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Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~
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Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 14:06 Citer EditerSupprimer
nom : Aizawa. prénom : Kanesuke. âge : 39 ans. date et lieu de naissance : Le 14 décembre à Tôkyô, Japon. origines : Japonaises. nationalité : Japonaise. cursus universitaire : Aucun en cours. métier : Enseignant à Yonsei (japonais). orientation sexuelle : Bisexuel. classe sociale : Moyenne. code du règlement : ici. tu veux t'investir ? C'est impossible puisque je suis prof, Kanesuke est un peu étrange mais pas à ce point
Aizawa Kanesuke
this is the story of my life
INTELLIGENT (★★★★✰) | FÊTARD (★★★★★) | INDÉPENDANT (★★★★★) | INSOLENT (★★★★✰) | COURAGEUX (★★✰✰✰) |
IMPRÉVISIBLE (★★★★✰) | CHARMEUR (★★★★★) | ENTÊTÉ (★★★★✰) | OUVERT D'ESPRIT (★★★★★) | REBELLE (★★★★✰) |
Rumour has it... Il ferait partie de la yakuza. C’est d’ailleurs de là que lui viennent ses nombreux tatouages (f, même s’il s’y est frotté d’un peu trop près) Survole l'avatar, petit coquin. | My character ► On pourrait croire que Kanesuke ne fait pas la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal. C’est faux. Il en est parfaitement conscient. C’est peut-être ce qui rend son comportement encore pire, aux yeux de ceux qui le connaissaient bien ! S’il n’est pas le plus gros salopard que la Terre ait portée, il est vrai qu’il n’en fait qu’à sa tête et généralement sans beaucoup d’égards pour les autres. Mais on aime bien lui pardonner ses bévues, en règle générale. Il sait comment s’y prendre. ► De son enfance étonnamment très –trop– stricte, Kanesuke garde quelques marques, dont une sainte phobie de l’obscurité. Mais uniquement quand il est dans un endroit fermé, un bâtiment. À l’extérieur, il se sent comme un poisson dans l’eau pendant la nuit. Sûrement une preuve que ça tient plus du traumatisme que de la phobie spontanée. La punition favorite de sa mère était de l’enfermer dans un placard lorsqu’il ne se comportait pas aussi bien qu’elle l’aurait souhaité… c’est-à-dire tout le temps. Ceci explique cela. ► Kanesuke est un féru de littérature. Il ne l’enseigne pas juste pour faire beau. D’ailleurs, c’est bien quelque chose dans quoi il a réussi à la hauteur de son génie à l’école pour la simple et bonne raison que ça l’intéressait vraiment, contrairement à tout le reste. Son appartement comporte plusieurs bibliothèques, toutes bien trop garnies. Des livres traînent toujours çà et là et il se fait toujours un peu plus envahir, ne pouvant résister à faire l’achat de nouveaux bouquins à toutes les semaines. ► L’autre matière qui l’intéressait était l’histoire. Mais surtout celle du Japon et de ses grandes guerres. Adolescent, il se faisait d’ailleurs insulter sur son prénom peu commun à leur époque. Mais il était plutôt fier de porter un nom de samouraï ! ► Il joue de la guitare sèche et s’accompagne au chant. Son amour des classiques rock lui fait souvent interpréter des chansons telles House of the Rising House de The Animals ou encore Hotel California de The Eagles. Ça nous rappelle un peu son âge là où ses traits ne le font pas toujours à première vue… et il est probablement bon de l’avoir autour d’un feu de camp ! ► Kanesuke fume probablement un peu trop. Il a toujours un paquet de cigarettes sur lui et va zoner avec les jeunes pour en griller une entre deux cours sans honte aucune. En dehors du terrain de l’école, il troque souvent sa clope pour un joint. Il n’est pas très raisonnable à ce sujet si ce n’est qu’il ne fume jamais dans le cadre de ses fonctions professionnelles. Si vous le lui demandez, Kanesuke vous assurera qu’il peut arrêter quand il veut. Mais la vérité, c’est qu’il a échangé de la poudre pour un peu d’herbe. Au moins, son addiction à la Marie-Jeanne est moins néfaste que celle à la cocaïne dont il s’est défait avec peine il y a presque vingt ans maintenant… ► Le Japonais adore faire la fête. On peut facilement le retrouver dans une boîte branchée ou dans un bar de quartier. Toutefois, il n’a rien contre les soirées calmes passées devant la télévision non plus. Kanesuke a beaucoup de défauts, mais se retrouver seul avec lui-même ne lui fait pas peur non plus. ► Kanesuke adore la neige et déplore vivre à présent dans un pays où il y en a si peu. À se demander pourquoi il n’est pas resté dans un de ces pays du nord de l’Europe ou au Canada plus longtemps… Probablement que malgré tout ce qu’il prétend, l’Asie lui manquait un peu, au fond. ► Le sens moral de Kanesuke est… très discutable et aléatoire. |
This is my story
We loco people are running out of control
We criminal animal, illegal illegal
We criminal animal, illegal illegal
Kanesuke est né au sein d’une famille traditionnaliste extrêmement stricte. On pourrait ne jamais le croire en le voyant aujourd’hui, mais certains spécialistes de la psychologie s’intéressant particulièrement à l’enfance se plairaient à parler de rébellion envers l’autorité. Ce genre de diagnostique ne plaît guère à un Kanesuke qui, fort fier de sa personnalité et du chemin parcouru malgré les erreurs souvent plus grosses que lui, préfère dire qu’il est l’unique capitaine de son navire. Ne voit-on pas là une autre preuve de rébellion envers ses parents, qui représentaient alors une autorité sèche, violente, sans merci ? Kanesuke est le fruit d’une union sans amour. Son père et sa mère étaient fiancés avant même leur première rencontre par deux familles toutes aussi strictes qu’eux-mêmes le furent ensuite avec leur fils. Ils n’ont jamais voulus s’admettre victimes dans ces décisions d’une autre époque, prétextant que la façon dont ils avaient été élevés était de toute façon la seule bonne façon de s’occuper d’un enfant. D’ailleurs, c’est le nombre qu’ils eurent. La grossesse fut difficile et l’arrivée de Kanesuke eu pour résultat la stérilité de la mère.
Ce sont des choses dont on parle peu chez les Tachibana. En fait, on n’en parle pas du tout et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il les apprend, à mi-mot. En fait, dans cette maison, on ne parle guère. Le temps qui y est passé est utilisé à bon escient : études, lectures religieuses et entraînements de kendô. Mais dès son plus jeune âge, Kanesuke se sent étouffé par ses parents et leur éducation dépourvue d’amour. Il voit la lecture comme art, pas juste comme une façon d’installer une subtile dictature dans la vie des gens. Il aime le kendô pour le calme qu’il lui apporte, pas pour être le meilleur. Et les études... Les études auraient dû être faciles, le garçon ayant un QI plus élevé que la moyenne. Cette information aurait d’ailleurs dû ne pas être donnée à ses parents. C’eût peut-être été plus facile pour lui. Malheureusement, ils s’en emparèrent très tôt et exigèrent toujours plus du garçon. Et en vrai, Kanesuke aurait nettement pu faire mieux, mais il s’ennuyait à mourir en classe, si ce n’était en littérature et en histoire. Alors ses notes subirent les foudres de son manque de motivation et ce, malgré l’étiquette de petit génie que ses parents adoraient lui coller. Une autre suivie bientôt : paresseux.
Comme la plupart des enfants aux capacités intellectuelles supérieures, Kanesuke connu assez jeune les foudres de la dépression et le sentiment de n’appartenir à aucun groupe social. Ces faits accompagnés d’un caractère égocentrique, rebelle et entêté qui ne craint guère se lancer dans des aventures perdues d’avance provoquèrent un véritable fiasco dès l’adolescence. Kanesuke devint incontrôlable. La rue était son fief. La drogue, son paradis en poudre. Il commença assez jeune à se frotter aux mauvaises personnes. D’abord des petites frappes sans grande ambition qui ne pouvaient au pire que l’envoyer une nuit en cellule pour réfléchir un peu à ses conneries. Ensuite, on commença à lui expliquer qu’il pouvait faire plus... Des types tatoués de la tête aux pieds qui ne disaient jamais clairement ce qu’ils étaient, mais ne trompaient personne non plus. À l’époque, ils semblaient terriblement imposants aux yeux de l’adolescent qu’il était. Maintenant, Kanesuke sait bien qu’ils n’étaient que tout en bas de l’échelle, des types obligés de piocher des gosses dans la rue pour vendre leur merde et dont l’oyabun ne connaissait clairement pas le nom, ni même le visage. Des types qui n’allaient jamais s’élever dans l’organisation.
Kanesuke y voit une bonne opportunité. Alors il se met à vendre de sa sacro-sainte poudre au détour de ruelles sombres. Parfois au risque d’y laisser quelques doigts. Les camés ne rigolent pas. Mais il en est lui-même un, alors qu’importe ? Il sait comment survivre. Enfin sa belle intelligence lui sert. Clairement de la pire façon... mais elle sert, au moins. Il oublie un peu tout le reste pour ne vivre que pour ce qui se passe dans la rue. Mais le prétendu rêve ne peut durer éternellement et le retour à la réalité est dur. Lorsqu’ils réalisent que leur fils est un drogué, un vendu et, surtout, un homosexuel qui s’affiche un peu trop, les parents du jeune homme rejettent en bloc non seulement tout ces problèmes, ne cherchant même pas à l’aider. Mais, ils le renient aussi. Son père lui graisse généreusement la patte pour qu’il change de nom. Ce que Kanesuke fait. Peut-être un des rares bons choix dans sa vie pour le moment puisqu’il se fait un peu d’argent en quittant l’emprise malsaine de parents qui ne voyaient en lui qu’un but, pas un être humain digne d’amour. Au même moment, fier de ses vingt-deux ans, le Japonais connaît d’autres soucis tout aussi graves sinon plus : il en a marre. Mais on n’en a pas marre quand on fricote avec la yakuza, non...?
Lorsqu’il décide que c’en est assez et qu’il doit faire quelque chose avec sa vie, au risque d’y laisser la peau en essayant, Kanesuke a soudainement, des envies de liberté toutes différentes de celles qui l’avaient poussé dans les bras de la criminalité de bas étage. L’argent intouché encore que son père lui avait donné sert enfin. Il change officiellement de nom pour Aizawa, mais aussi dans la plus grande discrétion, puis part tout au nord du pays, non loin de Sapporo. Il y découvre des paysages enneigés enchanteurs et, surtout, un centre de réhabilitation où tout n’est pas facile, mais qui lui permet de reprendre le contrôle de sa vie. Comme souvent, il est déconnecté de ce qui se passe d’important autour de lui et le fait d’être recherché par la yakuza semble lui passer dix pieds par-dessus la tête. Jusqu’à ce qu’un soir, on défonce la porte de son petit appartement. Là, Kanesuke comprend quelque chose. C’est pourtant longtemps après. Depuis, il avait eu le temps de reprendre des études et même décrocher un diplôme. Alors pourquoi maintenant ? Nul doute qu’il ne le saura jamais.
Ses pas le guident d’abord au Canada, où il enseigne le japonais. Il voyage jusqu’en Europe par envie de bouger un peu, continuant à gagner sa vie de la même façon. Il passe par quelques pays nordiques, la neige ayant clairement sa préférence depuis qu’il avait élu domicile dans le nord de son pays. Il découvre alors que le froid de Sapporo n’était rien à comparé à ces grands nordiques ! Puis, depuis deux ans maintenant, Kanesuke s’est établi en Corée du Sud. Son enseignement à Yonsei remonte maintenant à un an. Ça lui plaît, même si sa place est souvent précaire à cause de son comportement imprévisible et un peu à côté de la plaque. Mais il n’en reste pas moins un excellent professeur passionné par sa matière... et un peu trop par les plus jolis de ses élèves qui passent sous son nez !
Ce sont des choses dont on parle peu chez les Tachibana. En fait, on n’en parle pas du tout et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il les apprend, à mi-mot. En fait, dans cette maison, on ne parle guère. Le temps qui y est passé est utilisé à bon escient : études, lectures religieuses et entraînements de kendô. Mais dès son plus jeune âge, Kanesuke se sent étouffé par ses parents et leur éducation dépourvue d’amour. Il voit la lecture comme art, pas juste comme une façon d’installer une subtile dictature dans la vie des gens. Il aime le kendô pour le calme qu’il lui apporte, pas pour être le meilleur. Et les études... Les études auraient dû être faciles, le garçon ayant un QI plus élevé que la moyenne. Cette information aurait d’ailleurs dû ne pas être donnée à ses parents. C’eût peut-être été plus facile pour lui. Malheureusement, ils s’en emparèrent très tôt et exigèrent toujours plus du garçon. Et en vrai, Kanesuke aurait nettement pu faire mieux, mais il s’ennuyait à mourir en classe, si ce n’était en littérature et en histoire. Alors ses notes subirent les foudres de son manque de motivation et ce, malgré l’étiquette de petit génie que ses parents adoraient lui coller. Une autre suivie bientôt : paresseux.
Comme la plupart des enfants aux capacités intellectuelles supérieures, Kanesuke connu assez jeune les foudres de la dépression et le sentiment de n’appartenir à aucun groupe social. Ces faits accompagnés d’un caractère égocentrique, rebelle et entêté qui ne craint guère se lancer dans des aventures perdues d’avance provoquèrent un véritable fiasco dès l’adolescence. Kanesuke devint incontrôlable. La rue était son fief. La drogue, son paradis en poudre. Il commença assez jeune à se frotter aux mauvaises personnes. D’abord des petites frappes sans grande ambition qui ne pouvaient au pire que l’envoyer une nuit en cellule pour réfléchir un peu à ses conneries. Ensuite, on commença à lui expliquer qu’il pouvait faire plus... Des types tatoués de la tête aux pieds qui ne disaient jamais clairement ce qu’ils étaient, mais ne trompaient personne non plus. À l’époque, ils semblaient terriblement imposants aux yeux de l’adolescent qu’il était. Maintenant, Kanesuke sait bien qu’ils n’étaient que tout en bas de l’échelle, des types obligés de piocher des gosses dans la rue pour vendre leur merde et dont l’oyabun ne connaissait clairement pas le nom, ni même le visage. Des types qui n’allaient jamais s’élever dans l’organisation.
Kanesuke y voit une bonne opportunité. Alors il se met à vendre de sa sacro-sainte poudre au détour de ruelles sombres. Parfois au risque d’y laisser quelques doigts. Les camés ne rigolent pas. Mais il en est lui-même un, alors qu’importe ? Il sait comment survivre. Enfin sa belle intelligence lui sert. Clairement de la pire façon... mais elle sert, au moins. Il oublie un peu tout le reste pour ne vivre que pour ce qui se passe dans la rue. Mais le prétendu rêve ne peut durer éternellement et le retour à la réalité est dur. Lorsqu’ils réalisent que leur fils est un drogué, un vendu et, surtout, un homosexuel qui s’affiche un peu trop, les parents du jeune homme rejettent en bloc non seulement tout ces problèmes, ne cherchant même pas à l’aider. Mais, ils le renient aussi. Son père lui graisse généreusement la patte pour qu’il change de nom. Ce que Kanesuke fait. Peut-être un des rares bons choix dans sa vie pour le moment puisqu’il se fait un peu d’argent en quittant l’emprise malsaine de parents qui ne voyaient en lui qu’un but, pas un être humain digne d’amour. Au même moment, fier de ses vingt-deux ans, le Japonais connaît d’autres soucis tout aussi graves sinon plus : il en a marre. Mais on n’en a pas marre quand on fricote avec la yakuza, non...?
Lorsqu’il décide que c’en est assez et qu’il doit faire quelque chose avec sa vie, au risque d’y laisser la peau en essayant, Kanesuke a soudainement, des envies de liberté toutes différentes de celles qui l’avaient poussé dans les bras de la criminalité de bas étage. L’argent intouché encore que son père lui avait donné sert enfin. Il change officiellement de nom pour Aizawa, mais aussi dans la plus grande discrétion, puis part tout au nord du pays, non loin de Sapporo. Il y découvre des paysages enneigés enchanteurs et, surtout, un centre de réhabilitation où tout n’est pas facile, mais qui lui permet de reprendre le contrôle de sa vie. Comme souvent, il est déconnecté de ce qui se passe d’important autour de lui et le fait d’être recherché par la yakuza semble lui passer dix pieds par-dessus la tête. Jusqu’à ce qu’un soir, on défonce la porte de son petit appartement. Là, Kanesuke comprend quelque chose. C’est pourtant longtemps après. Depuis, il avait eu le temps de reprendre des études et même décrocher un diplôme. Alors pourquoi maintenant ? Nul doute qu’il ne le saura jamais.
Ses pas le guident d’abord au Canada, où il enseigne le japonais. Il voyage jusqu’en Europe par envie de bouger un peu, continuant à gagner sa vie de la même façon. Il passe par quelques pays nordiques, la neige ayant clairement sa préférence depuis qu’il avait élu domicile dans le nord de son pays. Il découvre alors que le froid de Sapporo n’était rien à comparé à ces grands nordiques ! Puis, depuis deux ans maintenant, Kanesuke s’est établi en Corée du Sud. Son enseignement à Yonsei remonte maintenant à un an. Ça lui plaît, même si sa place est souvent précaire à cause de son comportement imprévisible et un peu à côté de la plaque. Mais il n’en reste pas moins un excellent professeur passionné par sa matière... et un peu trop par les plus jolis de ses élèves qui passent sous son nez !
About me
Je suis...
LaMarquise
Coucou On m'appelle LaMarquise, je suis Canadienne et j'ai 27 ans. Je me cherchais un forum pour jouer Miyavi, alors j'ai décidé de revenir sur STW après un long moment. J'y ai joué un scénario pendant un certain temps, le frère Hasegawa Je crois que je vais finir ma fiche au plus tard jeudi #helplesexamens
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1361][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>ISHIHARA MIYAVI</upper></taken> ✎ <lower>aizawa kanesuke</lower>
Supprimez le code inutile
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 15:33 Citer EditerSupprimer
oh ptn miyavi j'suis emotion T^T je me demande ce que tu vas en faire *-*
bon courage pour ta fiche en tout cas et rebienvenue sur le forum
bon courage pour ta fiche en tout cas et rebienvenue sur le forum
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 16:04 Citer EditerSupprimer
je connais pas le monsieur mais il est canon .
bienvenue enfin re de ce que j'ai pu voir .
bienvenue enfin re de ce que j'ai pu voir .
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 16:13 Citer EditerSupprimer
olalala miyavi ça me rend tellement nostalgique
bienvenue parmi nous et hâte de voir ce que tu nous réserves !!!
bienvenue parmi nous et hâte de voir ce que tu nous réserves !!!
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 16:16 Citer EditerSupprimer
Oh ouaaaaaah, un prof qui a la quarantaine **
Je me réjouis de tout lire de ton personnage
HUN HUN le frère Hasegawa, dis-tu?
Rebienvenue sur stw, alors *^*
Je me réjouis de tout lire de ton personnage
HUN HUN le frère Hasegawa, dis-tu?
Rebienvenue sur stw, alors *^*
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 16:23 Citer EditerSupprimer
OHALALLA ça fait un moment que je ne l'avais pas vu lui en tout cas excellent choix !
REBIENVENUE donc et have fun pour la suite
REBIENVENUE donc et have fun pour la suite
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 20:15 Citer EditerSupprimer
Welcome back sur STW !
Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
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Messages : 26401
Âge : 26
Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 20:17 Citer EditerSupprimer
Oh rebienvenue
________________________________
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 22:11 Citer EditerSupprimer
Rebienvenue super BG
Bon courage pour ta fiche
Bon courage pour ta fiche
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Re: Aizawa Kanesuke ❉ we criminal animal, illegal illegal ~ | Lun 6 Nov - 23:14 Citer EditerSupprimer
KGDBKJ MIYAVI
rebienvenue du coup
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