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people always leave (olympe)
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people always leave (olympe) | Dim 28 Jan - 20:24
Un dernier baiser, une dernière tendresse me font vibrer une dernière fois. C'est la dernière des dernières, c'est ce que je parviens à lire dans ses yeux. Les miens sont embués par la tristesse et ce n'est pas ses paroles en l'air qui parviendront à agir tel un essuie-glace. La comparaison est aussi moche que cette image d'un couple qui se sépare, certainement pour la vie, dans un aéroport bondé par les départs de décembre. Elle m'a supplié un bon nombre de fois pour que je ne l'accompagne pas. jusqu'ici. Mais je crois que je m'en serais voulu si je n'étais pas venu. Puis, je la connais aussi bien qu'elle. Elle me connaît aussi bien que je la connais maintenant. C'est pour ça que j'étouffe un rire dans mon oreiller en y repensant. C'est dingue comme les expressions peuvent nous trahir. Elle a essayé de me rassurer tel un gamin qui n'était pas si crédule en fin de compte. Pourquoi m'aurait-elle fait comprendre de profiter jusqu'au bout ? J'ai toujours pensé que la vie était le plus beau cadeau pour un homme. Et, j'ai seulement compris à ce jour que c'était sa vie qui me donnait l'impression d'être sur un nuage. Qu'est-ce que je pourrais obtenir de plus ? Mon coeur se serre alors que mon lit ne m'accorde aucun répit. Non pas qu'il s'agite sous mes pieds mais ... Même retrouver la chaleur d'un drap ne m'aidera pas à récupérer celle que j'ai perdu. J'aimerais pouvoir pleurer. Ca nous aide à aller de l'avant, d'après les dires des experts en pleurniche. Le truc, c'est que même si ma gorge se serre et qu'un goût amer me pousse à ravaler ma salive toutes les dix secondes, je me sens tellement mort à l'intérieur que rien ne vient. Je suppose que c'est trop frais pour que je puisse faire quoi que ce soit. Je vais me contenter de me laisser pourrir, ici, pendant quelques heures.
people always leave
olympe ♡ junghwa
Un dernier baiser, une dernière tendresse me font vibrer une dernière fois. C'est la dernière des dernières, c'est ce que je parviens à lire dans ses yeux. Les miens sont embués par la tristesse et ce n'est pas ses paroles en l'air qui parviendront à agir tel un essuie-glace. La comparaison est aussi moche que cette image d'un couple qui se sépare, certainement pour la vie, dans un aéroport bondé par les départs de décembre. Elle m'a supplié un bon nombre de fois pour que je ne l'accompagne pas. jusqu'ici. Mais je crois que je m'en serais voulu si je n'étais pas venu. Puis, je la connais aussi bien qu'elle. Elle me connaît aussi bien que je la connais maintenant. C'est pour ça que j'étouffe un rire dans mon oreiller en y repensant. C'est dingue comme les expressions peuvent nous trahir. Elle a essayé de me rassurer tel un gamin qui n'était pas si crédule en fin de compte. Pourquoi m'aurait-elle fait comprendre de profiter jusqu'au bout ? J'ai toujours pensé que la vie était le plus beau cadeau pour un homme. Et, j'ai seulement compris à ce jour que c'était sa vie qui me donnait l'impression d'être sur un nuage. Qu'est-ce que je pourrais obtenir de plus ? Mon coeur se serre alors que mon lit ne m'accorde aucun répit. Non pas qu'il s'agite sous mes pieds mais ... Même retrouver la chaleur d'un drap ne m'aidera pas à récupérer celle que j'ai perdu. J'aimerais pouvoir pleurer. Ca nous aide à aller de l'avant, d'après les dires des experts en pleurniche. Le truc, c'est que même si ma gorge se serre et qu'un goût amer me pousse à ravaler ma salive toutes les dix secondes, je me sens tellement mort à l'intérieur que rien ne vient. Je suppose que c'est trop frais pour que je puisse faire quoi que ce soit. Je vais me contenter de me laisser pourrir, ici, pendant quelques heures. Invité
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Re: people always leave (olympe) | Lun 29 Jan - 12:17
J’avale difficilement ma salive, mon cœur se serrant doucement, ayant ce sentiment horrible d’être impuissante. Impuissante face à la douleur qui lacère très certainement le cœur de mon meilleur ami à cet instant précis. J’ai peur qu’il s’effondre. J’ai peur de voir l’obscurité l’entourer. Mais bien plus encore j’ai peur de le perdre. Lui. Ce rayon de soleil. Et alors mon cœur me fait mal. Parce que j’ai mal pour lui et parce que j’ai connu ça. Mais plus brutalement. Sans même que je ne puisse m’y faire, et encore moins me préparer. J’ai sombré pendant plusieurs jours, j’ai perdu ma luminosité, pour finalement la retrouver. Fort heureusement. Je n’aurai pu m’en sortir sans eux. Sans lui aussi. Alors, forcément, je me dois d’être à ses côtés, quand il en a le plus besoin. Je me dois d’être sa béquille, d’être là pour lui. Mais je ne sais pas comment faire. Je ne sais pas comment agir avec lui contre sa peine de cœur. Les filles, c’est plus facile, mais avec un garçon c’est plus complexe. J’essaye donc de faire preuve d’imagination mais rien ne vient. Je ne veux pas simplement venir pour lui remonter le moral, pleurer avec lui, et apaiser sa douleur. Je veux lui offrir un peu d’espoir. L’espoir de retrouver le soleil. L’espoir de rencontrer une autre personne. J’attends donc, quelques secondes, devant sa porte, n’osant pas ouvrir de suite. Je me décide finalement, regardant discrètement, pour savoir s’il est là. Et je le vois. Je reconnais sa silhouette difforme. Je mets un pied dans la chambre, déposant mes deux tasses de chocolat chaud que j’ai pris le temps de décorer, pour lui donner du baume au cœur. Et, digne de moi-même, je me jette sur lui, tel un éléphant, le brusquant un peu. « Jung hwaaaaaaaaa ! Qu’est-ce que tu fais tout seul comme ça dans ta chambre ! Je t’ai préparé un chocolat chaud ! » et je lui fais une attaque de bisous, me mettant à rire. Du moins, j’essaye.
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junghwa ♡ olympe
J’avale difficilement ma salive, mon cœur se serrant doucement, ayant ce sentiment horrible d’être impuissante. Impuissante face à la douleur qui lacère très certainement le cœur de mon meilleur ami à cet instant précis. J’ai peur qu’il s’effondre. J’ai peur de voir l’obscurité l’entourer. Mais bien plus encore j’ai peur de le perdre. Lui. Ce rayon de soleil. Et alors mon cœur me fait mal. Parce que j’ai mal pour lui et parce que j’ai connu ça. Mais plus brutalement. Sans même que je ne puisse m’y faire, et encore moins me préparer. J’ai sombré pendant plusieurs jours, j’ai perdu ma luminosité, pour finalement la retrouver. Fort heureusement. Je n’aurai pu m’en sortir sans eux. Sans lui aussi. Alors, forcément, je me dois d’être à ses côtés, quand il en a le plus besoin. Je me dois d’être sa béquille, d’être là pour lui. Mais je ne sais pas comment faire. Je ne sais pas comment agir avec lui contre sa peine de cœur. Les filles, c’est plus facile, mais avec un garçon c’est plus complexe. J’essaye donc de faire preuve d’imagination mais rien ne vient. Je ne veux pas simplement venir pour lui remonter le moral, pleurer avec lui, et apaiser sa douleur. Je veux lui offrir un peu d’espoir. L’espoir de retrouver le soleil. L’espoir de rencontrer une autre personne. J’attends donc, quelques secondes, devant sa porte, n’osant pas ouvrir de suite. Je me décide finalement, regardant discrètement, pour savoir s’il est là. Et je le vois. Je reconnais sa silhouette difforme. Je mets un pied dans la chambre, déposant mes deux tasses de chocolat chaud que j’ai pris le temps de décorer, pour lui donner du baume au cœur. Et, digne de moi-même, je me jette sur lui, tel un éléphant, le brusquant un peu. « Jung hwaaaaaaaaa ! Qu’est-ce que tu fais tout seul comme ça dans ta chambre ! Je t’ai préparé un chocolat chaud ! » et je lui fais une attaque de bisous, me mettant à rire. Du moins, j’essaye. Invité
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Re: people always leave (olympe) | Lun 29 Jan - 18:54
En ce mois de décembre, chercher le réconfort dans sa couette n'est pas rare. Le froid hivernal a tendance à nous geler la moindre parcelle de notre corps. Malgré les températures basses et ma promenade à l'extérieur, ce n'est pas ce qui me fige sur place. J'ignore comment je vais pouvoir m'en sortir, perdu dans cette spirale qui me déchire comme le ferait des stalatiques. Je serre doucement la couverture entre mes doigts alors que j'aimerais m'abandonner dans cette émotion négative. Je ne veux plus l'avoir dans mes pensées mais mes souvenirs refont surface sans cesse, comme s'il était bien trop tôt pour abandonner. J'aurais peut-être pu me préparer à tout cela mais je l'avais tant considéré comme la femme de la vie. Même avant d'être ensemble, je ne vivais que pour son sourire. Ce n'est pas seulement onze mois de relations qui provoquent un tel dégât, c'est bien plus. Le temps est une notion ridicule quand on vit quelque chose d'aussi fort. Mes proches me diront que ça passera. Je ne pourrais qu'approuver leurs dires. D'autres prendront le risque de dire qu'elle pourrait revenir, et que même si ce n'était pas le cas, je tomberai sur quelqu'un d'autre. Dans la vie, il n'y a pas qu'un seul grand amour. Comment les veufs ou les veuves tiendraient le coup sinon ? Je ferme lentement les yeux avant d'être pris par une secousse. Si seulement elle était suffisamment imposante pour me faire décoller. Je serre la mâchoire, dans un râle qui ne parvient pas à souligner un amusement, tout simplement absent. Je sais bien ce qu'elle essaye de faire mais, malgré tout l'amour que je lui porte, différemment certes, je ne suis pas sûr de vouloir 'jouer' avec ma meilleure amie. " Je me repose. C'est que je commence à me faire vieux. " 28 ans, hein. Puis, sentant une nouvelle fois la pression de ses lèvres sur ma joue, je grimace en signe de désespoir. " Yah... Il a un goût bizarre ton chocolat chaud. "
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olympe ♡ junghwa
En ce mois de décembre, chercher le réconfort dans sa couette n'est pas rare. Le froid hivernal a tendance à nous geler la moindre parcelle de notre corps. Malgré les températures basses et ma promenade à l'extérieur, ce n'est pas ce qui me fige sur place. J'ignore comment je vais pouvoir m'en sortir, perdu dans cette spirale qui me déchire comme le ferait des stalatiques. Je serre doucement la couverture entre mes doigts alors que j'aimerais m'abandonner dans cette émotion négative. Je ne veux plus l'avoir dans mes pensées mais mes souvenirs refont surface sans cesse, comme s'il était bien trop tôt pour abandonner. J'aurais peut-être pu me préparer à tout cela mais je l'avais tant considéré comme la femme de la vie. Même avant d'être ensemble, je ne vivais que pour son sourire. Ce n'est pas seulement onze mois de relations qui provoquent un tel dégât, c'est bien plus. Le temps est une notion ridicule quand on vit quelque chose d'aussi fort. Mes proches me diront que ça passera. Je ne pourrais qu'approuver leurs dires. D'autres prendront le risque de dire qu'elle pourrait revenir, et que même si ce n'était pas le cas, je tomberai sur quelqu'un d'autre. Dans la vie, il n'y a pas qu'un seul grand amour. Comment les veufs ou les veuves tiendraient le coup sinon ? Je ferme lentement les yeux avant d'être pris par une secousse. Si seulement elle était suffisamment imposante pour me faire décoller. Je serre la mâchoire, dans un râle qui ne parvient pas à souligner un amusement, tout simplement absent. Je sais bien ce qu'elle essaye de faire mais, malgré tout l'amour que je lui porte, différemment certes, je ne suis pas sûr de vouloir 'jouer' avec ma meilleure amie. " Je me repose. C'est que je commence à me faire vieux. " 28 ans, hein. Puis, sentant une nouvelle fois la pression de ses lèvres sur ma joue, je grimace en signe de désespoir. " Yah... Il a un goût bizarre ton chocolat chaud. " Invité
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Re: people always leave (olympe) | Lun 5 Fév - 21:41
Je me doute bien qu’il n’a pas envie de répondre à mon amusement, sentant l’atmosphère être pesante, perdant toute lueur, toute joie, et c’est ce qui m’attriste le plus. Je ne veux pas qu’il reste là, à se morfondre, jour et nuit, s’enlisant progressivement dans le désespoir, voir même la dépression. Jung Hwa a beau être celui qu’il est, il a des faiblesses, des blessures, comme tout être normal. Et aujourd’hui j’ai envie de panser certaines de ses plaies et de lui remonter un peu le moral. Juste un peu. « Mais non tu as encore toute ta jeunesse devant toi, profite avant qu’il ne soit trop tard ». Je me redresse pour lui faire face, regardant mes tasses de chocolat chaud, avec un sourire au coin. « Promis je n’ai rien mis d’étrange dedans, ou peut-être juste un peu d’excitant ». Je lui fais un clin d’œil, m’en allant prendre sa tasse pour la lui tendre. Dès qu’il la tient en main je m’approche un peu plus et essaye d’étirer ses lèvres pour dessiner un petit sourire. « Je préfère le Jung Hwa avec ce sourire-là ». Je prends une grande inspiration essayant de cacher la peine que je ressens en le voyant ainsi. Je vais chercher ma propre tasse et me pose à ses côtés, ressentant la douce chaleur du verre, me sentant légèrement réconfortée, même si ce n’est pas à moi de l’être. « J’ai pas envie de te dire que ça irai Jung Hwa, ni même que tu trouveras forcément mieux, parce que je sais à quel point on déteste entendre ces mots quand on est dans un tel état, je l’ai vécu récemment », je le regarde, avalant difficilement ma salive, plantant mon regard dans le sien, « mais malgré tout ta vie continue. C’est une période difficile, faite de souffrance, et tu vas forcément déprimer encore, quelques jours, peut-être plus. Je ne veux pas être défaitiste mais c’est la réalité. Cela dit ce qui est aussi vrai c’est que tu finiras par oublier. Un jour tu te réveilleras et ça sera parti. Tout ça. Et sache que si tu veux pleurer, parler, te mettre en colère, je suis là. Près de toi ». Je pose ma main sur la sienne, « je ne t’abandonnerai pas Jung Hwa », jamais.
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junghwa ♡ olympe
Je me doute bien qu’il n’a pas envie de répondre à mon amusement, sentant l’atmosphère être pesante, perdant toute lueur, toute joie, et c’est ce qui m’attriste le plus. Je ne veux pas qu’il reste là, à se morfondre, jour et nuit, s’enlisant progressivement dans le désespoir, voir même la dépression. Jung Hwa a beau être celui qu’il est, il a des faiblesses, des blessures, comme tout être normal. Et aujourd’hui j’ai envie de panser certaines de ses plaies et de lui remonter un peu le moral. Juste un peu. « Mais non tu as encore toute ta jeunesse devant toi, profite avant qu’il ne soit trop tard ». Je me redresse pour lui faire face, regardant mes tasses de chocolat chaud, avec un sourire au coin. « Promis je n’ai rien mis d’étrange dedans, ou peut-être juste un peu d’excitant ». Je lui fais un clin d’œil, m’en allant prendre sa tasse pour la lui tendre. Dès qu’il la tient en main je m’approche un peu plus et essaye d’étirer ses lèvres pour dessiner un petit sourire. « Je préfère le Jung Hwa avec ce sourire-là ». Je prends une grande inspiration essayant de cacher la peine que je ressens en le voyant ainsi. Je vais chercher ma propre tasse et me pose à ses côtés, ressentant la douce chaleur du verre, me sentant légèrement réconfortée, même si ce n’est pas à moi de l’être. « J’ai pas envie de te dire que ça irai Jung Hwa, ni même que tu trouveras forcément mieux, parce que je sais à quel point on déteste entendre ces mots quand on est dans un tel état, je l’ai vécu récemment », je le regarde, avalant difficilement ma salive, plantant mon regard dans le sien, « mais malgré tout ta vie continue. C’est une période difficile, faite de souffrance, et tu vas forcément déprimer encore, quelques jours, peut-être plus. Je ne veux pas être défaitiste mais c’est la réalité. Cela dit ce qui est aussi vrai c’est que tu finiras par oublier. Un jour tu te réveilleras et ça sera parti. Tout ça. Et sache que si tu veux pleurer, parler, te mettre en colère, je suis là. Près de toi ». Je pose ma main sur la sienne, « je ne t’abandonnerai pas Jung Hwa », jamais. Invité
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Re: people always leave (olympe) | Dim 25 Fév - 16:53
Ma respiration se bloque dans l'oreiller à défaut d'avoir la force de pleurer. Je me sens dépourvu de toute émotion, comme si j'étais incapable de ressentir quoi que ce soit. Et, de manière contradictoire, c'est bien la première fois que je ressens quelque chose d'aussi fort. Je n'avais jamais eu le coeur brisé. Le pire, c'est que des faits extérieurs qui ont eu raison de nous. Et puis, il y a ceux qui vous disent qu'on a toujours le choix. Pourquoi est-elle partie alors ?! J'aurais aimé avoir des réponses ou non. A vrai dire, quand je vois ma meilleure amie débarquer avec ce sourire dont j'ai l'habitude de copier, je n'ai pas forcément envie de discuter et de l'accueillir chaleureusement. Elle n'y est pour rien. Je n'ai tout simplement pas la force de faire quelque chose de poli ou je ne sais quoi. " Oh... Ca veut dire que tu as bu plusieurs gorgées avant de me l'offrir ? " Avec un peu plus de coeur, cette blague aurait marché. Mais comme cette vilaine habitude que je viens de prendre, tout s'échoue sur une plage déserte. Je relève doucement le menton pour regarder Olympe qui finit par s'amuser à tirer sur mes lèvres. J'échappe un soupir, me demandant si sa méthode pourrait fonctionner. De toute façon, j'en ai marre de faire semblant d'aller bien. Tout est parti en vrille. Définitivement cette fois-ci. Je me mets en tailleur et bois finalement une gorgée de sa boisson soit-disant énergisante. Cela m'évite de répondre de suite à ses conseils ou observations. Je ne sais même pas comment je dois l'interpréter sauf avec ironie, domaine qui me dépasse à temps normal: " On dirait que je viens de perdre quelqu'un... " Je tente d'échapper un rire. " Si tu sais à quel point ces mots sont difficiles à entendre, pourquoi tu les dis ? Enfin... C'est gentil mais je ne suis pas sûr de vouloir en parler. Comme tu viens de me le faire comprendre, ça passera. "
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olympe ♡ junghwa
Ma respiration se bloque dans l'oreiller à défaut d'avoir la force de pleurer. Je me sens dépourvu de toute émotion, comme si j'étais incapable de ressentir quoi que ce soit. Et, de manière contradictoire, c'est bien la première fois que je ressens quelque chose d'aussi fort. Je n'avais jamais eu le coeur brisé. Le pire, c'est que des faits extérieurs qui ont eu raison de nous. Et puis, il y a ceux qui vous disent qu'on a toujours le choix. Pourquoi est-elle partie alors ?! J'aurais aimé avoir des réponses ou non. A vrai dire, quand je vois ma meilleure amie débarquer avec ce sourire dont j'ai l'habitude de copier, je n'ai pas forcément envie de discuter et de l'accueillir chaleureusement. Elle n'y est pour rien. Je n'ai tout simplement pas la force de faire quelque chose de poli ou je ne sais quoi. " Oh... Ca veut dire que tu as bu plusieurs gorgées avant de me l'offrir ? " Avec un peu plus de coeur, cette blague aurait marché. Mais comme cette vilaine habitude que je viens de prendre, tout s'échoue sur une plage déserte. Je relève doucement le menton pour regarder Olympe qui finit par s'amuser à tirer sur mes lèvres. J'échappe un soupir, me demandant si sa méthode pourrait fonctionner. De toute façon, j'en ai marre de faire semblant d'aller bien. Tout est parti en vrille. Définitivement cette fois-ci. Je me mets en tailleur et bois finalement une gorgée de sa boisson soit-disant énergisante. Cela m'évite de répondre de suite à ses conseils ou observations. Je ne sais même pas comment je dois l'interpréter sauf avec ironie, domaine qui me dépasse à temps normal: " On dirait que je viens de perdre quelqu'un... " Je tente d'échapper un rire. " Si tu sais à quel point ces mots sont difficiles à entendre, pourquoi tu les dis ? Enfin... C'est gentil mais je ne suis pas sûr de vouloir en parler. Comme tu viens de me le faire comprendre, ça passera. " Invité
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Re: people always leave (olympe) | Mar 27 Mar - 20:55
J’essaye de sourire même si le cœur n’y est pas, surtout que mon meilleur ami ne semble pas retrouver la moindre énergie, même en parlant ainsi. Ça sonne presque faux et c’est ce vague sentiment qui me brise le cœur. Forcément le voir ainsi me met particulièrement mal à l’aise et je n’ai qu’une envie c’est de retrouver son sourire perdu. « Mais c’est que tu arrives à être drôle quand même » dis-je en essayant de répondre à sa réplique, avec un grand sourire, trouvant une source de joie. Je tente alors quelques mots réconfortants mais je sais pertinemment qu’ils n’ont pas l’effet désiré et qu’il souffre encore. Je le sais. Je l’ai vécu. Pendant trop longtemps et c’est à son tour désormais. J’aurai juste préféré lui éviter cette peine. Pas lui. Pas Jung Hwa. Pas celui qui me rend le sourire si souvent, qui me fait rire, qui est drôle, amusant, tout aussi fou que moi. Mon partenaire de choc. Ses mots me blessent et je sens mon cœur qui se serre légèrement contre ma poitrine. « Jung Hwa . . . », je le fixe, quelques secondes, prenant alors ses mains entre les miennes, pour essayer de lui apporter un peu de chaleur. « Tu as raison. Je suis désolée. C’est juste que . . . je me sens impuissante et que j’ai vraiment envie de t’aider. Je sais que ça ne va pas être facile, que ça va encore être difficile mais tu sais que je serai là, quoiqu’il arrive. Tu peux venir me voir à n’importe quel moment, pour n’importe quoi, même si c’est pour sortir, pour en parler, comme tu veux. Mais je suis à tes côtés Jung Hwa et je le resterai ». Je lui fais un rapide bisou sur ses mains, « je te donne un bisou magique, il parait que ça soigne les maux » et je rigole, même si le cœur n’y est pas vraiment. J’ai très envie de le prendre dans mes bras pour le réconforter au mieux mais avec sa tasse dans les mains c’est une mauvaise idée et puis je ne sais pas s’il va apprécier. Pas maintenant peut-être. J’ai peur qu’il pense que j’ai pitié de lui alors que pas du tout. Je veux juste le réconforter et être présente pour lui, comme le devrait une meilleure amie.
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junghwa ♡ olympe
J’essaye de sourire même si le cœur n’y est pas, surtout que mon meilleur ami ne semble pas retrouver la moindre énergie, même en parlant ainsi. Ça sonne presque faux et c’est ce vague sentiment qui me brise le cœur. Forcément le voir ainsi me met particulièrement mal à l’aise et je n’ai qu’une envie c’est de retrouver son sourire perdu. « Mais c’est que tu arrives à être drôle quand même » dis-je en essayant de répondre à sa réplique, avec un grand sourire, trouvant une source de joie. Je tente alors quelques mots réconfortants mais je sais pertinemment qu’ils n’ont pas l’effet désiré et qu’il souffre encore. Je le sais. Je l’ai vécu. Pendant trop longtemps et c’est à son tour désormais. J’aurai juste préféré lui éviter cette peine. Pas lui. Pas Jung Hwa. Pas celui qui me rend le sourire si souvent, qui me fait rire, qui est drôle, amusant, tout aussi fou que moi. Mon partenaire de choc. Ses mots me blessent et je sens mon cœur qui se serre légèrement contre ma poitrine. « Jung Hwa . . . », je le fixe, quelques secondes, prenant alors ses mains entre les miennes, pour essayer de lui apporter un peu de chaleur. « Tu as raison. Je suis désolée. C’est juste que . . . je me sens impuissante et que j’ai vraiment envie de t’aider. Je sais que ça ne va pas être facile, que ça va encore être difficile mais tu sais que je serai là, quoiqu’il arrive. Tu peux venir me voir à n’importe quel moment, pour n’importe quoi, même si c’est pour sortir, pour en parler, comme tu veux. Mais je suis à tes côtés Jung Hwa et je le resterai ». Je lui fais un rapide bisou sur ses mains, « je te donne un bisou magique, il parait que ça soigne les maux » et je rigole, même si le cœur n’y est pas vraiment. J’ai très envie de le prendre dans mes bras pour le réconforter au mieux mais avec sa tasse dans les mains c’est une mauvaise idée et puis je ne sais pas s’il va apprécier. Pas maintenant peut-être. J’ai peur qu’il pense que j’ai pitié de lui alors que pas du tout. Je veux juste le réconforter et être présente pour lui, comme le devrait une meilleure amie. Invité
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Re: people always leave (olympe) | Lun 9 Avr - 11:41
Pas forcément réceptif, je dirais même que je cherche à m'emporter contre ma meilleure amie. Celle-ci essaye de se montrer délicate. Elle a des petites attentions pour moi, une voix mielleuse qui ne devrait pas laisser indifférents et des charmants sourire qui en font plus d'un. Malheureusement, j'ai beau remarqué tous ces efforts, je ne suis pas d'humeur à les prendre en compte en guise de remerciements. Je suis lassé de faciliter la tâche à tout le monde. Personne ne m'a prévenu de cette fin qui me laisse tant amer aujourd'hui. C'est difficile à digérer quand pour une fois, quelque chose roule dans votre vie. Je ne veux pas me lamenter sur mon sort. Je devrais être satisfait d'avoir pu profiter de ces précieux mois en sa compagnie mais ils ne seront jamais suffisants. Je ne veux pas crier au monde que Ji Soo restera la femme de ma vie pour toujours. Peut-être que je pourrais croiser une jolie demoiselle qui m'aimera et que j'aimerais encore plus sauf que là, au jour d'aujourd'hui, je ne peux pas penser autrement. Elle était l'élue de mon coeur, avant et pendant que nous formions un joli petit couple. J'ai du mal à me dire que tout est fini, que je ne pourrais certainement pas la retrouver dans les prochaines années. C'est peut-être mieux ainsi mais comment puis-je tenir sans espoir ? Olympe entrelace nos doigts et persiste. Elle a toujours su être têtue. " Je ne voulais pas être mauvais avec toi, Oly. " Et l'ancien Jung Hwa revient au galop. J'ai beau être mal luné, je n'ai jamais su faire mal aux gens. Dieu sait à quel point j'aimerais avoir cette capacité, de temps en temps. Je n'userais pas de ce pouvoir contrairement à d'autres. Ji Soo la première. J'ignore son rire et sa proposition tandis que mes sourcils se froncent de nouveau, instinctivement: " J'arrive juste pas à comprendre. Pourquoi elle ne s'est pas battue pour rester ? " Je souffle. " On est pas censé tout faire par amour ? Qu'est-ce que j'étais pour elle ? Un mec mignon capable de prendre soin d'elle.. Parmi tant d'autres. Ca m'énerve, ça m'énerve... " Il me faut un coupable. " J'ai souvent pensé qu'elle était aveugle pour ne pas voir à quel point je l'ai toujours aimé. Maintenant, je suis en train de me dire que c'est moi le vrai aveugle. Toujours en train d'en faire trop pour qu'on finisse par me tourner le dos. C'est tellement plus marrant comme ça. " Grimaçant, j'ajoute: " Junghwa ou le mec qu'on prend pour un jambon, ouais. T'en penses quoi Oly, ça me va bien ? " J'en deviens égoïste. Un égoïte qui se plaint.
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olympe ♡ junghwa
Pas forcément réceptif, je dirais même que je cherche à m'emporter contre ma meilleure amie. Celle-ci essaye de se montrer délicate. Elle a des petites attentions pour moi, une voix mielleuse qui ne devrait pas laisser indifférents et des charmants sourire qui en font plus d'un. Malheureusement, j'ai beau remarqué tous ces efforts, je ne suis pas d'humeur à les prendre en compte en guise de remerciements. Je suis lassé de faciliter la tâche à tout le monde. Personne ne m'a prévenu de cette fin qui me laisse tant amer aujourd'hui. C'est difficile à digérer quand pour une fois, quelque chose roule dans votre vie. Je ne veux pas me lamenter sur mon sort. Je devrais être satisfait d'avoir pu profiter de ces précieux mois en sa compagnie mais ils ne seront jamais suffisants. Je ne veux pas crier au monde que Ji Soo restera la femme de ma vie pour toujours. Peut-être que je pourrais croiser une jolie demoiselle qui m'aimera et que j'aimerais encore plus sauf que là, au jour d'aujourd'hui, je ne peux pas penser autrement. Elle était l'élue de mon coeur, avant et pendant que nous formions un joli petit couple. J'ai du mal à me dire que tout est fini, que je ne pourrais certainement pas la retrouver dans les prochaines années. C'est peut-être mieux ainsi mais comment puis-je tenir sans espoir ? Olympe entrelace nos doigts et persiste. Elle a toujours su être têtue. " Je ne voulais pas être mauvais avec toi, Oly. " Et l'ancien Jung Hwa revient au galop. J'ai beau être mal luné, je n'ai jamais su faire mal aux gens. Dieu sait à quel point j'aimerais avoir cette capacité, de temps en temps. Je n'userais pas de ce pouvoir contrairement à d'autres. Ji Soo la première. J'ignore son rire et sa proposition tandis que mes sourcils se froncent de nouveau, instinctivement: " J'arrive juste pas à comprendre. Pourquoi elle ne s'est pas battue pour rester ? " Je souffle. " On est pas censé tout faire par amour ? Qu'est-ce que j'étais pour elle ? Un mec mignon capable de prendre soin d'elle.. Parmi tant d'autres. Ca m'énerve, ça m'énerve... " Il me faut un coupable. " J'ai souvent pensé qu'elle était aveugle pour ne pas voir à quel point je l'ai toujours aimé. Maintenant, je suis en train de me dire que c'est moi le vrai aveugle. Toujours en train d'en faire trop pour qu'on finisse par me tourner le dos. C'est tellement plus marrant comme ça. " Grimaçant, j'ajoute: " Junghwa ou le mec qu'on prend pour un jambon, ouais. T'en penses quoi Oly, ça me va bien ? " J'en deviens égoïste. Un égoïte qui se plaint. Invité
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Re: people always leave (olympe) | Lun 9 Avr - 21:02
Je grimace, lui faisant comprendre que je le soutiens et que je ne peux que le soutenir, même s’il est froid, distant ou cynique avec moi. En même temps c’est normal d’être dans un tel état, d’être si distancé, d’avoir perdu le goût de tout, et même sa joie. C’est normal de déprimer. S’il n’était pas dans cet état je me serai posée des questions, et cela aurait juste signifié qu’elle n’avait pas d’importance dans sa vie. Mais Jung Hwa est comme ça, il s’attache, et peut-être s’est-il juste trop attaché. Il ne pouvait pas savoir. Il ne pouvait pas prévoir un tel dénouement. C’est ainsi. La vie est pleine de surprises et parfois très mauvaises. Les paroles de mon meilleur ami me transpercent le cœur, me sentant impuissante face à sa détresse. J’ai tellement envie de le soutenir, de l’aider à remonter la pente, mais je me sens démunie de tout. Je ne sais pas comment panser ses peines. « jung Hwa » dis-je en le fixant quelques secondes, les larmes s’infiltrant dans mes pupilles, tentant de les retenir avec force. Je ne dois pas me montrer faible, je ne dois pas lui donner cette impression que j’ai pitié de lui. J’inspire profondément, tapotant doucement sa main. « On ne peut pas tout faire par amour. Penses-tu que tu sacrifierais toute ta vie pour l’amour ? Penses-tu qu’en faisant ça tu ne risques pas d’avoir des regrets ? ». Peut-être que c’est ainsi que je pense et peut-être est-ce que je n’ai jamais trouvé l’amour pur, parfait, que je pense ainsi. Pour moi la vie ne doit pas être sacrifiée pour l’amour. Ce n’est pas juste pour l’un des partenaires. Mais dans les deux cas, ce n’est pas juste pour l’un. « Tu n’en fais jamais trop Jung Hwa. Je t’assure. Tu es parfait, peut-être même trop parfait. Si je n’avais pas été ta meilleure amie j’aurais succombé à tes charmes, ce qui est chose rare. Je ne succombe pas facilement ! ». Je lui fais un tendre sourire, mes paroles étant très sincères. « Tu n’es aveugle. Ce sont les autres qui le sont. Ils ne savent pas ce qu’ils ratent ». C’est bizarre de tenir de tels propos, moi qui n’en ai pas l’habitude. Je ne m’aurai jamais cru capable de dire tout ça, et d’essayer d’être rassurante et aidante. Je prends le premier coussin qui traîne et le mets face à lui. « Imagine que ce coussin est un punching-ball ou un objet te permettant de te défouler. Frappe-le. Frappe aussi fort que tu le souhaites, une fois ou même plusieurs fois. Et en même temps dis toutes tes pensées. Crie-les. Déverse-les. Fais tout ce qui te passe par la tête. Libère toi de tout ! »
people always leave
junghwa ♡ olympe
Je grimace, lui faisant comprendre que je le soutiens et que je ne peux que le soutenir, même s’il est froid, distant ou cynique avec moi. En même temps c’est normal d’être dans un tel état, d’être si distancé, d’avoir perdu le goût de tout, et même sa joie. C’est normal de déprimer. S’il n’était pas dans cet état je me serai posée des questions, et cela aurait juste signifié qu’elle n’avait pas d’importance dans sa vie. Mais Jung Hwa est comme ça, il s’attache, et peut-être s’est-il juste trop attaché. Il ne pouvait pas savoir. Il ne pouvait pas prévoir un tel dénouement. C’est ainsi. La vie est pleine de surprises et parfois très mauvaises. Les paroles de mon meilleur ami me transpercent le cœur, me sentant impuissante face à sa détresse. J’ai tellement envie de le soutenir, de l’aider à remonter la pente, mais je me sens démunie de tout. Je ne sais pas comment panser ses peines. « jung Hwa » dis-je en le fixant quelques secondes, les larmes s’infiltrant dans mes pupilles, tentant de les retenir avec force. Je ne dois pas me montrer faible, je ne dois pas lui donner cette impression que j’ai pitié de lui. J’inspire profondément, tapotant doucement sa main. « On ne peut pas tout faire par amour. Penses-tu que tu sacrifierais toute ta vie pour l’amour ? Penses-tu qu’en faisant ça tu ne risques pas d’avoir des regrets ? ». Peut-être que c’est ainsi que je pense et peut-être est-ce que je n’ai jamais trouvé l’amour pur, parfait, que je pense ainsi. Pour moi la vie ne doit pas être sacrifiée pour l’amour. Ce n’est pas juste pour l’un des partenaires. Mais dans les deux cas, ce n’est pas juste pour l’un. « Tu n’en fais jamais trop Jung Hwa. Je t’assure. Tu es parfait, peut-être même trop parfait. Si je n’avais pas été ta meilleure amie j’aurais succombé à tes charmes, ce qui est chose rare. Je ne succombe pas facilement ! ». Je lui fais un tendre sourire, mes paroles étant très sincères. « Tu n’es aveugle. Ce sont les autres qui le sont. Ils ne savent pas ce qu’ils ratent ». C’est bizarre de tenir de tels propos, moi qui n’en ai pas l’habitude. Je ne m’aurai jamais cru capable de dire tout ça, et d’essayer d’être rassurante et aidante. Je prends le premier coussin qui traîne et le mets face à lui. « Imagine que ce coussin est un punching-ball ou un objet te permettant de te défouler. Frappe-le. Frappe aussi fort que tu le souhaites, une fois ou même plusieurs fois. Et en même temps dis toutes tes pensées. Crie-les. Déverse-les. Fais tout ce qui te passe par la tête. Libère toi de tout ! » Invité
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Re: people always leave (olympe) | Jeu 17 Mai - 19:46
Vérité ou mensonge ? Je murmure un '' oui '' quand elle me demande si j'aurais été prêt à sacrifier ma vie pour cette jeune femme. J'aurais aimé répondre autrement, par fierté ou tout simplement pour me protéger. Néanmoins, quand on a passé autant de temps à aimer, je ne vois pas dire autre chose. J'ai déjà mis pas mal de choses à côté pour elle, pour qu'elle puisse me remarquer quand nous étions encore que de simples amis. Est-ce que je le regrettais ? Sur le coup de la colère, oui. Puis,quand le temps passera, peut-être que ma façon de voir les choses changeront. Peut-être que son départ me facilitera l'existence, peut-être que non. On ne peut pas prévoir l'avenir. Dans le cas contraire, j'aurais peut-être fait des choix légèrement différents. En tout cas, j'ai du mal à assumer mon romantisme. Ainsi, je décide d'ajouter. " Et en faisant rien, est-ce qu'on évite ces fameux regrets ? Je suppose que ça dépend de chacun. " Je hausse les épaules. Ce n'est pas une discussion dans une chambre d'étudiants qui nous aidera à changer le monde. Celui des plaintes non plus sauf qu'il est trop tôt pour que je puisse le réaliser. C'est quand même dingue à quel point cette rupture m'impacte. Je ne suis pas aussi égocentrique, ni aussi chiant. Quand je râle, c'est uniquement pour des choses banales. Finalement, je sais bien que l'histoire avec mon père décuple ces sentiments négatifs qui sommeillaient en moi depuis trop longtemps. Un faible sourire apparaît sur mes lèvres quand ma meilleure amie fait de son mieux pour me remonter le moral. J'enchaîne blague ratée sur blague ratée. J'ai tout de même le mérite d'essayer, n'est-ce pas ? " Tu veux que je frappe ce coussin en ... M'imaginant sa tête ? " Bien sûr, je ne le ferai pas. C'est bien une colère différente qui agit sur moi. " Tu me conseilles de frapper une femme par le biais d'un coussin ? Quelle sorte de meilleure amie, es-tu Oly ? " Je pourrais peut-être glisser le visage de mon paternel sur cet oreiller, l'air de rien. " Bon. Je préfère prendre ce chocolat. Tu as gagné. " Je récupère la tasse et me redresse pour me mettre en tailleur.
people always leave
olympe ♡ junghwa
Vérité ou mensonge ? Je murmure un '' oui '' quand elle me demande si j'aurais été prêt à sacrifier ma vie pour cette jeune femme. J'aurais aimé répondre autrement, par fierté ou tout simplement pour me protéger. Néanmoins, quand on a passé autant de temps à aimer, je ne vois pas dire autre chose. J'ai déjà mis pas mal de choses à côté pour elle, pour qu'elle puisse me remarquer quand nous étions encore que de simples amis. Est-ce que je le regrettais ? Sur le coup de la colère, oui. Puis,quand le temps passera, peut-être que ma façon de voir les choses changeront. Peut-être que son départ me facilitera l'existence, peut-être que non. On ne peut pas prévoir l'avenir. Dans le cas contraire, j'aurais peut-être fait des choix légèrement différents. En tout cas, j'ai du mal à assumer mon romantisme. Ainsi, je décide d'ajouter. " Et en faisant rien, est-ce qu'on évite ces fameux regrets ? Je suppose que ça dépend de chacun. " Je hausse les épaules. Ce n'est pas une discussion dans une chambre d'étudiants qui nous aidera à changer le monde. Celui des plaintes non plus sauf qu'il est trop tôt pour que je puisse le réaliser. C'est quand même dingue à quel point cette rupture m'impacte. Je ne suis pas aussi égocentrique, ni aussi chiant. Quand je râle, c'est uniquement pour des choses banales. Finalement, je sais bien que l'histoire avec mon père décuple ces sentiments négatifs qui sommeillaient en moi depuis trop longtemps. Un faible sourire apparaît sur mes lèvres quand ma meilleure amie fait de son mieux pour me remonter le moral. J'enchaîne blague ratée sur blague ratée. J'ai tout de même le mérite d'essayer, n'est-ce pas ? " Tu veux que je frappe ce coussin en ... M'imaginant sa tête ? " Bien sûr, je ne le ferai pas. C'est bien une colère différente qui agit sur moi. " Tu me conseilles de frapper une femme par le biais d'un coussin ? Quelle sorte de meilleure amie, es-tu Oly ? " Je pourrais peut-être glisser le visage de mon paternel sur cet oreiller, l'air de rien. " Bon. Je préfère prendre ce chocolat. Tu as gagné. " Je récupère la tasse et me redresse pour me mettre en tailleur. Invité
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Re: people always leave (olympe) | Jeu 28 Juin - 21:09
Elle ouvre en grand la bouche, quelque peu percutée par la réponse de son amie, mais le comprenant toutefois. Il est vrai que Jung Hwa fait partie de ceux qui seraient capables de tout changer, pour l’amour, d’envoyer en l’air certaines choses pour l’amour. Parce que l’amour c’est ce qu’il reste à la fin de sa vie. C’est la dernière chose qu’on observe avant de définitivement fermer ses paupières. Et elle le comprend, mais elle refuse qu’il pense ainsi, pas alors qu’il est encore jeune, pas alors qu’il a encore bien des femmes à découvrir. Des femmes, il y en aura d’autres. Certes elles seront différentes, certes elles ne seront pas comme elles, mais il n’empêche qu’il en croisera d’autres. Des mieux. Du moins Olympe l’espère. Elle secoue nerveusement son visage, et prend le visage de son meilleur ami entre ses mains, secouant en même temps son visage, comme pour répondre négativement. « Non Jung Hwa ! Ce n’est pas en faisant rien que tu ne vas pas avoir des regrets. Enfin », elle s’arrête et réfléchit. Elle réalise à quel point l’amour est compliqué. Elle ne sait pas quoi lui dire. Elle ne sait plus quoi lui dire. Elle fronce des sourcils, regarde le coussin et grimace légèrement. « Oui. Enfin . . . ok tu n’es peut-être pas autant en colère que moi je l’ai été quand je me suis faite larguée par mon ex petit ami, mais . . . . imagine que c’est ta peine. Que c’est toute la peine que tu ressens et que tu n’as qu’une envie, c’est de la détruire, de l’oublier ». Elle pousse un long soupir de désespoir, se sentant terriblement nulle pour soulager la peine de son meilleur ami. Elle a l’impression d’être devant une énigme et de ne pas pouvoir la résoudre. Elle esquisse tout de même un sourire quand il finit par boire son chocolat chaud. Elle pose alors sa main contre son épaule, « qu’est-ce qui te ferait plaisir Jung Hwa ? Je sais que tu as envie de rien en ce moment, et que tu as certainement envie de rester enfermer dans ta chambre, à te morfondre, mais penses-tu que cela soit la solution ? Penses-tu que ça va te faire avancer ? Moi j’en doute ». Tout ce qu’elle veut c’est le faire sortir de cette chambre et qu’il reprenne goût, progressivement à la vie, qu’il aille vers d’autres femmes. Ça ne va pas se faire de suite mais juste avancer, faire un pas. « Dis-moi ce qui te ferait plaisir ? Et surtout ne prononce pas son prénom sinon je te tire les oreilles » dit-elle l’air menaçant.
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junghwa ♡ olympe
Elle ouvre en grand la bouche, quelque peu percutée par la réponse de son amie, mais le comprenant toutefois. Il est vrai que Jung Hwa fait partie de ceux qui seraient capables de tout changer, pour l’amour, d’envoyer en l’air certaines choses pour l’amour. Parce que l’amour c’est ce qu’il reste à la fin de sa vie. C’est la dernière chose qu’on observe avant de définitivement fermer ses paupières. Et elle le comprend, mais elle refuse qu’il pense ainsi, pas alors qu’il est encore jeune, pas alors qu’il a encore bien des femmes à découvrir. Des femmes, il y en aura d’autres. Certes elles seront différentes, certes elles ne seront pas comme elles, mais il n’empêche qu’il en croisera d’autres. Des mieux. Du moins Olympe l’espère. Elle secoue nerveusement son visage, et prend le visage de son meilleur ami entre ses mains, secouant en même temps son visage, comme pour répondre négativement. « Non Jung Hwa ! Ce n’est pas en faisant rien que tu ne vas pas avoir des regrets. Enfin », elle s’arrête et réfléchit. Elle réalise à quel point l’amour est compliqué. Elle ne sait pas quoi lui dire. Elle ne sait plus quoi lui dire. Elle fronce des sourcils, regarde le coussin et grimace légèrement. « Oui. Enfin . . . ok tu n’es peut-être pas autant en colère que moi je l’ai été quand je me suis faite larguée par mon ex petit ami, mais . . . . imagine que c’est ta peine. Que c’est toute la peine que tu ressens et que tu n’as qu’une envie, c’est de la détruire, de l’oublier ». Elle pousse un long soupir de désespoir, se sentant terriblement nulle pour soulager la peine de son meilleur ami. Elle a l’impression d’être devant une énigme et de ne pas pouvoir la résoudre. Elle esquisse tout de même un sourire quand il finit par boire son chocolat chaud. Elle pose alors sa main contre son épaule, « qu’est-ce qui te ferait plaisir Jung Hwa ? Je sais que tu as envie de rien en ce moment, et que tu as certainement envie de rester enfermer dans ta chambre, à te morfondre, mais penses-tu que cela soit la solution ? Penses-tu que ça va te faire avancer ? Moi j’en doute ». Tout ce qu’elle veut c’est le faire sortir de cette chambre et qu’il reprenne goût, progressivement à la vie, qu’il aille vers d’autres femmes. Ça ne va pas se faire de suite mais juste avancer, faire un pas. « Dis-moi ce qui te ferait plaisir ? Et surtout ne prononce pas son prénom sinon je te tire les oreilles » dit-elle l’air menaçant. Contenu sponsorisé
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