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1, 2Un festin pour mon rondoudou [ft. Jun Hui]
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Re: Un festin pour mon rondoudou [ft. Jun Hui] | Mer 7 Mar - 20:00
Il est mignon Jun Hui à me dire de telles paroles qui, inconsciemment, me rassurent. Il existe, quelque part, des personnes qui souhaitent rester à mes côtés, pour toute une vie, et c’est plaisant d’avoir le sentiment d’être un minimum important. « Attention à ne pas parler trop vite » dis-je sur le ton de la plaisanterie. Je lui fais un grand sourire tapotant quelques secondes ma main contre la sienne. Il en a de la chance Jun Hui car je suis une exclusivité. Il faut dire que je ne suis pas très tactile, ou du moins avec peu de monde, et je doute pouvoir avoir un autre compagnon d’affection, tel que lui. « T’inquiète, quand tu as pris ton doudou, c’était avec l’impossibilité de pouvoir le partager. C’était l’exclusivité du moment » dis-je sur un ton très commercial. J’évoque alors avec lui mes quelques passages en France, ouvrant en grand la bouche quand il me propose d’y aller, ensemble. « Vraiment ? », je manque de m’étrangler, le regardant quelques secondes, pour savoir s’il plaisante ou non. Non parce que moi je suis bien plus que partante pour y aller, un jour, à ses côtés. Juste pour voyager et voir le pays autrement. En plus je suis certaine de m’amuser avec lui. « Tu sais que j’aimerai vraiment y retourner. Un jour. Pour vraiment visiter comme il se doit la France, ou du moins Paris. Alors si tu me dis ça moi je te dis immédiatement : pas de souci, aux prochaines vacances » et je rigole. Enfin après ça reste à voir si j’ai la possibilité de pouvoir me libérer, même pour quelques jours. Avec ma famille et ma vie de femme mariée ce n’est pas toujours facile de se libérer, restant toujours enchaînée, à quelque chose, quelque part. Jun Hui se met donc à goûter un premier plat sentant tout de même l’angoisse me prendre, de peur de le décevoir, mais il n’a pas l’air déçu, bien au contraire. Je pousse un long soupir de soulagement. « Je suis contente que tu apprécies. Je t’avoue que j’avais vraiment peur de te . . . frustrer », et je grimace, baissant quelques secondes mes yeux sur les plats face à nous. Je relève ensuite mon visage vers lui, retrouvant rapidement le sourire, « je te signale que tu viens pas chez moi pour ne pas avoir le ventre rempli ! Faut que tu ressortes avec des restes », oui j’ai déjà prévu des tupperwares contenant des plus. Toujours en faire plus pour être certaine qu’il en ramène chez lui. « Finis vite ton repas et tu verras » dis-je sur un ton malicieux. A vrai dire j’ai préparé un gâteau en dorme de rondoudou. Rien de grandiose mais j’espère juste lui faire plaisir.
Un festin pour mon rondoudou
feat Jun Hui
Il est mignon Jun Hui à me dire de telles paroles qui, inconsciemment, me rassurent. Il existe, quelque part, des personnes qui souhaitent rester à mes côtés, pour toute une vie, et c’est plaisant d’avoir le sentiment d’être un minimum important. « Attention à ne pas parler trop vite » dis-je sur le ton de la plaisanterie. Je lui fais un grand sourire tapotant quelques secondes ma main contre la sienne. Il en a de la chance Jun Hui car je suis une exclusivité. Il faut dire que je ne suis pas très tactile, ou du moins avec peu de monde, et je doute pouvoir avoir un autre compagnon d’affection, tel que lui. « T’inquiète, quand tu as pris ton doudou, c’était avec l’impossibilité de pouvoir le partager. C’était l’exclusivité du moment » dis-je sur un ton très commercial. J’évoque alors avec lui mes quelques passages en France, ouvrant en grand la bouche quand il me propose d’y aller, ensemble. « Vraiment ? », je manque de m’étrangler, le regardant quelques secondes, pour savoir s’il plaisante ou non. Non parce que moi je suis bien plus que partante pour y aller, un jour, à ses côtés. Juste pour voyager et voir le pays autrement. En plus je suis certaine de m’amuser avec lui. « Tu sais que j’aimerai vraiment y retourner. Un jour. Pour vraiment visiter comme il se doit la France, ou du moins Paris. Alors si tu me dis ça moi je te dis immédiatement : pas de souci, aux prochaines vacances » et je rigole. Enfin après ça reste à voir si j’ai la possibilité de pouvoir me libérer, même pour quelques jours. Avec ma famille et ma vie de femme mariée ce n’est pas toujours facile de se libérer, restant toujours enchaînée, à quelque chose, quelque part. Jun Hui se met donc à goûter un premier plat sentant tout de même l’angoisse me prendre, de peur de le décevoir, mais il n’a pas l’air déçu, bien au contraire. Je pousse un long soupir de soulagement. « Je suis contente que tu apprécies. Je t’avoue que j’avais vraiment peur de te . . . frustrer », et je grimace, baissant quelques secondes mes yeux sur les plats face à nous. Je relève ensuite mon visage vers lui, retrouvant rapidement le sourire, « je te signale que tu viens pas chez moi pour ne pas avoir le ventre rempli ! Faut que tu ressortes avec des restes », oui j’ai déjà prévu des tupperwares contenant des plus. Toujours en faire plus pour être certaine qu’il en ramène chez lui. « Finis vite ton repas et tu verras » dis-je sur un ton malicieux. A vrai dire j’ai préparé un gâteau en dorme de rondoudou. Rien de grandiose mais j’espère juste lui faire plaisir. (c) DΛNDELION
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