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Le monstre sous le lit #hahyuk
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Re: Le monstre sous le lit #hahyuk | Ven 29 Déc - 22:25 Citer EditerSupprimer
Le monstre sous le lit
Feat #hahyuk
Je ne crois pas non » Mes yeux se posent sur ses doigts qui serrent encore mon poignet et je n’ai qu’une envie, le repousser, mais je suis fatigué, douloureux. C’est épuisant de lutter constamment. « Tu vas rester chez moi, dormir ici. Et je ne t’en donne pas le choix donc n’essaye même pas d’éviter ou même de t’en aller, t’es chez moi et donc je décide ». Je le fixe presque méchamment. Le voir…. Le voir comme ça me tenir et m’imposer des choses. D’un côté, ça me fait du bien parce que pour une fois, j’ai l’impression que quelqu’un veut prendre soin de moi, de l’utre côté, je me sens terriblement pris au piège et face à un homme en plus. « J’ai une seconde chambre, donc ne t’en fais pas, tu ne vas ni prendre ma chambre, ni dormir sur le fauteuil. Je dois avoir quelques vêtements d’homme qui ne sont pas les miens si ça te dérange et si tu souhaites te laver j’ai de quoi faire ». « Tu veux quoi de moi ?? Tu t’attends à quoi ??? Tu veux quoi ?? Vraiment, tu veux quoi??? » Je le regarde, les larmes aux yeux en essayant de récupérer mon poing. "Tu veux quoi au long terme ? Que je tombe pour le preux chevalier que tu es ? Que je te dise merci en couchant avec toi ? Que je finisse à genoux ? Tu veux quoi de moi ? Parce que moi, je ne veux rien de toi. Rien. Je veux juste avoir la paix. » Je le regarde et récupère enfin ma main. « Passer la nuit chez un homme après avoir pris une derrouillée pour avoir… manqué de contrôle et pseudo-montrer quelque chose d’intolérable, c’est compatible du crois ? Non, je ne pense pas et je ne veux pas. Autre chambre ou pas. JE NE VEUX PAS!!!! » Dis-je en hurlant devant lui avant de secouer la tête et me mettre contre un mur pris par une douleur bien trop vive qui me coupe le souffle jusqu’à me faire tomber dans les pommes.
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Re: Le monstre sous le lit #hahyuk | Ven 5 Jan - 15:51 Citer EditerSupprimer
Je suis désarmé. Je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas quoi faire. Je n’ai pas envie de le blesser, ni même de le retenir par force mais en même temps je ne peux me résigner à le laisser dans la nature alors qu’il est encore blessé, qu’il a sûrement encore mal. Dehors il y a encore des bêtes. Des bêtes prêtes à l’attraper et sûrement le blesser de nouveau. Parce qu’un être faible, dans ces moments-là, c’est la meilleure proie pour les monstres. J’avance ma main alors qu’il se met contre le mur, me montrant à quel point il souffre, mon cœur recevant une légère décharge. Je ne le connais pas, et pourtant je ressens le besoin de le protéger, de le contenir, de le rassurer, mais je ne sais pas si je peux le faire. Je ne sais pas si j’en ai les moyens et surtout . . . je ne sais pas si je suis la bonne personne. Je suis quelqu’un pouvant lui faire plus de mal que de bien. Je le sais. Mais avant que je ne puisse parler, avant que je ne puisse dire quoique ce soit, il s’évanouit, devant moi. Me désarmant et surtout me paniquant. Alors pris de panique je m’approche de lui, « jae hyuk ? Jae hyuk ? Tu m’entends ? Hé ! Me laisse pas ! Merde . . . ». Mon cœur bat rapidement contre ma poitrine, et je perds mes moyens, ne sachant plus quoi faire alors que je suis interne. Je dois garder mon sang-froid, je dois reprendre mes esprits. « Ok, pas de panique Ha Jun, ça va aller ». Je le prends alors délicatement, le portant dans mes bras et l’amenant jusqu’à la chambre d’ami, l’y déposant précieusement. J’apporte un verre d’eau et une bouillotte que je dépose contre son front. Je ne sais pas pourquoi je fais ça et je sais pertinemment que c’est inutile mais je le fais quand même. Parce que j’ai besoin de faire quelque chose. Je le couvre d’un drap et reste à ses côtés, tapotant délicatement sa main, attendant qu’il daigne se réveiller, prêt à appeler les secours si d’ici une heure il n’est toujours pas debout.
Et lorsqu’enfin il se réveille, j’ai ma main dans la sienne, sans même en avoir pris conscience, mes yeux plongeant dans les siens, « ça va ? Tu es sûr que ça va ? Je t’ai apporté un verre d’eau si tu en as besoin ? Et n’hésite pas à me réclamer quelque chose à manger si tu as besoin d’énergie. Tu m’as vraiment fait peur tout à l’heure. Ne refais plus jamais ça », je le regarde, presque menaçant. Mais je m’adoucis rapidement, surtout après ce qu’il vient de se passer. J’inspire profondément. « Je n’ai pas pu te répondre tout à l’heure . . . mais sache que je ne veux rien de toi . . . sincèremen. Je . . . je peux comprendre que tu sois réticent à l’idée de rester avec un homme. Un homme qui pourrait tout aussi bien profiter de toi, profiter de ta faiblesse, de battre, ou pire . . . ». Je laisse un blanc, ma gorge se serrant, ne sachant pas quels mots lui dire pour le rassurer. Pour lui venir un peu en aide. « Je veux juste . . . je ne sais pas . . . à vrai dire je n’ai qu’une envie c’est de te protéger ». Je le dis doucement, presque pour moi-même, le regardant baissé, les poings serrés. « On ne se connait pas. Et tu ne devrais pas avoir confiance en moi, tout comme moi je ne devrai pas m’approcher de toi . . . », mais il y a quelque chose . . . une source inconnue qui m’amène toujours vers lui, qui me donne envie de le prendre dans mes bras, et d’être là. De me tenir à ses côtés. « Je veux juste que tu comprennes que je ne suis pas comme eux . . . je ne suis pas un homme bien mais je ne suis pas comme . . . ça. Comme eux. Alors fais moi le plaisir de rester. Juste ce soir. Juste le temps que tu ais plus de force. Et puis tu as bien vu, tu as perdu connaissance, qui sait où tu peux perdre connaissance encore. ». Et c’est pour ça qu’il doit rester ici, car dehors les monstres rôdent.
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Je suis désarmé. Je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas quoi faire. Je n’ai pas envie de le blesser, ni même de le retenir par force mais en même temps je ne peux me résigner à le laisser dans la nature alors qu’il est encore blessé, qu’il a sûrement encore mal. Dehors il y a encore des bêtes. Des bêtes prêtes à l’attraper et sûrement le blesser de nouveau. Parce qu’un être faible, dans ces moments-là, c’est la meilleure proie pour les monstres. J’avance ma main alors qu’il se met contre le mur, me montrant à quel point il souffre, mon cœur recevant une légère décharge. Je ne le connais pas, et pourtant je ressens le besoin de le protéger, de le contenir, de le rassurer, mais je ne sais pas si je peux le faire. Je ne sais pas si j’en ai les moyens et surtout . . . je ne sais pas si je suis la bonne personne. Je suis quelqu’un pouvant lui faire plus de mal que de bien. Je le sais. Mais avant que je ne puisse parler, avant que je ne puisse dire quoique ce soit, il s’évanouit, devant moi. Me désarmant et surtout me paniquant. Alors pris de panique je m’approche de lui, « jae hyuk ? Jae hyuk ? Tu m’entends ? Hé ! Me laisse pas ! Merde . . . ». Mon cœur bat rapidement contre ma poitrine, et je perds mes moyens, ne sachant plus quoi faire alors que je suis interne. Je dois garder mon sang-froid, je dois reprendre mes esprits. « Ok, pas de panique Ha Jun, ça va aller ». Je le prends alors délicatement, le portant dans mes bras et l’amenant jusqu’à la chambre d’ami, l’y déposant précieusement. J’apporte un verre d’eau et une bouillotte que je dépose contre son front. Je ne sais pas pourquoi je fais ça et je sais pertinemment que c’est inutile mais je le fais quand même. Parce que j’ai besoin de faire quelque chose. Je le couvre d’un drap et reste à ses côtés, tapotant délicatement sa main, attendant qu’il daigne se réveiller, prêt à appeler les secours si d’ici une heure il n’est toujours pas debout.
Et lorsqu’enfin il se réveille, j’ai ma main dans la sienne, sans même en avoir pris conscience, mes yeux plongeant dans les siens, « ça va ? Tu es sûr que ça va ? Je t’ai apporté un verre d’eau si tu en as besoin ? Et n’hésite pas à me réclamer quelque chose à manger si tu as besoin d’énergie. Tu m’as vraiment fait peur tout à l’heure. Ne refais plus jamais ça », je le regarde, presque menaçant. Mais je m’adoucis rapidement, surtout après ce qu’il vient de se passer. J’inspire profondément. « Je n’ai pas pu te répondre tout à l’heure . . . mais sache que je ne veux rien de toi . . . sincèremen. Je . . . je peux comprendre que tu sois réticent à l’idée de rester avec un homme. Un homme qui pourrait tout aussi bien profiter de toi, profiter de ta faiblesse, de battre, ou pire . . . ». Je laisse un blanc, ma gorge se serrant, ne sachant pas quels mots lui dire pour le rassurer. Pour lui venir un peu en aide. « Je veux juste . . . je ne sais pas . . . à vrai dire je n’ai qu’une envie c’est de te protéger ». Je le dis doucement, presque pour moi-même, le regardant baissé, les poings serrés. « On ne se connait pas. Et tu ne devrais pas avoir confiance en moi, tout comme moi je ne devrai pas m’approcher de toi . . . », mais il y a quelque chose . . . une source inconnue qui m’amène toujours vers lui, qui me donne envie de le prendre dans mes bras, et d’être là. De me tenir à ses côtés. « Je veux juste que tu comprennes que je ne suis pas comme eux . . . je ne suis pas un homme bien mais je ne suis pas comme . . . ça. Comme eux. Alors fais moi le plaisir de rester. Juste ce soir. Juste le temps que tu ais plus de force. Et puis tu as bien vu, tu as perdu connaissance, qui sait où tu peux perdre connaissance encore. ». Et c’est pour ça qu’il doit rester ici, car dehors les monstres rôdent.
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Re: Le monstre sous le lit #hahyuk | Dim 7 Jan - 20:57 Citer EditerSupprimer
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Ouvrant les yeux, je fixe le plafond encore un peu flou avant de masser mon visage doucement, une main hasardeuse en essayant de comprendre où je suis et pourquoi ça ne va pas. « ça va ? Tu es sûr que ça va ? Je t’ai apporté un verre d’eau si tu en as besoin ? Et n’hésite pas à me réclamer quelque chose à manger si tu as besoin d’énergie. Tu m’as vraiment fait peur tout à l’heure. Ne refais plus jamais ça » Sa voix me ramène à la réalité et je le fixe longuement, à la foi soulagé que ce soit lui, mais aussi… complètement honteux en commençant à me souvenir de presque toute la soirée. Hajun… pitié, ne devient pas mon super héros, parce que je sais comment ça va finir, le jour où j’aurai vraiment besoin de toi, tu ne seras pas là et j’aurai le cœur brisé d’y avoir cru. Pitié… Je suis assez amoché… « Je n’ai pas pu te répondre tout à l’heure . . . mais sache que je ne veux rien de toi . . . sincèrement. Je . . . je peux comprendre que tu sois réticent à l’idée de rester avec un homme. Un homme qui pourrait tout aussi bien profiter de toi, profiter de ta faiblesse, de battre, ou pire . . . ». Une boule se forme dans ma gorge et je détourne mon regard très rapidement. « Je veux juste . . . je ne sais pas . . . à vrai dire je n’ai qu’une envie c’est de te protéger » Mes yeux se ferment et des larmes incontrôlables arrivent bien trop rapidement. « On ne se connait pas. Et tu ne devrais pas avoir confiance en moi, tout comme moi je ne devrai pas m’approcher de toi . . . », Alors pourquoi le fais-tu Hajun ? Pourquoi tu nous tortures ? « Je veux juste que tu comprennes que je ne suis pas comme eux . . . je ne suis pas un homme bien mais je ne suis pas comme . . . ça. Comme eux. Alors fais moi le plaisir de rester. Juste ce soir. Juste le temps que tu ais plus de force. Et puis tu as bien vu, tu as perdu connaissance, qui sait où tu peux perdre connaissance encore. » Les lèvres serrées, je déglutis difficilement ma salive avant de le fixer longuement… puis d’avoir une sorte de sanglot étranglé. « Mianhae… » Reniflant, je passe une main dans mes cheveux et essaie de me calmer au plus vite en sentant un flot… bien trop intense en moi. Pourquoi est-ce qu’il rend mon cœur aussi fragile avec sa belle gueule et ses paroles… Des paroles que j’ai toujours eu envie d’entendre. Mais ça me tord le ventre d’être si… content que cela vienne de la bouche d’un homme. D’être si… anormal. Lorsque je sens sa main dans la mienne, je la serre malgré tout avant de me mettre dans une position plus confortable sans le regarder pour autant. « reste… » Pars pas. Dors avec moi… J’ai jamais dormi avec personne et si tu savais comme les monstres sous le lit me terrorisent.
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Re: Le monstre sous le lit #hahyuk | Lun 8 Jan - 21:59 Citer EditerSupprimer
J’inspire profondément, attendant le moindre signe de sa part, et ressens une profonde émotion, que je ne parviens pas à décrire. J’ai comme l’impression qu’il a besoin de ma présence, d’être à mes côtés, mais peut-être que je me trompe, peut-être que c’est ce que j’espère, ou c’est ce que j’interprète, parce que je veux l’interpréter ainsi. Je ne sais pas. J’ai du mal à tout comprendre. À réellement cerner tout ce qui se passe, avec lui, entre nous. Un nous qui n’existe pourtant pas, mais . . Je sens sa main qui sert la mienne, entendant son faible désolé, qui me transperce le cœur. Pourquoi me rend t-il si inquiet ? Pourquoi ai-je autant l’envie de le protéger ? Pourquoi ? Des questions qui restent en suspens et qui me déplaisent fortement. Je baisse légèrement les yeux et me sens tout de même soulagé lorsqu’il me demande de rester, me faisant relever le visage surpris d’entendre de tels mots venant de lui. Jusqu’au bout j’ai cru qu’il allait rejeter mon aide, jusqu’au bout j’ai cru qu’il allait partir, et pourtant, il est là. Il reste à mes côtés. Il reste sous ma protection. Je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire, rassuré. Parce que je ne me serai pas pardonné de le laisser seul dans cette jungle, entouré de prédateurs. « Je reste » dis-je simplement en restant sur ma chaise, à le regarder, attendant certainement qu’il s’endorme. Je ne préfère pas le quitter des yeux, car j’ai peur. Peur qu’il soit de nouveau blessé, qu’il refasse une crise. Je ne sais pas s’il m’autorise à rester dans cette chambre alors que je lui ai indirectement promis de dormir à côté mais je ne peux me résoudre à le laisser. J’attends donc, fermant quelques secondes les yeux, gardant ma main dans la sienne.
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J’inspire profondément, attendant le moindre signe de sa part, et ressens une profonde émotion, que je ne parviens pas à décrire. J’ai comme l’impression qu’il a besoin de ma présence, d’être à mes côtés, mais peut-être que je me trompe, peut-être que c’est ce que j’espère, ou c’est ce que j’interprète, parce que je veux l’interpréter ainsi. Je ne sais pas. J’ai du mal à tout comprendre. À réellement cerner tout ce qui se passe, avec lui, entre nous. Un nous qui n’existe pourtant pas, mais . . Je sens sa main qui sert la mienne, entendant son faible désolé, qui me transperce le cœur. Pourquoi me rend t-il si inquiet ? Pourquoi ai-je autant l’envie de le protéger ? Pourquoi ? Des questions qui restent en suspens et qui me déplaisent fortement. Je baisse légèrement les yeux et me sens tout de même soulagé lorsqu’il me demande de rester, me faisant relever le visage surpris d’entendre de tels mots venant de lui. Jusqu’au bout j’ai cru qu’il allait rejeter mon aide, jusqu’au bout j’ai cru qu’il allait partir, et pourtant, il est là. Il reste à mes côtés. Il reste sous ma protection. Je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire, rassuré. Parce que je ne me serai pas pardonné de le laisser seul dans cette jungle, entouré de prédateurs. « Je reste » dis-je simplement en restant sur ma chaise, à le regarder, attendant certainement qu’il s’endorme. Je ne préfère pas le quitter des yeux, car j’ai peur. Peur qu’il soit de nouveau blessé, qu’il refasse une crise. Je ne sais pas s’il m’autorise à rester dans cette chambre alors que je lui ai indirectement promis de dormir à côté mais je ne peux me résoudre à le laisser. J’attends donc, fermant quelques secondes les yeux, gardant ma main dans la sienne.
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Re: Le monstre sous le lit #hahyuk | Mar 9 Jan - 17:00 Citer EditerSupprimer
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Je ne sais pas vraiment combien de temps j’ai pu dormir. Je ne sais pas. Mais je crois que j’ai rarement dormi aussi bien, sans alcool, sans cachet, sans cauchemars. Est-ce que je dois vraiment dire à quel point ça peut me faire du bien ? Et cette main chaude que je refuse de lâcher, le fait qu’elle soit encore là lorsque j’ouvre mes yeux me donne envie de pleurer. Hajun… Hajun, j’ai peur de moi, de nous, mais pas de toi tu sais ? Et les monstres sous le lit qui attendent de me dévorer entièrement, tu vas les vaincre aussi, comme ces types ? Ouvrant les yeux, je le regarde dormir, la tête sur le matelas, ses doigts autour de ma paume. Il est paisible et doux. Je le regarde encore un moment puis dépose un baiser brûlant et tremblant sur sa peau chaude avant de me lever sans bruit, retenant mes gémissements en serrant les dents ou en plaquant ma main sur ma bouche. Une fois sur pieds, je prends mes affaires et trouve de quoi lui écrire un merci pour tout et au revoir… Puis une fois devant la porte, j’hésite longuement, les larmes aux yeux et reviens pour y noter mon numéro avant de m’en aller définitivement cette fois et trouver un taxi pour rentrer aux dortoirs.
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