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Maeda Hayate
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Maeda Hayate | Jeu 16 Nov 2017 - 21:48 Citer EditerSupprimer
nom : Maeda. prénom : Hayate. âge : 40 ans. date et lieu de naissance : 20 juin 1977 | Tokyo, Japon. origines : Japonaises. nationalité : Japonaise. cursus universitaire : Doctorat de chimie. métier : Dirigeant d'une entreprise de chimie. Créateur de paradis artificiels. orientation sexuelle : Non définie. classe sociale : Haute. code du règlement : Ok par iMked tu veux t'investir ? Il n'est pas à la fac (a) Mais ça ne l'empêchera pas de déranger l'ordre public !
Maeda Hayate
If you play, you play for kill
INTELLIGENT (★★★★★) | AGACANT (★★★★✰) | AMBITIEUX (★★★★★) | BRUTAL (★★★★✰) | PERFECTIONNISTE (★★★★✰) |
AUTORITAIRE (★★★★★) | SOURIANT (★★★✰✰) | ARROGANT (★★★★★) | ORGANISE (★★★★✰) | BORNE (★★★★✰) |
Rumour has it... On dit qu'il fait partie de la mafia japonaise Survole l'avatar, petit coquin. | My character Il y a ce qu'il montre et ce qu'il ne montre pas. Il y a les apparences qui sont parfois trompeuses et il y a ce qui est vrai. Hayate est un poème. Il peut être aussi froid que la mort, aussi chaleureux que le soleil. Il peut être aussi droit que le chêne et aussi flexible que le roseau. Mais quoi qu’il fasse, Hayate marque les esprits et saisit les âmes. Il provoque aussi bien le ravissement que l'effroi. Et il s'amuse de tout. Dans le fond, la vie n'est qu'un jeu. Et bien sûr, il entend le gagner. Il rit, il vit à fond. Il ne perd pas de temps dans des choses futiles. Mais il profite tout de même de la vie. S'il méprise pas mal les autres, il leur reconnaît parfois des qualités, il leur reconnaît parfois une utilité. Et notamment dans le fait de s'enrichir. Et cet argent, il le dépense de façon raisonnée. Il se fait plaisir, mais se fait discret. Il passe sous les radars. Il a beau être arrogant, il n'est pas fanfaron. Il a conscience des limites qu'il ne peut pas franchir. S'il ne les respecte pas, il connait tout de même les lois. Il connaît les marges de manœuvres et sait à qui il doit donner des billets pour s'assurer une vie paisible. Et au besoin, il use de la violence. Il s'en amuse, il en plaisante, mais aussi joueur puisse-t-il paraître, c'est quelqu'un de travailleur et d'entêté, qui persévère jusqu'à obtenir ce qu'il veut et qui se surpasse sans arrêt pour s'améliorer. Il nourrit son ambition et son arrogance en continuant à se parfaire. Il aime le sport, il aime la nourriture, mais avant tout il aime la chimie. C'est une passion, il pourrait passer des heures derrière une paillasse, penché sur des béchers. Et là où il excelle le plus c'est pour créer des cristaux de bonne qualité. Dans le fond, il aime entretenir les addictions perverses, malsaines. Il créé du rêve, il le vend et il n'hésite pas à se servir d'un autre type de poudre pour résoudre ses problèmes. D'une manière plus que définitive. Il aime les soirées, il aime l’ambiance étrange qui flotte dans les boites de nuit, il aime les contacts physiques, le plaisir de la chair, la proximité des corps. Mais il n’aime pas s’attacher, il est méfiant, il sait ce qu’il a, ce qu’il a perdre et ne veut pas qu’on profite de lui. Il n'aime pas la guimauve et le rose. Il n'aime pas le coulis de niaiserie. C'est un homme terre à terre qui a conscience du monde qui l'entoure. Il ne croit pas en dieu, ni en une puissance supérieure. Il ne croit qu'en lui. Il s’est toujours donné à fond pour obtenir ce qu’il voulait et dans le fond, cela lui a plutôt réussi, non ? Et il doit avouer qu'il ne croit pas que l'Homme soit bon. Il n'aime pas se perdre dans les rêves, il préfère être réaliste. Alors oui, il a une conscience très fine de la réalité dans laquelle il vit et il l'entretient. Et non, il n'aime pas perdre. |
This is my story
Be smart like the eagle and clever like the fox, son
Au début, ce n'était qu'un cri. Puis, ça s'est transformé en mots. Hayate était né. Dans une famille misérable. Un père délinquant et une mère vendeuse dans une boutique. Une vie pauvre, mais entourée d'amour parfois ponctuée de violence. Alors, le petit garçon a grandi. Il a commencé à babiller, à ramper, à marcher, à parler, à compter et à lire. Étape après l'autre, Hayate s'est construit. Il a rêvé, il a imaginé. Et il a appris. Ses parents sont restés présents. Parfois, son père levait la main sur sa mère ou même sur lui lorsqu'il faisait des bêtises. Mais globalement, sa vie n'a pas été mauvaise. On lui a appris à poser un œil curieux sur le monde, à toujours se montrer vif et malin, à toujours avoir un coup d’avance sur les autres. Plus il se montrait intelligent, plus on l’encourageait. Et plus il voyait la fierté dans le regard de ses parents, plus il s’améliorait. Il n’y avait qu’une seule ombre au tableau. Cette pauvreté qui rendait leur vie difficile. Plus l'enfant grandissait, plus il saisissait la différente entre lui et les autres : ceux des meilleurs quartiers, ceux ayant plus d'argent. Et il avait envie, envie de plus, envie de mieux. Plus il grandissait, plus il comprenait, plus il les enviait. Alors l'enfant s'est promis qu'un jour, il aurait le droit à mieux. En attendant, il s'est contenté de ce qu'il avait, tout en se donnant les moyens d'avoir plus.
Au début, ce n'était qu'un cahier. Puis, ça a été des dizaines de livres. Une première rentrée à l'école, puis une autre, et encore une autre. Plus Hayate allait à l'école, plus il se montrait brillant. Parce qu'il a vite compris qu'il ne lui faudrait pas que savoir frapper pour y arriver. Après tout son propre père savait parfaitement jouer de ses poings, pourtant cela ne l'avait pas aidé à offrir plus à sa famille. Alors Hayate a joué sur les deux tableaux : il a appris dans les livres et il a appris dans les rues. Il a appris les mathématiques, la littérature, l'histoire et la biologie. Mais il a aussi appris à cogner, il a aussi appris à voler, à contourner les lois. Il a appris des mythes et des équations, se passionnant pour d'anciennes cultures disparues et pour des réactions chimiques complexes. Il a aussi appris à se servir des armes à feu, ne ratant jamais sa cible sur le champ de tir. Et au milieu de tous ces apprentissages, il apprenait aussi les relations sociales. Il avait des amis, de nombreux amis. Quelques-uns plus fiables que les autres. Et même s’il était intelligent, il n’en restait pas moins populaire. Leader. Il entraînait les autres dans ses méandres, dans les rues, mais il veillait toujours sur eux. Loyal et protecteur, Hayate n’était pas du genre à laisser tomber ses amis où à les embarquer dans des activités sans être sûr qu’ils pourraient s’en sortir. Toujours avoir un coup d’avance. Et plus il grandissait, plus il voulait entrer à Todai. Il regardait le campus, de loin, avec envie. Et ce fut cette envie qui lui ouvrit les portes de cette grande université. Il s'en donna les moyens.
Au début, ce n'était qu'une menace. Maintenant, c'est une alliance solide. Aller à l'université demandait des financements. Et il lui fallait pouvoir payer. Il aurait pu travailler des heures durant, rentrer tôt le matin, travailler pour les cours et aller au lycée. Oh ça, oui, il aurait pu. Mais Hayate connaissait les raccourcis, les façons de s'enrichir plus vite. Et parce qu'il ne voulait pas dépendre des autres, il commença à produire sa propre drogue. Il rassembla d'abord un peu de fond en faisant les poches des passants, en vendant quelques petits objets volés çà et là. Écouler sa marchandise fut compliqué. Trouver des clients discrètement, gagner leur confiance, réussir à leur vendre et en trouver d'autres à nouveau. Cela lui demanda du temps et de l'entêtement, mais finalement, il y eu les premiers acheteurs, puis le bouche à oreille. Et assez vite, la rune figurant sur ses sachets s'est répandue dans la ville, comme un virus. Et sa réputation s'est rapidement améliorée. La rune du voyage du Kitsune a fait son œuvre, offrant de grands voyages spirituel à l’ensemble de ses consommateurs pour leur plus grand plaisir. Jusqu'à attirer les foudres de certains revendeurs de la mafia. Et bien sûr, encore une fois Hayate a su tirer son épingle du jeu : il a fait alliance avec eux, mais a gardé ses recettes. Il produisait les drogues et les vendeurs de la mafia les vendaient, partageant les recettes pour que tout le monde puisse s’y retrouver : il devait pouvoir continuer à produire et à vivre. De cette façon, il a gardé une partie du contrôle. De toute façon, c'était ça où la mort. Petit à petit, il a trouvé une place dans cette nouvelle configuration. Il s’est affirmé face aux fortes têtes de la mafia, face aux vendeurs un peu trop zélés, face aux hauts gradés un peu trop méfiants. Malgré cette nouvelle affiliation, il n'est jamais sorti du système scolaire.
Au début, ce n'était qu'une poudre. Maintenant, c'est une entreprise florissante. Cette drogue et cet argent lui ont permis d'entrer à Todai. Une année après l'autre, le jeune homme a continué d'apprendre. Il a appris la chimie, il a appris le commerce. Parce que son idée était de pouvoir bâtir un empire. Un empire dans lequel il pourrait blanchir une partie de l'argent de la mafia et grâce auquel il pourrait continuer à produire sa drogue. Ce qui n'était au début une façon de survivre s'était transformé en réel défi : trouver des drogues toujours meilleures, toujours plus fortes. Vendre toujours plus de rêves. Oui, Hayate s'est trouvé une nouvelle passion. Enfin, en partie nouvelle, cela ne restait que de la chimie n'est-ce pas ? Il obtenu sa licence, puis son master. Il a finalement décroché son doctorat. Sorti de l'université, Hayate a monté sa boite avec les fonds dont il disposait. Au début, ce n'était qu'une petite boite. Produisant quelques médicaments, menant quelques programmes de recherches en partie sponsorisés par l'état, en partie sponsorisés par des dons anonymes. Mais année après année, ses ventes ont augmentés, et son entreprise s'est développée : une première antenne à Osaka, puis à Sapporo, puis à Nagoya. Une à une, Hayate a monté de nouvelles antennes à travers le Japon, puis a exporté son entreprise à l'internationale. Et au milieu de toutes ces extensions, il continuait à produire ses drogues et à en inonder le marché, pour le plus grand bonheur de la mafia. Et plus son entreprise florissait, plus ses drogues asservissaient les hommes, plus sa réputation au sein de sa nouvelle famille se développait. Et bien sûr, cela n'en est pas resté qu'à un costume. Le chimiste n'avait jamais eu peur de se salir les mains et de cogner. Plus il cognait, plus il s’attirait d’ennemis, alors il a protégé les deux seules personnes auxquelles il tenait : ses parents. Ceux-ci coulaient à présent des jours heureux dans une petite ville côtière, sous un autre nom, profitant de leur retraite bien méritée. Mais malgré son investissement dans la mafia, aucune aiguille ne se posa sur sa peau : dirigeant d'une entreprise, il resta vierge de toute empreinte, sa loyauté n'ayant pas besoin de dessins sur sa peau pour être forte. Finalement, il a pris un avion pour la Corée, pour implanter plusieurs antennes de son entreprise dans ce pays.
Au début, ce n'était qu'un cahier. Puis, ça a été des dizaines de livres. Une première rentrée à l'école, puis une autre, et encore une autre. Plus Hayate allait à l'école, plus il se montrait brillant. Parce qu'il a vite compris qu'il ne lui faudrait pas que savoir frapper pour y arriver. Après tout son propre père savait parfaitement jouer de ses poings, pourtant cela ne l'avait pas aidé à offrir plus à sa famille. Alors Hayate a joué sur les deux tableaux : il a appris dans les livres et il a appris dans les rues. Il a appris les mathématiques, la littérature, l'histoire et la biologie. Mais il a aussi appris à cogner, il a aussi appris à voler, à contourner les lois. Il a appris des mythes et des équations, se passionnant pour d'anciennes cultures disparues et pour des réactions chimiques complexes. Il a aussi appris à se servir des armes à feu, ne ratant jamais sa cible sur le champ de tir. Et au milieu de tous ces apprentissages, il apprenait aussi les relations sociales. Il avait des amis, de nombreux amis. Quelques-uns plus fiables que les autres. Et même s’il était intelligent, il n’en restait pas moins populaire. Leader. Il entraînait les autres dans ses méandres, dans les rues, mais il veillait toujours sur eux. Loyal et protecteur, Hayate n’était pas du genre à laisser tomber ses amis où à les embarquer dans des activités sans être sûr qu’ils pourraient s’en sortir. Toujours avoir un coup d’avance. Et plus il grandissait, plus il voulait entrer à Todai. Il regardait le campus, de loin, avec envie. Et ce fut cette envie qui lui ouvrit les portes de cette grande université. Il s'en donna les moyens.
Au début, ce n'était qu'une menace. Maintenant, c'est une alliance solide. Aller à l'université demandait des financements. Et il lui fallait pouvoir payer. Il aurait pu travailler des heures durant, rentrer tôt le matin, travailler pour les cours et aller au lycée. Oh ça, oui, il aurait pu. Mais Hayate connaissait les raccourcis, les façons de s'enrichir plus vite. Et parce qu'il ne voulait pas dépendre des autres, il commença à produire sa propre drogue. Il rassembla d'abord un peu de fond en faisant les poches des passants, en vendant quelques petits objets volés çà et là. Écouler sa marchandise fut compliqué. Trouver des clients discrètement, gagner leur confiance, réussir à leur vendre et en trouver d'autres à nouveau. Cela lui demanda du temps et de l'entêtement, mais finalement, il y eu les premiers acheteurs, puis le bouche à oreille. Et assez vite, la rune figurant sur ses sachets s'est répandue dans la ville, comme un virus. Et sa réputation s'est rapidement améliorée. La rune du voyage du Kitsune a fait son œuvre, offrant de grands voyages spirituel à l’ensemble de ses consommateurs pour leur plus grand plaisir. Jusqu'à attirer les foudres de certains revendeurs de la mafia. Et bien sûr, encore une fois Hayate a su tirer son épingle du jeu : il a fait alliance avec eux, mais a gardé ses recettes. Il produisait les drogues et les vendeurs de la mafia les vendaient, partageant les recettes pour que tout le monde puisse s’y retrouver : il devait pouvoir continuer à produire et à vivre. De cette façon, il a gardé une partie du contrôle. De toute façon, c'était ça où la mort. Petit à petit, il a trouvé une place dans cette nouvelle configuration. Il s’est affirmé face aux fortes têtes de la mafia, face aux vendeurs un peu trop zélés, face aux hauts gradés un peu trop méfiants. Malgré cette nouvelle affiliation, il n'est jamais sorti du système scolaire.
Au début, ce n'était qu'une poudre. Maintenant, c'est une entreprise florissante. Cette drogue et cet argent lui ont permis d'entrer à Todai. Une année après l'autre, le jeune homme a continué d'apprendre. Il a appris la chimie, il a appris le commerce. Parce que son idée était de pouvoir bâtir un empire. Un empire dans lequel il pourrait blanchir une partie de l'argent de la mafia et grâce auquel il pourrait continuer à produire sa drogue. Ce qui n'était au début une façon de survivre s'était transformé en réel défi : trouver des drogues toujours meilleures, toujours plus fortes. Vendre toujours plus de rêves. Oui, Hayate s'est trouvé une nouvelle passion. Enfin, en partie nouvelle, cela ne restait que de la chimie n'est-ce pas ? Il obtenu sa licence, puis son master. Il a finalement décroché son doctorat. Sorti de l'université, Hayate a monté sa boite avec les fonds dont il disposait. Au début, ce n'était qu'une petite boite. Produisant quelques médicaments, menant quelques programmes de recherches en partie sponsorisés par l'état, en partie sponsorisés par des dons anonymes. Mais année après année, ses ventes ont augmentés, et son entreprise s'est développée : une première antenne à Osaka, puis à Sapporo, puis à Nagoya. Une à une, Hayate a monté de nouvelles antennes à travers le Japon, puis a exporté son entreprise à l'internationale. Et au milieu de toutes ces extensions, il continuait à produire ses drogues et à en inonder le marché, pour le plus grand bonheur de la mafia. Et plus son entreprise florissait, plus ses drogues asservissaient les hommes, plus sa réputation au sein de sa nouvelle famille se développait. Et bien sûr, cela n'en est pas resté qu'à un costume. Le chimiste n'avait jamais eu peur de se salir les mains et de cogner. Plus il cognait, plus il s’attirait d’ennemis, alors il a protégé les deux seules personnes auxquelles il tenait : ses parents. Ceux-ci coulaient à présent des jours heureux dans une petite ville côtière, sous un autre nom, profitant de leur retraite bien méritée. Mais malgré son investissement dans la mafia, aucune aiguille ne se posa sur sa peau : dirigeant d'une entreprise, il resta vierge de toute empreinte, sa loyauté n'ayant pas besoin de dessins sur sa peau pour être forte. Finalement, il a pris un avion pour la Corée, pour implanter plusieurs antennes de son entreprise dans ce pays.
About me
Je suis...
Articfox
On m'a forcée à venir ici, mais votre forum est chouette ! J'aime beaucoup l'apparence global et l'ambiance qui s'en dégage ! J'ai hâte de vous rejoindre et de pouvoir jouer avec vous !
J'ai fini mes études, je suis dans la vie active et j'ai souvent besoin d'une bulle d'air pour survivre (ahah imaginez à quel point c'est souvent) alors je rp ! C'est une aventure et un loisir, je ne me prends pas la tête et voilà !
J'ai fini mes études, je suis dans la vie active et j'ai souvent besoin d'une bulle d'air pour survivre (ahah imaginez à quel point c'est souvent) alors je rp ! C'est une aventure et un loisir, je ne me prends pas la tête et voilà !
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1379][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>GODFREY GAO ( PSEUDO, GROUPE)</upper></taken> ✎ <lower>Maeda Hayate</lower>
Supprimez le code inutile
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Re: Maeda Hayate | Jeu 16 Nov 2017 - 21:48 Citer EditerSupprimer
Ouiiiiiiiiiiiiii :fabu: :tentate:
Tu sais que je t'aime, hein ?
c'est douloureux d'avoir un ennemi aussi sexy ;o;
edit : COMMENT ÇA FORCÉ ?
Tu sais que je t'aime, hein ?
c'est douloureux d'avoir un ennemi aussi sexy ;o;
edit : COMMENT ÇA FORCÉ ?
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Re: Maeda Hayate | Jeu 16 Nov 2017 - 22:02 Citer EditerSupprimer
Ohlalala la sexytude
Un beau mâle à su t'attirer par ici à ce que je comprends
BIENVENUE
Bon courage pour ta fiche
et surtout HAVE FUN
PS : j'aime ton pseudo
Un beau mâle à su t'attirer par ici à ce que je comprends
BIENVENUE
Bon courage pour ta fiche
et surtout HAVE FUN
PS : j'aime ton pseudo
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Re: Maeda Hayate | Jeu 16 Nov 2017 - 22:25 Citer EditerSupprimer
Mrkelelekeke
Godfrey Gao, tout pour plaaaaaire ! Et si LaMarquise t'a rammené, obligé que je viens chercher un lien qui tue sa maaaaamaaaaan une fois que tu seras validé !
Bon courage pour ta fiiiiche :3
Godfrey Gao, tout pour plaaaaaire ! Et si LaMarquise t'a rammené, obligé que je viens chercher un lien qui tue sa maaaaamaaaaan une fois que tu seras validé !
Bon courage pour ta fiiiiche :3
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Re: Maeda Hayate | Jeu 16 Nov 2017 - 22:35 Citer EditerSupprimer
Bienvenue sur STW
Bon courage pour ta fiche, have fun
Bon courage pour ta fiche, have fun
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Re: Maeda Hayate | Ven 17 Nov 2017 - 11:51 Citer EditerSupprimer
omg ce choix .
je suis trop trop trop fan .
bienvenue .
je suis trop trop trop fan .
bienvenue .
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Re: Maeda Hayate | Ven 17 Nov 2017 - 13:10 Citer EditerSupprimer
Bienvenuee
Oui qu'il est chouette le fo
Et ce perso me parait prometteur, jai hate de lire ta fiche
Oui qu'il est chouette le fo
Et ce perso me parait prometteur, jai hate de lire ta fiche
Invité
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Re: Maeda Hayate | Ven 17 Nov 2017 - 13:49 Citer EditerSupprimer
arrêtez de ramener des daddy bcp trop hot
bienvenuuuue
bienvenuuuue
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Re: Maeda Hayate | Sam 18 Nov 2017 - 0:55 Citer EditerSupprimer
OMG GAO JE FOND OKAY ?
bienvenue parmi nous mon beau en esperant que tu t'y plaise et courage pour ta fiche :P
bienvenue parmi nous mon beau en esperant que tu t'y plaise et courage pour ta fiche :P
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