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1, 2Suicide Circus #HaRa ♡
Invité
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Re: Suicide Circus #HaRa ♡ | Mer 20 Déc - 2:06
Je n’avais pour objectif de toucher ton cœur, je me fichais pas mal de celui-ci à vrai dire. Je ne le voulais même pas. Je ne pouvais supporter le poids du mien, pourquoi voudrais-je posséder le tien d’une quelconque façon donc ? Pourtant, je semblais lire dans ton regard, ce dédain que tu me portais. Comme si je venais de te supplier pour ma vie après avoir commis l’impardonnable, comme si j’étais un enfant capricieux face à des parents trop stricts… C’était le sentiment qui m’habitait alors que je ne demandais qu’après mes responsabilités et la compagnie de cet animal dont mon palpitant s’était éprit bien trop vite. Mais que pouvais-je y faire ? Sa présence ne m’était autorisée, ses soins ne me seraient confiés. Je n’avais rien à redire dessus et, peut-être qu’il valait mieux que je ne revienne à ses côtés. S’il venait à véritablement trouvé un meilleur compagnon pour me remplacer, ne devrais-je pas en être heureux ? Son bonheur m’importait plus que l’égoïste envie de le garder à mes côtés, tel était le contenu de cet attachement innocent qu’était le mien. « Au moins j’aurais l’occasion de le voir un peu. Merci. » Même si lors de nos rencontres le temps passerait à une vitesse folle, même si nous n’étions amener qu’à nous croisés dans les couloirs de la fraternité. Jamais je ne manquerais de lui offrir cet amour qu’il méritait tant pour grandir en s’épanouissant librement. Sur mon visage, un sourire plus sincère se dessinait, certains par tes mots qu’il me serait possible de le revoir. Ce n’était finalement pas des adieux mais de simples salutations annonçant nos séparations pour un laps de temps inconnu. Les minutes semblaient s’être transformées en secondes d’ailleurs, l’assistant étant de retour à une vitesse qui me semblait anormalement élevée. A moins que je n’aurais voulu arrêter le temps pour profiter encore un peu de sa présence à mes côtés ? Les lèvres pincées, je me redressais pour aller récupérer mes affaires sur le siège avant de me diriger vers le comptoir où consignes j’écoutais attentivement malgré moi. Tu risquais de recevoir quelques messages de ma part, malheureusement. « Est-ce que tu as bien mis la crème à Jethro ? », « T’es sûre qu’il n’a pas couru aujourd’hui ? C’est mauvais pour son rétablissement ! » Père gaga que j’étais même lorsqu’il ne s’agissait pas de mes animaux… D’ailleurs, c’était naturellement que ma carte de crédit je sortais à l’évocation du paiement. Pas un seul instant je n’avais prévu de te faire payer pour cela, ce serait clairement contre mes principes. Pour le peu que j’en avais. A moins qu’à l’inverse je fus doté d’énormément d’entre eux ? Jamais je ne m’étais pencher sur la question, mais une chose était sûre : à te voir trembler de la sorte une fois à l’extérieur, c’était naturellement que sur tes épaules je jetais presque mon manteau. Tu n’acceptais la douceur que je t’offrais, peut-être qu’en faisant mine de rien tu l’accepterais plus aisément ? « Pas besoin. Je l’ai pas fait par obligation. » J’aurais clairement pu faire mine de n’avoir mon portefeuille pour te laisser payer. Et si tu n’avais rien sur toi, alors tu aurais simplement eu une dette ici. En quoi cela pouvait être dérangeant ? Après tout, nous n’étions amis, ceci était mon travail, je ne devrais avoir de sentiment en effectuant celui-ci. Mais ce n’était le cas, peut-être le saurais-tu un jour ?
Replaçant l’écharpe autour de mon cou, je réfléchissais déjà au chemin pour rentrer au dortoir à pied alors que dans tes mots… Je semblais entendre un certain « on » sous-entendu ? Surpris, je tournais les yeux vers toi lentement tandis que déjà, tu t’éloignais. Pourquoi voudrais-tu m’avoir encore à tes côtés ? Ne me détestais-tu pas ? Je ne comprenais plus rien… Me voir rentrer à pied t’étais insupportable ? Ou avais-tu prévu de passer tes nerfs un peu plus sur ma personne encore pour être sûr que tu étais calme avant de reprendre tes activités ? Il me fallut un instant immobile avant que la machine ne se mette en marche pour te rattraper sans peine. A tes côtés je marchais alors qu’au bout de quelques instants, je venais rajouter l’écharpe tiède autour de ton cou sans un mot, certain que tu aurais beaucoup plus chaud habillée de la sorte. Je n’avais rien de plus à t’offrir malheureusement, ni bonnet ni gant, il ne faisait pas encore assez froid à mes yeux pour cela. Mais c’était déjà mieux que ta tenue de cheerleader, bien que tu étais ravissante dedans mais là n’était le sujet. Comment avais-tu pu venir habillée ainsi dans le froid ? Ce dernier ne manquait d’ailleurs pas de me narguer à présent et bien plus encore lorsque nous attendions le véhicule. Frappant ma peau inlassablement mais pas un seul instant je ne m’autorisais à t’offrir un signe de faiblesse. Les dents serrées, les doigts ramassés en un poing dans les poches de mon sweat, c’était ainsi que j’attendais que le véhicule ne fasse son apparition pour nous transporter vers ce qui serait notre prochaine destination. Intérieurement, une prière j’effectuais : celle de ne m’engager dans une situation dangereuse une fois de plus lorsque cet endroit nous aurions atteint. J'avais déjà vécu assez de choses pour aujourd'hui...
Suicide Circus
Mental Breakdown
Mental Breakdown
Perfect HaRa 
« Here is a hell on earth
The disappointment that increases
Nobody can rewind time
Don't look away »
The disappointment that increases
Nobody can rewind time
Don't look away »
Je n’avais pour objectif de toucher ton cœur, je me fichais pas mal de celui-ci à vrai dire. Je ne le voulais même pas. Je ne pouvais supporter le poids du mien, pourquoi voudrais-je posséder le tien d’une quelconque façon donc ? Pourtant, je semblais lire dans ton regard, ce dédain que tu me portais. Comme si je venais de te supplier pour ma vie après avoir commis l’impardonnable, comme si j’étais un enfant capricieux face à des parents trop stricts… C’était le sentiment qui m’habitait alors que je ne demandais qu’après mes responsabilités et la compagnie de cet animal dont mon palpitant s’était éprit bien trop vite. Mais que pouvais-je y faire ? Sa présence ne m’était autorisée, ses soins ne me seraient confiés. Je n’avais rien à redire dessus et, peut-être qu’il valait mieux que je ne revienne à ses côtés. S’il venait à véritablement trouvé un meilleur compagnon pour me remplacer, ne devrais-je pas en être heureux ? Son bonheur m’importait plus que l’égoïste envie de le garder à mes côtés, tel était le contenu de cet attachement innocent qu’était le mien. « Au moins j’aurais l’occasion de le voir un peu. Merci. » Même si lors de nos rencontres le temps passerait à une vitesse folle, même si nous n’étions amener qu’à nous croisés dans les couloirs de la fraternité. Jamais je ne manquerais de lui offrir cet amour qu’il méritait tant pour grandir en s’épanouissant librement. Sur mon visage, un sourire plus sincère se dessinait, certains par tes mots qu’il me serait possible de le revoir. Ce n’était finalement pas des adieux mais de simples salutations annonçant nos séparations pour un laps de temps inconnu. Les minutes semblaient s’être transformées en secondes d’ailleurs, l’assistant étant de retour à une vitesse qui me semblait anormalement élevée. A moins que je n’aurais voulu arrêter le temps pour profiter encore un peu de sa présence à mes côtés ? Les lèvres pincées, je me redressais pour aller récupérer mes affaires sur le siège avant de me diriger vers le comptoir où consignes j’écoutais attentivement malgré moi. Tu risquais de recevoir quelques messages de ma part, malheureusement. « Est-ce que tu as bien mis la crème à Jethro ? », « T’es sûre qu’il n’a pas couru aujourd’hui ? C’est mauvais pour son rétablissement ! » Père gaga que j’étais même lorsqu’il ne s’agissait pas de mes animaux… D’ailleurs, c’était naturellement que ma carte de crédit je sortais à l’évocation du paiement. Pas un seul instant je n’avais prévu de te faire payer pour cela, ce serait clairement contre mes principes. Pour le peu que j’en avais. A moins qu’à l’inverse je fus doté d’énormément d’entre eux ? Jamais je ne m’étais pencher sur la question, mais une chose était sûre : à te voir trembler de la sorte une fois à l’extérieur, c’était naturellement que sur tes épaules je jetais presque mon manteau. Tu n’acceptais la douceur que je t’offrais, peut-être qu’en faisant mine de rien tu l’accepterais plus aisément ? « Pas besoin. Je l’ai pas fait par obligation. » J’aurais clairement pu faire mine de n’avoir mon portefeuille pour te laisser payer. Et si tu n’avais rien sur toi, alors tu aurais simplement eu une dette ici. En quoi cela pouvait être dérangeant ? Après tout, nous n’étions amis, ceci était mon travail, je ne devrais avoir de sentiment en effectuant celui-ci. Mais ce n’était le cas, peut-être le saurais-tu un jour ? Replaçant l’écharpe autour de mon cou, je réfléchissais déjà au chemin pour rentrer au dortoir à pied alors que dans tes mots… Je semblais entendre un certain « on » sous-entendu ? Surpris, je tournais les yeux vers toi lentement tandis que déjà, tu t’éloignais. Pourquoi voudrais-tu m’avoir encore à tes côtés ? Ne me détestais-tu pas ? Je ne comprenais plus rien… Me voir rentrer à pied t’étais insupportable ? Ou avais-tu prévu de passer tes nerfs un peu plus sur ma personne encore pour être sûr que tu étais calme avant de reprendre tes activités ? Il me fallut un instant immobile avant que la machine ne se mette en marche pour te rattraper sans peine. A tes côtés je marchais alors qu’au bout de quelques instants, je venais rajouter l’écharpe tiède autour de ton cou sans un mot, certain que tu aurais beaucoup plus chaud habillée de la sorte. Je n’avais rien de plus à t’offrir malheureusement, ni bonnet ni gant, il ne faisait pas encore assez froid à mes yeux pour cela. Mais c’était déjà mieux que ta tenue de cheerleader, bien que tu étais ravissante dedans mais là n’était le sujet. Comment avais-tu pu venir habillée ainsi dans le froid ? Ce dernier ne manquait d’ailleurs pas de me narguer à présent et bien plus encore lorsque nous attendions le véhicule. Frappant ma peau inlassablement mais pas un seul instant je ne m’autorisais à t’offrir un signe de faiblesse. Les dents serrées, les doigts ramassés en un poing dans les poches de mon sweat, c’était ainsi que j’attendais que le véhicule ne fasse son apparition pour nous transporter vers ce qui serait notre prochaine destination. Intérieurement, une prière j’effectuais : celle de ne m’engager dans une situation dangereuse une fois de plus lorsque cet endroit nous aurions atteint. J'avais déjà vécu assez de choses pour aujourd'hui...
(c) DΛNDELION
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