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1, 2let's talk about sex
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Re: let's talk about sex | Mar 19 Déc - 17:15
tenue ✻✻✻ Jun Young savait pertinemment que si on les entendait parler ainsi, cela crierait au scandale. A la misogynie, et autres délires de fausses féministes simplement mal baisées. Il ne voyait absolument pas le mal dans leurs mots. Ils étaient francs, et alors ? Osez dire que la gente féminine ne faisait pas la même chose ! Cela ne serait qu’un pur mensonge. Ce n’était qu’un beau et puissant cliché créé sans aucun doute par ces dames. Mais lui n’était pas idiot. Alors il continuerait, puisque, de toute manière, ce n’était que pour complimenter leurs prouesses sexuelles ou bien leurs corps divinement sculptés. M’enfin. Ils se mirent à parler formes et beauté des sexes, et à bien réfléchir, Ha Jun n’avait pas tord. « Mouais, ok, c’est pas suuuuper sexy, mais bon, ça reste mieux qu’un gros saucisson mou, non ? J’sais pas. Et j’veux pas savoir ! ». Une sucette ? Egh. Non, franchement. Si un jour, Jun Young devait passer par la case expérience homosexuelle, vous pouvez êtes certains qu’il n’aura jamais rien dans la bouche. « Wow, c’est beau ce que tu dis. P’tin, tu fais me faire chialer ! ». Et ainsi, le basketteur fit semblant d’essuyer des larmes dans ses yeux, en réalité sincèrement touché que leur amitié ait autant d’importance pour le plus âgé.
Alors que ses pensées étaient désormais rivées sur la personne de Seah, le « merde » de son ami lui fit froncer les sourcils. Ca, ca s’annonçait mauvais. Et les dires suivants d’Ha Jun confirmèrent ses craintes. Wait. Finir la bague au doigt juste à cause de coups de bassins et de parties de jeux-vidéos ? Non non non. Hochant vivement la tête en signe de négation, Jun Young lui fourra assez la bouche pour qu’il arrête de dire autant de conneries. « C’est juste une pote. Genre toi, t’as pas une fille ou un mec avec qui tu as cette relation dans ton entourage ! Pff. ». Finissant d’un cul sec sa bière, il s’en ouvrit une nouvelle. « Et pi quoi, j’dois la tej alors que sexuellement c’est le must et qu’en dehors on s’entend super bien ? Nah. Tant qu’on fait gaffe à son frère, ça me va. J’tomberais pas amoureux, haha ! Mec, on parle de moi là. Ca peut pas m’arriver. C’trop tôt. ». S’ébouriffant les cheveux après une énième gorgée d’alcool, il finit par soupirer et se laisser tomber sur le côté, s’installant sur le dos, sa tête sur la cuisse d’Ha Jun. « Ca t’es déjà arrivé à toi, d’être amoureux ? J’veux dire… J’en ai eu plusieurs des filles avec qui je couchais et avec qui ça se passait plutôt bien à côté aussi. Pourtant, j’ai jamais rien ressentit de plus pour elles. ». Jun Young ne comprenait plus rien. Oui, Seah était ravissante. Au lit, c’était une déesse. Et ils se marraient bien tous les deux. Mais cela signifiait vraiment la fin de son célibat… ?
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tenue ✻✻✻ Jun Young savait pertinemment que si on les entendait parler ainsi, cela crierait au scandale. A la misogynie, et autres délires de fausses féministes simplement mal baisées. Il ne voyait absolument pas le mal dans leurs mots. Ils étaient francs, et alors ? Osez dire que la gente féminine ne faisait pas la même chose ! Cela ne serait qu’un pur mensonge. Ce n’était qu’un beau et puissant cliché créé sans aucun doute par ces dames. Mais lui n’était pas idiot. Alors il continuerait, puisque, de toute manière, ce n’était que pour complimenter leurs prouesses sexuelles ou bien leurs corps divinement sculptés. M’enfin. Ils se mirent à parler formes et beauté des sexes, et à bien réfléchir, Ha Jun n’avait pas tord. « Mouais, ok, c’est pas suuuuper sexy, mais bon, ça reste mieux qu’un gros saucisson mou, non ? J’sais pas. Et j’veux pas savoir ! ». Une sucette ? Egh. Non, franchement. Si un jour, Jun Young devait passer par la case expérience homosexuelle, vous pouvez êtes certains qu’il n’aura jamais rien dans la bouche. « Wow, c’est beau ce que tu dis. P’tin, tu fais me faire chialer ! ». Et ainsi, le basketteur fit semblant d’essuyer des larmes dans ses yeux, en réalité sincèrement touché que leur amitié ait autant d’importance pour le plus âgé.Alors que ses pensées étaient désormais rivées sur la personne de Seah, le « merde » de son ami lui fit froncer les sourcils. Ca, ca s’annonçait mauvais. Et les dires suivants d’Ha Jun confirmèrent ses craintes. Wait. Finir la bague au doigt juste à cause de coups de bassins et de parties de jeux-vidéos ? Non non non. Hochant vivement la tête en signe de négation, Jun Young lui fourra assez la bouche pour qu’il arrête de dire autant de conneries. « C’est juste une pote. Genre toi, t’as pas une fille ou un mec avec qui tu as cette relation dans ton entourage ! Pff. ». Finissant d’un cul sec sa bière, il s’en ouvrit une nouvelle. « Et pi quoi, j’dois la tej alors que sexuellement c’est le must et qu’en dehors on s’entend super bien ? Nah. Tant qu’on fait gaffe à son frère, ça me va. J’tomberais pas amoureux, haha ! Mec, on parle de moi là. Ca peut pas m’arriver. C’trop tôt. ». S’ébouriffant les cheveux après une énième gorgée d’alcool, il finit par soupirer et se laisser tomber sur le côté, s’installant sur le dos, sa tête sur la cuisse d’Ha Jun. « Ca t’es déjà arrivé à toi, d’être amoureux ? J’veux dire… J’en ai eu plusieurs des filles avec qui je couchais et avec qui ça se passait plutôt bien à côté aussi. Pourtant, j’ai jamais rien ressentit de plus pour elles. ». Jun Young ne comprenait plus rien. Oui, Seah était ravissante. Au lit, c’était une déesse. Et ils se marraient bien tous les deux. Mais cela signifiait vraiment la fin de son célibat… ?
© LOYALS.
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Re: let's talk about sex | Mar 19 Déc - 23:25
tenue ✻✻✻ « Un saucisson mou ? » il répète plusieurs fois les termes employés par son ami se mettant alors à rire, « chacun ses préférences ». Mais il comprend totalement les pensées de son ami et il est vrai que s’il n’avait pas pris goût aux sensations apportées par un autre homme il aurait probablement tenu le même discours que son ami, ayant une aversion particulière pour l’homme. Malgré ce flot de paroles particulièrement masculines, Ha Jun place quand même quelques douces paroles, déclarant presque sa loyauté vis-à-vis du plus jeune. Il lui donne une petite tape dans le dos, prenant une voix plus douce, faisant mine d’être en larme, lui aussi, « bro’, pleure pas. Promis je te ferai une telle déclaration qu’à ton mariage pour que tu puisses chialer devant tout le monde ». Il en serait peut-être capable qui sait, surtout pour un mariage. C’est là où les émotions ressortent le plus. Et le mariage risque de ne pas trop tarder aux dires de son ami qui semble être touché par une belle répondant au doux prénom de Seah. Il s’étouffe presque lorsque son ami tente de le faire taire, ne souhaitant pas en entendre davantage et recrache rapidement une partie de ce qu’il lui a mis en bouche. Il arque un sourcil trouvant cela presque amusant qu’il se croit intouchable, dans le sens où il pense que cela ne peut pas lui arriver de sitôt et pourtant . . . l’amour ça frappe sans qu’on ne soit réellement prêt. Il le sait. Il l’a déjà vécu. Et il l’a très mal vécu. Du moins, ça c’est mal terminé. Depuis il évite toute relation profonde, bien trop sentimentale. « De un : non. Non parce que je sais que c’est malsain. Non parce que je sais que ce n’est pas innocent, que ce n’est pas qu’une question de sexe en général. Quand tu t’investis un peu trop dans une relation, c’est fini. Tu es fini ». Il secoue négativement son visage, ouvrant une autre bière pour son ami comme pour lui. « J’ai connu une fille . . . une histoire qui a duré plus longtemps que je ne l’aurai souhaité ». Son cœur devient soudainement lourd, les souvenirs revenant brusquement dans son esprit. Il l’a oublié. Il n’a plus de sentiment pour elle. Mais quelque part, elle reste accrocher. « Et pourtant Jun . . . Je ne crois pas en l’amour. Je n’ai jamais voulu m’investir dans une relation amoureuse. Jamais. Pour me protéger et pour protéger l’autre. Je ne pensais pas que cela pouvait m’arriver et personne ne s’en doutait. Personne ne me croyait capable d’aimer, même pas moi et pourtant . . . », il regarde l’intérieur de sa bière et prend quelques gorgées pour continuer sa phrase, « je l’ai aimé. Je pensais que ça allait prendre fin après une semaine, après un mois, et puis . .. ça a duré. Trop longtemps. J’ai eu peur et je suis parti », fin de l’histoire. Est-ce qu’il regrette ? Parfois oui. Parfois non. Parce qu’il l’a fait pour elle. Et qu’il l’a protégé. « Maintenant je ne veux plus en entendre parler. Et je doute pouvoir me remettre en couple ». Il regarde son ami, avec un petit sourire, « alors méfie toi Jun. Ça peut te tomber dessus du jour au lendemain, sans que tu ne le veuilles, sans que tu ne t’y attendes. Ça peut arriver à n’importe qui ».
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tenue ✻✻✻ « Un saucisson mou ? » il répète plusieurs fois les termes employés par son ami se mettant alors à rire, « chacun ses préférences ». Mais il comprend totalement les pensées de son ami et il est vrai que s’il n’avait pas pris goût aux sensations apportées par un autre homme il aurait probablement tenu le même discours que son ami, ayant une aversion particulière pour l’homme. Malgré ce flot de paroles particulièrement masculines, Ha Jun place quand même quelques douces paroles, déclarant presque sa loyauté vis-à-vis du plus jeune. Il lui donne une petite tape dans le dos, prenant une voix plus douce, faisant mine d’être en larme, lui aussi, « bro’, pleure pas. Promis je te ferai une telle déclaration qu’à ton mariage pour que tu puisses chialer devant tout le monde ». Il en serait peut-être capable qui sait, surtout pour un mariage. C’est là où les émotions ressortent le plus. Et le mariage risque de ne pas trop tarder aux dires de son ami qui semble être touché par une belle répondant au doux prénom de Seah. Il s’étouffe presque lorsque son ami tente de le faire taire, ne souhaitant pas en entendre davantage et recrache rapidement une partie de ce qu’il lui a mis en bouche. Il arque un sourcil trouvant cela presque amusant qu’il se croit intouchable, dans le sens où il pense que cela ne peut pas lui arriver de sitôt et pourtant . . . l’amour ça frappe sans qu’on ne soit réellement prêt. Il le sait. Il l’a déjà vécu. Et il l’a très mal vécu. Du moins, ça c’est mal terminé. Depuis il évite toute relation profonde, bien trop sentimentale. « De un : non. Non parce que je sais que c’est malsain. Non parce que je sais que ce n’est pas innocent, que ce n’est pas qu’une question de sexe en général. Quand tu t’investis un peu trop dans une relation, c’est fini. Tu es fini ». Il secoue négativement son visage, ouvrant une autre bière pour son ami comme pour lui. « J’ai connu une fille . . . une histoire qui a duré plus longtemps que je ne l’aurai souhaité ». Son cœur devient soudainement lourd, les souvenirs revenant brusquement dans son esprit. Il l’a oublié. Il n’a plus de sentiment pour elle. Mais quelque part, elle reste accrocher. « Et pourtant Jun . . . Je ne crois pas en l’amour. Je n’ai jamais voulu m’investir dans une relation amoureuse. Jamais. Pour me protéger et pour protéger l’autre. Je ne pensais pas que cela pouvait m’arriver et personne ne s’en doutait. Personne ne me croyait capable d’aimer, même pas moi et pourtant . . . », il regarde l’intérieur de sa bière et prend quelques gorgées pour continuer sa phrase, « je l’ai aimé. Je pensais que ça allait prendre fin après une semaine, après un mois, et puis . .. ça a duré. Trop longtemps. J’ai eu peur et je suis parti », fin de l’histoire. Est-ce qu’il regrette ? Parfois oui. Parfois non. Parce qu’il l’a fait pour elle. Et qu’il l’a protégé. « Maintenant je ne veux plus en entendre parler. Et je doute pouvoir me remettre en couple ». Il regarde son ami, avec un petit sourire, « alors méfie toi Jun. Ça peut te tomber dessus du jour au lendemain, sans que tu ne le veuilles, sans que tu ne t’y attendes. Ça peut arriver à n’importe qui ». © LOYALS.
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Re: let's talk about sex | Ven 22 Déc - 18:25
tenue ✻✻✻ Jun Young avait été charmé par le franc parlé de son aîné. Il était comme lui, sans filtre, sans tabou, sans honte. Il assumait son passé comme ses convictions. Et puis, mine de rien, il était tout de même sa référence dans le monde de l’homosexualité. Car le sportif avait toujours été intrigué par cette facette de la sexualité. Par les raisons de la préférence physique pour le même sexe, mais aussi comment ils s’en sont aperçus, comment ils le vivent, les aides apportées à cette communauté. Bref, sa curiosité était innocente et sans mauvaises arrière-pensées. Et il savait très bien qu’Ha Jun ne lui tiendrait pas rigueur d’une éventuelle maladresse, dans ses dires par exemple. « En fait, c’est toi qui a raison. Être bi c’est le must. Un jour tu passes d’une fille à la poitrine ferme et l’autre au p’tit cul d’un jeune imberbe. Tu peux vraiment varier, c’est cool. Mais au fond, t’as quand même une petite préférence ? Parce que bon, même si par exemple la sodomie ça marche aussi avec les nanas, y a quand même une grosse différence entre un cunni et une fellation, entre une bonne poitrine et un torse plat, tout ça tout ça. ». Non ?
Et puis, Ha Jun s’ouvrit. Ils se parlaient souvent de leurs histoires de cul, mais c’était bien la première fois qu’ils se parlaient d’amour. Alors, bien installé, la tête sur la cuisse de son ami, Jun Young l’écouta avec attention, sans l’interrompre. Et cette histoire lui serra le cœur. C’était triste. Et cela faisait peur. Lui faisait peur. Grimaçant, il avala un bout de kimchi, avant de finalement prendre la parole. « J’ferais gaffe, promis. De toute façon, Seah n’a aucune vue sur moi. Elle sait comment je suis. Un peu trop d’ailleurs. Et m’a souvent dit qu’elle plaignait ma future copine et tout. Donc si un jour, j’commence à trop m’attacher, je déménagerai. Jveux pas ça. De l’amour. ». Il avait beau être un amateur de sensations fortes, ça, ce n’était pas pour lui. Posant son regard sur Ha Jun, il lui ébouriffa les cheveux. « J’suis certain qu’en plus, doit y en avoir à la pelle des personnes voulant de toi. T’es un beau gosse, t’as un super caractère, et j’suis persuadé que tu baises comme un dieu ! ». Jun Young lui adressa alors un doux sourire, avant de se permettre une question. « Je sais que ça va être stupide de te demander ça mais… C’est à cause de cette histoire que tu es allé voir les gars ? Genre, en te disant qu’au moins avec eux, tu tomberais pas amoureux ? C’est cliché comme question, pas vrai ? Sorry bro’… ».
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tenue ✻✻✻ Jun Young avait été charmé par le franc parlé de son aîné. Il était comme lui, sans filtre, sans tabou, sans honte. Il assumait son passé comme ses convictions. Et puis, mine de rien, il était tout de même sa référence dans le monde de l’homosexualité. Car le sportif avait toujours été intrigué par cette facette de la sexualité. Par les raisons de la préférence physique pour le même sexe, mais aussi comment ils s’en sont aperçus, comment ils le vivent, les aides apportées à cette communauté. Bref, sa curiosité était innocente et sans mauvaises arrière-pensées. Et il savait très bien qu’Ha Jun ne lui tiendrait pas rigueur d’une éventuelle maladresse, dans ses dires par exemple. « En fait, c’est toi qui a raison. Être bi c’est le must. Un jour tu passes d’une fille à la poitrine ferme et l’autre au p’tit cul d’un jeune imberbe. Tu peux vraiment varier, c’est cool. Mais au fond, t’as quand même une petite préférence ? Parce que bon, même si par exemple la sodomie ça marche aussi avec les nanas, y a quand même une grosse différence entre un cunni et une fellation, entre une bonne poitrine et un torse plat, tout ça tout ça. ». Non ?Et puis, Ha Jun s’ouvrit. Ils se parlaient souvent de leurs histoires de cul, mais c’était bien la première fois qu’ils se parlaient d’amour. Alors, bien installé, la tête sur la cuisse de son ami, Jun Young l’écouta avec attention, sans l’interrompre. Et cette histoire lui serra le cœur. C’était triste. Et cela faisait peur. Lui faisait peur. Grimaçant, il avala un bout de kimchi, avant de finalement prendre la parole. « J’ferais gaffe, promis. De toute façon, Seah n’a aucune vue sur moi. Elle sait comment je suis. Un peu trop d’ailleurs. Et m’a souvent dit qu’elle plaignait ma future copine et tout. Donc si un jour, j’commence à trop m’attacher, je déménagerai. Jveux pas ça. De l’amour. ». Il avait beau être un amateur de sensations fortes, ça, ce n’était pas pour lui. Posant son regard sur Ha Jun, il lui ébouriffa les cheveux. « J’suis certain qu’en plus, doit y en avoir à la pelle des personnes voulant de toi. T’es un beau gosse, t’as un super caractère, et j’suis persuadé que tu baises comme un dieu ! ». Jun Young lui adressa alors un doux sourire, avant de se permettre une question. « Je sais que ça va être stupide de te demander ça mais… C’est à cause de cette histoire que tu es allé voir les gars ? Genre, en te disant qu’au moins avec eux, tu tomberais pas amoureux ? C’est cliché comme question, pas vrai ? Sorry bro’… ».
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Re: let's talk about sex | Ven 22 Déc - 23:45
tenue ✻✻✻ En entendant les termes utilisés par son ami, il fait mine de se boucher les oreilles, essayant de chantonner à voix haute, « lala, je n’entends rien. Tu me fais mal aux oreilles avec tant de vulgarité ». Il rigole et finit par répondre à sa question. « Sincèrement . . . je préfère largement les hommes. C’est tellement plus . . . je ne sais pas. C’est le pied, vraiment. Tu ressens plus de sensations, et puis je me sens au-dessus. Certes avec les femmes je maîtrise aussi, mais avec les hommes c’est différent. Je ne saurai pas t’expliquer, faut juste tester et après ça devient . . . comme une drogue, tu peux plus t’en passer. Tu ne peux pas redevenir hétérosexuel si tu passes par la case homme. C’est impossible ». Vraiment. Et pourtant il a essayé, parce que les hommes sont bien plus dangereux que les femmes, de son point de vue, mais il n’a jamais réussi à décrocher. Il préfère sucer que lécher, c’est tout. La conversation devient moins drôle lorsqu’ils évoquent les relations amoureuses, laissant un goût amer dans la bouche du jeune homme. Il hausse alors des épaules, écoutant son ami qui pense ne pouvoir échapper aux flèches de cupidon. « Un jour ça t’arrivera Jun, et quand ce jour viendra . . . », il le regarde dans les yeux, essayant de l’encourager car il sait à quel point c’est terrible. Et c’est certainement la pire chose au monde. Dépendre de quelqu’un, ne penser qu’à elle, vouloir son bien, souffrir, partir. « Personne n’en veut Jun . . . personne ». Il s’étouffe presque avec sa bière lorsque son ami le complimente soudainement, vantant même ses qualités sexuelles, « c’est Mi Hee qui t’en a parlé c’est ça », dit-il sur le ton de la plaisanterie, « et peut-être qu’il y en a mais ça ne m’intéresse pas. Et puis je pense que tout médecin, et même interne, a droit à quelques fantasmes venant des patientes, et des infirmières aussi. Ce n’est pas un mythe. Je pense que ça donne un plus ». Il ne doute pas de sa beauté mais il est sûr que le fait d’être interne joue en sa faveur, surtout qu’il est souvent froid et mystérieux, une véritable énigme pour la gente féminine. La question de Jun le perturbe et à vrai dire il ne s’est jamais posé la question. Peut-être qu’il a raison. Peut-être qu’il a peur de retrouver la même relation auprès d’une fille et qu’il se dit qu’avec un homme il ne peut pas avoir d’attaches . . . mais en même temps il a toujours su qu’il était autant attiré par les hommes que les femmes. « Hum . . . je pense que c’est surtout de là que vient ma préférence. Les femmes sont plus sensibles, et il est difficile parfois de s’en séparer, alors que les hommes doivent être robustes. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas sensibles, ils ne doivent juste pas le montrer, alors c’est plus facile de juste les baiser et de s’en aller » dit-il en buvant une gorgée. « Je te plains et en même temps je te trouve courageux de supporter les femmes. Les sentiments, l’attachement c’est pas fait pour moi ». Et plus jamais ça n’arrivera.
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tenue ✻✻✻ En entendant les termes utilisés par son ami, il fait mine de se boucher les oreilles, essayant de chantonner à voix haute, « lala, je n’entends rien. Tu me fais mal aux oreilles avec tant de vulgarité ». Il rigole et finit par répondre à sa question. « Sincèrement . . . je préfère largement les hommes. C’est tellement plus . . . je ne sais pas. C’est le pied, vraiment. Tu ressens plus de sensations, et puis je me sens au-dessus. Certes avec les femmes je maîtrise aussi, mais avec les hommes c’est différent. Je ne saurai pas t’expliquer, faut juste tester et après ça devient . . . comme une drogue, tu peux plus t’en passer. Tu ne peux pas redevenir hétérosexuel si tu passes par la case homme. C’est impossible ». Vraiment. Et pourtant il a essayé, parce que les hommes sont bien plus dangereux que les femmes, de son point de vue, mais il n’a jamais réussi à décrocher. Il préfère sucer que lécher, c’est tout. La conversation devient moins drôle lorsqu’ils évoquent les relations amoureuses, laissant un goût amer dans la bouche du jeune homme. Il hausse alors des épaules, écoutant son ami qui pense ne pouvoir échapper aux flèches de cupidon. « Un jour ça t’arrivera Jun, et quand ce jour viendra . . . », il le regarde dans les yeux, essayant de l’encourager car il sait à quel point c’est terrible. Et c’est certainement la pire chose au monde. Dépendre de quelqu’un, ne penser qu’à elle, vouloir son bien, souffrir, partir. « Personne n’en veut Jun . . . personne ». Il s’étouffe presque avec sa bière lorsque son ami le complimente soudainement, vantant même ses qualités sexuelles, « c’est Mi Hee qui t’en a parlé c’est ça », dit-il sur le ton de la plaisanterie, « et peut-être qu’il y en a mais ça ne m’intéresse pas. Et puis je pense que tout médecin, et même interne, a droit à quelques fantasmes venant des patientes, et des infirmières aussi. Ce n’est pas un mythe. Je pense que ça donne un plus ». Il ne doute pas de sa beauté mais il est sûr que le fait d’être interne joue en sa faveur, surtout qu’il est souvent froid et mystérieux, une véritable énigme pour la gente féminine. La question de Jun le perturbe et à vrai dire il ne s’est jamais posé la question. Peut-être qu’il a raison. Peut-être qu’il a peur de retrouver la même relation auprès d’une fille et qu’il se dit qu’avec un homme il ne peut pas avoir d’attaches . . . mais en même temps il a toujours su qu’il était autant attiré par les hommes que les femmes. « Hum . . . je pense que c’est surtout de là que vient ma préférence. Les femmes sont plus sensibles, et il est difficile parfois de s’en séparer, alors que les hommes doivent être robustes. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas sensibles, ils ne doivent juste pas le montrer, alors c’est plus facile de juste les baiser et de s’en aller » dit-il en buvant une gorgée. « Je te plains et en même temps je te trouve courageux de supporter les femmes. Les sentiments, l’attachement c’est pas fait pour moi ». Et plus jamais ça n’arrivera. © LOYALS.
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Re: let's talk about sex | Mar 26 Déc - 18:05
tenue ✻✻✻ Jun Young buvait les paroles de son ami tout en tentant de se mettre à sa place. D’imaginer la situation. Mais c’était chose difficile. A vrai dire, il ne savait même pas si ses lèvres avaient déjà touché celles d’un autre homme. En tout cas, il avait beau chercher dans sa mémoire, rien ne lui revenait. Alors peut-être à une soirée, après beaucoup, beaucoup de verres d’alcool… Dans tous les cas, les dires d’Ha Jun étaient telles des paroles d’évangiles. Jamais il n’oserait les remettre en doute. D’autant plus que, d’une part, il les trouvait logique. C’était un peu comme tout dans la vie. Si on commence à vivre avec un chat, il sera difficile de passer à un chien. Oui, bon, la comparaison n’était peut-être pas la meilleure. Mais le basketteur comprenait. « Et à vivre avec ? Ils sont moins chiants que les filles ? Genre, la jalousie, le manque de confiance en l’autre, tout ça, ils l’ont aussi ou pas ? ». Jun Young avait tout de même du mal à imaginer un jeune homme faire une crise à un autre parce qu’il a osé poser ses yeux ailleurs… M’enfin !
La conversation sur l’amour fit découvrir au séoulite un nouvel aspect de l’histoire mais aussi de la personnalité d’Ha Jun. Jamais il ne l’aurait cru si… apeuré de blesser les autres. C’était très touchant. Mais sa curiosité était aussi piquée à vif. Il voulait en savoir davantage sur cette fille. Son nom, comment ils se sont rencontrés, si ils sont toujours plus ou moins en contact. Mais par respect, il tût ses nombreuses questions à ce sujet. « En même temps, avec un médecin comme toi, j’serais une fille, mais laisses tomber, je serais tout le temps malade ! Normalement ça n’arrive que dans les dramas des docs aussi sexy ! ». Lui tirant la langue, il avala de sa bière tout en dévorant des morceaux de pajeon, se salissant de nouveau les doigts. « Ah mais je ne fais rien de tout ça. J’suis comme toi, j’les baise, et c’est finit. En vrai, des plans réguliers, j’en ai très très peu. Je les choisis minutieusement. J’suis pas prêt non plus à être enchaîné et à supporter tout ces délires autour du couple. C’est pour ça, Seah, elle pense comme nous. Donc j’ai rien à craindre. T’en fais pas bae, je suis encore tien pour longtemps ! ».
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tenue ✻✻✻ Jun Young buvait les paroles de son ami tout en tentant de se mettre à sa place. D’imaginer la situation. Mais c’était chose difficile. A vrai dire, il ne savait même pas si ses lèvres avaient déjà touché celles d’un autre homme. En tout cas, il avait beau chercher dans sa mémoire, rien ne lui revenait. Alors peut-être à une soirée, après beaucoup, beaucoup de verres d’alcool… Dans tous les cas, les dires d’Ha Jun étaient telles des paroles d’évangiles. Jamais il n’oserait les remettre en doute. D’autant plus que, d’une part, il les trouvait logique. C’était un peu comme tout dans la vie. Si on commence à vivre avec un chat, il sera difficile de passer à un chien. Oui, bon, la comparaison n’était peut-être pas la meilleure. Mais le basketteur comprenait. « Et à vivre avec ? Ils sont moins chiants que les filles ? Genre, la jalousie, le manque de confiance en l’autre, tout ça, ils l’ont aussi ou pas ? ». Jun Young avait tout de même du mal à imaginer un jeune homme faire une crise à un autre parce qu’il a osé poser ses yeux ailleurs… M’enfin !La conversation sur l’amour fit découvrir au séoulite un nouvel aspect de l’histoire mais aussi de la personnalité d’Ha Jun. Jamais il ne l’aurait cru si… apeuré de blesser les autres. C’était très touchant. Mais sa curiosité était aussi piquée à vif. Il voulait en savoir davantage sur cette fille. Son nom, comment ils se sont rencontrés, si ils sont toujours plus ou moins en contact. Mais par respect, il tût ses nombreuses questions à ce sujet. « En même temps, avec un médecin comme toi, j’serais une fille, mais laisses tomber, je serais tout le temps malade ! Normalement ça n’arrive que dans les dramas des docs aussi sexy ! ». Lui tirant la langue, il avala de sa bière tout en dévorant des morceaux de pajeon, se salissant de nouveau les doigts. « Ah mais je ne fais rien de tout ça. J’suis comme toi, j’les baise, et c’est finit. En vrai, des plans réguliers, j’en ai très très peu. Je les choisis minutieusement. J’suis pas prêt non plus à être enchaîné et à supporter tout ces délires autour du couple. C’est pour ça, Seah, elle pense comme nous. Donc j’ai rien à craindre. T’en fais pas bae, je suis encore tien pour longtemps ! ».
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Re: let's talk about sex | Ven 5 Jan - 15:50
tenue ✻✻✻ Il se met à rire en entendant le commentaire de son ami, ne trouvant pas cela étonnant. Certaines personnes lui posent souvent cette question, intriguée de savoir s’il n’y a que les femmes qui sont pénibles en couple ou si les hommes le sont tout autant. Il se contente de hausser les épaules parce qu’à dire vrai il n’a jamais été en couple. Du moins pas officiellement, il se contente juste de prendre, de profiter de quelques moments en leur compagnie et c’est terminé. Pour tout dire il n’a été qu’une seule fois en couple, avec une fille, justement. Il ne considère pas les autres conquêtes comme ayant été en couple. « Sincèrement . . . je pense que c’est la même chose. Que cela soit une femme ou un homme, en couple c’est autre chose. Un homme peut tout autant être jaloux qu’une femme, et est tout aussi chiant qu’une femme. Ils n’ont juste pas les mêmes caprices, pas la même intensité de s’exprimer. Mais cela dépend de la personne. Une femme peut être jalouse comme absolument pas, et l’homme aussi ». Il pense que cette réponse est convenable et reflète plus ou moins la réalité.
Ha Jun passe une main dans ses cheveux, imitant une publicité pour shampoing pour homme, faisant mine de se la péter lorsque son ami lui fait un compliment. « T’as vu ça ! Je déborde trop de sex-appeal que veux-tu ! Je pense que je devrai même créer une statue à l’entrée de l’hôpital à mon effigie ! Je suis sûr que ça pourrait attirer de nombreux patients », il se met à rire, amusé par ses propres mots, totalement stupides. Il se trémousse soudainement caressant le bras de son ami, « ouh ! Tout à moi ! ça m’émoustille tout ça ». Il refait un peu le pitre après ces quelques paroles sérieuses. « M’enfin si un jour il y a du changement, et que ça passe du bas à en haut, tu me diras » dit-il avec un petit clin d’œil. « Profite . . . surtout si elle est bonne ».
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tenue ✻✻✻ Il se met à rire en entendant le commentaire de son ami, ne trouvant pas cela étonnant. Certaines personnes lui posent souvent cette question, intriguée de savoir s’il n’y a que les femmes qui sont pénibles en couple ou si les hommes le sont tout autant. Il se contente de hausser les épaules parce qu’à dire vrai il n’a jamais été en couple. Du moins pas officiellement, il se contente juste de prendre, de profiter de quelques moments en leur compagnie et c’est terminé. Pour tout dire il n’a été qu’une seule fois en couple, avec une fille, justement. Il ne considère pas les autres conquêtes comme ayant été en couple. « Sincèrement . . . je pense que c’est la même chose. Que cela soit une femme ou un homme, en couple c’est autre chose. Un homme peut tout autant être jaloux qu’une femme, et est tout aussi chiant qu’une femme. Ils n’ont juste pas les mêmes caprices, pas la même intensité de s’exprimer. Mais cela dépend de la personne. Une femme peut être jalouse comme absolument pas, et l’homme aussi ». Il pense que cette réponse est convenable et reflète plus ou moins la réalité. Ha Jun passe une main dans ses cheveux, imitant une publicité pour shampoing pour homme, faisant mine de se la péter lorsque son ami lui fait un compliment. « T’as vu ça ! Je déborde trop de sex-appeal que veux-tu ! Je pense que je devrai même créer une statue à l’entrée de l’hôpital à mon effigie ! Je suis sûr que ça pourrait attirer de nombreux patients », il se met à rire, amusé par ses propres mots, totalement stupides. Il se trémousse soudainement caressant le bras de son ami, « ouh ! Tout à moi ! ça m’émoustille tout ça ». Il refait un peu le pitre après ces quelques paroles sérieuses. « M’enfin si un jour il y a du changement, et que ça passe du bas à en haut, tu me diras » dit-il avec un petit clin d’œil. « Profite . . . surtout si elle est bonne ».
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Re: let's talk about sex | Ven 5 Jan - 22:42
tenue ✻✻✻ Jun Young aimait beaucoup avoir des points de vues différents sur le couple, mais aussi les plans cul. En effet, puisque tout le monde possède son propre jugement et ses propres anecdotes là-dessus, sa curiosité était toujours satisfaite. Parfois, cela lui permettait même de se mettre en question, ou au contraire, confortait ses convictions. Et puisqu'en dehors de quelques smacks, il n'avait eut aucune expérience homosexuelle, Ha Jun était sa bible. Il se basait sur ses récits, et se forgeait ainsi une image du monde gay. Par exemple, les dires de son ami concernant la jalousie lui semblèrent soudainement très logiques, alors qu'il y a encore quelques moments, il aurait juré que les hommes étaient beaucoup moins casse-couille et drama queen. Comme quoi. « Avec un bg comme toi, faut qu'ils s'accrochent alors ! La jalousie ça doit y aller ! Tu te fais sans cesse mater quand on sort en ville ! ». Et oui, être de vrais apollons en chair et en os n'était pas une chose facile ! « D'ailleurs, t'es plutôt comment toi ? J't'imagine tellement pas à faire ses scènes car il aurait retrouvé un cheveu sur son manteau, ou alors à espionner le téléphone de ton mec, à l'interdire de sortir après 23 heures ! ». Jun Young ne parlait pas de ses propres expériences, mais par le biais de celles d'amis proches qui étaient malheureusement sortis avec ce genre de folles. Jamais ô grand jamais il n'accepterait un tel comportement. Car là, ce n'était plus du registre de l'amour, mais de la maladie mentale.
Le comportement d'Ha Jun ainsi que son idée d'ériger une statue à son effigie devant l'hôpital eut le don de créer un fou rire chez le séoulite. Il manqua même de s'étouffer, faute d'avoir eut à ce moment là la bouche pleine. Se frappant le torse, il fit couler le tout avec une gorgée de bière. « T'en fais pas ! A mon avis, les nanas qui passent par ton hôpital et te croisent doivent touuuutes le raconter à leurs copines ! C'est o-bli-gé ! Faudra que tu regardes le registre, j'suis certain que y a une hausse depuis que t'es sortit de tes bouquins pour t'occuper des patients ! ». Se trémoussant alors à son tour, imitant le plus âgé, Jun Young lui fourra à manger à la suite de ses propos. « Ca pour être bonne, elle l'est. T'en fais pas darling, j'suis pas prêt de la lâcher la p'tite ! ». Prenant le dernier morceau de kimchi, le sportif retroussa le bout de son nez et regarda son téléphone. « Tu me fou à la porte après ou j'reste ici ? On peut sortir si tu as rien de prévu pour demain. Genre un karaoke, ca fait longtemps ! ». Mettant ses poings sous son menton, il fit les yeux de Chat Potté à Ha Jun, cependant pas réellement certain que cela soit très efficace.
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tenue ✻✻✻ Jun Young aimait beaucoup avoir des points de vues différents sur le couple, mais aussi les plans cul. En effet, puisque tout le monde possède son propre jugement et ses propres anecdotes là-dessus, sa curiosité était toujours satisfaite. Parfois, cela lui permettait même de se mettre en question, ou au contraire, confortait ses convictions. Et puisqu'en dehors de quelques smacks, il n'avait eut aucune expérience homosexuelle, Ha Jun était sa bible. Il se basait sur ses récits, et se forgeait ainsi une image du monde gay. Par exemple, les dires de son ami concernant la jalousie lui semblèrent soudainement très logiques, alors qu'il y a encore quelques moments, il aurait juré que les hommes étaient beaucoup moins casse-couille et drama queen. Comme quoi. « Avec un bg comme toi, faut qu'ils s'accrochent alors ! La jalousie ça doit y aller ! Tu te fais sans cesse mater quand on sort en ville ! ». Et oui, être de vrais apollons en chair et en os n'était pas une chose facile ! « D'ailleurs, t'es plutôt comment toi ? J't'imagine tellement pas à faire ses scènes car il aurait retrouvé un cheveu sur son manteau, ou alors à espionner le téléphone de ton mec, à l'interdire de sortir après 23 heures ! ». Jun Young ne parlait pas de ses propres expériences, mais par le biais de celles d'amis proches qui étaient malheureusement sortis avec ce genre de folles. Jamais ô grand jamais il n'accepterait un tel comportement. Car là, ce n'était plus du registre de l'amour, mais de la maladie mentale.Le comportement d'Ha Jun ainsi que son idée d'ériger une statue à son effigie devant l'hôpital eut le don de créer un fou rire chez le séoulite. Il manqua même de s'étouffer, faute d'avoir eut à ce moment là la bouche pleine. Se frappant le torse, il fit couler le tout avec une gorgée de bière. « T'en fais pas ! A mon avis, les nanas qui passent par ton hôpital et te croisent doivent touuuutes le raconter à leurs copines ! C'est o-bli-gé ! Faudra que tu regardes le registre, j'suis certain que y a une hausse depuis que t'es sortit de tes bouquins pour t'occuper des patients ! ». Se trémoussant alors à son tour, imitant le plus âgé, Jun Young lui fourra à manger à la suite de ses propos. « Ca pour être bonne, elle l'est. T'en fais pas darling, j'suis pas prêt de la lâcher la p'tite ! ». Prenant le dernier morceau de kimchi, le sportif retroussa le bout de son nez et regarda son téléphone. « Tu me fou à la porte après ou j'reste ici ? On peut sortir si tu as rien de prévu pour demain. Genre un karaoke, ca fait longtemps ! ». Mettant ses poings sous son menton, il fit les yeux de Chat Potté à Ha Jun, cependant pas réellement certain que cela soit très efficace.
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Re: let's talk about sex | Lun 8 Jan - 22:02
tenue ✻✻✻ « Du moment que je me fais mater par toi » dit-il en lui faisant quelques allusions. « Et puis, tu n’es pas si mal dans ton genre non plus. T’es aussi beau gosse que moi et à deux, je ne te dis pas les émeutes qu’on crée. Ça me donne des frissons dans le dos », il se prend dans ses bras, comme pour se protéger de potentielles furies. Il dit ça sur le ton de la rigolade mais ce n’est pas si loin de la vérité. Deux beaux gosses ensemble ça fait forcément des ravages. Il pousse un long soupir lorsqu’il lui demande quel type de petit ami il est. La seule personne qui pourrait répondre c’est Min Ah, et encore, il a fini par lui faire du mal à la fin pour s’éloigner d’elle et pouvoir s’en détacher. Mais quelque part il l’avait préparé, et ce depuis le début. Indirectement il l’avait conditionné à la séparation car il savait qu’elle allait arriver, un jour ou l’autre. « Moi ? Jaloux », il ne peut s’empêcher de grimacer. Il ne sait pas réellement, du moins il ne l’a jamais été. Il n’a jamais eu l’occasion d’expérimenter la jalousie. Il est juste protecteur vis-à-vis des personnes qu’il apprécie réellement. Mais le reste, et en couple, il n’en sait rien. « Non je ne crois pas. Je suis plus libertin, si tu vois ce que je veux dire . . . Hum. Non sincèrement, je ne sais pas. Je ne pense pas être jaloux, à espionner les moindres faits et gestes de mon ou ma partenaire. Je ne vais sûrement pas faire de scène non plus mais . . . je crois . . . et je dis bien je crois, que j’aime bien quand même me sentir privilégié. Mais tu sais, je ne suis pas le petit ami idéal, loin de là. Je crois que j’ai plus tendance à repousser les personnes, à les faire rompre. Et toi ? ».
« Tu as peut-être raison. Tu sais quoi la prochaine fois que je retourne à l’hôpital je vérifie. Mais en même temps . . . je pense que je dois briser leurs illusions. J’ai une sale tendance à être distant . . . et à ne pas vouloir papoter plus. De toute manière je ne suis pas un interne bavard », mais quelque part c’est ce qui attire aussi, un côté assez mystérieux, muet. C’est peut-être pour ça que les infirmières fantasment autant sur lui. Il manque de s’étouffer avec la nourriture de son ami, « bchon chalors la lache pchas ». Et Ha Jun se doute bien qu’il ne compte pas la lâcher, bien plus qu’il ne semble le croire. « Un . . . un quoi ? Pardon ». Il arque un sourcil regardant son ami, essayant de savoir s’il est sérieux, se mettant alors à rire. « Non mais arrête avec tes yeux, ça fonctionne pas. Je te le dis tout de suite. Un karaoké ! Moi ?? J-A-M-A-I-S !! ». Il se met à rire, « tu peux rester ici si tu veux, j’ai même une chambre pour toi, t’sais très bien, mais pour le karaoké non ! On peut sortir, tout faire, sauf le karaoké et ne m’emmène pas non plus dans ces trucs débiles où il faut gagner des peluches. Je te mets à la porte sinon », quoique ça sera difficile s’ils sont dehors.
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tenue ✻✻✻ « Du moment que je me fais mater par toi » dit-il en lui faisant quelques allusions. « Et puis, tu n’es pas si mal dans ton genre non plus. T’es aussi beau gosse que moi et à deux, je ne te dis pas les émeutes qu’on crée. Ça me donne des frissons dans le dos », il se prend dans ses bras, comme pour se protéger de potentielles furies. Il dit ça sur le ton de la rigolade mais ce n’est pas si loin de la vérité. Deux beaux gosses ensemble ça fait forcément des ravages. Il pousse un long soupir lorsqu’il lui demande quel type de petit ami il est. La seule personne qui pourrait répondre c’est Min Ah, et encore, il a fini par lui faire du mal à la fin pour s’éloigner d’elle et pouvoir s’en détacher. Mais quelque part il l’avait préparé, et ce depuis le début. Indirectement il l’avait conditionné à la séparation car il savait qu’elle allait arriver, un jour ou l’autre. « Moi ? Jaloux », il ne peut s’empêcher de grimacer. Il ne sait pas réellement, du moins il ne l’a jamais été. Il n’a jamais eu l’occasion d’expérimenter la jalousie. Il est juste protecteur vis-à-vis des personnes qu’il apprécie réellement. Mais le reste, et en couple, il n’en sait rien. « Non je ne crois pas. Je suis plus libertin, si tu vois ce que je veux dire . . . Hum. Non sincèrement, je ne sais pas. Je ne pense pas être jaloux, à espionner les moindres faits et gestes de mon ou ma partenaire. Je ne vais sûrement pas faire de scène non plus mais . . . je crois . . . et je dis bien je crois, que j’aime bien quand même me sentir privilégié. Mais tu sais, je ne suis pas le petit ami idéal, loin de là. Je crois que j’ai plus tendance à repousser les personnes, à les faire rompre. Et toi ? ».« Tu as peut-être raison. Tu sais quoi la prochaine fois que je retourne à l’hôpital je vérifie. Mais en même temps . . . je pense que je dois briser leurs illusions. J’ai une sale tendance à être distant . . . et à ne pas vouloir papoter plus. De toute manière je ne suis pas un interne bavard », mais quelque part c’est ce qui attire aussi, un côté assez mystérieux, muet. C’est peut-être pour ça que les infirmières fantasment autant sur lui. Il manque de s’étouffer avec la nourriture de son ami, « bchon chalors la lache pchas ». Et Ha Jun se doute bien qu’il ne compte pas la lâcher, bien plus qu’il ne semble le croire. « Un . . . un quoi ? Pardon ». Il arque un sourcil regardant son ami, essayant de savoir s’il est sérieux, se mettant alors à rire. « Non mais arrête avec tes yeux, ça fonctionne pas. Je te le dis tout de suite. Un karaoké ! Moi ?? J-A-M-A-I-S !! ». Il se met à rire, « tu peux rester ici si tu veux, j’ai même une chambre pour toi, t’sais très bien, mais pour le karaoké non ! On peut sortir, tout faire, sauf le karaoké et ne m’emmène pas non plus dans ces trucs débiles où il faut gagner des peluches. Je te mets à la porte sinon », quoique ça sera difficile s’ils sont dehors.
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Re: let's talk about sex | Mar 9 Jan - 22:20
tenue ✻✻✻ Jun Young était narcissique. Il était au courant de ce défaut, mais à ses yeux, c'était une force. Pour avancer, il fallait être sûr de soi, et s'aimer. Comment voulez-vous donner une bonne image de votre personne si vous même ne croyez pas en vos capacités ? C'était impossible. Voilà pourquoi le jeune homme possédait cet égo qu'on lui qualifiait souvent de trop gros. Mais ce genre de remarques, il s'en foutait bien. Et avec Ha Jun, il avait trouvé cet ami beau gosse qui lui aussi aimait le clamer haut et fort. « Mais ça c'est tout le temps, tu sais très bien ! Surtout dans le gymnase, mon dieu, quand la sueur coule le long de tes biceps, my gooood ! ». Deux idiots. Mais dieu qu'il l'aimait, leur amitié. L'interrogeant alors sur sa façon de traiter la jalousie, et plus simplement, d'être dans son couple, Jun Young ne fut nullement étonner des réponses de son aîné. C'était bien ainsi qu'il le voyait, et l'avait imaginé. Sans trop s'y attendre, il lui retourna la question, et Jun Young ne put retenir un rire. « Mec, j'ai pas été en couple depuis le primaire j'crois ! Au collège, les filles ne m'intéressaient pas du tout, j'préférais passer du temps avec mes potes et à jouer au basket. Et au lycée, j'devenais bg, alors j'en profitais et c'est là que mon côté séducteur et chaud lapin est apparut. ». Histoire vraie ! Et puis avec le temps, et les histoires de ses amis, le séoulite avait développé comme un dégoût pour la mise ne couple. Ce n'était pas fait pour lui. Il le savait, le sentait.
« Mais justement, ça doit les exciter encore plus ! Sérieux à chaque fois sur les réseaux sociaux j'vois des meufs se battre pour savoir qui du mec prince charmant ou du bad boy serait le petit ami idéal ! Et beauuuuuucoup kiff ça, les gars mystérieux, ultra beaux mais pas bavards. Ca les fait fantasmer ! ». Constatant par ailleurs qu'ils arrivaient à la fin des boîtes de nourriture préparées avec amour par sa mère, Jun Young proposa au médecin de sortir, tout en adoptant une pose -ridicule- de Chat Potté. Qui, bien évidemment, échoua. Pestant alors, il ferma les boîtes et les remis dans son sac à dos. « Pffff, t'es nul. En plus, même pas tu me proposes de dormir avec toi ! Salaud ! ». Finissant cul sec sa bière, le jeune homme se leva et embarqua les canettes vides pour aller les jeter. Chez Ha Jun, c'était un peu devenu chez lui aussi. Il y avait prit ses habitudes, sans pour autant s'imposer. « Bon, restons ici, et faisons soirée pyjama. Le reste de bière et un bon film sous la couette, ca te dit ? ». C'était un peu girly, mais connaissant les folles journées que son hôte enchaînaient, Jun Young ne voulait pas l'épuiser davantage. C'est donc ainsi que les deux amis se retrouvèrent en boxers et tshirt, calés dans le canapé, sous une couette, à commenter un film plutôt pourri, comme deux nanas.
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tenue ✻✻✻ Jun Young était narcissique. Il était au courant de ce défaut, mais à ses yeux, c'était une force. Pour avancer, il fallait être sûr de soi, et s'aimer. Comment voulez-vous donner une bonne image de votre personne si vous même ne croyez pas en vos capacités ? C'était impossible. Voilà pourquoi le jeune homme possédait cet égo qu'on lui qualifiait souvent de trop gros. Mais ce genre de remarques, il s'en foutait bien. Et avec Ha Jun, il avait trouvé cet ami beau gosse qui lui aussi aimait le clamer haut et fort. « Mais ça c'est tout le temps, tu sais très bien ! Surtout dans le gymnase, mon dieu, quand la sueur coule le long de tes biceps, my gooood ! ». Deux idiots. Mais dieu qu'il l'aimait, leur amitié. L'interrogeant alors sur sa façon de traiter la jalousie, et plus simplement, d'être dans son couple, Jun Young ne fut nullement étonner des réponses de son aîné. C'était bien ainsi qu'il le voyait, et l'avait imaginé. Sans trop s'y attendre, il lui retourna la question, et Jun Young ne put retenir un rire. « Mec, j'ai pas été en couple depuis le primaire j'crois ! Au collège, les filles ne m'intéressaient pas du tout, j'préférais passer du temps avec mes potes et à jouer au basket. Et au lycée, j'devenais bg, alors j'en profitais et c'est là que mon côté séducteur et chaud lapin est apparut. ». Histoire vraie ! Et puis avec le temps, et les histoires de ses amis, le séoulite avait développé comme un dégoût pour la mise ne couple. Ce n'était pas fait pour lui. Il le savait, le sentait.« Mais justement, ça doit les exciter encore plus ! Sérieux à chaque fois sur les réseaux sociaux j'vois des meufs se battre pour savoir qui du mec prince charmant ou du bad boy serait le petit ami idéal ! Et beauuuuuucoup kiff ça, les gars mystérieux, ultra beaux mais pas bavards. Ca les fait fantasmer ! ». Constatant par ailleurs qu'ils arrivaient à la fin des boîtes de nourriture préparées avec amour par sa mère, Jun Young proposa au médecin de sortir, tout en adoptant une pose -ridicule- de Chat Potté. Qui, bien évidemment, échoua. Pestant alors, il ferma les boîtes et les remis dans son sac à dos. « Pffff, t'es nul. En plus, même pas tu me proposes de dormir avec toi ! Salaud ! ». Finissant cul sec sa bière, le jeune homme se leva et embarqua les canettes vides pour aller les jeter. Chez Ha Jun, c'était un peu devenu chez lui aussi. Il y avait prit ses habitudes, sans pour autant s'imposer. « Bon, restons ici, et faisons soirée pyjama. Le reste de bière et un bon film sous la couette, ca te dit ? ». C'était un peu girly, mais connaissant les folles journées que son hôte enchaînaient, Jun Young ne voulait pas l'épuiser davantage. C'est donc ainsi que les deux amis se retrouvèrent en boxers et tshirt, calés dans le canapé, sous une couette, à commenter un film plutôt pourri, comme deux nanas.
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