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1, 2Don't be afraid #Jojah
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Re: Don't be afraid #Jojah | Mer 17 Jan - 21:41 
« Je vais prendre les gnocchis au parmesan. Merci » Je l’observe, un peu surpris qu’elle prenne un plat aussi simple, mais ma foi, je suis content d’avoir eu tort à son sujet et puis, j’aime bien que l’on me réserve des surprises. Lorsque je me rends compte que j’ai commandé deux verres de vin comme avec mon patron alors que je ne bois pas d’alcool, je grimace un peu mais lorsqu’un cocktail sans alcool arrive devant mon nez, j’ai envie de baiser Alfredo des pieds à la tête. « Est-ce que je vais avoir encore des mauvaises surprises ? » Je ris doucement et secoue la tête tout en croisant mes bras sur le bord de la table pour y prendre un peu appuis. « Non mon enfant, tu as ma sainte bénédiction maintenant. » Elle peut m’envoyer une gifle à la figure. Je suis un petit con et je le resterai toujours, mais je me dis que ça fait mon charme. Héhé. « Sans trop blaguer, je suis sérieux dans mon travail, j’aime tester les gens, mais une fois que je suis satisfait, je n’ai pas besoin de fouiner encore. Par contre, je suis exigent. » Et ça, j’avoue que ça peut foutre les nerfs. « Parlez-moi de vous monsieur Dawson, je suis un peu curieuse. » Elle boit une gorgée de vin, je vois une gorgée de jus. Hm, de la cerise. Ce doux nectar. « Je suis un passionné de justice et d’art juridique qui peut passer trois jours sans dormir tant qu’il n’atteindra pas le but qu’il s’est mis et je suis capable d’attendre ça de la personne en face de moi. » Et je sais que c’est lourd. Mais je ne pense pas exceptionnel alors je me dis que si moi j’en suis capable, les autres aussi. C’est tout. Ma mère, dans son grand amour pour moi, a quand même sorti à Myung dans un ton sarcastique (seul héritage que j’ai d’elle) un : Bon courage pour le supporter. Alors que je ne comprends pas, vraiment, je suis aaaaadoooooraaaable. « Toi par contre, je sais que tu es là au piston et de base, je n’aime pas ça. D’où le moment pas cool. Mais à part ça, tu me racontes quoi Jordan ? » Offre-moi ton âme.
☆☆☆ Beerus
Au pays des gonkourou
« Je vais prendre les gnocchis au parmesan. Merci » Je l’observe, un peu surpris qu’elle prenne un plat aussi simple, mais ma foi, je suis content d’avoir eu tort à son sujet et puis, j’aime bien que l’on me réserve des surprises. Lorsque je me rends compte que j’ai commandé deux verres de vin comme avec mon patron alors que je ne bois pas d’alcool, je grimace un peu mais lorsqu’un cocktail sans alcool arrive devant mon nez, j’ai envie de baiser Alfredo des pieds à la tête. « Est-ce que je vais avoir encore des mauvaises surprises ? » Je ris doucement et secoue la tête tout en croisant mes bras sur le bord de la table pour y prendre un peu appuis. « Non mon enfant, tu as ma sainte bénédiction maintenant. » Elle peut m’envoyer une gifle à la figure. Je suis un petit con et je le resterai toujours, mais je me dis que ça fait mon charme. Héhé. « Sans trop blaguer, je suis sérieux dans mon travail, j’aime tester les gens, mais une fois que je suis satisfait, je n’ai pas besoin de fouiner encore. Par contre, je suis exigent. » Et ça, j’avoue que ça peut foutre les nerfs. « Parlez-moi de vous monsieur Dawson, je suis un peu curieuse. » Elle boit une gorgée de vin, je vois une gorgée de jus. Hm, de la cerise. Ce doux nectar. « Je suis un passionné de justice et d’art juridique qui peut passer trois jours sans dormir tant qu’il n’atteindra pas le but qu’il s’est mis et je suis capable d’attendre ça de la personne en face de moi. » Et je sais que c’est lourd. Mais je ne pense pas exceptionnel alors je me dis que si moi j’en suis capable, les autres aussi. C’est tout. Ma mère, dans son grand amour pour moi, a quand même sorti à Myung dans un ton sarcastique (seul héritage que j’ai d’elle) un : Bon courage pour le supporter. Alors que je ne comprends pas, vraiment, je suis aaaaadoooooraaaable. « Toi par contre, je sais que tu es là au piston et de base, je n’aime pas ça. D’où le moment pas cool. Mais à part ça, tu me racontes quoi Jordan ? » Offre-moi ton âme.
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Re: Don't be afraid #Jojah | Mer 17 Jan - 21:54 
Non je n’avais pas joué les pestes, je n’avais pas choisi le plat plus cher, parce que ça ne me plaisait pas et que j’avais vraiment faim. Je souriais en voyant son cocktail. Je me disais qu’un peu d’alcool de temps en temps ne pouvait pas faire de mal, mais il avait ses convictions et je n’avais rien à dire. Je ne le connaissais pas assez pour le taquiner à ce sujet. J’étais rassurée de savoir qu’il n’y aurait pas d’autres épreuves de ce genre. Une fois je pouvais pardonner, mais une seconde fois et je claquais la porte. Je fonctionnais beaucoup à l’instinct et ce n’était pas forcément une qualité. Je jouais avec mon verre sans le lâche du regard. « Ça tombe bien, je suis exigeante moi aussi. » J’avais passé de nombreuses nuits à étudier. Je n’étais pas un bourreau de travail mais j’avais tendance à me renfermer sur mes études quand je ne me sentais pas bien. J’étais prête à faire tous les efforts du monde mais il fallait que ça marche dans les deux sens. « Je donne, si vous me donnez aussi. » Je ne pouvais pas être plus claire. Je n’étais pas là pour jouer les esclaves. « Et donc vous attendez de moi que je devienne insomniaque ? » Je riais légèrement. Je me sentais un peu mieux maintenant que je l’avais légèrement cerné. Il avait l’air d’être un homme bien. Mais je ne pouvais pas lui faire encore entièrement confiance. J’avais cru ce garçon au lycée et j’en gardais un souvenir très amer. Je restais sur mes gardes maintenant. Je soupirais en l’entendant. « J’ai pas demandé à grandir comme une gosse de riche. L’amour ça ne se contrôle pas. Mon beau père ne m’a pas posé la question. Comme souvent. Il estime faire ce qu’il y a de mieux pour moi. Mais cette fois je pense que c’est une bonne chose. » Ma mère était heureuse avec lui et c’était ce qui m’importait. Elle le méritait vraiment. « Je suis pas facile à vivre, vous allez vite vous en rendre compte. Mais je suis quelqu’un de sympa quand même. Et puis je suis canon. » Je riais. C’était une blague. J’avais eu du mal à m’accoutumer à ce pays. Certains hommes se permettaient encore de me toucher sans ma permission
☆☆☆ Beerus
Don't be Afraid
Non je n’avais pas joué les pestes, je n’avais pas choisi le plat plus cher, parce que ça ne me plaisait pas et que j’avais vraiment faim. Je souriais en voyant son cocktail. Je me disais qu’un peu d’alcool de temps en temps ne pouvait pas faire de mal, mais il avait ses convictions et je n’avais rien à dire. Je ne le connaissais pas assez pour le taquiner à ce sujet. J’étais rassurée de savoir qu’il n’y aurait pas d’autres épreuves de ce genre. Une fois je pouvais pardonner, mais une seconde fois et je claquais la porte. Je fonctionnais beaucoup à l’instinct et ce n’était pas forcément une qualité. Je jouais avec mon verre sans le lâche du regard. « Ça tombe bien, je suis exigeante moi aussi. » J’avais passé de nombreuses nuits à étudier. Je n’étais pas un bourreau de travail mais j’avais tendance à me renfermer sur mes études quand je ne me sentais pas bien. J’étais prête à faire tous les efforts du monde mais il fallait que ça marche dans les deux sens. « Je donne, si vous me donnez aussi. » Je ne pouvais pas être plus claire. Je n’étais pas là pour jouer les esclaves. « Et donc vous attendez de moi que je devienne insomniaque ? » Je riais légèrement. Je me sentais un peu mieux maintenant que je l’avais légèrement cerné. Il avait l’air d’être un homme bien. Mais je ne pouvais pas lui faire encore entièrement confiance. J’avais cru ce garçon au lycée et j’en gardais un souvenir très amer. Je restais sur mes gardes maintenant. Je soupirais en l’entendant. « J’ai pas demandé à grandir comme une gosse de riche. L’amour ça ne se contrôle pas. Mon beau père ne m’a pas posé la question. Comme souvent. Il estime faire ce qu’il y a de mieux pour moi. Mais cette fois je pense que c’est une bonne chose. » Ma mère était heureuse avec lui et c’était ce qui m’importait. Elle le méritait vraiment. « Je suis pas facile à vivre, vous allez vite vous en rendre compte. Mais je suis quelqu’un de sympa quand même. Et puis je suis canon. » Je riais. C’était une blague. J’avais eu du mal à m’accoutumer à ce pays. Certains hommes se permettaient encore de me toucher sans ma permission
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Re: Don't be afraid #Jojah | Mer 24 Jan - 7:06
« Ça tombe bien, je suis exigeante moi aussi. » « Dans tous les domaines ? » Parce que c’est important de l’être dans tous les domaines de sa vie et pas simplement au travail. C’est une sorte de rigueur qu’on s’impose à nous-mêmes pour avoir du meilleur partout. « Je donne, si vous me donnez aussi. » Elle est directe au moins. Mais j’aime ça. J’avais terriblement peur de me retrouver avec une assistante cucul et pas vraiment prête à se bouger. Des fois, je sais que je suis trop critiques envers les coréennes qui agissent en bonne fille de famille, qui font tout parfaitement, qui s’instruisent et cherchent à avoir un bon travail, juste pour impressionner un futur mari riche et finir par ne plus travailler et gérer la maison parce que c’est comme ça que ça marche ici. Il faut être magnifique ET intelligente, mais se servir de ça pour chopper un époux riche et ne plus utiliser sa beauté que pour lui tout en oubliant son cerveau. Et des fois, je me dis que je pourrai être un homme au foyer et laisser Myung nous gérer juuuuuste pour emmerder le peuple et leur prouver qu’on vit bien et avec beaucoup de bonheur dans le sens là aussi, mais j’aime sincèrement ce que je fais et je ne pourrai pas m’arrêter totalement. « Et donc vous attendez de moi que je devienne insomniaque ? » « Exactement. » Dis-je alors avec tout le sérieux du monde avant de rire doucement. « J’ai pas demandé à grandir comme une gosse de riche. L’amour ça ne se contrôle pas. Mon beau père ne m’a pas posé la question. Comme souvent. Il estime faire ce qu’il y a de mieux pour moi. Mais cette fois je pense que c’est une bonne chose. » « Je vois… Un pur coréen en somme. » « Je suis pas facile à vivre, vous allez vite vous en rendre compte. Mais je suis quelqu’un de sympa quand même. Et puis je suis canon. » « Je suis d’accord, tu es canon. C’est un point qu’on ne peut pas te nier. Pour le côté pain in the ass, je pense que je suis pire…En fait, c’est sûr que je suis pire. Mais c’est pas grave, vu que je payerai nos déjeuners, tu t’y feras vite. » Notre commande arrive et je salive d’avance en commençant à manger avec elle. « Je n’ai pas de rendez-vous cet aprem pour te familiariser avec le bureau et les cas que je traite déjà. Les prochains jours, on verra des clients que je vois déjà et vendredi, on aura un nouveau cas. »
☆☆☆ Beerus
Don't be afraid
« Ça tombe bien, je suis exigeante moi aussi. » « Dans tous les domaines ? » Parce que c’est important de l’être dans tous les domaines de sa vie et pas simplement au travail. C’est une sorte de rigueur qu’on s’impose à nous-mêmes pour avoir du meilleur partout. « Je donne, si vous me donnez aussi. » Elle est directe au moins. Mais j’aime ça. J’avais terriblement peur de me retrouver avec une assistante cucul et pas vraiment prête à se bouger. Des fois, je sais que je suis trop critiques envers les coréennes qui agissent en bonne fille de famille, qui font tout parfaitement, qui s’instruisent et cherchent à avoir un bon travail, juste pour impressionner un futur mari riche et finir par ne plus travailler et gérer la maison parce que c’est comme ça que ça marche ici. Il faut être magnifique ET intelligente, mais se servir de ça pour chopper un époux riche et ne plus utiliser sa beauté que pour lui tout en oubliant son cerveau. Et des fois, je me dis que je pourrai être un homme au foyer et laisser Myung nous gérer juuuuuste pour emmerder le peuple et leur prouver qu’on vit bien et avec beaucoup de bonheur dans le sens là aussi, mais j’aime sincèrement ce que je fais et je ne pourrai pas m’arrêter totalement. « Et donc vous attendez de moi que je devienne insomniaque ? » « Exactement. » Dis-je alors avec tout le sérieux du monde avant de rire doucement. « J’ai pas demandé à grandir comme une gosse de riche. L’amour ça ne se contrôle pas. Mon beau père ne m’a pas posé la question. Comme souvent. Il estime faire ce qu’il y a de mieux pour moi. Mais cette fois je pense que c’est une bonne chose. » « Je vois… Un pur coréen en somme. » « Je suis pas facile à vivre, vous allez vite vous en rendre compte. Mais je suis quelqu’un de sympa quand même. Et puis je suis canon. » « Je suis d’accord, tu es canon. C’est un point qu’on ne peut pas te nier. Pour le côté pain in the ass, je pense que je suis pire…En fait, c’est sûr que je suis pire. Mais c’est pas grave, vu que je payerai nos déjeuners, tu t’y feras vite. » Notre commande arrive et je salive d’avance en commençant à manger avec elle. « Je n’ai pas de rendez-vous cet aprem pour te familiariser avec le bureau et les cas que je traite déjà. Les prochains jours, on verra des clients que je vois déjà et vendredi, on aura un nouveau cas. »
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Re: Don't be afraid #Jojah | Mer 24 Jan - 11:07
« Dans tous les domaines. » Et encore plus en ce qui concernait ma vie sentimentale. C’était sûrement pour cette raison que j’étais encore seule, mais je n’étais pas du genre à me morfondre parce que je n’avais pas d’homme dans ma vie. Je pouvais très bien me débrouiller toute seule. J’avais envie d’être indépendante, de pouvoir vivre sans compter sur quelqu’un d’autre. Ce stage pouvait être un tremplin pour moi si je lui donnais satisfaction. J’avais vraiment envie de montrer de quoi j’étais capable et surtout que j’étais une bosseuse. J’étais prête à faire ce qu’il me demandait si c’était constructif. « Il va falloir me payer cher si je ne peux plus dormir. » Je riais légèrement. Oui, mon beau père était ce qu’il était mais il avait toujours tout fait dans mon intérêt même si c’était parfois maladroit. Je le considérais vraiment comme mon père. « On ne choisit pas sa famille. » Je buvais encore une gorgée de vin, me sentant un peu plus à l’aise. Je ne jouais pas souvent de mes charmes mais ça pouvait être utile dans certaines situations. « Si vous payez, je vais rapidement m’adapter ! » Je regardais mon plat devant moi, fermant les yeux quelques secondes. J’avais vraiment faim. Le planning me paraissait plutôt convenable. J’avais envie d’apprendre, de m’améliorer. J’espérais avoir mon propre cabinet un jour. Peut-être aux Etats Unis. Le temps avait passé, je me pensais capable d’y retourner. Je devais laisser mon passé derrière moi. « Je vais vous manquer quand ça sera terminé ! » Je souriais avant de commencer à manger doucement. « Pourquoi est-ce que vous avez choisi ce métier ? » J’étais curieuse. Il avait l’air d’aimer son métier et en général, c’était une vocation. On ne se retrouvait pas avocat par hasard. « Vous venez d’où ? » Je posais quelques questions, mais il semblait être un homme intéressant.
☆☆☆ Beerus
Don't be Afraid
« Dans tous les domaines. » Et encore plus en ce qui concernait ma vie sentimentale. C’était sûrement pour cette raison que j’étais encore seule, mais je n’étais pas du genre à me morfondre parce que je n’avais pas d’homme dans ma vie. Je pouvais très bien me débrouiller toute seule. J’avais envie d’être indépendante, de pouvoir vivre sans compter sur quelqu’un d’autre. Ce stage pouvait être un tremplin pour moi si je lui donnais satisfaction. J’avais vraiment envie de montrer de quoi j’étais capable et surtout que j’étais une bosseuse. J’étais prête à faire ce qu’il me demandait si c’était constructif. « Il va falloir me payer cher si je ne peux plus dormir. » Je riais légèrement. Oui, mon beau père était ce qu’il était mais il avait toujours tout fait dans mon intérêt même si c’était parfois maladroit. Je le considérais vraiment comme mon père. « On ne choisit pas sa famille. » Je buvais encore une gorgée de vin, me sentant un peu plus à l’aise. Je ne jouais pas souvent de mes charmes mais ça pouvait être utile dans certaines situations. « Si vous payez, je vais rapidement m’adapter ! » Je regardais mon plat devant moi, fermant les yeux quelques secondes. J’avais vraiment faim. Le planning me paraissait plutôt convenable. J’avais envie d’apprendre, de m’améliorer. J’espérais avoir mon propre cabinet un jour. Peut-être aux Etats Unis. Le temps avait passé, je me pensais capable d’y retourner. Je devais laisser mon passé derrière moi. « Je vais vous manquer quand ça sera terminé ! » Je souriais avant de commencer à manger doucement. « Pourquoi est-ce que vous avez choisi ce métier ? » J’étais curieuse. Il avait l’air d’aimer son métier et en général, c’était une vocation. On ne se retrouvait pas avocat par hasard. « Vous venez d’où ? » Je posais quelques questions, mais il semblait être un homme intéressant.
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