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491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah
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491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Mar 7 Nov 2017 - 22:44 Citer EditerSupprimer
i said i didn't miss you, so why do i have that stupid smile on my face ?
tenue + Jun Young était enfin chez lui. Sur ce lit si confortable qui lui avait tant manqué. Il croyait revivre. Ou renaître, au choix. Il avait beau adoré les camps d’entrainement, car il apprenait de nouvelles choses, améliorait ses techniques, passait du temps ave ses coéquipiers devenus des amis proches, il ne pouvait nier qu’à force, les futons, il n’en pouvait plus. Son dos lui avait trop réclamé son matelas si douillet. Alors, bien qu’il avait dormit dans le bus, le basketteur se trouvait affalé sur son lit, comme mort. Sauf qu’en réalité, il profitait juste. Les yeux fermés, il aurait été près à retourner dans les bras de Morphée si son ventre ne se serait pas mit à s’agiter. Etait-ce réellement le moment d’avoir un petit creux ? Grognant légèrement, il attrapa son téléphone et regarda l’heure. Trois heures du matin passé. A cette heure-ci, les deux No devaient dormir à poings fermés. Let’s go !
Se fut donc un Jun Young en pantoufle, mains dans les poches de son short, qui débarqua dans la demeure principale dans la plus grande des discrétions. Du tout, l’essayait-il. S’éclairant à l’aide de son téléphone, sait-on jamais, ses pas le guidèrent comme naturellement jusqu’à la cuisine, qu’il éclaira seulement à l’aide de la lampe de la hotte. C’es ainsi que le coréen partit à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent. Tout d’abord dans les placards, pour quelque chose de sec, non salissant. Mais faute de ne rien trouver, son attention se porta sur le pauvre frigo devant lui. Il l’ouvrit, mais ce fut un soupire de désolation qui quitta ses lèvres. Vide. Quasiment. Seyong avait beau dire qu’il leur coutait en nourriture, mais au moins, lorsqu’il était présent, il y avait des vivres ! Pestant et grimaçant, Jun Young mit donc la tête demandant, inspectant tout à la recherche d’une quelconque recette pouvant subvenir à ses besoins.
Se fut donc un Jun Young en pantoufle, mains dans les poches de son short, qui débarqua dans la demeure principale dans la plus grande des discrétions. Du tout, l’essayait-il. S’éclairant à l’aide de son téléphone, sait-on jamais, ses pas le guidèrent comme naturellement jusqu’à la cuisine, qu’il éclaira seulement à l’aide de la lampe de la hotte. C’es ainsi que le coréen partit à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent. Tout d’abord dans les placards, pour quelque chose de sec, non salissant. Mais faute de ne rien trouver, son attention se porta sur le pauvre frigo devant lui. Il l’ouvrit, mais ce fut un soupire de désolation qui quitta ses lèvres. Vide. Quasiment. Seyong avait beau dire qu’il leur coutait en nourriture, mais au moins, lorsqu’il était présent, il y avait des vivres ! Pestant et grimaçant, Jun Young mit donc la tête demandant, inspectant tout à la recherche d’une quelconque recette pouvant subvenir à ses besoins.
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Mer 8 Nov 2017 - 22:54 Citer EditerSupprimer
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tenue + Je descends sur la pointe des pieds, le pas léger dans mes petits chaussons achetés rien que pour l’automne, ambiance cocooning et j’adore ça. Ce que j’aime un peu moins, c’est le bruit de la porte qui s’ouvre et puis qui se referme. Un peu comme des bruits de pas feutrés, qui tentent de se dissimuler dans la pénombre de la nuit noire. Il est une heure où mon frère dort, une heure même à laquelle la première, je ne devrais même plus être éveillée. Alors pourquoi j’ai ce mauvais pressentiment ?
Silencieuse, je tiens la maxi-encyclopédie sur les animaux que Seyong m’a acheté pour ma toute première année d’université. Le genre de bouquin qui t’assomme de bien des manières, quoi qu’à moi il me passionne plus qu’autre chose. La gorgée nouée, la peur au ventre mais le courage à bout de bras quand je débouche sur la cuisine et que j’aperçois la lumière du frigo.
Un voleur de nourriture… un voleur affamé ? Un voleur ! Il se dandine en pantoufles de papi, une musique qui passait en boîte tout à l’heure. Je m’approche sans un mot et penche doucement la tête sur le côté pour observer le pas de danse hyper ringard – mais peu importe l’angle au final, il est toujours aussi ringard.
Je lui tombe dessus comme une feuille d’arbre, claquant son épaule du plat de la main avec une violence sans nom. « Tu m’as fait peur ! Espèce de crétin. » Je réserve mon bouquin sur le côté, plaquant ma main tout contre mon cœur qui bat à une vitesse folle. Et je prends une moue boudeuse. « T’es rentré depuis quand ? Eh, mais attends… tu dévalises mon frigo avant même de me prévenir que t’es rentré ?! » Je me sens profondément meurtrie. Surtout que je pensais qu’il rentrait pas avant demain… ouais je suis un peu naze comme fille.
Silencieuse, je tiens la maxi-encyclopédie sur les animaux que Seyong m’a acheté pour ma toute première année d’université. Le genre de bouquin qui t’assomme de bien des manières, quoi qu’à moi il me passionne plus qu’autre chose. La gorgée nouée, la peur au ventre mais le courage à bout de bras quand je débouche sur la cuisine et que j’aperçois la lumière du frigo.
Un voleur de nourriture… un voleur affamé ? Un voleur ! Il se dandine en pantoufles de papi, une musique qui passait en boîte tout à l’heure. Je m’approche sans un mot et penche doucement la tête sur le côté pour observer le pas de danse hyper ringard – mais peu importe l’angle au final, il est toujours aussi ringard.
Je lui tombe dessus comme une feuille d’arbre, claquant son épaule du plat de la main avec une violence sans nom. « Tu m’as fait peur ! Espèce de crétin. » Je réserve mon bouquin sur le côté, plaquant ma main tout contre mon cœur qui bat à une vitesse folle. Et je prends une moue boudeuse. « T’es rentré depuis quand ? Eh, mais attends… tu dévalises mon frigo avant même de me prévenir que t’es rentré ?! » Je me sens profondément meurtrie. Surtout que je pensais qu’il rentrait pas avant demain… ouais je suis un peu naze comme fille.
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Jeu 9 Nov 2017 - 0:32 Citer EditerSupprimer
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tenue + Jun Young s’était vraiment habitué à vivre là, dans ce studio, évidemment, mais aussi la demeure principale. Il s’y sentait à présent complètement à l’aise –trop même, d’après Seyong-, et même, à sa place. C’était triste à avouer, mais il se sentait bien mieux là qu’à sa maison familiale. La preuve, il n’était pas retourné voir ses parents et ses sœurs depuis de longs mois. S’ils lui manquaient ? Pas vraiment non. Mais cela était un tout autre débat. Dans tous les cas, le jeune homme se sentait tellement « chez lui » qu’il se rendit sans gêne aucune jusqu’à la cuisine de la maison principale, où vivaient les No, jusqu’à inspecter les placards puis le frigo en quête de nourriture pour remplir son estomac qui criait presque famine. Alors, cette grande perche se retrouvait là, pencher dans le réfrigérateur, à imaginer des recettes dans sa tête, tout en remuant du cul d’une façon ridicule sur une chanson, toujours dans sa tête, qui y régnait faute de trop l’avoir chanté au camp. Jun Young aurait très probablement rit de la scène s’il aurait pu la contempler de l’extérieur. Mais qu’importe. Il se croyait seul, et ce pour cet encas, alors il ne se gênait pas de faire son petit show.
Sauf que d’un coup, il se prit une violente claque sur l’épaule qui lui arracha une complainte peu virile. La bouche grande ouverte, il se tint l’épaule et se retourna pour… tomber sur Seah, en pyjama, qui lui faisait une scène. Clignant des yeux, il n’écoutait pas vraiment ses dires. Car un immense sourire venait de prendre place sur le visage du basketteur. Elle lui avait manqué cette garce. « Les enfants devraient être couchés à cette heure-ci ! Pourquoi t’es debout p’tite tête ? ». Et sur ce, Jun Young se pencha légèrement vers elle, lui attrapa les joues dans ses mains, et se mit à les tirer, sans trop lui faire de mal non plus. « On a réussit à rentrer un jour plus tôt que prévu, désolé haha ! ». Il la relâcha et reporta ensuite son attention sur le frigo, prenant un œuf et du kimchi, les posant sur le plan de travail avant de mettre de l’eau à bouillir. Longue vie aux ramyuns ! « Et pi, ton frigo, bah j’contaste que quand j’suis pas là, il est vide ! Vous faites régime ou quoi ? C’est honteux là, le pauvre ! ».
Une fois ses nouilles lancées, Jun Young s’étira longuement, et appuyé contre le plan de travail, baguettes en main, il se mit à observer sa cadette. Elle portait un nouveau pyjama. Plutôt mignon, comme on s’y attendrait de la part de la demoiselle. Néanmoins, il fronça quelque peu des sourcils. Un détail le chiffonnait. Il quitta donc sa position pour rejoindre Seah, s’arrêtant tout prêt d’elle, la dominant aisément de part sa taille et sa carrure. Et sans un mot, il glissa sa main libre dans les cheveux de sa fausse petite-amie, pour lui retirer le chouchou, et ainsi, faire retomber sa belle chevelure. Un sourire s’en suivit, sincère bien que quelque peu charmeur. « Je te préfère ainsi. ». Son regard se perdit alors dans ceux de la brunette, intensément. Il n’avait rien besoin d’ajouter. Tout se lisait dans ses yeux. Mais cet instant, qui trahissait tant de choses malgré le silence, fut interrompu par la casserole dont l’eau manquait de déborder. Jun Young se pressa donc d’aller éteindre le feu, non sans être perturbé de cet échange visuel.
Sauf que d’un coup, il se prit une violente claque sur l’épaule qui lui arracha une complainte peu virile. La bouche grande ouverte, il se tint l’épaule et se retourna pour… tomber sur Seah, en pyjama, qui lui faisait une scène. Clignant des yeux, il n’écoutait pas vraiment ses dires. Car un immense sourire venait de prendre place sur le visage du basketteur. Elle lui avait manqué cette garce. « Les enfants devraient être couchés à cette heure-ci ! Pourquoi t’es debout p’tite tête ? ». Et sur ce, Jun Young se pencha légèrement vers elle, lui attrapa les joues dans ses mains, et se mit à les tirer, sans trop lui faire de mal non plus. « On a réussit à rentrer un jour plus tôt que prévu, désolé haha ! ». Il la relâcha et reporta ensuite son attention sur le frigo, prenant un œuf et du kimchi, les posant sur le plan de travail avant de mettre de l’eau à bouillir. Longue vie aux ramyuns ! « Et pi, ton frigo, bah j’contaste que quand j’suis pas là, il est vide ! Vous faites régime ou quoi ? C’est honteux là, le pauvre ! ».
Une fois ses nouilles lancées, Jun Young s’étira longuement, et appuyé contre le plan de travail, baguettes en main, il se mit à observer sa cadette. Elle portait un nouveau pyjama. Plutôt mignon, comme on s’y attendrait de la part de la demoiselle. Néanmoins, il fronça quelque peu des sourcils. Un détail le chiffonnait. Il quitta donc sa position pour rejoindre Seah, s’arrêtant tout prêt d’elle, la dominant aisément de part sa taille et sa carrure. Et sans un mot, il glissa sa main libre dans les cheveux de sa fausse petite-amie, pour lui retirer le chouchou, et ainsi, faire retomber sa belle chevelure. Un sourire s’en suivit, sincère bien que quelque peu charmeur. « Je te préfère ainsi. ». Son regard se perdit alors dans ceux de la brunette, intensément. Il n’avait rien besoin d’ajouter. Tout se lisait dans ses yeux. Mais cet instant, qui trahissait tant de choses malgré le silence, fut interrompu par la casserole dont l’eau manquait de déborder. Jun Young se pressa donc d’aller éteindre le feu, non sans être perturbé de cet échange visuel.
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Jeu 9 Nov 2017 - 22:45 Citer EditerSupprimer
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tenue + Mes joues entre ses mains font de moi une enfant à la mine boudeuse. Ma lèvre inférieure retombe légèrement et les sourcils froncés, je le fixe l’air de lui demander quand est-ce qu’il compte finir de jouer à la poupée. Diversion sur le frigo, je pose mes deux mains contre mes joues en ronchonnant avant de lui répondre « je viens de rentrer, avec les copains de la maternelle c’était grosse ambiance ce soir ! » Je me dandine avec un déhanché qui bat des records de cuteness, les index pointés vers le plafond comme si j’y étais encore. « T’as vu comme c’est la déchéance ! Mais oppa est plongé dans l’écriture d’un chapitre super important… et moi, qui va me nourrir ? » Je n’ai rien d’une malheureuse pourtant. Juste que c’est moi qui suis allée faire les courses et que comme à chaque fois qu'on me charge de la liste… j’oublie la moitié de ce qu’il y avait écrit dessus. « Eh… ! » Il dérobe mon élastique et ruine la jolie queue de cheval que j’avais réussi à nouer avant d’entamer mon rituel démaquillage et soin de la peau. Un léger frisson glisse contre ma peau. Je ne savais pas qu’il avait ses préférences. Je le regarde en silence, battant des cils en le sachant si proche. J'entends presque les battements de mon coeur résonner à mes oreilles et pourtant, je ne bouge pas d’un souffle pour m’en éloigner. J’avais oublié ce que ça faisait de l’avoir à la maison. Jun, c’est le locataire relou le plus chouette qu’on aurait pu avoir -- quoi qu'en ce qui me concerne, ce sont surtout ses tee-shirts parfaitement taillés et sa façon très singulière de porter la chemise qui m'ont convaincue dès le départ que ce devait être lui et pas un autre.
Un bref instant de réflexion interrompu par l’eau qui bout dans la casserole. A l’image d’un chassé-croisé, je prends sa place et il prend la mienne. Ce n’est qu’une question de temps avant que le bout de mon nez ne vienne pointer par-dessus son épaule, me hissant sur la pointe des pieds dans son dos pour venir voir ce qu’il se trame derrière ses épaules larges. « Qu’est-ce que tu prépares ? Ça sent bon. » J’hume discrètement la bonne odeur, lèvres pincées et les prunelles brillantes. « Tu m’en fais pour moi aussi ? » Je demande, empruntant une voix mignonne. Clignement des yeux, clignement des yeux, clignement des yeux. Il est bientôt quatre heures du matin et je me prosti-cute pour des ramyuns.
Un bref instant de réflexion interrompu par l’eau qui bout dans la casserole. A l’image d’un chassé-croisé, je prends sa place et il prend la mienne. Ce n’est qu’une question de temps avant que le bout de mon nez ne vienne pointer par-dessus son épaule, me hissant sur la pointe des pieds dans son dos pour venir voir ce qu’il se trame derrière ses épaules larges. « Qu’est-ce que tu prépares ? Ça sent bon. » J’hume discrètement la bonne odeur, lèvres pincées et les prunelles brillantes. « Tu m’en fais pour moi aussi ? » Je demande, empruntant une voix mignonne. Clignement des yeux, clignement des yeux, clignement des yeux. Il est bientôt quatre heures du matin et je me prosti-cute pour des ramyuns.
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Jeu 9 Nov 2017 - 23:45 Citer EditerSupprimer
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tenue + Jun Young était réellement reconnaissant envers sa cadette d’avoir accepter qu’il emménage ici. Enfin, tout du moins, qu’elle ait accepté d’avoir posé sa candidature. Evidemment, il se sentait bien au dortoir des requins, mais être loin de l’université, des autres, cela avait un tout autre aspect, qui s’avérait être très plaisant. Il avait parfois l’impression de mener une double vie, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Et puis, il l’avait découvert elle. Seah. Une délicieuse demoiselle à côté de qui il était passé pendant bien trop longtemps à son goût. Car Dieu sait qu’il raffolait de ce genre de filles, pétillantes, naturelles et douces à la fois. Ce studio, cette demeure, c’était un tout, dont il ne saurait plus se passer. « Pardon ?! Tu étais en soirée ?! Aiiiish… Il le sait ton frère ? C’est pas de ton âge, la prochaine fois tu rentreras plus tôt, comprit ? ». C’était quoi ça ? Depuis quand il s’inquiétait de façon aussi évidente et ouverte ? Seah était une grande fille, majeure, et libre de ses actes, non ? Pestant mentalement, Jun Young détourna la conversation grâce au sujet du frigo, puis en lui retira cet élastique des cheveux. Pour une raison inconnue, il avait toujours préféré lorsque ces dames arboraient leurs cheveux détachés.
Et leurs regards se perdirent, longuement, l’un dans l’autre. Cet instant et ce silence furent certes de courte durée, mais ils eurent le don de créer un étrange sentiment, une étrange sensation au sein du basketteur, qu’il n’arriva ni à qualifier ni à reconnaître. Mais l’eau des ramyuns le ramena à la réalité. Allant éteindre le feu, et goutant le bouillon si tout était à point, il sentit la présence de Seah toute proche de lui, à sans aucun doute tenter de regarder par-dessus son épaule. « C’était le dernier paquet. ». Et autant dire que niveau nourriture, Jun Young ne plaisait pas. Hors de question de partager ! Alors, se retournant sur elle et la voyant faire sa mignonne pour une bouchée, il fit une grimace. « Fermes les yeux et ouvres la bouche ! ». En la voyant lui obéir, il ne put résister à lui faire une crasse. Faisant donc semblant de souffler sur les nouilles, il ouvrait en réalité la boîte de kimchi, et, en prenant dans ses baguettes, lui fourra la bouche avec. « Manges sale gosse ! ». Explosant de rire, il s’installa à table avec la casserole pleine, et commença à manger, comme si de rien n’était. « Tu me connais pourtant, tu sais que quand c’ma portion, c’est ma portion ! ». Lui tirant la langue, il défia tout de même Seah, en tapotant ses cuisses. Qu’elle s’installe sur lui si elle ose, et elle aura droit à une bouchée !
Et leurs regards se perdirent, longuement, l’un dans l’autre. Cet instant et ce silence furent certes de courte durée, mais ils eurent le don de créer un étrange sentiment, une étrange sensation au sein du basketteur, qu’il n’arriva ni à qualifier ni à reconnaître. Mais l’eau des ramyuns le ramena à la réalité. Allant éteindre le feu, et goutant le bouillon si tout était à point, il sentit la présence de Seah toute proche de lui, à sans aucun doute tenter de regarder par-dessus son épaule. « C’était le dernier paquet. ». Et autant dire que niveau nourriture, Jun Young ne plaisait pas. Hors de question de partager ! Alors, se retournant sur elle et la voyant faire sa mignonne pour une bouchée, il fit une grimace. « Fermes les yeux et ouvres la bouche ! ». En la voyant lui obéir, il ne put résister à lui faire une crasse. Faisant donc semblant de souffler sur les nouilles, il ouvrait en réalité la boîte de kimchi, et, en prenant dans ses baguettes, lui fourra la bouche avec. « Manges sale gosse ! ». Explosant de rire, il s’installa à table avec la casserole pleine, et commença à manger, comme si de rien n’était. « Tu me connais pourtant, tu sais que quand c’ma portion, c’est ma portion ! ». Lui tirant la langue, il défia tout de même Seah, en tapotant ses cuisses. Qu’elle s’installe sur lui si elle ose, et elle aura droit à une bouchée !
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Dim 12 Nov 2017 - 0:23 Citer EditerSupprimer
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tenue + Je lève les yeux au ciel. « Bien sûr qu’il le sait. » Peut-être pas. C’est aussi un peu pour ça que j’aime bien partager mon temps entre le dortoir et la maison. En semaine je fais ce que je veux mais la promiscuité a ses effets. En weekend j’ai des comptes à rendre mais je suis tranquille.
C’est bizarre, la façon qu’il a de s’inquiéter plutôt que de me demander comment c’était. Et comment j’étais habillée. Et si mes potes étaient bonnes. « T’es sexy avec ce ton autoritaire. » J’hausse les sourcils, d’un sérieux qui balaye d’un revers de la main toutes les questions, vers un sourire espiègle qui omet volontairement de lui faire la promesse qu’il attendait de moi.
Sans admettre que son regard a pu me déstabiliser, je tire sur le haut de mon pyjama et glisse une main dans mes cheveux que je réarrange avant d’entendre mon ventre crier famine à l’odeur. « Un paquet me suffit amplement » je réponds, très sérieux et pensant que ma jolie bouille suffira à faire illusion.
Je râle à sa manœuvre qui a dû lui prendre du temps et qui le fait doucement sourire. Je croque dans le morceau de kimchi mais le suit à la trace avec sa casserole, plantée sur le côté de la table, les bras croisés et le regard de haut en bas.
Je me penche à l’avant, tirant de ses mains les baguettes et avec un sourire ne laissant que très peu de doute sur ce que je suis en train de faire, je m’installe sur ses genoux, cherchant la position adéquate sans le ménager. Je mords dans ma lèvre en souriant. « T’es chez moi et sous mon toit. Essaye plutôt de me convaincre de t’en donner un peu poir voir ? » Je chuchote doucement, mon visage à quelques centimètres du sien et alors que je réalise l’affront de rapprocher la casserole pour goûter la première à ses nouilles.
C’est bizarre, la façon qu’il a de s’inquiéter plutôt que de me demander comment c’était. Et comment j’étais habillée. Et si mes potes étaient bonnes. « T’es sexy avec ce ton autoritaire. » J’hausse les sourcils, d’un sérieux qui balaye d’un revers de la main toutes les questions, vers un sourire espiègle qui omet volontairement de lui faire la promesse qu’il attendait de moi.
Sans admettre que son regard a pu me déstabiliser, je tire sur le haut de mon pyjama et glisse une main dans mes cheveux que je réarrange avant d’entendre mon ventre crier famine à l’odeur. « Un paquet me suffit amplement » je réponds, très sérieux et pensant que ma jolie bouille suffira à faire illusion.
Je râle à sa manœuvre qui a dû lui prendre du temps et qui le fait doucement sourire. Je croque dans le morceau de kimchi mais le suit à la trace avec sa casserole, plantée sur le côté de la table, les bras croisés et le regard de haut en bas.
Je me penche à l’avant, tirant de ses mains les baguettes et avec un sourire ne laissant que très peu de doute sur ce que je suis en train de faire, je m’installe sur ses genoux, cherchant la position adéquate sans le ménager. Je mords dans ma lèvre en souriant. « T’es chez moi et sous mon toit. Essaye plutôt de me convaincre de t’en donner un peu poir voir ? » Je chuchote doucement, mon visage à quelques centimètres du sien et alors que je réalise l’affront de rapprocher la casserole pour goûter la première à ses nouilles.
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Dim 12 Nov 2017 - 1:01 Citer EditerSupprimer
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tenue + Jun Young, en temps normal, lorsqu’il entendait que sa cadette revenait d’une soirée, la première question qui quittait sa bouche se retrouvait être sur l’identité de ses copines qui l’avaient accompagné, ou qu’elle avait retrouvé. Ensuite venait leur physique, et plus exactement, la demande d’une description. Sait-on jamais, si certaines pouvaient être célibataires et partantes… Pourtant, là, il s’était presque énervé. On aurait dit Seyong. Cela ne lui ressemblait nullement. Etait-ce dû à ces trois semaines sans contact ? Dans tous les cas, se refusant à une quelconque autre vérité, il s’y tint. « Je sais que j’suis sexy. Et Obéis moi plutôt que de chercher à être sarcastique ! Tss, si j’suis pas là pour te canaliser, tu prends la grosse tête et fais n’importe quoi ! Ces jeunes franchement ! ». Faisant l’outré, il ne plia pas sous les aegyos de Seah, bien trop gourmand pour cela. Et puis, c’était de sa faute aussi ! Elle aurait du le remuer son petit cul pour aller faire les courses, au lieu de pleurnicher maintenant que c’était le désert dans le frigo !
Et alors que Jun Young tapotait ses cuisses, croyant faire le plus malin, la jeune femme s’y installa sans soucis, et lui arracha même les baguettes des mains, pour commencer à manger ses nouilles. Le basketteur cligna des yeux, croyant halluciner. Une vraie garce ! Mais il n’allait pas se laisser vaincre aussi facilement, cela serait mal le connaître. Il passa alors sa tête sous le bras de son amie pour se rapprocher de la casserole et ouvrit alors la bouche, tandis qu’il posa sa main sur celle de Seah et apporta les ramyuns jusqu’à lui, pour ainsi les aspirer. En prenant soin, évidemment, de prendre une graaaande bouchée. L’avalant, il lui offrit un immense sourire. « Tu veux qu’on se la joue à la Belle & le Clochard ? ». Se remettant alors correctement derrière elle, Jun Young posa son menton sur son épaule, faute qu’elle soit dos à lui, et glissa ses doigts sur les siennes, pour actionner les baguettes et reprendre une portion. « T’as pas peur quand même. Venir comme ça, sur les genoux d’un homme, court vêtu. Un accident serait si vite arrivé… ». De sa main libre, il glissa le bout de ses doigts sur la cuisse nue de Seah, juste assez pour la faire frissonner. Parfois, le coréen avait l’impression qu’avec leur amitié, la plus jeune oubliait qu’il restait un homme, et elle une femme, tous les deux bien constitués, et que leurs corps pouvaient avoir des failles.
Et alors que Jun Young tapotait ses cuisses, croyant faire le plus malin, la jeune femme s’y installa sans soucis, et lui arracha même les baguettes des mains, pour commencer à manger ses nouilles. Le basketteur cligna des yeux, croyant halluciner. Une vraie garce ! Mais il n’allait pas se laisser vaincre aussi facilement, cela serait mal le connaître. Il passa alors sa tête sous le bras de son amie pour se rapprocher de la casserole et ouvrit alors la bouche, tandis qu’il posa sa main sur celle de Seah et apporta les ramyuns jusqu’à lui, pour ainsi les aspirer. En prenant soin, évidemment, de prendre une graaaande bouchée. L’avalant, il lui offrit un immense sourire. « Tu veux qu’on se la joue à la Belle & le Clochard ? ». Se remettant alors correctement derrière elle, Jun Young posa son menton sur son épaule, faute qu’elle soit dos à lui, et glissa ses doigts sur les siennes, pour actionner les baguettes et reprendre une portion. « T’as pas peur quand même. Venir comme ça, sur les genoux d’un homme, court vêtu. Un accident serait si vite arrivé… ». De sa main libre, il glissa le bout de ses doigts sur la cuisse nue de Seah, juste assez pour la faire frissonner. Parfois, le coréen avait l’impression qu’avec leur amitié, la plus jeune oubliait qu’il restait un homme, et elle une femme, tous les deux bien constitués, et que leurs corps pouvaient avoir des failles.
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Mar 14 Nov 2017 - 16:46 Citer EditerSupprimer
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tenue + Personne ne m’avait jamais dit que de vivre entre deux hommes serait aussi compromettant. Quoique mon frère appréciait Jun, son regard devenait sombre, chaque fois que le garçon s’approchait un peu trop. Qu’il disait quelque chose de déplacé. Ou que son regard déviait et que je prétendais ne pas l’avoir vu. « J’essayais pas d’être sarcastique » ou alors, seulement un peu. Mes yeux suivent sa silhouette grincheuse jusqu’à la salle à manger. « Trois semaines rien qu’avec des mecs… je comprends que tu sois grincheux. » Je lui retire ses baguettes et m’installe sur ses genoux, un sourire aux lèvres alors que je devine la stupéfaction sur son visage. « Je t’imaginais plus friand de jeux de rôle un peu moins frileux. » Son visage à quelques centimètres du bien, je ne fais rien pour me dégager, mon bras drapé autour de ses épaules glissant dans son dos pour me laisser une chance de tenir la contorsion et pincer son nez, de ma main libre, pour le punir d’avoir voler ma portion de nouilles et en plus, d’en avoir pris une énorme.
Il se retire et je récupère le monopole de la casserole, rien que pour une courte durée, ses mains prenant le contrôle des miennes et m’incitant à le nourrir comme un vulgaire pantin de bois. Je pourrais être agacée. Je suis plutôt amusée par la situation. Et curieuse, de la tournure que prennent les choses. Son index court sur ma cuisse, il me fait sourire et frissonner à tour de rôle. Je n’en reviens pas de garder l’appétit, reposant mes baguettes après avoir terminé une grosse bouchée.
Je pivote sur ses genoux, feignant de vouloir être discrète en sachant pourtant très bien comme mon fessier appuie sur un point sensible entre ses jambes. Je me moque pas mal de sa main qui agrippe un peu plus fermement mes cuisses, ma main glissant à la racine de ses cheveux tandis que je mords dans ma lèvre inférieure avant de répondre « bébé, mon frère est dans la chambre d’à côté, tu crois que ce serait raisonnable ? » Je me retranche derrière le jeu de notre pseudo-relation de couple pour sous-entendre mille et une choses. Comme cet accident qui peut-être, n’en serait finalement pas vraiment un. « Hm ? » Je penche doucement la tête sur le côté, un sourire malicieux au coin des lèvres, mes doigts glissant depuis sa nuque jusqu'à sa clavicule. Ils finissent par se poser contre son torse, installant une distance qui n’en est au final, pas vraiment une.
Je crois bien que je joue un jeu dangereux. Mais j’ai eu envie de jouer à ce jeu depuis trop longtemps pour me refuser un simple avant-goût. Ca peut aller jusqu'où ?
Il se retire et je récupère le monopole de la casserole, rien que pour une courte durée, ses mains prenant le contrôle des miennes et m’incitant à le nourrir comme un vulgaire pantin de bois. Je pourrais être agacée. Je suis plutôt amusée par la situation. Et curieuse, de la tournure que prennent les choses. Son index court sur ma cuisse, il me fait sourire et frissonner à tour de rôle. Je n’en reviens pas de garder l’appétit, reposant mes baguettes après avoir terminé une grosse bouchée.
Je pivote sur ses genoux, feignant de vouloir être discrète en sachant pourtant très bien comme mon fessier appuie sur un point sensible entre ses jambes. Je me moque pas mal de sa main qui agrippe un peu plus fermement mes cuisses, ma main glissant à la racine de ses cheveux tandis que je mords dans ma lèvre inférieure avant de répondre « bébé, mon frère est dans la chambre d’à côté, tu crois que ce serait raisonnable ? » Je me retranche derrière le jeu de notre pseudo-relation de couple pour sous-entendre mille et une choses. Comme cet accident qui peut-être, n’en serait finalement pas vraiment un. « Hm ? » Je penche doucement la tête sur le côté, un sourire malicieux au coin des lèvres, mes doigts glissant depuis sa nuque jusqu'à sa clavicule. Ils finissent par se poser contre son torse, installant une distance qui n’en est au final, pas vraiment une.
Je crois bien que je joue un jeu dangereux. Mais j’ai eu envie de jouer à ce jeu depuis trop longtemps pour me refuser un simple avant-goût. Ca peut aller jusqu'où ?
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Mar 14 Nov 2017 - 23:04 Citer EditerSupprimer
i said i didn't miss you, so why do i have that stupid smile on my face ?
tenue + Jun Young n’était un grincheux en temps normal. Sauf lorsqu’on le dérangeait dans son sommeil, comme sa délicieuse colocataire aimait tant le faire. Mais ce soir-là, oui, peut-être qu’il l’était. A vrai dire, il se sentait étrange. La présence de Seah le rendait étrange. Mais lui, en tant que bon mâle de base, mettait cela sur la surdose de virilité, de masculinité qu’il avait eut durant ces trois semaines. En effet, sur le camp, ses camarades, son coach, et l’équipe avec eux ne fut composée que d’hommes. A l’université ? Idem. Son option laissait peu de places à la gente féminine. De ce fait, lui, l’amoureux des femmes, se retrouvait en manque, il ne pouvait le nier. Et puis, Seah, mine de rien, elle était devenue importante. A sa façon. Alors s’inquiéter pour elle, c’était normal, non ? « Ne détourne pas le sujet. On parle de toi là qui rentre à pas d’heure de soirée. ». Enfin, déjà, elle rentrait. Ce n’était pas si mal… « Bah quoi, j’essaie d’être romantique, comme le parfait petit ami que je suis. C’est quand même plus glamour que te demander si au lieu des nouilles, c’pas mon sexe que tu veux entre tes lèvres. J’me trompe ? ». Wow, ça, Jun Young, c’était cash. Mais elle l’avait cherché cette naine !
Engloutissant donc sa part de ramyuns, qu’il lui revenait de droit, ne l’oublions pas, le bastketteur grogna néanmoins lorsque Seah Entreprit de lui pincer le nez. Jamais elle n’allait le laisser tranquille celle-là ! C’était ses nouilles, il les avait lui-même cuisiné ! La pire des princesses ! Alors, ils tournèrent ainsi auprès de la casserole, alternant chacun leur tour. Deux affamés. Il tentait de la déstabiliser, avec ce doigt qui faisait de longs allers et retours sur la cuisse nue de la plus jeune. Sauf que cette dernière n’eut pas la réaction attendue. En effet, elle se tourna pour se retrouver de profil, tout en faisant exprès –il en était persuadé- de bien se frotter a son bassin. Jun Young serra alors les dents, se concentrant. Hors de question de faiblir face à elle. Néanmoins, sa main elle se crispa fermement sur cette cuisse si douce, et il planta son regard dans celui de Seah lorsqu’elle glissa ses doigts à ses cheveux. « Raisonnable, je n’en sais rien. Mais les ardeurs d’un jeune couple ne se retiennent pas si facilement. ».
Sa peau, malgré lui, se mit à frissonner sous cette main subitement baladeuse. Il ne déviât pas son regard, bien au contraire. Si elle voulait jouer à ça, alors la demoiselle allait s’en mordre les doigts. Sa main à lui, agréablement posée, il en fit bouger le pouce, contre l’intérieur de cette cuisse. Celle libre vint dégager la nuque de la jeune femme, et ainsi, Jun Young se rapprocha d’elle, lentement, son souffle se faisant de plus en plus présent contre son cou. Il l’effleura de son nez, humant son parfum. Puis, sa bouche prit la relève, toujours sans s’appuyer. Juste, pour la frustrer, et lui arracher à son tour des frissons. Ses doigts en même temps commencèrent à s’aventurer contre cette cuisse à la peau si douce et veloutée. Il la caresse, légèrement, sensuellement. Parfois même le coréen osait s’aventurer sous le short de pyjama, jusqu’à la limite de son sous-vêtement, avant de redescendre vers l’intérieur. Alors Seah, on veut s’aventurer sur ce jeu dangereux, mais assumeras-tu jusqu’au bout ?
Engloutissant donc sa part de ramyuns, qu’il lui revenait de droit, ne l’oublions pas, le bastketteur grogna néanmoins lorsque Seah Entreprit de lui pincer le nez. Jamais elle n’allait le laisser tranquille celle-là ! C’était ses nouilles, il les avait lui-même cuisiné ! La pire des princesses ! Alors, ils tournèrent ainsi auprès de la casserole, alternant chacun leur tour. Deux affamés. Il tentait de la déstabiliser, avec ce doigt qui faisait de longs allers et retours sur la cuisse nue de la plus jeune. Sauf que cette dernière n’eut pas la réaction attendue. En effet, elle se tourna pour se retrouver de profil, tout en faisant exprès –il en était persuadé- de bien se frotter a son bassin. Jun Young serra alors les dents, se concentrant. Hors de question de faiblir face à elle. Néanmoins, sa main elle se crispa fermement sur cette cuisse si douce, et il planta son regard dans celui de Seah lorsqu’elle glissa ses doigts à ses cheveux. « Raisonnable, je n’en sais rien. Mais les ardeurs d’un jeune couple ne se retiennent pas si facilement. ».
Sa peau, malgré lui, se mit à frissonner sous cette main subitement baladeuse. Il ne déviât pas son regard, bien au contraire. Si elle voulait jouer à ça, alors la demoiselle allait s’en mordre les doigts. Sa main à lui, agréablement posée, il en fit bouger le pouce, contre l’intérieur de cette cuisse. Celle libre vint dégager la nuque de la jeune femme, et ainsi, Jun Young se rapprocha d’elle, lentement, son souffle se faisant de plus en plus présent contre son cou. Il l’effleura de son nez, humant son parfum. Puis, sa bouche prit la relève, toujours sans s’appuyer. Juste, pour la frustrer, et lui arracher à son tour des frissons. Ses doigts en même temps commencèrent à s’aventurer contre cette cuisse à la peau si douce et veloutée. Il la caresse, légèrement, sensuellement. Parfois même le coréen osait s’aventurer sous le short de pyjama, jusqu’à la limite de son sous-vêtement, avant de redescendre vers l’intérieur. Alors Seah, on veut s’aventurer sur ce jeu dangereux, mais assumeras-tu jusqu’au bout ?
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Re: 491 heures, 29 460 minutes, 1 767 600 secondes + seah | Ven 17 Nov 2017 - 0:58 Citer EditerSupprimer
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tenue + Si j’étais curieuse au début, je tire à présent avantage de le voir s’inquiéter, retranché derrière ses pseudo-considérations de mâle dominant. « Oui je rentre à pas d’heure » je regarde ses doigts qui caressent doucement ma cuisse, sans les arrêter, le souffle suspendu et le cœur à l’arrêt « mais je n’avais personne pour me dire compagnie ce soir » je finis par dire, d’un sous-entendu un peu trop léger pour n’être que purement innocent. Mais à quoi bon feindre l’innocence lorsque ses mots crus tordent mon bas ventre et m’arrachent un sourire que j’aurais pourtant préféré ne pas lui faire savoir. « Tu rêverais de connaître ma réponse. J’me trompe ? » Appuyant contre son bassin sans en donner l’air, j’apprécie comme il est facile de le déstabiliser. Comme mes lèvres rêveraient de retracer la ligne parfaite de sa mâchoire. Et comme sa main se referme sur ma cuisse. Comme si j’avais été prise à mon propre jeu et que je n’étais pas près de m’en sortir.
Sa peau glisse à la pulpe de mes doigts. Ma main s’arrête à son torse, elle dessine du bout des ongles de jolies formes incompréhensibles sur son tee-shirt. « Pourtant, je nous ai trouvé raisonnables jusqu’ici… » il se glisse contre l’intérieur de ma cuisse et mes jambes se resserrent, une véritable invitation à lui faire comprendre tout l’effet qu’il me fait, cherchant la friction alors que mes yeux remontent depuis sa main aventureuse jusqu’à ses lèvres pulpeuses « un peu… » je murmure une phrase interminable, sa bouche goûtant ma peau du bout des lèvres, chatouillant ma nuque, m’arrachant un soupire à peine audible et pourtant tellement frustrant « trop raisonnables, même » ma voix se perd au creux de son oreille, mon dos se cambre afin que mon buste rencontre le sien, la sensation de ma poitrine nue frôlant son torse brûlant.
Je sais que c’est dangereux mais putain, c’est juste trop bon pour être ignoré et je plaque mes lèvres contre les siennes, la sensation étant bien réelle cette fois. Ma main qui se balade à son bas ventre glisse sous son tee-shirt et caresse sa peau, tendrement, sauvagement, cherchant à la marquer de son empreinte suave et chaude.
Et je souris contre ses lèvres, sachant que le plaisir n’est que de courte durée à l’instant même où je reconnais le pas lourd et hasardeux de mon frère au bout du couloir. « Bonne nuit, Choi Jun Young-aah ~ » je frôle son oreille du bout des lèvres et chuchote son prénom comme si je l'avais au bout de ma langue, forçant la barrière de ses bras qui me retiennent pour filer à l’étage avec une démarche nonchalante ; provocante ; et résolument assurée.
Sa peau glisse à la pulpe de mes doigts. Ma main s’arrête à son torse, elle dessine du bout des ongles de jolies formes incompréhensibles sur son tee-shirt. « Pourtant, je nous ai trouvé raisonnables jusqu’ici… » il se glisse contre l’intérieur de ma cuisse et mes jambes se resserrent, une véritable invitation à lui faire comprendre tout l’effet qu’il me fait, cherchant la friction alors que mes yeux remontent depuis sa main aventureuse jusqu’à ses lèvres pulpeuses « un peu… » je murmure une phrase interminable, sa bouche goûtant ma peau du bout des lèvres, chatouillant ma nuque, m’arrachant un soupire à peine audible et pourtant tellement frustrant « trop raisonnables, même » ma voix se perd au creux de son oreille, mon dos se cambre afin que mon buste rencontre le sien, la sensation de ma poitrine nue frôlant son torse brûlant.
Je sais que c’est dangereux mais putain, c’est juste trop bon pour être ignoré et je plaque mes lèvres contre les siennes, la sensation étant bien réelle cette fois. Ma main qui se balade à son bas ventre glisse sous son tee-shirt et caresse sa peau, tendrement, sauvagement, cherchant à la marquer de son empreinte suave et chaude.
Et je souris contre ses lèvres, sachant que le plaisir n’est que de courte durée à l’instant même où je reconnais le pas lourd et hasardeux de mon frère au bout du couloir. « Bonne nuit, Choi Jun Young-aah ~ » je frôle son oreille du bout des lèvres et chuchote son prénom comme si je l'avais au bout de ma langue, forçant la barrière de ses bras qui me retiennent pour filer à l’étage avec une démarche nonchalante ; provocante ; et résolument assurée.
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