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ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ]
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ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Dim 10 Déc - 10:05
Il est tôt. Bien trop tôt pour que mon esprit prenne conscience de tout ce qu’il se passe autour de moi. Il faut dire que je n’ai pas très bien dormi cette nuit et ce n’est pas par anxiété ou autre raison émotionnelle, mais simplement parce que j’ai passé ma nuit à jouer, les yeux rivés sur ma console, ne pouvant détacher mon regard de celle-ci. Certains me demanderaient comment je fais pour tenir aussi longtemps et pouvoir me lever le matin, ayant encore un peu d’énergie pour entamer cette dure journée, tandis que d’autres ne tenteraient même plus de comprendre, étant habituée à mes folles nuits passées à jouer comme une forcenée. Je ne suis pas une geek pour rien, il y a bien des raisons à cette catégorisation. Mais autant dire que je suis habituée à ce fonctionnement et pas que pour les jeux. Je peux passer des journées dans mon lit, mon regard rivé sur l’écran, regardant des animes, des séries, lisant parfois même des mangas, les enchainant un à un, presque comme une drogue. Je suis une fille étrange. Je le sais, mais ça ne me dérange pas. J’aime être celle que je suis et pour rien au monde je ne changerai. Sauf si mon idole préférée de tous les temps me demande de changer, là, éventuellement, j’y réfléchirai. Bref tout ça pour dire que je suis épuisée et que je vois à peine le monde qui m’entoure. Mais je tiens la route, allant parfois un peu trop sur la droite, puis un peu trop sur la gauche, mais les personnes autour de moi m’évitent, de justesse, voyant très certainement que je suis un peu fatiguée. Avant d’aller en cours je décide toutefois de passer par un café, pour en prendre un, histoire de me réveiller correctement. A peine je suis rentrée à l’intérieur que j’ai les effluves des pâtisseries, et des odeurs de boissons chaudes, qui me mettent déjà de bonne humeur, me sentant déjà peu à peu réveillée. Il en faut peu pour me rendre heureuse et même pour me donner de l’énergie pour la suite de la journée. Je n’ai même pas besoin d’acheter de boisson chaude, mais décide tout de même de le faire, pour me réchauffer du froid qui frappe Séoul. Je commande donc un café allongé, mais en me retournant et dans ma précipitation, je bouscule quelqu’un avec ma boisson chaude, et déverse la moitié du contenu sur . . . son pantalon. « OUAHAHAHAH ! ». Je pousse un cri d’effroi, faisant retourner tout le café, craignant alors de l’avoir brûlé avec mon café. Et qui sait, peut-être que ça a atteint l’intérieur, et qu’à cause de moi il ne va pas pouvoir avoir d’enfants parce que je l’ai rendu incapable de . . . oh my gosh !
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Kwang Jin
Il est tôt. Bien trop tôt pour que mon esprit prenne conscience de tout ce qu’il se passe autour de moi. Il faut dire que je n’ai pas très bien dormi cette nuit et ce n’est pas par anxiété ou autre raison émotionnelle, mais simplement parce que j’ai passé ma nuit à jouer, les yeux rivés sur ma console, ne pouvant détacher mon regard de celle-ci. Certains me demanderaient comment je fais pour tenir aussi longtemps et pouvoir me lever le matin, ayant encore un peu d’énergie pour entamer cette dure journée, tandis que d’autres ne tenteraient même plus de comprendre, étant habituée à mes folles nuits passées à jouer comme une forcenée. Je ne suis pas une geek pour rien, il y a bien des raisons à cette catégorisation. Mais autant dire que je suis habituée à ce fonctionnement et pas que pour les jeux. Je peux passer des journées dans mon lit, mon regard rivé sur l’écran, regardant des animes, des séries, lisant parfois même des mangas, les enchainant un à un, presque comme une drogue. Je suis une fille étrange. Je le sais, mais ça ne me dérange pas. J’aime être celle que je suis et pour rien au monde je ne changerai. Sauf si mon idole préférée de tous les temps me demande de changer, là, éventuellement, j’y réfléchirai. Bref tout ça pour dire que je suis épuisée et que je vois à peine le monde qui m’entoure. Mais je tiens la route, allant parfois un peu trop sur la droite, puis un peu trop sur la gauche, mais les personnes autour de moi m’évitent, de justesse, voyant très certainement que je suis un peu fatiguée. Avant d’aller en cours je décide toutefois de passer par un café, pour en prendre un, histoire de me réveiller correctement. A peine je suis rentrée à l’intérieur que j’ai les effluves des pâtisseries, et des odeurs de boissons chaudes, qui me mettent déjà de bonne humeur, me sentant déjà peu à peu réveillée. Il en faut peu pour me rendre heureuse et même pour me donner de l’énergie pour la suite de la journée. Je n’ai même pas besoin d’acheter de boisson chaude, mais décide tout de même de le faire, pour me réchauffer du froid qui frappe Séoul. Je commande donc un café allongé, mais en me retournant et dans ma précipitation, je bouscule quelqu’un avec ma boisson chaude, et déverse la moitié du contenu sur . . . son pantalon. « OUAHAHAHAH ! ». Je pousse un cri d’effroi, faisant retourner tout le café, craignant alors de l’avoir brûlé avec mon café. Et qui sait, peut-être que ça a atteint l’intérieur, et qu’à cause de moi il ne va pas pouvoir avoir d’enfants parce que je l’ai rendu incapable de . . . oh my gosh ! Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Dim 10 Déc - 21:17
Masque, casquette, vêtements de couleurs discrets, tout y était. Je sortis discrètement de l'appartement, rencontrant ensuite l'air froid de l'extérieur. Si je n'avais rien à faire à l'extérieur, je ne sortais pas habituellement. Surtout pas en temps d'hiver. Vu comment il faisait froid, je n'avais pas spécialement envie d'affronter les vents glacials. Cependant, j'avais eu besoin d'air frais aujourd'hui. Ça faisait bien quelques jours que je n'étais pas sorti, j'en souffrais déjà. De plus, il n'y avait que moi à la maison. Kwangmin n'y habitait plus. Je me demandais combien de temps est-ce qu'il allait encore continuer à faire son têtu... Je soupirai en y pensant, marchant sans vraiment penser à quoi que ce soit. Il était tôt. Normalement, je serais resté à l'appartement en train de dormir dans mon lit. Je n'étais plus étudiant et je n'avais pas un emploi du temps stable, alors mes jours de repos étaient aléatoires. J'en profitais toujours, en tant que trainee j'avais peu d'heures de repos. Mais en ce moment, c'était bien différent. Ils avaient arrêté la plupart des activités de Zeus le temps que le scandale d’Éros soit réglé. Et donc, je me retrouvais seul sans avoir quelque chose à faire. Je m'ennuyais profondément, personne n'était là pour m'accompagner dans ma solitude. La plupart des personnes que je connaissais étaient encore à l'école, il était donc hors de question pour eux de sortir un jour de semaine. Et encore, un jour de repos serait difficile puisqu'ils devaient réviser. J'étais bien content de ne plus être étudiant pour ça, d'ailleurs. Je détestais par-dessus tout l'école. Je préférais nettement la musique. J'espérai que je pourrais débuter, un jour... Pour le moment, ça semblait bien difficile.
Je marchai pendant de longues minutes sans penser à rien. Personne ne me reconnaissait, j'étais donc tranquille. Le masque et la casquette suffisaient pour cacher mon visage connu de tous. Ma promenade me fit quelque peu du bien, je sentis que mon cerveau était rafraîchi et pouvait à nouveau composer des chansons et trouver de l'inspiration. Cependant, je n'avais pas envie de rentrer les mains vides, il faisait trop froid pour que je fasse le même trajet à nouveau en sens inverse. Je décidai alors de rentrer dans un magasin. Avec de la chance, j'aperçus un café non loin de là et je m'y introduis silencieusement, veillant à ne pas attirer l'attention. S'il y avait bien une chance à laquelle je devais être vigilant, c'était les autres. Ils ne devaient pas me remarquer et me dévisager du regard, non, ils devaient absolument me regarder comme une personne normale. Sinon, je provoquerais la panique. Enfin, quoique... Je n'étais pas encore si connu que ça. Les Zeus n'avaient même pas débuté. Il n'y aurait que les jeunes filles de treize à seize ans qui me reconnaîtraient de dos et qui hurleraient mon prénom. Que de discrétion... Je m'apprêtai à faire la queue, mais une jeune femme devant moi se retourna brusquement et renversa son café sur mon pantalon. Je fis une mine surprise, ayant un mouvement de recul. Malheureusement, je ne fus pas assez rapide puisque les dégâts étaient déjà là : mon pantalon était trempé de café. De plus, à un endroit pas très convenable... On pourrait croire que je m'étais fait pipi dessus... Heureusement que ça restait plus discret que si je portais un pantalon blanc. J'étais habillé en noir aujourd'hui, j'avais eu raison de me montrer discret. La jeune femme se mit à crier, renversant tout son café par terre. Elle attira évidemment tout l'attention sur nous. Mince, je voulais à tout prix éviter ça. Enfin, en cette situation, je ne pouvais pas m'enfuir... Je devais d'abord m'assurer si elle allait bien. Je la regardai alors d'un air inquiet. « Vous allez bien ? » demandai-je à voix basse. « Ne vous inquiétez pas pour mon pantalon, ce n'est rien de grave, ce n'est qu'un vêtement. » Je souris légèrement, seuls mes yeux reflétant ce petit sourire. Comme si voir des clients renverser des cafés était habituel, un serveur était déjà arrivé avec tout le matériel nécessaire pour nettoyer la catastrophe. Je me penchai alors vers lui. « Excusez-moi, est-ce que vous allez préparer à nouveau un café pour la jeune femme ? Je crois qu'elle n'a pas eu le temps de boire quelque chose, ce serait dommage pour elle de devoir payer à nouveau. » Il acquiesça et je le remerciai de sa réponse. Je regardai à nouveau l'inconnue en souriant gentiment. « Vous pouvez être tranquille, détendez-vous. »
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Olympe
Masque, casquette, vêtements de couleurs discrets, tout y était. Je sortis discrètement de l'appartement, rencontrant ensuite l'air froid de l'extérieur. Si je n'avais rien à faire à l'extérieur, je ne sortais pas habituellement. Surtout pas en temps d'hiver. Vu comment il faisait froid, je n'avais pas spécialement envie d'affronter les vents glacials. Cependant, j'avais eu besoin d'air frais aujourd'hui. Ça faisait bien quelques jours que je n'étais pas sorti, j'en souffrais déjà. De plus, il n'y avait que moi à la maison. Kwangmin n'y habitait plus. Je me demandais combien de temps est-ce qu'il allait encore continuer à faire son têtu... Je soupirai en y pensant, marchant sans vraiment penser à quoi que ce soit. Il était tôt. Normalement, je serais resté à l'appartement en train de dormir dans mon lit. Je n'étais plus étudiant et je n'avais pas un emploi du temps stable, alors mes jours de repos étaient aléatoires. J'en profitais toujours, en tant que trainee j'avais peu d'heures de repos. Mais en ce moment, c'était bien différent. Ils avaient arrêté la plupart des activités de Zeus le temps que le scandale d’Éros soit réglé. Et donc, je me retrouvais seul sans avoir quelque chose à faire. Je m'ennuyais profondément, personne n'était là pour m'accompagner dans ma solitude. La plupart des personnes que je connaissais étaient encore à l'école, il était donc hors de question pour eux de sortir un jour de semaine. Et encore, un jour de repos serait difficile puisqu'ils devaient réviser. J'étais bien content de ne plus être étudiant pour ça, d'ailleurs. Je détestais par-dessus tout l'école. Je préférais nettement la musique. J'espérai que je pourrais débuter, un jour... Pour le moment, ça semblait bien difficile. Je marchai pendant de longues minutes sans penser à rien. Personne ne me reconnaissait, j'étais donc tranquille. Le masque et la casquette suffisaient pour cacher mon visage connu de tous. Ma promenade me fit quelque peu du bien, je sentis que mon cerveau était rafraîchi et pouvait à nouveau composer des chansons et trouver de l'inspiration. Cependant, je n'avais pas envie de rentrer les mains vides, il faisait trop froid pour que je fasse le même trajet à nouveau en sens inverse. Je décidai alors de rentrer dans un magasin. Avec de la chance, j'aperçus un café non loin de là et je m'y introduis silencieusement, veillant à ne pas attirer l'attention. S'il y avait bien une chance à laquelle je devais être vigilant, c'était les autres. Ils ne devaient pas me remarquer et me dévisager du regard, non, ils devaient absolument me regarder comme une personne normale. Sinon, je provoquerais la panique. Enfin, quoique... Je n'étais pas encore si connu que ça. Les Zeus n'avaient même pas débuté. Il n'y aurait que les jeunes filles de treize à seize ans qui me reconnaîtraient de dos et qui hurleraient mon prénom. Que de discrétion... Je m'apprêtai à faire la queue, mais une jeune femme devant moi se retourna brusquement et renversa son café sur mon pantalon. Je fis une mine surprise, ayant un mouvement de recul. Malheureusement, je ne fus pas assez rapide puisque les dégâts étaient déjà là : mon pantalon était trempé de café. De plus, à un endroit pas très convenable... On pourrait croire que je m'étais fait pipi dessus... Heureusement que ça restait plus discret que si je portais un pantalon blanc. J'étais habillé en noir aujourd'hui, j'avais eu raison de me montrer discret. La jeune femme se mit à crier, renversant tout son café par terre. Elle attira évidemment tout l'attention sur nous. Mince, je voulais à tout prix éviter ça. Enfin, en cette situation, je ne pouvais pas m'enfuir... Je devais d'abord m'assurer si elle allait bien. Je la regardai alors d'un air inquiet. « Vous allez bien ? » demandai-je à voix basse. « Ne vous inquiétez pas pour mon pantalon, ce n'est rien de grave, ce n'est qu'un vêtement. » Je souris légèrement, seuls mes yeux reflétant ce petit sourire. Comme si voir des clients renverser des cafés était habituel, un serveur était déjà arrivé avec tout le matériel nécessaire pour nettoyer la catastrophe. Je me penchai alors vers lui. « Excusez-moi, est-ce que vous allez préparer à nouveau un café pour la jeune femme ? Je crois qu'elle n'a pas eu le temps de boire quelque chose, ce serait dommage pour elle de devoir payer à nouveau. » Il acquiesça et je le remerciai de sa réponse. Je regardai à nouveau l'inconnue en souriant gentiment. « Vous pouvez être tranquille, détendez-vous. »
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Dim 17 Déc - 14:19
Je n’ai qu’une envie c’est de m’enfoncer dans un trou de souris au vu de ma maladresse, qui a encore fait des ravages. Parfois j’ai vraiment envie de me ressaisir et de ne pas être celle que je suis, surtout dans ces moments de gêne. Je ne sais pas quoi dire à part m’excuser, et me sentir terriblement mal pour la personne. Je suis même prête à appeler une ambulance s’il le faut et l’amener à l’hôpital s’il y a une quelconque brûlure au niveau de son pantalon. Je n’ai pas envie d’être responsable d’une castration indirecte. Mais à ma grande surprise l’homme en question ne semble pas s’inquiéter pour lui, mais s’inquiète d’abord pour moi, me laissant quelque peu perplexe. Je le regarde plusieurs secondes ne sachant pas quoi dire, la bouche légèrement ouverte. Je crois que c’est la première fois depuis mon existence et ma présence en Corée qu’une personne me demande si je vais bien alors que c’est moi qui lui ais renversé quelque chose. J’en suis presque touchée, mes pupilles s’allumant brusquement, trouvant cet homme alors merveilleux. Et en plus de cela il demande au serveur de m’offrir un autre café puisque je n’ai pas eu le temps de le boire. Je suis vraiment perplexe. J’en perds mon langage, et surtout je perds le sens de la réalité, mes yeux s’écarquillant de plus en plus sous l’effet de la surprise, la bouche s’entrouvrant davantage. « Pa . . . pardon ? », je ne m’excuse pas cette fois-ci mais exprime plutôt ma surprise devant tant de bonté. « Ouah ! Vous êtes bien la première personne qui agit de manière si gentille. Je suis impressionnée » et c’est peu de le dire. Je suis bien plus qu’impressionnée. « Je veux dire, c’est moi qui vous ai renversé du café, pas le contraire, et pourtant j’ai l’impression que c’est vous qui l’avez fait. Je suis sincèrement désolée. J’espère que je ne vous ai pas fait mal », je grimace, regardant avec une attention particulière le bas de son corps. « Si vous avez le moindre souci par la suite je vous donne mon numéro », sans attendre je sors un stylo et lui prends la main, inscrivant les numéros de mon téléphone. « Vraiment désolée » dis-je en me penchant plusieurs fois en avant, « et surtout merci de ne pas mal réagir et d’être si attentionnée ». J’ai déjà eu des cas extrêmes où la personne s’énervait brutalement, m’insultant de tous les noms, ou demandant que je nettoie, que je paie pour le nettoyage. J’ai déjà tout eu, sauf ce type de réaction. « Je vous offre quelque chose pour la peine. Vous avez un peu de temps ? ». Je refuse que cet homme s’en aille sans lui avoir offert quelque chose.
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Kwang Jin
Je n’ai qu’une envie c’est de m’enfoncer dans un trou de souris au vu de ma maladresse, qui a encore fait des ravages. Parfois j’ai vraiment envie de me ressaisir et de ne pas être celle que je suis, surtout dans ces moments de gêne. Je ne sais pas quoi dire à part m’excuser, et me sentir terriblement mal pour la personne. Je suis même prête à appeler une ambulance s’il le faut et l’amener à l’hôpital s’il y a une quelconque brûlure au niveau de son pantalon. Je n’ai pas envie d’être responsable d’une castration indirecte. Mais à ma grande surprise l’homme en question ne semble pas s’inquiéter pour lui, mais s’inquiète d’abord pour moi, me laissant quelque peu perplexe. Je le regarde plusieurs secondes ne sachant pas quoi dire, la bouche légèrement ouverte. Je crois que c’est la première fois depuis mon existence et ma présence en Corée qu’une personne me demande si je vais bien alors que c’est moi qui lui ais renversé quelque chose. J’en suis presque touchée, mes pupilles s’allumant brusquement, trouvant cet homme alors merveilleux. Et en plus de cela il demande au serveur de m’offrir un autre café puisque je n’ai pas eu le temps de le boire. Je suis vraiment perplexe. J’en perds mon langage, et surtout je perds le sens de la réalité, mes yeux s’écarquillant de plus en plus sous l’effet de la surprise, la bouche s’entrouvrant davantage. « Pa . . . pardon ? », je ne m’excuse pas cette fois-ci mais exprime plutôt ma surprise devant tant de bonté. « Ouah ! Vous êtes bien la première personne qui agit de manière si gentille. Je suis impressionnée » et c’est peu de le dire. Je suis bien plus qu’impressionnée. « Je veux dire, c’est moi qui vous ai renversé du café, pas le contraire, et pourtant j’ai l’impression que c’est vous qui l’avez fait. Je suis sincèrement désolée. J’espère que je ne vous ai pas fait mal », je grimace, regardant avec une attention particulière le bas de son corps. « Si vous avez le moindre souci par la suite je vous donne mon numéro », sans attendre je sors un stylo et lui prends la main, inscrivant les numéros de mon téléphone. « Vraiment désolée » dis-je en me penchant plusieurs fois en avant, « et surtout merci de ne pas mal réagir et d’être si attentionnée ». J’ai déjà eu des cas extrêmes où la personne s’énervait brutalement, m’insultant de tous les noms, ou demandant que je nettoie, que je paie pour le nettoyage. J’ai déjà tout eu, sauf ce type de réaction. « Je vous offre quelque chose pour la peine. Vous avez un peu de temps ? ». Je refuse que cet homme s’en aille sans lui avoir offert quelque chose. Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Mar 19 Déc - 21:14
En voyant le regard de la jeune femme, j'avais l'impression d'avoir fait une bêtise. Elle n'avait pas répondu pendant de longues secondes. Elle devait peut-être encore être sous le choc de m'avoir renversé quelque chose dessus ? Ou bien elle n'aimait pas vraiment ma réaction. Ce serait compréhensible, on s'attendait en général à un simple échange... Ou bien elle n'aimait pas recevoir de l'attention. Il existait des personnes ainsi, alors j'avais peut-être fait une erreur... Cependant, tous mes doutes furent retirés quand elle se mit à parler. En fait, elle paraissait plus surprise qu'autre chose. Ça me rassura immédiatement, puis je souris à sa seconde phrase. « Malheureusement. » soufflai-je. C'était dommage que les gens étaient aussi peu gentils les uns envers les autres, désormais. Enfin, il se pouvait que j'étais le seul à penser comme ça. Il y avait bien des gens qui disaient que si on prêtait attention aux autres, on risquait plus de se blesser soi-même que d'aider réellement les autres. Mais ça, c'était parce qu'ils avaient peur de se faire mal. Au bout d'un moment, à force d'avoir été blessé, je me fichais de ce qu'il pourrait m'arriver. Pourquoi mon bonheur importerait lorsqu'il s'agissait des autres ? Ils passaient prioritaires, alors ils pouvaient traiter mon corps comme ils le souhaitaient. C'était une pensée que je considérais plus positive que négative, pourtant, mes proches étaient plutôt mitigés. A cause de ça, je me provoquais du mal et ils préféreraient que je prenne soin de moi-même. Mais c'était plus fort que moi, j'aimais tant me préoccuper des autres et m'assurer qu'ils aillent bien. Si je ne le faisais pas, je risquais de ne pas arriver à être paisible, moi non plus. Je souris à la jeune femme, l'excusant bien évidemment pour sa maladresse. « Non, je n'ai pas eu mal, ça reste du café ne vous en faîtes pas. » Elle me donna sur le champ son numéro en l'inscrivant sur ma main, et je regardai ensuite cette dernière en lisant les chiffres. Je me mis à rire doucement. « Je ne pense pas avoir besoin de vous contacter, j'ai seulement reçu du café sur le corps. Il n'y a rien d'horrifiant là-dedans, pas besoin d'en faire tout un plat ! » Il y avait des choses bien pires dans la vie. Se recevoir du café ne méritait pas tant d'attention. Elle s'excusa encore et je la regardai d'un air affolé. « Non non ne vous excusez pas autant, il n'y en pas besoin ! Vous allez me mettre mal à l'aise. Ma réaction est tout à fait normale, je pense qu'il serait déplacé de vous crier dessus parce que vous avez fait une erreur. Tout le monde fait des erreurs, ce n'est pas grave. » Je souris puis secouai de la tête. « J'apprécie votre offre mais je ne vais pas vous laisser me payer quelque chose pour cette raison. Vos excuses me suffisent, ne vous en faîtes pas. » Je m'inclinai légèrement. Cette jeune femme était bien attentionnée, je n'avais aucune raison de lui en vouloir.
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Olympe
En voyant le regard de la jeune femme, j'avais l'impression d'avoir fait une bêtise. Elle n'avait pas répondu pendant de longues secondes. Elle devait peut-être encore être sous le choc de m'avoir renversé quelque chose dessus ? Ou bien elle n'aimait pas vraiment ma réaction. Ce serait compréhensible, on s'attendait en général à un simple échange... Ou bien elle n'aimait pas recevoir de l'attention. Il existait des personnes ainsi, alors j'avais peut-être fait une erreur... Cependant, tous mes doutes furent retirés quand elle se mit à parler. En fait, elle paraissait plus surprise qu'autre chose. Ça me rassura immédiatement, puis je souris à sa seconde phrase. « Malheureusement. » soufflai-je. C'était dommage que les gens étaient aussi peu gentils les uns envers les autres, désormais. Enfin, il se pouvait que j'étais le seul à penser comme ça. Il y avait bien des gens qui disaient que si on prêtait attention aux autres, on risquait plus de se blesser soi-même que d'aider réellement les autres. Mais ça, c'était parce qu'ils avaient peur de se faire mal. Au bout d'un moment, à force d'avoir été blessé, je me fichais de ce qu'il pourrait m'arriver. Pourquoi mon bonheur importerait lorsqu'il s'agissait des autres ? Ils passaient prioritaires, alors ils pouvaient traiter mon corps comme ils le souhaitaient. C'était une pensée que je considérais plus positive que négative, pourtant, mes proches étaient plutôt mitigés. A cause de ça, je me provoquais du mal et ils préféreraient que je prenne soin de moi-même. Mais c'était plus fort que moi, j'aimais tant me préoccuper des autres et m'assurer qu'ils aillent bien. Si je ne le faisais pas, je risquais de ne pas arriver à être paisible, moi non plus. Je souris à la jeune femme, l'excusant bien évidemment pour sa maladresse. « Non, je n'ai pas eu mal, ça reste du café ne vous en faîtes pas. » Elle me donna sur le champ son numéro en l'inscrivant sur ma main, et je regardai ensuite cette dernière en lisant les chiffres. Je me mis à rire doucement. « Je ne pense pas avoir besoin de vous contacter, j'ai seulement reçu du café sur le corps. Il n'y a rien d'horrifiant là-dedans, pas besoin d'en faire tout un plat ! » Il y avait des choses bien pires dans la vie. Se recevoir du café ne méritait pas tant d'attention. Elle s'excusa encore et je la regardai d'un air affolé. « Non non ne vous excusez pas autant, il n'y en pas besoin ! Vous allez me mettre mal à l'aise. Ma réaction est tout à fait normale, je pense qu'il serait déplacé de vous crier dessus parce que vous avez fait une erreur. Tout le monde fait des erreurs, ce n'est pas grave. » Je souris puis secouai de la tête. « J'apprécie votre offre mais je ne vais pas vous laisser me payer quelque chose pour cette raison. Vos excuses me suffisent, ne vous en faîtes pas. » Je m'inclinai légèrement. Cette jeune femme était bien attentionnée, je n'avais aucune raison de lui en vouloir.Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Mar 19 Déc - 23:31
Je me sens soudainement angoissée. Angoissée parce que cet homme est bien trop sympathique et que je n’ai simplement pas l’habitude d’en voir un réagissant de la sorte. Je ne sais même plus comment réagir, ni même quoi dire. Je n’ai pas envie qu’il me prenne pour une malpolie et refuse de ne pas pouvoir lui offrir quelque chose en retour, surtout après lui avoir renversé du café et en plus au mauvais endroit. Moi qui réagis d’ordinaire autrement, j’avoue que je suis décontenancée par ce changement brusque de comportement. J’inspire profondément et plante mon regard dans celui du jeune homme. « Mais sincèrement ça ne me dérange pas. Et vous savez quoi vous allez me mettre plus à l’aise en acceptant mon offre je vous assure. Si vous ne le faites pas je vais être dérangée toute la journée, je vais y penser toute la journée et je vais tout faire pour vous retrouver pour payer ma bêtise ». Et j’en suis réellement capable. « Mes excuses ne me suffisent pas, alors ayez l’amabilité de bien vouloir accepter ma proposition ». Je me penche plusieurs fois en avant pour donner encore plus de poids à mes mots. Cet homme est tellement gentil, attentionné . . . que j’en ai les yeux qui s’illuminent, ayant l’impression de voir un prince sur son cheval blanc. Oui c’est ça. Je crois que j’ai trouvé mon nouveau prince. Je cligne plusieurs fois des yeux, joignant mes mains entre elles, partant déjà dans l’imaginaire, revenant toutefois rapidement sur terre. Et pendant ma chute sur la terre ferme je réalise quelque chose. Une information cruciale que je n’avais pas de suite repéré, bien trop inquiète de ce que j’avais pu faire. Je réalise enfin, et peut-être trop tard, qu’il fait parti du fameux groupe qui commence à prendre peu à peu de l’ampleur. Ce fameux groupe qui commence à faire quelques ravages alors qu’ils n’ont même pas réellement commencé et dont je suis déjà fan. Ma main se plaque brusquement contre ma bouche, mes yeux s’écarquillant en grand, reculant d’un pas, puis de deux. « Oh my . . . nom d’un oiseau ! ». Je cligne plusieurs fois des yeux, me pince le bras pour être sûre que je ne rêve pas. « Mais attendez vous. . . vous êtes . . . si je ne me trompe pas . . . vous êtes un membre de Zeus n’est-ce pas ? ».
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Kwang Jin
Je me sens soudainement angoissée. Angoissée parce que cet homme est bien trop sympathique et que je n’ai simplement pas l’habitude d’en voir un réagissant de la sorte. Je ne sais même plus comment réagir, ni même quoi dire. Je n’ai pas envie qu’il me prenne pour une malpolie et refuse de ne pas pouvoir lui offrir quelque chose en retour, surtout après lui avoir renversé du café et en plus au mauvais endroit. Moi qui réagis d’ordinaire autrement, j’avoue que je suis décontenancée par ce changement brusque de comportement. J’inspire profondément et plante mon regard dans celui du jeune homme. « Mais sincèrement ça ne me dérange pas. Et vous savez quoi vous allez me mettre plus à l’aise en acceptant mon offre je vous assure. Si vous ne le faites pas je vais être dérangée toute la journée, je vais y penser toute la journée et je vais tout faire pour vous retrouver pour payer ma bêtise ». Et j’en suis réellement capable. « Mes excuses ne me suffisent pas, alors ayez l’amabilité de bien vouloir accepter ma proposition ». Je me penche plusieurs fois en avant pour donner encore plus de poids à mes mots. Cet homme est tellement gentil, attentionné . . . que j’en ai les yeux qui s’illuminent, ayant l’impression de voir un prince sur son cheval blanc. Oui c’est ça. Je crois que j’ai trouvé mon nouveau prince. Je cligne plusieurs fois des yeux, joignant mes mains entre elles, partant déjà dans l’imaginaire, revenant toutefois rapidement sur terre. Et pendant ma chute sur la terre ferme je réalise quelque chose. Une information cruciale que je n’avais pas de suite repéré, bien trop inquiète de ce que j’avais pu faire. Je réalise enfin, et peut-être trop tard, qu’il fait parti du fameux groupe qui commence à prendre peu à peu de l’ampleur. Ce fameux groupe qui commence à faire quelques ravages alors qu’ils n’ont même pas réellement commencé et dont je suis déjà fan. Ma main se plaque brusquement contre ma bouche, mes yeux s’écarquillant en grand, reculant d’un pas, puis de deux. « Oh my . . . nom d’un oiseau ! ». Je cligne plusieurs fois des yeux, me pince le bras pour être sûre que je ne rêve pas. « Mais attendez vous. . . vous êtes . . . si je ne me trompe pas . . . vous êtes un membre de Zeus n’est-ce pas ? ». Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Lun 25 Déc - 21:36
Je n'aurais jamais pensé faire ce genre de rencontres dans un café. J'étais sorti pour prendre un peu d'air, et voilà que les choses ne se passaient pas comme je l'imaginais. C'était encore une preuve que la vie nous réservait un tas de surprises, plus ou moins bonnes d'ailleurs. Et bien que je m'étais reçu du café sur le pantalon, je ne pensais pas que cette fois, ce soit une mauvaise surprise. La jeune femme en face de moi ne m'avait pas l'air mauvaise, alors tout allait bien. J'allais donc prendre congé en ayant refusant son invitation à m'offrir quelque chose, mais il semblerait qu'encore une fois, ça n'allait pas se passer comme je le pensais. Si refuser son offre la dérangerait tout le reste de la journée et qu'elle irait jusqu'à tout faire pour me retrouver... Je ne voulais pas lui causer un tel désagrément. Je n'avais plus d'autres choix que d'accepter pour qu'elle se sente mieux. Et puis, ce n'était pas comme si me faire offrir un café me dérangeait. Ce serait même agréable, je n'aurais pas à rester seul ici, puis à rentrer chez moi pour être encore seul. Je pourrais passer une petite partie de la journée avec quelqu'un, et je ne refusais ça pour rien au monde. Je souris alors légèrement. « Si ça peut vous mettre plus à l'aise, j'accepte votre proposition alors. » Je regardai alors plus attentivement la carte qui était proposée au café, me concentrant pour choisir une boisson qui me plairait. Hm... Je prendrais simplement un cappuccino au caramel. Alors que je me tournai vers elle pour lui faire part de mon choix, sa main se plaqua brusquement sur sa bouche alors que ses yeux s'écarquillaient, reculant de quelques pas. Qu'avait-elle ? Après quelques instants où j'étais en train de me dire qu'il y avait un gros problème et où je m'inquiétais fortement pour elle, je réalisai que c'était probablement parce qu'elle m'avait reconnu. Même avec un masque, on n'échappait pas aux yeux des fans... Enfin, peut-être n'était-elle pas fan mais qu'elle m'avait reconnu tout de même. Soit, ce n'était pas le problème majeur de toute façon. Je me contentai de rire discrètement suite à sa réaction. « Oui, mais je vous en prie, calmez-vous d'abord. Je dois éviter d'attirer l'attention, alors faîtes comme si j'étais une personne banale. » Je lui souris pour tenter de la rassurer et de la calmer. Pas facile à faire si l'on voyait la personne dont on était fan et qu'on n'apercevait qu'à travers un écran. « Ah, que diriez-vous de prendre notre café ensemble pour en parler calmement ? Avez-vous du temps libre devant vous ? Il est encore tôt, vous allez peut-être au travail ou en cours ? Je ne voudrais pas vous mettre en retard. » Si elle était fan, je voulais juste lui offrir, pourquoi pas, un autographe ou une photo. Je ne voulais pas la laisser repartir sans rien dans les mains. Et si elle ne l'était pas, je lui expliquerais simplement de ne pas faire trop de bruit à propos de notre rencontre. Enfin, dans tous les cas, il fallait que je lui dise ça. Ça allait être compliqué sinon...
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Olympe
Je n'aurais jamais pensé faire ce genre de rencontres dans un café. J'étais sorti pour prendre un peu d'air, et voilà que les choses ne se passaient pas comme je l'imaginais. C'était encore une preuve que la vie nous réservait un tas de surprises, plus ou moins bonnes d'ailleurs. Et bien que je m'étais reçu du café sur le pantalon, je ne pensais pas que cette fois, ce soit une mauvaise surprise. La jeune femme en face de moi ne m'avait pas l'air mauvaise, alors tout allait bien. J'allais donc prendre congé en ayant refusant son invitation à m'offrir quelque chose, mais il semblerait qu'encore une fois, ça n'allait pas se passer comme je le pensais. Si refuser son offre la dérangerait tout le reste de la journée et qu'elle irait jusqu'à tout faire pour me retrouver... Je ne voulais pas lui causer un tel désagrément. Je n'avais plus d'autres choix que d'accepter pour qu'elle se sente mieux. Et puis, ce n'était pas comme si me faire offrir un café me dérangeait. Ce serait même agréable, je n'aurais pas à rester seul ici, puis à rentrer chez moi pour être encore seul. Je pourrais passer une petite partie de la journée avec quelqu'un, et je ne refusais ça pour rien au monde. Je souris alors légèrement. « Si ça peut vous mettre plus à l'aise, j'accepte votre proposition alors. » Je regardai alors plus attentivement la carte qui était proposée au café, me concentrant pour choisir une boisson qui me plairait. Hm... Je prendrais simplement un cappuccino au caramel. Alors que je me tournai vers elle pour lui faire part de mon choix, sa main se plaqua brusquement sur sa bouche alors que ses yeux s'écarquillaient, reculant de quelques pas. Qu'avait-elle ? Après quelques instants où j'étais en train de me dire qu'il y avait un gros problème et où je m'inquiétais fortement pour elle, je réalisai que c'était probablement parce qu'elle m'avait reconnu. Même avec un masque, on n'échappait pas aux yeux des fans... Enfin, peut-être n'était-elle pas fan mais qu'elle m'avait reconnu tout de même. Soit, ce n'était pas le problème majeur de toute façon. Je me contentai de rire discrètement suite à sa réaction. « Oui, mais je vous en prie, calmez-vous d'abord. Je dois éviter d'attirer l'attention, alors faîtes comme si j'étais une personne banale. » Je lui souris pour tenter de la rassurer et de la calmer. Pas facile à faire si l'on voyait la personne dont on était fan et qu'on n'apercevait qu'à travers un écran. « Ah, que diriez-vous de prendre notre café ensemble pour en parler calmement ? Avez-vous du temps libre devant vous ? Il est encore tôt, vous allez peut-être au travail ou en cours ? Je ne voudrais pas vous mettre en retard. » Si elle était fan, je voulais juste lui offrir, pourquoi pas, un autographe ou une photo. Je ne voulais pas la laisser repartir sans rien dans les mains. Et si elle ne l'était pas, je lui expliquerais simplement de ne pas faire trop de bruit à propos de notre rencontre. Enfin, dans tous les cas, il fallait que je lui dise ça. Ça allait être compliqué sinon...Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Ven 5 Jan - 16:00
Je lui fais un grand sourire quand il finit par accepter mon offre, me sentant plus à l’aise de lui payer une boisson après ma maladresse. De toute manière s’il n’avait pas accepté je lui aurai sûrement un peu forcé la main en lui offrant quelque chose, quoiqu’il arrive, et en provoquant le destin, même si je ne sais pas encore comment je l’aurai fait. Quoique . . . après avoir réalisé qui il était réellement je me dis qu’il y aurait eu un moyen pour le retrouver, où qu’il soit. Il faut dire qu’il ne passe pas inaperçu et surtout qu’il n’est pas une personne banale comme j’en rencontre tous les jours. Face à sa réaction je hoche plusieurs fois de la tête, observant autour de nous pour vérifier que personne ne nous a entendu, ou plutôt m’a entendu. Mais fort heureusement personne ne semble avoir percuté sur mes mots, posant alors mes doigts sur ma bouche pour ne pas faire de bêtises. Je suis toutefois tellement contente que j’ai du mal à me contenir et me sens obligée de sautiller sur place, comme une pauvre demeurée, ou plutôt une grande fan. « Bien sûr que j’ai du temps libre », je le dis tellement fort qu’un couple en face de nous se tourne vers nous, esquissant un sourire semblant croire qu’il y a peut-être une relation entre nous, ou du moins le début d’un couple. Qui sait ? Non je plaisante. Je ne suis pas dans un drama où je rencontre l’homme de ma vie après lui avoir renversé du café sur son pantalon. Quoique . . . la vie est faite de surprises. Je sors rapidement de mes pensées, « je dois aller en cours mais j’ai un peu de temps devant moi ». A vrai dire je n’en ai pas autant que ce que je laisse croire, mais ce n’est pas grave. Ce n’est pas la première fois que je rate les premières heures, voir même que je rate tout court les cours. Je me rapproche doucement de lui, l’appelant discrètement de la main pour qu’il se penche vers moi, murmurant à son oreille, « on peut s’asseoir là-bas. Il y a une table de libre ». Je lui fais un grand sourire et commande pour lui, m’installant ensuite à la table en question. « Sachez que c’est un véritable honneur de vous rencontrer en chair et en os » dis-je en me penchant légèrement en avant, les yeux émerveillés. « Je ne pensais pas tomber sur une . . . idole ! Ohlalala, je crois que je vais renverser plus de café », je rigole. Je me sens même plus mal à l’aise du fait d’avoir renversé du café sur lui. Si je l’avais hautement brûlé je n’ose imaginer les conséquences de mes actes et les nombreux scandales pouvant apparaître dans les journaux, ruinant ainsi ma vie à jamais. Un frisson me parcourt rapidement, essayant toutefois de faire l’impasse. « En tout cas je suis heureuse de vous avoir croisé, vous êtes encore plus beau en vrai. C’est fou ! Vous avez fait de la chirurgie esthétique ? ». L’art de parler by Olympe.
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Kwang Jin
Je lui fais un grand sourire quand il finit par accepter mon offre, me sentant plus à l’aise de lui payer une boisson après ma maladresse. De toute manière s’il n’avait pas accepté je lui aurai sûrement un peu forcé la main en lui offrant quelque chose, quoiqu’il arrive, et en provoquant le destin, même si je ne sais pas encore comment je l’aurai fait. Quoique . . . après avoir réalisé qui il était réellement je me dis qu’il y aurait eu un moyen pour le retrouver, où qu’il soit. Il faut dire qu’il ne passe pas inaperçu et surtout qu’il n’est pas une personne banale comme j’en rencontre tous les jours. Face à sa réaction je hoche plusieurs fois de la tête, observant autour de nous pour vérifier que personne ne nous a entendu, ou plutôt m’a entendu. Mais fort heureusement personne ne semble avoir percuté sur mes mots, posant alors mes doigts sur ma bouche pour ne pas faire de bêtises. Je suis toutefois tellement contente que j’ai du mal à me contenir et me sens obligée de sautiller sur place, comme une pauvre demeurée, ou plutôt une grande fan. « Bien sûr que j’ai du temps libre », je le dis tellement fort qu’un couple en face de nous se tourne vers nous, esquissant un sourire semblant croire qu’il y a peut-être une relation entre nous, ou du moins le début d’un couple. Qui sait ? Non je plaisante. Je ne suis pas dans un drama où je rencontre l’homme de ma vie après lui avoir renversé du café sur son pantalon. Quoique . . . la vie est faite de surprises. Je sors rapidement de mes pensées, « je dois aller en cours mais j’ai un peu de temps devant moi ». A vrai dire je n’en ai pas autant que ce que je laisse croire, mais ce n’est pas grave. Ce n’est pas la première fois que je rate les premières heures, voir même que je rate tout court les cours. Je me rapproche doucement de lui, l’appelant discrètement de la main pour qu’il se penche vers moi, murmurant à son oreille, « on peut s’asseoir là-bas. Il y a une table de libre ». Je lui fais un grand sourire et commande pour lui, m’installant ensuite à la table en question. « Sachez que c’est un véritable honneur de vous rencontrer en chair et en os » dis-je en me penchant légèrement en avant, les yeux émerveillés. « Je ne pensais pas tomber sur une . . . idole ! Ohlalala, je crois que je vais renverser plus de café », je rigole. Je me sens même plus mal à l’aise du fait d’avoir renversé du café sur lui. Si je l’avais hautement brûlé je n’ose imaginer les conséquences de mes actes et les nombreux scandales pouvant apparaître dans les journaux, ruinant ainsi ma vie à jamais. Un frisson me parcourt rapidement, essayant toutefois de faire l’impasse. « En tout cas je suis heureuse de vous avoir croisé, vous êtes encore plus beau en vrai. C’est fou ! Vous avez fait de la chirurgie esthétique ? ». L’art de parler by Olympe. Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Mer 10 Jan - 16:56
Cette rencontre était la plus improbable de ma vie... Se faire renverser du café par une inconnue avec qui j'allais finalement prendre un café... Finalement, ça ne me dérangeait pas vraiment. J'aimais beaucoup passer du temps avec les autres, et ces derniers temps, je me sentais vraiment seul. Personne n'était chez moi, et la plupart de mes amis étaient occupés par les cours, comme ils étaient pour la plupart encore étudiants. Même mon frère, qui pourtant détestait autant les études que moi, avait choisi de les poursuivre en arts du spectacle. C'était vrai que j'aurais pu le faire, mais j'étais bien plus épanoui sans un lieu où je me sentais enfermé et où je devais aller chaque jour. Je devais bien aller à l'agence, mais l'agence n'était pas une école, et tant mieux. Je détestais ça. Les cours me rappelaient toujours mes parents qui avaient toujours voulu notre bonheur, mais égoïstement, nous n'avions pas voulu être heureux comme ils l'entendaient. Pour une fois dans ma vie, j'avais été égoïste, et ce, pour la musique. Je pouvais littéralement tout faire pour cette passion, c'était celle qui me gardait en vie. Si jamais je perdais la musique, alors je perdais tout. Je fis signaler à la personne devant moi qu'elle ne devait pas s'exclamer trop fort sur ce sujet comme je devais me faire discret, et sa réaction me fit sourire. Elle semblait sincère et enfantine, les personnes comme elle manquaient dans ce monde. A ma proposition, elle sautilla sur place puis l'accepta. Cependant, elle le dit tellement fort que les personnes proches de nous l'entendirent, et que le couple en face nous regarda en souriant. Il n'y avait pas besoin d'être très intelligent pour comprendre qu'ils insinuaient que nous étions peut-être un couple, et à cette réflexion, je ris légèrement. Le mot « amour » était banni de ma vie. De un car j'étais dans une agence, et que j'étais dans un groupe que je ne devais pas fragiliser avec de tels sentiments, et de deux car j'aimais beaucoup trop la musique pour m'impliquer dans une relation amoureuse. Depuis que j'étais jeune je n'avais jamais cherché à rencontrer l'amour, j'étais trop occupé avec la musique. J'étais bien déjà tombé amoureux, mais je ne voulais jamais faire développer ces sentiments. Autant pour la personne en face que pour moi, ces sentiments étaient nuisibles et je préférais me consacrer à ma passion. Je souris à l'inconnue quand elle m'apprit qu'elle devait aller en cours, mais qu'elle avait tout de même un peu de temps. Croyant bien que cette personne était sincère, je ne cherchai pas à remettre en question sa déclaration et hochai la tête. « C'est parfait alors, j'en suis soulagé. » Lorsqu'elle me fit signe de me rapprocher, je m'exécutai et elle me désigna une table. Nous n'attendîmes pas plus longtemps pour aller nous y installer après qu'elle aie commandé quelque chose pour moi, et je me mis à rire quand elle s'émerveilla devant ma personne. « Mais non, n'en faîtes pas autant. Je ne suis pas si important que ça, je ne suis pas encore très connu. » Je m'inclinai légèrement à son compliment avant de me remettre à rire à sa question qui m'avait été posée énormément de moi. J'y étais bien habitué, à présent. « Non, je n'en ai pas fait ! Sinon, ils auraient dû faire de la chirurgie sur mon jumeau aussi, pour ne pas que les gens sachent qu'on en a fait. Ils auraient dû reproduire exactement la même chose, c'est compliqué non ? » Je souris légèrement avant de me faire une réflexion. « Oh ! En y pensant ! Êtes-vous une fan de ZEUS ? Je me demande si les fans réussissent à me différencier entre moi et mon jumeau. Vous savez qui je suis ? » Je la regardai d'un air curieux. Il était presque impossible de me différencier entre lui et moi, si ce n'était que Kwangmin avait un grain de beauté en plus sur le cou par rapport à moi. Sinon... Mes parents avaient bien du mal à savoir qui était qui s'ils ne voyaient pas notre cou.
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Olympe
Cette rencontre était la plus improbable de ma vie... Se faire renverser du café par une inconnue avec qui j'allais finalement prendre un café... Finalement, ça ne me dérangeait pas vraiment. J'aimais beaucoup passer du temps avec les autres, et ces derniers temps, je me sentais vraiment seul. Personne n'était chez moi, et la plupart de mes amis étaient occupés par les cours, comme ils étaient pour la plupart encore étudiants. Même mon frère, qui pourtant détestait autant les études que moi, avait choisi de les poursuivre en arts du spectacle. C'était vrai que j'aurais pu le faire, mais j'étais bien plus épanoui sans un lieu où je me sentais enfermé et où je devais aller chaque jour. Je devais bien aller à l'agence, mais l'agence n'était pas une école, et tant mieux. Je détestais ça. Les cours me rappelaient toujours mes parents qui avaient toujours voulu notre bonheur, mais égoïstement, nous n'avions pas voulu être heureux comme ils l'entendaient. Pour une fois dans ma vie, j'avais été égoïste, et ce, pour la musique. Je pouvais littéralement tout faire pour cette passion, c'était celle qui me gardait en vie. Si jamais je perdais la musique, alors je perdais tout. Je fis signaler à la personne devant moi qu'elle ne devait pas s'exclamer trop fort sur ce sujet comme je devais me faire discret, et sa réaction me fit sourire. Elle semblait sincère et enfantine, les personnes comme elle manquaient dans ce monde. A ma proposition, elle sautilla sur place puis l'accepta. Cependant, elle le dit tellement fort que les personnes proches de nous l'entendirent, et que le couple en face nous regarda en souriant. Il n'y avait pas besoin d'être très intelligent pour comprendre qu'ils insinuaient que nous étions peut-être un couple, et à cette réflexion, je ris légèrement. Le mot « amour » était banni de ma vie. De un car j'étais dans une agence, et que j'étais dans un groupe que je ne devais pas fragiliser avec de tels sentiments, et de deux car j'aimais beaucoup trop la musique pour m'impliquer dans une relation amoureuse. Depuis que j'étais jeune je n'avais jamais cherché à rencontrer l'amour, j'étais trop occupé avec la musique. J'étais bien déjà tombé amoureux, mais je ne voulais jamais faire développer ces sentiments. Autant pour la personne en face que pour moi, ces sentiments étaient nuisibles et je préférais me consacrer à ma passion. Je souris à l'inconnue quand elle m'apprit qu'elle devait aller en cours, mais qu'elle avait tout de même un peu de temps. Croyant bien que cette personne était sincère, je ne cherchai pas à remettre en question sa déclaration et hochai la tête. « C'est parfait alors, j'en suis soulagé. » Lorsqu'elle me fit signe de me rapprocher, je m'exécutai et elle me désigna une table. Nous n'attendîmes pas plus longtemps pour aller nous y installer après qu'elle aie commandé quelque chose pour moi, et je me mis à rire quand elle s'émerveilla devant ma personne. « Mais non, n'en faîtes pas autant. Je ne suis pas si important que ça, je ne suis pas encore très connu. » Je m'inclinai légèrement à son compliment avant de me remettre à rire à sa question qui m'avait été posée énormément de moi. J'y étais bien habitué, à présent. « Non, je n'en ai pas fait ! Sinon, ils auraient dû faire de la chirurgie sur mon jumeau aussi, pour ne pas que les gens sachent qu'on en a fait. Ils auraient dû reproduire exactement la même chose, c'est compliqué non ? » Je souris légèrement avant de me faire une réflexion. « Oh ! En y pensant ! Êtes-vous une fan de ZEUS ? Je me demande si les fans réussissent à me différencier entre moi et mon jumeau. Vous savez qui je suis ? » Je la regardai d'un air curieux. Il était presque impossible de me différencier entre lui et moi, si ce n'était que Kwangmin avait un grain de beauté en plus sur le cou par rapport à moi. Sinon... Mes parents avaient bien du mal à savoir qui était qui s'ils ne voyaient pas notre cou.Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Dim 14 Jan - 23:22
Autant je n’ai pas de chance lorsqu’il s’agit de ma maladresse autant parfois j’en ai lorsqu’il s’agit de croiser les bonnes personnalités. Je ne sais pas ce qu’il se passe en ce moment mais je dois avoir une aura particulière qui fait que j’attire quelques stars. Enfin stars, c’est un bien grand mot, qui n’est pas forcément employé dans notre pays, mais il faut dire que la dernière fois j’ai croisé mon écrivain préféré et là, je croise sans le savoir un membre de zeus, n’est-ce pas une coïncidence plaisante ? Certes ce n’est- franchement pas dans les meilleures conditions, mais tout de même. La dernière fois pour mon écrivain préféré, je l’ai amené à la police et là je lui renverse du café chaud sur le pantalon, je suis définitivement miss catastrophe, mais au moins mes catastrophes me permettent de rencontrer des personnes intéressantes. Je ne peux m’empêcher d’échapper un petit rire lorsqu’il ose dire qu’il n’est pas si important que ça, certes ils ne sont pas encore très connus mais d’ici quelques années cela sera sûrement le cas. « Oh et bien si vous n’êtes pas très connus alors moi je dois être un atome invisible qui se promène dans la nature », ce qui n’est pas totalement faux, je dois l’avouer. Je suis surtout un atome bizarre. En tout cas il est d’une extrême beauté, ce qui me charme chaque seconde un peu plus. Je ne sais pas si c’est parce que c’est un membre du groupe que je dis ça ou si je le pense réellement. Mes yeux semblent quelque peu biaisés par son rayonnement en tant que future idole. « Ce n’est pas faux » dis-je en plongeant mon regard dans le sien, posant mes mains contre mon menton pour le contempler un peu plus. C’est vrai qu’ayant un jumeau il ne peut y avoir de chirurgie, quoique, parfois les deux suivent le même mouvement et il existe de faux jumeaux même si je doute qu’ils fassent partie de cette catégorie-là. Lorsqu’il me demande si je reconnais les deux individus, j’ai l’impression d’être face à une question piège qui engendre une certaine angoisse, ne sachant pas quoi répondre sur le moment, ouvrant et fermant ma bouche. Je parviens parfois à les différencier mais je ne suis pas certaine de réellement le pouvoir. C’est par rapport à leurs comportements, ils n’ont pas forcément la même manière de parler, ou encore de se comporter. De manière très banale la manière de se tenir n’est pas la même, mais ce sont des petits détails dont je ne suis pas certaine, « hum . . . je dois t’avouer . . . », je pose un doigt sur ma bouche, « je peux te tutoyer ? Parce que je doute que nous ayons un âge bien différent » et c’est assez ennuyant de devoir vouvoyer tout le long une personne de son âge. « Donc je disais que selon moi, j’y parviens, parfois, mais pas toujours. Enfin après c’est mon interprétation mais je ne sais pas toujours si je suis en tort ou si j’ai raison ». J’inspire profondément, buvant quelques gorgées de son café, « mais je suppose que tu es . . . Kwang Jin ? ». Je retiens ma respiration craignant de m’être trompée, « mais je me trompe peut-être et j’en suis désolée. Il faut dire que physiquement vous êtes la copie conforme ».
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Kwang Jin
Autant je n’ai pas de chance lorsqu’il s’agit de ma maladresse autant parfois j’en ai lorsqu’il s’agit de croiser les bonnes personnalités. Je ne sais pas ce qu’il se passe en ce moment mais je dois avoir une aura particulière qui fait que j’attire quelques stars. Enfin stars, c’est un bien grand mot, qui n’est pas forcément employé dans notre pays, mais il faut dire que la dernière fois j’ai croisé mon écrivain préféré et là, je croise sans le savoir un membre de zeus, n’est-ce pas une coïncidence plaisante ? Certes ce n’est- franchement pas dans les meilleures conditions, mais tout de même. La dernière fois pour mon écrivain préféré, je l’ai amené à la police et là je lui renverse du café chaud sur le pantalon, je suis définitivement miss catastrophe, mais au moins mes catastrophes me permettent de rencontrer des personnes intéressantes. Je ne peux m’empêcher d’échapper un petit rire lorsqu’il ose dire qu’il n’est pas si important que ça, certes ils ne sont pas encore très connus mais d’ici quelques années cela sera sûrement le cas. « Oh et bien si vous n’êtes pas très connus alors moi je dois être un atome invisible qui se promène dans la nature », ce qui n’est pas totalement faux, je dois l’avouer. Je suis surtout un atome bizarre. En tout cas il est d’une extrême beauté, ce qui me charme chaque seconde un peu plus. Je ne sais pas si c’est parce que c’est un membre du groupe que je dis ça ou si je le pense réellement. Mes yeux semblent quelque peu biaisés par son rayonnement en tant que future idole. « Ce n’est pas faux » dis-je en plongeant mon regard dans le sien, posant mes mains contre mon menton pour le contempler un peu plus. C’est vrai qu’ayant un jumeau il ne peut y avoir de chirurgie, quoique, parfois les deux suivent le même mouvement et il existe de faux jumeaux même si je doute qu’ils fassent partie de cette catégorie-là. Lorsqu’il me demande si je reconnais les deux individus, j’ai l’impression d’être face à une question piège qui engendre une certaine angoisse, ne sachant pas quoi répondre sur le moment, ouvrant et fermant ma bouche. Je parviens parfois à les différencier mais je ne suis pas certaine de réellement le pouvoir. C’est par rapport à leurs comportements, ils n’ont pas forcément la même manière de parler, ou encore de se comporter. De manière très banale la manière de se tenir n’est pas la même, mais ce sont des petits détails dont je ne suis pas certaine, « hum . . . je dois t’avouer . . . », je pose un doigt sur ma bouche, « je peux te tutoyer ? Parce que je doute que nous ayons un âge bien différent » et c’est assez ennuyant de devoir vouvoyer tout le long une personne de son âge. « Donc je disais que selon moi, j’y parviens, parfois, mais pas toujours. Enfin après c’est mon interprétation mais je ne sais pas toujours si je suis en tort ou si j’ai raison ». J’inspire profondément, buvant quelques gorgées de son café, « mais je suppose que tu es . . . Kwang Jin ? ». Je retiens ma respiration craignant de m’être trompée, « mais je me trompe peut-être et j’en suis désolée. Il faut dire que physiquement vous êtes la copie conforme ». Invité
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Re: ça chauffe dans ton pantalon [Feat. Kwang Jin ] | Jeu 18 Jan - 21:01
J'éclatai de rire à sa réponse. La demoiselle en face de moi était vraiment amusante et gentille. Si Kwangmin avait été là, peut-être m'aurait-il dit de me méfier d'elle car elle montrait évidemment des signes de méchanceté et de manipulation, mais je n'avais pas envie de me méfier d'elle. Elle me semblait être une bonne personne, et j'avais décidé de me fier à mon propre jugement. « Mais non, ne dîtes pas ça ! Vous êtes l'héroïne de votre vie, et peut-être le soleil de quelqu'un et l'oxygène d'un autre. Vous êtes importante aussi, j'en suis certain. » Je pensais que tout le monde était important à quelqu'un d'autre, chaque personne tenait à une autre personne, même si nous n'en avions parfois pas conscience. L'amour à sens unique, l'attachement à sens unique, je le connaissais bien. Je décidais toujours de cacher mes sentiments pour ne pas gêner les autres, et pour laisser place à la musique dans mon corps. Il n'y avait rien d'autre que des notes de musique qui pouvaient parcourir mon esprit. Me demandant si j'avais fait de la chirurgie pour être aussi beau, je répondis par la négative. On me posait souvent cette question. C'était encore plus fréquent maintenant que j'étais presque une célébrité. J'avais conscience d'être beau, cependant, je ne pensais vraiment pas faire partie des personnes les plus belles sur la planète. Il y avait bien plus beau que moi, je restais toujours émerveillé devant leur beauté. Au final, je n'étais pas si beau que ça, j'étais un simple humain parmi tant d'autres. Toutefois, je ne pouvais pas dire si c'était parce que je voyais mon visage tous les jours dans le miroir et que je voyais tous mes défauts, ou si c'était parce que j'étais trop modeste. J'avais plutôt l'impression que c'était les deux. J'avais du mal à accepter les compliments, je me demandais toujours si je les méritais. Bien sûr, j'étais fier quand on complimentait mon travail car j'avais travaillé dur dessus, mais lorsque l'on me faisait des éloges, j'en étais souvent embarrassé. J'étais perçu comme une personne humble, et on pouvait se demander si c'était une simple image d'idole de ma part. Ce n'était pas le cas, j'avais toujours été une personne modeste. Me dire que j'étais beau me gênait, d'autant plus quand on disait à mon frère qu'il était beau. Ça revenait bien à dire que j'étais aussi beau... Ce compliment indirect me gênait le plus. En pensant à lui, je posai une question à cette inconnue par pure curiosité. Pouvait-elle nous reconnaître ? Elle sembla se tendre, et par essayer de me répondre. Elle ouvrit et ferma la bouche à plusieurs reprises, ce qui me vola un sourire. Elle prit enfin la parole, et j'élargis mon sourire. « Bien sûr ! J'ai vingt-trois ans, tu ne dois pas être plus vieille. » Je l'écoutai ensuite avec attention puis lui offris un sourire rassurant. « Ce n'est pas grave si tu te trompes, j'y suis habitué. » Mais ce fut avec surprise qu'elle réussit à deviner qui j'étais. J'eus alors un visage mêlant la stupéfaction et l'émerveillement. Comment réussissaient-ils à nous différencier ? Ça devait être dur, non ? Je lâchai un petit rire. « Tu as eu raison ! Comment tu as fait pour le savoir ? C'est vrai qu'on est des copies de l'un de l'autre, il n'y a pas un seul détail qui peut nous différencier... Ah, il y a juste quelque chose sur notre peau qui a toujours permis à nos parents de savoir qui était qui. » Je me rappelais encore de ces souvenirs bien lointains à présent... Je désignai mon cou. « Kwangmin a un grain de beauté ici, je n'en ai pas. Mais chut ! » Je mis mon index sur mes lèvres. « C'est un secret. » dis-je sur un ton taquin.
ça chauffe dans ton pantalon
Feat Olympe
J'éclatai de rire à sa réponse. La demoiselle en face de moi était vraiment amusante et gentille. Si Kwangmin avait été là, peut-être m'aurait-il dit de me méfier d'elle car elle montrait évidemment des signes de méchanceté et de manipulation, mais je n'avais pas envie de me méfier d'elle. Elle me semblait être une bonne personne, et j'avais décidé de me fier à mon propre jugement. « Mais non, ne dîtes pas ça ! Vous êtes l'héroïne de votre vie, et peut-être le soleil de quelqu'un et l'oxygène d'un autre. Vous êtes importante aussi, j'en suis certain. » Je pensais que tout le monde était important à quelqu'un d'autre, chaque personne tenait à une autre personne, même si nous n'en avions parfois pas conscience. L'amour à sens unique, l'attachement à sens unique, je le connaissais bien. Je décidais toujours de cacher mes sentiments pour ne pas gêner les autres, et pour laisser place à la musique dans mon corps. Il n'y avait rien d'autre que des notes de musique qui pouvaient parcourir mon esprit. Me demandant si j'avais fait de la chirurgie pour être aussi beau, je répondis par la négative. On me posait souvent cette question. C'était encore plus fréquent maintenant que j'étais presque une célébrité. J'avais conscience d'être beau, cependant, je ne pensais vraiment pas faire partie des personnes les plus belles sur la planète. Il y avait bien plus beau que moi, je restais toujours émerveillé devant leur beauté. Au final, je n'étais pas si beau que ça, j'étais un simple humain parmi tant d'autres. Toutefois, je ne pouvais pas dire si c'était parce que je voyais mon visage tous les jours dans le miroir et que je voyais tous mes défauts, ou si c'était parce que j'étais trop modeste. J'avais plutôt l'impression que c'était les deux. J'avais du mal à accepter les compliments, je me demandais toujours si je les méritais. Bien sûr, j'étais fier quand on complimentait mon travail car j'avais travaillé dur dessus, mais lorsque l'on me faisait des éloges, j'en étais souvent embarrassé. J'étais perçu comme une personne humble, et on pouvait se demander si c'était une simple image d'idole de ma part. Ce n'était pas le cas, j'avais toujours été une personne modeste. Me dire que j'étais beau me gênait, d'autant plus quand on disait à mon frère qu'il était beau. Ça revenait bien à dire que j'étais aussi beau... Ce compliment indirect me gênait le plus. En pensant à lui, je posai une question à cette inconnue par pure curiosité. Pouvait-elle nous reconnaître ? Elle sembla se tendre, et par essayer de me répondre. Elle ouvrit et ferma la bouche à plusieurs reprises, ce qui me vola un sourire. Elle prit enfin la parole, et j'élargis mon sourire. « Bien sûr ! J'ai vingt-trois ans, tu ne dois pas être plus vieille. » Je l'écoutai ensuite avec attention puis lui offris un sourire rassurant. « Ce n'est pas grave si tu te trompes, j'y suis habitué. » Mais ce fut avec surprise qu'elle réussit à deviner qui j'étais. J'eus alors un visage mêlant la stupéfaction et l'émerveillement. Comment réussissaient-ils à nous différencier ? Ça devait être dur, non ? Je lâchai un petit rire. « Tu as eu raison ! Comment tu as fait pour le savoir ? C'est vrai qu'on est des copies de l'un de l'autre, il n'y a pas un seul détail qui peut nous différencier... Ah, il y a juste quelque chose sur notre peau qui a toujours permis à nos parents de savoir qui était qui. » Je me rappelais encore de ces souvenirs bien lointains à présent... Je désignai mon cou. « Kwangmin a un grain de beauté ici, je n'en ai pas. Mais chut ! » Je mis mon index sur mes lèvres. « C'est un secret. » dis-je sur un ton taquin.Contenu sponsorisé
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