Gangnam Style ft. Nam Hi

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Gangnam Style ft. Nam Hi | Jeu 2 Nov - 12:28

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Plus les découvertes sur la famille de mon fiancé se multipliait et plus finalement, nous étions à égalité sur les divergences morales. Tout comme les Park n’avaient à briller de mon côté, les Lim ne faisaient pas merveilles du sien. Ainsi donc, il avait une autre cousine cachée – mère célibataire à son jeune âge en prime – répondant au prénom de Namhi. Tous deux n’avions été qu’assez brièvement présentées mais cela m’avait suffit pour analyser la situation : tu avais bien besoin d’aide si tu voulais réussir à t’intégrer dans ce nouveau monde auquel tu étais à présent rattachée. Puisque tu faisais partie de la famille de Hyeon, alors, tu étais désormais de la mienne aussi par extension. Pour cette raison, je ne trouvais désagrément à t’offrir de mon temps t’accompagnant en ce jour dans les boutiques huppées de Gangnam. « Bien, nous allons commencer par réviser un peu le contenu de ta garde robe. » Tu ne pourrais sans doute trouver meilleurs conseils que les miens en la matière. Élégance et raffinement ont toujours été les maitres mots de mon style vestimentaire, aujourd’hui ne faisait pas exception. Un sujet que je maitrisais parfaitement, tout comme je connaissais à bien connaitre aussi mes futurs beaux-parents. « Si parfois tu es amenée à te présenter devant les membres de ta famille, il vaut mieux soigner l’apparence. D’autant plus que les parents de Hyeon ne jurent pratiquement que par cela. » N’étais-je pas la preuve vivante ?

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Re: Gangnam Style ft. Nam Hi | Jeu 2 Nov - 13:18

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De découverte en découverte, voilà ce que je ressens à cet instant. On nous a à peine présenter que Héra a décidé de faire les boutiques avec moi. Un simple message m'annonçant ça, l'appelle à Ji Hwan pour lui dire ma façon de penser. Et pourtant, je suis là dans l'un des quartiers les plus chers de la capitale, regardant de loin les vêtements. Ma garde robe de porte bien Je gonfle mes joues en disant ça. Et pourtant, je la suite dans la boutique. Han mais ils n'ont jamais parlé d'une rencontre avec les aînés. Déjà, je viens seulement d'accepter le fait que nous étions peut être de la même famille, si en plus je dois rencontrer ceux qui ont fait comme si je n'existais pas. C'est bien un truc de riche ça, et la beauté intérieur? Je dis ça, mais je suis l'exemple même de la coréenne type. Mince, long cheveux, maquillé pour avoir l'air mignone, je suis ce que la société veut faire de moi, sauf que j'ai un enfant en plus. Tu sais, y a la même chose, moins chers dans d'autre boutique. Le prix est énorme, juste pour une veste mon salaire y passe. Même si oppa Ji Hwan me verse une rente et a même créer une carte de crédit pour moi, jamais je n'oserai dépenser autant pour un bout de tissus. Sinon je peux coudre. La robe que je porte, je l'ai fait moi-même et je suis fière du résultat. Alors tu en penses quoi madame l'élégance ?

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Re: Gangnam Style ft. Nam Hi | Jeu 2 Nov - 13:49

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La beauté intérieure ? Ta question m’arracha presque un rire que je retins pour te répondre tout aussi simplement que franchement : « Les gens de ce monde n’en sont que bien trop dénués pour la valoriser. L’apparence est plus facile à façonner. » Et comme l’influence se faisait souvent du haut vers le bas, cette préoccupation se retrouvait même au sein des couches populaires. A te regarder, tu ne pourrais qu’en convenir. « Le prix fait partie intégrante de la valeur sociale d’un vêtement. Tu adorerais faire du shopping avec ma mère ! » ironisai-je sur un ton léger. Mais mes mots résonnèrent à mes oreilles et me renvoyèrent brutalement à quel point ce genre de moment pouvait me manquer. Ma mère avait des défauts, mais nous étions complices et j’étais sa précieuse fille adorée. Par moment, la dureté de la distance avec ma famille me reprenait d’assaut. Je tachais néanmoins de la chasser, me saisissant du ceinte d’un chemisier en rayonnage que je plaçais devant ta personne afin d’essayer de visualiser le rendu sur ta silhouette. « Et tu ne prôneras porter tes propres créations que le jour où ton nom sera devenu une griffe de couturier. » Avant cela, il n’y aurait rien qui t’apporterait plus de ridicule aux yeux des gens de ce monde. Le vêtement ne me satisfaisant, je le reposais pour continuer à chercher meilleur choix.

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Re: Gangnam Style ft. Nam Hi | Jeu 2 Nov - 14:17

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Ne pas renifler avec dédain, même si c'est la seule chose que j'ai envie de faire en l'entendant. Dois-je prendre rendez-vous pour me refaire le visage? J'ai accepté de venir mais avec des pieds de plombs, j'aime ma garde robe après tout, vêtement acheté avec mon argent durement gagné. La valeur sociale d'un vêtement? Tout mouvement est arrêté de ma part, mon regard posé sur mon bureau de l'après midi. C'était ironique? Faire les boutique avec sa mère? La seule avec qui j'ai ce genre d'activité est Mia, et encore, elle achète et moi, j'essaye juste.Ma main s'enlève comme si elle venait d'être brûlé en voyant le prix d'une robe sur l'étiquette. Un bout de tissus aussi cher. Perplexe, je le suis. Surtout quand on sait que le mètre de tissu coûte pratiquement rien. En gros, si je résume bien. Je la ferme et essaye ce que tu vas choisir? Mes bras croisés, je la voit farfouiller dans les rayons. Je la suite même car les vendeurs me lancent des regard qui me font comprendre que je ne suis pas à à place dans la boutique. Mais dis-moi, pourquoi fais-tu ça? Là, une vague image des cousins et elle tirant à la courte paille pour savoir qui irait faire les boutiques avec la pauvre de la famille se glisse dans mon esprit. On ne se connaît même pas et tu veux m'aider. Pourquoi?

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Vraisemblablement, tu n’avais pas franchement idée dans quel univers tu te retrouvais à mettre les pieds, un peu malgré toi. Un soupir, je m’efforçais de relativiser néanmoins, te gratifiant d’une sympathie que je refusais à bon nombre : « Oui, c’était de l’ironie, car si tu as la superficialité en horreur, ma mère te donnerait envie de mourir, et toi, celle de s’arracher les cheveux, s’ils étaient pas trop précieux pour le faire. » Je n’étais pas enfermée dans ma bulle au point de ne savoir pointer et rayer ses travers. Au contraire, d’une part, j’avais toujours méprisé la haute société sud-coréenne, d’autre part, désormais, j’apprenais moi aussi la vie sous un nouvel angle. « Tu peux aussi exprimer tes goûts, je suis là pour t’aider et t’apprendre à t’intégrer visuellement parlant pour commencer dans la haute société, mais à moins d’un mauvais goût trop prononcé, je suis pas là pour t’imposer davantage. » J’en extrayais de nouveau dont l’expression sur ton visage pouvait m’indiquer ton appréciation ou au contraire, ton rejet. « Porter un vêtement qui n’est pas à ton goût ne te mettra pas franchement en valeur non plus. » A l’apparence s’associait l’assurance et pour cela, il valait mieux se sentir bien dans ce que l’on portait. « Oublie juste les prix. » Je continuais ma mission lorsque ta question me frappa légèrement. Je t’y répondais sans détour : « Parce que je n’ai peut-être pas le sens de la générosité, mais j’ai celui de la famille. Si tu es de celle de Hyeon alors tu es de la mienne aussi. » Mes yeux dérivèrent légèrement et mon ton de voix baissa un soupçon également. « D’autant plus que je n’en ai guère en Corée… » À l’exception de mes grands-parents mais ils n’étaient pas de la compagnie la plus charmante. Ses mots confessés dans un souffle, je redressais la tête vers toi et te souris, sans excès mais sincèrement avec une infime once de malice : « Quant à ton visage… Coiffeur et maquillage devraient suffire. Tu es naturellement jolie. »

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L'univers qu'elle me décrit, j'y refuse d'y être d'avantage. Un monde superficiel pire que celui dans lequel j'ai grandie, c'est possible. Mes yeux s'agrandissent à ses paroles, alors que je ne peux m'empêcher de ricanner. Même les cheveux? Ne me dites pas qu'ils dépensent une fortune pour des coupes. Un fer à lisser et c'est bon pour la vie de tout les jours ou un élastique. Quoi que Hera est bien coiffée et maquiller. Franchement je fais tâche à côté d'elle. Lâche tout ce qui est froufrou, je déteste ça et c'est une plaie pour le repassage. Et oui, je repasse et fais même le ménage. Tu as pas trop de bouton là ? Je lui souris, attendant qu'elle parte à ma question. Sauf que ça ne se passe pas trop comme je l'imaginais. Non, elle m'avoue la raison de notre présence à toutes les deux dans ce lieu. Gênée à ses dernières paroles, ma tête s'incline, comme prise en faute. Mes poings se serrent non pas de colère ou de trsitesse juste qu'elle vient de se confier à moi. Un sourire au compliment qu'elle me fait. Je m'approche encore plus d'elle, détaillant son visage, cherchant après je ne sais pas quoi. Et pourtant je pose ma main sur son épaule, penchant la tête vers le vêtement qu'elle tient pour moi. Alors cousine, quel vêtement me conseilles-tu pour le travail? Autant commencer par les vêtements de tout les jours, le reste, on reviendra un autre jour.

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Je pouvais bien sentir comme tu trainais les pieds et limite, chercherais-tu à me décourager, voire souhaiterais-tu mettre désagréable ? Cependant, il te faudrait y aller plus franchement et malheureusement pour toi, je ne lâchais pas facilement, pour ne pas dire jamais l’affaire lorsque j’en avais décidé autrement. Néanmoins, ma franchise sembla t’inviter à déposer les armes pour m’accorder un peu de ta bonne volonté. « Quel travail fais-tu déjà ? » Même s’il y a des classiques qui passaient partout, certains faux pas pouvaient être à éviter ou au contraire, d’autres coupes plus appréciées. « Et tu as raison, il faut penser aussi au côté pratique du quotidien. » Je t’invitais à me suivre quittant ce rayonnage aux tissus trop fragiles et formes probablement un peu trop sophistiquées au profit d’un autre rayon situé à l’étage. Nous prîmes donc l’escalator. « Eh bien quoi ? Je te rappelle que je fis la plupart du temps dans un dortoir de fraternité et notre laverie est loin de ressembler à un pressing. » Je me doutais un peu du fond de ta pensée à mon égard à en juger par les regards que tu avais posé sur ma personne précédemment. « Je comprends un peu ce que cela fait d’être propulsé dans un monde qui n’est pas le sien. J’ai atterri ici par punition. De mon palace, je me suis retrouvée dans un dortoir avec un budget de vie limité… » Je n’aspirais certainement pas à m’apitoyer sur mon sort, je partageais seulement ce fait, car tu ressemblais presque à mon reflet inversé dans le miroir avec ta situation. « Pas besoin de t’expliquer combien je pouvais y être réfractaire et pourtant, aujourd’hui, j’ai appris à apprécier pour bonne partie ce quotidien plus modeste. » Nous arrivâmes à l’étage où nous devrions davantage trouver ton bonheur. « Tu peux d’adapter sans perdre ton identité et ta personnalité, cousine, » reprenant le terme que tu avais employé non sans une once de gêne mais aussi de chaleur agréable.

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Je l'ai rejeté au début, comme j'ai rejeté ceux qui disaient être de ma famille. Durant deux ans orpheline cachant le fait d'avoir un enfant. Et d'un coup tout s'est enchaîné dans ma vie. Une famille, un chez moi, un boulot et mon fils qui vit avec moi. Parfois j'ai l'impression de rêver,d'autres fois comme maintenant, c'est un cauchemars. Les cours de bonne manière de Ji Hwan, les encouragement de Hyeon. Et là Héra qui s'y met aussi. Avec tout ça, j'ai mon travail et les cours du soir pour moi avoir mon master en juin. Alors oui, j'ai tout fait pour qu'elle écourte notre entrevue. Sauf que... Héra a un autre regard, pas celui qu'elle a l'habitude quand je la croisais à l'Université. Nos rapports ont toujours été cordiaux mais en dehors de boire un thé sans vraiment discuter, sauf ménage (xd) nous n'avons vraiment jamais échanger. Vivant dans des mondes différents et là, je découvre une autre fille, différente sans l'être vraiment de celle que je connais. Assistante... En gros secrétaire. Potiche aussi quand je me trompe pour répondre au téléphone et que je tombe sur les genoux de mon patron. Je m'habille en classique vu que je suis là première personne que les clients voient en arrivant à l'étage. Au plus je parle au moins ma timidité apparaît. Sur que votre dortoir doit être pire que celui des pyos. je dis ça en souriant. Mais tu t'en sors bien pour une personne qui n'a jamais connu l'inverse de son univers avant d'être ici. Arrivée à l'étage, mon regard tombe sur une robe noire simple. Je ne pourrai jamais porter ça. Je vais avoir peur de la salir. Vu qu'on est vraiment partie pour passer une partie de l'après midi ensemble. Vaut mieux que j'essaye de la faire rire, voilà, ma mission va être de la faire rire.

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Je ne savais pas exactement dans quelle filière tu travaillais mais je trouvais que tu avais su t’en sortir pour une femme dont les premiers pas dans la vie n’ont pas toujours été facile. « Je vois… Oui, optons pour du classique mais à ta convenance. » J’entendais par là que tu n’avais pas à accentuer le point sur le côté sexy par exemple si tu n’en avais pas envie. La position de secrétaire était souvent dégradée dans les mentalités et surtout dans une société machiste telle que celle-ci. Je ne pus que contenir un rire léger à t’entendre comparer les deux fraternités, avant de te confesser sur un ton amusé. « Tu le gardes pour toi, mais… En vérité, il fait plutôt bon vivre dans le dortoir Gumiho. Ça me rappelle un peu l’agitation de ma fratrie quand nous étions plus jeunes. » Car oui, les gens ne pouvaient imaginer l’ambiance agitée, aussi complice que conflictuelle qui avait pu agiter les murs de notre maison jusqu’à mes 13 ans. Jusqu’à ce que je m’y retrouve seule, mes aînés envolés pour la Corée du Sud, trahie et profondément blessée par mon ancien petit ami, me raccrochant aux souvenirs d’un pianiste trop éloigné pour continuer un peu d’espérer, entourée uniquement d’amies hypocrites qui me détestaient par jalousie… Le regard posé sur la robe que tu semblais apprécier, je ne pus m’empêcher de répéter, interloquée. « La salir ? » Je ne fus pas certaine du sens de sa phrase. J’en battis brièvement des cils puis m’en retournais à notre mission. « Tu as une préférence pour les gammes de couleurs ? » Mon sérieux n’était pas toujours facile à déloger, tu le constaterais. « Tu travailles pour une grosse boite ? Dans quel secteur ? » Par la même occasion, nous pouvions apprendre à nous connaitre.

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À ma convenance donc... Quoi que je sais jouer des formes de mon physique, pas vulgaire ou sexy, juste moi. J'hoche la tête avec un fin sourire sur le bout des lèvres. Tout en cherchant ce qui pourrait bien me plaire dans le rayon devant moi. Y en a pour tout les goûts, vraiment pour tout. Continuant sur ma lancer, je te fais une comparaison entre nos fraternités. Toi, la présidente des bleus et moi, l'ancienne membre des roses, on s'est croisé plusieurs fois. Il me semble que notre dernière rencontre fut lors de la soirée que nous avons terminé dans la cuisine des renards à boire du thé. Oh ! Te rends-tu compte que tu me donnes des renseignements sur toi? Moi, une parfaite inconnue à tes yeux y a encore une semaine. Je suppose que c'était la même chose chez les pyos. Après tout, je suis fille unique, je ne connais pas l'ambiance d'une fraterie. Même si en voyant Ji Hwan si souvent maintenant, j'ai l'impression d'avoir un grand frère - qui n'a pas d'humour et qui juge sans connaître le monde qui l'entoure - je me demande même si nous aurions été complice comme Hyeon et Ji Hye - c'est la façon que je ressens leur affection quand Ji Hwan me parle d'eux. - Une robe en main, la matière sous mes doigts, je la remets en te disant que j'aurai peur de la salir. Faire une tâche. Tae Hyun est dans sa période découverte et ... Je laisse ma phrase en suspen, te faisant un sourire crispée.

Une gamme de couleur, je secoue la tête. Classique et tons doux peut être? Quoi que mes patrons sont assez excentriques quand ils le veulent. Avec ma timidité maladive, c'est assez drôle. En pensant à eux, tu me demandes dans quoi je travaille. Alors que je te montre une robe simple de couleur rose pâle, pas de froufrous rien. Juste très simple et le tissus est doux au toucher. Oh non, elle est pas grosse du tout. On est deux parfois trois ou quatre. Mais plus souvent y a que Il Hoon et moi. Juste prononcer son prénom, je me mets à rougir. Il a cette façon de me regarder qui me destabilise. Dans la musique, une boîte de composition . Il me semble qu'on a un contrat avec les Zeus. Je lui dis ça, vu que je sais qu'elle en a un avec eux aussi, elle est la mascotte ou un truc comme ça. Enfin, moi, je m'occupe juste de la paperasse. La musique et tout ça, ne m'intéresse pas trop. Je suis plus classique. Découvrir que le pianiste que j'adore est mon cousin par contre, m'a rendu folle de joie même si je ne sais toujours pas comment aborder la question avec lui du piano. Dis, tu l'as rencontré comment Hyeon ? Tu as vu, j'essaye de m'intéresser à ma famille.

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