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You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA
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You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 11:50 Citer EditerSupprimer
« Our hands brush, so close yet so far
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
I’m afraid, I can’t go on without you
I wanna be with you »
You & Me
Tomorrow, Together
Tomorrow, Together
Perfect HaRa
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
I’m afraid, I can’t go on without you
I wanna be with you »
15 février. Début de soirée d’une journée qui ne trouverait de mot pour être qualifiée. Étrange sensation, comme une flèche dans le coeur mais hier ce ne fut celle de cupidon qui m’eut frappé. Je peinais à prendre conscience de ce qui s’était passé. Quoi que si, je le savais très bien et il me suffisait d’un regard sur mon annulaire dénudé pour me le rappeler. Du moins… si je parvenais à oublier ce qui présentement me paraissait impossible. Du statut de fiancée, au bout d’une année, je venais de retomber à celui de célibataire. Je ne saurais véritablement dire ce que je ressentais mais assurément pas de la joie. Est-ce que je regrettais ? Non. Est-ce que je me sentais libéré ? Je ne savais. Mon esprit s’embrouillait. Mon coeur se serrait et saignait mais j’avais pris ma décision et jamais je n’y reviendrais. Une profonde inspiration et un soupir, les paupières à demie-closes pour tenter de me concentrer à nouveau.
Seule avec Swag dans mon bureau, après avoir pleinement occupé mon esprit avec mes cours, je me focalisais sur les derniers préparatifs pour le petit voyage au parc d’attraction des gumiho. Je m’en serais volontiers bien passé. J’aurais dû y aller avec lui, pour une fois qu’il avait accepté, mais à croire que ma patience avait été trop consumé par le passé pour que je puisse persévérer encore jusque là. Alors… Demain… J’accompagnerais les gumiho pour encadrer un peu l’activité prévue et puis… J’attendrais. Je trouverais bien un endroit, un restaurant, un café pour me poser et tuer le temps tout au long de la journée… Dans mon idiotie, presque je m’en convainquais. Je m’y résignais. Mais au fur et à mesure que je passais en revue les inscrits et les binômes pour cette sortie ma gorge se nouait. Une main je vins serrer sur mon vêtement à la hauteur de ma poitrine qui me faisait si mal. Si mal à l’intérieur, si mal au coeur… Et puis, sous mes yeux un nom se distinguait. Je me figeais. Ta photo dans ton dossier je fixais. Soudainement, je me levais. Puis me rasseyais. J’hésitais. Réitérant la manoeuvre plusieurs fois, pour me rabattre finalement sur mon smartphone. Je pianotais et t’envoyais un message pour te demander où tu te trouvais. Je le reposais ensuite, reprenant place dans mon fauteuil de bureau. J’attendais, quelques secondes, une minute peut-être : pas de réponse. Je tentais alors de me remettre à mon ouvrage jetant des coups d’oeil incessants sur mon téléphone qui demeurait bien silencieux… Au bout de deux minutes, je ne tenais plus, bondissais sur mes pieds et quittais le bureau en direction des couloirs du dortoir masculin.
Seule avec Swag dans mon bureau, après avoir pleinement occupé mon esprit avec mes cours, je me focalisais sur les derniers préparatifs pour le petit voyage au parc d’attraction des gumiho. Je m’en serais volontiers bien passé. J’aurais dû y aller avec lui, pour une fois qu’il avait accepté, mais à croire que ma patience avait été trop consumé par le passé pour que je puisse persévérer encore jusque là. Alors… Demain… J’accompagnerais les gumiho pour encadrer un peu l’activité prévue et puis… J’attendrais. Je trouverais bien un endroit, un restaurant, un café pour me poser et tuer le temps tout au long de la journée… Dans mon idiotie, presque je m’en convainquais. Je m’y résignais. Mais au fur et à mesure que je passais en revue les inscrits et les binômes pour cette sortie ma gorge se nouait. Une main je vins serrer sur mon vêtement à la hauteur de ma poitrine qui me faisait si mal. Si mal à l’intérieur, si mal au coeur… Et puis, sous mes yeux un nom se distinguait. Je me figeais. Ta photo dans ton dossier je fixais. Soudainement, je me levais. Puis me rasseyais. J’hésitais. Réitérant la manoeuvre plusieurs fois, pour me rabattre finalement sur mon smartphone. Je pianotais et t’envoyais un message pour te demander où tu te trouvais. Je le reposais ensuite, reprenant place dans mon fauteuil de bureau. J’attendais, quelques secondes, une minute peut-être : pas de réponse. Je tentais alors de me remettre à mon ouvrage jetant des coups d’oeil incessants sur mon téléphone qui demeurait bien silencieux… Au bout de deux minutes, je ne tenais plus, bondissais sur mes pieds et quittais le bureau en direction des couloirs du dortoir masculin.
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 17:31 Citer EditerSupprimer
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Farmer. N’était-ce la meilleure activité dans un jeu comme ARK ? Nécessaire et obligatoire dans certains cas, il fallait avouer que mon élevage de dodos avait commencé à devenir… encombrant ? Immense ? Un brin abusé ? Beaucoup le disait en tout cas, me demandant même de tirer un bon coup de lance missile dans l’enclot pour faire le ménage mais… Comment le pouvais-je ? Ils étaient si adorables à mes yeux, si attachants. Alors j’étais condamné à farmer des ressources devant plusieurs milliers de personnes qui, de toute évidence, n’avaient mieux à faire de leur jeudi soir. L’objectif : construire un nouvel enclos en pierre, sur plusieurs étages, avec plusieurs bacs pour qu’ils se nourrissent, sans oublier les escaliers et autres aménagements. Autrement dit : de longues et ennuyantes heures de farming. Mais heureusement : Spike était là ! Un joli Ankylosaure niveau 88 qui m’aidait à collecter pierres et autres minéraux grâce à de bons gros coups de queue dedans. Bien mieux que la pioche donc, bien plus rapide également. Localisé au sommet d’un ancien volcan, voilà le contenu que j’offrais à ma communauté depuis bientôt une heure. Alors pour les occuper et m’excuser tout en célébrant comme il le fallait cette fête qui avait lieu tous les ans à la même époque, c’était bien un karaoké improvisé avec leur aide qui prenait place dans mon live. Des classiques au plus recherchées, du romantisme guimauve au moins… sentimental, il n’y avait un style de musique auquel je me cantonnais. Parfois, je me permettais même de leur offrir une partie de la chorégraphie lorsque celle-ci m’était connue ; on était donc bien loin du garçon coincé l’autre nuit au bar, mais ce registre m’était bien plus adapté, bien plus proche de ma personnalité extravertie.
« Alors… Qu’est-ce qu’on va chanter ensuite ? » Sur mon second écran je dirigeais mes yeux, curieux de savoir quelle serait la prochaine musique à passer sur ce que certains appelaient : Radibouh. Un mélange de « radio » et « bouh » l’un de mes nombreux pseudonymes de jeux vidéo mais, bien entendu, le plus connu de tous. Soudainement, le nombre de commentaires semblait exploser et nombreuses étaient les musiques qu’il m’était demander de chanter, toutes différentes et passant bien trop rapidement pour que je puisse même espérer retenir les noms. Dans une lancée plus lente, je me décidais à cliquer sur un lien qu’il m’était demandé, lançant donc la prochaine chanson. Celle-ci ne m’était tant inconnue, me permettant donc quelques mouvements de danses simples par moment pendant que, naturellement, les paroles passaient les barrières de mes lèvres. Des mots loin d’être familiers s’élevaient dans la pièce mais qui, à première vue, semblaient amuser bon nombre de fans. Probablement la partie féminine de mes followers ?
« Alors… Qu’est-ce qu’on va chanter ensuite ? » Sur mon second écran je dirigeais mes yeux, curieux de savoir quelle serait la prochaine musique à passer sur ce que certains appelaient : Radibouh. Un mélange de « radio » et « bouh » l’un de mes nombreux pseudonymes de jeux vidéo mais, bien entendu, le plus connu de tous. Soudainement, le nombre de commentaires semblait exploser et nombreuses étaient les musiques qu’il m’était demander de chanter, toutes différentes et passant bien trop rapidement pour que je puisse même espérer retenir les noms. Dans une lancée plus lente, je me décidais à cliquer sur un lien qu’il m’était demandé, lançant donc la prochaine chanson. Celle-ci ne m’était tant inconnue, me permettant donc quelques mouvements de danses simples par moment pendant que, naturellement, les paroles passaient les barrières de mes lèvres. Des mots loin d’être familiers s’élevaient dans la pièce mais qui, à première vue, semblaient amuser bon nombre de fans. Probablement la partie féminine de mes followers ?
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 18:02 Citer EditerSupprimer
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Quand bien même tu ne m’avais répondu, et ne répondais toujours pas, je me doutais qu’en me rendant dans ta chambre. En sortais-tu seulement lorsque d’une manière ou d’une autre, je ne t’y forçais ? Pour aller en cours, je l’espérais bien qu’en aucune façon cela ne me regardait. Et aussi, je reconnaitrais que tu t’étais inscrits pour la sortie de demain, donc, tu comptais bien faire autre chose qu’avoir le nez rivé sur ton écran. À moins qu’à l’instar d’Halloween, tu n’avais pour seul projet de filmer pour diffuser sur le net ? À cette idée, je me raidissais. Brièvement, je m’arrêtais, hésitais. Puis, j’haussais des épaules. Dans le pire des cas, je t’empêcherais voire t’interdirais de filmer ! Toujours décidée et déterminée, je me remettais en route jusqu’à ta chambre devant la porte de laquelle, mon assurance s’ébranla néanmoins quelque peu une nouvelle fois. Quel était ce raffut que j’entendais ?
Comme habitude, j’ouvris la porte sans attendre de permission. Sans la demander serait encore plus exact. Au moins, j’avais reconnu ta voix à travers la cloison. Que pouvais-tu bien être encore en train de faire ? Si j’avais essayé sans doute n’aurais-je pas pu deviner. Quel était ce spectacle auquel tu t’adonnais ? Seul devant ton écran, tu t’agitais, dansais et chantais avec ton casque sur la tête. Visiblement trop occupé pour remarquer mon entrée, je demeurais à deux pas de la porte et soupirais, désabusée : « Je crois que plus jamais il ne lui sera permis de critiquer la façon dont j’occupe ma vie… » Parce que cette scène grotesque, assurément je m’en souviendrais et je te la ressortirais. N’étant pas d’humeur à patienter que tu daignes te retourner, je t’interpelais. « Yah ! » Mais tu ne m’entendais pas. Oh et puis, après tout, qu’est-ce que je faisais là ? A quoi avais-je pensé en venant te cherchant. Absurde. Sur mes talons je tournais, prête à repartir avant de me raviser. Je détestais ignorer ! Alors la porte je refermais et m’avançais dans ta chambre, t’interpelant de plus bel : « Woo Haneul ! » J’avais beau pousser sur ma voix, tu ne m’entendais toujours pas. Les mains sur les hanches, je commençais à perdre patience. Puis, soudainement me vint une idée.
Sur mon visage, un fin sourire se dessina. Consciente d’être certainement dans le champ de ta caméra pour laquelle tu te ridiculisais, à tes spectateurs j’adressais un signe. Celui de mon index devant les lèvres pour leur intimer de ne pas t’alerter. Et féline, je m’approchais. Par-dessus ton épaule je me penchais. Ton casque je détachais d’une de tes oreilles au creux de laquelle, je vins te souffler : « Haneul Oppa… » d’une voix douce et sucrée.
Comme habitude, j’ouvris la porte sans attendre de permission. Sans la demander serait encore plus exact. Au moins, j’avais reconnu ta voix à travers la cloison. Que pouvais-tu bien être encore en train de faire ? Si j’avais essayé sans doute n’aurais-je pas pu deviner. Quel était ce spectacle auquel tu t’adonnais ? Seul devant ton écran, tu t’agitais, dansais et chantais avec ton casque sur la tête. Visiblement trop occupé pour remarquer mon entrée, je demeurais à deux pas de la porte et soupirais, désabusée : « Je crois que plus jamais il ne lui sera permis de critiquer la façon dont j’occupe ma vie… » Parce que cette scène grotesque, assurément je m’en souviendrais et je te la ressortirais. N’étant pas d’humeur à patienter que tu daignes te retourner, je t’interpelais. « Yah ! » Mais tu ne m’entendais pas. Oh et puis, après tout, qu’est-ce que je faisais là ? A quoi avais-je pensé en venant te cherchant. Absurde. Sur mes talons je tournais, prête à repartir avant de me raviser. Je détestais ignorer ! Alors la porte je refermais et m’avançais dans ta chambre, t’interpelant de plus bel : « Woo Haneul ! » J’avais beau pousser sur ma voix, tu ne m’entendais toujours pas. Les mains sur les hanches, je commençais à perdre patience. Puis, soudainement me vint une idée.
Sur mon visage, un fin sourire se dessina. Consciente d’être certainement dans le champ de ta caméra pour laquelle tu te ridiculisais, à tes spectateurs j’adressais un signe. Celui de mon index devant les lèvres pour leur intimer de ne pas t’alerter. Et féline, je m’approchais. Par-dessus ton épaule je me penchais. Ton casque je détachais d’une de tes oreilles au creux de laquelle, je vins te souffler : « Haneul Oppa… » d’une voix douce et sucrée.
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 18:49 Citer EditerSupprimer
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Après vérification du nombre de pierres présentes dans Spike, mon personnage retournait sur celui-ci pour finir ce dur calvaire. Je n’étais le type de joueur à toujours vouloir tout avoir sur le moment, mais tout de même, réunir 6.000 pierres en une heure et demie… Le challenge était ardu et épuisant. Fort heureusement, tant pour ma communauté que pour moi-même, cette idée de karaoké sauvait notre mental. Comme à mon habitude, je n’hésitais à me tourner en spectacle, totalement libre de mes mouvements, sans avoir peur du ridicule d’une quelconque façon. N’étais-je doué qu’à ça ? Faire l’idiot, amusé les gens, les divertir et leur faire oublier leurs problèmes. Ce n’était le but premier de mon envie de streaming, mais c’était un but par défaut pour quiconque faisait dans le divertissement. Involontairement, sans doute, leur offrirais-je le meilleur contenu depuis un moment grâce à toi ? Lisant en biais les commentaires, bien trop occupé à chanter et faire le pitre pendant que la collecte de ressources se faisait, je ne me doutais de ta présence dans la pièce. Ce n’était qu’à ces quelques syllabes, ce souffle contre ma peau que j’en prenais conscience. De façon brutale même.
Un cri passait mes lèvres et, naturellement, de toi je m’éloignais en retirant mon casque. Jamais n’avait-il été ôté si rapidement d’ailleurs ! Sur mon torse, au niveau de mon cœur agité, ma main se posait à la réalisation qu’il ne s’agissait que de toi… que ? M’avais-tu entendu chanter ? Quelle misère… « Yah… » Une simple syllabe qui passait mes lèvres le temps de me remettre du choc alors que, de leur côté, mes viewers semblaient avoir pris beaucoup de plaisir à te voir m’effrayer. Bon nombres d’emoji passaient, tous témoignant de leur amusement avant qu’un débat de commence à s’opérer pour les plus sérieux d’entre eux : étais-tu ma petite amie ? Certains ne s’embarrassaient de la question, sautant sur l’occasion pour sous-entendre que si je ne pouvais live demain soir, c’était bien pour profiter d’une soirée sans jour de cours le lendemain pour toi... « T’avais besoin de quelque chose ? » Tes visites n’étaient jamais purement amicale, pour prendre des nouvelles ou simplement venir me voir, alors bien évidemment : tu devais avoir une bonne raison n’est-ce pas ?
Vers toi je me tournais, abandonnant le jeu temporairement avant qu’un détail ne me vienne à l’esprit. « Attends… « Oppa » ?! Depuis quand je suis devenu ton Oppa ? » Quand avions-nous passé cette barrière que tu m’avais interdit de franchir ? Ne m’avais-tu pas traité d’idiot de nombreuses fois ? Dis de ne pas prendre mes rêves pour la réalité ? Pourtant… Ne venais-tu pas tout juste de satisfaire une envie puérile de ma part ?
Un cri passait mes lèvres et, naturellement, de toi je m’éloignais en retirant mon casque. Jamais n’avait-il été ôté si rapidement d’ailleurs ! Sur mon torse, au niveau de mon cœur agité, ma main se posait à la réalisation qu’il ne s’agissait que de toi… que ? M’avais-tu entendu chanter ? Quelle misère… « Yah… » Une simple syllabe qui passait mes lèvres le temps de me remettre du choc alors que, de leur côté, mes viewers semblaient avoir pris beaucoup de plaisir à te voir m’effrayer. Bon nombres d’emoji passaient, tous témoignant de leur amusement avant qu’un débat de commence à s’opérer pour les plus sérieux d’entre eux : étais-tu ma petite amie ? Certains ne s’embarrassaient de la question, sautant sur l’occasion pour sous-entendre que si je ne pouvais live demain soir, c’était bien pour profiter d’une soirée sans jour de cours le lendemain pour toi... « T’avais besoin de quelque chose ? » Tes visites n’étaient jamais purement amicale, pour prendre des nouvelles ou simplement venir me voir, alors bien évidemment : tu devais avoir une bonne raison n’est-ce pas ?
Vers toi je me tournais, abandonnant le jeu temporairement avant qu’un détail ne me vienne à l’esprit. « Attends… « Oppa » ?! Depuis quand je suis devenu ton Oppa ? » Quand avions-nous passé cette barrière que tu m’avais interdit de franchir ? Ne m’avais-tu pas traité d’idiot de nombreuses fois ? Dis de ne pas prendre mes rêves pour la réalité ? Pourtant… Ne venais-tu pas tout juste de satisfaire une envie puérile de ma part ?
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 20:37 Citer EditerSupprimer
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Quel malin plaisir je pris à te surprendre ainsi. Dépassant mes attentes, plus encore que sursauter, un cri d’échapper et tu t’enfuyais comme si un monstre venait de t’attaquer, tel le cliché d’une fille qui aurait vu une araignée. Grâce à toi, malgré toi, pour la première fois depuis la veille, je retrouvais un semblant de sourire, spontané. Je triomphais de ce tour que je t’avais joué avec le sentiment d’un juste retour de manivelle. À rôle inversé – si tant était que ce fusse possible – tu ne te serais pas gêner non plus pour m’embêter. À croire que moi aussi, j’y avais pris gout.
Ta question me rendit plus sérieuse. Sans pour autant que mes pensées ne remontent jusqu’à mon intention première, je me parais de mon masque de la présidente autoritaire. Pas pour longtemps cependant car avec retard, tu relevais seulement après le terme que j’avais employé dans l’idée de te charrier. « Oppa ? » répétais-je en feignant l’étonnement. « Je ne me souviens pas avoir prononcé ce mot, » mentis-je. En plus du timbre de ma voix, le petit rictus au coin de mes lèvres t’indiqueraient que je m’amusais bien à te faire tourner en bourrique. Il semblerait que cette situation où je puisse avoir l’ascendant s’avérait trop belle pour que je ne la saisisse. « Tssss… ton imagination te joue des tours, pauvre petit… » Dans une tendre pitié, me dressant sur la pointe de mes pieds, je montais une main sur tes cheveux et appliquaient de douce caresse compatissante sur ta tête. Un geste que je ne répétais que quelques instants avant de tracer presque soudainement ma route en direction d’une adorable boule de poils s’étirant pour s’extirper péniblement de son profond sommeil. « Coucou toi ! » Je pris dans mes bras notre chaton grandissant et le caressais, le laissais jouer avec mes doigts en revenant vers toi. « Comment tu vas mon petit coeur ? Papa t’as réveillé à crier comme une fille ? » De nouveau face à toi, je redressais mon regard. De mon affection pour le chaton, mon expression témoigna plus de sévérité. « Ce serait trop te demander que de répondre à tes messages ? » raillais-je, assez vindicative tandis que je libérais une main pour désigner ton téléphone portable dont le petit voyant indiquait pourtant que tu avais des notificatifs ou messages.
Ta question me rendit plus sérieuse. Sans pour autant que mes pensées ne remontent jusqu’à mon intention première, je me parais de mon masque de la présidente autoritaire. Pas pour longtemps cependant car avec retard, tu relevais seulement après le terme que j’avais employé dans l’idée de te charrier. « Oppa ? » répétais-je en feignant l’étonnement. « Je ne me souviens pas avoir prononcé ce mot, » mentis-je. En plus du timbre de ma voix, le petit rictus au coin de mes lèvres t’indiqueraient que je m’amusais bien à te faire tourner en bourrique. Il semblerait que cette situation où je puisse avoir l’ascendant s’avérait trop belle pour que je ne la saisisse. « Tssss… ton imagination te joue des tours, pauvre petit… » Dans une tendre pitié, me dressant sur la pointe de mes pieds, je montais une main sur tes cheveux et appliquaient de douce caresse compatissante sur ta tête. Un geste que je ne répétais que quelques instants avant de tracer presque soudainement ma route en direction d’une adorable boule de poils s’étirant pour s’extirper péniblement de son profond sommeil. « Coucou toi ! » Je pris dans mes bras notre chaton grandissant et le caressais, le laissais jouer avec mes doigts en revenant vers toi. « Comment tu vas mon petit coeur ? Papa t’as réveillé à crier comme une fille ? » De nouveau face à toi, je redressais mon regard. De mon affection pour le chaton, mon expression témoigna plus de sévérité. « Ce serait trop te demander que de répondre à tes messages ? » raillais-je, assez vindicative tandis que je libérais une main pour désigner ton téléphone portable dont le petit voyant indiquait pourtant que tu avais des notificatifs ou messages.
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 21:55 Citer EditerSupprimer
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Aurais-tu, par le plus grand des hasards, du temps à perdre pour qu’ainsi tu viennes m’embêter un jeudi soir ? L’écran derrière moi je pointais du doigt, l’air sérieux bien qu’au fond, je devais l’avouer, j’étais bien heureux de te voir agir de la sorte. N’était-ce le signe que, petit à petit, tu devenais de plus en plus familière avec moi et, par conséquent, que nous étions de plus en plus proche l’un l’autre ? « J’ai des milliers de gens ici qui sont prêts à dire l’inverse… » Si on oubliait bon nombre de plaisantins qui, bien rapidement, disaient qu’ils n’avaient rien entendu eux non plus, bande de faux petits anges qui se plaisaient eux aussi à me taquiner dès l’occasion présente.
Sur mon siège je me rasseyais dès que tu eus finis de m’embêter, à croire que les rôles avaient été échangés ? Depuis quand passais-tu ta main dans mes cheveux exactement ? T’avais-je transmis cette habitude sans que tu ne t’en rendes compte ? Bien que je l’appréciais je ne pouvais m’empêcher d’être perdu quant à ton comportement et ta présence ici. Un tour sur mon siège je faisais pour te voir avec Mìngyùn, très probablement réveillé par le cri que j’avais poussé. D’ailleurs, tu ne manquas pas de le relever, me faisant doucement claquer la langue. « Je crie pas comme une fille… » Soufflais-je à ton attention bien qu’il semblerait que tu avais une autre affaire en tête. Des messages ? Conscient que jamais je ne les consultais pendant les lives, je décidais pourtant d’user d’une autre tactique pour me défendre. « Pourquoi je consulterais mes messages et y répondrait si je peux te voir en ne le faisant pas ? » Un sourire je t’offrais une fois cette question formulée tandis que j’attrapais mon portable d’une main malgré tout. M’avais-tu vraiment envoyé des messages ? A la consultation de ceux-ci, un léger rire m’échappait –un seul de ta part et tu venais te plaindre de mon silence ? – mais je décidais de jouer le jeu malgré tout. De te satisfaire même s’il était trop tard. A peine le dernier message envoyé, mon nez je relevais vers toi, tout sourire car fier de ma bêtise. « De quoi tu voulais parler ? »
Sur mon siège je me rasseyais dès que tu eus finis de m’embêter, à croire que les rôles avaient été échangés ? Depuis quand passais-tu ta main dans mes cheveux exactement ? T’avais-je transmis cette habitude sans que tu ne t’en rendes compte ? Bien que je l’appréciais je ne pouvais m’empêcher d’être perdu quant à ton comportement et ta présence ici. Un tour sur mon siège je faisais pour te voir avec Mìngyùn, très probablement réveillé par le cri que j’avais poussé. D’ailleurs, tu ne manquas pas de le relever, me faisant doucement claquer la langue. « Je crie pas comme une fille… » Soufflais-je à ton attention bien qu’il semblerait que tu avais une autre affaire en tête. Des messages ? Conscient que jamais je ne les consultais pendant les lives, je décidais pourtant d’user d’une autre tactique pour me défendre. « Pourquoi je consulterais mes messages et y répondrait si je peux te voir en ne le faisant pas ? » Un sourire je t’offrais une fois cette question formulée tandis que j’attrapais mon portable d’une main malgré tout. M’avais-tu vraiment envoyé des messages ? A la consultation de ceux-ci, un léger rire m’échappait –un seul de ta part et tu venais te plaindre de mon silence ? – mais je décidais de jouer le jeu malgré tout. De te satisfaire même s’il était trop tard. A peine le dernier message envoyé, mon nez je relevais vers toi, tout sourire car fier de ma bêtise. « De quoi tu voulais parler ? »
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Ven 16 Fév - 23:49 Citer EditerSupprimer
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Tu parlais mais je ne t’écoutais. Ta défense et tes arguments, je les connaissais. Trop prévisible. Jusqu’à un certain point. Si tu ne me surprenais, ne me décontenançais pas une seule fois, tu ne serais pas toi, n’est-ce pas ? Je te reconnaissais toujours capable de répartie et sans doute était-ce que te rendais aussi agaçant qu’intéressant. « Ne me dis pas que… » Tu l’aurais fait exprès ? Tu en serais bien capable. Mais non, en l’occurence, un tel piège ne serait guère crédible à en juger comme je t’avais surprise. Si véritablement tu attendais à ce que je vienne en personne, tu aurais trouver meilleur accueil à me réserver. Je n’aurais eu loisir de te voir te ridiculiser de la sorte. Et j’aurais plutôt été la cible de tes idioties si tu avais prémédité mon arrivée.
Si tu savais comment renvoyer la balle, en revanche, tu ne savais jamais quand t’arrêter. Alors que tu consultais le message que je t’avais précédemment envoyé, rapidement, j’en reçus un. M’aurais-tu répondu idiot que tu étais ? Le temps que je repose Mingyun et me munisse de mon téléphone les alarmes de réception pleuvaient. Mais pourquoi étais-je venue voir un crétin comme toi ? J’étais d’humeur à supporter tes idioties aujourd’hui ? Non, certainement pas ! Et après avoir lu tes sms plus énervants les uns que les autres, je te laissais froidement : « Tu veux mourir ? » Je n’avais vraiment plus envie de rire. Plus envie de te voir non plus d’ailleurs. Encore moins de te dire ce pourquoi j’étais pourtant venue jusqu’à ta chambre. « Oublie ! » répondis-je sèchement en tournant les talons. Je marchais jusqu’à la porte, posant mes doigts sur la poignée, mais au lieu de la tourner, ce fut ma personne qui fit demi-tour. « Oh et puis, si ! » Je te ferais payer pour t’être encore moquer de moi ce soir. Mon téléphone en main, à mon tour, je pianotais sur celui-ci. Je redressais la tête une fois rédigé et t’annonçais juste avant d’envoyer : « J’ai une bonne nouvelle pour toi ! » Une nouvelle qui te ferait très certainement regretter de m’avoir chercher. De m’offrir encore plus de bonnes raisons que je n’avais déjà de me défouler sur toi en guise de vengeance. « Tu as un nouveau message. » Sur mes lèvres, un nouveau sourire se dessinait, bien plus narquois, en rien léger ou sincère. Juste ironique. Peut-être m’offrirais-tu au moins le plaisir de te voir te décomposer en guise de compensation et lot de consolation.
Si tu savais comment renvoyer la balle, en revanche, tu ne savais jamais quand t’arrêter. Alors que tu consultais le message que je t’avais précédemment envoyé, rapidement, j’en reçus un. M’aurais-tu répondu idiot que tu étais ? Le temps que je repose Mingyun et me munisse de mon téléphone les alarmes de réception pleuvaient. Mais pourquoi étais-je venue voir un crétin comme toi ? J’étais d’humeur à supporter tes idioties aujourd’hui ? Non, certainement pas ! Et après avoir lu tes sms plus énervants les uns que les autres, je te laissais froidement : « Tu veux mourir ? » Je n’avais vraiment plus envie de rire. Plus envie de te voir non plus d’ailleurs. Encore moins de te dire ce pourquoi j’étais pourtant venue jusqu’à ta chambre. « Oublie ! » répondis-je sèchement en tournant les talons. Je marchais jusqu’à la porte, posant mes doigts sur la poignée, mais au lieu de la tourner, ce fut ma personne qui fit demi-tour. « Oh et puis, si ! » Je te ferais payer pour t’être encore moquer de moi ce soir. Mon téléphone en main, à mon tour, je pianotais sur celui-ci. Je redressais la tête une fois rédigé et t’annonçais juste avant d’envoyer : « J’ai une bonne nouvelle pour toi ! » Une nouvelle qui te ferait très certainement regretter de m’avoir chercher. De m’offrir encore plus de bonnes raisons que je n’avais déjà de me défouler sur toi en guise de vengeance. « Tu as un nouveau message. » Sur mes lèvres, un nouveau sourire se dessinait, bien plus narquois, en rien léger ou sincère. Juste ironique. Peut-être m’offrirais-tu au moins le plaisir de te voir te décomposer en guise de compensation et lot de consolation.
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Sam 17 Fév - 19:18 Citer EditerSupprimer
« Our hands brush, so close yet so far
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
Whatever you want
I’ll always be with you»
You & Me
Tomorrow, Together
Tomorrow, Together
Perfect HaRa
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
Whatever you want
I’ll always be with you»
La joie n’était de longue durée. Une phrase, une question qui n’en était une et je comprenais que tu n’étais d’humeur à supporter mes enfantillages. Tout sourire s’effaçait de mes lèvres, celles-ci venaient même à se pincer pour me faire taire un long moment. Mais ne pouvais-tu te douter que ma réaction aurait été ainsi ? J’étais un enfant dans l’âme, peut-être avais-tu tendance à l’oublier mais c’était un fait indéniable… Encore plus lorsqu’il s’agissait de toi sans doute ? Un sentiment proche de celui d’un enfant se faisant gronder par son géniteur, rapidement pourtant, ce fut l’incompréhension et une certaine tristesse qui m’habitait. L’avais-tu véritablement mal pris ? De mon siège je me levais, me dirigeant à ta suite. « Je suis désolé. Je rigol… » Brutalement je me stoppais en te voyant faire volteface et un sourcil j’arquais. Et puis si ? Allais-tu me l’annoncer finalement ? Disposé à t’écouter car curieux, j’attendais de voir ce que tu avais à m’annoncer mais rien ne venait. Je te voyais taper sur l’écran de ton portable et… Jouais-tu à ce jeu enfantin toi aussi ? A entendre mon portable vibré et tes mots, je comprenais que tu avais décidé d’employé cette exacte même technique. « Une vraie enfant… » Soufflais-je plus pour moi-même que pour toi véritablement.
A mon bureau je me dirigeais, attrapant rapidement ce smartphone pour y lire, sur deux lignes, ces quelques mots. Toi et moi, demain…. Ensemble ? Mes sourcils se fronçaient à la lecture et relecture de ce message. Les informations semblaient ne vouloir s’enregistrer, mon cerveau ne voulait comprendre ce que cela signifiait. Mon index libre je pointais vers toi. « Toi et… » Vers moi il revenait ensuite. « moi. » Un tour dans le vide il faisait, comme pour rembobiner une chose invisible. « Demain… » Entre nous il bougeait ensuite, comme pour nous lier. « Ensemble ? Mais… » Demain, n’était-ce la sortie avec la fraternité. Pourquoi voulais-tu soudainement qu’on sorte ? De l’écran mes yeux se levaient vers le mur face à moi, cherchant une vérité pourtant simple. « Demain c’est la sortie gumiho et… » Soudainement, à le formuler à haute voix, tout prenait sens. Enfin presque ! Vers toi je reportais mon attention ensuite, visiblement perdu. « Je suis censé y aller avec quelqu’un d’autre… et… t’as pas ton fiancé ? Pourquoi tu voudrais y aller avec moi ? En plus, je t’énerve. La preuve avec les sms… Pourquoi on passerait une journée... en-ensemble ? » Tel une barque que l’on aurait oublié en pleine mer, je dérivais, incapable de comprendre où tu voulais en venir, pourquoi et comment. Tout semblait si étrange bien qu’à cette idée, celle de passer une journée entière avec toi, je ne pouvais qu’être heureux évidemment.
A mon bureau je me dirigeais, attrapant rapidement ce smartphone pour y lire, sur deux lignes, ces quelques mots. Toi et moi, demain…. Ensemble ? Mes sourcils se fronçaient à la lecture et relecture de ce message. Les informations semblaient ne vouloir s’enregistrer, mon cerveau ne voulait comprendre ce que cela signifiait. Mon index libre je pointais vers toi. « Toi et… » Vers moi il revenait ensuite. « moi. » Un tour dans le vide il faisait, comme pour rembobiner une chose invisible. « Demain… » Entre nous il bougeait ensuite, comme pour nous lier. « Ensemble ? Mais… » Demain, n’était-ce la sortie avec la fraternité. Pourquoi voulais-tu soudainement qu’on sorte ? De l’écran mes yeux se levaient vers le mur face à moi, cherchant une vérité pourtant simple. « Demain c’est la sortie gumiho et… » Soudainement, à le formuler à haute voix, tout prenait sens. Enfin presque ! Vers toi je reportais mon attention ensuite, visiblement perdu. « Je suis censé y aller avec quelqu’un d’autre… et… t’as pas ton fiancé ? Pourquoi tu voudrais y aller avec moi ? En plus, je t’énerve. La preuve avec les sms… Pourquoi on passerait une journée... en-ensemble ? » Tel une barque que l’on aurait oublié en pleine mer, je dérivais, incapable de comprendre où tu voulais en venir, pourquoi et comment. Tout semblait si étrange bien qu’à cette idée, celle de passer une journée entière avec toi, je ne pouvais qu’être heureux évidemment.
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Sam 17 Fév - 20:06 Citer EditerSupprimer
« Our hands brush, so close yet so far
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
I’m afraid, I can’t go on without you
I wanna be with you »
You & Me
Tomorrow, Together
Tomorrow, Together
Perfect HaRa
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
I’m afraid, I can’t go on without you
I wanna be with you »
Tes excuses, comme d’habitude, tu pouvais te les garder. Si seulement un jour tu cessais d’avoir besoin d’en formuler. Était-ce trop te demander vraisemblablement ? Si tu les pensais, tes excuses, n’y aurais-tu pas déjà remédier au lieu de me casser les pieds en toute occasion, et encore plus aujourd’hui ! Alors oui, moi aussi, je m’adonnais aux mêmes enfantillages que toi. Oui, je m’abaissais à ton niveau pour que peut-être tu comprennes. Ce message, c’était ta sentence de mort que je t’envoyais. À cet instant, je me satisfais des regrets qui, je l’espérais, te hantaient.
Me trompais-je ? Malgré l’absence de sourire sur mes traits, je conservais encore quelques instants cet espoir tandis que tu semblais mettre bien du temps à comprendre le sens de mes mots. Je te connaissais plus vif d’esprit. Ne serais-tu doué que pour les idioties ? Dans l’attente que tu parviennes à assembler ce puzzle composé pourtant que de 4 pièces, d’impatience j’humectais mes lèvres. Enfin, tu semblais toucher du doigt le résultat mais… Tes questions me firent frémir. Je me contractais. Tout d’abord, comment osais-tu remettre en question mes décisions de présidente. Tu faisais partie des membres par tirage au sort, tu n’avais personne de bien précise avec qui tu souhaitais officiellement te rendre ! Oh, mais peut-être comptais-tu sur cette virée pour te trouver une nouvelle copine ? Ou plutôt une autre fille qui ne ferait que passer dans ta chambre pour t’occuper quelques heures sans jamais se préoccuper de toi autrement ? Eh bien, c’était raté ! Tu auras peut-être plus de chance la prochaine fois ! Ou pas.
Mais évidemment, la question la plus percutante et légitime à la fois fut celle que j’espérais ne pas entendre malgré la très forte probabilité qu’elle soit émise. Ne pouvais-tu pas ne pas t’en soucier comme de tout le reste ? De mon fiancé… Fiancé qui n’était plus. Le coeur arrêté, ses battements entravés par l’étau que le meurtrit, je sentis les larmes menacer subitement. Derrière mes yeux brillants, je le retins. Je me contins, de toutes mes forces. J’entrouvris les lèvres mais ma gorge se noua trop étroitement pour que ces mots je ne parvienne à prononcer. Les avais-je seulement déjà prononcé une voix de vive voix depuis la veille. Alors, encore incapable de l’annoncer sans m’effondrer, je te répondis mon montant ma main devant moi. La tournant pour que tu en vois le dos. Pour que tu constates l’absence de cet anneau qui m’importait tant depuis un an. La trace de son existence passé demeurait encore incrustée dans les pigments de ma peau. Tu avais ainsi ta réponse. Quant à savoir pourquoi toi : « J’ai besoin d’un souffre-douleur pour me défouler. » réussis-je à prononcer, aussi froidement qu’il me fut possible malgré ma voix tremblante, presque fragile. Sur le fil pour ne pas pleurer.
Me trompais-je ? Malgré l’absence de sourire sur mes traits, je conservais encore quelques instants cet espoir tandis que tu semblais mettre bien du temps à comprendre le sens de mes mots. Je te connaissais plus vif d’esprit. Ne serais-tu doué que pour les idioties ? Dans l’attente que tu parviennes à assembler ce puzzle composé pourtant que de 4 pièces, d’impatience j’humectais mes lèvres. Enfin, tu semblais toucher du doigt le résultat mais… Tes questions me firent frémir. Je me contractais. Tout d’abord, comment osais-tu remettre en question mes décisions de présidente. Tu faisais partie des membres par tirage au sort, tu n’avais personne de bien précise avec qui tu souhaitais officiellement te rendre ! Oh, mais peut-être comptais-tu sur cette virée pour te trouver une nouvelle copine ? Ou plutôt une autre fille qui ne ferait que passer dans ta chambre pour t’occuper quelques heures sans jamais se préoccuper de toi autrement ? Eh bien, c’était raté ! Tu auras peut-être plus de chance la prochaine fois ! Ou pas.
Mais évidemment, la question la plus percutante et légitime à la fois fut celle que j’espérais ne pas entendre malgré la très forte probabilité qu’elle soit émise. Ne pouvais-tu pas ne pas t’en soucier comme de tout le reste ? De mon fiancé… Fiancé qui n’était plus. Le coeur arrêté, ses battements entravés par l’étau que le meurtrit, je sentis les larmes menacer subitement. Derrière mes yeux brillants, je le retins. Je me contins, de toutes mes forces. J’entrouvris les lèvres mais ma gorge se noua trop étroitement pour que ces mots je ne parvienne à prononcer. Les avais-je seulement déjà prononcé une voix de vive voix depuis la veille. Alors, encore incapable de l’annoncer sans m’effondrer, je te répondis mon montant ma main devant moi. La tournant pour que tu en vois le dos. Pour que tu constates l’absence de cet anneau qui m’importait tant depuis un an. La trace de son existence passé demeurait encore incrustée dans les pigments de ma peau. Tu avais ainsi ta réponse. Quant à savoir pourquoi toi : « J’ai besoin d’un souffre-douleur pour me défouler. » réussis-je à prononcer, aussi froidement qu’il me fut possible malgré ma voix tremblante, presque fragile. Sur le fil pour ne pas pleurer.
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Mar 27 Fév - 15:36 Citer EditerSupprimer
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Whatever you want
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L’incompréhension grandissait, de plus en plus, face à ton silence. N’était-il finalement, une fois encore, pas disponible pour toi ? Un imprévu l’empêchait de venir ? Vous étiez-vous engueulé ? Cela pouvait arriver, dans n’importe quel couple normalement constitué, ça arrivait bien entendu mais… Au point d’aller fêter la St. Valentin avec un autre ? A moins que… voulais-tu le rendre jaloux ? Je me savais plutôt beau, mais de là à me choisir pour remplir cette fonction ? Fonction qui, en plus, ne me sciait guère car je haïssais ce genre de manège puéril et sadique dans un couple. Faire du mal à l’autre en vengeance de sa propre douleur, n’était-ce pas là le début d’un cycle infernal sans fin n’aboutissant qu’à une relation devenant peu à peu de moins en moins saine et sincère ? Alors j’attendais ta réponse, celle-ci que tu ne formulais. Celle-ci que je dus interpréter d’un simple mouvement de ta main gauche dans les airs. Cette main sur laquelle, précédemment, j’avais vu un anneau y figurer, y trôner, comme annonciateur d’une promesse et d’un engagement aussi pur qu’effrayant à mes yeux. Cette main sur laquelle ne figurait plus un seul bijou de la sorte…
Il me fallut un instant pour réussir à me faire à cette idée, à cette hypothèse, pour l’accepter alors que ça ne me concernait en rien. Pourtant, les questions fusaient dans mon esprit. Pourquoi ? Quand ? Comment ? Qui de vous deux avait franchi ce pas difficile ? Etais-tu celle qu’il avait abandonnée ? Ou l’avais-tu jeté après avoir constaté que c’était trop tôt ? Le savais-tu même, qu’à ton âge c’était bien trop tôt pour s’engager ? A moins que son absence ne te pesait ? Qu’elle était la raison, qui l’avait fait… Je ne pouvais poser ces questions qui, premièrement, ne me regardaient aucunement au vu de notre relation –si tenter de dire que nous en avions une véritablement – mais surtout, deuxièmement, risquait de te blesser et te replonger dans des souvenirs que tu préférais sans doute éviter de te remémorer. Comment devais-je réagir ? Que devais-je dire ? Mon esprit s’était totalement vidé de pensées, même l’idée que tu me choisisses comme souffre-douleur n’arrivait à lui.
Immobile un instant, le suivant je venais à toi avec un macaron, parfum Nutella que je tendais à tes lèvres. « Manges. » Mais peut-être que tu n’aimais pas le Nutella ? Ou ne voulais pas de Nutella tout simplement. Alors je pointais la boite sur mon bureau, me tournant à demi vers celui-ci alors que mes pupilles restaient visées sur ton visage. « Sinon j’ai d’autres parfums aussi. Fraise, citron... euh…Y a quoi d’autre ? Fraise, citron, Nutella, vanille, pistache. J’ai peut-être un bubble-gum encore et un barbe à papa… » Pourquoi voulais-je te faire manger soudainement ? Ce n’était pas ça qui allait noyer ta peine et t’occuper l’esprit… Alors de ta main je me saisissais de celle qui m’était libre pour te guider vers mon siège. Je ne te forçais à t’y asseoir mais te faisais bien comprendre que tu le pouvais si tu le désirais. « Viens chanter avec moi ! On peut danser aussi si tu veux ? Je suis plus doué pour la K-pop que pour la Salsa. » Peut-être que mes mouvements d’épaules ne te convaincraient pas de ma crédibilité, mais j’étais vraiment beaucoup plus doué pour les chorégraphies de K-pop ! Surtout les girls bands malheureusement… Les filles étaient si belles aussi, comment ne pas passer du temps à les regarder danser ? Et puis ma communauté adorait ça qui plus est, double raison de m'y intéresser.
Il me fallut un instant pour réussir à me faire à cette idée, à cette hypothèse, pour l’accepter alors que ça ne me concernait en rien. Pourtant, les questions fusaient dans mon esprit. Pourquoi ? Quand ? Comment ? Qui de vous deux avait franchi ce pas difficile ? Etais-tu celle qu’il avait abandonnée ? Ou l’avais-tu jeté après avoir constaté que c’était trop tôt ? Le savais-tu même, qu’à ton âge c’était bien trop tôt pour s’engager ? A moins que son absence ne te pesait ? Qu’elle était la raison, qui l’avait fait… Je ne pouvais poser ces questions qui, premièrement, ne me regardaient aucunement au vu de notre relation –si tenter de dire que nous en avions une véritablement – mais surtout, deuxièmement, risquait de te blesser et te replonger dans des souvenirs que tu préférais sans doute éviter de te remémorer. Comment devais-je réagir ? Que devais-je dire ? Mon esprit s’était totalement vidé de pensées, même l’idée que tu me choisisses comme souffre-douleur n’arrivait à lui.
Immobile un instant, le suivant je venais à toi avec un macaron, parfum Nutella que je tendais à tes lèvres. « Manges. » Mais peut-être que tu n’aimais pas le Nutella ? Ou ne voulais pas de Nutella tout simplement. Alors je pointais la boite sur mon bureau, me tournant à demi vers celui-ci alors que mes pupilles restaient visées sur ton visage. « Sinon j’ai d’autres parfums aussi. Fraise, citron... euh…Y a quoi d’autre ? Fraise, citron, Nutella, vanille, pistache. J’ai peut-être un bubble-gum encore et un barbe à papa… » Pourquoi voulais-je te faire manger soudainement ? Ce n’était pas ça qui allait noyer ta peine et t’occuper l’esprit… Alors de ta main je me saisissais de celle qui m’était libre pour te guider vers mon siège. Je ne te forçais à t’y asseoir mais te faisais bien comprendre que tu le pouvais si tu le désirais. « Viens chanter avec moi ! On peut danser aussi si tu veux ? Je suis plus doué pour la K-pop que pour la Salsa. » Peut-être que mes mouvements d’épaules ne te convaincraient pas de ma crédibilité, mais j’étais vraiment beaucoup plus doué pour les chorégraphies de K-pop ! Surtout les girls bands malheureusement… Les filles étaient si belles aussi, comment ne pas passer du temps à les regarder danser ? Et puis ma communauté adorait ça qui plus est, double raison de m'y intéresser.
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