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i want my hands in your hair ☾ jun young [+18]
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i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Dim 19 Nov - 3:22 
Il aurait déjà dû être là. Tu fais quoi mais ce n'est pas comme s'il allait répondre à la relance. Peut-être bien que Jun lui manquait. Elle s'était prise de passion à le rendre dingue ces derniers jours. Trop souvent, aux yeux et aux vues de son frère. Trop souvent, aux dépens de son propre plaisir. Merde... elle devait avouer qu'elle n'en pouvait plus de ses regards qui la dévoraient ; de sa langue qui glissait contre son inférieure lorsqu'elle provoquait en public ; de son érection pressée contre sa cuisse, de ses doigts glissant entre ses cuisses ; souvenirs suaves et brûlants de la nuit passée quand une semaine auparavant, tout avait dérapé.
De façon un peu hasardeuse, elle était allée toquer à sa porte. Sans réponse. Pourtant, il ne serait pas parti en laissant sa moto au garage et ses chaussures étaient restées dans l'entrée de sa maison à elle. Ce n'est pas seulement que Jun prenait ses aises, c'est aussi que Seah s'y était habituée. Et curieusement, elle n'était pas d'humeur à se laisser ignorer ce matin.
Elle avait récupéré le double des clefs de la dépendance. Une violation de domicile bien sommaire pour la brunette qui serait récidiviste depuis le temps qu'elle avait prit cette mauvaise habitude.
L'appartement était silencieux, à peine rangé et qui laissait aisément suggérer que sa mère n'avait pas prévu de faire une descente de flics dans les jours à venir. L'étudiante poussa la porte de sa chambre, la lèvre à sang, coincé entre ses canines par peur de faire trop de bruit. Il dormait, lové au creux de ses draps, un coussin sous le bras et l'une de ses jambes dépassant du matelas.
Seah s'empêcha de rire et avançant dans la pièce, elle récupéra le téléphone du beau brun qu'elle trouva complètement déchargé. Voilà pourquoi il n'avait pas répondu à ses messages. Voilà pourquoi il était là, plus charmant encore que la belle au bois dormant, un lundi matin et l'heure de son réveil complètement dépassée.
Quel idiot. Avec ses conneries, il allait la mettre en retard à son tour.
Foutu pour foutu, un sourire malicieux étira ses lippes. Elle se pencha au-dessus du garçon, soupirant son prénom de sa voix suave et joueuse. Il avait l'air si doux, presque innocent et imperturbable. Presque. Seah se fraya une place à ses côtés, appuyant délicatement sur le matelas sans risquer de le réveiller brusquement. Par-dessus son tee-shirt, ses doigts frôlent sa nuque. Ils glissent dans son dos et caressent sa hanche, s'attardant sur son bas-ventre avec un plaisir cruel. « ...Jun Young-ah, c'est l'heure de se lever » ses lèvres à son oreille dévient contre son épaule nue.
Un peu plus bas, sa main disparaît sous les couvertures ; elle s'aventure, ne faisant qu'effleurer avec innocence la bosse matinale que son boxer ne suffisait pas à cacher.
☆☆☆ Beerus
i want my hands in your hair
Il aurait déjà dû être là. Tu fais quoi mais ce n'est pas comme s'il allait répondre à la relance. Peut-être bien que Jun lui manquait. Elle s'était prise de passion à le rendre dingue ces derniers jours. Trop souvent, aux yeux et aux vues de son frère. Trop souvent, aux dépens de son propre plaisir. Merde... elle devait avouer qu'elle n'en pouvait plus de ses regards qui la dévoraient ; de sa langue qui glissait contre son inférieure lorsqu'elle provoquait en public ; de son érection pressée contre sa cuisse, de ses doigts glissant entre ses cuisses ; souvenirs suaves et brûlants de la nuit passée quand une semaine auparavant, tout avait dérapé.
De façon un peu hasardeuse, elle était allée toquer à sa porte. Sans réponse. Pourtant, il ne serait pas parti en laissant sa moto au garage et ses chaussures étaient restées dans l'entrée de sa maison à elle. Ce n'est pas seulement que Jun prenait ses aises, c'est aussi que Seah s'y était habituée. Et curieusement, elle n'était pas d'humeur à se laisser ignorer ce matin.
Elle avait récupéré le double des clefs de la dépendance. Une violation de domicile bien sommaire pour la brunette qui serait récidiviste depuis le temps qu'elle avait prit cette mauvaise habitude.
L'appartement était silencieux, à peine rangé et qui laissait aisément suggérer que sa mère n'avait pas prévu de faire une descente de flics dans les jours à venir. L'étudiante poussa la porte de sa chambre, la lèvre à sang, coincé entre ses canines par peur de faire trop de bruit. Il dormait, lové au creux de ses draps, un coussin sous le bras et l'une de ses jambes dépassant du matelas.
Seah s'empêcha de rire et avançant dans la pièce, elle récupéra le téléphone du beau brun qu'elle trouva complètement déchargé. Voilà pourquoi il n'avait pas répondu à ses messages. Voilà pourquoi il était là, plus charmant encore que la belle au bois dormant, un lundi matin et l'heure de son réveil complètement dépassée.
Quel idiot. Avec ses conneries, il allait la mettre en retard à son tour.
Foutu pour foutu, un sourire malicieux étira ses lippes. Elle se pencha au-dessus du garçon, soupirant son prénom de sa voix suave et joueuse. Il avait l'air si doux, presque innocent et imperturbable. Presque. Seah se fraya une place à ses côtés, appuyant délicatement sur le matelas sans risquer de le réveiller brusquement. Par-dessus son tee-shirt, ses doigts frôlent sa nuque. Ils glissent dans son dos et caressent sa hanche, s'attardant sur son bas-ventre avec un plaisir cruel. « ...Jun Young-ah, c'est l'heure de se lever » ses lèvres à son oreille dévient contre son épaule nue.
Un peu plus bas, sa main disparaît sous les couvertures ; elle s'aventure, ne faisant qu'effleurer avec innocence la bosse matinale que son boxer ne suffisait pas à cacher.
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Dim 19 Nov - 15:57 
Jun Young était une vraie marmotte. Il faisait partit de cette catégorie de personnes pouvant s’endormir n’importe quand, n’importe où. Pour lui, le sommeil, c’est sacré. C’est pourquoi lorsqu’il se trouve bougon, le visage fermé, à grogner à voix basse, vous pouvez être certain qu’il n’a pas sa dose convenable. C’est aussi pourquoi son entourage sait qu’il ne faut pas le réveiller. A la rigueur, d’une petite sieste, et encore. Alors, ce matin là, comme à son habitude, le basketteur était affalé dans son lit. Une jambe à moitié dans le vide, sa couette sans dessus-dessous et davantage sur le lit que sur lui, il serrait dans un bras un coussin à l’effigie d’un chibi stormtrooper. Faute d’être en plein automne, il portait un marcel ample en plus de son boxer. Il aimait être à l’aise, d’où sa nudité complète en été. Parlez-en à Young Min, et vous aurez de belles anecdotes là-dessus. Dans tous les cas, Jun Young dormait profondément. Son visage était apaisé, et il paraissait même presque innocent, angélique. Sauf qu’en réalité, il était en retard ? Extrêmement en retard. C’était un Lundi, neuf heures passées. Et en temps normal, il devrait être dans un amphi, à rédiger des pages et pages sur la géopolitique. Mais alors pourquoi se retrouvait-il ainsi, à sécher malgré lui ? Et bien faute d’être resté jusqu’à très tard sur son ordinateur à jouer avec ses collègues Byeontae, il était allé se coucher directement, sans prendre la peine de mettre à charger son téléphone, qui s’était lentement mais assurément déchargé. De ce fait, pas de réveil. De ce fait, grasse matinée improvisée.
Plongé en plein sommeil, dans le monde merveilleux de Morphée, il n’entendit pas Seah s’introduire sans accord dans son studio. Bon, certes, en soit il s’agissait plus de chez elle que de chez lui, mais tout de même. Ce qui commença à le tirer de cette situation de plaisir non négligeable, se fut cette sensation à la fois agréable et de chatouilles dans sa nuque. Jun Young était de base sur son flanc, mais sous les caresses de sa cadette, aussi bien de sa main baladeuse que de ses lèvres gourmandes, il se tourna sur le dos en grognant quelque peu. Ne bougeant pas néanmoins plus que cela, il émergea en silence, gardant les yeux fermés. Et ce fut ces doigts sur sa bosse matinale qui le fit réaliser qu’il ne rêvait pas. Qu’est-ce qu’elle faisait donc ?! A quoi est-ce qu’elle jouait, dès le matin ? Hors de question de la repousser, surtout après ce spectacle que Seah lui offrait depuis une semaine, le basketteur attrapa soudainement les hanches de son amie pour l’attirer à lui et l’asseoir sur son bassin, de façon à être parfaitement placée sur son début d’érection. Souriant en coin, et faute de l’avoir collée à lui, il lui susurra à son tour au creux de l’oreille, de sa voix encore légèrement endormie mais terriblement suave : « Bonjour à toi aussi, Seah. ». Et en même temps, ses doigts, sans gêne aucune, glissèrent des hanches jusqu’aux fesses de la demoiselle, venant alors les caresser avec envie. Un jean. Dommage. De ses lèvres, il lui effleura l’oreille, la mâchoire, le cou. Elle avait eût là une bien mauvaise idée…
☆☆☆ Beerus
i want my hands in your hair
Jun Young était une vraie marmotte. Il faisait partit de cette catégorie de personnes pouvant s’endormir n’importe quand, n’importe où. Pour lui, le sommeil, c’est sacré. C’est pourquoi lorsqu’il se trouve bougon, le visage fermé, à grogner à voix basse, vous pouvez être certain qu’il n’a pas sa dose convenable. C’est aussi pourquoi son entourage sait qu’il ne faut pas le réveiller. A la rigueur, d’une petite sieste, et encore. Alors, ce matin là, comme à son habitude, le basketteur était affalé dans son lit. Une jambe à moitié dans le vide, sa couette sans dessus-dessous et davantage sur le lit que sur lui, il serrait dans un bras un coussin à l’effigie d’un chibi stormtrooper. Faute d’être en plein automne, il portait un marcel ample en plus de son boxer. Il aimait être à l’aise, d’où sa nudité complète en été. Parlez-en à Young Min, et vous aurez de belles anecdotes là-dessus. Dans tous les cas, Jun Young dormait profondément. Son visage était apaisé, et il paraissait même presque innocent, angélique. Sauf qu’en réalité, il était en retard ? Extrêmement en retard. C’était un Lundi, neuf heures passées. Et en temps normal, il devrait être dans un amphi, à rédiger des pages et pages sur la géopolitique. Mais alors pourquoi se retrouvait-il ainsi, à sécher malgré lui ? Et bien faute d’être resté jusqu’à très tard sur son ordinateur à jouer avec ses collègues Byeontae, il était allé se coucher directement, sans prendre la peine de mettre à charger son téléphone, qui s’était lentement mais assurément déchargé. De ce fait, pas de réveil. De ce fait, grasse matinée improvisée.
Plongé en plein sommeil, dans le monde merveilleux de Morphée, il n’entendit pas Seah s’introduire sans accord dans son studio. Bon, certes, en soit il s’agissait plus de chez elle que de chez lui, mais tout de même. Ce qui commença à le tirer de cette situation de plaisir non négligeable, se fut cette sensation à la fois agréable et de chatouilles dans sa nuque. Jun Young était de base sur son flanc, mais sous les caresses de sa cadette, aussi bien de sa main baladeuse que de ses lèvres gourmandes, il se tourna sur le dos en grognant quelque peu. Ne bougeant pas néanmoins plus que cela, il émergea en silence, gardant les yeux fermés. Et ce fut ces doigts sur sa bosse matinale qui le fit réaliser qu’il ne rêvait pas. Qu’est-ce qu’elle faisait donc ?! A quoi est-ce qu’elle jouait, dès le matin ? Hors de question de la repousser, surtout après ce spectacle que Seah lui offrait depuis une semaine, le basketteur attrapa soudainement les hanches de son amie pour l’attirer à lui et l’asseoir sur son bassin, de façon à être parfaitement placée sur son début d’érection. Souriant en coin, et faute de l’avoir collée à lui, il lui susurra à son tour au creux de l’oreille, de sa voix encore légèrement endormie mais terriblement suave : « Bonjour à toi aussi, Seah. ». Et en même temps, ses doigts, sans gêne aucune, glissèrent des hanches jusqu’aux fesses de la demoiselle, venant alors les caresser avec envie. Un jean. Dommage. De ses lèvres, il lui effleura l’oreille, la mâchoire, le cou. Elle avait eût là une bien mauvaise idée…
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Lun 20 Nov - 2:21
Elle l'avait déjà réveillé. Plus d'une fois. Tirant sur les couvertures. Claquant les portes. Elle se fichait de sa mauvaise humeur. Elle se fichait de ses grognements. Simplement aujourd'hui, elle avait choisi d'adopter une approche différente. Bien plus douce. Plus agréable. Provocante à son image. Parce qu'en une semaine qu'il n'avait strictement rien fait pour lui sauter dessus, Seah n'en pouvait juste plus. Et sa main chutait dangereusement, frôlant du bout de ses doigts son érection qui, si elle ne lui était pas encore due, ne tarderait pas à l'être.
Quel gâchis de passer son temps à dormir. Le spectacle lui plairait pourtant. Et elle était certaine de ne pas se tromper dans son choix plutôt judicieux ce matin-là. Un soupir passe les lèvres du jeune homme. Et son pouce glissant plus franchement sur le textile de son boxer, Seah donna le coup de grâce qui enfin, le fit réagir.
D'instinct, sa main se fraye un chemin à sa taille et presque trop facilement il vient l'asseoir sur lui, s'assurant une emprise totale sur ses cuisses de part et d'autre de son bassin. L'étudiante sourit. Sa voix est chaude. Grave et prédatrice comme elle l'attendait. Capable de transformer des banalités affligeantes en obscénités sans nom qui tordent son bas-ventre délicieusement et appellent ses hanches au contact de son entrejambe. « Redis-le ? » Elle le lui ordonne dans un murmure. De sa main libre, elle ramène ses cheveux d'un seul et même côté. Ses lèvres frôlant cette fois-ci les siennes, mordillant son inférieure comme si les provocations n'étaient jamais assez suffisantes. « Mon prénom. Comme ça... redis-le. » Elle se redresse et ses mains descendent, posées à plat contre son torse tandis qu'un peu plus bas, son bassin commence à glisser doucement contre le sien, incité par la pression qu’exercent ses mains baladeuses contre ses fesses.
Son sourire innocent ne trompe personne.
Elle veut juste le rendre dingue au point qu'il n'en puisse plus.
☆☆☆ Beerus
i want my hands in your hair
Elle l'avait déjà réveillé. Plus d'une fois. Tirant sur les couvertures. Claquant les portes. Elle se fichait de sa mauvaise humeur. Elle se fichait de ses grognements. Simplement aujourd'hui, elle avait choisi d'adopter une approche différente. Bien plus douce. Plus agréable. Provocante à son image. Parce qu'en une semaine qu'il n'avait strictement rien fait pour lui sauter dessus, Seah n'en pouvait juste plus. Et sa main chutait dangereusement, frôlant du bout de ses doigts son érection qui, si elle ne lui était pas encore due, ne tarderait pas à l'être.
Quel gâchis de passer son temps à dormir. Le spectacle lui plairait pourtant. Et elle était certaine de ne pas se tromper dans son choix plutôt judicieux ce matin-là. Un soupir passe les lèvres du jeune homme. Et son pouce glissant plus franchement sur le textile de son boxer, Seah donna le coup de grâce qui enfin, le fit réagir.
D'instinct, sa main se fraye un chemin à sa taille et presque trop facilement il vient l'asseoir sur lui, s'assurant une emprise totale sur ses cuisses de part et d'autre de son bassin. L'étudiante sourit. Sa voix est chaude. Grave et prédatrice comme elle l'attendait. Capable de transformer des banalités affligeantes en obscénités sans nom qui tordent son bas-ventre délicieusement et appellent ses hanches au contact de son entrejambe. « Redis-le ? » Elle le lui ordonne dans un murmure. De sa main libre, elle ramène ses cheveux d'un seul et même côté. Ses lèvres frôlant cette fois-ci les siennes, mordillant son inférieure comme si les provocations n'étaient jamais assez suffisantes. « Mon prénom. Comme ça... redis-le. » Elle se redresse et ses mains descendent, posées à plat contre son torse tandis qu'un peu plus bas, son bassin commence à glisser doucement contre le sien, incité par la pression qu’exercent ses mains baladeuses contre ses fesses.
Son sourire innocent ne trompe personne.
Elle veut juste le rendre dingue au point qu'il n'en puisse plus.
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Lun 20 Nov - 21:51
Jun Young était à cran ses derniers jours. Pas de colère, oh non. Mais bien de frustration sexuelle. Car depuis son retour du camp d’entraînement, et depuis ce baiser, Seah ne faisait que le chauffer. Il en était persuadé. Il n’était pas fou. Cette façon de se penser devant lui alors qu’elle portait ce micro short de pyjama, ce pied qui longeait son mollet sous la table lorsqu’ils dînaient ensemble, ce regard qui le dévorait dès qu’ils se croisaient ici ou à l’université, cette façon de se lécher les lèvres lorsque de la sauce ou autre se retrouvait dessus. Qu’avait-il donc fait pour mériter une telle torture ? Chaque nuit, il rêvait d’elle. De la toucher, de l’embrasser. De la faire sienne. Seah le hantait, nuit et jour. Le basketteur ne comprenait plus rien. Certes, il n‘avait jamais nié le fait qu’il l’avait toujours trouvé jolie. Attirante même. Mais là… Là, c’était une toute autre histoire.
Evidemment qu’il se réveilla. Comment aurait-il pu en être autrement ? Son membre de plus en plus en éveil, Jun Young finit par l’attirer soudainement sur lui, et ainsi, prendre possession de ses fesses, tout en soufflant d’une voix suave son prénom au creux de son oreille. Ce qui sembla plaire à la demoiselle. Celle-ci finit par se redresser, et commencer à rouler sagement des hanches, leurs bassins entrant alors en friction. Et face à cet acte, les mains du coréen se crispèrent sur les fesses de Seah tandis qu’il ouvrit enfin les yeux, pour encrer son regard dans le sien. Un sourire en coin se dessina alors sur son visage, carnassier. Habilement, et sans difficulté, il se redressa pour finir face à elle, leurs visages bien trop proches. « Tu veux jouer à la grande ce matin, Seah ? ». Et là-dessus, il vint lui déposer de multiples baisers le long de sa mâchoire, jusqu’à descendre dans son cou, allant même jusqu’au creux de ses clavicules. En même temps, ses mains s’attardaient à ouvrir le jean de sa camarade. Sans aucune gêne. Après tout, c’était elle qui venait le sortir de son sommeil en caressant sa bosse matinale. « Tu ne sais pas dans quoi tu t’es embarquée… ». Une fois le vêtement ouvert, les doigts de Jun Young purent reglisser au même endroit, sur ce postérieur si rond, ferme, pour le masser à même la peau nue. Ses lèvres, elles, aspiraient légèrement la peau de la plus jeune, un peu partout, laissant de faibles marques rougies. Il avait tant envie d’elle...
☆☆☆ Beerus
i want my hands in your hair
Jun Young était à cran ses derniers jours. Pas de colère, oh non. Mais bien de frustration sexuelle. Car depuis son retour du camp d’entraînement, et depuis ce baiser, Seah ne faisait que le chauffer. Il en était persuadé. Il n’était pas fou. Cette façon de se penser devant lui alors qu’elle portait ce micro short de pyjama, ce pied qui longeait son mollet sous la table lorsqu’ils dînaient ensemble, ce regard qui le dévorait dès qu’ils se croisaient ici ou à l’université, cette façon de se lécher les lèvres lorsque de la sauce ou autre se retrouvait dessus. Qu’avait-il donc fait pour mériter une telle torture ? Chaque nuit, il rêvait d’elle. De la toucher, de l’embrasser. De la faire sienne. Seah le hantait, nuit et jour. Le basketteur ne comprenait plus rien. Certes, il n‘avait jamais nié le fait qu’il l’avait toujours trouvé jolie. Attirante même. Mais là… Là, c’était une toute autre histoire.
Evidemment qu’il se réveilla. Comment aurait-il pu en être autrement ? Son membre de plus en plus en éveil, Jun Young finit par l’attirer soudainement sur lui, et ainsi, prendre possession de ses fesses, tout en soufflant d’une voix suave son prénom au creux de son oreille. Ce qui sembla plaire à la demoiselle. Celle-ci finit par se redresser, et commencer à rouler sagement des hanches, leurs bassins entrant alors en friction. Et face à cet acte, les mains du coréen se crispèrent sur les fesses de Seah tandis qu’il ouvrit enfin les yeux, pour encrer son regard dans le sien. Un sourire en coin se dessina alors sur son visage, carnassier. Habilement, et sans difficulté, il se redressa pour finir face à elle, leurs visages bien trop proches. « Tu veux jouer à la grande ce matin, Seah ? ». Et là-dessus, il vint lui déposer de multiples baisers le long de sa mâchoire, jusqu’à descendre dans son cou, allant même jusqu’au creux de ses clavicules. En même temps, ses mains s’attardaient à ouvrir le jean de sa camarade. Sans aucune gêne. Après tout, c’était elle qui venait le sortir de son sommeil en caressant sa bosse matinale. « Tu ne sais pas dans quoi tu t’es embarquée… ». Une fois le vêtement ouvert, les doigts de Jun Young purent reglisser au même endroit, sur ce postérieur si rond, ferme, pour le masser à même la peau nue. Ses lèvres, elles, aspiraient légèrement la peau de la plus jeune, un peu partout, laissant de faibles marques rougies. Il avait tant envie d’elle...
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Mar 21 Nov - 15:03
Elle jouait avec lui. Est-ce qu'elle s'amusait ? Rien de ce qu'elle faisait ne répondait d'un acte purement innocent. Dans sa façon de se pencher à l'avant lorsqu'elle faisait mine de chercher quelque chose. Dans ses manières suggestives de mordre dans sa lèvre pour le déstabiliser au milieu d'une conversation. Ses fesses avaient frôlé son jean à de trop nombreuses reprises pour n'être qu'une simple coïncidence. A présent, son bassin ondulait contre le sien. Et l'effet qu'elle lui faisait surpassait de loin tout ce qu'elle avait imaginé dans ses fantasmes les plus fous. Le fait est qu’elle adorait ses traits du matin agréablement éveillés, ses yeux qui la déshabillaient sans même la toucher et ses mains qui, accrochées à ses cuisses, lui faisaient rapidement comprendre que là, si elle voulait s’enfuir, tout de suite… c’était peine perdue.
Il se redressa et la plus jeune suivit son impatience. Elle faufile ses bras autour de son cou, caresse sa nuque du bout des ongles et redescends en caresse le long de ses bras nus. Toutes ces heures à s’entraîner avaient eu raison de la sculpture quasi-parfaite de son corps et les courbes de ses biceps se dessinaient si délicieusement sous la pulpe de ses doigts qu’elle savait qu’elle ne pourrait s’en satisfaire.
Les mouvements de son bassin s’étaient arrêtés à cet instant. Elle appréciait les baisers qu’il déposait dans son cou, à la naissance de ses clavicules et qui ne faisaient que chuter en flèche à sa poitrine. Plus bas, elle l’exigeait en silence mais il s’était arrêté. Un simple soupir franchit la barrière de ses lèvres. Frustration agacée qui devait également lui laisser comprendre à quel point il s’y prenait bien.
Son regard suivit ses mains qui s’appliquaient à ouvrir son jean. Il tira sur la fermeture avec une nonchalance qui tordait son bas-ventre, sa paume au contact de sa peau nue glissant sous ses vêtements, ignorant la barrière de son sous-vêtement pour venir palper ses fesses. Il ravage sa peau de baisers éphémères. Elle est certaine que cette fois-ci, il laissera des traces de son passage dans son cou.
Elle savait dans quoi elle s’était embarquée. Quelque chose de mauvais. De pas forcément raisonnable. Quelque chose qui allait tout changer entre eux et peut-être même quelque chose qui finirait par les perdre. Mais toutes ces considérations étaient occultées par ses mains pressées à ses hanches qui l’urgeait de continuer à onduler au-dessus de son entrejambe et de ne surtout pas le laisser tomber maintenant.
Et elle lui obéissait. Pas parce que lui le réclamait mais parce que son corps à elle le réclamait aussi. Elle avait besoin de plus d’insistance et de davantage d’envergure que lui pour sentir son érection contre son centre. Sa plus grossière erreur avait été de mettre un jean… il n’avait pas besoin de la frustrer de ses baisers brûlants et de sa voix chaudement érotique. Elle parvenait très bien à se frustrer seule, avec ses propres choix.
Son index glissa sous le menton du garçon et elle amena ses lèvres à quelques centimètres des siennes. Son souffle altéré s’écrasait contre sa peau. Elle frôlait sa bouche sans jamais céder et putain, ce que ça lui faisait du mal de se retenir autant. Elle n’avait jamais été aussi patiente… pensait-il vraiment qu’elle ne savait pas dans quoi elle s’était engagée ? Son pouce glissa sur son inférieure tandis qu’elle souriait.
Sa main libre remonta le long de son corps. Elle glissait depuis son ventre et soulevait « par inadvertance » le bas de sa chemise jusqu’à sa poitrine couverte. Elle pencha doucement la tête sur le côté, ses longs cheveux chatouillant l’avant-bras du garçon. Un sourire naissant à la commissure de ses lèvres, elle glissa ses doigts entre les boutons du textile qu’elle ouvrit d’un toucher velours. Un premier… et puis un deuxième… en révélant assez pour mettre à nue ses intentions sans se mettre à nue complètement.
Sa langue glissa contre sa lèvre, de cette même manière dont Jun Young avait été à de trop nombreuses reprises le témoin, ces derniers jours. Elle releva le menton pour le regarder et soupira « et là… tu penses toujours que je ne sais pas dans quoi je m’embarque ? »
Elle n'exerçait plus aucune friction avec son bassin en s'en amusait beaucoup.
Est-ce qu'il tenait vraiment à ce qu'elle le laisse se préparer pour ne pas louper une heure de cours supplémentaire ?
☆☆☆ Beerus
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Elle jouait avec lui. Est-ce qu'elle s'amusait ? Rien de ce qu'elle faisait ne répondait d'un acte purement innocent. Dans sa façon de se pencher à l'avant lorsqu'elle faisait mine de chercher quelque chose. Dans ses manières suggestives de mordre dans sa lèvre pour le déstabiliser au milieu d'une conversation. Ses fesses avaient frôlé son jean à de trop nombreuses reprises pour n'être qu'une simple coïncidence. A présent, son bassin ondulait contre le sien. Et l'effet qu'elle lui faisait surpassait de loin tout ce qu'elle avait imaginé dans ses fantasmes les plus fous. Le fait est qu’elle adorait ses traits du matin agréablement éveillés, ses yeux qui la déshabillaient sans même la toucher et ses mains qui, accrochées à ses cuisses, lui faisaient rapidement comprendre que là, si elle voulait s’enfuir, tout de suite… c’était peine perdue.
Il se redressa et la plus jeune suivit son impatience. Elle faufile ses bras autour de son cou, caresse sa nuque du bout des ongles et redescends en caresse le long de ses bras nus. Toutes ces heures à s’entraîner avaient eu raison de la sculpture quasi-parfaite de son corps et les courbes de ses biceps se dessinaient si délicieusement sous la pulpe de ses doigts qu’elle savait qu’elle ne pourrait s’en satisfaire.
Les mouvements de son bassin s’étaient arrêtés à cet instant. Elle appréciait les baisers qu’il déposait dans son cou, à la naissance de ses clavicules et qui ne faisaient que chuter en flèche à sa poitrine. Plus bas, elle l’exigeait en silence mais il s’était arrêté. Un simple soupir franchit la barrière de ses lèvres. Frustration agacée qui devait également lui laisser comprendre à quel point il s’y prenait bien.
Son regard suivit ses mains qui s’appliquaient à ouvrir son jean. Il tira sur la fermeture avec une nonchalance qui tordait son bas-ventre, sa paume au contact de sa peau nue glissant sous ses vêtements, ignorant la barrière de son sous-vêtement pour venir palper ses fesses. Il ravage sa peau de baisers éphémères. Elle est certaine que cette fois-ci, il laissera des traces de son passage dans son cou.
Elle savait dans quoi elle s’était embarquée. Quelque chose de mauvais. De pas forcément raisonnable. Quelque chose qui allait tout changer entre eux et peut-être même quelque chose qui finirait par les perdre. Mais toutes ces considérations étaient occultées par ses mains pressées à ses hanches qui l’urgeait de continuer à onduler au-dessus de son entrejambe et de ne surtout pas le laisser tomber maintenant.
Et elle lui obéissait. Pas parce que lui le réclamait mais parce que son corps à elle le réclamait aussi. Elle avait besoin de plus d’insistance et de davantage d’envergure que lui pour sentir son érection contre son centre. Sa plus grossière erreur avait été de mettre un jean… il n’avait pas besoin de la frustrer de ses baisers brûlants et de sa voix chaudement érotique. Elle parvenait très bien à se frustrer seule, avec ses propres choix.
Son index glissa sous le menton du garçon et elle amena ses lèvres à quelques centimètres des siennes. Son souffle altéré s’écrasait contre sa peau. Elle frôlait sa bouche sans jamais céder et putain, ce que ça lui faisait du mal de se retenir autant. Elle n’avait jamais été aussi patiente… pensait-il vraiment qu’elle ne savait pas dans quoi elle s’était engagée ? Son pouce glissa sur son inférieure tandis qu’elle souriait.
Sa main libre remonta le long de son corps. Elle glissait depuis son ventre et soulevait « par inadvertance » le bas de sa chemise jusqu’à sa poitrine couverte. Elle pencha doucement la tête sur le côté, ses longs cheveux chatouillant l’avant-bras du garçon. Un sourire naissant à la commissure de ses lèvres, elle glissa ses doigts entre les boutons du textile qu’elle ouvrit d’un toucher velours. Un premier… et puis un deuxième… en révélant assez pour mettre à nue ses intentions sans se mettre à nue complètement.
Sa langue glissa contre sa lèvre, de cette même manière dont Jun Young avait été à de trop nombreuses reprises le témoin, ces derniers jours. Elle releva le menton pour le regarder et soupira « et là… tu penses toujours que je ne sais pas dans quoi je m’embarque ? »
Elle n'exerçait plus aucune friction avec son bassin en s'en amusait beaucoup.
Est-ce qu'il tenait vraiment à ce qu'elle le laisse se préparer pour ne pas louper une heure de cours supplémentaire ?
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Mar 21 Nov - 16:15
Jun Young ne comprenait absolument rien de ce qu’il se passait. Aussi bien ce jour là que depuis son retour du camp. Comment se faisait-il que Seah soit ainsi avec lui ? Etait-ce pas simple manque de sexe ? Ou bien lui avait-il tant manqué qu’elle eut une révélation ? Il ne savait pas ce qu’il se tramait dans sa petite tête, mais il comptait bien en profiter. Qui serait assez fou pour refuser les avances bien plus qu’équivoques d’une aussi belle jeune femme ? Pas lui en tout cas. Alors certes, il avait conscience que franchir ce cap allait tout changer entre eux. Ils avaient beaux jouer les faux amoureux devant la mère de Seah, là, c’était une toute autre histoire. Ils étaient tout de même colocataires, et le plus important, lui vivait chez Seyong. Le frère de sa possible future partenaire. Mais qu’importe. Ce n’était ni l’endroit et encore moins le moment de penser à tout cela.
Occupé à déposer de multiples baisers sur sa peau nacrée, un léger grognement quitta Jun Young quand sa cadette lui redressa le visage, pour de nouveau le frustrer avec leurs lèvres si proches et si éloignés à la fois. Sa fierté et son égo l’empêchaient de lui arracher ce baiser pourtant si désiré, des deux côtés, il en était persuadé. Ses mains toujours prises à épouser les formes des fesses de Seah, sous ce sous-vêtement qui n’était qu’un barrage frustrant, tout comme son congénère le jean, les yeux du basketteur se mirent à suivre les doigts de l’étudiante, qui déboutonnait sa chemise avec une lenteur interdite. Sauf que la patience et Jun Young ne faisaient pas bon mariage. Alors, il finit par quitter cet endroit pourtant si agréable qu’était le postérieure de la belle pour venir tirer sur les pans de ce chandail, faisant sauter les boutons sans aucun remord. Et en même temps, il craqua. Il se jeta sur cette bouche si attirante, si désirable, pour un baiser des plus enflammés. Sans quitter ses lèvres, leurs langues bien trop occupées dans une valse sensuelle, il jeta au loin la chemise de Seah, et ses grandes mains se posèrent dans son dos, sur cette peau déjà si chaude.
D’un geste naturel, il l’aida à se redresser, pour qu’elle soit sur les genoux, et ainsi sa bouche dériva. Des lèvres au menton, au cou, aux clavicules et au commencement de la poitrine de sa fausse petite-amie. Il embrassa, mordilla même légèrement le haut de ses bosses si bien mises en valeur par ce soutien-gorge qui n’allait pas faire long feu. Jun Young ne disait plus un mot. Pas le temps. Pas l’envie. Ses doigts découvraient les courbes de la fille No, lentement, langoureusement, comme pour ancrer ce contact dans sa mémoire. Il finit même par lui baisser ce jean pour avoir accès à ses cuisses, l’envoyant lui aussi rejoindre l’autre vêtement. Pourquoi diable s’était-elle habillée ?!
☆☆☆ Beerus
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Jun Young ne comprenait absolument rien de ce qu’il se passait. Aussi bien ce jour là que depuis son retour du camp. Comment se faisait-il que Seah soit ainsi avec lui ? Etait-ce pas simple manque de sexe ? Ou bien lui avait-il tant manqué qu’elle eut une révélation ? Il ne savait pas ce qu’il se tramait dans sa petite tête, mais il comptait bien en profiter. Qui serait assez fou pour refuser les avances bien plus qu’équivoques d’une aussi belle jeune femme ? Pas lui en tout cas. Alors certes, il avait conscience que franchir ce cap allait tout changer entre eux. Ils avaient beaux jouer les faux amoureux devant la mère de Seah, là, c’était une toute autre histoire. Ils étaient tout de même colocataires, et le plus important, lui vivait chez Seyong. Le frère de sa possible future partenaire. Mais qu’importe. Ce n’était ni l’endroit et encore moins le moment de penser à tout cela.
Occupé à déposer de multiples baisers sur sa peau nacrée, un léger grognement quitta Jun Young quand sa cadette lui redressa le visage, pour de nouveau le frustrer avec leurs lèvres si proches et si éloignés à la fois. Sa fierté et son égo l’empêchaient de lui arracher ce baiser pourtant si désiré, des deux côtés, il en était persuadé. Ses mains toujours prises à épouser les formes des fesses de Seah, sous ce sous-vêtement qui n’était qu’un barrage frustrant, tout comme son congénère le jean, les yeux du basketteur se mirent à suivre les doigts de l’étudiante, qui déboutonnait sa chemise avec une lenteur interdite. Sauf que la patience et Jun Young ne faisaient pas bon mariage. Alors, il finit par quitter cet endroit pourtant si agréable qu’était le postérieure de la belle pour venir tirer sur les pans de ce chandail, faisant sauter les boutons sans aucun remord. Et en même temps, il craqua. Il se jeta sur cette bouche si attirante, si désirable, pour un baiser des plus enflammés. Sans quitter ses lèvres, leurs langues bien trop occupées dans une valse sensuelle, il jeta au loin la chemise de Seah, et ses grandes mains se posèrent dans son dos, sur cette peau déjà si chaude.
D’un geste naturel, il l’aida à se redresser, pour qu’elle soit sur les genoux, et ainsi sa bouche dériva. Des lèvres au menton, au cou, aux clavicules et au commencement de la poitrine de sa fausse petite-amie. Il embrassa, mordilla même légèrement le haut de ses bosses si bien mises en valeur par ce soutien-gorge qui n’allait pas faire long feu. Jun Young ne disait plus un mot. Pas le temps. Pas l’envie. Ses doigts découvraient les courbes de la fille No, lentement, langoureusement, comme pour ancrer ce contact dans sa mémoire. Il finit même par lui baisser ce jean pour avoir accès à ses cuisses, l’envoyant lui aussi rejoindre l’autre vêtement. Pourquoi diable s’était-elle habillée ?!
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Mer 22 Nov - 2:09
Seah ne jouait pas seulement avec la patience du jeune homme, elle en disposait et en abusait avec une maîtrise cruelle. Chacun de ses mouvements n’avait pour seul et unique but que de le rendre dingue… au détriment de son chemisier qui finirait ses jours dans un coin de sa chambre. C’était sans doute ça que l’on appelait le point de non-retour.
Ses lèvres s’écrasèrent sur les siennes avec force et elle manqua de perdre l’équilibre si ses bras n’avaient pas été là pour la rattraper et encercler sa taille fine. L’étudiante appuyait ses avant-bras sur les épaules du garçon, ravageant ses lèvres et pressant son corps contre le sien. Son jean glissait sur ses fesses. Il descendait le long de ses cuisses et sans que Jun n’ait besoin de le lui demander, elle aida à s’en débarrasser ; peu importe où il avait atterri.
A présent que sa poitrine était exposée à son regard prédateur, elle frissonnait de l’y sentir déposer ses lèvres, lui qui frôlait sans relâche la dernière pièce en dentelle noire qui la couvrait, embrassant, mordillant et suçotant sa peau brûlante. Seuls quelques soupirs franchissaient la barrière de ses lèvres et elle souriait de le voir prendre ses marques si rapidement.
Et puis elle l’arrêta.
Elle retira son tee-shirt et l’envoya au pied du lit sans le quitter des yeux. Ses épaules larges, sa musculature fine et la peau lisse de son torse. Rien qu’avec ça elle aurait pu satisfaire un fantasme et s’envoyer en l’air sur ses cuisses musclées. Elle le dévorait purement et simplement du regard mais bordel… ça se voyait qu’elle crevait d’envie de laisser courir ses mains dessus et pas que.
D’un geste, elle l’incita à se rallonger et laissant glisser les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules, elle se pencha à l’avant et embrassa ses lèvres puis son cou. Elle glissait des baisers papillons sur son torse, poursuivant toujours plus lentement sa course vers son bas-ventre où elle déposait des baisers chauds et mouillés. En même temps qu’elle procédait, ses yeux le cherchait. Elle voulait être certaine qu’il témoigne de ce qu’elle était entrain de faire et qu’il n’en manque pas une miette. Délibérément, elle fit glisser le bout de sa langue à la frontière de son boxer. Et tirant sur le tissu, elle libéra son membre tendu, ramenant ses cheveux d’un seul et même côté avant qu’elle ne vienne donner un premier coup de langue sur son érection.
☆☆☆ Beerus
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Seah ne jouait pas seulement avec la patience du jeune homme, elle en disposait et en abusait avec une maîtrise cruelle. Chacun de ses mouvements n’avait pour seul et unique but que de le rendre dingue… au détriment de son chemisier qui finirait ses jours dans un coin de sa chambre. C’était sans doute ça que l’on appelait le point de non-retour.
Ses lèvres s’écrasèrent sur les siennes avec force et elle manqua de perdre l’équilibre si ses bras n’avaient pas été là pour la rattraper et encercler sa taille fine. L’étudiante appuyait ses avant-bras sur les épaules du garçon, ravageant ses lèvres et pressant son corps contre le sien. Son jean glissait sur ses fesses. Il descendait le long de ses cuisses et sans que Jun n’ait besoin de le lui demander, elle aida à s’en débarrasser ; peu importe où il avait atterri.
A présent que sa poitrine était exposée à son regard prédateur, elle frissonnait de l’y sentir déposer ses lèvres, lui qui frôlait sans relâche la dernière pièce en dentelle noire qui la couvrait, embrassant, mordillant et suçotant sa peau brûlante. Seuls quelques soupirs franchissaient la barrière de ses lèvres et elle souriait de le voir prendre ses marques si rapidement.
Et puis elle l’arrêta.
Elle retira son tee-shirt et l’envoya au pied du lit sans le quitter des yeux. Ses épaules larges, sa musculature fine et la peau lisse de son torse. Rien qu’avec ça elle aurait pu satisfaire un fantasme et s’envoyer en l’air sur ses cuisses musclées. Elle le dévorait purement et simplement du regard mais bordel… ça se voyait qu’elle crevait d’envie de laisser courir ses mains dessus et pas que.
D’un geste, elle l’incita à se rallonger et laissant glisser les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules, elle se pencha à l’avant et embrassa ses lèvres puis son cou. Elle glissait des baisers papillons sur son torse, poursuivant toujours plus lentement sa course vers son bas-ventre où elle déposait des baisers chauds et mouillés. En même temps qu’elle procédait, ses yeux le cherchait. Elle voulait être certaine qu’il témoigne de ce qu’elle était entrain de faire et qu’il n’en manque pas une miette. Délibérément, elle fit glisser le bout de sa langue à la frontière de son boxer. Et tirant sur le tissu, elle libéra son membre tendu, ramenant ses cheveux d’un seul et même côté avant qu’elle ne vienne donner un premier coup de langue sur son érection.
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Mer 22 Nov - 21:13
Jun Young avait lâché prise. Plus rien ne pourrait le faire revenir en arrière. Le carnassier en lui était libéré, et il comptait bien dévorer Seah sans en laisser la moindre miette. D’autant plus que cette dernière ne semblait pas être en train de lui jouer un mauvais tour. Car, n’allons pas vous le cacher, il avait cru à une blague de mauvais goût quelques instants. Après tout, elle lui en avait fait des crasses durant ces mois passés ensemble. Alors une de plus, certes, à caractère érotique, ne l’aurait pas étonné. Cependant, c’était trop tard. Maintenant qu’elle se retrouvait sous ses mains, à moitié nue, il ne comptait pas la laisser quitter cette chambre de si tôt. Alors, Jun Young se concentrait. Il observait, écoutait, chacunes de ses réactions, pour continuer sans cesse de lui arracher ces chauds soupires qui le rendaient fou. Si elle s’était amusée toute cette semaine à lui retourner le cerveau, le jeune homme comptait bien lui rendre la pareille. Son statut de mâle en dépendait.
Il appréciait bien plus qu’il ne l’aurait pensé le corps de Seah. Il avait beau l’avoir vu plusieurs fois, parfaitement nu même, mais l’avoir à disposition, sous ses doigts et sous ses lèvres, c’était une toute autre histoire. Ses courbes étaient élégantes et féminines, sa peau douce et délicieuse. C’est pourquoi il découvrait chaque parcelle de son corps avec attention. Mais soudain, Jun Young fut coupé dans son élan. Clignant des yeux, il comprit néanmoins bien vite et leva les bras pour aider sa cadette à lui retirer son tshirt. Un sourire de satisfaction au visage, le basketteur s’allongea volontiers sur son lit, glissant habilement un oreiller sous sa tête. Il répondit avec cette même sensualité à son baiser, ses mains se perdant dans la chevelure ébène de Seah. Puis, lorsque les lèvres de la plus jeune partirent à l’aventure, il ferma les yeux. Pour profiter. Sa peau brûlante frissonnait sous les attentions de la demoiselle, et ses muscles se contractaient, faisant alors ressortir davantage ses muscles déjà bien saillants. Et puis, elle arriva à cet endroit fatidique.
Se mordillant la lèvre inférieure, Jun Young reposa son regard sur elle, qui s’amusait à frustrer encore plus cette érection déjà bien présente. Et lors du premier coup de langue sur son membre, un grognement quitta sa bouche pourtant fermée. Ses doigts se crispèrent dans les cheveux de la brune, et en douceur, il l’incita, l’invita à le prendre en bouche. Ce fut alors les meilleurs secondes, minutes peut-être même depuis des lustres. Elle était terriblement douée cette garce. Des grognements toujours plus rauques accompagnaient ses roulements de hanches. « P’tain… ». Il ne voulait pas se libérer. Pas maintenant. Pas ainsi. Si jouir dans la bouche des femmes s’avérait être un fantasme de beaucoup d’homme, l’étudiant lui n’y trouvait aucun plaisir. Bien au contraire, il trouvait même cela rabaissant. Alors, gentiment, il lui redressa le visage, et, tout en faisant attention à elle, inversa leur position.
Venant de suite capturer cette bouche dont il était désormais accro, il termina de se mettre nu avant de lui virer son soutien-gorge. Sa langue entreprit un parcours. Lèvres, menton, cou, clavicule, seins. En accord avec ses doigts, elle donnait du plaisir à ces perles de chair rosées, qui ne demandaient qu’à être dévorées. Il suçotait, léchait, mordillait. Son corps se mouvait quelque peu contre celui de Seah, juste assez pour continuer d’entretenir cette excitation. Et puis, il reprit cette route, déposant de multiples baisers ici et là, ses mains glissant aux cuisses de sa camarade. De ses dents, il attrapa le bord de son dernier tissu, et lentement, le regard ancré dans le sien, il recula, pour le faire glisser le long de ses fines jambes. Son regard brillait d’une luxure sans pareille. Il avait faim. Bien trop faim.
☆☆☆ Beerus
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Jun Young avait lâché prise. Plus rien ne pourrait le faire revenir en arrière. Le carnassier en lui était libéré, et il comptait bien dévorer Seah sans en laisser la moindre miette. D’autant plus que cette dernière ne semblait pas être en train de lui jouer un mauvais tour. Car, n’allons pas vous le cacher, il avait cru à une blague de mauvais goût quelques instants. Après tout, elle lui en avait fait des crasses durant ces mois passés ensemble. Alors une de plus, certes, à caractère érotique, ne l’aurait pas étonné. Cependant, c’était trop tard. Maintenant qu’elle se retrouvait sous ses mains, à moitié nue, il ne comptait pas la laisser quitter cette chambre de si tôt. Alors, Jun Young se concentrait. Il observait, écoutait, chacunes de ses réactions, pour continuer sans cesse de lui arracher ces chauds soupires qui le rendaient fou. Si elle s’était amusée toute cette semaine à lui retourner le cerveau, le jeune homme comptait bien lui rendre la pareille. Son statut de mâle en dépendait.
Il appréciait bien plus qu’il ne l’aurait pensé le corps de Seah. Il avait beau l’avoir vu plusieurs fois, parfaitement nu même, mais l’avoir à disposition, sous ses doigts et sous ses lèvres, c’était une toute autre histoire. Ses courbes étaient élégantes et féminines, sa peau douce et délicieuse. C’est pourquoi il découvrait chaque parcelle de son corps avec attention. Mais soudain, Jun Young fut coupé dans son élan. Clignant des yeux, il comprit néanmoins bien vite et leva les bras pour aider sa cadette à lui retirer son tshirt. Un sourire de satisfaction au visage, le basketteur s’allongea volontiers sur son lit, glissant habilement un oreiller sous sa tête. Il répondit avec cette même sensualité à son baiser, ses mains se perdant dans la chevelure ébène de Seah. Puis, lorsque les lèvres de la plus jeune partirent à l’aventure, il ferma les yeux. Pour profiter. Sa peau brûlante frissonnait sous les attentions de la demoiselle, et ses muscles se contractaient, faisant alors ressortir davantage ses muscles déjà bien saillants. Et puis, elle arriva à cet endroit fatidique.
Se mordillant la lèvre inférieure, Jun Young reposa son regard sur elle, qui s’amusait à frustrer encore plus cette érection déjà bien présente. Et lors du premier coup de langue sur son membre, un grognement quitta sa bouche pourtant fermée. Ses doigts se crispèrent dans les cheveux de la brune, et en douceur, il l’incita, l’invita à le prendre en bouche. Ce fut alors les meilleurs secondes, minutes peut-être même depuis des lustres. Elle était terriblement douée cette garce. Des grognements toujours plus rauques accompagnaient ses roulements de hanches. « P’tain… ». Il ne voulait pas se libérer. Pas maintenant. Pas ainsi. Si jouir dans la bouche des femmes s’avérait être un fantasme de beaucoup d’homme, l’étudiant lui n’y trouvait aucun plaisir. Bien au contraire, il trouvait même cela rabaissant. Alors, gentiment, il lui redressa le visage, et, tout en faisant attention à elle, inversa leur position.
Venant de suite capturer cette bouche dont il était désormais accro, il termina de se mettre nu avant de lui virer son soutien-gorge. Sa langue entreprit un parcours. Lèvres, menton, cou, clavicule, seins. En accord avec ses doigts, elle donnait du plaisir à ces perles de chair rosées, qui ne demandaient qu’à être dévorées. Il suçotait, léchait, mordillait. Son corps se mouvait quelque peu contre celui de Seah, juste assez pour continuer d’entretenir cette excitation. Et puis, il reprit cette route, déposant de multiples baisers ici et là, ses mains glissant aux cuisses de sa camarade. De ses dents, il attrapa le bord de son dernier tissu, et lentement, le regard ancré dans le sien, il recula, pour le faire glisser le long de ses fines jambes. Son regard brillait d’une luxure sans pareille. Il avait faim. Bien trop faim.
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Jeu 23 Nov - 0:01
La vue lui plaît. Elle mordille dans sa lèvre avant qu'elle ne vienne donner un premier coup de langue sur son érection, puis un deuxième, un troisième. Et quand enfin il n'en peut plus, qu'elle le sent tendu et près à se redresser pour la faire cesser de jouer, elle vient le prendre en bouche. Elle entame des vas-et-viens. Lentement. Elle s'applique et donne de l'amplitude à ses mouvements, chaque fois allant un peu plus loin, un peu plus profond et ne s'arrêtant sous aucun prétexte tant ses râles et ses soupirs rauques lui donnent la satisfaction de bien faire. Elle suit le mouvement que sa main fermement agrippée à sa chevelure lui impose. Ses hanches roulaient sous ses plaisirs et obligeaient Seah à le prendre en profondeur, sa gorge brûlante et pourtant elle ne disait rien. Elle aimait l'effet qu'elle lui faisait. Elle aimait ça autant que de prendre son pied parce qu'elle le voyait vulnérable et à sa merci ; et tout rien que par sa faute. Elle amena sa main à la base de sa virilité et répéta les mêmes mouvements que sa bouche connaissait à présent par coeur. Plus les minutes passaient et plus elle sentait qu'il était proche de la délivrance. Si bien qu'avant de craquer, sa main glissa sous son menton et il l'incita à se redresser, ne lui laissant guère le choix que d'inverser les positions.
Elle se laisse retomber sur les couvertures, son pouce essuyant le coin de sa bouche et sa langue glissant de façon provocante sur ses lèvres imprégnées. Elle l'embrassait, soupirant contre sa peau, le laissant lui retirer son soutien-gorge. Il dévia, sa langue glissant suivant un parcours prometteur. Il descend ses baisers contre sa poitrine, ses lèvres chaudes et humides arrachant un soupir que cette fois-ci, Seah eut beaucoup de mal à dissimuler. Son dos se cambrait chaque fois que sa langue glissait sur ses tétons durcis de plaisir. Elle avait besoin de sentir son corps contre le sien, sa chaleur et juste, tout simplement, cette putain de satisfaction qu'elle avait de le savoir rien qu'à elle à ce moment.
Il retira son dernier sous-vêtement du bout des dents, vision purement érotique qui tordit son bas ventre de plaisir. « Putain, Jun » gronda-t-elle en proie à une sévère impatience. Est-ce qu’il était entrain de lui faire payer ? Elle le regarda disparaître entre ses cuisses et lui faire du bien avec sa langue. A cet instant, Seah n’était plus que soupirs et gémissements, ses mains agrippant les draps défaits, échouant lamentablement à contrôler son souffle qui s’emballait alors qu’il léchait, suçotait et mordillait en l’en faire soupirer d’aise. Son bassin se soulevait chaque fois qu’il touchait un point sensible. Il était doué, elle le comprenait à présent.
Et tout ça lui donnait envie d’en découvrir davantage, d’arrêter le foreplay et de passer aux choses sérieuses. « Jun-ah… » son prénom glissa entre ses lèvres, encore plus désespéré qu’elle ne l’aurait imaginé. « Maintenant » elle commanda avec un semblant de lucidité, avant qu’il n’ait l’idée de la faire venir la première avec sa langue et ses doigts qui faisaient des merveilles.
Elle avait envie de lui.
☆☆☆ Beerus
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La vue lui plaît. Elle mordille dans sa lèvre avant qu'elle ne vienne donner un premier coup de langue sur son érection, puis un deuxième, un troisième. Et quand enfin il n'en peut plus, qu'elle le sent tendu et près à se redresser pour la faire cesser de jouer, elle vient le prendre en bouche. Elle entame des vas-et-viens. Lentement. Elle s'applique et donne de l'amplitude à ses mouvements, chaque fois allant un peu plus loin, un peu plus profond et ne s'arrêtant sous aucun prétexte tant ses râles et ses soupirs rauques lui donnent la satisfaction de bien faire. Elle suit le mouvement que sa main fermement agrippée à sa chevelure lui impose. Ses hanches roulaient sous ses plaisirs et obligeaient Seah à le prendre en profondeur, sa gorge brûlante et pourtant elle ne disait rien. Elle aimait l'effet qu'elle lui faisait. Elle aimait ça autant que de prendre son pied parce qu'elle le voyait vulnérable et à sa merci ; et tout rien que par sa faute. Elle amena sa main à la base de sa virilité et répéta les mêmes mouvements que sa bouche connaissait à présent par coeur. Plus les minutes passaient et plus elle sentait qu'il était proche de la délivrance. Si bien qu'avant de craquer, sa main glissa sous son menton et il l'incita à se redresser, ne lui laissant guère le choix que d'inverser les positions.
Elle se laisse retomber sur les couvertures, son pouce essuyant le coin de sa bouche et sa langue glissant de façon provocante sur ses lèvres imprégnées. Elle l'embrassait, soupirant contre sa peau, le laissant lui retirer son soutien-gorge. Il dévia, sa langue glissant suivant un parcours prometteur. Il descend ses baisers contre sa poitrine, ses lèvres chaudes et humides arrachant un soupir que cette fois-ci, Seah eut beaucoup de mal à dissimuler. Son dos se cambrait chaque fois que sa langue glissait sur ses tétons durcis de plaisir. Elle avait besoin de sentir son corps contre le sien, sa chaleur et juste, tout simplement, cette putain de satisfaction qu'elle avait de le savoir rien qu'à elle à ce moment.
Il retira son dernier sous-vêtement du bout des dents, vision purement érotique qui tordit son bas ventre de plaisir. « Putain, Jun » gronda-t-elle en proie à une sévère impatience. Est-ce qu’il était entrain de lui faire payer ? Elle le regarda disparaître entre ses cuisses et lui faire du bien avec sa langue. A cet instant, Seah n’était plus que soupirs et gémissements, ses mains agrippant les draps défaits, échouant lamentablement à contrôler son souffle qui s’emballait alors qu’il léchait, suçotait et mordillait en l’en faire soupirer d’aise. Son bassin se soulevait chaque fois qu’il touchait un point sensible. Il était doué, elle le comprenait à présent.
Et tout ça lui donnait envie d’en découvrir davantage, d’arrêter le foreplay et de passer aux choses sérieuses. « Jun-ah… » son prénom glissa entre ses lèvres, encore plus désespéré qu’elle ne l’aurait imaginé. « Maintenant » elle commanda avec un semblant de lucidité, avant qu’il n’ait l’idée de la faire venir la première avec sa langue et ses doigts qui faisaient des merveilles.
Elle avait envie de lui.
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Re: i want my hands in your hair ☾ jun young [+18] | Jeu 23 Nov - 21:55
Jun Young avait un tableau de chasse relativement bien remplit. Ce n’était pas de la vantardise, juste un fait réel, qu’il assumait complètement. Il aimait les femmes, et le sexe. De ce fait, il avait connu un grand nombre d’expériences toutes plus folles voir improbables parfois. Pourtant. Pourtant jamais il n’avait ressentit une telle fougue, une telle envie pour une demoiselle. Il désirait Seah comme jamais. Etait-ce cette abstinence non voulue qui le rendait ainsi ? Non. Au fond de lui, il savait très bien que depuis le début, son regard envers sa cadette n’avait jamais été totalement amical, ou du moins, chaste. Il faut dire qu’elle était complètement son genre. Pile dans ce qu’il aimait. Fine, féminine, de longs cheveux ébène, avec un franc parlé. Maintenant qu’ils étaient ainsi, dans une nudité quasiment totale, à s’embrasser, se toucher, Jun Young se demandait bien comment il avait réussit à tenir jusque là, sans craquer, pas même une fois. Surtout avec les yeux baladeurs qu’il avait pu avoir certaines fois. Mais chut.
Alors qu’il marquait chaque parcelle de la peau de Seah de son empreinte, à l’aide de ses doigts comme de ses lèvres, la sentir ainsi se cambrer sous le plaisir, l’entendre ainsi soupirer chaudement, ne faisait qu’amplifier sa propre jouissance interne. C’est pourquoi, plus rapidement qu’à son habitude, il partit à lui retirer sa culotte, des dents, exprès pour renforcer ce côté sexy et animal qui l’animait. Et visiblement, cela sembla plaire à l’étudiante. Ses baisers, il les commença sur une cheville de la jeune femme, pour les remonter jusqu’à sa cuisse, qu’il mordilla légèrement, avant de dériver à son entrejambe qui le réclamait déjà. Ainsi, tout en continuant ses caresses sur son corps à l’aide de ses mains expertes, Jun Young entreprit un cunnilingus dont il mit tout son savoir. Pour elle. Pour lui prouver que toutes ces rumeurs étaient vraies, et qu’elle aurait du céder bien plus tôt. Il entendait bien la respiration de Seah s’emballer, ses gémissements prendre possession du studio. Il était fier. Il ne pouvait le nier.
Partit pour la faire jouir, le basketteur fut cependant coupé dans son élan par un simple mot. Maintenant. Un sourire non dissimulé sur le visage, il se redressa donc et posa son regard sur elle, tout en se léchant les lèvres. Elle était sublime. Le rouge aux joues, la poitrine se soulevant lourdement sous cette respiration déjà saccadée, les yeux brillant de luxure. Venant alors l’embrasser, ne pouvant y résister, le coréen tendit le bras en même temps pour atteindre le tiroir de sa table de chevet, l’ouvrir, et y plonger la main, la ressortant avec un préservatif. Grâce à ses abdos –jamais il ne se remerciait assez de s’être mit au sport de haut niveau-, il put continuer de l’embrasser à pleine bouche, leurs langues dansant, valsant, tout en enfilant la fameuse protection en latex. Reculant, Jun Young lui tira en même temps la lèvre inférieure, sans lui faire mal pour autant. La dominant alors de par sa carrure sportive, il glissa ses mains sous ses cuisses pour s’en saisir, les redresser. Il frotta alors son érection contre l’entrejambe qui Seah qui n’en pouvait plus de l’attendre. Puis, enfin. Il entre en elle. Lentement. Beaucoup trop. Une frustration exquise. Ses doigts se crispaient sur ces cuisses si alléchantes au fur et à mesure qu’il la pénétrait, s’arrêtant complètement une fois en elle. Ses lèvres s’étirèrent, de cette façon carnassière qui lui était si propre, et son bassin se mit en action.
Ils allaient en rater, des cours…
☆☆☆ Beerus
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Jun Young avait un tableau de chasse relativement bien remplit. Ce n’était pas de la vantardise, juste un fait réel, qu’il assumait complètement. Il aimait les femmes, et le sexe. De ce fait, il avait connu un grand nombre d’expériences toutes plus folles voir improbables parfois. Pourtant. Pourtant jamais il n’avait ressentit une telle fougue, une telle envie pour une demoiselle. Il désirait Seah comme jamais. Etait-ce cette abstinence non voulue qui le rendait ainsi ? Non. Au fond de lui, il savait très bien que depuis le début, son regard envers sa cadette n’avait jamais été totalement amical, ou du moins, chaste. Il faut dire qu’elle était complètement son genre. Pile dans ce qu’il aimait. Fine, féminine, de longs cheveux ébène, avec un franc parlé. Maintenant qu’ils étaient ainsi, dans une nudité quasiment totale, à s’embrasser, se toucher, Jun Young se demandait bien comment il avait réussit à tenir jusque là, sans craquer, pas même une fois. Surtout avec les yeux baladeurs qu’il avait pu avoir certaines fois. Mais chut.
Alors qu’il marquait chaque parcelle de la peau de Seah de son empreinte, à l’aide de ses doigts comme de ses lèvres, la sentir ainsi se cambrer sous le plaisir, l’entendre ainsi soupirer chaudement, ne faisait qu’amplifier sa propre jouissance interne. C’est pourquoi, plus rapidement qu’à son habitude, il partit à lui retirer sa culotte, des dents, exprès pour renforcer ce côté sexy et animal qui l’animait. Et visiblement, cela sembla plaire à l’étudiante. Ses baisers, il les commença sur une cheville de la jeune femme, pour les remonter jusqu’à sa cuisse, qu’il mordilla légèrement, avant de dériver à son entrejambe qui le réclamait déjà. Ainsi, tout en continuant ses caresses sur son corps à l’aide de ses mains expertes, Jun Young entreprit un cunnilingus dont il mit tout son savoir. Pour elle. Pour lui prouver que toutes ces rumeurs étaient vraies, et qu’elle aurait du céder bien plus tôt. Il entendait bien la respiration de Seah s’emballer, ses gémissements prendre possession du studio. Il était fier. Il ne pouvait le nier.
Partit pour la faire jouir, le basketteur fut cependant coupé dans son élan par un simple mot. Maintenant. Un sourire non dissimulé sur le visage, il se redressa donc et posa son regard sur elle, tout en se léchant les lèvres. Elle était sublime. Le rouge aux joues, la poitrine se soulevant lourdement sous cette respiration déjà saccadée, les yeux brillant de luxure. Venant alors l’embrasser, ne pouvant y résister, le coréen tendit le bras en même temps pour atteindre le tiroir de sa table de chevet, l’ouvrir, et y plonger la main, la ressortant avec un préservatif. Grâce à ses abdos –jamais il ne se remerciait assez de s’être mit au sport de haut niveau-, il put continuer de l’embrasser à pleine bouche, leurs langues dansant, valsant, tout en enfilant la fameuse protection en latex. Reculant, Jun Young lui tira en même temps la lèvre inférieure, sans lui faire mal pour autant. La dominant alors de par sa carrure sportive, il glissa ses mains sous ses cuisses pour s’en saisir, les redresser. Il frotta alors son érection contre l’entrejambe qui Seah qui n’en pouvait plus de l’attendre. Puis, enfin. Il entre en elle. Lentement. Beaucoup trop. Une frustration exquise. Ses doigts se crispaient sur ces cuisses si alléchantes au fur et à mesure qu’il la pénétrait, s’arrêtant complètement une fois en elle. Ses lèvres s’étirèrent, de cette façon carnassière qui lui était si propre, et son bassin se mit en action.
Ils allaient en rater, des cours…
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