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Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone
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Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:34 Citer EditerSupprimer
Hwang Jini
she was too much herself to belong to anyone
IDENTITY CARD |
Il parait que... Il parait qu'elle a été convoquée plusieurs fois chez le directeur par le passé et encore parfois maintenant pour mauvais comportement (V et F : Par le passé il est vrai qu'elle est souvent passée par le bureau du directeur pour mauvais comportement mais ce n'est plus, vraiment, le cas aujourd'hui.) | Dis nous qui tu es ! Jini auparavant c’était : Un petit garçon dans le corps d’une petite fille. Pour ami elle n’avait qu’un petit garçon et qu’une petite fille, les autres filles ne l’aimant pas et se moquant de ses comportements et les autres garçons étant en perpétuel conflit avec elle, venant même parfois aux mains. C’était l’amie qui frappait les autres si on venait à blesser ses amis. C’était celle qui défendait les plus démunis, les plus petits, pour avoir justice. C’était celle qui se faisait toujours gronder par les professeurs parce qu’elle répondait aux autres, à ses pairs, balançant parfois son cartable sur eux, jetant parfois même des petites pierres pour répliquer. C’était celle qui n’aimait jamais les mêmes choses que les autres. C’était celle qui n’aimait pas travailler mais qui aidait toujours son père. C’était celle qui se faisait craindre et que personne n’osait trop approcher. Bref Jini c’était un petit garçon dans le corps d’une petite fille, aux cheveux courts, portant toujours des pantalons, se prenant pour un garçon, appréciant uniquement les jeux masculins, ne supportant pas le rose ni même les peluches, parlant d’une voix grave, les mains toujours sur les hanches, lançant des regards mauvais aux autres, crachant parfois au sol et se battant dans la cour de récréation. Jini c’était juste une petite fille dont on avait enlevé le droit de l’être. De grandir comme les autres petites filles. Et puis Jini a grandi, des formes féminines apparaissant progressivement, son visage se féminisant de jour en jour, les autres découvrant avec splendeur qu’elle n’était pas un garçon mais bien une fille. Jini elle a pris peur à ce moment-là. Elle a eu peur d’être une fille, voyant dans le regard de son père une crainte qu’il lui a transmis. Alors Jini a tenté de cacher ses formes, les plaquant avec un bandeau, continuant de s’habiller comme un garçon, avec des vêtements de plus en plus amples, crachant au sol pour prouver sa masculinité. Elle est restée la même qu’avant avec quelques changements corporels. Des changements visibles pour autrui comme pour elle. Mais ces changements ont engendré d’autres changements, bien plus conséquents. Jini a commencé à ne plus vouloir jouer aux jeux masculins, se désintéressant de jour en jour, observant avec envie les jeux plus féminins, désireuse parfois d’avoir de longues tresses, ou des couettes, voulant essayer quelques robes, voir même du maquillage pour poupée. La bagarre ça ne l’intéressait plus, se comporter comme un garçon ça ne l’intéressait plus. Elle voulait changer. Devenir une véritable petite fille, dans une bulle rose. Mais Jini ne pouvait pas. Elle n’en avait pas le droit. Alors elle a réprimé, pendant des années, tous ces désirs de petite fille. Elle les a cachés aux autres, mais surtout à son père. Elle faisait comme si, comme ça, juste parce qu’il fallait le faire. Mais parfois, la fille en elle s’exprimait, loin des yeux, loin des oreilles. Parfois elle allait dans les magasins pour filles et elle essayait rapidement quelques vêtements, ressentant une joie profonde. Parfois elle s’achetait des peluches qu’elle jetait juste après. Parfois elle regardait à la télévision des animes pour filles, munie de sucreries. Jini n’avait qu’une envie c’était de devenir une véritable fille. Et chaque fois que son anniversaire arrivait, elle faisait le vœu de pouvoir en être une. Et puis Jini un jour elle a dit stop. Elle a dit qu’elle ne voulait plus. Et alors Jini le garçon manqué est partiellement parti. La chenille a muté pour devenir, progressivement, un papillon. Jini aujourd’hui c’est : Une fille mais qui garde des traces de son passé, marchant parfois comme un garçon, parlant parfois comme un garçon, mangeant souvent comme un garçon. Mais elle s’améliore Jini. Plus les années passent et plus elle apprend à être une fille et peut-être un jour une femme. Jini c’est celle qui va s’extasier devant une peluche parce qu’elle va trouver ça mignon, et qu’elle va vouloir en avoir une aussi. C’est celle qui va porter un short sous une jupe ou une robe mais faut-il déjà qu’elle en porte. Elle s’habille peut-être moins comme un garçon manqué, beaucoup moins même, mais les jupes et les robes sont encore difficiles d’accès. Jini c’est celle qui va être toujours heureuse et qui, lorsqu’on lui demande sa météo intérieure, va toujours dire qu’il y a du soleil et en fonction de la saison va ajouter des détails joyeux. C’est un émoticon content. Jini c’est celle qui aime l’aventure, qui aime l’adrénaline et qui est capable de passer par de nombreux chemins pour obtenir ce qu’elle veut. En tant que future journaliste elle n’a pas froid aux yeux. Elle peut trouver n’importe quelle information surtout si elle en a nécessité, escaladant parfois des murs pour pénétrer dans des lieux. Jini c’est celle qui va rire quand il ne le faut pas. Ce n’est pas par moquerie c’est juste qu’elle est comme ça Jini. Elle ne prend rien au sérieux mais parce que c’est le seul moyen qu’elle a de se protéger. Jini c’est la fille un peu violente mais qui va vous dire, avec un grand sourire, que c’est de la pure défense, rien de plus. Jini c’est une fille qui apprend à être une fille. Une fille mignonne, mais un tantinet agressif. |
OMIJA J'avais dit que j'arrêtais mais . . . j'ai cédé. Omija le retour (je sais je suis faible pardonnez moi).
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It's my life...
I want to drink moonlight and bathe in flower petals. To wear the earth, sleep in streams, and taste the stars.
Chaque individu aspire à quelque chose, une famille, une maison, de l’argent ou encore une belle carrière. La mère de Jini a préféré la carrière à sa famille, y trouvant une source d’inspiration plus profonde, ressentant le besoin de s’y épanouir. Elle a donc, brusquement, quitté le foyer familial, un matin, sans dire un mot, disparaissant de la vie de sa petite famille qui ne lui apportait plus autant. Pour Jini, sa mère est morte, emportée par un cancer. Du moins c’est ce que son père ne cesse de dire depuis qu’elle est âgée de trois ans. Alors, dans l’esprit de Jini, sa mère est morte, et elle se recueille chaque année sur sa tombe, sans savoir la vérité.
Jini a donc grandi auprès de son père et uniquement de son père, celui-ci étant un boxeur professionnel et professeur de boxe. A cause de son rôle de père et de sa mauvaise expérience passée avec sa femme, son père l’a éduqué comme un garçon. Un véritable garçon. Lui apprenant les bases pour être un homme. Un vrai. Jini est donc devenue le garçon que son père souhaitait, faisant de la boxe à son tour, marchant comme un garçon, parlant comme un garçon, s’habillant comme un garçon. Tout comme un garçon. Mais cela convenait à Jini. Elle était heureuse ainsi. Elle n’avait besoin de rien d’autre. Elle n’avait que deux amis, mais cela lui importait peu du moment qu’elle se sentait bien avec eux. Des garçons, elle en frappait, et des filles, elle les fuyait, les craignant presque. Mais en vérité ce n’était pas elle qui avait peur mais les autres. Elle était redoutée. Celle que personne n’aimait et qui terrifiait plus d’un, de par ses comportements si singuliers. Au-delà de sa personnalité et d’elle en tant que personne, son père était aussi craint, voir bien plus que la jeune femme. Car pour elle, il était capable de tout, même du pire. Il lui arrivait d’arriver en salle de classe, cognant du poing, exigeant des enfants qu’ils se dénoncent car quelqu’un avait osé toucher sa fille. Personne n’avait le droit de toucher Jini. Pas même les amis de son père. Elle était l’exclusivité. Le soleil de sa vie, le centre de son monde. Lorsque son père venait, furieux, Jini avait honte, et se cachait derrière son carnet, désireuse de s’enfoncer dans le sol, de disparaître. Elle aimait son père, et elle trouvait cela courageux qu’il agisse ainsi mais parfois, voir souvent, c’était pesant, car au lieu de l’aider, il l’enfonçait. Elle était encore plus crainte. Elle avait une pire réputation à cause de lui. Mais elle faisait avec. De toute manière elle n’avait pas le choix. Lui avait-on même donné le choix ? Jamais.
Et puis Jini a grandi. Elle a eu des formes. Des formes féminines, qu’elle n’aurait jamais dû avoir. Et alors, progressivement, sa vision des choses s’est peu à peu transformée. Celle qui n’en avait rien à faire de tout a commencé à s’en inquiéter. Celle qui n’aimait que les jeux des garçons, la violence, la boxe, a commencé à aimer d’autres choses, correspondant plus à une fille. Mais par respect pour son père et parce qu’il était son père, sa seule famille, elle a caché, enfermé ses envies féminines. Elle devait rester garçon car elle était un garçon aux yeux de son père et que d’une fille il n’en voulait pas. Du moins, c’était l’image qu’il lui renvoyait, sans vraiment le comprendre. Sans vraiment chercher les raisons de ses comportements. Mais Jini a vraiment fini par être lassée de tout ça et de rêver ailleurs. Regardant tous les matins l’horizon se profilant devant elle. Frustrée de ne pas pouvoir l’atteindre. Et puis un jour, elle s’est décidée. Prenant cette soudaine décision, remplissant sa valise, et partant pour l’autre bout du monde : Séoul. Son père n’a été informé que très tardivement de cette décision et aujourd’hui il ne lui parle plus. Du moins il semble avoir coupé les ponts avec celle qu’il considérait comme le centre de son monde. Revivant certainement le premier abandon de sa femme, sans que Jini ne le sache. Désormais Jini est une autre personne. Elle essaye en tout cas. Elle apprend. Et elle apprend vite.
Jini a donc grandi auprès de son père et uniquement de son père, celui-ci étant un boxeur professionnel et professeur de boxe. A cause de son rôle de père et de sa mauvaise expérience passée avec sa femme, son père l’a éduqué comme un garçon. Un véritable garçon. Lui apprenant les bases pour être un homme. Un vrai. Jini est donc devenue le garçon que son père souhaitait, faisant de la boxe à son tour, marchant comme un garçon, parlant comme un garçon, s’habillant comme un garçon. Tout comme un garçon. Mais cela convenait à Jini. Elle était heureuse ainsi. Elle n’avait besoin de rien d’autre. Elle n’avait que deux amis, mais cela lui importait peu du moment qu’elle se sentait bien avec eux. Des garçons, elle en frappait, et des filles, elle les fuyait, les craignant presque. Mais en vérité ce n’était pas elle qui avait peur mais les autres. Elle était redoutée. Celle que personne n’aimait et qui terrifiait plus d’un, de par ses comportements si singuliers. Au-delà de sa personnalité et d’elle en tant que personne, son père était aussi craint, voir bien plus que la jeune femme. Car pour elle, il était capable de tout, même du pire. Il lui arrivait d’arriver en salle de classe, cognant du poing, exigeant des enfants qu’ils se dénoncent car quelqu’un avait osé toucher sa fille. Personne n’avait le droit de toucher Jini. Pas même les amis de son père. Elle était l’exclusivité. Le soleil de sa vie, le centre de son monde. Lorsque son père venait, furieux, Jini avait honte, et se cachait derrière son carnet, désireuse de s’enfoncer dans le sol, de disparaître. Elle aimait son père, et elle trouvait cela courageux qu’il agisse ainsi mais parfois, voir souvent, c’était pesant, car au lieu de l’aider, il l’enfonçait. Elle était encore plus crainte. Elle avait une pire réputation à cause de lui. Mais elle faisait avec. De toute manière elle n’avait pas le choix. Lui avait-on même donné le choix ? Jamais.
Et puis Jini a grandi. Elle a eu des formes. Des formes féminines, qu’elle n’aurait jamais dû avoir. Et alors, progressivement, sa vision des choses s’est peu à peu transformée. Celle qui n’en avait rien à faire de tout a commencé à s’en inquiéter. Celle qui n’aimait que les jeux des garçons, la violence, la boxe, a commencé à aimer d’autres choses, correspondant plus à une fille. Mais par respect pour son père et parce qu’il était son père, sa seule famille, elle a caché, enfermé ses envies féminines. Elle devait rester garçon car elle était un garçon aux yeux de son père et que d’une fille il n’en voulait pas. Du moins, c’était l’image qu’il lui renvoyait, sans vraiment le comprendre. Sans vraiment chercher les raisons de ses comportements. Mais Jini a vraiment fini par être lassée de tout ça et de rêver ailleurs. Regardant tous les matins l’horizon se profilant devant elle. Frustrée de ne pas pouvoir l’atteindre. Et puis un jour, elle s’est décidée. Prenant cette soudaine décision, remplissant sa valise, et partant pour l’autre bout du monde : Séoul. Son père n’a été informé que très tardivement de cette décision et aujourd’hui il ne lui parle plus. Du moins il semble avoir coupé les ponts avec celle qu’il considérait comme le centre de son monde. Revivant certainement le premier abandon de sa femme, sans que Jini ne le sache. Désormais Jini est une autre personne. Elle essaye en tout cas. Elle apprend. Et elle apprend vite.
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:34 Citer EditerSupprimer
r"zsrfzedsrzed
EDIT : JE SUIS LAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA enfin le concerné se fait attendre, mais ce n'est plus qu'une question de jours il va tellement te hair de le faire tomber amoureux de toi ca va être explosif jpp j'ai dejà trop hate JE T AIME OKAY MERCI DE PRENDRE SOIN DE CETTE TETE BRULE D IMBECILE TU MERITES TROP UNE MÉDAILLES POUR CA :bago: en echange il te fera tourner la tete dans tous les sens du terme
HIIIIIIIIIIIIIIIIIII JE SUIS TROP CONTENTE D IMAGINE PAS
bon je crois que tu as compris bref finis vite cette fiche que je vienne t'embeter
EDIT : JE SUIS LAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA enfin le concerné se fait attendre, mais ce n'est plus qu'une question de jours il va tellement te hair de le faire tomber amoureux de toi ca va être explosif jpp j'ai dejà trop hate JE T AIME OKAY MERCI DE PRENDRE SOIN DE CETTE TETE BRULE D IMBECILE TU MERITES TROP UNE MÉDAILLES POUR CA :bago: en echange il te fera tourner la tete dans tous les sens du terme
HIIIIIIIIIIIIIIIIIII JE SUIS TROP CONTENTE D IMAGINE PAS
bon je crois que tu as compris bref finis vite cette fiche que je vienne t'embeter
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:36 Citer EditerSupprimer
on m'a dit qu'il y avait une nouvelle de mon age alors je suis passé voir
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:36 Citer EditerSupprimer
ooooooooh le bb *se ramasse un point dans la g****
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:36 Citer EditerSupprimer
bonjour madame faiblesse
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:37 Citer EditerSupprimer
poussez vous j'ai pas fini de poster
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:38 Citer EditerSupprimer
Faiblesse que tu es, veux-tu que je te soigne ? *sors avant de se faire taper*
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:39 Citer EditerSupprimer
Tu vas le faire tomber a tes pieds avec un tel sourire, je le dis moi
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:40 Citer EditerSupprimer
*pince ses joues en mode gouzigouzi* t'es à croquer toi
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Re: Hwang Jini ❀ she was too much herself to belong to anyone | Dim 3 Déc - 9:42 Citer EditerSupprimer
Viens on sera copine de boxe
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