux comprendre en quoi, de parfaits inconnus, pouvaient être et se considérer comme une famille. Elle esquissait un sourire, ravie d’avoir trouvé un tuteur et puis, de l’assurance qu’il lui donnait concernant le fait qu’elle ne se sentirait probablement pas exclus. « Je suis en cursus chimie et génétique, et toi ? », une question qui ne demandait pas réellement de réponse, mais pour la forme, il lui fallait la retourner. Elle n’était pas forcément passionnée par les études qu’elle entreprenait, mais elle y trouvait un certain plaisir. Manipuler, créer, analyser, tout suivait une logique et aucun résultat ne pouvait être biaisé. « Je t’avoue que je n’ai pas eu l’occasion de réellement visiter la Chine, juste une fois pendant un voyage scolaire il y a maintes lurettes. On pourra y aller ensemble ! » Elle suivait le mensonge de Woojin, cela ne la surprenait pas. À vrai dire, elle s’en réjouissait presque, de voir qu’il était soigneux avec sa couverture. Après tout, le retrouver a été très difficile. C’était presque chercher une aiguille dans une botte de foin. Mais à force de patience et de persévérance, elle avait réussi à surmonter ce qui semblait presque impossible. « Oui capitaine ! » répondit-elle, accompagnant sa réponse d’un salut militaire, dans la continuité des propos de son guide avant rire doucement. Elle le suit, d’un pas léger, veillant à rester à côté de lui mais marquant une petite distance pour éviter tout nouvel incident. « C’est fascinant », exclamation arrachée alors qu’elle contemplait les poissons qui nageaient tout juste sous ses pieds. Elle avait l’impression de marcher sur l’eau, mais qu’importe ses pas, ils ne prêtaient pas la moindre attention à elle, vivant dans leur bulle. « La façon dont tu viens de décrire ta manière de passer l’hiver donne très envie. » confessa-t-elle en observant la cheminée, imaginant un instant le feu qui grésillerait en hiver, en permanence afin de repousser le froid. « Hmm, je t’avoue que je suis plutôt thé, mais j’aurais bien envie d’en goûter un et si possible avec un marshmallow dedans. Je crois l’avoir vu quelque part ? » Instinctivement, la main de Wuqing glisse dans la poche de sa jupe, mais elle réalise qu’elle avait laissé son téléphone dans sa sacoche rouge, posé sur le lit. Tant pis, ce n'était pas grave.
Nice to meet you, buddy.
Feat. Ha Woo Jin
Tenue Ѻ Famille, un concept qu’elle ne comprenait pas, si elle en connaissait parfaitement le sens textuel, ce qu’il signifiait réellement était source d’interrogation pour elle. Et celui qui se tenait devant elle en était un parfait exemple. Le sang ne suffit pas à lui seul à souder une famille alors pour s’en détourner, il avait fait verser ce sang. Et aujourd’hui, il s’était trouvé une autre famille. Bien qu’il ne le disait pas de vive voix, elle n’était pas dupe. C’était bien pour cela qu’elle était venue, retrouver avec lui ce qu’ils avaient perdu. Ils n’étaient plus des étrangers, mais membre d’une même fraternité désormais. « Je m’en remets à toi dans ce cas ~ ». C’est avec une certaine impatience, qu’elle espérait voir tous les membres des Sango à présent, pour mieux comprendre en quoi, de parfaits inconnus, pouvaient être et se considérer comme une famille. Elle esquissait un sourire, ravie d’avoir trouvé un tuteur et puis, de l’assurance qu’il lui donnait concernant le fait qu’elle ne se sentirait probablement pas exclus. « Je suis en cursus chimie et génétique, et toi ? », une question qui ne demandait pas réellement de réponse, mais pour la forme, il lui fallait la retourner. Elle n’était pas forcément passionnée par les études qu’elle entreprenait, mais elle y trouvait un certain plaisir. Manipuler, créer, analyser, tout suivait une logique et aucun résultat ne pouvait être biaisé. « Je t’avoue que je n’ai pas eu l’occasion de réellement visiter la Chine, juste une fois pendant un voyage scolaire il y a maintes lurettes. On pourra y aller ensemble ! » Elle suivait le mensonge de Woojin, cela ne la surprenait pas. À vrai dire, elle s’en réjouissait presque, de voir qu’il était soigneux avec sa couverture. Après tout, le retrouver a été très difficile. C’était presque chercher une aiguille dans une botte de foin. Mais à force de patience et de persévérance, elle avait réussi à surmonter ce qui semblait presque impossible. « Oui capitaine ! » répondit-elle, accompagnant sa réponse d’un salut militaire, dans la continuité des propos de son guide avant rire doucement. Elle le suit, d’un pas léger, veillant à rester à côté de lui mais marquant une petite distance pour éviter tout nouvel incident. « C’est fascinant », exclamation arrachée alors qu’elle contemplait les poissons qui nageaient tout juste sous ses pieds. Elle avait l’impression de marcher sur l’eau, mais qu’importe ses pas, ils ne prêtaient pas la moindre attention à elle, vivant dans leur bulle. « La façon dont tu viens de décrire ta manière de passer l’hiver donne très envie. » confessa-t-elle en observant la cheminée, imaginant un instant le feu qui grésillerait en hiver, en permanence afin de repousser le froid. « Hmm, je t’avoue que je suis plutôt thé, mais j’aurais bien envie d’en goûter un et si possible avec un marshmallow dedans. Je crois l’avoir vu quelque part ? » Instinctivement, la main de Wuqing glisse dans la poche de sa jupe, mais elle réalise qu’elle avait laissé son téléphone dans sa sacoche rouge, posé sur le lit. Tant pis, ce n'était pas grave. Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Mar 14 Nov - 22:32
Devrait-elle réellement lui faire confiance en se remettant complètement à lui, comme elle vient si bien de le lui signifier ? Certainement oui. Après tout, Woo Jin n’est pas un être méchant, avec de mauvaises intentions, bien au contraire. Beaucoup le comparent à Peter Pan, désireux de rester enfant, volant vers la liberté et la justice, faisant régner le bonheur sur ses terres enfantines. Sa seule erreur a été de naître dans la mauvaise famille. « Sans me vanter, je suis certainement la personne en qui tu peux avoir le plus confiance » dit-il sur le ton de la plaisanterie, pas un brin sérieux. Il écarquille les yeux lorsqu’elle lui annonce faire des études dans le même domaine que celui-ci, c’est-à-dire en Chimie. « Vraiment ? », il est tellement surpris qu’il se sent dans l’obligation de porter sa main à sa bouche, frappant par la suite ses mains entre elles. « Wouah ! Quelle coïncidence ! Il se trouve que je suis aussi en chimie. Tu es en quelle année ? ». Il réalise à quel point les choses se sont bien faites et ont été très bien imbriquées. En plus d’être celui qui l’accueille, il se trouve être un potentiel tuteur. Si ce n’est pas génial ça ! « Il semble que nous soyons liés », il rigole, « je vais pouvoir t’aider dans les cours si tu ne comprends pas certains mots. On pourra même travailler ensemble si ça te dit ». Intérieurement Woo Jin sourit lorsqu’elle lui propose de retrouver ses terres de naissance. A vrai dire, il souhaiterait y retourner, désireux de s’y ressourcer, de trouver des explications, voir même des solutions, mais il sait que pour le moment il n’en est pas capable, et c’est mieux ainsi. Il risque de s’exposer à un véritable danger. Mais peut-être qu’un jour, il le fera, quand il en sera capable . . . « Quel dommage ! Mais je t’avoue que moi-même, qui suis coréen, je n’ai pas visité de nombreux endroits. Je ne connais pas grand-chose. En tout cas, j’enregistre ton offre, tu ne peux plus faire demi-tour ». Il lui fait un clin d’œil et commence alors la visite de la demeure. Il acquise, avec un grand sourire, déjà pressé d’être en hiver. « C’est pour cette raison que j’apprécie autant le dortoir. Même en hiver c’est agréable d’y rester. On s’y sent . . . bien ». Il ressent un léger petit pincement au cœur, un souvenir traversant rapidement son esprit. Celui de sa sœur jumelle et lui, jouant innocemment dans la neige. « Un thé conviendra très bien aussi. Le simple fait d’être devant une cheminée est appréciable, mais je te ferai découvrir si tu le souhaites ». Autant qu’il lui apprenne certaines petites choses, « mais je dois t’avouer que ce n’est pas non plus fréquent, du mois pour les marshmallows, c’est juste moi qui en rajoute, par gourmandise », parce que c’est très américain et pas forcément coréen. « Viens je te présente ensuite la salle à manger et la cuisine, là où il y a souvent du bruit et un mélange de saveurs ». Il lui présente donc rapidement là où la plupart des sangos se retrouvent. « Oh au passage, est-ce que tu as faim ? Je ne sais pas si tu as pu manger avant de venir jusqu’ici ? Je peux te montrer mes talents culinaires si tu veux ? », qui se résument à des chefs-d’œuvre. Réellement. Il a la main divine lorsqu’il touche aux ustensiles de cuisine.
Nice to meet you, buddy.
Feat. Huang Wu Qing - Sister
Devrait-elle réellement lui faire confiance en se remettant complètement à lui, comme elle vient si bien de le lui signifier ? Certainement oui. Après tout, Woo Jin n’est pas un être méchant, avec de mauvaises intentions, bien au contraire. Beaucoup le comparent à Peter Pan, désireux de rester enfant, volant vers la liberté et la justice, faisant régner le bonheur sur ses terres enfantines. Sa seule erreur a été de naître dans la mauvaise famille. « Sans me vanter, je suis certainement la personne en qui tu peux avoir le plus confiance » dit-il sur le ton de la plaisanterie, pas un brin sérieux. Il écarquille les yeux lorsqu’elle lui annonce faire des études dans le même domaine que celui-ci, c’est-à-dire en Chimie. « Vraiment ? », il est tellement surpris qu’il se sent dans l’obligation de porter sa main à sa bouche, frappant par la suite ses mains entre elles. « Wouah ! Quelle coïncidence ! Il se trouve que je suis aussi en chimie. Tu es en quelle année ? ». Il réalise à quel point les choses se sont bien faites et ont été très bien imbriquées. En plus d’être celui qui l’accueille, il se trouve être un potentiel tuteur. Si ce n’est pas génial ça ! « Il semble que nous soyons liés », il rigole, « je vais pouvoir t’aider dans les cours si tu ne comprends pas certains mots. On pourra même travailler ensemble si ça te dit ». Intérieurement Woo Jin sourit lorsqu’elle lui propose de retrouver ses terres de naissance. A vrai dire, il souhaiterait y retourner, désireux de s’y ressourcer, de trouver des explications, voir même des solutions, mais il sait que pour le moment il n’en est pas capable, et c’est mieux ainsi. Il risque de s’exposer à un véritable danger. Mais peut-être qu’un jour, il le fera, quand il en sera capable . . . « Quel dommage ! Mais je t’avoue que moi-même, qui suis coréen, je n’ai pas visité de nombreux endroits. Je ne connais pas grand-chose. En tout cas, j’enregistre ton offre, tu ne peux plus faire demi-tour ». Il lui fait un clin d’œil et commence alors la visite de la demeure. Il acquise, avec un grand sourire, déjà pressé d’être en hiver. « C’est pour cette raison que j’apprécie autant le dortoir. Même en hiver c’est agréable d’y rester. On s’y sent . . . bien ». Il ressent un léger petit pincement au cœur, un souvenir traversant rapidement son esprit. Celui de sa sœur jumelle et lui, jouant innocemment dans la neige. « Un thé conviendra très bien aussi. Le simple fait d’être devant une cheminée est appréciable, mais je te ferai découvrir si tu le souhaites ». Autant qu’il lui apprenne certaines petites choses, « mais je dois t’avouer que ce n’est pas non plus fréquent, du mois pour les marshmallows, c’est juste moi qui en rajoute, par gourmandise », parce que c’est très américain et pas forcément coréen. « Viens je te présente ensuite la salle à manger et la cuisine, là où il y a souvent du bruit et un mélange de saveurs ». Il lui présente donc rapidement là où la plupart des sangos se retrouvent. « Oh au passage, est-ce que tu as faim ? Je ne sais pas si tu as pu manger avant de venir jusqu’ici ? Je peux te montrer mes talents culinaires si tu veux ? », qui se résument à des chefs-d’œuvre. Réellement. Il a la main divine lorsqu’il touche aux ustensiles de cuisine. Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Jeu 14 Déc - 21:56
Tenue Ѻ La personne en qui elle peut avoir le plus confiance, cette déclaration arracha un sourire amusé à la demoiselle et un acquiescement qui exprimait son consentement, à lui faire confiance. Bien que sa mémoire lui fasse défaut et qu’aucun souvenir ne revienne en écho, elle se disait que cette confiance avait dû exister par le passé mais la tournure des évènements en disait long, de ce qui arrivait lorsqu’on l’accorde, inconditionnellement. « Non, tu plaisantes j’espère ? Je veux dire… waaah, j’en ai la chair de poule, j’ose même plus dire en quelle année je suis ! » s’exclama-t-elle, en anglais cette fois, tellement elle était surprise de cette nouvelle coïncidence qui existait entre eux. Ses mains se posent et frottent ses arrières bras, des frissons, elle ne pouvait qu’en avoir. Ils allaient de coïncidence en coïncidence, de révélation en révélation. Les rencontres sont ainsi faites, surtout au début. « Lier ? Ça me fait penser à cette image que les japonais ont des rencontres… Une sorte de fil invisible serait-il noué entre nous ? » demanda-t-elle en plaisantant, passant sa main sous son petit doigt, pour tenter de chercher, ce fameux fil rouge du destin. Elle ne connaissait pas forcément très bien la culture nipponne, mais cette illustration l’avait marqué d’une certaine façon. Elle trouvait ça particulièrement poétique. Existait-il un équivalent en Corée ? Elle ne pouvait s’empêcher de se poser la question. « J’espère que ce ne sont pas des paroles en l’air et que tu le penses vraiment ! Sinon, tu me brises le cœur. Et puis, c’est plus sympa de travailler, à plusieurs, au moins… on peut se remonter le moral. » Plus ils discutaient et plus Woo Jin collectionnait les titres : il était devenu en quelque sorte son référant, puis ami, puis camarade de cours, camarade de révision. Et maintenant, un potentiel camarade de voyage. « Marché conclu ! Je t’avoue que je n’ai pas encore pour projet de visiter la Chine, mais on peut commencer par la Corée, ça serait un… bon départ ? » Peut-être que ce n’était qu’un discours de pur courtoisie, mais elle espérait sincèrement que ce soit bien plus que des mots. Il ne cessait de lui proposer des activités, alors ce serait dommage s’il n’était qu’un homme de mots et non un homme de parole. Elle le suit sans regarder derrière elle, scrutant pendant le cours trajet qui séparait le salon de la cuisine, la silhouette de son guide. Mais son regard glisse naturellement vers les nouveaux lieux qu’il lui présentait. « Un peu, je t’avoue que le voyage m’a… éreinté ? fatigué ? » Elle réfléchissait sur ses mots, pas certaine mais elle avait entendu l’expression quelque part, du coup elle voulait réutiliser le vocable. « Je ne voudrais pas abuser de ta gentillesse ! »
Nice to meet you, buddy.
Feat. Ha Woo Jin
Tenue Ѻ La personne en qui elle peut avoir le plus confiance, cette déclaration arracha un sourire amusé à la demoiselle et un acquiescement qui exprimait son consentement, à lui faire confiance. Bien que sa mémoire lui fasse défaut et qu’aucun souvenir ne revienne en écho, elle se disait que cette confiance avait dû exister par le passé mais la tournure des évènements en disait long, de ce qui arrivait lorsqu’on l’accorde, inconditionnellement. « Non, tu plaisantes j’espère ? Je veux dire… waaah, j’en ai la chair de poule, j’ose même plus dire en quelle année je suis ! » s’exclama-t-elle, en anglais cette fois, tellement elle était surprise de cette nouvelle coïncidence qui existait entre eux. Ses mains se posent et frottent ses arrières bras, des frissons, elle ne pouvait qu’en avoir. Ils allaient de coïncidence en coïncidence, de révélation en révélation. Les rencontres sont ainsi faites, surtout au début. « Lier ? Ça me fait penser à cette image que les japonais ont des rencontres… Une sorte de fil invisible serait-il noué entre nous ? » demanda-t-elle en plaisantant, passant sa main sous son petit doigt, pour tenter de chercher, ce fameux fil rouge du destin. Elle ne connaissait pas forcément très bien la culture nipponne, mais cette illustration l’avait marqué d’une certaine façon. Elle trouvait ça particulièrement poétique. Existait-il un équivalent en Corée ? Elle ne pouvait s’empêcher de se poser la question. « J’espère que ce ne sont pas des paroles en l’air et que tu le penses vraiment ! Sinon, tu me brises le cœur. Et puis, c’est plus sympa de travailler, à plusieurs, au moins… on peut se remonter le moral. » Plus ils discutaient et plus Woo Jin collectionnait les titres : il était devenu en quelque sorte son référant, puis ami, puis camarade de cours, camarade de révision. Et maintenant, un potentiel camarade de voyage. « Marché conclu ! Je t’avoue que je n’ai pas encore pour projet de visiter la Chine, mais on peut commencer par la Corée, ça serait un… bon départ ? » Peut-être que ce n’était qu’un discours de pur courtoisie, mais elle espérait sincèrement que ce soit bien plus que des mots. Il ne cessait de lui proposer des activités, alors ce serait dommage s’il n’était qu’un homme de mots et non un homme de parole. Elle le suit sans regarder derrière elle, scrutant pendant le cours trajet qui séparait le salon de la cuisine, la silhouette de son guide. Mais son regard glisse naturellement vers les nouveaux lieux qu’il lui présentait. « Un peu, je t’avoue que le voyage m’a… éreinté ? fatigué ? » Elle réfléchissait sur ses mots, pas certaine mais elle avait entendu l’expression quelque part, du coup elle voulait réutiliser le vocable. « Je ne voudrais pas abuser de ta gentillesse ! »Invité
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Re: Nice to meet you, buddy. ✿ Ha Woo Jin | Dim 17 Déc - 14:37
Il ne peut s’empêcher de rire en entendant les mots de la jeune femme, amusé par celle-ci. Il ose légèrement des épaules, lui faisant un clin d’œil discret mais amical. « Qui sait. Peut-être sommes nous liés ou peut-être nous l’avons été par le passé ? ». Il ne prend pas cela au sérieux, du moins pas encore. Pas alors qu’il ne connait absolument pas sa véritable identité. « Mais tu as raison, les japonais évoquent bien ce fameux fil rouge et dans la culture coréenne aussi, parfois, certains l’évoquent, mais ce sont d’ordinaire plus les japonais », enfin c’est ce qu’il croit. De toute manière dans toutes les cultures asiatiques il y a toujours l’évocation du fil rouge qui prédestine certains individus entre eux. Il lance un rapide regard à la jeune femme, ne croyant toutefois pas à un potentiel lien entre elle, même s’il ressent quelque chose en sa présence. Quelque chose qu’il ne parvient pas à saisir, à comprendre, s’immisçant dans son subconscient. « Ne t’en fais pas. Ce ne sont pas des paroles en l’air, au contraire. Chaque fois que je dis quelque chose c’est pour de vrai », ou pas. Mais il peut très bien le lui faire croire et pour ce qu’il a, indirectement promis, c’est bon. Ce n’est pas un engagement trop conséquent, qui demande trop d’efforts. Il s’entend en tout cas merveilleusement bien avec la jeune femme, enfin c’est l’impression qu’il a en cet instant précis. « Pas de problème, on peut commencer par la Corée. Je te ferai visiter quelques contrées. Alors garde tes prochaines vacances, tu risques de les passer en ma charmante compagnie », et surtout il a tout intérêt à se renseigner sur le parcours. Certes il a eu l’occasion de visiter une à deux villes mais pas plus et sans vraiment trop s’égarer dans les contrées interdites. Juste des campagnes près de Séoul, ça compte n’est-ce pas ? S’il ne veut pas paraître stupide à ne rien connaître de la culture coréenne, il a tout intérêt à réviser avant de se lancer sur la route. Il fronce des sourcils, agitant devant lui ses mains, pour désapprouver les paroles de la jeune femme. « Absolument pas ! ». Il faut dire qu’il aime bien cuisiner pour les autres et dès qu’il en a l’occasion il saute dessus. « Ça ne me dérange pas. Au contraire ! ça me fait toujours plaisir de faire plaisir aux autres par de bons petits plats et puis au moins ça va te donner l’envie de rester à nos côtés ». Il lui fait un grand sourire, l’entrainant alors jusqu’à la cuisine où il sort déjà quelques ustensiles, se munissant d’un tablier. « Dis-moi juste ce que tu souhaites manger et ça sera prêt en quelques minutes. Tu vas être émerveillée ». Certains penseraient qu’il la drague alors qu’il le fait en tout innocence. Il n’y a aucune pensée derrière ses comportements. Juste de la sympathie.
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Il ne peut s’empêcher de rire en entendant les mots de la jeune femme, amusé par celle-ci. Il ose légèrement des épaules, lui faisant un clin d’œil discret mais amical. « Qui sait. Peut-être sommes nous liés ou peut-être nous l’avons été par le passé ? ». Il ne prend pas cela au sérieux, du moins pas encore. Pas alors qu’il ne connait absolument pas sa véritable identité. « Mais tu as raison, les japonais évoquent bien ce fameux fil rouge et dans la culture coréenne aussi, parfois, certains l’évoquent, mais ce sont d’ordinaire plus les japonais », enfin c’est ce qu’il croit. De toute manière dans toutes les cultures asiatiques il y a toujours l’évocation du fil rouge qui prédestine certains individus entre eux. Il lance un rapide regard à la jeune femme, ne croyant toutefois pas à un potentiel lien entre elle, même s’il ressent quelque chose en sa présence. Quelque chose qu’il ne parvient pas à saisir, à comprendre, s’immisçant dans son subconscient. « Ne t’en fais pas. Ce ne sont pas des paroles en l’air, au contraire. Chaque fois que je dis quelque chose c’est pour de vrai », ou pas. Mais il peut très bien le lui faire croire et pour ce qu’il a, indirectement promis, c’est bon. Ce n’est pas un engagement trop conséquent, qui demande trop d’efforts. Il s’entend en tout cas merveilleusement bien avec la jeune femme, enfin c’est l’impression qu’il a en cet instant précis. « Pas de problème, on peut commencer par la Corée. Je te ferai visiter quelques contrées. Alors garde tes prochaines vacances, tu risques de les passer en ma charmante compagnie », et surtout il a tout intérêt à se renseigner sur le parcours. Certes il a eu l’occasion de visiter une à deux villes mais pas plus et sans vraiment trop s’égarer dans les contrées interdites. Juste des campagnes près de Séoul, ça compte n’est-ce pas ? S’il ne veut pas paraître stupide à ne rien connaître de la culture coréenne, il a tout intérêt à réviser avant de se lancer sur la route. Il fronce des sourcils, agitant devant lui ses mains, pour désapprouver les paroles de la jeune femme. « Absolument pas ! ». Il faut dire qu’il aime bien cuisiner pour les autres et dès qu’il en a l’occasion il saute dessus. « Ça ne me dérange pas. Au contraire ! ça me fait toujours plaisir de faire plaisir aux autres par de bons petits plats et puis au moins ça va te donner l’envie de rester à nos côtés ». Il lui fait un grand sourire, l’entrainant alors jusqu’à la cuisine où il sort déjà quelques ustensiles, se munissant d’un tablier. « Dis-moi juste ce que tu souhaites manger et ça sera prêt en quelques minutes. Tu vas être émerveillée ». Certains penseraient qu’il la drague alors qu’il le fait en tout innocence. Il n’y a aucune pensée derrière ses comportements. Juste de la sympathie. Contenu sponsorisé
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