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You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Mar 27 Fév - 19:57 Citer EditerSupprimer
« Our hands brush, so close yet so far
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
I’m afraid, I can’t go on without you
I wanna be with you »
You & Me
Tomorrow, Together
Tomorrow, Together
Perfect HaRa
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
I’m afraid, I can’t go on without you
I wanna be with you »
Le message n’était-il pas assez explicite pour toi justifiant ton mutisme ? Essayais-tu de trouver la réponse dans cette image à la recherche de l’erreur qui répondrait à ta question ? M’obligerais-tu à le formuler de mes lèvres tremblantes ? Mes nerfs étaient à fleur de peau. Ma gorge nouée, je doutais d’en être capable. Pouvais-je véritablement prononcer ces mots ? Sans fondre en larmes ? Or, je ne voulais pas. Je me refusais de craquer. Surtout devant témoins. Et encore moins en ta présence ! Non, tu ne m’avais déjà que trop vu vulnérable. Hors de question d’en rajouter une couche. Cependant… Pourquoi étais-je venue te voir toi ? Pourquoi toi ? Pourquoi t’avoir choisi pour passer la journée de demain à mes côtés ? La vérité était-elle vraiment celle que je prétendais ? Ne considérais-je que comme le souffre-douleur et défouloir idéal ? Ou bien… Si je souhaitais que ce soit, c’était très certainement car au cas où, je pourrais me permettre de flancher. À tes yeux, mon image s’avérait plus altérée qu’à ceux de quiconque. Qu’avais-je encore à perdre ? Ma pudeur, ma fierté et sans doute même ma dignité, que ne m’avait-il pas été enlevé en ta présence ? Alors, à toi, la fragilité de mon coeur, je pourrais exposer… Mais pas ce soir.
L’instant figé se remettait soudainement en mouvement. À mes lèvres, tu présentais bêtement un macaron. Je demeurais alors immobile quelques secondes, stupéfaite. Battements de cils, j’eus à peine le temps d’entrouvrir les lèvres que tu enchainais. Comme si ces instants où le temps semblait s’être arrêté tu tentais de les rattraper, jusqu’à me conduire à côté de ton siège, juste en face de ton écran de surcroit. Violemment, je te retirais ma main et ma voix claqua : « Arrête ça ! » N’avais-tu pas compris la situation ? Ou plutôt si, mais incapable de prendre quoi que ce soit au sérieux, t’imaginais-tu que voilà, la page était tournée ? Que tout le monde vivait chaque instant, chaque déception avec autant de légèreté que tu le faisais ? Eh bien, non ! « Je ne veux pas de tes stupides macarons et encore moins chanter pour avoir l’air aussi idiote que toi, en live sur le net en prime ! » Je désignais ton écran, attrapant même finalement ta satanée boite de macaron pour l’y jeter. Je m’écriais et mes nerfs rendaient mes gestes saccadés, les muscles frémissant.
Malgré la difficulté, je plantais mon regard sur toi. De mes yeux je te dardais et t’assénais de ma voix glaciale. « Je suis juste venue te prévenir pour demain. » Je ne te demandais rien. Rien de plus. Rien pour le moment. « Et ce n’est pas une suggestion, » ajoutais-je sur le même ton. Tu n’avais le droit à donner ton avis et encore moins à la moindre objection. J’en avais décidé ainsi, tu me subirais. Et sur ces mots, je me retournais. Traversant ta chambre, je mettais fin à cette conversation. « Alors bonne soirée, et bonne préparation mentale surtout ! » À la porte, je m’arrêtais néanmoins. Te jugeant de mon regard hautain, et pourtant fragile au fond de mes pupilles, je concluais sur une pique véhémente : « À moins que tu ne sois trop occupé à faire le bouffon toute la soirée. » La porte claquait. Bouc-émissaire, je te laissais derrière. Innocent qui avait subi mes foudres pour sa maladresse, ou son absence de compassion.
L’instant figé se remettait soudainement en mouvement. À mes lèvres, tu présentais bêtement un macaron. Je demeurais alors immobile quelques secondes, stupéfaite. Battements de cils, j’eus à peine le temps d’entrouvrir les lèvres que tu enchainais. Comme si ces instants où le temps semblait s’être arrêté tu tentais de les rattraper, jusqu’à me conduire à côté de ton siège, juste en face de ton écran de surcroit. Violemment, je te retirais ma main et ma voix claqua : « Arrête ça ! » N’avais-tu pas compris la situation ? Ou plutôt si, mais incapable de prendre quoi que ce soit au sérieux, t’imaginais-tu que voilà, la page était tournée ? Que tout le monde vivait chaque instant, chaque déception avec autant de légèreté que tu le faisais ? Eh bien, non ! « Je ne veux pas de tes stupides macarons et encore moins chanter pour avoir l’air aussi idiote que toi, en live sur le net en prime ! » Je désignais ton écran, attrapant même finalement ta satanée boite de macaron pour l’y jeter. Je m’écriais et mes nerfs rendaient mes gestes saccadés, les muscles frémissant.
Malgré la difficulté, je plantais mon regard sur toi. De mes yeux je te dardais et t’assénais de ma voix glaciale. « Je suis juste venue te prévenir pour demain. » Je ne te demandais rien. Rien de plus. Rien pour le moment. « Et ce n’est pas une suggestion, » ajoutais-je sur le même ton. Tu n’avais le droit à donner ton avis et encore moins à la moindre objection. J’en avais décidé ainsi, tu me subirais. Et sur ces mots, je me retournais. Traversant ta chambre, je mettais fin à cette conversation. « Alors bonne soirée, et bonne préparation mentale surtout ! » À la porte, je m’arrêtais néanmoins. Te jugeant de mon regard hautain, et pourtant fragile au fond de mes pupilles, je concluais sur une pique véhémente : « À moins que tu ne sois trop occupé à faire le bouffon toute la soirée. » La porte claquait. Bouc-émissaire, je te laissais derrière. Innocent qui avait subi mes foudres pour sa maladresse, ou son absence de compassion.
(c) DΛNDELION
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Mer 28 Fév - 4:46 Citer EditerSupprimer
« Our hands brush, so close yet so far
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
Whatever you want
I’ll always be with you»
You & Me
Tomorrow, Together
Tomorrow, Together
Perfect HaRa
But we’re getting closer
Stealing glances at you,
you’re mysteriously smiling
Whatever you want
I’ll always be with you»
La saison des neiges. Dans un peu plus d’un mois, celle-ci prendrait fin pour nous offrir la douceur du printemps. Peu à peu, jour après jour, le thermostat s’adoucissait pour devenir de plus en plus supportable, prometteur de beaux jours à venir. Pourtant, dans cette pièce, en cette soirée, pourquoi avais-je l’impression qu’une tempête soufflait ? Le ton de ta voix, plus glaciale qu’une rafale de neige en pleine nuit. Tes mots, plus tranchants que la pointe d’une stalactite. Sur place je me figeais. Silencieux. Immobile. Incapable de même formuler une seule syllabe. Je ne savais qui de ma maladresse ou de ma stupidité t’avait amené à telles rafales à mon égard. Je ne savais comment m’excuser, comment t’exprimer mon inquiétude. J’étais maladroit par nature, plus encore à tes côtés. Un idiot qui ne savait comprendre ton cœur. Ton idiot qui, pourtant, n’avait qu’un espoir : celui d’éclaircir le ciel de ton cœur. Que la neige ne tombe, que la pluie ne s’abatte afin qu’un soleil radieux, en tout temps et tout heure, puisse y briller chaleureusement. D’une chaleur douce et réconfortante, confortable et rassurante. Pourtant, tel un courant d’air chaud à la rencontre de son homologue plus frais, je n’avais créé que tempête dans celui-ci. Comme un incapable que je pouvais devenir, me voilà dans l’impossibilité de l’arrêter ou l’apaiser. Alors je la regardais passer silencieusement, priant pour qu’elle puisse s’apaiser rapidement sans que tu n’en subisses les conséquences. Je ne voulais te blesser plus que tu ne l’étais…
N’osant que par moment des regards vers toi, ce fut avec le sentiment d’être retourné en enfance que je t’écoutais. Non. Pire. Même quand j’étais petit, je ne me taisais ainsi. J’étais du genre à argumenter face à ma mère, lui faire comprendre, lui expliquer bien que, parfois, cela devenait confus et incertain. Mais la tentative était là, elle la prenait en compte. Cette illusion d’explication, je ne pourrais l’avoir avec toi. Sans doute, ne le savais-je que trop bien, probablement, était-ce la raison de mon mutisme, certainement était-ce dû au fait que je ne voulais aggraver la situation. Alors j’encaissais. J’écoutais et subissais une sensibilité exacerbée qui n’était ma faute. N’avais-tu pas dit que tu avais besoin d’un souffre-douleur. Probablement que tu n’avais attendu demain pour l’utiliser. Bien que cela me pesait, bien que mon cœur battait d’un rythme incroyablement lent, je n’étais en mesure de te retenir. Pas après avoir subi une telle tempête, pas quand tu me faisais comprendre que tu n’avais besoin de mes idioties pour une soirée mais bien d’être seule. Alors cette fois, je paierais attention à tes besoins et te laisserais partir. Dernière rafale de glace avant que tu ne quittes la pièce pour ne laisser que silence derrière toi.
Ma main gauche se posait sur mon cœur, celui-ci qui se vivifiait à présent. Palpitant autant inquiet que noyé dans l’incompréhension et la tristesse, celle de n’avoir réussi à t’insuffler un souffle de bonheur. Cela devait être trop tôt encore… Sur mon siège je me rasseyais, faisant face à la caméra dans une ambiance plus que mal à l’aise. Certains le sentaient, certains s’en moquaient froidement car incapable de comprendre ce qu’il s’était passé. « Je crois que… j’ai encore du travail à faire pour comprendre les femmes… » Concluais-je d’un rire maladroit et, presque, nerveux de ma part. Comment pouvais-je continuer à faire l’idiot ainsi quand, toi, tu n’allais pas bien ? Mon regard se tournait vers la porte, voilé d’une certaine tristesse par la scène qui venait de se dérouler. Demain, seras-tu ainsi également ?
N’osant que par moment des regards vers toi, ce fut avec le sentiment d’être retourné en enfance que je t’écoutais. Non. Pire. Même quand j’étais petit, je ne me taisais ainsi. J’étais du genre à argumenter face à ma mère, lui faire comprendre, lui expliquer bien que, parfois, cela devenait confus et incertain. Mais la tentative était là, elle la prenait en compte. Cette illusion d’explication, je ne pourrais l’avoir avec toi. Sans doute, ne le savais-je que trop bien, probablement, était-ce la raison de mon mutisme, certainement était-ce dû au fait que je ne voulais aggraver la situation. Alors j’encaissais. J’écoutais et subissais une sensibilité exacerbée qui n’était ma faute. N’avais-tu pas dit que tu avais besoin d’un souffre-douleur. Probablement que tu n’avais attendu demain pour l’utiliser. Bien que cela me pesait, bien que mon cœur battait d’un rythme incroyablement lent, je n’étais en mesure de te retenir. Pas après avoir subi une telle tempête, pas quand tu me faisais comprendre que tu n’avais besoin de mes idioties pour une soirée mais bien d’être seule. Alors cette fois, je paierais attention à tes besoins et te laisserais partir. Dernière rafale de glace avant que tu ne quittes la pièce pour ne laisser que silence derrière toi.
Ma main gauche se posait sur mon cœur, celui-ci qui se vivifiait à présent. Palpitant autant inquiet que noyé dans l’incompréhension et la tristesse, celle de n’avoir réussi à t’insuffler un souffle de bonheur. Cela devait être trop tôt encore… Sur mon siège je me rasseyais, faisant face à la caméra dans une ambiance plus que mal à l’aise. Certains le sentaient, certains s’en moquaient froidement car incapable de comprendre ce qu’il s’était passé. « Je crois que… j’ai encore du travail à faire pour comprendre les femmes… » Concluais-je d’un rire maladroit et, presque, nerveux de ma part. Comment pouvais-je continuer à faire l’idiot ainsi quand, toi, tu n’allais pas bien ? Mon regard se tournait vers la porte, voilé d’une certaine tristesse par la scène qui venait de se dérouler. Demain, seras-tu ainsi également ?
Face à la caméra, une légèreté feinte et une insouciance mensongère.
Derrière ces sourires, ces rires maladroits se trouvaient un cœur que je tentais de dompter.
Un cœur douloureux qui n’avait attendu mon consentement pour s’enticher de ta personne.
Derrière ces sourires, ces rires maladroits se trouvaient un cœur que je tentais de dompter.
Un cœur douloureux qui n’avait attendu mon consentement pour s’enticher de ta personne.
(c) DΛNDELION
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Re: You & Me : Tomorrow, Together ♥ #HARA | Mer 28 Fév - 10:45 Citer EditerSupprimer
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I’m afraid, I can’t go on without you
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Au son de la porte qui claqua, celui de mes pas résonnant dans le couloir aurait pu répondre en écho. Pourtant, seul celui de ma respiration prononcée et saccadée bourdonnait à mes oreilles. Au loin, je pouvais percevoir des éclats de voix en provenance des différentes chambres des garçons. Et cette voix poussant la chansonnette répondait au ruissellement de l’eau provenant des douches à l’autre bout. Cependant, pour le moment, l’axe de passage demeurait vide. Par cette absence de vie, au lieu de fuir plus loin directement, je m’arrêtais et m’appuyais contre le mur de ta chambre, juste à côté de cette porte si brutalement refermée. Je m’adossais et levais les yeux au plafond. Essayais-je par ce biais de renvoyer dans les tréfonds de mon être les larmes qui menaçaient ? Si je craignais de craquer, si je ne souhaitais être vue ainsi, pourquoi restais-je ici ? Espérais-je après ta poursuite ? Ah quoi bon, inexorablement, je te repousserais. N’est-ce pas ? Tu le savais certainement tout autant que moi, alors assurément tu ne viendrais pas. De ta chambre tu ne sortirais. Et je ne t’attendais pas.
À moins que nous nous trompions tous les deux. Que nous nous mentions ? Que je te mentais car incapable de faire ouvertement appel à l’aide. Pas cette fois. Pas encore une fois. Et pourtant, celui que j’étais venue chercher c’était bien toi. Moi-même je ne comprenais pas. Je ne me comprenais pas. Mais ce que je ressentais, je le savais. Dans les moments difficiles, je pouvais compter sur toi. Tu étais là. Et par des concours de circonstances, c’était comme si ta présence pourtant indésirable avait créé en moi un besoin de toi. Pourquoi, quand et comment étais-tu devenu celui vers qui se tourner ? Tu étais immature, idiot, pervers, irresponsable, insupportable. Tu n’avais vraiment t’appréciable que ton beau visage. Et pourtant…
À l’instar de ma vue, mon esprit s’embrouillait. La gorge nouée, je déglutis. Empêchant mes jambes de céder, je m’accordais encore quelques instants d’immobilité dans ce couloir. Attendais-je que tu ouvres la porte ou non ? Je ne savais. Certainement les deux. J’aurais aimé ravaler ma fierté, pouvoir affirmer une certaine complicité entre nous pour qu’en cette journée horrible, alors que vingt-quatre heures étaient passées depuis… Depuis que j’avais ôté la bague de l’annulaire de cette main que je serrais désormais au creux de sa paire à hauteur de ma poitrine. Cette dernière qui me faisait si mal. Le coeur lacéré et la respiration cisaillant ma trachée. J’étais perdue et je ne savais vers qui me tourner, car trop fière pour admettre ma fragilité. J’aurais voulu trouver des bras dans lesquels pleurer. Trop fermée pour l’avouer à mes amies, trop éloignée pour me réfugier auprès de ma famille, ce fut à peine si j’avais répondu à leurs appels depuis qu’ils avaient appris la nouvelle. Papa. Emplie par la volonté de l’appeler, je me redressais. Prête à partir, m’éloigner dans une pièce isolée – mon bureau –, une dernière fois je jetais un regard sur ta porte close et qui le resterait.
À moins que nous nous trompions tous les deux. Que nous nous mentions ? Que je te mentais car incapable de faire ouvertement appel à l’aide. Pas cette fois. Pas encore une fois. Et pourtant, celui que j’étais venue chercher c’était bien toi. Moi-même je ne comprenais pas. Je ne me comprenais pas. Mais ce que je ressentais, je le savais. Dans les moments difficiles, je pouvais compter sur toi. Tu étais là. Et par des concours de circonstances, c’était comme si ta présence pourtant indésirable avait créé en moi un besoin de toi. Pourquoi, quand et comment étais-tu devenu celui vers qui se tourner ? Tu étais immature, idiot, pervers, irresponsable, insupportable. Tu n’avais vraiment t’appréciable que ton beau visage. Et pourtant…
À l’instar de ma vue, mon esprit s’embrouillait. La gorge nouée, je déglutis. Empêchant mes jambes de céder, je m’accordais encore quelques instants d’immobilité dans ce couloir. Attendais-je que tu ouvres la porte ou non ? Je ne savais. Certainement les deux. J’aurais aimé ravaler ma fierté, pouvoir affirmer une certaine complicité entre nous pour qu’en cette journée horrible, alors que vingt-quatre heures étaient passées depuis… Depuis que j’avais ôté la bague de l’annulaire de cette main que je serrais désormais au creux de sa paire à hauteur de ma poitrine. Cette dernière qui me faisait si mal. Le coeur lacéré et la respiration cisaillant ma trachée. J’étais perdue et je ne savais vers qui me tourner, car trop fière pour admettre ma fragilité. J’aurais voulu trouver des bras dans lesquels pleurer. Trop fermée pour l’avouer à mes amies, trop éloignée pour me réfugier auprès de ma famille, ce fut à peine si j’avais répondu à leurs appels depuis qu’ils avaient appris la nouvelle. Papa. Emplie par la volonté de l’appeler, je me redressais. Prête à partir, m’éloigner dans une pièce isolée – mon bureau –, une dernière fois je jetais un regard sur ta porte close et qui le resterait.
J’ignorais ce qui me prenait, mais en cet instant,
mon seul regret fut de n’avoir su avouer
que j’aurais aimé la chaleur de tes bras pour pleurer…
mon seul regret fut de n’avoir su avouer
que j’aurais aimé la chaleur de tes bras pour pleurer…
(c) DΛNDELION
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